Zemmour/C News : Bolsonaro, le peuple, les juges.
(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
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(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
Que chacun désire persévérer dans son être est une proposition compréhensible. Ce principe d’inertie appliqué à l’homme fait désirer à chacun une vie terrestre éternelle. Peut-être ce désir sera-t-il comblé pour quelques-uns dans l’avenir, avec la possibilité d’entretenir la machine par quelques révisions et changement de pièces nécessaires.
Nous vous parlions récemment des aveux rétrospectifs de Roland Dumas, 99 ans, qui confessait au micro du journaliste Darius Rochebin que faire l'Europe avait été la "grande erreur" de la Mitterrandie. Michel Onfray a voulu se pencher plus avant sur le cas de cet homme de l'ombre devenu eurosceptique sur le tard.
Franck Melloul, PDG et fondateur d'i24 News, fait le point sur la situation en Israël, au micro d'André "Bercoff dans tous ses états".
Les Joe Biden, comme les Macron, qui se croient élus pour diriger le monde, porteront la responsabilité de leur politique. Ils n’en paieront jamais le prix. Comme leurs prédécesseurs. C’est la loi de la démocratie.
(Un ami lecteur résidant aux Etats-Unis nous écrit, et propose un tout autre regard sur le retrait des Etats-Unis de l'Afghanistan...)
J'ai lu les articles d'Antoine de Lacoste, de Radu Portocala ou de Patrice de Plunkett sur ce qui s'est passé en Afghanistan, et qui tous trois parlent de "défaite américaine". Je ne partage pas DU TOUT ce point de vue relayé chez les Maurrassiens.
Patrice Franceschi, journaliste et reporter international, auteur de “S’il n’en reste qu’une” publié chez Grasset, parle sans détour de l’enfer vécu par les femmes kurdes face à Daech.
C’est sous les yeux consternés du monde entier que les troupes américaines ont quitté l’Afghanistan après vingt ans d’opération. La fin de ce rêve américain de l’extension de la démocratie par les armes au monde entier ?
(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
Pour parler le langage d’Audiard, les citoyens ne seraient-ils que des “caves”, les militaires que des “canards sauvages”, et les politiciens que des “malfaisants” ? Le choeur de la bienpensance hurle au complot dès que ce genre d’hypothèse se pointe dans les esprits, mais si le complot est difficile à établir, le soupçon, lui, s’enfle à vue d’oeil.
Le catéchisme, pour se tourner vers notre patrie céleste.
© Pascal Deloche / Godong
Si la chute de Kaboul et le retour du régime des talibans en Afghanistan font figure de symbole au goût de cendres, c’est qu’ils manifestent un coup d’arrêt brutal à la volonté occidentale d’imposer ses valeurs au monde, vingt ans après les attentats du 11-septembre, lorsque l’Amérique s’était réveillée sous le choc, bien décidée à « aider » ce pays à progresser vers la démocratie.
Sans doute fatigués d’être experts en maladies infectieuses, les accros des réseaux sociaux jouent maintenant aux experts de l’Afghanistan... pour dire à peu près tous la même chose. Mais il y a deux points essentiels dont on ne parle guère :