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Activités, Presse, Mouvement - Page 183

  • Provence : Annonce du prochain banquet des Camelots du Roi et autres activités. Qu'on se le dise !

     

    IMG.jpgLa date du prochain banquet des Camelots du Roi de Provence a été fixée au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus. La participation des anciens des Camelots du Roi à ce prochain banquet du samedi 17 février 2018, est vivement souhaitée.  

    Signalons encore, s'agissant des prochaines dates à retenir :

    Decapitation-Louis-XVI.jpgLe 21 janvier 2018 tombant un dimanche, la Messe pour le roi Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution sera célébrée à Marseille le samedi 20 janvier à 11 h. Une rencontre suivra, l'après-midi. Toutes précisions utiles seront données dans Lafautearousseau prochainement.   

     

    2433366972.jpgUn colloque d'Action Française se tiendra à Marseille le samedi 21 avril et le 150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera commémoré le lendemain, dimanche 22 avril 2018. Un programme détaillé suivra. Les deux journées seront organisées par Action Française Provence.

    Que l'on se le dise et que l'on retienne ces dates dès à présent !  

  • Café Actualité d'Aix-en-Provence, prochaine réunion mardi 9 janvier. A ne pas manquer !

     

    L’équipe du Café Actualité vous adresse ses meilleurs vœux pour vous, votre famille, la Provence et la France. 

    Notre prochaine réunion aura lieu mardi 9 janvier à 19 h et sera consacrée à la question sociale et ses métamorphoses.

    18 h 45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20 h 30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation.

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    La soirée s'achèvera par un dîner réunissant les participants qui le souhaitent. 

    Inscriptions et renseignements: 06 16 69 74 85

  • Marseille : un ami nous a quittés

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgNous avons appris avec peine le décès d'Alain Bourrit, membre de longue date de l'Action française. 

    Bourrit.jpgIl avait rejoint l'Union Royaliste Provençale peu avant Mai 68, à Marseille, où il a passé sa vie. Alain Bourrit était professeur de lettres, sa culture était vaste, ses centres d'intérêt variés. A la fin des années 60, il avait participé au camp Maxime Real del Sarte. Il a animé à Marseille et dans la région de nombreux cercles d'études ; il participait aux rassemblements royalistes de Montmajour et des Baux de Provence ; il y a quelques années encore, il avait donné plusieurs conférences aux Cafés politiques de Lafautearousseau [Photo ci-contre] : l'on en trouve trace sur Viméo.

    Nous perdons un vieil ami dont nous garderons le souvenir fidèle. Lafautearousseau et l'Union Royaliste Provençale présentent à son épouse et à sa famille leurs amicales condoléances. 

    Alain Bourrit était Camelot du Roi. 

    Rendez-vous ce jour à 15 heures au funérarium du cimetière Saint-Pierre, à Marseille.

  • Café Histoire de Toulon, ce mercredi 20 décembre avec Alain Vignal

     

    En clôture de sa seconde année d'activités culturelles, le Café Histoire de Toulon rappelle la causerie du 20 décembre 2017 par Alain Vignal, sur le thème : Comprendre les fête calendales et illustrée par Dominique Struyve à partir d'un texte de Frédéric Mistral.

    Noel arrive ! Connaissez-vous les fêtes calendales ? Savez vous que les provençaux appellent Royaume (Lou Reiaume) la galette des rois ? Dans notre société en perte d'identité, vous êtes curieux de mieux comprendre les racines de la Provence. Alors venez écouter Alain Vignal, membre de l'Académie de Toulon, qui vous expliquera les racines chrétiennes des fêtes calendales tandis que notre fidèle amie Dominique Struyve vous fera découvrir un extrait des très belles mémoires de Mistral. Alors vous pourrez reprendre notre vieux chant de Joie :

    De buon matin, ai rescountra lou trin,
    De très grand rèi qu'anavoun en vouiage...
     

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

  • Bordeaux ce mercredi 13 décembre une conférence de Laurent Dandrieu à ne pas rater : Eglise et immigration

     

    Laurent Dandrieu ose poser les questions

    « Le catholicisme est-il condamné à devenir un « autrisme » qui sacrifie le plus proche au plus lointain, un universalisme béat, destructeur des nations et des identités particulières ? Est-il enchaîné par la logique évangélique à une sorte d’angélisme de la charité, ne se souciant plus des conséquences de ce qu’il préconise, au risque de l’autodestruction de ceux qu’il encourage à l’accueil ? Ou bien existe-t-il la possibilité d’un autre discours qui, sans renier ses impératifs de la charité, sauvegarderait aussi les droits des peuples et les identités européennes ? »

    Nous vous invitons à venir écouter son analyse et à échanger sur ce sujet qui relève du Bien commun, le mercredi 13 Décembre à l’Athénée de Bordeaux.

    Bernard Pascaud

    A diffuser sans modération

     

  • Paris ce mardi 12 décembre, Charles de Meyer aux Mardis de Politique magazine, une conférence à ne pas rater ..

     

    Rendez-vous à partir de 19 h 00 - Conférence à 19 h 30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare

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    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22

  • Grenoble : ce lundi 11 Décembre, conférence de Dolorine de Boschère au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

     

    Tout le monde connait ce vieil adage qui sous-entend que l’histoire est pensée d’un seul point de vue et utilisée à des fins politiques voire idéologiques. A la suite de la longue tradition des chroniques hagiographiques du Moyen-âge, le XIXe siècle crée le Roman National, récit idéologisé de l'Histoire de France.

    En sommes-nous sortis? Un coup d’oeil sur les programmes d’Histoire de l’Education Nationale nous prouve une fois encore que l’enseignement de l’Histoire sert un but politique. Est-il possible d'envisager un enseignement de l'Histoire neutre? L'Histoire, clé de voûte de notre identité, doit elle forcément être instrumentalisée pour créer ou détruire le sentiment national ? Quelle est la frontière entre mythe et réalité en Histoire ? C'est à ces questions que nous tenterons de répondre.  

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net



  • Le libéralisme est-il un totalitarisme ?

     

    Par Elie Collin

    Cette intéressante réflexion est parue sur le site de l'excellente revue Limite -  revue de combat culturel et politique, d’inspiration chrétienne - que nous ne voudrions pas manquer de signaler aux lecteurs de Lafautearousseau. Cette revue nous paraît contribuer utilement au combat politique et culturel en cours parmi les intellectuels français, dans une direction qui est, au sens noble, celle de la Tradition. En outre la revue indique qu'« en sa qualité de lycéen, Elie est le cadet de [ses] contributeurs... mais n'en est pas moins talentueux. » On le lira avec d'autant plus d'empathie.  LFAR 

    Le libéralisme qui avait promis de libérer l’individu semble, en fait, ne rien faire d’autre que de le soumettre toujours davantage à la logique du marché. Cette promesse mensongère tout comme son ambition de créer un homme nouveau, adapté à ses exigences, soulignent sa proximité avec la logique totalitaire.

    Probablement y a-t-il plusieurs types de libéralisme. Par exemple, Jean-Claude Michéa, philosophe et historien des idées, établit un développement de la pensée libérale en trois étapes, trois « vagues », correspondant à trois expériences historiques douloureuses sur lesquelles se sont interrogés les philosophes libéraux : les guerres de religion pour les premiers libéraux, la Révolution française pour Constant et Tocqueville, les totalitarismes nazi et communiste pour Hayek et Friedman. Il est alors intéressant de constater que ce développement historique est surtout un déploiement idéologique : les penseurs successifs tirent progressivement les conclusions des axiomes des précédents et approfondissent la logique de départ. Étudier le libéralisme tel qu’il est aujourd’hui, c’est donc essentiellement se reporter aux derniers développements de cette logique, en l’occurrence ceux du philosophe autrichien Friedrich Hayek (1899-1992). Le libéralisme tel que l’a conçu Hayek, non ex nihilo mais en héritant d’une longue tradition, n’est sans doute pas le seul possible, mais il est celui qui a le plus influencé notre époque.

    L’exemple le plus significatif de cette influence est l’étude de sa pensée qu’a menée Michel Foucault à partir de la fin des années 1970, alors que le libéralisme économique connaissait un regain d’intérêt intellectuel. Foucault pense une rupture entre le libéralisme classique et le néolibéralisme, rupture qui semble en réalité plus un déploiement logique et une radicalisation du libéralisme classique qu’une refondation théorique complète. Le plus petit dénominateur commun des deux libéralismes est la volonté de réduire l’État. Mais, alors que le libéralisme d’un Locke combattait l’État, institué, au nom d’un ordre antépolitique et naturel et d’une loi divine, le libéralisme de Hayek oppose à l’État l’ordre du marché et la loi économique. Le néolibéralisme pose que le marché est la seule instance régulatrice de la société ou que, dit avec les termes de Hayek dans Droit, législation et liberté, « c’est l’ordre du marché qui rend possible la conciliation pacifique des projets divergents ». Ainsi le néolibéralisme prétend-t-il résoudre le problème politique… par sa dilution.

    Foucault remarque que l’ennemi principal du néolibéralisme est la philosophie politique traditionnelle en tant qu’elle cherche le commun. Mais les néolibéraux refusent justement la recherche de commun et se refusent à ce qui leur paraît « limiter la multiplicité des modes d’existence pour produire de l’ordre, de l’unité, du collectif », ainsi que l’écrit le philosophe foulcadien, Geoffroy de Lagasnerie dans La dernière leçon de Michel Foucault. Ce dernier met en évidence une opposition centrale dans la pensée hayekienne, celle entre conservatisme et néolibéralisme : le premier se caractérise par une « prédilection pour l’autorité » et une « hantise du spontané », quand le second prône le désordre, l’immanence, le pluralisme et l’hétérogénéité. « Le néolibéralisme impose l’image d’un monde par essence désorganisé, d’un monde sans centre, sans unité, sans cohérence, sans sens », affirme Lagasnerie dans son explicitation de la pensée de Foucault. Radicalisant le slogan plaintif des libéraux « On gouverne toujours trop », Foucault demande malicieusement : « Pourquoi gouverner ? ». Il n’est dès lors pas étonnant qu’il voit dans le néolibéralisme de Hayek l’instrument d’une critique, en tant qu’il est « l’art de n’être pas tellement gouverné ». L’intérêt de Foucault pour ce système de pensée nouveau doit se comprendre dans la rupture qu’il induit avec la philosophie politique, en ce sens qu’il crée « des instruments critiques extrêmement puissants, permettant de disqualifier le modèle du droit, de la Loi, du Contrat, de la Volonté générale ». Foucault étudie ensuite les théories de l’homo oeconomicus, « être ingouvernable », en remplacement du sujet de droit, de l’homo juridicus, lequel est « un homme qui accepte la négativité, la transcendance, la limitation, l’obéissance ». En somme, Foucault trouve dans le néolibéralisme, qu’il comprend comme une théorie de la pluralité, un outil redoutable contre le politique.

    Il apparaît que le néolibéralisme peut en fin de compte être assimilé à un anarchisme, si on entend par ce terme un refus – et un combat – de tout pouvoir politique. Mais il n’est pas un refus de toute norme, une littérale an-archie, en ce qu’il est soumission au marché. On peut même aller jusqu’à affirmer, avec le philosophe contemporain Jean Vioulac, que le libéralisme est un totalitarisme.

    Il est vrai qu’historiquement, comme nous le soulignons en début d’article, le libéralisme hayekien est apparu comme alternative aux totalitarisme nazi, fasciste et communiste. Le fascisme italien revendiqua même ce terme de totalitarisme et le théoricien fasciste Giovani Gentile pouvait souligner l’écart entre libéralisme et totalitarisme : « Le libéralisme met l’État au service de l’individu ; le fascisme réaffirme l’État comme la véritable réalité de l’individu. […] Dans ce sens, le fascisme est totalitaire. » Mais une telle acception de la notion de totalitarisme semble trop étriquée et ne permet pas de rendre compte de la diversité de ses formes. Tâchons avec Jean Vioulac, auteur de La Logique totalitaire, de penser l’essence du totalitarisme.

    Philosophiquement, le concept de totalitarisme désigne « le pouvoir de la Totalité ». « Il y a totalitarisme quand une Idée à prétention universelle dispose d’une puissance totale lui permettant de se produire elle-même par l’intégration en elle de toute particularité », écrit le philosophe. Le libéralisme est-il une idéologie totalisante capable de s’auto-réaliser ? Pour Hayek, le marché est un ordre certes non-naturel, mais auto-généré, autonome, dit « spontané », « résultat de l’action d’hommes nombreux mais pas le résultat d’un dessein humain ». Même s’il n’est pas élaboré par la raison, le marché est rationnel, mais d’une rationalité immanente, résultat d’une évolution, d’une sélection des pratiques efficientes et rationnelles, c’est-à-dire de la concurrence. Vioulac peut écrire : « la doctrine du marché procède d’une conception de l’évolution humaine comme avènement du marché universel, par le biais d’un processus inconscient et involontaire de la part des individus ». Alors que la philosophie de l’Histoire hégélienne se basait sur une théorie de la ruse de la raison historique, celle de Hayek pense l’Histoire comme avènement du marché, fondé sur une « ruse de la raison économique ». Mais alors, il n’y a plus de liberté individuelle, mais seulement une apparence de liberté. L’individu se croit libre mais n’est qu’indépendant des autres, parce déterminé et soumis aux mécanismes du marché. Le libéralisme est une idéologie de la soumission, non de la liberté. D’ailleurs, Hayek note effectivement dans La Route de la servitude : « C’est la soumission de l’homme aux forces impersonnelles du marché qui, dans le passé, a rendu possible le développement d’une civilisation qui sans cela n’aurait pu se développer ; c’est par cette soumission quotidienne que nous contribuons à construire quelque chose qui est plus grand que nous pouvons le comprendre. » Ce système est « un totalitarisme volontaire, un totalitarisme autogéré, où chacun se soumet à la Totalité avec d’autant plus d’enthousiasme qu’il est persuadé de ne servir que ses propres intérêts ».

    Il est logique que le néolibéralisme s’attaque au pouvoir politique, lequel ne peut qu’entraver les mécanismes marchands. Mais il n’est pas un laissez-faire passif pour autant : il est d’abord un transfert de souveraineté de l’État au marché, en cours de réalisation sous la forme des politiques de privatisation et de libéralisation. Plus profondément et dès 1938, Walter Lippmann écrit que le libéralisme est « une logique de réajustement social rendue nécessaire par la révolution industrielle ». Le but ultime de l’action néolibérale est ici explicite : créer un homme nouveau, un homo œconomicus, parfaitement adapté au marché. Pour ce faire, et Vioulac l’expose méthodiquement, les instruments sont nombreux, de la publicité au « pouvoir de la Norme » (Michel Foucault) en passant par la libération des pulsions sexuelles, savamment étudiée par Dany-Robert Dufour dans La Cité perverse. Le néolibéralisme « soumet chaque individu à la discipline managériale qui lui impose l’entreprise comme modèle de réalisation d’un soi préalablement défini comme producteur-consommateur », continue Vioulac. « Il contribue ainsi à l’institution du marché comme Totalité et s’emploie à détruire tout ce qui viendrait entraver sa puissance de totalisation ».

    On finira sur un fragment posthume de 1880 de Nietzsche que Vioulac met en exergue au début de son chapitre sur le totalitarisme capitaliste qui résume ce nouveau type d’aliénation, dénoncé sans relâche, dans des styles différents, par des Pasolini ou des Michéa : « La grande tâche de l’esprit mercantile est d’enraciner chez les gens incapables d’élévation une passion qui leur offre de vastes buts et un emploi rationnel de leur journée, mais qui les épuise en même temps, si bien qu’elle nivelle toutes les différences individuelles et protège de l’esprit comme d’un dérèglement. Il façonne une nouvelle espèce d’hommes qui ont la même signification que les esclaves de l’Antiquité. »  

    Elie Collin

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  • Pour saluer la mémoire de Jean d'Ormesson

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgAvec Jean d'Ormesson disparaît cette génération de grands aristocrates libéraux qui a accompagné de son élégance et de son esprit, de son détachement et de ses passions, de sa culture et de ses talents, le déclin de la civilisation franco-européenne. 

    Tout a été ou sera dit sur Jean d'Ormesson et Aristide Leucate en a donné hier matin sur Boulevard Voltaire une évocation juste, ni trop ni pas assez élogieuse, qui mérite d'être lue. Nous la reprenons ici. 

    2864307010.jpgNotre contribution sera plus personnalisée et plus exclusive ; elle appartiendra à notre mémoire de royalistes membres de l'Action Française. Lorsque il y a autour de quarante ans les plus anciens de l'équipe qui réalise aujourd'hui Lafautearousseau publiaient le mensuel Je Suis Français, Pierre Builly et François Davin avaient rencontré Jean d'Ormesson ; il avait accepté le principe d'un entretien pour Je Suis Français et le rendez-vous se tint dans le bureau que Jean d'Ormesson occupait alors à l'UNESCO. La réception fut cordiale, l'entretien intéressant et fort long ; notre royalisme n'était ni un mystère ni un obstacle pour l'auteur d'Au plaisir de Dieu. L'entretien parut aussitôt après dans Je Suis Français.  

    Le temps de le retranscrire, Lafautearousseau le mettra en ligne sous quelques jours. Ce sera un document d'archives digne de l'intérêt de nos lecteurs et notre façon à nous de saluer la mémoire de Jean d'Ormesson.  •  Lafautearousseau

  • Café Actualité d'Aix-en-Provence ce soir mardi 5 décembre. A ne pas manquer !

     

    L''effacement du bien commun signe la mort du politique, puis celle de la société. Cette disparition n’est-elle pas la cause essentielle de notre impuissance ? Peut-on espérer restaurer le politique comme souci du bien commun ? Ce bien commun est celui qui prend en compte la nécessité de transmettre un patrimoine collectif qui est la colonne vertébrale d'une nation. Par un étrange retournement, l'idée d'un bien commun est aujourd'hui combattue comme source de violence... Il faut donc en parler. Merci de votre participation.  • 

    18 h 45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20 h 30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation.

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    La soirée s'achèvera par un dîner réunissant les participants qui le souhaitent. 

    Inscriptions et renseignements: 06 16 69 74 85

  • Politique magazine • Le numéro de novembre est paru : « Le monde en tous ses états »

     

    Publié le 25 novembre 2017 - Actualisé le 30 novembre 2017 

    Et c'est un excellent numéro de Politique magazine, après les livraisons de septembre et d'octobre. Nous publierons au courant de la semaine prochaine les analyses d'Hilaire de Crémiers. LFAR

    Au sommaire de ce numéro d'octobre :

    UN DOSSIER : CATALOGNE, causes et conséquences 

    RUSSIE : Entretien avec Artem Studennikov

    LENINE, la statue qui tombe

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

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    S’abonner à Politique magazine

  • Café Histoire de Toulon, ce mercredi 29 novembre avec l'abbé Fabrice Loiseau

     

    Spécialement pour les amis du Graal, l'abbé Loiseau a accepté d'aborder le thème de l'Islam, un défi pour l'identité chrétienne. Défi car les chrétiens ne craindraient pas de voir les églises transformées en mosquées si elles n'étaient pas aussi désertes. Défi car si l'Islam n'est pas seulement une religion mais imprègne l'ensemble de l'existence, en revanche le catholicisme est acquis au laïcisme refusant l'héritage de quinze siècles de christianisme. Défi car les chrétiens confondant philanthropie païenne et charité sont favorables à l’accueil des migrants musulmans sans se préoccuper de leur conversion. 

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

  • Film • Le documentaire « La persécution des chrétiens aujourd'hui dans le monde » projeté à Paris

     

    LA PERSÉCUTION DES CHRÉTIENS AUJOURD'HUI DANS LE MONDE. Une éradication sournoise et violente...

    210 millions de femmes, d'hommes et d'enfants, dans 50 pays, sont persécutés en raison de leur foi.

    Imaginez si, sur les 508 millions d'habitants d'Europe, les Français, les Italiens, les Allemands et les Belges étaient chaque jour en bute aux pires maltraitances : bastonnade, lapidation, tortures en tous genres, viols, emprisonnement, discrimination, assassinat. Sur simple dénonciation, pouvant à tout moment être accusés de blasphème. Et cela, dans le silence assourdissant des États, et des Commissions des droits de l'homme de l'ONU, et de l'Union européenne.

     Le film entend montrer ce que recouvre le terme générique de "persécutions" avec l'aide de témoins ; comprendre pourquoi au XXI° siècle on tue des chrétiens ; mettre à jour la faillite des États, la disparition de la liberté religieuse et de conscience, promise en 1948 avec la Déclaration universelle des Droits de l'Homme. Il tente aussi d'y voir plus clair avec la charia négatrice de la liberté religieuse, pourtant acceptée comme référence au sein des organisations internationales.

    Prenez 90 minutes de votre temps, et venez découvrir l'ethnocide qui se déroule à un jet de pierre de notre conscience. Car, si rien n'est fait pour arrêter le flot destructeur, plus tard, que restera-t-il des chrétiens en dehors des lieux sanctuarisés ? Si un tel malheur arrivait vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

    UNE SEULE SALLE A PARIS

    À compter du 15 novembre 2017

        Le complexe cinéma le LUCERNAIRE

        53, rue Notre Dame des Champs 75006 Paris

    Séances mercredi et jeudi à 20 h 30. Vendredi, samedi et dimanche :

    14 h 30 - 16 h 30 - 18 h 30 - 20 h 30

    L'on peut acheter le billet d'entrée sur Internet en tapant réservation cinéma Lucernaire.

     

  • AUJOURD'HUI DIMANCHE 19 NOVEMBRE : FILM « LA RÉBELLION CACHÉE » A GRENOBLE

     

    Le Centre Lesdiguières

    vous convie le dimanche 19 novembre à 16h à la projection du
    docudrame «La rébellion cachée» en présence du metteur en scène

    Daniel Rabourdin

    Ce film illustre le populicide vendéen souvent minimisé voire occulté par le pouvoir politique. Le peuple a été massacré par la révolution censée le libérer. Les colonnes infernales lâchées contre des simples paysans; un peuple conservateur, attaché aux libertés que l'on veut lui ôter, prêt à combattre pour les conserver.  

    La conférence sera suivie d’un débat avec le metteur en scène.
    12 place Lavalette, 38000 Grenoble - salle du 1er étage.
    (Tram: arrêt « Notre-Dame »)
    (Participation aux frais) Courriel : centrelesdiguieres@gmail.com

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  • Paris : Prochain cercle de Flore ce soir vendredi 17 novembre 


    sans-titre.pngLe cercle de Flore donne rendez-vous vendredi 17 novembre à 20 h pour une table ronde qui réunira Dimitri Kochko et Pascal Cauchy, qui tenteront de répondre à la question : « Faut il un Nuremberg du bolchevisme ? »

    Le vendredi 17 novembre à 20h, au siège de l'Action française, 10, rue Croix-des-Petits-Champs - 75001 Paris

    Metro 1 et 7 : Palais Royal - Musée du Louvre.

    Renseignements et réservations : cercledeflore@actionfrancaise.net

    Entrée : 5€