"J-moins 4" avant la fin du nucléaire en Allemagne. Les autorités doivent débrancher samedi les 3 derniers réacteurs nucléaires encore en service. Et donc, nos chers ennemis allemands vont continuer à salir, encrasser allègrement notre ciel européen avec leurs centrales à charbon, l'un des plus sales et des plus gras du monde : beurk !...
Opposition entre
• le président de la Chambre allemande de commerce et d’industrie, qui met en garde : la diminution de l’offre pourrait provoquer "une nouvelle augmentation massive des prix de l’énergie dans les mois à venir";
• et la ministre de l’Environnement, qui assure : "La sortie du nucléaire rend notre pays plus sûr et évite de nouveaux déchets nucléaires".
Nos ennemis allemands se ferment eux-même l'une des portes d'un avenir maîtrisé ? Tant mieux ! S'ils veulent se "suicider", ce n'est pas nous qui les en empêcherons !!!!
Mais, pendant ce temps-là, alors qu'ils commettent cette folie suicidaire-là, Porsche fait des offres à Poutine pour relancer l'économie russe ! En l'occurrence, dans le secteur automobile, occupant la place que Renault - donc, "la France" - a laissée vide, après y avoir investi des milliards !
"Devant l'Allemagne éternelle", disait Maurras... Au même moment où des Allemands, "suicident" leur avenir, voici que d'autres Allemands ressuscitent, en quelque sorte, et toutes proportions gardées, le "pacte germano-soviétique" ! Hitler et Staline à nouveau réunis, pour un peu !
Heureusement qu'aujourd'hui les contradictions des Allemands leur nuisent (en plus de leur terrible problème démograhique, de l'invasion turque et de la honte "rentrée" mais toujours présente de leur "passé nazi"). On le sait bien que Moscou et Berlin sont faits pour s'entendre ("Tant qu'il y a une Pologne à partager, Berlin c'est Moscou et Moscou c'est Berlin", disait Bainville). Aujourd'hui comme hier, le "monstre Allemagne unie" reste par nature expansionniste, pan-germaniste, conquérant. Et s'il ne peut écraser par "le militaire", il écrasera sans vergogne par "l'économique"...
Il faut être naïf comme le Pays légal français (de Clemenceau à Macron) pour croire en l'amitié avec l'Allemagne, dont la raison d'être - "essentielle" pour employer un terme philosophique - est d'être... notre ennemie, depuis les Cimbres et les Teutons, en 100 avant Jésus-Christ. En 1918, Clemenceau n'avait qu'à siffler pour que l'Allemagne unie disparût : il ne siffla pas. On a eu Hitler et "la guerre pour dans vingt ans", selon la prophétie de Bainville dans L'Action française.
Clemenceau fit en 1918 comme Napoléon, qui ne siffla pas après Iéna et Auerstadt, en 1806, alors que la Prusse aurait disparu s'il avait sifflé.
La prussophilie du Pays légal, héritée des Encyclopédistes, des Révolutionnaires des républicains et des deux Empires nous aura coûté cher : 1870 (5 milliards de francs-or et la perte de l'Alsace-Lorraine), 1914 (et la perte d'un milllion et demi de jeunes Français, "couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue"), 1939 (600.000 morts, le pays occupé, Toulon, Marseille, Brest Le Havre et tant d'autres lieux détruits, en tout ou partie)
Voilà pourquoi si, à côté de leurs actes nuisibles envers nous (comme ce camouflet de la "main tendue" de Porsche à Poutine, pour s'asseoir sur le siège que nos gouvernants ont stupidement "des-occupé"...), nos ennemis allemands font des folies en se tirant une balle dans le pied, en arrêtant leur nucléaire et en prévoyant l'entrée de près de deux millions d'envahisseurs sur leur sol pour chacune des prochaines années, nous n'allons pas pleurer, bien au contraire !
DELENDA EST GERMANIA !
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