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Merci, et, surtout, continuez sans vous gêner : tout ce qui écrit dans le quotidien est là pour être consulté !...
200 ans après la calamiteuse Révolution, la malfaisance du Jacobinisme centralisateur se poursuit, envers et contre tout; et, surtout, contre nos Racines, contre tout ce qui constitue l'héritage naturel de notre vieille France, de ses Pays et de ses Terroirs, surgi du fond des âges, façonné par l'Histoire, et contre lequel s'est construit notre calamiteux Système, hérité de notre Révolutioin et de notre République idéologique...
Aujourd'hui, tout d'un coup, comme ça, excité on ne sait pourquoi et alors qu'il y a mille urgences bien plus urgentes, "Hollande-à-18%" nous a concocté à la vite, sur un coin de table, une riducule nouvelle "carte des Régions" : il ferait mieux de s'occuper des 15.000 chômeurs de plus du mois dernier, et de ceux qui vont arriver le mois prochain, mais non...
Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine, revient sur les résultats des élections européennes et sur la crise institutionnelle qui débute, en France.
Aucune des royautés européennes n'est un modèle de ce que nous souhaitons pour la France. Tout simplement parce que, en France, tant qu'il y a eu des rois, ceux-ci ont régné et gouverné. Avec ou sans ministériat - pour reprendre l'expression de Louis XIV - et qu'ils aient délégué plus ou moins, tous ont exercé le pouvoir, à leur façon, mais d'une manière toujours effective.
Rien de cela ne se passe dans les monarchies nordiques, ou espagnole : le roi - ou la reine - n'y exerce aucun pouvoir d'administration directe des choses et des gens; même si leur influence sur la vie de leur pays dépasse souvent le strict rôle institutionnel qui leur est attribué par les textes constitutionnels. Aucune de ces royautés n'a voulu ou pu préserver vraiment leurs peuples de la décomposition qui frappe toutes les sociétés dites occidentales. Et pourtant, toutes ces royautés ont en commun quelque chose de bon : le poste suprême y est occupé ("séquestré").
Les Français auraient raison d'y réfléchir, au moment où de nombreux observateurs politiques de tout bord, en viennent à penser que l'élection présidentielle est la plaie des Institutions françaises ...
Pour ceux qui l'ignorent, le titre de Prince des Asturies est réservé, en Espagne, au fils du roi, désigné pour la succession. Equivalent au terme de Dauphin, en France, ou de prince de Galles, en Grande-Bretagne, ce titre vient de la nuit des temps : en 711, l'Espagne fut envahie par les Maures -et non par les Arabes... - et la monarchie wisigothique, qui avait remplacé l'Empire romain, s'écroula sous la poussée des tribus berbères. Les restes de l'armée wisigothique, vaincue, se réfugièrent dans les montagnes cantabriques difficilement accessibles du nord du pays, de la Galice et des Asturies (à l'Ouest) au Pays basque (à l'est); cette vaste zone constitua le "rincon sagrado" (le recoin sacré) inviolé par les envahisseurs mahométans, d'où fut immédiatement lancée la Reconquête (Reconquista), avec la victoire chrétienne symbolique de Covadonga, dès 718. Une reconquête qui devait malgré tout durer près de huit siècles, pour ne s'achever qu'en... 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques.
1. Le Système fait vivre la France sur un volcan : nous le disons régulièrement dans ces colonnes, à temps et à contre-temps, en posant toujours la même question : combien sont-ils, après des décennies d'une immigration insensée et la braderie permanente de la nationalité française, imprudemment accordée à des masses de gens toujours aussi nombreuses, ces "jeunes" radicalisés, terroristes "dormants" pour l'instant mais prêts à passer à l'acte à tous moments ? La réponse est facile à donner : ils sont des dizaines, des centaines, voire des milliers et peut-être des dizaines de milliers le moment venu, l'effet d'entraînement jouant alors à plein.
À la manœuvre, une poignée de hauts fonctionnaires tente de garder un cap, contre vents et marées. Dans cette tribune publiée par l'Express, ils sonnent l’alarme avec une grande clairvoyance.
SOS Éducation les encourage à continuer leur résistance ! Les vraies révolutions commencent à quelques uns....
Les Européens sont victimes d'un déni de nation. Alors que le modèle de l'État-nation est dominant dans le monde, les peuples européens sont sommés d'y renoncer pour se dissoudre dans l'universel.
Chaque groupe humain a besoin d'un cadre correspondant à son identité, et dons la forme la plus adéquate est aujourd'hui l'État-nation.
Jugée normale pour les États-Unis, la Chine ou l’Inde, la fierté nationale est interdite à la France. Celle-ci, reniant son histoire et sa culture, devient un insipide Hexagoland à la dérive, noyé dans une calamiteuse Union européenne qui n’aime pas les Européens et ne veut pour identité collective qu’une ouverture inconditionnelle à l’autre.
L’exemple de petites nations fières de leur particularisme et résolues à le préserver, comme Israël ou la Suisse, montre que, pour un pays, mieux vaut être seul et déterminé plutôt que mêlé à un groupe confus et tyrannique qui le fait mourir à petit feu.
Le salut de l’Europe passe par la réintroduction d’un nécessaire et légitime particularisme national. Il faut faire revivre les peuples d’Europe, en recentrant l’État sur la nation.
Fondée en 1920 par Jacques Bainville, reprise par l'équipe de Politique magazine, la Nouvelle revue universelle - trimestrielle - est de la même qualité.
Elle se situe parmi les revues de réflexion comme Commentaires ou Esprit. Nous avons de la chance de disposer d'un tel instrument, et c'est pourquoi nous présentons régulièrement, sur lafauterousseau, les nouveaux numéros de La Nouvelle Revue universelle.
Depuis plusieurs numéros déjà, un souffle nouveau anime la Revue. Les projets ne manquent pas pour prolonger et amplifier cette nouvelle dynamique. Antoine de Crémiers, conseiller éditorial de la NRU, vient d'organiser une réunion de travail, à Marseille, afin d'aborder un grand nombre de sujets touchant à une meilleure organisation et à une structuration plus serrée des bonnes volontés, sur l'ensemble du territoire, pour une plus grande efficacité et une diffusion accrue de la Revue.
Un site propre à la NRU est d'ores et déjà prêt à être mis en ligne : ce sera, sans nul doute, l'un des éléments porteurs de ces nouveaux progrès que nous désirons tous...
lafautearousseau présentera très prochainement le dernier numéro (35) de la Revue, et vous tiendra informés, bien évidemment, au fur et à mesure, de tous les développements ultérieurs des actions et décisions visant à en augmenter l'audience...
Rappelons que la NRU est partie prenante dans l'organisation du Colloque du Cercle Vauban, le 6 décembre prochain, à Paris("La crise institutionnelle : propositions pour un nouveau régime").
Cette réunion de travail, prometteuse, a eu lieu chez nos amis de la Brasserie Le Louis XVI...