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Activités, Presse, Mouvement - Page 183

  • A voir ce dimanche ... Retour en images

     

    2293089609.14.jpgNe rajoutons pas trop de commentaires à ce qui parle de soi-même. Ce reportage (7' 35") en dit plus que les mots et les phrases.

    Il montre l'esprit et les traditions des Camelots du Roi, maintenus malgré la dissolution prononcée par le gouvernement républicain en février 1936, votée par la Chambre qui allait donner naissance peu après au funeste Front Populaire.

    Les Camelots du Roi sont destinés à servir. La France et le Roi. Jeunes et anciens s'y mêlent, y chantent les mêmes chants, partagent les mêmes convictions, les mêmes espérances. 

    Ce banquet s'est tenu à La Ciotat, samedi 17 février 2018.  •

    Merci à Paul Léonetti par qui ce clip a été réalisé. 

    Banquet des Camelots du Roi de Provence - 17/02/2018 - Lafautearousseau - Vimeo.

  • Il est encore temps de lire le numéro de février de Politique magazine : « L'homme de Davos »

     

    Et c'est un excellent numéro de Politique magazine, après les livraisons du dernier trimestre 2017. 

    Au sommaire de ce nouveau numéro :

    UN DOSSIER : LACTALIS, pourquoi et comment 

    L'IMMIGRATION : la vraie question

    RELATIONS INTERNATIONALES : le déséquilibre

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

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  • La banquet des Camelots du Roi de Provence s'est tenu samedi soir à La Ciotat

     

    1026011746.jpgCi-dessus, une première image de ce banquet sympathique et fervent, dans la tradition des Camelots du Roi, telle qu'elle s'est toujours maintenue en Provence. 

    La soirée s'est déroulée, comme il convenait, sous la présidence de Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale, l'organisation historique de l'Action Française en Provence. Il lui revenait de souhaiter la bienvenue aux participants. Guy Bertran responsable de l'Action Française Provence y est intervenu brièvement car - autre point de la tradition - il n'y a pas de discours dans les banquets de Camelots du Roi...

    Le repas et les chants ont suivi avant qu'un ancien, fils et petit-fils de Camelot ne remette l'insigne prestigieux porté par nos aînés à un jeune militant qui reprend la flambeau. « Au nom des traditions de l'Action Française, je te remets l'insigne des Camelots du Roi »... Telle est la formule consacrée.

    Les jeunes étaient d'ailleurs nombreux et dynamiques à ce banquet très réussi.  LFAR

  • Provence : Le banquet des Camelots du Roi 2018 aura lieu ce samedi 17 février. Qu'on se le dise !

     

    IMG.jpgLe prochain banquet des Camelots du Roi de Provence est fixé au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et à leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus.

    La participation des anciens des Camelots du Roi est vivement souhaitée. Les jeunes militants d'Action Française sont également bienvenus.

    Les lecteurs de Lafautearousseau qui souhaiteraient participer peuvent en faire la demande [Par courriel : lafautearousseau@outlook.fr ou téléphone : 06 08 31 54 97].

    Prix du banquet : Jeunes 15 € - Anciens : 25 €

    Règlements avant le 10 février

    Par chèque à l'ordre de la Fédération Royaliste Provençale (F.R.P. 48 rue Sainte-Victoire 13006 Marseille)

     Par PayPal en spécifiant « Banquet des Camelots du Roi »

    Le lieu du banquet sera communiqué à chaque participant dès réception du règlement.  

  • Paris ce vendredi 16 février, Jean-Michel Vernochet au Cercle de Flore ... C'est ce soir !

     Renseignements : cercledeflore@actionfrancaise.net

     

    Calendrier du Cercle de Florecalendrier.png

  • Paris , ce 13 février, Jacques Trémolet de Villers aux Mardis de Politique magazine, une soirée à ne pas rater !

     

    Rendez-vous à partir de 19 h 00 - Conférence à 19 h 30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare

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    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8° - T. 01 42 57 43 22

  • Un reportage sur la maison de Charles Maurras à Martigues aujourd'hui, dimanche sur C8. A ne pas manquer !

     

    Retrouvez ce dimanche 11 février à 19:05 dans l'émission Les Terriens du Dimanche sur C8, un reportage sur la maison de Charles Maurras à Martigues.

    Notre porte-parole en Provence, Luc Compain, était invité à s'exprimer sur ce sujet !   •

  • Le numéro de février de Politique magazine est paru : « L'homme de Davos »

     

    Et c'est un excellent numéro de Politique magazine, après les livraisons du dernier trimestre 2017. Nous publierons dans les prochains jours les analyses d'Hilaire de Crémiers. LFAR

    Au sommaire de ce nouveau numéro :

    UN DOSSIER : LACTALIS, pourquoi et comment 

    L'IMMIGRATION : la vraie question

    RELATIONS INTERNATIONALES : le déséquilibre

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

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  • Café Actualité d'Aix-en-Provence, prochaine réunion ce mardi 6 février. A ne pas manquer !

     

    Que faut-il en penser ? Régression sociale ou libéralisation du travail favorable à l'économie.?

    Venez débattre de ces questions essentielles qui feront l'objet d'un colloque en préparation.  

    18 h 45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20 h 30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation.

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    La soirée s'achèvera par un dîner réunissant les participants qui le souhaitent. 

    Inscriptions et renseignements: 06 16 69 74 85

  • Grenoble : ce lundi 5 février, conférence d'Antoine de Crémiers au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

     

    L'effacement du bien commun signe la mort du politique, puis celle de la société.

    Cette disparition n'est-elle pas la cause essentielle de notre impuissance ? Peut-on espérer restaurer le politique comme souci du bien commun ?

    Ce bien commun est celui qui prend en compte la nécessité de transmettre un patrimoine collectif qui est la colonne vertébrale de la nation.

    Par un étrange retournement, l'idée d'un bien commun est aujourd'hui combattue comme source de violence... Parlons en ..  

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

  • Paris ce vendredi 2 février, Jean-Louis Harouel au Cercle de Flore

     Renseignements : cercledeflore@actionfrancaise.net

     

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  • À bientôt

     
     
    Par François Marcilhac

     

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    Être politique, c’est refuser de se laisser submerger par l’émotion. Nul cynisme, en cela, encore moins de l’indifférence, mais la claire conscience que le devoir demeure, par-delà les aléas. Il ne s’agit pas seulement de mon dernier éditorial, ce qui, en soi, n’aurait aucune importance, même si plus de sept années passées à analyser l’actualité politique à la lumière de l’empirisme organisateur, «  selon le principe du Rempart  », aura été une tâche aussi lourde qu’exaltante ; mais, surtout, ce numéro est le dernier de L’Action Française 2000, puisque nous sommes contraints de cesser notre parution en raison de problèmes financiers que nous ne pouvons plus éluder. Cela peut paraître, en un sens, une victoire de l’oligarchie et de ceux pour qui la parole et l’action patriotes doivent absolument disparaître du paysage national. Avec la nation elle-même. Ils ont même remporté une autre victoire, cette semaine, avec le retrait de Maurras du Livre des commémorations nationales de 2018, à la suite d’une polémique qui en dit long sur l’état moral et intellectuel de nos élites autoproclamées, lesquelles font régner leur dictature sur le pays. La mutilation de la mémoire nationale, c’est évidemment celle de notre héritage, et donc de notre compréhension de nous-mêmes et, pour finir, de notre identité. Or, que cela plaise ou non, Maurras en fait pleinement partie.

    L’heure du renouveau

    Pourtant, que l’oligarchie et ses idiots utiles ne se réjouissent pas trop vite de ce qui peut apparaître au premier abord comme un recul de leurs adversaires à la fois les plus résolus et les plus conséquents. Si des raisons financières ne nous permettent plus de continuer de paraître, celles-ci ne disent rien ni de notre développement ininterrompu depuis cinq années, où nous avons vu le nombre des adhérents croître de manière exponentielle, comme en témoigne le succès sans cesse grandissant de notre université d’été et de nos actions militantes sur tout le territoire, ni, surtout, du progrès de nos idées en France, devant la déliquescence d’un régime dont le replâtrage macronien dissimule de plus en plus mal la décomposition – les dernières révélations sur l’affaire Fillon donnent la nausée en confirmant la nature de ce régime. Il nous faut tout simplement repenser notre présence politique pour accompagner notre renouveau. Comment n’entamerions-nous pas cette nouvelle étape avec exaltation l’année du cent cinquantième anniversaire de la naissance de Maurras, alors même que, une fois nettoyée de ses scories historiques – la tradition est critique –, sa doctrine demeure toujours aussi pertinente, voire d’une urgence tragique  ? Chaque jour qui passe confirme, malheureusement, la nécessité d’en finir avec un régime auquel le pays doit, depuis deux siècles, ses principaux malheurs et son érosion lente mais continue.

    Depuis sa naissance, en dépit des accidents de l’histoire, l’Action française a toujours été à la fois un journal et un mouvement politique. Les Camelots du Roi ont toujours été au centre de son action et ceux d’aujourd’hui n’ont en rien démérité de leurs aînés. Que ce soit l’occasion pour toute l’équipe de L’Action Française 2000 de saluer leur courage et leur abnégation. Ils sont le fer de lance de cette royalisation du pays sans laquelle rien ne sera jamais possible. Oui, l’année 2018 sera bien une année maurrassienne, n’en déplaise à tous les censeurs et diffamateurs de la pensée de notre maître. Notre site prend le relais – je vous y retrouverai chaque semaine. Les rédacteurs de La Nation Française, dans leur manifeste publié à la une du premier numéro, le 12 octobre 1955, déclaraient qu’ils s’efforceraient «  de résoudre chaque problème réel en fonction de l’intérêt bien entendu des Français honnêtes gens et efficaces, présents ou à venir, intérêt qui porte finalement le nom d’Intérêt national  », car «  le peuple français, qui travaille et subit le désordre établi, demeure sain dans ses profondeurs  »  ; «  sa décadence est surtout le fait de fausses élites qui l’aveuglent d’un écran de grossiers mensonges et l’étourdissent de modes et de mots  ». Avant d’ajouter  : «  Pour la plupart, les rédacteurs de ce libre journal pensent qu’une monarchie moderne, dessinée par l’expérience, sévère à toute vieillerie, serait la moins coûteuse condition de notre survie. Mais c’est le présent, la nécessité de rendre ce présent raisonnable et de créer enfin un esprit public, qui les a réunis.  » Telle sera toujours notre ambition  : parler au nom de l’intérêt commun, en vue de créer cet esprit public nécessaire à la résurrection de la patrie, tout en travaillant à la royalisation du pays, qui seule pourra donner un sens pérenne à la renaissance d’un esprit public. Comme Maurras en 1899, il nous faut toujours tenter de convaincre les Français, en premier lieu les plus sincèrement patriotes d’entre eux, de la nécessité d’incarner l’esprit public dans la personne du Roi.

    Des devoirs et des tâches

    Car aujourd’hui, assurément, fleurissent, et sont appelées encore à fleurir, ici ou là, des initiatives éditoriales qui vont dans le sens d’une telle renaissance. Nous ne pouvons que nous en réjouir, puisque ces initiatives témoignent, au milieu de la victoire apparente de tous les nihilismes, de cette contre-révolution spontanée en train d’accoucher que Maurras appelait de ses vœux. Toutefois, ces initiatives, pour si sympathiques qu’elles soient, ne vont jamais jusqu’à s’attaquer à la racine même de nos maux  : elles en sont toujours encore, malgré cent cinquante ans de décomposition continue, à chercher les conditions d’une bonne république. Comme si une bonne république n’était pas chose encore plus improbable que la réinstauration du régime qui a fait la France  ! C’est dire combien la présence de l’Action française est nécessaire, sous une forme ou sous une autre.

    «  Il n’y a que des devoirs et des tâches  »  : nous avons fait nôtre ce mot de Boutang au lendemain de la mort de Maurras. Parce que «  qui veut bien quelque chose en veut la condition  » et que «  cette condition préalable, c’est le Roi  »  ; «  pas de Roi, pas de puissance nationale, pas de garantie pour l’indépendance de la nation  »  ; «  pas de Roi, […] pas de résistance à l’étranger de l’intérieur, pas de réformes bien conduites ni sérieusement appliquées  ». Parce que «  c’est en cela précisément que réside le nationalisme intégral  »  ; «  il met en ordre les problèmes français, il permet de les comprendre, et ce qu’ils peuvent offrir de contradictoire sans lui s’accorde en lui parfaitement  »  ; alors, oui, «  la Monarchie est la condition de la paix publique  »  ; «  la Monarchie est la condition de toute renaissance de la tradition et de l’unité dans notre pays  ». Alors oui, «  c’est pour l’amour de cette unité, de cet ordre, que commence aujourd’hui notre guerre quotidienne au principe de la division et du mal, au principe du trouble et du déchirement, au principe républicain  ». Parce que cette déclaration, parue dans le premier numéro de L’Action Française quotidienne, le 21 mars 1908, n’a pas pris une ride, alors oui, nous pouvons conclure comme ses auteurs  : «  À bas la République  ! et, pour que vive la France, vive le Roi  !  » À bientôt  !    

  • Café Histoire de Toulon, ce mercredi 31 janvier avec l'abbé Christophe Beaublat

     

    Christophe Beaublat tient une chronique régulière sur l'écologie intégrale . Il s agit de : «  Prends Soin De La Création » , que l'on peut suivre sur Radio Maria. Dans la continuité de deux causeries 2017 au Café Histoire sur les alter-écologistes et sur le transhumanisme, il évoquera « La décroissance au service du Bien ? ».

    La Décroissance est un sujet à l'ordre du jour au moment ou le Président de la République vient de prendre position sur l'aéroport de Notre-Dame des Landes. La problématique de la décroissance est-elle bien comprise des Français ? Est-elle tout simplement connue ? Pour sa part l'abbé Beaublat considère que les Papes nous ont fourni TOUS les éléments nous permettant de faire face à la crise écologique dans laquelle nous nous enfonçons. Il expliquera pourquoi.  

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

  • Vive Maurras !

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    La milice de la pensée aura donc eu rapidement gain de cause : Mme Nyssen, ministre de la culture, n’écoutant que son courage, a retiré Maurras du Livre des commémorations nationales de 2018 à peine la polémique a-t-elle commencé à gonfler. 

    La France ne célébrera donc pas officiellement un de ses plus grands écrivains et philosophes politiques. Ne lui en déplaise, Mme Nyssen vient au moins de confirmer une thèse de Maurras : l’incapacité du pays légal à se réformer en sortant de ses ornières. Par cette mesure, il cherche simplement à priver le pays réel de la redécouverte d’un penseur et d’un acteur majeurs de la France du XXe siècle, que toute l’intelligence de l’époque a célébré : Proust, Apollinaire, Cocteau, Kessel, Malraux, De Gaulle ou même Lacan.

    Mais Mme Nyssen a préféré écouter les voix du politiquement correct, de l’antiracisme subventionné et de la libre pensée plutôt que celle de la pensée libre. De l’ancien Premier ministre Manuel Valls, allié pour ce mauvais coup au député de la France I’ “islamo-gauchiste” Alexis Corbière, aux inévitables chiens de garde de SOS Racisme et de la LICRA ou à Frédéric Potier, Délégué interministériel à la Lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les haines anti-LGBT (cela ne s’invente pas), le chœur des pleureuses a obtenu du Gouvernement une censure qui n’a qu’un objectif : mutiler la mémoire nationale de celui qui voyait dans le racisme son “plus vieil ennemi intellectuel” ou déclarait en 1934 : « Je le répète : il n’y a pas de plus grand danger national que l’hitlérisme et le soviétisme. À égalité ! Et ces égaux-là sont faits pour s’entendre. La carte le confirme. L’avenir le vérifiera. »

    Parce qu’en macronie on ne fait pas les choses à moitié, Mme Nyssen a également convoqué, comme un magistrat des primo-délinquants pour un rappel à la loi, les membres du Haut-comité qui a présidé au Livre des commémorations, parmi lesquels l’académicienne Danièle Sallenave et les historiens Jean-Noël Jeanneney et Pascal Ory. Iront-ils à repentance ?

    Qu’importe, au fond. Grâce aux censeurs, l’année Maurras est désormais lancée. Et l’Action française peut d’ores et déjà annoncer qu’entre rééditions chez de grands éditeurs, publications et colloques, elle sera riche.  

    Communiqué du Centre Royaliste d'Action Française