Justice - Page 16
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Le fichage d'individus selon leurs opinions politiques autorisé par décret.
Opinion politique, activité sur les réseaux sociaux, comportement religieux ou données de santé : autant d'éléments qui pourront désormais être collectés dans les fichiers du renseignement selon trois décrets passés sous les radars de la presse.
Recueillir une somme importante d'informations sur l'opinion politique de personnes «pouvant porter atteinte à la sécurité publique ou à la sûreté de l'Etat», des pseudos Twitter, des données de santé, des éléments de comportement religieux :
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, les délinquants étrangers peuvent-ils être raccompagnés à la frontière ?
André Bercoff reçoit Maître Jean-Marie Viala, avocat pénaliste.
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Sur Valeurs Actuelles, "Mon collègue est décrit comme un monstre" [Affaire Michel Zecler].
Sabah Z. est une ancienne collègue d'un des policiers mis à pied dans l'affaire #MichelZecler. Elle dénonce des accusations de racisme et décrit un passé sans vague de ce policier. Elle pointe aussi des images tronquées, que Loopsider n'a pas diffusées dans leur intégralité, pour lancer la polémique.
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Policiers : « En nous stigmatisant, le président se met au niveau de Mélenchon », par Aziz Zemouri.
Les policiers sont en colère après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès. Plusieurs syndicats appellent à cesser les contrôles.
Place de la République, samedi 5 décembre. Frédéric Lagache, porte-parole du syndicat Allliance-Police nationale, est venu mesurer le désarroi des forces de l'ordre après l'interview accordée par le président de la République à Brut.
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Sur TV Libertés, la parole est à la police ! - Le Zoom - Cyril Hemardinquer.
Secrétaire national du syndicat de police FPIP, Cyril Hemardinquer a servi dans la police judiciaire. Il revient sur l'affaire de l'article 24 de la loi Sécurité globale, sur les violences de certains policiers, sur l'état de l'opinion à l'égard des forces de l'ordre. Sur tous ces sujets, TV Libertés donne la parole aux policiers !
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Forces de l’ordre ou forces aux ordres : les policiers dans le piège des politiques, par Natacha Polony.
"On appelle ça un fiasco."
© Hannah Assouline"Les policiers méritent mieux que ce rôle de rempart contre le changement, qu’on essaye de leur faire jouer", affirme Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", dans son édito.
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Les « emmerdes » volent en escadrilles …, par Jacques Myard.
Ô surprise, le gouvernement découvre que les « emmerdes » volent en escadrilles. Il est vrai que la vie politique n’a jamais été un long fleuve tranquille et ne le sera jamais.
Néanmoins, il y a une grande différence entre des événements fortuits qui tracassent le politique, l’interpellent et l’alarment en survenant de manière inopinée et ceux qui s’inscrivent dans la logique de l’action gouvernementale et en sont les conséquences directes.
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Policiers : lâchés par Macron le vendredi, sauvagement attaqués par l’extrême gauche le samedi. Et après ?, par Frédéric Sirgant.
Tout a été dit sur la démagogie et l’opportunisme communautariste des propos d’Emmanuel Macron à Brut. C’est lamentable, mais inévitable de la part d’un homme politique qui n’est guidé que par le « en même temps ». Cela ne serait pas très grave si cet homme n’était pas président de la République, dans les circonstances actuelles dont il nous dit, le matin, mesurer la gravité tout en s’emballant, le soir, dans ce qui ressemble à une énième humiliation de la police.
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Quand le pouvoir laisse péricliter les forces de sécurité, par Olivier Damien.
L’interpellation (trop) musclée de Michel Zecler, ce producteur de musique rap au passé judiciaire déjà chargé, ne pouvait pas mieux tomber pour les délateurs de la loi sécurité globale. En particulier pour celles et ceux qui contestaient, au nom de la liberté de la presse, les termes de son article 24 relatif à la protection renforcée des forces de l’ordre en cas de diffusion d’images les concernant.
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Sortir du troupeau bêlant !, par Philippe Bilger.
Il n’y a pas de jour où je ne sente pas le bienfait de me qualifier de réactionnaire dans la définition que j’en donne.
Non pas la mutilation du réel, de la vie intellectuelle, de l’approche humaine mais, au contraire, leur plénitude, les ombres et les lumières, le pour mais aussi le contre, penser certes, mais savoir également penser contre soi, refuser la facilité des condamnations sommaires, des décrets expéditifs, des haines hémiplégiques.
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Sur Sud Radio, violences policières : Gérald Darmanin peut-il rester ministre de l'intérieur ?
Philippe Rossi avec Philippe Bilger, Caroline Pilastre et Jean Doridot.
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D'accord avec... Jean Messiha !
Pour les flics ayant tabassé Michel Zecler, les autorités redécouvrent soudainement la loi qu’ils n’appliquent JAMAIS à ceux qui tabassent les flics. Pour les uns détention provisoire immédiate. Pour les autres libération immédiate après rappel à la loi. -
Je n’ai pas « mal à ma France », j’ai mal pour la France…, par Gabrielle Cluzel.
Jamais le spectacle d’une France à deux vitesses ne sera apparue de façon si prégnante qu’aujourd’hui. Durant des semaines, les Français ordinaires, la France bien élevée, se sont pliés docilement sans moufter à des règles aussi ubuesques que tatillonnes auxquelles n’auraient même pas osé penser Ionesco ni Devos :
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Sur notre page facebook : "l'affaire Zecler..."
Y a-t-il une face cachée dans l'affaire Zecler ou bien est-ce tout simplement le Karma ?15 ans qu'il produit des rappeurs, vous savez ces "artistes" qui sous formes d'onomatopées inondent les ondes radios destinées aux adolescents pour exprimer leur "haine du flic", quand ils n'appellent pas clairement au meurtre de ces derniers.