Marseille, ce soir mercredi 9 et mercredi prochain 16 mai : Deux conférences auxquelles il est important d'assister

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Au sommaire de ce nouveau numéro :
UN DOSSIER : Mai 68
REFORME CONSTITUTIONNELLE : Que veut Macron ?
MOYEN-ORIENT : Ça ne fait que commencer
Et aussi dans ce numéro… 54 pages d’actualité et de culture !
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Retrouvez dans Lafautearousseau les articles de notre série spécial mai 68 en cliquant sur le lien suivant ...
Contact : CERCLEGUSTAVETHIBON@GMAIL.COM
MARSEILLE, MERCREDI 2 MAI 20 H
Le compromis nationaliste
Contact : provence@actionfrancaise.net & 06 09 53 52 59
AIX-EN-PROVENCE, JEUDI 3 MAI,
CAFE ACTUALITE DE 18 H 45 A 20 H 30
« Les droits de l'homme, origines et postérités »
Le Festival, 1 cours Mirabeau
18 h 45 : accueil. Entrée libre. 19 h : conférence et débat.
20 h 30 : fin de la réunion.
Participation sous forme de consommation.
Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !
Inscriptions et renseignements : 06 16 69 74 85
Docteur en droit, conférencier, sociologue et historien, Pierre de Meuse collabore à de nombreuses revues et a écrit divers ouvrages dont une histoire des hérésies et un livre sur l'identité française.
François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale
Autre bonne nouvelle en marge de notre « Colloque Maurras » réussi de samedi dernier.
François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale ont en effet tous deux annoncé au cours de la soirée militante d'après-colloque que l'Action Française refaisait son unité en Provence, mettant fin à la division en deux camps (RN et CRAF) née il y a une vingtaine d'années. Cette décision est prise dans le cadre d'une évolution de même nature devant intervenir sur le plan national en 2018.
Régionalement, ce regroupement se fait au sein de l'Union Royaliste Provençale, « canal historique » de l'Action Française en Provence, sous l'autorité de Jean Gugliotta, son cinquième président depuis la fondation de l'Action Française. Sur le plan national, ce regroupement se fait au sein du CRAF et ultérieurement au sein d'une Action Française réunie.
Jean Gugliotta dirige donc désormais l'ensemble des royalistes d'Action Française de Provence. Il sera assisté de Guy Bertran en tant que vice-président et d'un adjoint pour les groupes de jeunes, Bertrand Raffaillac-Desfosse.
Cette unité reformée est gage d’une efficacité et d’un rayonnement accrus de l’Action Française en Provence.
François Bel Ker et Jean Gugliotta ont travaillé pour la bonne cause. •
* CRAF : Centre Royaliste d’Action Française
Maurras : D'illustres admirateurs et quelques grands amis ...
Retrouvez ce reportage de TV Libertés. Il s'agit de notre colloque sur Charles Maurras organisé à Marseille samedi dernier 21 avril. Au programme : dialogue avec les participants, jeunes et moins jeunes, avec des intervenants, etc. Des impressions intéressantes, des explications éclairantes : une courte vidéo à ne pas manquer. LFAR
� Retrouvez le reportage de TV Libertés au sujet... - Action française - Centre Royaliste d Action française - Lafautearousseau - Vimeo.
Lire aussi dans LAFAUTEAROUSSEAU la série d'articles consacrés à ce colloque ...
Un colloque maintenu malgré l'ultra-gauche ...
Impressions d'une participante au colloque « Charles Maurras, l'homme de la politique »
« Colloque Maurras » : Quelques images supplémentaires ...
Très bonne nouvelle : L'unité des royalistes refaite en Provence
Colloque « Maurras, l'homme de la politique » : Au-delà de la caricature, l’homme
La guerre du Mexique fut une épopée miliaire dont la France peut-être fière. Camerone en est un des nombreux témoignages. Mais au delà, il s agit d'un réel projet géopolitique français qui aurait pu modifier profondément l’histoire du continent américain et donc du monde. il y eu un temps ou la France croyait à sa dimension mondiale. Cette causerie sera aussi l'occasion de présenter la société française d’histoire du Souvenir Napoléonien. •
Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
377 avenue de la République, 83000 Toulon
La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com
François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale
Autre bonne nouvelle en marge de notre « Colloque Maurras » réussi de samedi dernier.
François Bel Ker, président du CRAF* et Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale ont en effet tous deux annoncé au cours de la soirée militante d'après-colloque que l'Action Française refaisait son unité en Provence, mettant fin à la division en deux camps (RN et CRAF) née il y a une vingtaine d'années. Cette décision est prise dans le cadre d'une évolution de même nature devant intervenir sur le plan national en 2018.
Régionalement, ce regroupement se fait au sein de l'Union Royaliste Provençale, « canal historique » de l'Action Française en Provence, sous l'autorité de Jean Gugliotta, son cinquième président depuis la fondation de l'Action Française. Sur le plan national, ce regroupement se fait au sein du CRAF et ultérieurement au sein d'une Action Française réunie.
Jean Gugliotta dirige donc désormais l'ensemble des royalistes d'Action Française de Provence. Il sera assisté de Guy Bertran en tant que vice-président et d'un adjoint pour les groupes de jeunes, Bertrand Raffaillac-Desfosse.
Cette unité reformée est gage d’une efficacité et d’un rayonnement accrus de l’Action Française en Provence.
François Bel Ker et Jean Gugliotta ont travaillé pour la bonne cause. •
* CRAF : Centre Royaliste d’Action Française
Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale ouvre le colloque avec Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine et de la Nouvelle Revue Universelle, et Christian Franchet d'Espèrey, rédacteur-en-chef
Nous retrouverons dès demain la grande actualité, l'actualité politique. Nous aurons le temps d'en traiter. Nous revenons ce lundi sur notre colloque de ce dernier samedi à Marseille.
Colloque que la gauche et l'ultra-gauche radicale prétendaient interdire par la menace ou par la force dont ils sont des habitués, et le faire annuler. Ce qui ne s'est pas produit.
Nous retraçons plus loin ces circonstances assez particulières et mouvementées parce qu'elles disent la situation de notre pays ; de notre société.
Ce ne sont pas seulement les organisateurs du colloque, mais aussi les participants, qui ont dû s'organiser - ils l'ont fait de grand coeur - pour faire face à une situation qui a quelque chose à voir avec ce qu'en France on a appelé la Terreur, car la chose et le mot ont été inventés par et dans notre pays autour de 1793.
Ce qu'a été ce brillant colloque heureusement maintenu, ce qu'est sa teneur, nous ne le dirons pas ici car une vidéo que nous mettrons en ligne assez vite et plus tard des actes seront bientôt disponibles.
Disons seulement que ce colloque a été studieux, érudit et brillant. Joyeux aussi, parce que maintenu. Et parce que les équipes de jeunes ont su le prolonger au moment des repas - de midi et du soir - en organisant avec talent et avec dévouement de somptueux buffets où la discussion et l'amitié furent à l'honneur.
De beaux moments d'unité maurrassienne dans toute sa profondeur. Il faut en remercier les organisateurs et les intervenants*.
« J'ai mes livres, j'ai mes disciples, j'ai l'avenir devant moi » avait lancé Maurras à ses indignes accusateurs de Lyon... •
* Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d'Espèrey, Stéphane Blanchonnet, Jean-Philippe Chauvin, Jean-Baptiste Donnier, Bernard Pascaud, Gérard Leclerc et Jacques Trémolet de Villers.
Entretien avec La Provence, samedi 21 avril
Les médias sont à la fois partiaux et ignorants. En particulier à notre sujet... Ils ne s'expriment sur Maurras, sur nous-mêmes, qu'à coup de clichés, toujours les mêmes, sans savoir et sans comprendre. Leur « pensée » apparaît mécanisée. Et bien-sûr leur vocabulaire aussi ; il est de ce fait totalement prévisible, parfaitement obligé, totalement répétitif d'un article l'autre. Leurs formules toutes faites, leur vocabulaire toujours identique à lui-même et dont l'on pourrait dresser un catalogue somme toute assez drôle et assez pauvre, suppléent en l'espèce à leur incompétence. Le tout est toujours malveillant.
Les médias que nous venons d'évoquer relayent en revanche systématiquement les haines et les slogans de l'ultra-gauche et des ligues dites antiracistes, en réalité antifrançaises. C'est le cas général : sur le plan national (France Inter, par exemple, qui a ouvert ses flashes d'information matinaux de jeudi et vendredi dernier sur l'indignation que notre colloque était censé soulever à Marseille. Faux !) comme sur le plan régional. Et c'est tout particulièrement le cas de La Provence, quotidien en situation de quasi monopole local, qui, quoiqu'il s'en défende, compte parmi ses rédacteurs plusieurs militants dits antifas. Situation absurde car nous ne sommes ni racistes, ni fascistes. Ils l'ignorent ou veulent l'ignorer.
Notre colloque devait se tenir à Marseille au Centre Cormier*, qui appartient à l'ordre dominicain. (Il s'agissait d'une location de salle). Alors, l'on a fait écrire pour la circonstance de vieux catholiques de gauche ou d'ex « résistants » indignés. Les « Jeunes socialistes » locaux (moins de 10 militants !) ont protesté par communiqué, l'on a interpellé l'archevêque de Marseille. Mais ce dernier a rappelé que les Dominicains sont une congrégation autonome et qu'il n'a pas autorité sur leur programmation. Et puis l'on a adressé aux pères dominicains des menaces plus agressives qui venaient des groupuscules de la gauche radicale, entraînés à les mettre à exécution dans toute la France, avec les plus extrêmes violences, contre les biens, les personnes, les forces de l'ordre et leurs adversaires politiques. Une autre forme de terrorisme dont tout le monde connaît les exactions. Les images de ces exactions sont dans toutes les mémoires. Très peu dans celle des médias... Il n'était pas impossible que le couvent soit victime d'agressions, que les messes soient troublées... En dernier ressort, les responsables des forces de l'ordre ont fait savoir qu'elles seraient trop occupées pour protéger le colloque... Le Centre Cormier, dans ce cas, avec notre parfait accord, ne pouvait plus continuer de mettre sa salle de conférence à notre disposition. Ceci fut décidé vendredi dernier à midi, pour un colloque devant s'ouvrir le lendemain matin, samedi, à 9 h 30...
Nous décrivons ce processus qui relève de la petite histoire, non par goût de l'étalage, que nous n'avons pas, mais pour pointer la situation dans laquelle notre pays, notre société, se trouvent aujourd'hui ; où en sont, chez nous, les libertés publiques et, en particulier tout simplement la liberté d'esprit et d'expression. C'est dans des circonstances analogues que les mêmes, il y a quelques semaines, avaient fait plier face à leur tapage le ministre de la Culture, Mme Nyssen, qui avait bel et bien inscrit Charles Maurras sur la liste des commémorations nationales pour 2018 et dut l'en retirer, mettre au pilon le catalogue y afférent et affronter la démission de dix des membres du Haut Comité chargé de les préparer, sur les douze qu'il comptait. Exit, d'ailleurs, le dit Haut Comité, désormais défunt.
Allions-nous plier, nous aussi, annuler le colloque, renoncer à le tenir ? C'est le bruit qui a couru. Mais ce n'était pas notre intention. Elle fut de trouver une salle de substitution**, de n'en rien dire à personne, surtout pas aux médias qui nous harcelaient de questions sur ce point précis, et de nous organiser de sorte que la totalité des inscrits, tous les participants ou presque, puissent être présents au colloque, non reporté mais seulement déplacé, le lendemain matin, avec très peu de retard, pour prendre part aux conférences et aux débats, ce qui fut tout à fait réussi. L'indignation avait changé de camp, une certaine colère s'y faisait sentir aussi, et les efforts de tous ont fait de cette journée de réflexions et d'échanges, une réussite remarquée.
Le matin même était paru sur une page presque entière de La Provence l'entretien que nous y avons donné [Gérard POL pour Lafautearousseau] et que l'on pourra tenter de lire si l'on se reporte à l'illustration en haut de page. L'article répond aux caractéristiques habituelles des publications de La Provence, telles que nous les avons évoquées plus haut. Tout l'attirail habituel y est : le titre, les substantifs, les verbes, les adjectifs, les insinuations ... Les propos que nous y tenons sont à lire - au moins pour partie - au prisme de la partialité et de la propagande médiatique ....
Le Colloque a été ouvert autour de 10 heures par Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale et Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine et de la Nouvelle Revue Universelle, en compagnie de Christian Franchet d'Espèrey son rédacteur-en-chef, devant une salle comble. •
* Rues Sainte-Victoire et Edmond Rostand à Marseille
** Novotel, avenue du Prado.
Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d'Espèrey, l'assistance
Sympathique témoignage d'une participante au colloque : Madame Jacqueline Oliva, nouvelle venue à l'une de nos réunions. Elle s'était inscrite à ce colloque pour s'informer sur Charles Maurras. Elle y est venue malgré les aventures des derniers jours et les interdits lancés par l'extrême-gauche contre la liberté d'expression. La nôtre. Elle a donc trouvé ce qu'elle cherchait. Merci pour cette réaction ! Lafautearousseau
« La salle était pleine à craquer.
Merci aux organisateurs de ce brillant colloque.
La belle France était au rendez-vous, celle de l'esprit, de la courtoisie et de l'érudition.
« C'est de Français bien éduqués et instruits que viendra le grand changement » a dit un internaute avec juste raison ; ce samedi, nous en avons eu un bel aperçu.
Même pour tout néophyte, les différents intervenants ont parfaitement bien expliqué la parole de Maurras.
Encore merci. » •
Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d'Espèrey
Une suite de brillantes interventions
Gérard Leclerc
Jean-Baptiste Donnier
Jean-Philippe Chauvin
Bernard Pascaud
Stéphane Blanchonnet
Jacques Trémolet de Villers
Nadia Furlan, professeur de Lettres modernes, à la retraite
Les parents sous-estiment le degré de folie du système éducatif de notre pays. Protégée par des média imposant la pensée unique, éliminant progressivement après mai 68 toute contradiction interne, une idéologie extrêmement politisée s'est propagée dans notre système éducatif, sans garde-fou, tels des lapins sur une île sans prédateurs vivant une surenchère
continue et hallucinante jusqu'à l'année dernière... l'actuel ministre se contentant de geler la situation, et de faire paravent en fronçant légèrement les sourcils.
Damien Berthelemy instituteur et professeur de mathématiques/sciences physiques, licencié
Oui, forcément, « c'était mieux avant », et il ne faut avoir absolument aucun scrupule à le revendiquer, à le dire haut et fort. Cependant cela ne doit pas être une excuse pour céder à une forme de paresse intellectuelle. En particulier car toute ré flexion sensée en interne sur l'éducation nous a été confisquée depuis un demi-siècle. Quelles sont les perspectives d'amélioration ? Aller plus loin dans le délire ? Espérer que de l'autonomie des établissements jaillira naturellement la solution ? Ou « faire du neuf avec du vieux » ?
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Des « indignations » peu nombreuses mais véhémentes, accusatrices, et en un sens liberticides, souvent assorties, même, de diverses menaces de violences physiques, se sont exprimées ici et là sur le fait qu'un Colloque Maurras doit se tenir aujourd'hui à Marseille.
L'affaire a été largement amplifiée par les médias qui ont parlé de Marseille comme d'une ville « indignée », prenant le sectarisme de quelques-uns pour le souci de toute une ville. Version évidemment ridicule ! Qui fait seulement le jeu des protestataires de l'ultra-gauche, soudainement transmués en indignés. relayés par le sulfureux Médiapart. Quant à leur vision de Charles Maurras, elle est faite le plus généralement de simple méconnaissance, qui les amène à reprendre de purs clichés, et parfois faite de haine ou de rancoeurs anciennes, idéologiques ou communautaristes.
Vendredi matin, à 7 h 30, France Inter a même ouvert son flash d'information de 7 h 30 sur ce sujet. Nous mettons leur reportage en ligne, ci-dessous, pour que chacun puisse en prendre connaissance. C'est, en effet, un sommet de sectarisme et de désinformation !
Mais c'est confirmé : le colloque « Charles Maurras, l'homme de la politique » aura bien lieu aujourd'hui, samedi 21 avril. •
Le colloque aura bien lieu ce samedi 21 avril de 9 h 30 à 17 h 30. On peut y venir, même si l'on ne s'y est pas encore inscrit. Voir modalités ci-dessous.
Pour les inscrits comme pour les non-inscrits se présenter devant le Centre Cormier, 35 rue Edmond Rostand, 13006 Marseille, à 9 h 30.
Colloque organisé par Lafautearousseau, la Fédération Royaliste Provençale, le Cercle de Flore et le Cercle Vauban.
Programme des interventions (9 h30 - 17 h 30)
• Modérateur : Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine et de La nouvelle Revue Universelle
• Maurras, au-delà de la caricature, l’homme, par Christian Franchet d’Espérey, rédacteur en chef de La nouvelle Revue Universelle.
• Maurras, l’homme de la liberté par Jean-Philippe Chauvin , professeur d’histoire.
• Maurras, l’homme de l’ordre, par Stéphane Blanchonnet, président du comité directeur de l’Action française.
• Maurras, l’homme de la paix par Bernard Pascaud, président de la Restauration Nationale.
• Maurras, l’homme de la cité par Jean-Baptiste Donnier, professeur de Droit.
• Maurras, l’homme de la Nation par Axel Tisserand, écrivain.
• Maurras, l’homme de l’universel par Gérard Leclerc, journaliste et écrivain.
• Maurras, l’homme du Roi par Jacques Trémolet de Villers, avocat et écrivain.
PAF 10 € - Jeunes 6 € (Entrée et pauses-café) - Déjeuner libre.
Règlements sur place, pour les personnes n'ayant pas règlé.
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T. 06 08 31 54 97