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Revue de Presse et d'Actualité... - Page 106

  • Et la campagne nullissime qui dure encore, et encore, et encore ! Maintenant, les Législatives !  [1]

     

    Mur-bleu gds.jpgMacron vient donc de nommer Edouard Philippe Premier ministre. Objectif (cynique) avoué : rééquilibrer sa barque, qui penchait dangereusement à gauche (En Marche a investi 24 députés PS), mais aussi disloquer ou fracturer « la droite ». De plus, (charité bien ordonnée...) Macron a aussi veillé à ce que soit investie la fille de sa femme (bien que ce soit comme suppléante) : vous avez dit « renouveau » ? Vous avez dit « politique autrement » ? Que ceux qui y ont cru ne viennent pas se plaindre ! 

    Déjà, en fin de semaine, le mauvais « feuilleton Bayrou » avait laissé entrevoir qu'avec Macron ce serait exactement comme avant, dans le fond ; seul changerait le regard enjôleur du jeune premier, par rapport à l'air de chien battu et à la voix pleurnicharde du précédent.

    Souvenez-vous, ce n'est pas vieux, c'était il y a à peine quelques jours.

    1. Bayrou n'est pas content : il n'a pas assez de circonscriptions gagnables (une quarantaine), donc pas assez de députés à attendre. Le chroniqueur de France info lâche le morceau : des députés, c'est de l'argent pour le Modem mais, surtout, Bayrou en voudrait un nombre suffisant (une centaine) pour pouvoir « faire chanter » Macron en permanence. En effet, la majorité que Bayrou souhaite à Macron ne pourrait rien faire sans les députés du Modem, s'ils sont assez nombreux, s'il avait, lui, Bayrou, assez de députés, donc un suffisant pouvoir de nuisance ; et ainsi Bayrou serait le vrai « maître des horloges » (expression chère à Macron). C'est beau, « la politique autrement », le « renouveau », le « changement des personnes » ! Et la France, là-dedans ? direz-vous, peut-être. Quoi, la France ? Ce n'est pas cela qui leur importe, aux politicards du Pays légal : c'est leurs propres intérêts, et leurs propres privilèges ! 

    2. Bayrou est content : alors Bayrou est allé « pleurer » et bomber le torse devant les caméras ; et, après trois jours de tragi-comédie, son « caca nerveux » a payé : Macron a cédé, inaugurant donc son règne par un acte de faiblesse, ce qui augure mal de la suite. Et qui laissera sûrement des traces, à la fois dans l'opinion et à l'intérieur du camp des « En marche » : c'était donc vers « çà » qu'ils se sont mis « en marche » ?...

    Bayrou a finalement réussi à imposer magouille et tripatouillage : tout ce dont la France ne veut plus (elle l'a assez montré avec le « dégagisme ») et tout ce que le jeune et sémillant « plus jeune président de la République » avait promis de jeter aux oubliettes. Ceux qui attendaient de l'élection de Macron une grande bouffée d'air pur n'ont eu que les exhalaisons méphitiques de la carambouille voulue par le dernier des caïmans. Le président du très confidentiel Modem a étalé, trois jours durant, l'indécent spectacle de sa rage politicailleuse sur les écrans : lamentable spectacle, discrédit toujours plus grand s'il est possible d'un misérable Pays légal, usé jusqu'au trognon... 

  • Il s'en passe, des choses chez les tenants de la moraline : le « psy du djihad » Patrick Amoyel mis en examen pour viols !

    Patrick Amoyel, psychanalyste fondateur de l'association Entr'autres, est suspecté d'avoir abusé de plusieurs patientes (Capture d'écran BFMTV) 

     

    Mur-bleu gds.jpgC'est dans L'Express que nous l'avons appris : le fondateur d'une association de lutte contre la radicalisation (ah ! les braves gens ! Ah ! « Le pauvre homme », comme disait l'Orgon de Molière, à propos de Tartuffe), le psychanalyste niçois Patrick Amoyel a été mis en examen, ce jeudi 27 avril, pour viols sur mineurs, et écroué.

    L'affaire ne concerne pas ses activités de « spécialiste du djihadisme », mais elle tombe mal pour les structures de déradicalisation, dont le moins que l'on puisse dire est qu'elles sont loin - très loin... -  de faire l'unanimité (a-t-on, un jour, imaginé des « structures de déradicalisation » pour SS ou pour agent de La Stasi, de la Securitate, ou pour gardes rouges de Mao ?).

    Mis en examen pour « viols par personne ayant autorité » et « exercice illégal de la médecine », Patrick Amoyel a donc été placé en détention provisoire. Fondateur de l'association Entr'autres, il tenait d'étranges propos, et formulait de bizarres affirmations, qui auraient pu - et dû - alerter, cependant. Il parlait, par exemple, de « la psychanalyse des doigts », ce qui, pour quelqu'un à qui l'on confie des ados (quelle qu'en soit la raison) aurait dû, au moins, faire un peu tiquer, non ?... Assez crûment, mais au moins, c'est du « parler vrai », un des policiers chargés de l'enquête déclare que « dans son cabinet, les séances ne se limitaient pas à la parole pure ».

    Nous ne nous réjouissons pas de cette sordide affaire. Nous constatons seulement que, dans le camp des bonnes consciences et des dicteurs de conduite, il y a vraiment pas mal de gens très, très louches... 

  • Vers un « impeachment » à la française ?

     

    Mur-bleu gds.jpgOn l'a dit et redit partout, cette élection présidentielle - outre sa nullité et son indécence - fut à nulle autre pareille.

    Et si ce n'était pas fini ?

    Ecoutez Jean-Philippe Delsol expliquant avec beaucoup de clarté et de pédagogie que Macron est passible d'une sanction d'interdiction d'exercer une fonction publique.

    Pourquoi ?

    Parce que, ayant gagné beaucoup d'argent lorsqu'il était à la Banque Rothschild, il a déclaré avoir employé une grosse part de cet argent pour réaliser des travaux dans l'appartement de sa femme. Mais, vous commencez à vous en douter, il y a « un lézard », comme on dit très familièrement. 

    En 8'13" - c'est court et surtout très clair - Jean-Philippe Delsol nous explique très précisément la chose. 

     
  • Incarné par Hollande hier, par son « fils » Macron aujourd'hui, l'adversaire demeure le Système !

     

    Mur-bleu gds.jpgLe fils politique de François Hollande, candidat par ailleurs choisi et IMPOSE par la cléricature médiatique, est donc le nouveau visage de ce Système mortifère qui, inexorablement, déclasse et rabaisse la France.

    Mais s'il est un président légal, certes, on peut parfaitement penser, et dire, que le nouveau président peut être regardé comme n'étant pas légitime.

    Pourquoi ?

    Notamment parce qu'il ne représente pas un nombre suffisant de Français, et, là, ce sont les chiffres qui le disent : 

    1. :

    - 3 millions de non-inscrits et 6,5 millions de mal inscrits, qui pour telle ou telle raison ne votent donc pas (source : France info ) ;

    - plus de 10 millions d'abstentionnistes (exactement 10.577.572 : 25,4%) ;

    - plus de 4 millions de bulletins blanc ou nuls (11,47%) ;

    2. :

    Ce qui relativise forcément - et fortement -les résultats des candidats

    - 20 millions 750.000 pour Macron (66,1%) ; 

    - 10 millions 644.000 pour Marine Le Pen (33,9%).

    Le total des trois premières catégories de Français représente donc 23 millions et demi voix, soit presque 3 millions de plus que ce qu'a obtenu Emmanuel Macron.

    Ajouté aux voix de Marine Le Pen, ce total monte à 34 million de voix, quasiment 14 millions de plus que le nombre de voix recueillies par Emmanuel Macron.

    Emmanuel Macron représente donc largement moins de la moitié des Français, et de plus tout le monde sait pertinemment qu'une grande partie de ses électeurs, certes difficile à quantifier, n'a pas voté «pour» lui mais «contre» l'autre candidat (selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde publiée le 2 mai, 60% de ses électeurs affirment voter pour lui « par défaut »); et cela sous l'effet du bourrage de crâne et du matraquage hallucinant pratiqué par la caste médiatique, qui fait de la France l'un des derniers pays staliniens au monde.

    Du reste, dès dimanche soir, les amis de Jean-Luc Mélenchon n'ont pas manqué de s'exprimer :

    - "Nous avons un président qui est faible", a estimé Raquel Garrido, une porte-parole de La France insoumise, soulignant qu'il y avait "beaucoup de votes par défaut".

    -"J'affirme ici sans manquer de respect à Monsieur Macron qu'il est minoritaire dans le pays (...), et malheur à celui qui croit utiliser cette Ve République autoritaire pour imposer des choses que les Français ne veulent pas", a prévenu Alexis Corbière, porte-parole du candidat de La France insoumise.

    Il n'est évidemment pas question, ici, de prétendre changer le Système, ou de refuser un fait accompli. Il est simplement question de faire remarquer que, si cette façon de procéder est parfaitement légale - proclamer élu un président qui, l'un dans l'autre, ne reçoit l'adhésion franche que de 7 millions de Français - , elle peut tout aussi bien être regardée comme parfaitement illégitime.

    Elle condamne le Système, autant que ses échecs dans tous les domaines (6 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, 8 millions 1/2 de mal-logés...) 

    Elle fonde et justifie notre action la seule « réellement d'opposition », car « prêchant ouvertement » contre le régime lui-même, selon les expressions employées, en d'autres temps, par Léon Daudet. 

  • Médias & Actualité • Débat d'entre deux tours, le mensonge de Macron : c'est bien lui qui a vendu SFR à Patrick Drahi

     

    C'est du moins ce qu'expose ici [lien ci-dessous] le site Wikistryke.

    Au cours de la campagne, BFM TV a été nommée « Télé Macron ». Et cela s'est vu ... A la limite, de cette connivence organisée, il n'est guère besoin de preuves. Que Macron ait menti au cours de son débat avec Marine Le Pen est une autre affaire.  LFAR 

    http://www.wikistrike.com/2017/05/debat-le-pen-macron-macron-a-menti-c-est-bien-lui-qui-a-cede-sfr-a-patrick-drahi-preuves-a-l-appui.html

  • La visite de Macron à Oradour : une ignominie

    A qui fera-t-il croire que ce n'était pas une visite électorale

     

    Mur-bleu gds.jpgMacron prétend qu’« il ne faut pas oublier », alors qu'il participe du crime de mémoricide du génocide vendéen.

    Une odieuse action de récupération moralino-politique de l'horreur d'Oradour. Une indécence malsaine qui pue : il n'y a pas d'autre mot pour qualifier la honteuse visite (!) de Macron à Oradour-sur-Glane.

    Car, pourquoi le candidat du PC et du Medef, de Hollande et du pédophile Cohn-Bendit, de Juppé-Sarko-NKM etc.… et Robert Hue, est-il allé à Oradour ? Pour, selon lui - mais il ment - « ne pas oublier » !

    Alors, oui ! Nous pouvons affirmer qu'Emmanuel Macron a menti. Car, comment peut-il prétendre qu’ « il ne faut pas oublier » , lui qui incarne et prétend présider le Système qui a commis le premier génocide des temps modernes, le génocide vendéen ? Et qui ajoute à ce premier crime, justement parce qu'il le nie, un second, aussi terrible : celui de mémoricide ?

    Comment cet homme, qui accepte le génocide vendéen et, pire encore, le nie, ose-t-il venir nous dire qu'il ne faut « jamais oublier Oradour » ? Avec lui, la tartufferie passe les bornes !

    Bien sûr qu'il ne faudra jamais oublier Oradour.

    Ni, surtout, la République qui en est directement responsable :

    - elle qui a perdu une paix glorieusement mais trop chèrement acquise : un million et demi de jeunes français, couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue ;

    - elle qui, malgré les objurgations d'un Bainville, d'un Maurras, d'un Daudet, mais aussi de tant d'autres, n'a pas démembré l'Allemagne, à peine âgée de quarante-huit ans, en 1918 ;

    - elle qui n'a pas préparé la France à la revanche que l'Allemagne, de son côté, a préparée dès cette date ;

    - elle qui a désarmé mentalement et militairement la France, préférant aider la République espagnole et gâchant les dernières années qui restaient avant 39 pour nous mettre au niveau d'une Allemagne transformée par Hitler en forge de Vulcain ;

    - elle dont le Pays légal a délibérément ignoré les dénonciations par Bainville, dès 1930, de « l’énergumène », du « monstre », du « minotaure » Hitler et « la persécution d’Israël » ainsi que « les camps de concentration ». 

    Alors, monsieur Macron-Hollande, si vous voulez que l'on n'oublie pas, chiche ! nous vous prenons au mot !

    Commencez donc par ne pas oublier, commencez donc par reconnaître, le génocide vendéen, matrice de tous les génocides qui suivront, de même que la sinistre Révolution française est la matrice de tous les totalitarismes du XXe siècle. 

    Commencez donc par apprendre leur Histoire aux jeunes Français, une histoire dont la vérité officielle - qui n'est qu'un grossier mensonge - les a privés : l'horreur absolue d'Oradour avait déjà eu lieu cent cinquante ans auparavant, en 1794, par des mains françaises, dans le petit village des Lucs-sur-Boulogne, et elle est le fait des sinistres Colonnes infernales de la Convention, envoyées sur place avec les ordres écrits de Robespierre et de Lazare Carnot, des ordres que tout un chacun peut consulter...

    Commencez donc par reconnaître la culpabilité de la République idéologique française dans le désastre de 39-45, et tout ce qui s'en est ensuivi, afin qu'on commence à y voir un peu plus clair.

    Alors, et alors seulement, on pourra vous prendre au sérieux, et voir dans vos propos lors de votre misérable exploitation du drame d'Oradour autre chose que ce qu'il y a : une minable tentative de récupération moralino-politicienne d'une page terrible de notre Histoire, dont le Système mortifère qui nous accable est le premier responsable.  

    A consulter dans Lafautearousseau ...

    L'album Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, Guerre de géants..., voir : Quand Oradour-sur-Glane était en Vendée

  • Boussole anti Macron [3]

     

    Mur-bleu gds.jpgL'aura-t-on attendu ce "débat d'entre deux tours" ! Celui qui joue au jeune premier bellâtre n'aura finalement réussi qu'à offrir l'image d'un candidat malmené, plusieurs fois mis en difficulté, et au bout du compte indigne et sans qualité, alors qu'il prétend devenir président "de tous les Français", formule aussi convenue que fausse, puisque impossible : ils veulent tous "jouer au roi", les candidats, mais, élus d'une fraction de la France contre l'autre, ils n'ont d'un Henri IV ou d'un Louis XVIII que la nostalgie - peut-être - et le désir vain de leur ressembler...
     
    Avant ce décevant "débat", en meeting à Arras, Macron avait déjà beaucoup trop crié, et contre trop de monde (de la droite à Mélenchon). Syndrome de Robespierre ? Macron avait manié la vague menace, l'insulte, la haine, les cris. La Terreur, ce sera ça, gouverner autrement ? Attention : Robespierre a mal fini...

    Et puis, se remettre à hurler, genre hystéro-comique, comme lors de son tout premier meeting, où son final était particulièrement ridicule, est-ce bien raisonnable ? Il va finir par casser sa petite voix de bobo chéri des Unes glacées de la presse people...

    Macron l'avait promis, juré : il ferait « la politique autrement », il renouvellerait les visages. Au premier rang de son meeting à Châtellerault ? Raffarin et EDITH CRESSON ! 
     
    Jeudi 27 avril, 11h07, BFM-TV : Collard « mouche » en direct le journaleux : « Faites du journalisme au lieu de faire la propagande pour Macron ». Bravo ! Collard a raison :
     
    1. de rappeler à l'ordre ces journaleux prétentieux et malhonnêtes qui confondent carte de parti et carte de presse ;
    2. de rappeler que le rassemblement autour de Macron c'est le Musée Grévin de la politique, c'est le radeau de la Méduse, les morts-vivants !

    Le journaleux en est resté coi... 

    Indécent Zidane : formé en France, il est parti faire fric et millions à l'étranger et donne maintenant consignes de vote et leçons de morale. Vil et bas !  
     
    Villepin est sorti du Royaume des Vieilles Lunes pour soutenir Macron, qui appelle ça « faire du neuf » et « renouveler les visages » : chapeau ! 
  • Boussole anti Macron [2]

    « Et toute la clique ... »

     

    Mur-bleu gds.jpg

    Soutien de poids et qualité : ex-conseillère de Pompidou Marie-France Garaud votera Marine Le Pen, « la seule à pouvoir rendre à la France sa souveraineté... ».

    « ...Elle a, je crois, le sens de l'Etat au point de préserver notre nation... manifestement, elle est la seule à avoir le tempérament pour rétablir la souveraineté de la France... aujourd'hui, elle est la seule candidate qui n'est pas pieds et poings liés devant les Allemands... »

    Sale temps pour le politiquement correct et le Front républicain tout pourri : Marie-France Garaud et Dupont-Aignan ont déchiré le voile, ont mis une grande claque à l'Etablissement, aux Tartuffes, au Système, à son bourrage de crâne. An 1 de la libération mentale ? 

    Ils peuvent bien hurler les généraux de l'armée morte (Sarko, Fillon, Bertrand, Estrosi, Le Maire, Raffarin, Juppé, NKM et toute la clique) : leur « machin » ne marche plus, et c'est tant mieux ! Dupont-Aignan a raison : « Tous ceux qui ont échoué depuis 30 ans sont avec Macron ». L'urgence ? Faire barrage à Macron, aucune voix pour lui !

    Dupont-Aignan a déposé plainte - et il a très bien fait - contre 3 voyous, qui l'ont insulté, comme des racailles qu'ils sont : 

    1. Benjamin Biolay: «À tes risques et périls petite teupu. Tu vas le payer cher» ;

    2. Mathieu Kassovitz : « espèce de trou du cul » ;

    3. Gilles Lellouche : « grosse merde » ;

    Conscients, mais trop tard, de l'énormité de leur haine et de leur racaillerie, ces trois énergumènes ont assez vite retiré de leurs comptes Instagram ou Facebook ces propos orduriers qui, pourtant, les reflétaient si bien, et les montraient sous leur vrai jour : ceux qui dénoncent une prétendue « haine » sont haineux; ceux qui se présentent, évidemment, comme des républicains et des démocrates, ce sont eux les « fâchistes », qui veulent faire taire leurs adversaires et faire régner leur ordre; ceux qui sont pour la tolérance et l'accueil de l'autre (sic !) sont férocement intolérants et radicalement hostiles  à toute autre idée que la leur. Dans leur tête, inconsciemment (?), la guillotine !... 

  • Après s'être affiché avec Macron, il s'affiche avec Luis-Alfonso : quand Stéphane Bern déraille...

     

    1903076588.10.jpgStéphane Bern a fait de nombreux Secrets d'Histoire excellents. Nous avons, à chaque fois, donc à plusieurs reprises, salué ces numéros magistraux, en signalant le grand service que rendait ainsi Stéphane Bern à l'établissement ou au rétablissement de la vérité historique, et par voie de conséquence, à bien des choses que nous défendons.   

    Voilà que, coup sur coup, Stéphane Bern commet deux erreurs : s'afficher avec Macron, hier, et Luis-Alfonso, aujourd'hui (voir Le Figaro magazine du 28 avril, pages 76 à 82). 

    Nous ne parlerons pas, ici, du soutien à Emmanuel Macron-Hollande : nous en parlons suffisamment par ailleurs. Nous nous en tiendrons seulement aux incongruités que l'on peut relever dans ces sept pages du Fig Mag.

    Et, d'abord, cette aberration que constitue la légende de la photo page 78 : « Le Comte de Chambord...dernier membre de la branche française des Bourbons ». Comment Stéphane Bern, qui s'y connaît en Histoire, a-t-il pu laisser « passer » une ineptie pareille ? Louis XIII eut deux enfants (deux garçons, pas de filles) le futur Louis XIV et son frère Philippe, titré duc d'Orléans. Si la branche aînée, descendante en ligne directe de Louis XIV, s'est bien éteinte avec le Comte de Chambord, en 1883, la branche cadette, issue du deuxième fils de Louis XIII, Philippe, est toujours là, et bien présente, comme nous le montrent la très sympathique famille du Prince Jean, avec ses quatre enfants, et celle de son frère Eudes.  

    Il faut donc en finir une fois pour toutes avec les ignorants qui s'imaginent que « les Orléans » sont une famille à part des « Bourbons » : « les Orléans » sont des « Bourbons », tout aussi « Bourbons » que les descendants, aujourd'hui éteints, de Louis XIV ! La seule différence est que, ces « Bourbons » là, sont, justement, toujours là... Et qu'ils offrent - voyez la famille du Prince Jean et de la Princesse Philoména - une image apaisée, rafraîchissante, porteuse d'espoirs et d'espérance, dans une actualité si grise, si déprimante et, pour tout dire, si souvent minable...

    On nous dira peut-être que ce n'est pas Stéphane Bern qui a légendé ? Dans ce cas, on espérait un peu plus de sérieux et de connaissances historiques minimales de la personne qui a légendé cette photo. De plus, l'expression - erronée - est plusieurs fois reprise dans le cœur de l'article ...  

    Le Figaro se singularise déjà en faisant voter Macron. Qui l'écoutera, dorénavant, lorsqu'il fustigera, comme il le fait régulièrement, l'effondrement du niveau scolaire ? Voilà Le Figaro qui nous donne un « bon » exemple du désastre éducatif : il va falloir se retenir d'éclater de rire, dorénavant, lorsque le journal abordera le sujet...

    La vérité toute simple est que l'histoire de la famille des Bourbons est... très compliquée ! Du moins en Espagne. Et que l'aîné des Bourbons, Luis-Alfonso, aurait dû être roi d'Espagne. Il ne l'est pas, pour des raisons familiales internes et complexes. Mais, en aucun cas, ce onzième représentant des Bourbons partis régner à l'étranger ne peut être considéré comme l'héritier des rois de France. 

    L'héritier des rois de France - « l’héritier des siècles » comme le disait Chateaubriand - il est en France, il vit en France, au milieu de nous et parmi nous ; l'héritier des rois de France est et vit en France. Il la sert, il la défend et, au besoin, les princes de sa famille meurent pour elle, comme le prince François d'Orléans, au cours de la guerre d'Algérie.

    Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons un dossier que nous avons réalisé spécialement à cette intention. Nous le dédions à Stéphane Bern : il nous a fait tant de cadeaux, que nous pouvons bien lui offrir, en retour et à notre tour, un... Secret d'Histoire ! 

    Pour ceux qui veulent savoir qui est Luis Alfonso, d'où est-il, d'où vient-il, découvrez le dossier de LAFAUTEAROUSSEAU, en cliquant sur la généalogie ci-dessous.  • 

    Patienter, le temps du téléchargement

  • Civilisation • De Châteaurenard à Bonifacio, les femmes voilées à l'école on n'en veut pas...

     

    Mur-bleu gds.jpgDeux saines réactions à signaler, concernant le refus du voile à l'école (en notant toutefois que le refuser à l'école ne suffit pas : on ne doit le voir nulle part !) 

    Bernard Reynès, maire de Châteaurenard, ne veut pas - il a raison - qu'une mère d'élève accompagne, voilée, la classe de sa fille lors d'une sortie pédagogique. En face de lui se dresse le CCIF (Comité contre l'Islamophobie en France), à qui l'Inspection académique a scandaleusement donné raison.

    Mais, question : aurait-elle, cette Inspection académique, autorisé une crèche dans l'école dont il s'agit ? Poser la question c'est, évidemment, y répondre ; et c'est montrer la mauvaise foi, l'hypocrisie, la veulerie et la lâcheté de fonctionnaires douillettement installés dans leurs bureaux ; et qui capitulent devant l'Islam militant, croyant acheter ainsi la paix religieuse et/ou sociale : ce ne sont rien d'autre que des collabos...

    Il y a quelques semaines, à Bonifacio, cinq femmes voilées avaient été empêchées d'entrer dans une école maternelle de la ville par des parents - ils avaient raison - qui ne voyaient pas pourquoi - leurs propres enfants n'ayant pas le droit de porter des signes religieux distinctifs - elles pourraient, elles, entrer avec un voile ostensiblement « distinctif ».

    Le maire PS de la ville persiste à croire finaud de « dialoguer » avec l'Islam dans sa ville, et affirme être favorable à la construction d'une mosquée, pensant lui aussi, naïvement, que cela va calmer les prosélytes musulmans, et qu'il va « acheter la paix » en ouvrant toutes grandes les portes à une religion et une culture totalitaires de fait. 

    Les administrés du Maire de Bonifacio sont plus sensés que lui : aux femmes voilées, qui se « regroupaient » - comme elles disent - outrées, les habitants ont déclaré : « Si vous voulez mettre un foulard ou vous habiller long, pourquoi n'allez-vous pas au Maroc ? »

    Vox populi... 

  • Quand Macron contredit Macron...

     

    Mur-bleu gds.jpgNous critiquons suffisamment les journalistes qui confondent carte de presse et carte de parti (de gauche, évidemment) pour nous priver du plaisir qu'ils nous donnent, parfois, en apportant leur pierre à l'établissement - ou au rétablissement - de la vérité.

    Et donc, régulièrement, nous reprenons ici même tel ou tel reportage de tel ou tel journaliste (David Pujadas, Gilles Bouleau...), tout simplement parce qu'ils disent les choses, le vrai ; bref, parce qu'ils font ce qu'ils devraient toujours faire : leur travail de journaliste, d'information, sereine et impartiale.

    Voici un exemple de cette information objective, que l'on aimerait entendre plus souvent, au lieu de l'énorme rouleau compresseur de la désinformation et, disons-le tout net, du bourrage de crâne, auquel se livrent trop de journalistes sur trop de chaînes (on parle ici des radios et télévisons) : il s'agit de « L'oeil du 20 heures », une chronique quotidienne de France 2, du lundi au vendredi, présentée par David Pujadas..

    Ce jeudi soir, 27 avril, on y parle des déclarations évolutives d'Emmanuel Macron (pardon, Hollande...); c'est édifiant, et cela se passe de commentaires.

    Contradictions : Docteur Emmanuel et Mister Macron

  • Boussole anti Macron

     

    Mur-bleu gds.jpg « Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es » (Pascal) : Junker et Merkel sont pour Macron. Deux bonnes raisons d'être contre ! A fond contre !

    Hollande vote Macron, Valls prêt à travailler avec lui dans une future majorité : Macron c'est bien le gouvernement PS presque reconstitué.

    People un jour, people toujours ! : Sarko allait au Fouquet's, le banquier Macron va à La Rotonde avec Arditti, Attali, Bern, Line Renaud..
     
    Dans l'inconscient collectif, le symbolique, il y avait « Sarko le Fouquet’s », « Fillon les costards », voilà « Macron La Rotonde » : lamentable !
     
    Excellente remarque de Bourdin à Gérard Collomb, soutien de Macron, sur « la platitude absolue de sa réaction dimanche soir ». Réponse de Gérard Collomb ? La voix de son maître : rien... 
     
    La Mafia blanchit l'argent des trafics, Macron recycle les ratés, les faillis, les vieux chevaux de retour de la classe politicienne usée jusqu'à l'os... 
     
    Deux infos, une bonne et une mauvaise. La mauvaise : Macron c'est Hollande pour cinq ans encore. La bonne : en pire, c'est impossible... Et, en plus, même pas sûr !
     
    Le pays légal et ses privilèges : contre le FN ! Nous, révolutionnaires du chaos explosif des conservateurs du désordre : tous contre Macron ! 
  • Le grand n'importe quoi de Mourad Boudjellal

    Mourad Boudjellal - Emmanuel Macron 

     

    Mur-bleu gds.jpgVous ne serez pas étonné, après avoir lu ce qui va suivre, d'apprendre que l'énergumène de la pensée politique (?) dont nous allons parler ait été, durant la pitoyable campagne présidentielle que nous vivons, un soutien actif d'Emmanuel Hollande, et que le sieur Boudjellal - puisque c'est de lui qu'il s'agit - s'est placé, bien visible, au premier rang de l'assistance lors de son meeting au Zénith, à Toulon : mais, est-ce bien étonnant, de la part du personnage ?

    Vous ne serez pas étonné non plus de savoir, qu'après l'indécent bling-bling de La Rotonde - qui n'a attiré aucun commentaire désobligeant de sa part - il ait repris illico son bâton de pèlerin après le premier tour, au service, bien sûr, du même Emmanuel Macron : pas de « pudeurs de gazelles », donc, comme dirait Mélenchon, pour celui qui s'offusque tant et de tant de choses par ailleurs... 

    Mourad Boudjellal est venu à la radio pour expliquer pourquoi, après moult atermoiements, lui qui est président du Rugby Club Toulonnais, et qui voulait vendre son club, a finalement décidé de le garder, et d'en rester le président.

    Bon, ce n'est pas le scoop du siècle, mais on peut revenir quelques instants sur le personnage, à travers, par exemple, cette sorte d'entretien qu'il a  accordé à France info, il y a peu, et dans lequel il s'est montré fort déplaisant (nous parlons ici au sens « politique »  du terme) : on a entendu, lors de cet entretien avec le journaliste un bonhomme fort agité, éructant que la France est minable de ne pas accueillir les migrants, leur seul tort étant  qu'ils « sont nés du mauvais côté de la Méditerranée » (sic!) ; ou bien que la France a pillé les colonies, et d'autres insanités du même tonneau, on en passe et des meilleures (ou plutôt, des pires !).

    Tout cela s'inscrit parfaitement dans le « programme macronien », si programme il y avait. Tout cela cadre bien avec l'ignoble façon dont, à l'étranger, Emmanuel Macron a osé insulter la France, parlant de « barbarie » et de « crime contre l’humanité » à propos de la présence française là-bas, avant de se replier, devant le tollé, sur la grotesque formule de « crime contre l’humain », dont la seule chose qu'on puisse en dire est que, d'un point de vue de la langue, elle n'a aucun sens.

    Bien sûr, rien sur ce qui « fait » la France n'est évoqué par cet autoproclamé contempteur des turpitudes françaises : les châteaux de la Loire, les cathédrales, nos savants, musiciens, artistes philosophes et autres mathématiciens de génie. Mourad Boudjellal semble ne RIEN connaître de tout ce qui, selon le joli mot de Jean Dutourd que nous aimons rappeler, a fait cette France qui a « étonné le monde ».

    Mais, c'est logique puisque, dixit Macron, il n'y a pas de culture française ! Eh, oui, qui se ressemble s'assemble : il est parfaitement normal de trouver Monsieur Boudjellal au premier rang des partisans de quelqu'un qui aime aussi peu la France dans sa réalité charnelle et historique que monsieur Macron...

    Au fait, si la France est si minable, pourquoi Mourad Boudjellal y vit-il ?...

    Enfin, cerise sur le gâteau : « et, d’ailleurs », ajouta, mi-lyrique - mi en transe, notre président enragé « je suis citoyen du monde ».

    Ça, c'est la meilleure ! Citoyen du monde ! Il y a une question - pour nous en tenir aux trivalitiés - qu'on aimerait bien lui poser, à ce « citoyen du monde » : « Elle est où, par exemple, votre Sécu ? Quand vous avez des soins dentaires, une hospitalisation ou quoi que ce soit dans ce domaine, qui est-ce qui vous remboursera vos frais ? La Sécu du monde ? Vous pouvez passer l’adresse ? » 

  • Histoire & Patrimoine • Le réveil de Chambord

     

    823330531.jpgOn se souvient du souhait par lequel Jean-François Mattei conclut son magistral Le Regard vide, Essai sur l'épuisement de la Culture européenne (citation tirée du Philèbe, de Platon) : le vœu que nous sachions retrouver « le chemin qui conduit chez nous ».

    La beauté sauvera le monde, disait, non sans raison, Dostoïevski. Et notre dernier Grand Texte (dernier pour l'instant, pas dernier tout court) est le superbe message de Pierre Boutang à la jeunesse de France, l'incitant à ne pas aller chercher ailleurs ses modèles et son salut, mais, bien plutôt, à se replonger dans les origines de notre Histoire, de notre jeunesse française. Ce que, au fond, Jean-Paul II disait à sa façon, lorsqu'il incitait ses publics : « retrouvez les intuitions de vos origines ».

    Face à tant de laideurs dans notre société, pour une fois le service public apporte sa pierre. On le critique assez souvent, ici même, mais à chaque fois que l'on peut en tirer quelque chose de bon, nous n'hésitons pas à le signaler. Voici donc que, durant toute la deuxième semaine d'avril, le JT de 13 heures de France 2 nous a proposé un excellent feuilleton, nous ramenant à l'une des grandes époques de notre Histoire, pour nous raconter le réveil de Chambord. En l'occurrence, celui de ses magnifiques jardins à la française, dessinés sous Louis XIV et qui avaient disparu à la Révolution, comme tant d'autres merveilles - qui, elles, ne reviendront jamais.

    On a en effet décidé de restituer à l'identique cette merveille dont la Révolution nous avait privés : et c'est cette résurrection que nous raconte le feuilleton de France 2, qui se passe de tout autres commentaires. 

     


    Le réveil des jardins du château de Chambord (1/5)

     


    Feuilleton : le réveil des jardins du château de Chambord (2/5)

     


    Feuilleton : le réveil de Chambord (3/5)

     

     
    Feuilleton : le réveil de Chambord (4/5)

     


    Feuilleton : le réveil de Chambord (5/5)

  • Le génie du Christianisme

     

    Mur-bleu gds.jpgC'est le 14 avril 1802 que Chateaubriand fit paraître cet ouvrage magistral. Nous sommes donc un peu en retard pour signaler cet événement - l'actualité et notre campagne électorale, si nulle et si misérable, en sont la cause - mais il convient d'y revenir, afin de montrer combien cet ouvrage est de plus en plus d'actualité, aujourd'hui.

    Pourquoi ?

    A cause de la déchristianisation galopante, voulue et organisée par un Régime et un Système sans roi et sans Dieu – selon la définition de Jules Ferry - car ils se pensent comme la nouvelle religion républicaine, dont le but premier est de remplacer « l’autre », la traditionnelle, bref la chrétienne. Et donc, dans cette guerre à mort quotidienne qui lui est livrée depuis les Encyclopédistes, le Christianisme nous arrive aujourd'hui - malgré d'incontestables signes de santé... - considérablement affaibli, au moment où, pour la troisième fois, l'Islam agresse l'Europe.

    Les Encyclopédistes, leurs héritiers révolutionnaires, et la république idéologique d'aujourd'hui, héritière de l'une et des autres, portent donc une immense responsabilité dans cette fragilité de la France et de l'Europe, au moment où s'oppose à elles une religion - pour paraphraser de Gaulle - « sûre d'elle et dominatrice ».

    Quand Chateaubriand fit paraître son ouvrage, on sortait de la Révolution elle-même, et de son entreprise aussi inouïe qu'insensée de démolition du Christianisme. Le livre eut un succès considérable, et ne contribua pas peu au sursaut des consciences, et au renouveau spirituel du XIXème siècle.

    C'est un peu - toutes proportions gardées - au même sursaut des consciences, et au même renouveau spirituel que nous devons tendre aujourd'hui, face à un Islam conquérant, alors que, précisément, la nouvelle religion républicaine, qui a fait tant de mal à toutes les traditions constitutives de la France, est elle-même en piteux état : on peut même dire que sa seule et dernière force est la force d'inertie, et qu'elle ne tient plus debout que par le simple effet de cette seule force d'inertie. Parce qu'elle est là, qu'elle a la chance d'être au pouvoir, et c'est tout. 

    Aujourd'hui comme hier, c'est à un réarmement moral et spirituel de la France (pensons à Saint-Exupéry...) qu'il faut œuvrer. Et c'est là qu'une œuvre écrite il y a deux siècles trouve toute sa plus brûlante actualité.

    Aujourd'hui comme en 1802 - c'est Chateaubriand qui parle - « il est temps qu'on sache enfin à quoi se réduisent ces reproches d'absurdité, de grossièreté, de petitesse qu'on fait... au christianisme, il est temps de montrer que, loin de rapetisser la pensée, il se prête merveilleusement aux élans de l'âme... »

    Et aujourd'hui aussi, comme en 1802, il faut l'affirmer haut et fort, surtout face aux prétentions d'un Islam d'autant plus arrogant qu'il sent la faiblesse, le vide, le rien en face de lui :

    « ...De toutes les religions qui ont jamais existé, la religion chrétienne est la plus poétique, la plus humaine, la plus favorable à la liberté, aux arts et aux lettres. Le monde moderne lui doit tout, depuis l'agriculture jusqu'aux sciences abstraites, depuis les hospices bâtis pour les malheureux jusqu'aux temples élevés par Michel-Ange et décorés par Raphaël. Il n'y a rien de plus divin que sa morale, rien de plus aimable, de plus pompeux que ses dogmes, sa doctrine et son culte ; elle favorise le génie, épure le goût, développe les passions vertueuses, donne de la vigueur à la pensée, offre des formes nobles à l'écrivain et des moules parfaits à l'artiste. »

    Le Génie du Christianisme ? Un livre pour le temps présent, à lire d'urgence, et à diffuser sans modération...