Sur le Cercle Richelieu, Nomos TV, l'entretien EXCLUSIF.
Nous vous retrouvons pour une émission en compagnie de Alexandre Cormier Denis de Nomos TV :
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Nous vous retrouvons pour une émission en compagnie de Alexandre Cormier Denis de Nomos TV :
Julien est atteint d'une très lourde fibromyalgie depuis plusieurs années et qui lui provoque d'intenses crises de douleurs. Ce syndrome est encore mal reconnu et difficilement soignable, ce père de famille cherche à le faire reconnaître comme une maladie, pour qu'elle soit mieux prise en charge par l'assurance maladie.
Avec cette courte vidéo de 2'44, l'esprit de la Légion...
https://twitter.com/neotvofficiel/status/1388003933470216198?s=20
Quand on relit Aristote, aujourd’hui, et c’est un exercice que je ne saurais trop recommander, on mesure l’actualité de son propos. Tout ce qui est permanent est actuel. Aristote dit – ainsi parlait Thomas d’Aquin, « Aristoteles dixit » – que la vertu de justice est le cœur des cités bien gouvernées et que cette vertu ne réside pas dans une proclamation, mais dans un exercice permanent. Autrement dit, il est vain d’écrire au préambule des constitutions une « Déclaration des droits… », si la justice n’est pas concrètement et quotidiennement, rendue dans les nations ; Aristote dit : « dans la Cité ».
A un an de l’élection présidentielle, on spécule déjà sur les chances de certains candidats de remporter le second tour face à Marine Le Pen qui, selon toute vraisemblance, y figurera. S’agira-t-il d’Emmanuel Macron, crédité de dix points d’avance sur ses poursuivants ? Ou de Xavier Bertrand, avec ou sans le patronage des Républicains ?
Dans Servitude et Grandeur militaires, Vigny évoque la religion de l’honneur. “L’homme, écrit-il, sent remuer quelque chose en lui, qui est comme une part de lui-même, et cette secousse réveille toutes les forces de son orgueil et de son énergie primitive”. Les “ministres” qui ont réagi outrageusement à la lettre ouverte signée d’abord par un millier de militaires, en retraite pour la plupart, et qui sont rejoints par beaucoup d’autres, sont incapables de comprendre ce sentiment.
ENTRETIEN. Ancien officier de gendarmerie, Jean-Pierre Fabre-Bernadac est l’auteur d’une tribune appelant les gouvernants à retrouver l’honneur et le goût du patriotisme. Co-signée par des milliers d’ancien militaires, la tribune est sous le feu des critiques, suspectée d’annoncer un putsch. Quelles sont vraiment leurs intentions ?
Cérémonie de présentation et de passation du drapeau à la promotion 2018 sous la présidence du Général d'Armée François Lecointre, Chef d'état-major des Armées le samedi 25 mai 2019. © École polytechnique - J.Barande
Dans ces moments de tensions mais aussi de vérités sur ce que devient la France, loin du rêve multiculturel et mondialiste, l’appel d’anciens militaires dans une tribune publiée dans Valeurs Actuelles devient l’espoir et le salut de la gauche, qui n’attendait que ce pain bénit pour agiter son traditionnel chiffon brun et détourner le regard du réel qui la contredit. La voix du soldat, scandale pour les gauchistes, folie pour les pacifistes.
©Francois Lafite/Wostok Press France, Paris 14/02/2014 Des generaux de l armée francaise lors d une prise d armes a l Hotel des Invalides. French army general attend a military ceremony at the Invalides Hotel in Paris.
Manifestement, la lettre ouverte signée par une vingtaine d’officiers supérieurs à la retraite et publiée sur le site de Valeurs actuelles n’en finit plus de faire des vagues. À droite, pour commencer, où l’on n’a jamais été tout à fait guéri du syndrome du militaire providentiel, entre généraux Boulanger et Villiers.
« L'âge des héros rebâtira un pouvoir ; il n'est pas de grand siècle du passé qui ne se soit donné cette tâche : même aux âges simplement humains, où les familles, lassées de grandeur, confiaient à quelque César leur destin, à charge de maintenir le droit commun, le pouvoir reconstruit gardait quelque saveur du monde précédent.
Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Alexis Bachelay, Kevin Bossuet, Jérôme Dubus et Alexis Poulin.
Salvini a-t-il trahi ?
Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité politique italienne et sur le cas Salvini.
Jean d'Orléans © Kévin Guillot
Pour le Comte de Paris, il est important de commémorer le bicentenaire
Le prince Jean d’Orléans jette un regard étonnant sur Napoléon Ier et son œuvre. Loin des polémiques, l’héritier des rois de France se confie sur l’histoire et le destin commun de deux maisons réunies sous le sceau du roman national. À la veille du bicentenaire de la mort de l’empereur, le comte de Paris, descendant direct du roi Louis-Philippe, nous accorde une interview exclusive.
La révolution est physiquement un tour de cadran. Les choses sont renversées, la tête en bas puis reviennent à leur place, mais elles n’ont plus la même tête. C’est ainsi que les Blancs avaient tendance à regarder les Noirs de haut, comme des sauvages ou des enfants, corvéables à merci, dressables à volonté. Même avec humour ou avec bienveillance, le racisme était latent et en fait inconscient de Tintin au Congo jusqu’à Banania.