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Activités, Presse, Mouvement - Page 188

  • Provence : images du colloque qui vient de se tenir à Marseille avec succès ...« Election présidentielle, la défaite du peuple ? »

     

    2504458051.3.jpgCe colloque - largement annoncé tous ces jours derniers dans Lafautearousseau - s'est tenu avec succès. Tant par l'assistance, nombreuse et jeune, que par la bonne tenue de la réflexion programmée et bien menée, que par la qualité des intervenants et par l'intérêt que leurs exposés ont suscité, à quoi s'ajoutent les débats animés qui ont suivi. Il existe visiblement en Provence un groupe de jeunes intellectuels d'Action française et une capacité militante qui sont gages d'avenir et de réussite. Il est bon que cela soit dit et que cela se sache à l'Action française et au delà de l'Action française. Voilà qui contraste avec le chaos de la vie politique actuelle. Il faut aussi que cela se sache et soit pris en compte. Une vidéo est prévue. Voici déjà ici quelques images de cette journée de réflexion politique. Et patriotique, au service non d'un parti mais de la France.  LFAR 

     

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    François Davin : Ouverture du colloque [Photo 1] - Vues de l'assistance et des tables rondes [photo 2 à 5] - L'une des tables rondes : (de gauche à droite) : Antoine de Crémiers, Elie Davy, Charles de Meyer, David L'Epée  [photo 5]

  • « Tandis que la perspective de changements substantiels et positifs s’amenuise » ...

     

    Communiqué de presse 

    Élection présidentielle : la défaite du peuple ?

     

    Le samedi 4 mars, l’Action française Provence organise à Marseille un colloque intitulé « Élection présidentielle : la défaite du peuple ? ».  Bien que nous soyons monarchistes, et ne manquons jamais une occasion de rappeler la nécessité d’une alternative aux institutions de la Cinquième République, et donc à l’élection du chef de l’État, nous ne nous désintéressons pas pour autant de la vie politique de notre pays. Pour nous qui avons le souci du bien commun, il n’est en effet pas permis d’adopter la posture trop confortable du spectateur perpétuellement insatisfait. Si nous ne prenons pas part au processus électoral, nous agirons en observateurs avertis. 

    En dépit de la défiance croissante à l’égard des partis et du rejet sans équivoque de la classe politique, l’élection présidentielle continue de susciter l’intérêt des Français, qui se déplacent encore massivement à l’occasion de ce scrutin, quand l’abstention est devenue un phénomène récurrent et que les primaires ne rassemblent que les inclus et les bénéficiaires de la mondialisation. 

    Tandis que la perspective de changements substantiels et positifs s’amenuise de jour en jour, c’est tout le paradoxe de cette élection que d’exciter encore les espoirs de nombre de nos compatriotes. Ces derniers mois ont sans doute réservé certaines surprises (Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls et François Hollande ne nous contrediront pas), faisant mentir instituts de sondage et couvertures de magazine : il y a cependant tout lieu de penser que notre pays se dirige vers une élection pour rien, et que les Français seront nécessairement déçus, quel que soit le résultat. Les raisons en sont nombreuses : c’est tout l’objet de notre colloque que de les mettre en lumière. 

     

    Le service presse de l’Action française Provence

    Marseille, le 2 mars 2017 

    Contact : provence.presse@actionfrancaise.net  

  • Provence : Aujourd'hui 4 mars, Marseille, colloque « Election présidentielle, la défaite du peuple ? »

     

    COLLOQUE D'ACTION FRANÇAISE

    ELECTION PRESIDENTIELLE : LA DEFAITE DU PEUPLE ?

    PROGRAMME / SAMEDI 4 MARS  

    Première table-ronde : Un contexte politique défavorable
    animée par Charles de Meyer, assistant parlementaire de J. Bompard

     

    LA DÉMOCRATIE AU DÉFI DES NOUVELLES INITIATIVES CITOYENNES
    par Elie Davy, étudiant en journalisme et communication

     

    LA GAUCHE CONTRE LE PEUPLE
    par David L’Épée, rédacteur à Éléments

     

    LA DROITE CONTRE LE PEUPLE
    par Antoine de Crémiers, conférencier,

    conseiller éditorial de La Nouvelle Revue Universelle

     

    Deuxième table-ronde : Des fondements institutionnels viciés
    animée par Philippe Mesnard,

    rédacteur en chef de L’Action Française 2000

     

    LES LIMITES DE LA Vème RÉPUBLIQUE
    par Jean-Baptiste Collomb

    Doctorant en droit constitutionnel et Chargé d'enseignement

     

    LA SOUVERAINETÉ EN QUESTION
    par Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine

    et de de La Nouvelle Revue Universelle

     

    RESTAURER LE POLITIQUE

    FACE AUX IDEOLOGIES DE LA DECONSTRUCTION

    par Rémi Soulié, essayiste et critique littéraire

     

    Suivi d'un buffet dînatoire 

    SAMEDI 4 MARS, 15 H

    NOTRE-DAME DU LIBAN,

    5 avenue du Parc Borely, 13008 Marseille

    PAF • COLLOQUE & BUFFET DÎNATOIRE 20 €

    10 € POUR LES ETUDIANTS

    Inscriptions & renseignements : colloqueafprovence@gmail.com

    Téléphone [renseignements] : 06 08 31 54 97

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  • Lafautearousseau : 10 ans aujourd'hui !

    « Tout ça pour ça ! »

     

    2504458051.3.jpg28 février 2007 - 28 février 2017

    Lafautearousseau a dix ans aujourd’hui

     

    C'est en effet le 27 février 2007 que fut mise en ligne la première note de ce qui allait devenir notre quotidien royaliste sur le net. 

    Avec Lafautearousseau, l'Action française dispose ainsi, à nouveau, d'un moyen d’expression quotidien, et ce, pour la première fois depuis 1944, année où une période de « Terreur » dénatura et souilla la libération du territoire national et permit aussi aux « révolutionnaires » d’alors de dépouiller l’Action française de ses biens (notamment son imprimerie) et d’interdire purement et simplement la parution du quotidien fondé en 1908, qui avait été l’une des gloires de la presse française.

    Bien sûr, notre quotidien ne prétend pas lui être comparé.

    Mais, en premier lieu, à l'exemple de l'Action française, il propose tous les jours de l’année, une ligne politique claire sur tous les sujets touchant aux grands intérêts de la France, sur le double plan intérieur et international [immigration, terrorisme, économie, culture, justice, institutions, grands enjeux géopolitiques]. Cette ligne politique d’Action française nous la proposons soit directement, à travers nos propres analyses, soit en les confrontant aux articles et réflexions de différentes autres publications, en y adjoignant nos commentaires. Ainsi, nos positions se dégagent souvent de riches débats …   

    Et nous le faisons dans l’esprit de L'Action française – un esprit « réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime » (Léon Daudet). Une subversion du régime ou du Système non pour elle-même, non par esprit révolutionnaire, mais pour « restaurer [au sens de Pierre Boutang] l’ordre légitime et profond ».

    Quels sont nos autres objectifs ? A quoi servons-nous encore ? Voici :

    Contribuer à faire connaître le Prince, et notre Famille royale, rendre compte de ses activités, de sa pensée, de sa vie familiale et publique, de sa présence sur le sol français, de sa participation à la vie nationale. Pour susciter envers le Prince un courant de sympathie, d'estime et d'affection, et préparer cet appel, ce recours au Prince qui ne manqueraient pas d’apparaître nécessaires aux Français si des circonstances graves l’exigeaient. Circonstances graves dont, de toute évidence, nous ne sommes pas très éloignés.
     
    Servir de caisse de résonance aux activités royalistes partout en France. L'on s'aperçoit alors qu'il y en a beaucoup ... Lafautearousseau (ainsi que ses pages Facebook et son compte tweeter) annonce et rend compte de toute activité importante (colloque, réunion, manifestation, actions militantes, etc.) organisée par ceux que nous considérons comme des amis, c'est à dire aux deux seules conditions que les dites activités se fassent dans la fidélité à la tradition, à la pensée, à la doctrine de l'Action française, et dans la fidélité au Prince et à la Famille de France.
     
    Servir - on nous passera l'expression – de « boîte à outils » ou, pour mieux dire, de riches et précieuses archives, à tous ceux qui veulent travailler à penser clair et marcher droit, et qui peuvent piocher à volonté dans cette véritable malle au trésor, où se trouve stockée, pour aujourd’hui et pour demain, une partie importante de la mémoire, de l’héritage, de l’Action française. Et ce, sous diverses formes [grands textes, albums, vidéos anciennes et récentes, dossiers, sans compter plus de 10 000 articles et les éphémérides de chaque jour]. Nous n’en dresserons pas ici un catalogue : on en trouvera un aperçu en cliquant sur lire la suite.
     
    Servir, enfin, à maintenir une liaison, une cohésion, et donc une unité, entre membres – anciens ou nouveaux car nombreux sont ceux qui arrivent – d’une même famille d’esprit. Cet ultime service que nous tentons de rendre – avec quelque succès ! – n’est sans-doute pas le moindre.

    Au compteur, donc, pour l'instant, dix ans de militantisme au quotidien.

    Et maintenant ?

    La réponse est claire : aussi longtemps que nécessaire, on progresse et on continue !

    A Lire aussi dans Lafautearousseau

    « LA » question de fond...

    Mercredi 27 février, première note de Lafautearousseau (aujourd'hui, plus de 10 176 notes 143 56 commentaires)

    Lire la suite

  • L’Action Française aujourd’hui, un entretien avec Stéphane Blanchonnet

     

    Par Stéphane Blanchonnet 
     
    Propos recueillis par Maximilien Friche
    pour Mauvaise nouvelle, le 26.02.2017
     

    659173882.jpgStéphane, vous êtes président du Comité directeur de l'Action française, vous êtes également reconnu au sein du mouvement comme une référence doctrinale. Ma première question vient de mon propre étonnement. L'Action française existe encore ? Plus de cent après, le mouvement qui fut la première force politique française, est encore très actif. Qu’est-ce qui fait la vitalité de ce mouvement, qu’est-ce qui fait qu’il ne meurt pas ? Comment se réactualise ses combats politiques ?

    Votre question révèle un double malentendu. D'une part, l'AF si elle a été une école de pensée influente, ayant compté dans ses rangs des figures intellectuelles majeures (Bernanos, Brasillach ou Dumezil ont appartenu à l'AF, Proust, Gide ou Malraux en furent proches un moment), dotée de moyens relativement importants (comme son journal quotidien, entre 1908 et 1944), elle n'a jamais été numériquement « la première force politique » (si on la compare au Parti communiste par exemple) et, d'autre part, elle n'a jamais cessé d'exister, notamment après 1945. Elle a même été une force militante notable au moment des combats de l'Algérie française dans les années 60, ou de la résistance au gauchisme à l'université, dans les années 70. Aujourd'hui par le nombre de ses sections (plusieurs dizaines, dans la plupart des grandes villes du pays), le dynamisme de ses jeunes militants et le rayonnement de ses idées (une figure politique comme Marion Maréchal-Le Pen l'a reconnu l'an passé en répondant à notre invitation pour un colloque ; plus récemment Steve Bannon, un des proches conseillers de Donald Trump citait Maurras et sa distinction « pays réel, pays légal »), elle reste une force qui compte.

    Nos combats sont les mêmes depuis l'origine : nous sommes nationalistes, c'est-à-dire que nous défendons la nation française avant tout (son identité, sa souveraineté, son rayonnement) et monarchistes (« nationalistes intégraux » dans notre vocabulaire) car nous pensons que l'ADN politique de la France est la monarchie : les constitutions depuis 1789 tirent leur force ou leur faiblesse de leur plus ou moins grande correspondance avec cette identité politique fondamentale de la France. Aujourd'hui les combats pour la civilisation et même pour la nature humaine (menacée par la théorie du genre ou le transhumanisme) viennent s'ajouter à nos combats politiques traditionnels.

    L’Action française est un mouvement royaliste, vous sentez-vous néanmoins légitime d’agir dans une campagne pour la présidence de la république ? Comment cherchez-vous à agir ? En nourrissant le débat d’idées, en faisant campagne pour un candidat ? Quel serait le candidat le plus proche de l’AF ?

    SB : L'AF est royaliste parce que nationaliste. Elle a d'abord été républicaine, à sa fondation. Puis Maurras a convaincu les autres membres du groupe de la nécessité de restaurer l'outil capétien pour servir l'intérêt général. Mais il est évident pour nous qu'en attendant cette restauration (à laquelle nous travaillons), nous ne sommes pas indifférents à la situation du pays, encore moins quand les périls sont extrêmes. Aujourd'hui la France doit retrouver sa souveraineté, sortir de l'UE, sortir de l'OTAN ; elle doit ressaisir et assumer son identité, notamment son identité catholique ; elle doit enfin chercher les moyens d'inverser les flux migratoires par la suppression des « pompes aspirantes » et un partenariat de développement ambitieux avec les pays sources de l'immigration. Les candidats qui ont conscience de ces nécessités et les affirment comme nous sont ceux que nous pouvons soutenir. Nous allons dans les jours qui viennent faire connaître plus précisément notre position.

    Un monarque peut-il sortir de l’élection présidentielle ?

    Pourquoi pas ! Nous aimons dire à la suite de Maurras : « par tous les moyens, même légaux ! » D'ailleurs, Maurras propose parmi les modèles du coup censé restaurer la monarchie, celui du 2 décembre 1851, qui vit le prince-président, Louis-Napoléon Bonaparte, renverser la Seconde République depuis son bureau de l’Élysée où il avait été porté par les urnes trois ans plus tôt !

    Votre mouvement est nationaliste. La référence à cette notion républicaine de nation fait d’ailleurs sourire. N’auriez-vous pas troqué l’esprit contre-révolutionnaire, l’amour de la patrie, contre le service d’une France qui n’est plus qu’un avatar idéologique, un instrument de la Révolution (je pense, vous l’aurez compris à la critique que fit jean de Viguerie de votre mouvement dans son excellent livre Les deux patries*) ?

    Le mot « natio, nationis » peut déjà signifier « peuple » en latin classique. Par ailleurs, comme le montrent tous les historiens le sentiment national en France est très ancien. Nous avons l'un des plus vieux États du monde et cet État monarchique a produit le sentiment national. Certains le font remonter à Bouvines (XIIIe siècle), d'autres à la Guerre de Cent ans (XIVe-XVe siècles). La nation n'a rien de spécifiquement républicain même s'il était très à la mode de se gargariser de ce mot entre 1789 et 1799 ! Je serais plus réservé que vous sur les thèses de Jean de Viguerie, par ailleurs estimable spécialiste du XVIIIe siècle, et plus encore sur l'utilisation qui en est faite dans certains milieux. Sur la nation, je lui préfère Marie-Madeleine Martin.

    Aujourd’hui les mouvements identitaires fleurissent sur le territoire, comme symbole d’une civilisation qui refuse de mourir, d’être réduite à un sanctuaire, vous sentez-vous proches de ces mouvements ? L’AF n’a-t-elle pas un rôle fédérateur à jouer ?

    Il faut distinguer le thème identitaire et la mouvance identitaire. La conjonction du déracinement (causé par la République jacobine puis par la société du spectacle et la globalisation) et de l'immigration de masse font du thème identitaire un sujet incontournable pour le nationalisme contemporain. En revanche, il n'est pas nécessaire d'appartenir à la mouvance identitaire pour le comprendre. Cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas entretenir avec elle de bons rapports, mais que nous connaissons aussi nos différences. L'AF défend le « politique d'abord » et n'adhère pas à l'idée d'un communautarisme blanc (c'est cela d'ailleurs « réduire la civilisation à un sanctuaire »). La nationalité française ne peut se définir seulement par la race ou, à l'inverse, par le contrat social républicain (ou l'adhésion aux Lumières). Elle est essentiellement liée à la langue, à l’État, à la civilisation catholique et à la monarchie. 

    * Les deux patries

    Mauvaise nouvelle

  • Paris, ce jeudi 23 février: Conférence de Dominique Paoli sur la princesse Adelaïde d’Orléans

     

    Jeudi 23 février 2017 à 18 heures, Dominique Paoli donnera une conférence sur Madame Adélaïde  (1777-1847), sœur et égérie de Louis-Philippe Ier. Cette conférence exceptionnelle sera donnée dans la salle des mariages de la mairie du 7ème arrondissement de Paris. Cette conférence est organisée par la Société Littéraire et Artistique du 7e arrondissement de Paris

    L’historienne racontera l’incroyable histoire de la sœur cadette du Roi Louis-Philippe qui exercera un grand ascendant auprès de son frère tout au long de son règne. Fille du Duc d’Orléans (Philippe Égalité ) et de Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, la princesse Adélaïde d’Orléans apparaît aujourd’hui comme l’un des grands esprits politiques de son temps. Née en 1777 dans les ors du Palais-Royal, élevée dans les idées nouvelles par Mme de Genlis, elle voit à douze ans sa destinée bouleversée par la Révolution. Jetée sur les routes de l’exil pendant un quart de siècle, elle doit affronter l’opprobre des émigrés, qui ne lui pardonnent pas d’être la fille du régicide, et fuir constamment, de couvent en couvent, devant l’avancée des armées françaises. Confrontée à une mère « éternelle pleureuse », qui voulait régenter sa vie, elle sut s’en dégager et trouver l’âme sœur en son frère Louis-Philippe. Réunis en 1808, le duc d’Orléans et sa sœur ne se quitteront plus et formeront avec la Reine Marie-Amélie, un trio inséparable. Le rôle de la princesse dans l’acceptation du trône en 1830 par Louis-Philippe sera primordial.  

     

  • Café Histoire de Toulon, ce mercredi 22 février : « Les catholiques durant la IIe guerre mondiale ». A ne pas manquer !

     

    Le professeur d'Histoire Philippe Franceschetti exposera les difficultés des catholiques français plongés dans la tourmente de la guerre entre 1939 et 1945. Les enjeux de l’époque les ont poussés à répondre à une question de conscience : comment réagir face à l’Occupation, au régime de Vichy et à la Résistance ? Dans ce contexte, comment s’est poursuivie la vie de l’Eglise en France ? S'engager dans le vie politique et sociale sans renier leur foi devient alors un problème auquel les catholiques, clergé comme laïcs, apportent des solutions diverses. 

     

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

    Signalons en outre le texte passionnant de la causerie du mois de janvier 2017, de Danièle Masson, agrégée de Lettres classiques sur Eric Zemmour et le fait religieux. A lire ci-après. Café Histoire de Toulon  Danielle Masson.pdf

  • Paris, ce 14 février, Jacques Sapir aux Mardis de Politique magazine, un rendez-vous à ne pas manquer ...

    Les mardis de Politique magazine

    Conférence mardi 14 février 2017

    L’euro, la France, l’Europe

    par Jacques Sapir
    directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). 

    Le conférencier dédicacera son ouvrage
    Souveraineté, démocratie laïcité (éditions Michalon)

    Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
    Participation aux frais : 10 euros  - Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen
    3, rue de la Trinité 75009 Paris  Métro: La Trinité, Saint-Lazare

    Renseignements : Politique magazine, 1, rue de Courcelles, 75008 Paris
    Tél. : 01 42 57 43 22

  • Paris, ce soir 13 février, colloque de l'Association pour l'Histoire : Le naufrage de l'Europe bruxelloise

     

    Poursuivant le travail de réinformation entrepris depuis plusieurs années, l'Association pour l'Histoire organise Lundi 13 février 2017, une réunion consacrée à l'histoire de l'Union Européenne et à l'analyse des déceptions qu'elle a engagées.

    Christophe Réveillard, professeur à l'UMR Roland Mousnier de l'Université Paris IV et auteur du Dictionnaire historique et juridique de l'Union Européenne publié aux Presses Universitaires de France, dans la collection Major, présentera le personnage de Jean Monnet, ses liens avec les États Unis d'Amérique et son rôle dans la genèse de l'Europe d'après guerre.

    Christophe Beaudoin, conseiller au Parlement Européen et auteur de La Démocratie à l'épreuve de l'Union Européenne (Editions LGDJ) analysera les dérives d'une technocratie bruxelloise aujourd'hui largement coupée des peuples.

    Philippe Conrad, directeur de la Nouvelle Revue d'Histoire, se penchera sur les perspectives envisageables pour une nouvelle Europe porteuse d'un modèle de civilisation différent de celui véhiculé par la mondialisation marchande. 

  • Grenoble : ce lundi 13 février, une table ronde du Centre Lesdiguières à ne pas rater

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    Soucieux de l'état actuel de la France et de son avenir, à la veille d'échéances politiques capitales en 2017, le Centre LESDIGUIERES vous invite à une réunion le LUNDI 13 février , sous la forme d'une

     

    TABLE RONDE

     

    sur

     

    LA SOUVERAINETE NATIONALE

     

    avec les représentants locaux

     

    de Debout la France (Nicolas Dupont-Aignan)

    du Parti Chrétien Démocrate (Jean-Frédéric POISSON)

    de l'Action Française

    et du Front National (Marine Le Pen)

     

    Une introduction et une conclusion du Professeur Jean-Christophe Lévèque, économiste, permettront de planter le décor et de tirer les principaux enseignements de ces échanges.

     

    Cet événement aura lieu à partir de 20 heures au 10 place Lavalette, 1er étage et sera suivi d'un buffet. Entrée : payante (tarif réduit pour chômeurs et étudiants).

    10 place Lavalette, 38000 Grenoble - salle du 1er étage (Tram : arrêt «Notre-Dame »). CONTACT : lesdixguieres@laposte.net

  • Histoire & Militantisme • Marseille : Le souvenir du 6 février rapporté à notre lamentable actualité ...

     

    968143949.jpgLa jeune Action française Provence a commémoré le 6 février 1934, lundi dernier, place Castellane à Marseille. Et elle a eu raison de rapporter les événements de cette époque à la situation présente. En janvier et février 1934, jusqu'à la soirée sanglante du 6 février, où le régime fit tirer sur - et tuer - des Français, place de la Concorde, face au Palais Bourbon, les patriotes parisiens avaient manifesté chaque soir au cri de « A bas les voleurs ! » contre les scandales qui secouaient l'Etat. Les scandales d'aujourd'hui ne sont pas moindres; ils sont de même nature et même pires car ils mettent directement en cause un ou plusieurs candidats à la présidence de la République elle-même; ils disqualifient les Institutions. C'est ce qu'explique en termes justes le communiqué publié le 6 février au soir par Action française Provence. En invitant, par surcroît, les Français - de plus en plus nombreux - que la République rend malades, à changer de régime ! [Illustration en titre]  Lafautearousseau

     

    16463762_1094707363972688_3909062254096428178_o.jpgMarseille, le 6 février 2017

    Communiqué de presse

    Fillon, Hamon, Macron, Mélenchon : pièges à cons

    Ce soir, les militants de Marseille se sont rassemblés place Castellane, afin de rendre hommage aux ligueurs d'Action française qui ont donné leur vie pour la France le 6 février 1934. Près de quatre-vingt ans après ces événements sanglants, la corruption républicaine n'en est que plus sensible et insupportable à tous les Français. Pire encore. à deux mois de l'élection présidentielle, les différents candidats semblent moins vouloir se départager sur leur programme que par le nombre de scandales dans lesquels ils sont impliqués. Les apories du régime des partis et de la compétition pour le pouvoir étaient connues : elles ont détourné de la politique et du suffrage un nombre certain de nos compatriotes.

    Mais c'est un fait inédit auquel les événements récents nous préparent : la fonction présidentielle a permis à La Ve République d'éviter les crises mortelles malgré les turpitudes d'un personnel politique plus préoccupé de son intérêt personnel que par le service du Bien Commun ; déconsidérée par le deux derniers quinquennats, la fonction présidentielle pourrait ne pas se relever de la possible élection de candidats délégitimés avant même le sacre des urnes OMM entraînant par là-même l'ensemble des institutions à leur perte.

    L'Action française appelle les Français à ne pas se laisser envoûter par la petite musique d'un certain nombre de personnalités qui prétendent incarner la nouveauté ou la pureté - quand elles ne rêvent que d'appliquer des idéologies périmées - et à s'engager dans un véritable combat pour le redressement de notre pays. Pour que vive la France, vive le Roi !

    Le service presse de l'Action française Provence 

    Contact : provence.presse@actionfrancaise.net

  • Aix-en-Provence : Café d'actualité avec José d'Arrigo, mardi 7 février ... A ne pas manquer, c'est ce soir !

    18h45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20h30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation. Renseignements : 06 16 69 74 85

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    Café d'Actualités d'Aix-en-Provence : généralement, le premier mardi de chaque mois.

    José D'ARRIGO parlera de sa passion pour Marseille et de son dernier livre.
    Journaliste professionnel depuis 1973. Après avoir travaillé à «Var-Matin», puis au « Méridional », il a été correspondant régional du Figaro à Marseille (1981-2002) et envoyé spécial permanent du Dauphiné-Libéré (1981-2009) puis professeur de journalisme et communication à l'Isefi (Luminy) et à Aix-en-Provence (Institut supérieur de la finance) et au sein du magistère de Journalisme-Communication-Economie dirigé par Jean-Yves Naudet.
    Il est l'auteur de plusieurs ouvrages : Pouzzolane un roman paru en 1997 ; un document biographique sur la vie de Zampa ; Un essai : La maison qui brûle (Denoël) ; Marseille Mafias en 2012 (Editions du Toucan) ; Et en 2016 : Faut-il quitter Marseille ? (Editions de l'Artilleur), résultat d'une enquête minutieuse réalisée dans tous les quartiers de la ville. 

  • « Je pense à vous ce soir, Ô morts de février »

     

    AUX MORTS DE FÉVRIER 

     

    Les derniers coups de feu continuent de briller

    Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres

    Sur onze ans de retard serai-je donc des vôtres

    Je pense à vous ce soir, Ô morts de février.  

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    Robert Brasillach, 5 février 1945

    (Poèmes de Fresnes, Minuit et demi, 1945)

     

    Sur le 6 février 34, lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Pourquoi le 6 février 1934 a été stérile : l'analyse de Maurice PUJO

    Maurras a-t-il vraiment « voulu » le roi ? La réponse de Pierre Boutang

     

  • Politique magazine, numéro de février : « Le nouveau monde »

     

    Découvrez le numéro de février !

    DOSSIER : Le réveil des nations

    Printemps des peuples, retour des nations, permanence des états. La prise de pouvoir de Donald Trump et le choix d’un Brexit « dur » par Theresa May annoncent une nouvelle donne mondiale. En France, un souffle d’espoir, porté par le retour du peuple, est-il en train de se lever ? 

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

    Sommaire

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  • Mémoire [Vidéo] • A Marseille, ferveur de la messe du 21 janvier pour Louis XVI et les victimes de la Révolution

     

    Ce sont des dizaines de messes pour le roi Louis XVI qui ont été dites en France, aux Etats-Unis, en Belgique, en Roumanie, en Pologne et en bien d'autres lieux, samedi 21 janvier.

    Nous en avons annoncé ici près de quatre-vingt, auxquelles s'ajoutent toutes celles dont certainement nous n'avons pas eu connaissance. Des messes nombreuses et recueillies, mais aussi beaucoup de rencontres, conférences, débats et manifestations de diverses sortes. En ces temps de trouble et d'inquiétude, le besoin de racines, de retour aux sources, nationales et historiques, apparaît ainsi bien plus prégnant qu'aux époques d'insouciance. Ainsi ces évocations du roi Louis XVI, du martyre de la famille royale et des horreurs révolutionnaires, prend-il un tour très actuel.

    A Marseille, samedi dernier 21 janvier, à 11h30, une très belle messe, fervente et recueillie, merveilleusement chantée, a été célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, en la basilique du Sacré-Coeur en présence d'une très nombreuse assistance, et ce avant la rencontre enrichissante et réussie qui devait se tenir ensuite à Notre-Dame du Liban.

    Voici, en ce dimanche, le reportage réalisé par nos soins, sur cette très belle célébration. L'homélie qui y a été donnée - par le Père Olivier SALMERON, curé de l'ensemble paroissial Notre-Dame de La Salette à Marseille, s'y trouve intégralement. Lafautearousseau

    Messe pour le Roi LouisXVI 21 01 17 à Marseille... from Lafautearousseau on Vimeo.

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