« La sale campagne » ? La seule véritable alternative ...

Source : Action française Provence
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Source : Action française Provence
Chrétiens et écologistes peuvent-ils oeuvrer ensemble face à une société de consommation dévastatrice des écosystèmes et des communautés humaines? Pour passer du Global au Local, il leur est nécessaire de regarder en face la catastrophe écologique, sans craindre d’en nommer les causes et ni de suivre l’invitation du pape François à une conversion dans notre relation à Dieu, aux autres, et à la terre. Pour les y aider, Luc Richard a dirigé le livre collectif La catastrophe écologique, fruit pourri du capitalisme, fruit d’une journée de réflexion organisée par l’Observatoire Socio-Politique diocésain de Toulon et la revue LIMITE, en écho à l’encyclique Laudato Si. Nous réfléchirons au besoin d'enracinement, déjà exprimé par Gustave Thibon, en retrouvant le terroir, le familial et revenant au LOCAL. Nous réfléchirons à la nécessité, déjà exprimée par Ivan Illich, de s'éloigner du GLOBAL de la haute finance et la grande industrie hyper-technicienne. •
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Colloque du 13 mai 2017 : REFONDER LE BIENCOMMUN
Invité d'honneur le prince Jean de France, duc de Vendôme
L'intérêt général n'est pas la somme des intérêts particuliers. L’intérêt du moment n’est pas celui de l’avenir. Comment déterminer, aujourd’hui, dans le contexte actuel mais pour les générations à venir, ce qui est bien, juste, bon, durable, efficace, légitime ? Et comment s’assurer que la société mettra en œuvre les moyens nécessaires pour atteindre le but fixé ? Comment surtout ne pas tendre vers l’utopie mais s’inscrire dans la réalité, forcément mobile, de la nature, des êtres, des gens, des communautés, des peuples, des nations ?
Introduction :
François Marcilhac, directeur politique de l’Action Française 2000
Table ronde 1 : BIEN COMMUN ET GOUVERNEMENT IDEAL
Animateur : Stéphane Blanchonnet, président du Comité Directeur de l’Action Française
Comment définir le Bien commun et peut-il être mieux servi par une forme de gouvernement que par une autre ? La participation politique des sujets sociaux à la vie de la Cité est-elle une condition, une marque du Bien commun ? Et quels sont ces sujets sociaux : personnes, familles, entreprises, associations, régions, peuples ? Ont-il tous un rôle à jouer ?
+ Guillaume Bernard, maître de conférences à l’ICES : "Le bien commun."
+ Pierre-Yves Rougeyron, directeur de la revue Perspectives Libres, Président du Cercle Aristote :" Les sujets sociaux."
Table ronde 2 : SUBSIDIARITE ET SOLIDARITE
Animateur : Guillaume de Prémare, directeur-général d'Ichtus
Le bon gouvernement ménage la liberté de chacun dans le cadre du bien commun poursuivi. Comment les individus conçoivent-ils leurs propres actions en fonction de ce bien commun, comment exercent-ils leur liberté, quelle réciprocité de services peuvent-ils ou doivent-ils mettre en place ?
+ Jacques de Guillebon, écrivain et journaliste La Nef : "Être un sujet libre."
+ Gauthier Bes, co-fondateur des Veilleurs : "Être un sujet engagé."
INTERVIEW DU PRINCE JEAN DE FRANCE.
Table ronde 3 : BIENS COMMUNS IMMEDIATS
Animateur : Philippe Mesnard, rédacteur-en-chef de L’Action française 2000
Si le bien commun doit être refondé, si la promotion de ce bien commun est nécessaire, si les formes du politique doivent être réinventées, il y a simultanément à ce chantier primordial une urgence sociale. C’est aujourd’hui que le bien commun de demain est menacé. S’engager dès maintenant, sans l’assurance de la meilleure forme politique et sans la légitimité du consentement des personnes et des communautés, est-ce déjà poser les bases, refonder ?
+ Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d'Orient : "L’urgence diplomatique."
+ Gabrielle Cluzel, écrivain et journaliste Boulevard Voltaire : "L’urgence sécuritaire."
Conclusion :
M° Jacques Tremolet de Villers, avocat et écrivain.
Informations pratiques
* Lieu : Espace Cléry, 17 rue de Clery, 75002 Paris.
* Horaires : 14h-18h - colloque - 20h-00h - banquet
* Tarifs : Colloque seul : 7€ (adhérent de l'Action française) 10€ / 20€ (soutien) Colloque + banquet : 20€ (adhérent de l'Action française) 30€ / 50€ (soutien)
Renseignements : contact@cercledeflore.fr
Rendez-vous à 10 heures, place de l’Opéra.
Le cortège marchera jusqu'à la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides. •
En date du 8 mai 2017, le CRAF (Centre Royaliste d'Action Française) a publié le communiqué suivant, avec lequel nous sommes ici en plein accord. LFAR
Le système politique fondé sur l’élection du président au suffrage universel a montré, une fois de plus et de façon particulièrement criante, ses limites et sa perversité.
Un président élu par moins de 44 % des électeurs inscrits, dont presque la moitié revendiquent un vote par défaut, ne peut pas être légitime – d’autant moins avec le programme qu’il s’apprête à mettre en œuvre, dans la continuité du quinquennat qui s’achève.
L’Action française déplore et s’inquiète de la division que cette élection a creusée au sein du peuple français. D’un côté les mondialistes, désireux de conserver leurs privilèges et totalement indifférents à la crise de civilisation que le libéralisme a engendrée et dont il s’alimente ; d’un autre côté, les souverainistes, pour qui la France signifie autre chose qu’une province européenne ou un segment de marché géographique ; d’un autre côté encore, ceux, de plus en plus nombreux, qui par leur abstention ou leur vote blanc expriment le décalage entre la classe politique et le peuple, voire rejettent et dénoncent un système en faillite.
Cette faillite, c’est son incapacité à assurer le Bien commun, qui fut la seule préoccupation de nos souverains pendant des siècles et dont la classe politique actuelle a oublié jusqu’au sens. Au sortir d’une campagne avilissante, c’est donc autour de cette notion de Bien commun que l’Action française veut remobiliser les Français, à l’occasion du colloque public organisé le 13 mai avec la participation du Prince Jean de France, et autour de la figure de Jeanne d’Arc, qui sut si bien sacrifier son intérêt personnel pour celui de la France, et discerner dans la personne du Roi le seul vecteur d’espoir et d’unité : l’Action française le réaffirmera lors de sa fête nationale, dimanche 14 mai, avec son traditionnel cortège. •
Colloque : Refonder le Bien commun
Défilé d’hommage à Jeanne d’Arc
MESSE ET CONFERENCE
pour la béatification de
Madame Elisabeth de France
en présence de Leurs Altesses Royales
le Prince et la Princesse Eudes d'Orléans
Mardi 9 Mai 2017
à la cathédrale Saint-André, place Pey Berland - Bordeaux
18h MESSE
célébrée par l'abbé Snoëk, postulateur
avec la participation de l'ensemble vocal Primo Carmine
19h CONFERENCE
Madame Élisabeth de France, sœur célibataire du roi Louis XVI, a été guillotinée, à l’âge de 30 ans, le 10 mai 1794. Sa cause de béatification a été introduite en 1953.
Par Stéphane Blanchonnet
Cette tribune a été publiée samedi dernier, dans Boulevard Voltaire, sous le titre : « Pour Marine le 7 mai, pour le roi toujours ! ». Le 7 mai est passé et l'on connaît le résultat de cette présidentielle, détestable pour la France. Stéphane Blanchonnet en indique la raison : « Aujourd’hui, (...) le pays est menacé gravement dans sa souveraineté et son identité » par cette forme de « sécession intérieure » qu'incarne Macron. Sans donner de consignes de vote formelles, selon notre règle, nous avons, nous aussi, largement exposé ici nos motifs de faire barrage au candidat postmoderne du Système, estimant nos lecteurs assez grands pour en tirer la conclusion. Macron est devenu président de la République, il sera notre adversaire ; dans tous les cas, maintenant, nous le jugerons aux actes. Stéphane Blanchonnet a surtout raison d'indiquer que notre horizon est au delà du Système : « nous ne croyons pas que le bien commun puisse être intégralement et durablement servi dans le cadre des institutions républicaines ». Formule euphémique, mais juste. C'est pourquoi, Lafautearousseau appelle ses lecteurs et amis à participer au grand colloque et au Cortège Traditionnel de Jeanne d'Arc les 13 et 14 mai. La présence du Prince Jean de France au colloque du samedi 13, sera hautement symbolique de l'horizon politique qui est le nôtre. Pour la France. Lafautearousseau
L’Action française a toujours consacré autant d’énergie à défendre l’héritage qu’à préparer le retour de l’héritier. Ses militants ont donné leurs vies par milliers pour défendre la patrie pendant la Grande Guerre et elle n’a jamais cessé, depuis, de pratiquer le « compromis nationaliste ». Comme les princes de la Maison de France, Philippe VIII et Henri VI, qui ont bravé la loi d’exil en 1914 et en 1940 pour rejoindre l’armée, l’Action française n’a jamais déserté le rempart.
Aujourd’hui, alors que le pays est menacé gravement dans sa souveraineté et son identité, il est hors de question de faire le choix de la sécession intérieure en appelant à l’abstention ou à un dérisoire vote blanc.
Nous avons pris nos responsabilités en choisissant le vote souverainiste au premier comme au second tour. Nous voterons donc sans hésiter Marine Le Pen le 7 mai.
Toutefois, nous ne croyons pas que le bien commun puisse être intégralement et durablement servi dans le cadre des institutions républicaines. Celles-ci, malgré les améliorations apportées par le général de Gaulle, favorisent toujours les clivages de classe ou d’idéologie, exploités par les partis au détriment de l’intérêt général et, trop souvent, au bénéfice d’intérêts particuliers. Le grand week-end que nous organisons autour de la fête nationale de Jeanne d’Arc (célébrée officiellement par la République chaque deuxième dimanche de mai depuis 1920 mais que l’Action française s’honore d’avoir initiée) nous donnera l’occasion de rappeler que nous sommes encore et toujours royalistes !
Le samedi 13 mai en particulier, veille du cortège traditionnel, nous nous associons avec le Cercle de Flore pour organiser un grand colloque sous le haut patronage et en présence du prince Jean de France. Les intervenants de ce colloque, qui rencontrera nous l’espérons le même succès que celui de l’an passé autour de Marion Maréchal-Le Pen, chercheront à approfondir, une semaine après le second tour, la question du service du bien commun dans son rapport avec la forme, républicaine ou royale, des institutions. •
Professeur agrégé de lettres modernes Président du Comité directeur de l'Action française [CRAF]
18h45 : accueil. Entrée libre.
19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers
20h30 : fin de la réunion.
Participation sous forme de consommation. Renseignements : 06 16 69 74 85
Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !
Café d'Actualités d'Aix-en-Provence : généralement, le premier mardi de chaque mois.
Ne ratez pas cette causerie de ce mercredi 26 avril 2017. Elle sera assurée par Monsieur Michel Masson, qui depuis Salon de Provence, anime le site de réflexion « Reseau-regain.net » et a pris la suite de la regrettée revue L'escritoire.
L’acharnement que mettent les tenants de la pensée correcte à détruire l’esprit communautaire sous prétexte de communautarisme (qui est son absolutisation), devrait nous mettre la puce à l’oreille. Leur détermination, ne montre-t-elle pas l’importance du rôle de l’esprit communautaire ? •
Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
377 avenue de la République , 83000 Toulon
La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com
par Jean-Yves Le Gallou,
Homme politique, haut fonctionnaire, président de Polémia.
Le conférencier dédicacera son ouvrage
La Tyrannie médiatique : les assassins de l’information (Via Romana)
Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
Participation aux frais : 10 euros - Etudiants et chômeurs : 5 euros
Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité Paris 9° - Métro La Trinité, Saint-Lazare
Renseignements : Politique magazine, 1, rue de Courcelles, Paris 8° - T. 01 42 57 43 22
Nous sommes trop souvent aujourd’hui réduits à la dimension de producteurs et de consommateurs, pris en otages sous le prétexte de nos besoins matériels. Les contraintes et les enjeux de la vie économique imposent trop souvent des choix politiques contraires au bon sens comme aux intérêts à long terme du bien commun national. Pourquoi cette dictature de l'économie et de l'argent? Comment parvenir à redonner à la politique sa place faite de dignité et d'autonomie au service de l'intérêt
général ? •
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Découvrez le numéro d'avril !
DOSSIER : Les fractures françaises
L’élection présidentielle permet de révéler les fractures entre les différentes catégories de populations et leurs aspirations. Avec, en arrière-plan, des enjeux de pouvoirs et de modèles de société qui reconfigurent les logiques partisanes de la Ve République. •
Et aussi dans ce numéro… 54 pages d’actualité et de culture !
Danielle Masson est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont un livre sur les nouveaux philosophes, une biographie intellectuelle de Jean Madiran, un recueil des mémoires de Gustave Thibon, la direction d'une large enquête sur les nouveaux réactionnaires et d'un livre d'entretien avec Emile Poulat, l'un des plus grands sociologues du fait religieux contemporain.
La pensée d'Eric Zemmour, de tradition juive et de culture chrétienne, développe l'incompatibilité de l'islam avec la France et dénonce la volonté de déchristianiser l'espace public au nom d'un laïcisme agressif qui est une singularité française. •
18h45 : accueil. Entrée libre.
19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers
20h30 : fin de la réunion.
Participation sous forme de consommation. Renseignements : 06 16 69 74 85
Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !
Café d'Actualités d'Aix-en-Provence : généralement, le premier mardi de chaque mois.