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Mercredi 5 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions une nouvelle fois Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”. Tous deux sociologues et anciens directeurs de recherche au CNRS, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié de très nombreux ouvrages qu’ils nous ont pour la plupart présentés. Spécialisés dans l’étude de la bourgeoisie et des dynasties financières, tous deux avaient vu en Nicolas Sarkozy le « président des riches » - qualificatif qui lui est resté. Après l’intermède François Hollande, lui-même si complaisant l’égard des milieux financiers, Emmanuel Macron s’est révélé comme “Le président des ultra-riches” selon le titre du livre que Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié aux éditions La Découverte. Pur produit de l’oligarchie, l’hôte de l’Élysée a comblé de cadeaux fiscaux ceux qui l’avaient porté au pouvoir et donné à la guerre de classe une intensité inédite, provoquant la révolte des Gilets jaunes qui ont significativement envahi les “Beaux quartiers…”
La Cour d’appel de Lyon a relaxé le militant, poursuivi pour avoir aidé des migrants à entrer clandestinement en France. Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, le «principe de fraternité» retenu par le juge ouvre la voie à toutes les dérives.
En dépit de ma révérence obséquieuse pour les institutions, je ne jurerais pas que les Sages du Conseil constitutionnel se soient conduits avec une infinie sagesse lorsqu’ils ont consacré le «principe de fraternité».
Tout le monde, ou presque, critique la manière dont le gouvernement gère la « crise du coronavirus »
Les improvisations, les tergiversations, les revirements, les mensonges sont quotidiens depuis deux mois. Nous n’allons pas les reprendre ici : les critiques affluent de toutes parts. D’innombrables vidéos circulent sur la Toile démontrant de belle manière toutes ces impostures et ces impérities.
A qui profite le crime de la pandémie ? Une menace annoncée avant la crise par... Bill Gates, prémonition ou prévision ? Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour la suite de sa revue de presse. Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis, la corruption « en marche », un collaborateur de Véran véreux, il commissionnait l’achat de masques. Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves, un président coupable. Et toujours les banques centrales : elles rachètent l’or qu’elles avaient vendu ! La France comme le Liban. La Macronie est-elle en train de couler ? Un président sous cocaïne et on connaît le dealer. Les fonds de pension en question. Adieu à l’épargne.
Thierry de Montbrial est économiste et géopolitologue, il est le président de l'Institut français des relations internationales. Il analyse, en visio-conférence avec Geoffroy Lejeune, les conséquences de la crise du Covid-19 sur les équilibres mondiaux. Soutenant la thèse que pour se relancer, les économies devront trouver de nouveaux débouchés internationaux et nécessiteront le rétablissement d'une pleine mondialisation tout en s'assurant une indépendance industrielle à l'égard des puissances économiques.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
Nicole et Gérard Delépine répondent aux questions de Maxime Le Nagard sur l'organisation et l'état de notre système de santé face à la crise du coronavirus.
Sauver les banques à tout prix, même celui du (re)confinement, crise des dettes publiques et saccage social en vue. Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour sa revue de presse. Sous l’épidémie, la schlague : les libertés menacées ! Les taux négatifs, un virus financier ravageur, l’Allemagne contre la BCE, l’Italexit en vue, l’euro en soin palliatifs, le déconfinement en France géré par Bain & Company de droit américain, l’effet de levier des banques françaises très au-delà du raisonnable, la Société Générale la plus menacée, Bercy s’intéresse à votre épargne à vos coffres, vers un coronatax ?
Mercredi 12 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Fadi El Hage pour son livre “Le sabordage de la noblesse”. Historien, auteur d’une thèse sur les maréchaux de France de 1515 à 1793 qui a reçu le Prix d’histoire militaire en 2011, Fadi EL HAGE est chercheur associé au sein de l'Institut d'histoire moderne et contemporaine et collabore à la revue « Guerres et histoire ». Entre autres ouvrages, il a publié « La Guerre de succession d’Autriche » en 2017. Fadi El Hage a accepté de nous présenter le livre qu’il a tout récemment consacré à la noblesse française au XVIIIème siècle. Ce groupe social, très divers, appuyait son statut sur son héroïsme militaire. Or la puissance militaire de la France décline sous Louis XV, une partie de la noblesse se détourne du métier des armes et le prestige des nobles décroît dans l’opinion publique. Peut-on en conclure que le XVIIIème siècle fut celui du “Sabordage de la noblesse” selon le titre du livre de notre invité ? Fadi El Hage nous fera saisir les mythes et les réalités d’une décadence nobiliaire sanctionnée par la Révolution française et qui donne à réfléchir sur la manière dont les élites d’un pays font naufrage.