Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : Edouard Philippe, la chute du blaireau.
Pierre-Yves Rougeyron analyse les profils des remplaçants potentiels d'Edouard Philippe dans le contexte d'un remaniement ministériel plus que probable.
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Pierre-Yves Rougeyron analyse les profils des remplaçants potentiels d'Edouard Philippe dans le contexte d'un remaniement ministériel plus que probable.
Voici quelques extraits de l'intervention de l'historien Reynald Sécher, sur Radio courtoisie, lors de l'émission ayant pour thème les Guerres de Vendée.
Présents également lors de cette émission : Olivier Tournafond, assisté de Caroline, recevait Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme, Frédéric Winkler, président du Groupe d'Action Royaliste ; et Jean-Philippe Chauvin, professeur d'histoire-géographie.
Au sommaire ce soir, les Etats-Unis au bord de l’implosion. Depuis le décès de George Floyd, un afro-américain pendant une arrestation, le pays est le théâtre de violences et d’émeutes. Une situation explosive à 5 mois de l’élection présidentielle.
En France, la phase II du dé-confinement a commencé. Particulièrement attendue par les professionnels du secteur, la réouverture des restaurants et cafés marque un retour à une vie plus normale. Notre reporter est allé dans la Capitale pour recueillir les impressions des Français.
Et puis également dans l’actualité, la bataille pour les municipales parisiennes se relance. Annoncé pour le 28 juin, le scrutin pourrait donner lieu à une surprise dans la Capitale. Entre l’effondrement de la candidate de la majorité, Agnès Buzyn, et le bilan contesté d’Anne Hidalgo, y compris pendant la crise sanitaire, la droite de Rachida Dati pourrait avoir un coup à jouer.
Source : https://www.causeur.fr/
Marcel Gauchet intervient sur REACnROLL et répond aux questions d’Elisabeth Lévy sur le phénomène assez fascinant du très médiatique Didier Raoult. Ce médecin serait devenu la figure de proue du populisme dans les « territoires ». Applaudi par la France périphérique avec son traitement peu onéreux contre le Covid-19, ses méthodes remettent en question la légitimité des autorités politiques et scientifiques.
- Crise : craignez vous plus le chômage que le COVID19 ?
- Moscovici : retour de l'ancien monde ?
Avec Pascal Bataille, Sophie de Menthon, Eric Verhaeghe et Jean-Luc Touly
Pierre-Yves Rougeyron revient sur la commémoration par Emmanuel Macron de la bataille de Montcornet.
Suite à la suppression de la première version de cette vidéo sous prétexte de droit d'auteur réclamé par l'INA, nous repostons donc la vidéo : Chronique d'une république destructrice !
Cette vidéo est la présentation d'un discours fait par Frédéric Winkler, président du Groupe d'Action Royaliste.
Mercredi 22 mai, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ? ”. A l’issue du « Grand débat », Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’École nationale d’administration. Depuis les années soixante du siècle dernier, l’ENA fait l’objet de critiques virulentes : considérée comme le foyer de la technocratie, elle est dénoncée comme une fabrique de fonctionnaires coupés du réel dont les réseaux dominent l’État. Dès lors, “faut-il supprimer l’ENA ?”
Pour répondre à cette question qui va être débattue dans les prochains mois, nous avons demandé à Jean-François KESLER de nous donner un avis qui est très bien informé : ancien élève de l’ENA puis administrateur civil au ministère de la Santé, il est ensuite entré au CNRS pour mener des recherches sur l’administration. Nommé directeur-adjoint de l’ENA en 1983, il a notamment publié « L’ENA, la société, l’État » (Berger-Levrault, 1985), « Les Hauts Fonctionnaires, la politique et l’argent, Grandeur et décadence de l’État républicain » (Albin Michel, 2006), et « Le Pire des systèmes à l’exception de tous les autres, De l’énarchie, de la noblesse d’État et de la reproduction sociale » (Albin Michel, 2007).
Source : https://www.lesalonbeige.fr/
En ce centenaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, le diocèse de Rouen a ressorti la croix processionnelle présentée à Jeanne devant son bûcher.
Selon l’inventaire dressé par le ministère de la Culture, propriétaire de l’objet, la croix de procession est une pièce d’orfèvrerie en bois recouverte de cuivre et de verre, datant probablement du XVe siècle. Une transcription apparaît sur lequel on peut lire : « IHS MA / Donnes par moy Simon Langlois, prêtre demt à Paris, 1600. » Après avoir été conservée dans l’abbaye de Fontaine-Guérard de Pont-Saint-Pierre à quelques kilomètres de Rouen, elle repose jusqu’à aujourd’hui dans la paroisse de Pont-Saint-Pierre, dans l’Eure.
Je décris le parcours d'un jeune ouvrier, l'histoire tirée du livre : "Moi Anthony, ouvrier d'aujourd'hui".
Aujourd'hui la réouverture des lycées pour le 2 juin. Prématurée ? Nécessaire ? Incompréhensible ?
Philippe Bilger, Philippe David et Yael Mellul en discutent avec :
- Isabelle Féry, présidente de l’Union Académique d’Aix-Marseille au sein de la Peep, la Fédération des Parents d'Elèves de l'Enseignement Public
- Hervé Morin, président de la région Normandie et président des régions de France
Enjeu médico-politique aussi. Semaine décisive peut-être dans ce feuilleton qui n’en finit pas. Rebondissement dans ce qu’on appelle maintenant la polémique/affaire Didier Raoult. D’un côté le verdict de l’OMS et d’une des plus grandes revues médicales. De l’autre, la contre-offensive médiatique d’un professeur qui refuse de s’avouer vaincu et en appelle à l’opinion. Rendez-vous avec l’une des journalistes qui l’a rencontré, Anne Rosencher.