UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Alexandre Devecchio a raison, la "feinte" de Macron est tellement grosse que tout le monde a vu la ficelle, et son épaisseur !
    Cependant Devecchio, comme tout le monde,  "est dans la bouteille", comme une mouche prisonnière qui ne trouve pas la sortie et se heurte à des parois qu'elle ne voit pas : il raisonne dans le cadre du Système, s'enfermant lui-même "là où" le veut et "comme" le veut le Système totalitaire qui règne - hélas - en France...
    Il parle de "démocratie", mais, sommes-nous en démocratie ? Non, nous sommes en "démocratie idéologique", ce qui n'a rien à voir, et qui est un   totalitarisme...
    Comme d'autres parlent de "république", mais, sommes-nous en république ? Non, nommes en "république idéologique", ce qui n'a rien à voir, et qui est un totalitarisme...
     
    Alexandre Devecchio
    "Bien sûr, je ne pourrai pas mener campagne comme je l'aurais souhaité en raison du contexte." Emmanuel #Macron nous annonce-t-il par avance qu’il esquivera le débat et ne défendra pas pas son propre bilan ? Malaise dans la démocratie…"

    1A.jpg

    Comme le dit Stéphane Massé (sur tweeter) :

    "Cette déclaration le jour même où il annonce enfin sa candidature. Erreur de com ou lucidité ?"

    Lire la suite

  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (44)...

    (Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP : contribution, commentaires, informations, renseignements, prêt de photos etc... bienvenus; retrouvez l'ensemble de ces documents dans notre Catégorie : Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP)

     

    1AZZZ.jpg

     

    44 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (4/4)

    1AA.jpg

    Lire la suite

  • Sur nos pages fb : Stéphane Courtois répond à Poutine sur l'Ukraine...

    Publié par Jean-Baptiste Collomb
    Sans parti pris, l’analyse de Stéphane Courtois au sujet du discours de guerre de Vladimir Poutine :
    « Dans son discours de guerre du 21 février, Vladimir Poutine a fait une déclaration qui stupéfie l’historien : « L’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchevique. Ce processus a commencé presque immédiatement après la révolution de 1917, et Lénine et ses camarades ont agi de façon vraiment peu délicate avec la Russie : ils ont pris à celle-ci, lui ont arraché, une partie de ses territoires historiques. ».
    En situant ainsi la naissance de l’Ukraine, il « oublie » que celle-ci avait déjà une existence historique de plus de 1200 ans, quand fut créée la Rus – le premier État slave - dans ce vaste espace qui allait de la mer Baltique à la mer Noire, et compris entre le Dniepr et le Dniestr, avec pour capitale Kiev – alors que Saint-Pétersbourg et Moscou étaient encore dans les limbes. Elle ne fut rattachée de force à l’empire tsariste qu’à la fin du XVIIIe siècle et vit émerger au milieu du XIXe siècle, comme dans toute l’Europe de 1848 et son « printemps des peuples », un puissant mouvement nationaliste autour de sa langue, de sa littérature et de la mémoire des grandes révoltes cosaques contre toute oppression.

    Lire la suite

  • Politique magazine, n° 211...

     
     

    L'apocalypse ukrainienne

    Comme Emmanuel Macron était persuadé entretenir une relation spéciale avec Poutine, il a cru, ou voulu faire croire, qu’il arriverait à retenir la Russie. La France est donc le seul pays occidental à ne pas avoir encouragé son millier de ressortissants à quitter l’Ukraine. On ne sait pas s’il faut rire aigrement de la naïveté du président français, croyant être diplomate tout en humiliant régulièrement la Russie depuis cinq ans, ou s’indigner d’un calcul purement électoraliste, d’ailleurs salué par un grotesque visuel du parti présidentiel osant proclamer, quelques jours à peine avant l’invasion de l’Ukraine, que Macron avait ramené la paix.   La suite ICI

     

     
     

    La guerre (par Hilaire de Crémiers)

    Il est difficile de savoir si Poutine a réfléchi à toutes les conséquences de sa décision d’envahir l’Ukraine. Les premiers résultats sont là. Le sentiment national ukrainien s’est ressaisi. Plus il y aura de morts, plus il y aura d’attaques de villes – et ce n’est pas fini –, plus la population dans sa majorité se rebiffera devant de tels procédés. Il devait penser que l’affaire serait expédiée en un rien de temps. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Si la guerre s’installe dans la durée, il n’échappera pas à une résistance qui trouvera dans le passé des motifs puissants de se durcir.  La suite ICI…

     

     
     
     
    La question énergétique, enjeu primordial de l’élection présidentielle (par André Posokhow)
     
    Un quinquennat énergétique désastreux. La politique énergétique du quinquennat de Macron, largement influencée par l’idéologie totalitaire de l’écologisme d’extrême-gauche, peut être synthétisée ainsi : refus du nucléaire dont la part dans la production électrique française est appelée à être ramenée d’environ 70 % à 50 % ; promotion forcenée des énergies renouvelables (ENR) et plus particulièrement de l’éolien industriel. Plus de 8000 machines sont installées actuellement en France dont aucune n’a été fabriquée dans notre pays…  La suite ICI…
     
     

    Conseil constitutionnel : l’OVNI de la République ? (par Jean Bouër)

    En 1958, lorsque de Gaulle mit la Constitution sur les rails, le Conseil constitutionnel ne devait pas être cette instance influente où l’on place certains proches. En 2022, à l’heure de la démocratie d’opinion et des nominations verrouillées, il en va autrement, alors même que cette institution rend des décisions importantes. Avec le Conseil constitutionnel, nous avons un « cocktail » qui résume certaines tares des démocraties modernes : opacité, expertocratie, fait du prince, recasage…  La suite ICI…

     

    L'Homme nouveau, mythe moderne (par Christophe Boutin)

    Les actuels débats sur le transhumanisme imposent de s’interroger sur sa généalogie. Entre les deux guerres, c’est la notion d’« homme nouveau » qui traduit la volonté d’adapter l’homme aux nouvelles conditions de son existence et, notamment, de tirer les conséquences d’un rapport à la technique redéfini lors du Premier conflit mondial. Un ouvrage collectif fait découvrir les réflexions convergentes venues de sources diverses, et rappelle que les régimes totalitaires furent loin d’avoir le monopole, ou même la primauté, de cette quête.   La suite ICI…