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Activités, Presse, Mouvement - Page 184

  • Louis XVI 2018 ! Une très, très longue liste ... Et les derniers rendez-vous aujourd'hui ...

     

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    « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ». Philippe de Villiers 

    Vous trouverez ici, au fur et à mesure qu'elles seront annoncées, les messes et activités prévues dans votre région - du moins, toutes celles dont nous aurons eu connaissance. Vous aurez certainement à cœur d'y prendre part. Il ne s'agit pas de simples commémorations et votre présence, nombreuse, leur donnera leur plein sens actuel.  

    Annonces

    Nous publierons ici la liste des messes, conférences, débats et manifestations dont nous aurons eu connaissance. Une très très longue liste ...

    Les organisateurs de messes et manifestations autour du 21 janvier 2017 peuvent, d'ores et déjà, nous en communiquer les détails, pour être publiés ici. [Courriel : lafautearousseau@outlook.fr]

    VENDREDI 19 JANVIER

     Fontainebleau : 18h45, Eglise du Carmel, 6 bis Boulevard Maréchal Leclerc. 

    • Épinal : 18h30, Église Saint Antoine, 12, rue Armand Colle. 

    SAMEDI 20 JANVIER

    • Paris : 

    →11h, Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des Rois de France, Messe célébrée à la demande de l’Oeillet Blanc pour le repos de l’âme du roi Louis XVI, en présence des Princes de la Maison de France.  

    → Marche aux flambeaux, rdv à l'Eglise Saint Roch, 296 Rue Saint Honoré (1er arrdt), à 16h.

     Marseille : 

    →11h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado. La Messe, dite à la demande de la Fédération Royaliste Provençale et Action Française Provence, ainsi que du Souvenir Bourbonien, sera célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique. Une rencontre suivra l'après-midi.

    →18h30, Eglise Saint-Pie X, 44 rue du Tapis Vert.

     Saint Denis : 12h, Basilique royale.

     Toulouse : 11h, Chapelle Saint Jean Baptiste, 7 rue Antonin  Mercié.

    • Dijon : 18h15, Prieuré de la Sainte- Famille, 4 rue Pierre Thévenot.

    • Strasbourg :  16h, Cathédrale Notre-Dame.

     Toulon :

    18h30, Eglise Saint-François de Paule.

     11h, Eglise Saint Pierre ès Liens, lotissement des Oliviers, route du Val d'Ardennes.

     Amiens : 18h30, Chapelle Saint-Vincent-de-Paul, 54 ter rue Jules Barni.

     Angoulême : 11h, Eglise de Roullet .

     Saint-Raphaël - Le Trayas  : 10h30, Chapelle Sainte-Thérèse, 382 boulevard Théodore-Guichard. 

     Chambéry : 19h, Cathédrale, 6 rue Métropole.

     Montélimar : 17h, Chapelle Notre-Dame de la rose. 

     Carcassonne : 17h, Basilique Saint Nazaire et Saint Celse.

    • Fontaine-les-Dijon : 11h00, Basilique de la Maison Natale de Saint Bernard, Place des Feuillants.

    • Quimper : 9 h, Cathédrale Saint-Corentin.

     Équemauville (Calvados) : 10h, Eglise d'Equemauville.

     Louailles (Sarthe) : 11h, Eglise de Louailles.

     Butry-sur-Oise (Val d'Oise) : 10h. Rue de la Division Leclerc.

     La Gaubretière : 10h30, Chapelle de la Sainte-Famille (Ramberge).

    Coligny (Ain) : Église Saint-Martin.

     Rambouillet : 18h30, Église Saint Lubin, Place Jeanne d’Arc.

    • Nantes, 17h, dépôt de gerbe et allocutions au pied de la Colonne Louis XVI.

     Versailles  : A 19h, Messe de requiem en l'église Notre Dame des armées, 4, impasse des gendarmes.

     Béziers : 17h, Chapelle des Pénitents bleus, 4 rue du 4 septembre.

     Lectoure : 11h, Cathédrale Saint Gervais et Saint Protais.

     Merigny (Indre) : 11h, Chapelle de la Fraternité de la Transfiguration, lieu dit Le Bois.

    Belgique

     Bruxelles : 11h, Eglise du Couvent Saint-Anne, avenue Léopold-Wiener.

    • Tournai : 10h Cathédrale Notre-Dame.

    DIMANCHE 21 JANVIER

     Paris : 

    → 10h, Rassemblement Place de la Concorde (statue de Rouen, devant l'Hôtel de Crillon)...

    → 10h30, Chapelle Expiatoire, Square Louis XVI, 29 Rue Pasquier (8ème). 

    → 11h, Eglise Saint Eugène - Sainte Cécile, 4 Rue du Conservatoire (9ème).

    → 18h30, Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins (5ème)

    • Marseille : 16h30 Monastère Orthodoxe du Saint Archistratège Michel de Marseille, 2, rue Briffaut.

    • Lyon : 10h, Eglise Saint-Georges.

     Lille : 10h30, Chapelle Notre-Dame du Rosaire, 56 Avenue Emile Zola.

     Nantes : 10h, Chapelle du Christ-Roi, 88 rue d’Allonville.

    • Nancy : 10h30, Eglise Marie-Immaculée, 33 Avenue du Général Leclerc. A partir de 12h30, Fête des Rois de l'USRL et de La Lorraine Royaliste : repas à l'Auberge de Maître Marcel, angle route de Martinvaux et Maron-Chaligny (renseignements : lalorraineroyaliste@yahoo.fr ou 06 65 64 73 17).

    • Angers : 8h, Église Notre-Dame des Victoires, Place Imbach.

     Aix-en Provence : 10h, Chapelle des Pénitents gris, dits Bourras, 15 rue Lieutaud.

    • Brive-la-Gaillarde : 10h45, Église Saint-Paul-de Rivet, 52-58 Boulevard Roger Combe.

     Faye-d'Anjou : 11h, Prieuré Saint-Louis-Marie Grignion de Montfort, Route Chavagnes Bonnezeau.

    • Metz : 9h, Église de l'Immaculée-Conception, 47 rue des Trois Évêchés.

    • Nice :

    10H, Chapelle des Pénitents rouges (dans le Vieux-Nice).  

    10h30, Eglise Saint Paul, avenue de Pessiscart (paroisse Sainte Jeanne d'Arc).

     Salency (Oise) : 18h, Église Saint Médard

     Afa (Corse) : 10h, Prieuré Notre-Dame-de-la-Miséricorde (lieu-dit Corociole).

     Belloy-en-France : 11h, Eglise de Belloy.

     Biarritz : 11h, Eglise Saint-Martin, 4 Rue Saint-Martin.

     Villefranque (Loire Atlantique) : 10h30 Chapelle Notre-Dame des Naufragés Chemin Bellevue Z A Duboscoa.

     Chemillé (Maine-et-Loire) : 10h30O, Chapelle Saint-Joseph, 14 rue du Presbytère, à 10h30.

     Montargis : 10h, Chapelle du Château, 2 rue du Château.

     Utrecht (Pays-Bas) : 17h à Minrebroederstraat 21.

     Meudon : 9h30, Eglise paroissiale.

     Tonnay-Charente : 10h30, Eglise Saint Étienne.

     Bordeaux : 10h, Paroisse Saint- Éloi, Rue saint James - Grosse Cloche. Paroisse Saint- Éloi.

     Tonnay-Charente : 10h30, Eglise Saint Étienne.

     Verdelais (Gironde) : 15h, Notre-Dame-de-Verdelais

     La Chapelle d'Angillon (Cher) : 18h, Chapelle du château de Béthune.

     Massais : 19h30, Eglise saint Hilaire.

    Pays-Bas

     Utrecht : 17h à Minrebroederstraat 21.

    LUNDI 22 JANVIER 2018

     Paris : 19h, Paroisse Saint Eugène Sainte Cécile, Rue du Conservatoire (ème arrdt).

     Grenoble : 18h, Collégiale Saint André, Place Saint André.

    • Saint-Étienne : Chapelle Saint-bernard, 9 rue Buisson.

     Olonne-sur-Mer (Vendée) : 18h30, Chapelle du Sacré Coeur.

     Lyon : 18h30, Prieuré Saint Irénée, 23 quai Perrache.

     Perpignan : 18h30 église Saint Matthieu.

     La Rochelle : 18h30 Cathédrale Saint-Louis.

    Grande Bretagne :

    • Hainault : 18h30 (heure locale), Church of the Assumption, 98, Manford Way, Chigwell, Essex. 

    Mardi 23 janvier

     Caen : 18h45, Eglise saint Sauveur, Place Pierre Bouchard.

    • Tarbes : 18h Cathédrale Notre Dame de la Sède.

     Vannes : 18h30, Eglise Saint-Patern, 2 Place Sainte Catherine.

    JEUDI 25 JANVIER

    • Mulhouse : 18h30, Église Saint-Étienne. 

    SAMEDI 27 JANVIER

     Nîmes : 11h, Eglise Saint Baudile, Place Gabriel Péri.

    • Tarascon : 18h30, Collégiale royale Sainte Marthe, en présence de S.A.R. le prince Sixte Henri de Bourbon Parme. (Repas après la messe : 06 46 33 56 95).

     Bergerac : 16h, Maison Saint-Georges.

     Lanvallay (Côtes d'Armor) : 11h, Prieuré Sainte-Anne, Avenue de Beauvais.

  • Marseille : Un 21 janvier avec Louis XVI et notre engagement pour la France d'aujourd'hui

     

    Entrée, apéro, vin chaud et buffet-dînatoire 

    Anciens 12 € - Jeunes 8 €

    Inscriptions et renseignements par courriel ou par téléphone 

    Courriel : lafautearousseau@outlook.fr 

    Téléphone : 06 08 31 54 97

    Règlements de préférence par PayPal (Noter : « Louis XVI »)

     
    ou règlement sur place.
     
    Le nombre de places étant limité, il est conseillé de s'inscrire au plus tôt.
    A noter qu'il ne sera pas envoyé d'invitations par poste. Pour s'inscrire ou se renseigner, prière d'utiliser téléphone ou courriel.
    A faire suivre, diffuser, transmettre ... Merci.
     
  • Paris ce vendredi 19 janvier, Frédéric Rouvillois au Cercle de Flore

     Renseignements : cercledeflore@actionfrancaise.net

     

    Calendrier du Cercle de Florecalendrier.png

  • Grenoble : ce lundi 15 janvier, au Centre Lesdiguières, projection du film « Gustave Thibon, Il était Une Foi ». A ne pas rater

    Le catholicisme a-t'il encore un avenir ? La disparition d'une ancienne croyance est-elle programmée ? Comment vivre à l'ère de la communication avec une vérité absolue dont le propre est d'être de plus en plus incommunicable ? Une vérité d'autant plus difficile à transmettre que le choix est désormais entre la faiblesse d'un Dieu désarmé et la puissance de l'homme magnifiée par la science et la technique. Quelle est donc cette religion nue « où l'attente du miracle fait place à l'adoration du mystère » ?
    En faisant dialoguer le philosophe, le conteur, le théologien que fût Gustave Thibon avec lui-même, ce film restitue l'inquiétude des chrétiens confrontés depuis le milieu du XXe siècle à une mutation technique, culturelle et anthropologique sans précédent.
    Plus qu'une méditation, à voix haute, il fait entrer en résonance les images et la parole, la musique et le verbe pour tenter d'ouvrir d'autres "chemins vers l'invisible".
    Par delà l'ascèse d'un esprit qui nous entraîne dans une ascension vertigineuse, ce documentaire pose aussi la question du coût de la sortie du religieux pour une société qui ne veut plus connaître que des « icônes » ou des idoles.
    La projection de ce film sera suivie d'un échange présentant la vie, l'oeuvre et les grandes intuitions de ce philosophe paysan de St Marcel d'Ardèche, qui était notre guide et notre ami.
    Nous partagerons ensuite la galette des Rois et évoquerons en ce début d'année nos voeux pour notre patrie, la France le monde et nos proches.

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

  • Paris ce mardi 9 janvier, Jean des Cars aux Mardis de Politique magazine, une conférence à ne pas rater ...

     

    Rendez-vous à partir de 19 h 00 - Conférence à 19 h 30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare

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    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22

  • Café Actualité d'Aix-en-Provence, prochaine réunion ce mardi 9 janvier. A ne pas manquer !

     

    Précarisation croissante du travail.
    Paupérisation de la classe moyenne.
    Fin de la fonction sociale des grandes entreprises uniquement préoccupées
    des résultats financiers.
    Centrifugeuse immobilière qui éloigne les familles des centres urbains….
    Démobilisation et résignation.

    Venez en débattre dans le cadre de la préparation du colloque sur ces questions politiques essentielles, qui se tiendra le 21 avril à Marseille.

     

    18 h 45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20 h 30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation.

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    La soirée s'achèvera par un dîner réunissant les participants qui le souhaitent. 

    Inscriptions et renseignements: 06 16 69 74 85

  • Politique magazine vient de paraître : « Décentralisation »

     

    Et c'est un excellent numéro de Politique magazine, après les livraisons du dernier trimestre 2017. Nous publierons dans les prochains jours les analyses d'Hilaire de Crémiers. LFAR

    Au sommaire de ce nouveau numéro :

    UN DOSSIER : DECENTRALISATION, libertés locales et représentation 

    UNION EUROPEENNE : Désunion

    MONDE FINANCIER : les risques s'accumulent

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

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    S’abonner à Politique magazine

  • Provence : Annonce du prochain banquet des Camelots du Roi et autres activités. Qu'on se le dise !

     

    IMG.jpgLa date du prochain banquet des Camelots du Roi de Provence a été fixée au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus. La participation des anciens des Camelots du Roi à ce prochain banquet du samedi 17 février 2018, est vivement souhaitée.  

    Signalons encore, s'agissant des prochaines dates à retenir :

    Decapitation-Louis-XVI.jpgLe 21 janvier 2018 tombant un dimanche, la Messe pour le roi Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution sera célébrée à Marseille le samedi 20 janvier à 11 h. Une rencontre suivra, l'après-midi. Toutes précisions utiles seront données dans Lafautearousseau prochainement.   

     

    2433366972.jpgUn colloque d'Action Française se tiendra à Marseille le samedi 21 avril et le 150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera commémoré le lendemain, dimanche 22 avril 2018. Un programme détaillé suivra. Les deux journées seront organisées par Action Française Provence.

    Que l'on se le dise et que l'on retienne ces dates dès à présent !  

  • Café Actualité d'Aix-en-Provence, prochaine réunion mardi 9 janvier. A ne pas manquer !

     

    L’équipe du Café Actualité vous adresse ses meilleurs vœux pour vous, votre famille, la Provence et la France. 

    Notre prochaine réunion aura lieu mardi 9 janvier à 19 h et sera consacrée à la question sociale et ses métamorphoses.

    18 h 45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20 h 30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation.

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    La soirée s'achèvera par un dîner réunissant les participants qui le souhaitent. 

    Inscriptions et renseignements: 06 16 69 74 85

  • Marseille : un ami nous a quittés

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgNous avons appris avec peine le décès d'Alain Bourrit, membre de longue date de l'Action française. 

    Bourrit.jpgIl avait rejoint l'Union Royaliste Provençale peu avant Mai 68, à Marseille, où il a passé sa vie. Alain Bourrit était professeur de lettres, sa culture était vaste, ses centres d'intérêt variés. A la fin des années 60, il avait participé au camp Maxime Real del Sarte. Il a animé à Marseille et dans la région de nombreux cercles d'études ; il participait aux rassemblements royalistes de Montmajour et des Baux de Provence ; il y a quelques années encore, il avait donné plusieurs conférences aux Cafés politiques de Lafautearousseau [Photo ci-contre] : l'on en trouve trace sur Viméo.

    Nous perdons un vieil ami dont nous garderons le souvenir fidèle. Lafautearousseau et l'Union Royaliste Provençale présentent à son épouse et à sa famille leurs amicales condoléances. 

    Alain Bourrit était Camelot du Roi. 

    Rendez-vous ce jour à 15 heures au funérarium du cimetière Saint-Pierre, à Marseille.

  • Café Histoire de Toulon, ce mercredi 20 décembre avec Alain Vignal

     

    En clôture de sa seconde année d'activités culturelles, le Café Histoire de Toulon rappelle la causerie du 20 décembre 2017 par Alain Vignal, sur le thème : Comprendre les fête calendales et illustrée par Dominique Struyve à partir d'un texte de Frédéric Mistral.

    Noel arrive ! Connaissez-vous les fêtes calendales ? Savez vous que les provençaux appellent Royaume (Lou Reiaume) la galette des rois ? Dans notre société en perte d'identité, vous êtes curieux de mieux comprendre les racines de la Provence. Alors venez écouter Alain Vignal, membre de l'Académie de Toulon, qui vous expliquera les racines chrétiennes des fêtes calendales tandis que notre fidèle amie Dominique Struyve vous fera découvrir un extrait des très belles mémoires de Mistral. Alors vous pourrez reprendre notre vieux chant de Joie :

    De buon matin, ai rescountra lou trin,
    De très grand rèi qu'anavoun en vouiage...
     

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

  • Bordeaux ce mercredi 13 décembre une conférence de Laurent Dandrieu à ne pas rater : Eglise et immigration

     

    Laurent Dandrieu ose poser les questions

    « Le catholicisme est-il condamné à devenir un « autrisme » qui sacrifie le plus proche au plus lointain, un universalisme béat, destructeur des nations et des identités particulières ? Est-il enchaîné par la logique évangélique à une sorte d’angélisme de la charité, ne se souciant plus des conséquences de ce qu’il préconise, au risque de l’autodestruction de ceux qu’il encourage à l’accueil ? Ou bien existe-t-il la possibilité d’un autre discours qui, sans renier ses impératifs de la charité, sauvegarderait aussi les droits des peuples et les identités européennes ? »

    Nous vous invitons à venir écouter son analyse et à échanger sur ce sujet qui relève du Bien commun, le mercredi 13 Décembre à l’Athénée de Bordeaux.

    Bernard Pascaud

    A diffuser sans modération

     

  • Paris ce mardi 12 décembre, Charles de Meyer aux Mardis de Politique magazine, une conférence à ne pas rater ..

     

    Rendez-vous à partir de 19 h 00 - Conférence à 19 h 30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare

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    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22

  • Grenoble : ce lundi 11 Décembre, conférence de Dolorine de Boschère au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

     

    Tout le monde connait ce vieil adage qui sous-entend que l’histoire est pensée d’un seul point de vue et utilisée à des fins politiques voire idéologiques. A la suite de la longue tradition des chroniques hagiographiques du Moyen-âge, le XIXe siècle crée le Roman National, récit idéologisé de l'Histoire de France.

    En sommes-nous sortis? Un coup d’oeil sur les programmes d’Histoire de l’Education Nationale nous prouve une fois encore que l’enseignement de l’Histoire sert un but politique. Est-il possible d'envisager un enseignement de l'Histoire neutre? L'Histoire, clé de voûte de notre identité, doit elle forcément être instrumentalisée pour créer ou détruire le sentiment national ? Quelle est la frontière entre mythe et réalité en Histoire ? C'est à ces questions que nous tenterons de répondre.  

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    centreslesdiguieres@laposte.net



  • Le libéralisme est-il un totalitarisme ?

     

    Par Elie Collin

    Cette intéressante réflexion est parue sur le site de l'excellente revue Limite -  revue de combat culturel et politique, d’inspiration chrétienne - que nous ne voudrions pas manquer de signaler aux lecteurs de Lafautearousseau. Cette revue nous paraît contribuer utilement au combat politique et culturel en cours parmi les intellectuels français, dans une direction qui est, au sens noble, celle de la Tradition. En outre la revue indique qu'« en sa qualité de lycéen, Elie est le cadet de [ses] contributeurs... mais n'en est pas moins talentueux. » On le lira avec d'autant plus d'empathie.  LFAR 

    Le libéralisme qui avait promis de libérer l’individu semble, en fait, ne rien faire d’autre que de le soumettre toujours davantage à la logique du marché. Cette promesse mensongère tout comme son ambition de créer un homme nouveau, adapté à ses exigences, soulignent sa proximité avec la logique totalitaire.

    Probablement y a-t-il plusieurs types de libéralisme. Par exemple, Jean-Claude Michéa, philosophe et historien des idées, établit un développement de la pensée libérale en trois étapes, trois « vagues », correspondant à trois expériences historiques douloureuses sur lesquelles se sont interrogés les philosophes libéraux : les guerres de religion pour les premiers libéraux, la Révolution française pour Constant et Tocqueville, les totalitarismes nazi et communiste pour Hayek et Friedman. Il est alors intéressant de constater que ce développement historique est surtout un déploiement idéologique : les penseurs successifs tirent progressivement les conclusions des axiomes des précédents et approfondissent la logique de départ. Étudier le libéralisme tel qu’il est aujourd’hui, c’est donc essentiellement se reporter aux derniers développements de cette logique, en l’occurrence ceux du philosophe autrichien Friedrich Hayek (1899-1992). Le libéralisme tel que l’a conçu Hayek, non ex nihilo mais en héritant d’une longue tradition, n’est sans doute pas le seul possible, mais il est celui qui a le plus influencé notre époque.

    L’exemple le plus significatif de cette influence est l’étude de sa pensée qu’a menée Michel Foucault à partir de la fin des années 1970, alors que le libéralisme économique connaissait un regain d’intérêt intellectuel. Foucault pense une rupture entre le libéralisme classique et le néolibéralisme, rupture qui semble en réalité plus un déploiement logique et une radicalisation du libéralisme classique qu’une refondation théorique complète. Le plus petit dénominateur commun des deux libéralismes est la volonté de réduire l’État. Mais, alors que le libéralisme d’un Locke combattait l’État, institué, au nom d’un ordre antépolitique et naturel et d’une loi divine, le libéralisme de Hayek oppose à l’État l’ordre du marché et la loi économique. Le néolibéralisme pose que le marché est la seule instance régulatrice de la société ou que, dit avec les termes de Hayek dans Droit, législation et liberté, « c’est l’ordre du marché qui rend possible la conciliation pacifique des projets divergents ». Ainsi le néolibéralisme prétend-t-il résoudre le problème politique… par sa dilution.

    Foucault remarque que l’ennemi principal du néolibéralisme est la philosophie politique traditionnelle en tant qu’elle cherche le commun. Mais les néolibéraux refusent justement la recherche de commun et se refusent à ce qui leur paraît « limiter la multiplicité des modes d’existence pour produire de l’ordre, de l’unité, du collectif », ainsi que l’écrit le philosophe foulcadien, Geoffroy de Lagasnerie dans La dernière leçon de Michel Foucault. Ce dernier met en évidence une opposition centrale dans la pensée hayekienne, celle entre conservatisme et néolibéralisme : le premier se caractérise par une « prédilection pour l’autorité » et une « hantise du spontané », quand le second prône le désordre, l’immanence, le pluralisme et l’hétérogénéité. « Le néolibéralisme impose l’image d’un monde par essence désorganisé, d’un monde sans centre, sans unité, sans cohérence, sans sens », affirme Lagasnerie dans son explicitation de la pensée de Foucault. Radicalisant le slogan plaintif des libéraux « On gouverne toujours trop », Foucault demande malicieusement : « Pourquoi gouverner ? ». Il n’est dès lors pas étonnant qu’il voit dans le néolibéralisme de Hayek l’instrument d’une critique, en tant qu’il est « l’art de n’être pas tellement gouverné ». L’intérêt de Foucault pour ce système de pensée nouveau doit se comprendre dans la rupture qu’il induit avec la philosophie politique, en ce sens qu’il crée « des instruments critiques extrêmement puissants, permettant de disqualifier le modèle du droit, de la Loi, du Contrat, de la Volonté générale ». Foucault étudie ensuite les théories de l’homo oeconomicus, « être ingouvernable », en remplacement du sujet de droit, de l’homo juridicus, lequel est « un homme qui accepte la négativité, la transcendance, la limitation, l’obéissance ». En somme, Foucault trouve dans le néolibéralisme, qu’il comprend comme une théorie de la pluralité, un outil redoutable contre le politique.

    Il apparaît que le néolibéralisme peut en fin de compte être assimilé à un anarchisme, si on entend par ce terme un refus – et un combat – de tout pouvoir politique. Mais il n’est pas un refus de toute norme, une littérale an-archie, en ce qu’il est soumission au marché. On peut même aller jusqu’à affirmer, avec le philosophe contemporain Jean Vioulac, que le libéralisme est un totalitarisme.

    Il est vrai qu’historiquement, comme nous le soulignons en début d’article, le libéralisme hayekien est apparu comme alternative aux totalitarisme nazi, fasciste et communiste. Le fascisme italien revendiqua même ce terme de totalitarisme et le théoricien fasciste Giovani Gentile pouvait souligner l’écart entre libéralisme et totalitarisme : « Le libéralisme met l’État au service de l’individu ; le fascisme réaffirme l’État comme la véritable réalité de l’individu. […] Dans ce sens, le fascisme est totalitaire. » Mais une telle acception de la notion de totalitarisme semble trop étriquée et ne permet pas de rendre compte de la diversité de ses formes. Tâchons avec Jean Vioulac, auteur de La Logique totalitaire, de penser l’essence du totalitarisme.

    Philosophiquement, le concept de totalitarisme désigne « le pouvoir de la Totalité ». « Il y a totalitarisme quand une Idée à prétention universelle dispose d’une puissance totale lui permettant de se produire elle-même par l’intégration en elle de toute particularité », écrit le philosophe. Le libéralisme est-il une idéologie totalisante capable de s’auto-réaliser ? Pour Hayek, le marché est un ordre certes non-naturel, mais auto-généré, autonome, dit « spontané », « résultat de l’action d’hommes nombreux mais pas le résultat d’un dessein humain ». Même s’il n’est pas élaboré par la raison, le marché est rationnel, mais d’une rationalité immanente, résultat d’une évolution, d’une sélection des pratiques efficientes et rationnelles, c’est-à-dire de la concurrence. Vioulac peut écrire : « la doctrine du marché procède d’une conception de l’évolution humaine comme avènement du marché universel, par le biais d’un processus inconscient et involontaire de la part des individus ». Alors que la philosophie de l’Histoire hégélienne se basait sur une théorie de la ruse de la raison historique, celle de Hayek pense l’Histoire comme avènement du marché, fondé sur une « ruse de la raison économique ». Mais alors, il n’y a plus de liberté individuelle, mais seulement une apparence de liberté. L’individu se croit libre mais n’est qu’indépendant des autres, parce déterminé et soumis aux mécanismes du marché. Le libéralisme est une idéologie de la soumission, non de la liberté. D’ailleurs, Hayek note effectivement dans La Route de la servitude : « C’est la soumission de l’homme aux forces impersonnelles du marché qui, dans le passé, a rendu possible le développement d’une civilisation qui sans cela n’aurait pu se développer ; c’est par cette soumission quotidienne que nous contribuons à construire quelque chose qui est plus grand que nous pouvons le comprendre. » Ce système est « un totalitarisme volontaire, un totalitarisme autogéré, où chacun se soumet à la Totalité avec d’autant plus d’enthousiasme qu’il est persuadé de ne servir que ses propres intérêts ».

    Il est logique que le néolibéralisme s’attaque au pouvoir politique, lequel ne peut qu’entraver les mécanismes marchands. Mais il n’est pas un laissez-faire passif pour autant : il est d’abord un transfert de souveraineté de l’État au marché, en cours de réalisation sous la forme des politiques de privatisation et de libéralisation. Plus profondément et dès 1938, Walter Lippmann écrit que le libéralisme est « une logique de réajustement social rendue nécessaire par la révolution industrielle ». Le but ultime de l’action néolibérale est ici explicite : créer un homme nouveau, un homo œconomicus, parfaitement adapté au marché. Pour ce faire, et Vioulac l’expose méthodiquement, les instruments sont nombreux, de la publicité au « pouvoir de la Norme » (Michel Foucault) en passant par la libération des pulsions sexuelles, savamment étudiée par Dany-Robert Dufour dans La Cité perverse. Le néolibéralisme « soumet chaque individu à la discipline managériale qui lui impose l’entreprise comme modèle de réalisation d’un soi préalablement défini comme producteur-consommateur », continue Vioulac. « Il contribue ainsi à l’institution du marché comme Totalité et s’emploie à détruire tout ce qui viendrait entraver sa puissance de totalisation ».

    On finira sur un fragment posthume de 1880 de Nietzsche que Vioulac met en exergue au début de son chapitre sur le totalitarisme capitaliste qui résume ce nouveau type d’aliénation, dénoncé sans relâche, dans des styles différents, par des Pasolini ou des Michéa : « La grande tâche de l’esprit mercantile est d’enraciner chez les gens incapables d’élévation une passion qui leur offre de vastes buts et un emploi rationnel de leur journée, mais qui les épuise en même temps, si bien qu’elle nivelle toutes les différences individuelles et protège de l’esprit comme d’un dérèglement. Il façonne une nouvelle espèce d’hommes qui ont la même signification que les esclaves de l’Antiquité. »  

    Elie Collin

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