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  • EN FERMANT LE CAMP D'ACCUEIL DE MIGRANTS DE MINEO, SALVINI MONTRE LA VOIE A L'EUROPE !...

    Tant que les néo-colonialistes pilleurs d'Afrique, et leur "bras armé" : les Mafieux négriers, pourront faire miroiter aux malheureux de "là-bas" les camps d'accueil en Europe, il y aura toujours des candidats au départ.
    Jean Raspail a intitulé l'un de ses romans "Le tam-tam de Jonathan" : les nouvelles vont vite en brousse ! Tant qu'on saura - ou qu'on croira, "là-bas"... - que l'Europe est "ouverte", des foules, des masses partiront... Vers l'échec, le désespoir, la misère, les taudis, la prostitution, la mort... mais elles partiront.
    Par contre, si "le tam-tam de Jonathan" leur dit que, maintenant les camps sont fermés, que les bateaux des passeurs sont coulés et que leurs passagers sont ramenés à leur point de départ, la nouvelle se répandra, là aussi, mais à l'inverse, comme une traînée de poudre...
    Tous confondus dans une hideuse alliance néo-colonialiste de fait, on voit oeuvrer de conserve :
    - les révolutionnaires (qui veulent briser les cadres nationaux historiques, qui s'opposent à leur nuées internationalistes);
    - "la fortune anonyme et vagabonde" (qui ne cherche qu'à augmenter la masse de fric qu'elle a déjà);
    - et les Mafias de "passeurs/négriers" (qui servent ces deux puissances en "se servant", évidemment, au passage).
    Si l'on veut les faire cesser vraiment, il n'y a qu'une seule façon de procéder, face à ces agissements écoeurants qui vampirisent l'avenir de l'Afrique en lui volant ses populations, lorsque des bateaux chargés de migrants apparaissent :
    1. Transférer les dits migrants sur des navires qui les ramènent à leur point de départ;
    2. Couler les bateaux qui servent cet ignoble trafic afin qu'ils servent à quelque chose et rachètent, en quelque sorte, le mal qu'ils ont fait, en servant d' "asile" aux plantes et poissons, pour la régénération de la faune et de la flore méditerranéenne...

     

    Photo d'illustration : la dernière phase d’évacuation de l'ex-plus grand centre d'accueil de demandeurs d'asile en Europe (24 hectares, 4.000 personnes) vient de s'achever : Matteo Salvini - le ministre de l'Intérieur italien - vient, ce mardi 9 juillet, "célébrer la promesse maintenue" de la fermeture du centre...

  • FORZA, SALVINI !

    Parce qu'elles sont complices de fait des négriers, parce qu'elles sont de fait un rouage de la "Traite" moderne, et parce qu'elles sont de fait assimilables aux Mafias, l'attitude des ONG en mer doit être criminalisée : instrumentaliser des vies humaines est devenu une forme du terrorisme (soi disant) humanitaire.
    C'est Salvini qui a raison : "Défendre ses frontières nationales n’est pas un droit, mais un devoir"...

     

     

  • Encore un mensonge d'Etat : les fermetures d'écoles se multiplient, surtout en milieu rural...

    "Nous ne fermerons pas d'écoles jusqu'en 20223 : la promesse d’Emmanuel Macron faite le 25 avril 2019 lors de sa conférence de presse de conclusion du Grand débat ne sera pas tenue.
    En fait, elle était assortie d’un petit astérisque en bas de page : "pas de fermeture sans l’accord des maires”. 
    Résultat: 362 établissements, ruraux pour la plupart, ne rouvriront pas à la rentrée...

    Selon une enquête du ministère de l’Éducation nationale, reprise par Le Parisien ce lundi 1er juillet, 400 écoles vont disparaître à la rentrée de septembre. Parmi elles, 150 fermetures ont été décidées par l’Éducation nationale et 250 par les élus locaux dans le cadre de projets de fusions et regroupements d’écoles, concernant en première ligne les établissements ruraux.

    Dans la Somme, département rural parmi les plus concernés, « 30 fermetures sont prévues à la rentrée », compte le directeur académique de l'Education nationale (Dasen), Jean Hubac.

    Selon le syndicat SNUipp-FSU, 808 classes ont déjà fermé lors de la dernière rentrée en zones rurales. C’est l’une des doléances des gilets jaunes : la disparition progressive des services publics près de chez eux les obligeant à prendre, toujours plus loin et plus souvent, leur voiture.

    En réalité, les Français doivent le comprendre, le savoir, l'admettre : le Système veut la peau de "la France périphérique", des zones rurales, car elles sont l'antidote exact à la mondialisation voulue par "la fortune anonyme et vagabonde"...
    Il veut sa peau en y faisant disparaître les Ecoles mais aussi les maternités (au Blanc et ailleurs), les Services publics...

    Voilà pourquoi nous sommes anti-Système.


    Voilà pourquoi nous sommes révolutionnaires de ce désordre établi, "chaos figé des conservateurs du désordre", héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires"...


    Voilà pourquoi nous voulons une révolution royale.


    Voilà pourquoi nous crions "Vive le Roi", premier serviteur de la légitimité révolutionnaire, pour que continue à vivre notre France charnelle sur la totalité de ses magnifiques pays que l'Histoire nous a légués, et dont la République idéologique veut nous priver, en nous entassant dans une quinzaine d'immenses conurbations sans âme, au milieu d'un grand désert, là où s'étendait, jadis, notre "Douce France"...

  • BOUTANG, DAUDET, THIBON : LE MÊME COMBAT A POURSUIVRE, LE SEUL QUI VAILLE LA PEINE D'ÊTRE MENE...

    BOUTANG, DAUDET, THIBON...

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    Notre "feuille de route" reste inchangée, depuis nos origines : mener une action française "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Système" (Léon Daudet).


    Ce que Gustave Thibon énonçait d'une autre façon : lutter contre "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui, aujourd'hui, succèdent au "chaos explosif des révolutionnaires"...

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    Lu sur la page fb d'Emmanuel Boutang (ce vendredi 5 juillet) :

    "Je connais les visages du métro, et du boulot, quel crime de la société moderne, et de l'Usure ils dénoncent; comme ils se défont, comme il semble presque toujours qu'il n'y ait plus, là, d'ancre à jeter, à vue humaine. La réponse est qu'il faudra, qu'il faut d'urgence casser cette société, qui n'avilit plus, comme le constatait Peguy: qui tue." (Pierre Boutang, Apocalypse du désir, p 350)

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  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE...

    A partir d'aujourd'hui, et jusqu'à la fin du mois d'août, nous vous proposerons de découvrir, ou de mieux connaître, mais aussi de faire découvrir à d'autres (par le jeu des partages) l'immense Jacques Bainville, par le biais d'une photo quotidienne tirée de notre "Album Jacques Bainville" (lafautearousseau vous propose également un "Album Léon Daudet" et un "Album Charles Maurras").

     

    Aujourd'hui : 2. L'Homme sans prénom

     

    Surtout ne rien imposer; laissez-le libre; il choisira "librement" (!) quand il sera grand; l'enfant ne doit être en rien conditionné par ce - et ceux... - qui l'ont précédé....
    Ces vieilleries des pédagogistes modernes (?) d'aujourd'hui, dont Philippe Meirieu est le pape, traînent en réalité depuis des décennies...
    Avec sa "douce et paisible ironie" - pour reprendre sa propre expression, c'est cette "folie" que dénonce Jacques Bainville dans cette histoire de Tift....

    "Quoiqu'elle vienne d'Amérique, cette histoire n'est pas d'Edgar Poe ni de Mark Twain. C'est une histoire tout à fait vraie.
    Il y a, dans le commerce de New York, un représentant qui ne porte aucune espèce de prénom. Ce personnage s'appelle Tift, et il ne s'appelle que Tift. Ni les apôtres, ni les saints, ni les héros, ni les prophètes ne veillèrent à son baptême. Tift ne dépend ni de l'Ancien ni du Nouveau Testament., ni de l'antiquité grecque ni de l'antiquité romaine. Il ne se nomme même pas Sadi, comme feu le président Carnot. Tift reste Tift tout court, et c'est par là qu'il se distingue du commun des mortels et des très nombreux Tift qui foulent le sol de l'Amérique.
    Chaque fois, cependant, que cette dérogation à un usage universel cause un désagrément, Tift raconte volontiers son aventure. Il a du la redire récemment à propos d'un conflit avec l'administration de son pays. Tift avait donc des parents qui professaient le plus profond respect pour la liberté humaine. Ayant engendré un fils, ils ne se reconnurent pas le droit de peser sur sa conscience. Tift devait n'avoir ni religion, ni préjugés. Il devait marcher vers l'avenir affranchi de toute entrave. C'est pourquoi les parents de Tift, après réflexion mûre, décidèrent de ne pas donner de prénom à leur fils. Ainsi évitaient-ils une responsabilité redoutable. Tift, quand il le voudrait, pourrait choisir les syllabes les plus harmonieuses à son gré.... Et son père et sa mère se réjouirent dans leur âme de leur prudente résolution.
    Tift connut bientôt ce qu'il en coûte de ne s'appeler ni jean, ni Jacques, ni Edouard, ni Émile. Ses débuts dans le monde furent tumultueux. A l'école, son absence de pérnoms lui valut railleries et brimades, auxquels il répondait d'ailleurs par de solides horions. A sa majorité, lorqu'il s'agit pour Tift de s'inscrire sur les listes électorales et d'exercer ses droits de citoyen, le bureau lui refusa la délivrance de sa carte. Tift dut la revendiquer devant les tribunaux. Après de longues audiences, plaidoiries et consultations de droit, les juges reconnurent que rien dans la constitution ni dans les lois n'obligeait un citoyen à porter un prénom, pas même un nom. Tift majeur restait libre devant les hommes de s'appeler Tift comme devant ou d'ajouter à Tift l'ornement qui lui conviendrait.
    Cependant, en présence du calendrier, pris d'hésitations et de doutes, Tift ne se pressait pas et ne décidait rien. Il lui vint alors une pensée délicate et ingénieuse. "Je contracterai mariage quelque jour, se dit-il, ma femme m'appliquera elle-même son prénom préféré." 
    Tift prit femme en effet, mais il se trouva que Mrs Tift n'avait jamais songé à l'esthétique des prénoms masculins. Elle n'aimait pas mieux Ernest que Guillaume. Et - telle est la vanité des femmes - trouvant original d'avoir pour mari le seul homme d'Amérique qui portât sec et nu le nom de son père, elle persuada Tift de rester, pour l'amour d'elle, un Tift unique entre tous les Tift de l'Union. 
    Ainsi, Tift mourra comme il a vécu, sans prénom ni grec, ni latin, ni hébreu, ni germanique. Et le principe d'où étaient partis les parents de Tift aura porté une conséquence imprévue. Se faisant scrupule d'attenter à la liberté de leur fils, ils ont pourtant, bon gré mal gré, disposé de ses destinées. On frémit quand on pense à ce qui serait arrivé si ces scrupules étaient nés quelques mois plus tôt dans l'esprit de ce père et de cette mère admirables : Tift n'aurait certainement pas vu la lumière. Car, pour respecter intégralement la liberté humaine, il importe de ne pas engendrer des enfants qui n'ont pas demandé à venir au monde. Témoin Chateaubriand qui maudissait le jour où sa mère lui avait "infligé la vie".
    Il est d'ailleurs certain que les hommes ne seront vraiment libres et que la République ne sera vraiment fondée sur la terre qu'à partir du moment où chacun aura le droit de choisir ses parents. C'est la morale de l'histoire de Tift. 

    L'Action française, 22 janvier 1911

     

     

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

  • FORZA SALVINI ! 

    "Commandante arrêtée, bateau séquestré"...
    En voilà un qui ose s'en prendre frontalement à la hideuse alliance des mafieux/négriers, des révolutionnaires internationalistes qui veulent abolir les frontières et des pilleurs d'Afrique, qui vampirisent son avenir en lui volant son bien le plus précieux : sa population. 
    Les néo-colonialistes d'aujourd'hui font le même sale boulot que ceux d'hier : piller l'Afrique, vampiriser son avenir... 
    Et cela avec la bénédiction d'un Pape complice, de médias aux ordres de l'Argent-Roi et d'une "pensée unique", d'un "politiquement correct" qui ne vise qu'à dissoudre toutes les singularités nationales, culturelles, spirituelles... en vue d'une mondialisation et d'une marchandisation de "tout", au seul profit de "la fortune anonyme et vagabonde" que dénonçait déjà L'Action française...
    Tartufe est au pouvoir, et dispose de tous les moyens pour tromper le monde : les "migrants" (envahisseurs) c'est le pillage de l'Afrique pour un double bénéficiaire : la Révolution et l'Argent :
    - l'Argent, parce que ce pillage d'hommes fournit aux possédants une main d'oeuvre abondante et à bon marché, afin d'augmenter toujours plus leurs bénéfices..
    - la Révolution, parce que cet effacement des diversités brise les seules résistances à l'internationalisme idéologique : les Nations, avec leur Histoire, leurs Coutumes et Traditions, leurs Moeurs, leur Esprit...
    Un dispositif planétaire de migration(s) est en marche : les vieilles Nations historiques, et nous-mêmes pour commencer, les Européens, ont le devoir et le droit de s'y opposer.
    Il faudra pour cela beaucoup d'actions énergiques et d'hommes courageux, comme Matteo Salvini, pour briser le grand Tabou, et inverser le mouvement, en imposant la re-migration des populations déplacées chez nous, sans notre consentement, sans même que nous ayons été consultés...