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  • ”dé-poubelliser” la France : quand est-ce qu'on s'y met ?.... Ca urge !...

    http://www.nordeclair.fr/faits-divers-justice/a-lille-agression-et-sequestration-sur-fond-de-racisme-ia0b0n231859 

    Une seule solution : DECHEANCE / EXPULSION !...  

    immigration dehors.jpg 

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

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    Et, pendant ce temps-là, Nicolas est en prison, pour opposition pacifique à la loi Taubira :

    http://www.soutien-nicolas.com/

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    Un premier appel pour sa libération a été lancé par les personnalités suivantes :

     "Nicolas, 23 ans, a été arrêté dimanche 16 juin à Paris en marge d’une manifestation pacifique critiquant le Président de la République. Nicolas dort depuis le 19 juin en prison, à Fleury-Mérogis, après avoir été condamné en comparution immédiate à deux mois de prison ferme. La place de Nicolas, parfaitement inséré dans la société et membre du mouvement pacifique des « Veilleurs » n’est évidemment pas en prison. Les sentences liées à des prises de positions politiques n’ont pas leur place dans la patrie des Droits de l’homme. En attendant que la justice puisse réétudier son dossier, les signataires de cet appel, au-delà de leurs divergences politiques, intellectuelles ou spirituelles, demandent sa remise en liberté immédiate."

     

    Jérôme BESNARD, essayiste,

    Gilles BOURDOULEIX, député-maire de Cholet,

    Christine BOUTIN, ancien ministre,

    Christophe BOUTIN, professeur des Universités,

    Matthieu COLOMBANI, délégué général du PCD,

    Chantal DELSOL, philosophe, membre de l’Institut,

    Renaud DOZOUL, architecte et essayiste,

    Jérôme DUBUS, secrétaire national de l’UMP,

    Falk van GAVER, essayiste,

    François GUILLAUME, ancien ministre,

    Jacques de GUILLEBON, essayiste,

    François LEBEL, maire du 8e arrondissement de Paris,

    Gérard LECLERC, journaliste et écrivain,

    Jean-François LEGARET, maire du 1er arrondissement de Paris,

    Geoffroy LE JEUNE, journaliste,

    Jean-Marie LE MENE, président de la Fondation Lejeune,

    Théophane LE MENE, chroniqueur,

    Jean-François MATTEI, philosophe,

    Olivier MAULIN, romancier,

    Charles MILLON, ancien ministre,

    Frédéric ROUVILLOIS, professeur des Universités,

    Guillaume de THIEULLOY, historien,

    Denis TILLINAC, écrivain,

    David-Xavier WEISS, secrétaire national de l’UMP

  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) ”la France” : Dans les Ephémérides, cette semaine....

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :

    Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf

    Table des Matières Ephémérides - Premier semestre.pdf

     Table des Matières Ephémérides - Second semestre.pdf

        Musique dans les Ephémérides.pdf

     

           Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :       

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    · Dimanche : 1404 : Naissance de Gilles de Rais, Barbe-bleue. 1624 : Naissance de la Marquise de Sévigné. 1679 : Paix de Nimègue. 1807 : Mort de Pascal Paoli. 1878 : Naissance d'André Citroën.

    · Lundi : 1778 : Traité d'alliance entre Louis XVI et les Insurgents. 1934 : Manifestation anti-parlementaire, place de la Concorde.

    · Mardi : 1517 : François Premier fonde Le Havre. 1594 : Lyon se rallie à Henri IV. 1745 : Naissance de Joseph Boze. 1922 : Marie Curie, première femme élue à l'Académie de Médecine. 1992 : Traité de Maastricht.

    · Mercredi : 1807 : Bataille d'Eylau. 1808 : Première observation scientifique du phénomène de réfraction permettant de voir le Canigou depuis la colline de Notre-Dame de la Garde, à Marseille. 1828 : Naissance de Jules Verne. 1919 : Inauguration du vol commercial Paris Londres.

    · Jeudi : 1879/1936 : Naissance et mort de Jacques Bainville.

    · Vendredi : 1638 : Voeu de Louis XIII. 1898 : Naissance de Joseph Kessel.

    · Samedi : 1650 : Mort de Descartes. 1660 : Pose de la première pierre du Fort Saint Nicolas, à Marseille. 1699 : Naissance de Mahé de la Bourdonnais. 1858 : Première apparition de Lourdes. 1868 : Mort de Léon Foucault. 1879 : Naissance d'Honoré Daumier.LOGO 9 LFAR copie.jpg

  • Nouvelles du Blog : de la semaine ecoulée à celle qui vient.....

            Vous l'avez remarqué, et certains nous en ont demandé la raison : il nous a fallu procéder à quelques aménagements dans l'envoi de nos newsletters, à cause de l'augmentation du nombre des inscrits à ces news. Cette croissance est évidemment, en soi, une bonne chose, mais nous avons dû scinder et répartir notre liste d'envois sur plusieurs relais. Et tâtonner un peu avant de trouver une solution qui semble plus satisfaisante que celle adoptée lors des premiers jours... Nous vous prions donc d'être compréhensifs, vis à vis de ce problème qui ne vient pas de nous, et dont il faut voir surtout le bon côté....

            Par ailleurs, la bonne tenue des téléchargements sur Viméo ne se dément pas : on en est à 114.860, le vendredi 24, à 18 heures.....

            Pour ce qui est des Ephémérides, qui nous permettront - entre autres... - de retrouver Daudet et Boutang, voici ce que vous y trouverez cette semaine :

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            Ephémérides : 

    · Dimanche : Iter à Cadarache.

    · Lundi : Naissances de Louis XII et de Charles IX. Mort de Pierre Boutang.

    · Mardi : Première ascension officielle: le Mont Aiguille, dans le Vercors. Signature du Traité de Versailles (1918). Naissance d'Alexis Carrel.

    · Mercredi : Les Vendéens échouent devant Nantes. Premier Journal télévisé.

    · Jeudi : Naissance de Charles VIII. Prise de Maastricht.

    · Vendredi : Mort de Léon Daudet.

    · Samedi : Saint Louis s'embarque à Aigues Mortes pour la IXème Croisade. Mort d'Olivier de Serres. Mort de Rousseau. Naufrage de La Méduse. Création de l'Armée de l'Air. Mise en service du Pont de Tancarville. Premier essai nucléaire à Mururoa. Gilles Vigneault reçoit la Légion d'Honneur.

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  • Nouvelles du Blog: de la semaine écoulée à celle qui vient.....

    • Voici ce que vous trouverez à partir de demain sur le blog. 
    • Notes longues : 
    • Dimanche : Tout ce qui est Racines est bon: Les fêtes de Jeanne Hachette à Beauvais.
    • Lundi : Alain Finkielkraut sur France inter (deux vidéos, de 9 et 18 mn.).
    • Mardi : La CGT contre.... la CGT ?
    • Mercredi : L'avertissement de Robert Zoellick, président de la Banque mondiale.
    • Jeudi : L' "affaire Burgaud"....
    • Vendredi : "Les expulser, oui, mais pour où ?..." (6/6);
    • Samedi : Nouvelles du Blog...
    • Notes courtes :
    • Dimanche: le sourire du dimanche.
    • Lundi: Réponse à un message sur la Turquie.
    • Mardi: Dialogue des Carmélites (opéra), sur Kto.
    • Mercredi: Sur Frédéric Mitterand, nommé ministre.
    • Jeudi: Libération de Florence Rey.
    • Vendredi: Halde à l'imposture !...
    • Samedi: Grand Versailles numérique.

          Ephémérides :

    ·       Dimanche : Première ascension officielle: le Mont Aiguille, dans le Vercors. Signature du Traité de Versailles (1918). Naissance d'Alexis Carrel.

    ·       Lundi Les Vendéens échouent devant Nantes. Premier Journal télévisé.

    ·       Mardi : Naissance de Charles VIII. Prise de Maastricht.

    ·       Mercredi : Mort de Léon Daudet.

    ·       Jeudi Saint Louis s'embarque à Aigues Mortes pour la IXème Croisade. Mort d'Olivier de Serres. Mort de Rousseau. Naufrage de La Méduse. Mise en service du Pont de Tancarville. Premier essai nucléaire à Mururoa. Gilles Vigneault reçoit la Légion d'Honneur.

    ·       Vendredi Couronnement d'Hugues Capet. Fondation de Québec. Mort de Marie de Médicis.

    ·       Samedi : Mort de Chateaubriand.

  • Nous en reparlerons bien sûr, mais d’ores et déjà « QU'ON SE LE DISE !.....)

              L'infomation a été rendue publique lundi 4 août 2008 au soir : Ignat Soljenitsyne, fils d'Alexandre Soljenitsyne, disparu dans la nuit du dimanche  3 au lundi 4 août, donnera un récital de piano exceptionnel, normalement le 14 mars 2009, dans le grand hall de l'Historial de la Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, construit à l'emplacement où son père prononça un discours lors de sa venue avec sa femme Natalia (il résidait alors aux Etas-Unis), le 25 septembre 1993.

    ignat.JPG

               Ce jour-là, le prix Nobel était venu inaugurer le Mémorial aux victimes du génocide de la guerre de Vendée (1793-1796), perpétré sur 170.000 hommes, femmes et enfants, surtout en Vendée, mais aussi en Deux-Sèvres, Maine-et-Loire, et Loire-Atlantique. Ce massacre était commandité par la Convention révolutionnaire, et exécuté notamment par le sinistre général Turreau, et les "colonnes infernales".

               Soljenitsyne était allé aussi avec son épouse à Saint-Gilles-Croix-de-Vie (littoral vendéen), sur la dune de la Garenne, où l'auteur de "L'archipel du Goulag" avait dévoilé une stèle en hommage à Marina Tsvetaieva, sa compatriote et poétesse russe exilée, et qui a séjourné en Vendée. Un autre événement avait touché l'écrivain qui a fait trembler Moscou en dénonçant l'univers concentrationnaire soviétique : les bénévoles du Puy du Fou avaient joué le spectacle de la Cinéscénie en sa présence, et offert la recette d'alors (400.000 francs), au Fonds d'aide des victimes du Goulag.

               Depuis, son fils Ignat est venu en Vendée, pour inaugurer le nouveau collège vendéen d'Aizenay, qui a pris le nom de son père, dont une déclaration avait été lue à l'assistance à cette occasion. Ignat Soljenitsyne est pianiste et chef d'orchestre réputé, qui dirige actuellement l'Orchestre de Philadelphie aux États-Unis....

  • Ainsi va le monde: De ”Touche pas à mon pote!” à ”Cogne la potesse !”...

                  Lu dans "Marianne" du 16 février, sous la plume de Alain Léauthier (instructif !...) :

    De "Touche pas à mon pote" à " Cogne le potesse"...

              Un membre du service d'ordre de SOS racisme mis en examen pour l'agression d'une ex-militante de Ni Putes ni Soumises. Sordide, mais significatif de l'impasse des mouvements différentialistes.

              « Touche pas à mon pote ». C'était le slogan emblématique de SOS-Racisme à sa création en 1984. Vingt-quatre ans plus tard, un des membres du service d'ordre vient d'inventer un nouveau cri de guerre pour l'organisation anti-raciste : « cogne la potesse ». L'étrange histoire est rapportée dans l'édition du 16 févier du Monde : treize jours plus tôt, le 3 février, accompagné de quatre joyeux drille, dont deux cagoulés, Gilles Guilain, un compagnon de route de SOS-Racisme depuis 1986, a interrompu brutalement une réunion des «Insoumises». Il s'agit d'un minuscule groupuscule dissident ayant quitté Ni putes ni Soumises, quand leur ancienne présidente, Fadela Amara, a succombé aux sirènes de l'ouverture sarkozienne et rejoint le gouvernement Fillon. Les faits ont valu à Guilain une mise en examen pour «dégradations et violences volontaires en réunion avec préméditation».

              Quelle que soit la vérité, elle témoigne en tout cas de la décrépitude de l'idéologie différentialiste et du déclin d'associations depuis longtemps coupées du réel. Voilà un bail déjà que tous ces mouvements, sans doute fondés sur la générosité à l'origine mais désormais dépourvus de toute représentativité, servent uniquement les intérêts et les calculs mesquins de médias paresseux et de politiques cyniques. L'aventure illusoire de SOS-Racisme avait commencé place de la Concorde, elle se poursuit dans la course aux prébendes et ses inévitables coups fourrés.

  • Histoire & Actualité • Mort de Fidel Castro : l'anticommunisme est un humanisme, sauf en France !


    Par Gilles-William Goldnadel 

    Le « lider Maximo » est mort ce 25 novembre. Gilles-William Goldnadel constate [Figarovox, 28.11] qu'au pays de Georges Marchais, le procès du communisme reste à instruire, comme en témoignent les éloges funèbres prononcés en hommage au boucher de La Havane. Gilles-William Goldnadel a raison. Serait-il d'accord pour que l'on instruise concomitamment les procès des tueries et crimes révolutionnaires français ? Ceux-ci sont l'origine et la matrice de ceux-là. LFAR  

     

    495725162.jpgCe n'est pas la première fois qu'ils nous font cette mauvaise farce. C'est toujours la même chose, on la croit morte. On se dit que cette fois ils ont compris. Qu'ils ne recommenceront pas. La sotte grandiloquence. Les hommages obscènes. Le déni de la réalité. Eh bien, non, ils ont recommencé.

    Ils ont pleuré Castro. Même la sœur, Juanita, n'ira pas à l'enterrement de son frère : «il a transformé l'île en une énorme prison entourée d’eau ». Mais certains, en France sont plus fraternels envers Fidel que la sœur du geôlier.

    Avant que de tenter d'expliquer l'inexplicable, un bref rappel de la réalité minimisée. Castro n'était pas seulement qu'un dictateur sud-américain. C'était un boucher et un équarisseur. Il ne s'est pas contenté de torturer et d'exécuter ses opposants, il a vendu leur sang, comme le rappelait le Wall Street Journal dans un article du 30 décembre 2005 : le 27 mai 1966, 3,5 litres de sang par personne furent médicalement ponctionnés sur 166 détenus par décision de Fidel Castro et vendus au Vietnam communiste au prix de 100 $ le litre. Après la prise de sang, 866 condamnés, en état d'anémie cérébrale, paralysés et inconscients, furent emmenés sur des brancards et assassinés.

    Miguel A. Faria dans Cuba, une révolution écrit à la page 415 de son livre : « Depuis que Fidel Castro a pris le contrôle de l'île en 1959, les estimations les plus crédibles précisent que de 30 000 à 40 000 personnes ont été exécutées par le peloton d'exécution ou dans les geôles cubaines. »

    Dès les premiers jours de la révolution, Castro ordonna des exécutions sommaires dans le but d'établir une culture de la peur qui annihila rapidement toute résistance. Les révolutionnaires d'opérette qui le soutiennent en France lui pardonnent avec indulgence ses exactions en même temps qu'ils maudissent ordinairement la peine de mort appliquée aux assassins de droit commun. Ils passent volontiers sous silence que dans les décennies suivantes, Castro s'assura de la soumission de son peuple en prolongeant l'État de terreur.

    Profitons du deuil cruel qui frappe la galaxie communiste et ses compagnons pour régler aussi son compte à celui dont l'icône christique ornait les thurnes estudiantines des seventies et encore de nos jours les T-shirts de quelques attardés. Che Guevara avant que de faire le guérillero en Bolivie, dirigeait dès 1959 la sinistre prison de la Cabana, où il avait acquis le tendre sobriquet de « carnicerito » (le petit boucher). Selon Stéphane Courtois, auteur du Livre noir du communisme, ladite prison était un lieu où la torture et les mutilations étaient quotidiennes. Selon Archiva Cuba, une association basée dans le New Jersey, et qui s'est donné comme mission de documenter les crimes de Castro, en 1959, à la Cabana, au moins 151 personnes innocentes furent assassinées.

    Parmi les 94 enfants dont on a pu établir la mort, 22 ont été exécutés par les escadrons de l'idole de l'extrême gauchisme.

    Quant à la situation actuelle, et sans même évoquer la faillite économique, Christophe Deloire, président de Reporters Sans Frontières, rappelait samedi que Cuba demeurait au 171e rang (sur 180) au classement mondial de la liberté de la presse.

    Ils ont pleuré Castro. Je ne parle pas des communistes. De Pierre Laurent, fils de Paul : « l’artisan de l'une des plus importantes révolutions initiées au XXe siècle… La démonstration de la possibilité de bâtir une société juste et souveraine pour tous les peuples ».

    Je ne parle pas de notre Président de la République actuel, tout content d'avoir imaginé effleurer l'Histoire en touchant un vieillard et dont les euphémismes dégoutants dans son hommage funeste : « manquements aux droits de l'homme… désillusions » montrent à quel point les socialistes évaporés n'ont pas totalement coupé le cordon ombilical ensanglanté.

    Je parle des compagnons de déroute, je parle des camarades de carnaval : Christiane Taubira, jamais économe d'une hyperbole : « le dernier géant du XXe siècle… ». Je parle de Clémentine Autain, invitée gentiment sur France Inter dimanche matin pour admonester ceux qui fêtent Kissinger mais cognent sur Castro et qui mériterait d'être engagée comme humoriste de la radio active de service public pour ce tweet mémorable et émouvant : « à Fidel Castro, pour la révolution cubaine, la résistance à l'impérialisme U.S, l'expérience « socialiste » d'un autre siècle. Hasta siempre !»

    Je parle enfin de Jean-Luc Mélenchon, dont Onfray disait samedi au Point qu'il avait « fumé la moquette », en tous les cas un havane hallucinogène, en écrivant ce twitt halluciné : « Fidel ! Fidel ! Mais qu'est-ce qui s'est passé avec Fidel ? Demain était une promesse. Fidèle ! Fidel ! L'épée de Bolivar marche dans le ciel. »

    Je conseille encore à tous ceux qui ne l'aurait pas regardé, de visionner l'hommage du futur candidat fraîchement adoubé par les communistes à la rapière envolée dans les cieux : Samedi matin, à l'ambassade de Cuba. Une homélie larmoyante. C'est sans doute lors d'un même petit matin blafard de 1953, que des staliniens aux yeux rougis rendirent hommage au petit père des peuples qui attend aujourd'hui son fidèle suivant.

    J'imagine déjà certains scandalisés par cette dernière ligne.

    Le scandale habite ailleurs. Il demeure dans le fait que, précisément, il n'y ait pas scandale quand ces hommages publics au boucher de La Havane sont rendus par des personnes publiques qui ont pignon sur rue.

    Et l'explication vient. D'abord l'anti-occidentalisme pathologique, dans sa version antiaméricaine. Tout fut pardonné à Fidel au nom de la lutte sacrée contre l'impérialisme yankee. Tout, y compris le massacre et la mise au pas de son peuple. Mais cette anti occidentalisme radical n'est pas seulement politique, il est aussi racial.

    Qu'on me permette de me citer dans mes Réflexions sur la question blanche (2011) : « Il faut se faire à la déraison : un sombre salaud cubain, vénézuélien, bolivien ou mexicain basané, qui sait ? mâtiné d'indien, ne sera jamais aussi honni qu'un bon vieux salaud chilien tel que Pinochet, poursuivi jusqu'au bord du tombeau, et que Sartre charriait pour « sa gueule de salaud latin » classique, à la Franco. ».

    Ensuite et surtout en raison du fait que le procès du communisme reste à instruire en France. Il s'agit d'une triste spécificité française.

    Il n'y a qu'en France que les archives du KGB n'aient pas été exploitées, après l'effondrement de l'URSS ce dont se désolait ma chère Annie Kriegel. Même dans l'Italie si communisante du compromis historique, les archives ont parlé, et l'on sait quel compagnon de route ou quel journaliste émargeait au budget soviétique. Il n'y a qu'en France où des syndicats politisés peuvent reconnaître leurs liens avec le PC sans être pour autant démonétisés. Il n'y a qu'en France où le parti communiste peut encore oser s'appeler par son nom et s'affubler d'un marteau et d'une faucille. Il n'y a qu'en France où des artistes sentencieux peuvent se produire à la fête du journal de l'organe central du parti communiste sans risquer la sentence. Il n'y a qu'en France où le parti de la gauche morale peut s'allier électoralement avec un parti communiste sans rougir ni être déconsidéré.

    Car c'est en France encore que ceux qui ont combattu extrêmement le communisme et ses épigones d'extrême-gauche ont été médiatiquement rangés dans le ghetto de l'extrême droite.

    Ce fut notamment le sort de Stéphane Courtois, qui faillit connaître la mort civile pour avoir écrit Le livre noir du communisme.

    Pour avoir eu le courage suicidaire d'estimer à 100 millions le nombre d'êtres humains assassinés pour imposer le communisme. Paul Kangor dans The Communist estime que le livre de Courtois est largement en dessous de la réalité. Courtois évaluait à 20 millions les crimes de Staline, mais Alexandre Yakovlev , adjoint de Gorbatchev, cité par Kangor, estime le carnage entre 60 et 70 millions d'humains.

    L'anticommunisme est un humanisme. 

    Post-scriptum citoyen : dimanche à 13h sur TF1, on pouvait voir les cubains réfugiés en Floride, ces anciens boat-people, fêter la mort du dictateur. Pas sur la chaîne de service public France 2 à la même heure. Seulement des cubains éplorés. Pour ceux qui, comme moi, n'arrivent pas à accepter comme un fléau naturel, la mainmise de l'idéologie sur le bien indivis des citoyens payant la redevance, je signale la naissance du « Collectif des usagers du service public audiovisuel » (contact@collectif-uspa.fr).

    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain.

  • Religion & Médias • Torrent de boue contre le Primat des Gaules

     

    Par Jean-Louis Faure

    [Reçu dans les commentaires, le 18.03]

    Nous aurions tort de ne regarder le torrent de boue contre le Primat des Gaules comme uniquement une attaque anticléricale qui arriverait à un moment opportun (lequel ?). Je regarde cette ignominie comme la signature de notre société très malade, dans laquelle nous avons eu le grand tort de considérer des dérives portant atteinte à la biologie et aux lois sacrées de la Vie comme des crises d’acnés passagères. Je suis absolument convaincu que l’attaque vient des réseaux homosexuels dont on sous-estime absolument le pouvoir de nuisance et les ramifications au plus haut niveau de l’État (ou ce qu’il en reste …).

    Je reviens sur quelques exemples par ordre chronologique :

    - un certain Sarkozy fut toujours fasciné par cette communauté, au point d’en nommer à de très hauts postes de la République, tel Chef d’État Major des Armées dont tous les copains de promo à Saint Cyr n’ignoraient rien de sa tendance. Ce monsieur est aujourd’hui le Grand Chancelier de la Légion d’Honneur ! De passage à Paris, un général américain connu pour sa grande gueule (Stanley McKrystal) l’avait traité de « queer » (tarlouze) quasiment en public, provoquant gêne et hilarité.

    - l’attaque contre le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, qui eut l’impardonnable initiative de publier en octobre 2012 une dissertation de 25 pages impeccablement documentée qui fait référence (Benoit XVI la mentionna) « Mariage homosexuel, homoparentalité et adoption : ce que l’on oublie souvent de dire.». Dans les semaines qui ont suivi, les mêmes relais médiatiques qu’aujourd’hui, sortirent du chapeau une vague accusation de plagiat dans une de ses précédentes études, tintamarre suffisamment orchestré et assourdissant pour le pousser à la démission. Quel fut le rôle de sa propre communauté ?

    Notre corps social est profondément atteint comme des vers sont dans un fruit. Je suis pour cette raison violemment révolté quand j’entends dans les diners en ville, des intellos bobos qui jouent les grands tolérants devant une série d’ignominies. Quant à notre monde politique, il patauge dans la lâcheté au point de ne plus réagir sur aucune mise en cause de la dignité de l’humanité. Ne parlons pas d’être chrétien … 

  • L'irréversible processus de crétinisation de la gauche française

     

    Par Gilles William Goldnadel 

    CHRONIQUE - Manuel Valls, Ségolène Royal, Vincent Peillon, Audrey Azoulay ou Benoît Hamon... Gilles-William Goldnadel recense les « fadaises, billevesées et autres coquecigrues » qui ont ces derniers jours alimenté le débat public [Figarovox - 9.01]. Avec son style, sa dialectique percutante, ses idées, ses préoccupations propres, qu'on n'est pas forcé de toutes partager, Goldnadel dit ici les quatre vérités de la gauche d'aujourd'hui. Et il a raison.  LFAR

     

    2707340474.jpgLes dernières déclarations de M. Peillon m'autorisent plus que jamais à poser cette question : la gauche française n'est-elle pas entrée dans un processus irréversible de crétinisation ? Cette question est sérieuse, elle ne se veut ni blessante ni offensante, mais elle s'impose plus que jamais.

    Un livre savoureux reste à écrire pour décrire comment un parti d'intellectuels souvent prestigieux aura perdu son crédit et son sérieux par le truchement de ses fadaises, billevesées et autres coquecigrues.

    Ainsi, pour prix des voix LGBT était-il absolument nécessaire de souscrire à la théorie du genre avant que de la nier ?

    Sans parler de son jargon jargonnant pour faire société et vivre ensemble grâce à l'en commun inclusif.

    Je sais bien que les socialistes organisent une primaire qui porte en l'espèce bien son nom. Je sais bien qu'ils sont tenus de complaire, ce verbe est cruel, à leur clientèle des terres neuves, mais tout de même, un Peillon n'est pas un Hamon, pris dans une trappe électorale.

    Par quelle funeste magie un être aussi lettré peut-il se laisser aller à comparer le sort du mahométan d'aujourd'hui à l'israélite d'hier ? Pourquoi faut-il m'obliger à l'exercice ingrat de devoir rappeler que les juifs en 1940 ne massacraient personne en invoquant leur Dieu et que fort heureusement aucun enfant musulman n'a été massacré dans une école ou un supermarché ?

    Ainsi donc , en voulant fustiger niaisement Vichy et la lepenisation, M. Peillon aura contribué à la plénélisation des esprits ou du moins de ce qu'il en restait au parti socialiste.

    En réalité, on pourrait avancer que les gauches européennes sont en train de payer leur goût immodéré de l'étiquette. J'entends par là leur addiction pour l'essentialisme, autre nom du préjugé religieux, racial, sexuel ou social et leur détestation symétrique de la réalité dérangeante.

    Pour la gauche, le musulman doit porter en toutes circonstances et par tous les temps, même contre les évidences météorologiques, l'étiquette de victime.

    Sauf que les temps ayant changé et les étiquettes valsé, la gauche s'est ridiculisée.

    Mais, étrangement, elle continue à ne pas s'en apercevoir et poursuit son étiquetage saugrenu sans en mesurer le prix sur son crédit.

    C'est ainsi que la gauche télévisuelle de service public, dans le cadre de l'Émission Politique sur la deuxième chaîne continue d'échantillonner les téléspectateurs sélectionnés pour poser des questions à leur invité selon un étiquetage idéologique stéréotypé.

    Pour poser une question à M. Valls, il était apparemment indispensable de sélectionner une musulmane voilée qui se plaignait de sa condition victimaire. L'étiquetage devient rituel : c'est ainsi qu'au mois de janvier 2016, la chaîne invitait une certaine Wiam Berhouma pour porter la contradiction la plus offensante à Alain Finkielkraut dans l'émission « des paroles et des actes ».

    Cette femme était, renseignements aisément pris, une proche du Parti des Indigènes de la République, organisation que certains esprits chagrins étiquettent de raciste. Par une coïncidence cosmique la femme voilée questionnant Manuel Valls, Mme Trabelsi, est également proche du Parti précité et admiratrice de M. Ramadan. Le jeune et sympathique étudiant choisi dans l'émission politique également en 2016 pour questionner Nicolas Sarkozy présentait un profil assez voisin.

    Notons que dans la même émission, les sélectionneurs, sans doute dans un esprit d'équilibre idéologique, se sont sentis dans l'obligation d'inviter Cédric Herrou, activiste No Border en Provence et renvoyé devant le tribunal correctionnel pour avoir convoyé des sans-papiers. Dans la presse convenue, il est plus convenable d'étiqueter son geste « délit de solidarité » et tant pis s'il revient à s'octroyer le pouvoir souverain de décréter lui-même le droit d'asile au lieu et place des autorités républicaines. Il est vrai que ses amis de la Gisti, dans le cadre de la peillonnisation des esprits, se plaisent à étiqueter semblables individus comme des « Justes ». Au-delà de la comparaison scabreuse, les risques pris par les uns hier et par les autres à présent, ne semblent pas identiques, au regard de la jurisprudence pratiquée aujourd'hui par nos juges bienveillants.

    Notons encore que M. Valls, qui hier encore morigénait Mme Merkel pour l'ouverture des portes et fenêtres de l'Allemagne aux migrants venus d'Orient, était tout d'un coup bien timide devant le sans frontières arrogant. Hier encore, étiqueté Jules Moch sur son képi, qui sait si demain ce n'est pas l'étiquette de Jules Guesde que Manuel portera sur sa casquette.

    Certains - ou certaines - pratiquent un auto étiquetage essentialiste de la même farine désormais étouffante. C'est ainsi que dans Le Monde, Ségolène Royal s'affuble elle-même de l'étiquette sinon de femme battue, au moins d'injustement traitée ès qualités. En avant-première d'une émission sur la chaîne « Toute l'histoire », notre ministre explique sérieusement à un Gérard Miller, psychanalyste cathodique qui l'écoute religieusement, que les critiques qui lui ont été adressées lorsqu'elle a dit la « vérité » sur Cuba étaient de nature sexiste…

    Et d'appeler révolutionnairement à la « transgression féminine ».

    Pas moins.

    Bien entendu, la gauche n'est pas avare d'épithètes pour les étiquettes sur ses adversaires. « Fachos », « populistes », « islamophobes », « extrême droite ». Ce genre d'étiquetage ne déchiquette plus méchamment depuis que les dents des étiqueteurs sont élimées.

    Et depuis que le curseur qui fixe les extrémités du planisphère politique a changé un peu de mains.

    Les islamo-gauchistes de la Seine-Saint-Denis m'ont évidemment étiqueté de raciste et certains de nazi pour avoir moqué l'étiquetage « colonie juive de Jérusalem ». Étrange appellation géographique. La valse des étiquettes fait place aux étiquettes Valls, puisque c'est sous son ministère que l'étrange arrêté qui plaît tant dans le 93 aura été pris. À voir un terroriste, sympathisant de l'État islamique, se déchaîner hier au volant de son camion à Jérusalem, en employant contre les « colons juifs » la même conduite que son compère de Nice, on comprendra qu'il est des petits étiquetages qui grandissent.

    L'appellation sur la Toile connaît aussi la loi de l'étiquette. Ainsi du droit contesté pour les gueux et les fâcheux de contester les aristocrates de la presse convenable. Voilà la bien fâcheuse sphère rageusement étiquetée « fachosphère ». Apparemment nos aristocrates sont moins fâchés par une islamosphère ou une gauchosphère innommées et pourtant peu avares d'étiquetage racial. Rien à sphère. La gauche, c'est bien connu, a l'étiquette sélective.

    Le meilleur - ou le pire - pour la fin et l'illustration du processus de crétinisation. Dans un étrange et dernier hommage à Michel Déon, notre ministre de la Culture, Audrey Azoulay a cru devoir étiqueter politiquement et pour l'éternité le dernier des hussards : « Malgré sa proximité avec les thèses de Charles Maurras, il gardait en littérature une totale liberté dans ses choix » (Le Figaro, Bertrand de Saint-Vincent).

    Imagine-t-on un seul instant, un ministre de la Culture de droite rendant un hommage mérité à la liberté créatrice de Louis Aragon « malgré sa proximité avec les thèses de Joseph Staline » ?

    Tout est là peut-être. La gauche avait Aragon et elle avait Ferrat. Elle avait tort, sans doute, mais elle faisait rêver et chanter. Aujourd'hui, elle a Peillon, Hamon et Azoulay . Elle fait encore pleurer.  

    « "Fachos" , "populistes" , "islamophobes", "extrême-droite". Ce genre d'étiquetage ne déchiquette plus méchamment depuis que les dents des étiqueteurs sont élimées. » 

    Gilles William Goldnadel

    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox.            

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Brooklyn Affairs

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    A l’affiche : Brooklyn Affairs, un film américain de Edward Norton, avec Edward Norton (le détective privé Lionel Essrog), Bruce Willis (Frank Minna, le mort), Gugu Mbatha-Raw (Laura Rose), Alec Baldwin et Wiillem Dafoe (le politicien Moses Randolph, et son frère Paul),

    d’après un roman Motherless Brooklyn, en français Les orphelins de Brooklyn, de Jonathan Lethem.

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    Brooklyn Affairs… Nous aurions mieux fait de nous occuper de nos propres Affair(e) ou d'aller voir un autre film plutôt que de perdre 2h1/2 à New York, dans ce très long-métrage. Une histoire compliquée avec des politiciens mafieux (mais n'est- ce pas un pléonasme ?) et des "privés" dont certains pourraient bien être ripoux. On s'amuse (mais n’est-ce pas malsain ?) du syndrome de Gilles de la Tourette. Heureusement il y a Gugu, agréable à regarder.

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.
    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Hors normes

    non

    10/11/2019

    Une bonne soirée

    It Must Be Heaven

    Non

    06/12/2019

    Un très bon film

    Midway

    non

    11/11/2019

    Un bon film

    Une vie cachée

    oui

    05/01/2020

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    J’aurais pu et dû ne pas le voir

    Brooklyn Affairs

    non

    11/01/2020

    Je m’y suis ennuyé

    Le meilleur reste à venir

    non

    29/10/2019

    Je n’ai pas aimé du tout

    Chanson douce

    oui

    10/12/2019

    Le film à retenir depuis le 1er janvier

  • Goldnadel a raison ! Et il ose dire les choses : « Le racisme anti-blanc impose l'omerta médiatique »

     Marché aux esclaves noirs en Libye 

     

    Par  

    CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d'associations osent parler. Selon lui, c'est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d'abus sexuels révélé à Telford. Cette chronique [Figarovox,20.03] dit avec force et un courage certain un grand nombre de simples vérités !  LFAR

     

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    Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l'information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt « détestation anti-occidentale ». 

    Vous éviterez ainsi le chromatisme gênant. On peut parler des noirs, davantage encore du racisme qui les frappe. Mais évoquer le blanc, sauf de manière négative, voilà qui est gênant. Et très inélégant. En parler le moins possible. J'ai connu une époque, pas très lointaine, où les organisations antiracistes autoproclamées contestaient l'existence même de l'aversion du blanc. Lorsqu'on la leur mettait juste dessous leurs yeux, elles la reconnaissaient du bout des lèvres pincées en alléguant le fait que seules des organisations « d'extrême droite » se souciaient de cette question très secondaire. Bref, une pirouette assez primaire. De nos jours, lorsque le temps est clair, certaines condescendent toutefois à se saisir de cas emblématiques, pourvu que le traitement soit discret et homéopathique.

    L'actualité récente me permet, à travers deux exemples, l'un en creux, l'autre en plein, de faire sonder du doigt le trou noir maudit.

    Prenez Mayotte. On a tout dit sur les dernières manifestations d'exaspération de la colère populaire des Mahorais à propos de l'immigration massive et invasive.

    On a dit que cette colère était légitime. On a dit que cette immigration était insupportable pour la population autochtone. On a reconnu sans barguigner le lien entre immigration excessive, illégale et criminalité. On a convenu également qu'elle était facteur de misère sociale, médicale et d'appauvrissement. On a accepté sans pousser de hauts cris de questionner la légitimité du droit du sol. On a reconnu qu'il existait effectivement « des Français de papier » qui avaient indûment instrumentalisé le droit du sol français pour devenir nos concitoyens pour de pures questions d'opportunité financière. On a tout dit, sauf que les Mahorais qui se plaignaient légitimement mais parfois violemment seraient des racistes, des xénophobes ou des populistes extrémistes.

    On voudra bien à présent se donner la peine de comparer le regard compréhensif et même empathique porté par le monde médiatique et politique à l'égard des Mahorais exaspérés avec celui qui embrasse, si l'on ose dire, la population métropolitaine qui, aujourd'hui majoritairement, considère l'immigration illégale et massive comme un facteur d'inquiétude majeure. Encore que les réactions de celle-ci soient infiniment plus calmes que celle de la population mahoraise, qui peut honnêtement nier que le jugement médiatique et politique soit dans le meilleur des cas condescendant et dans le pire haineux et méprisant ? Pour ceux qui ne veulent pas comprendre ce qui explique cette différence de regard, je vais leur mettre crûment la réalité sous les yeux. La population française métropolitaine, à la différence des Comoriens musulmans de Mayotte, est majoritairement chrétienne, blanche et occidentale. Par conséquent plus facilement soupçonnable de racisme, précisément par un préjugé raciste insoupçonné et indicible.

    Mais que j'ose nommer et que j'ai déjà expliqué par l'Histoire.

    À présent, passons au second exemple explicite et extérieur à la France.

    L'excellente revue National Geographic s'est livrée récemment à une autocritique en règle en examinant de quelle manière, au siècle dernier, elle était restée indifférente à la réalité et à la souffrance noires.

    D'un siècle l'autre, d'un excès l'autre, et, parfois, d'une souffrance l'autre. Je ne crains pas en effet d'appliquer cette saine autocritique au présent et à la souffrance blanche que l'on cache, que l'on tait ou que l'on ne veut pas voir.

    C'est ainsi que les exactions contre les fermiers blancs en Afrique australe font partie des territoires occultés de l'information. Au Zimbabwe, la quasi-totalité des fermiers blancs ont été expulsés. De très nombreux fermiers massacrés. L'ex-dictateur Mugabe, récemment déchu, refusait de répondre à un journaliste parce qu'il était blanc. C'est dans ces conditions que la revue Jeune Afrique (et non un journal occidental) a écrit : « Les abus et les erreurs commis par Londres, les colons britanniques et leurs descendants, pour beaucoup restés fidèles à Ian Smith, ont été nombreux. Mais en répliquant avec une politique aussi inconséquente, Mugabe aura surtout ajouté de la souffrance à l'injustice. » De la souffrance blanche. Selon la BBC, cette politique a détruit l'économie du Zimbabwe basée sur l'agriculture, qui est dans une situation catastrophique avec une hyperinflation et une réapparition du choléra.

    Qui pourrait prétendre honnêtement que ce racisme-là a été condamné par la classe médiatique antiraciste ?

    En République Sud-Africaine, la situation n'est aujourd'hui pas meilleure. De très rares articles dans la presse écrite française s'en saisissent pour décrire « le massacre oublié des fermiers blancs ». Les télévisions françaises s'en désintéressent complètement.

    Plus indiscutable et plus récemment encore, le 22 février 2018, l'agence Reuter, dans une indifférence totale, annonçait que « dans un souci de soigner les divisions du passé, le président sud-africain fraîchement élu Cyrille Ramaphosa avait annoncé que l'expropriation de terres sans compensation était envisagée pour accélérer leur redistribution aux Sud-Africains noirs ».

    Si les mots ont un sens, cette annonce aurait dû plonger tous les hommes de bonne volonté, sincèrement désireux d'harmonie entre les peuples, dans un état de consternation ou d'hébétude.

    Si cette mauvaise décision est en effet menée à bien, elle tournera définitivement le dos à la politique de pardon et de réconciliation chère à Mandela et à Declercq. Elle signifiera la fin du pays « arc-en-ciel ». Plus désespérément encore, elle signifiera qu'un règlement politique pacifique basé sur la concorde et non le rapport de force est une chimère. Elle donnera raison aux pessimistes et aux cyniques.

    Mais il y a peut-être encore pire: l'incroyable omerta qui couvre pour l'heure en France les crimes sexuels autour des filles blanches ayant été découverts dans la commune anglaise de Telford.

    Près de mille jeunes filles ont fait l'objet de viols collectifs et de trafic de proxénétisme violent de la part d'hommes issus principalement de la communauté pakistanaise. L'affaire connue depuis plusieurs mois, vient de prendre désormais une dimension extravagante et met en cause la police et les médias.

    À l'époque de « Balance ton porc », où les violences faites aux femmes font l'objet d'une attention obsessionnelle permanente, le silence qui entoure ce drame immonde prend un tour invraisemblablement obscène et scandaleux.

    Je renvoie notamment aux articles du Birminghammail et du Mirror du 11 mars 2018 ainsi qu'à la note Wikipédia en français issue de la note anglaise qui vient d'être complétée: « Suite aux nouvelles révélations en mars 2018 dans le Sunday Mirror, la journaliste Johanna Williams du magazine Spiked, s'émeut que ce qui semble être le pire scandale d'abus sexuels sur des enfants de Grande-Bretagne ait reçu relativement peu de couverture et ne fasse pas la une de journaux tels que le Guardian ou le Times , alors que depuis plusieurs mois, le harcèlement des femmes est dénoncé comme par exemple par le mouvement Me Too dont elle dénonce l'hypocrisie et le silence assourdissant ». Comme de nombreux journalistes anglais le reconnaissent désormais, ces nouvelles révélations sont issues d'enquêtes du Daily Mirror et ont montré que l'étendue des abus était beaucoup plus vaste que ce qui avait été révélé auparavant.

    « Comme dans les autres affaires similaires, les auteurs étaient très majoritairement d'origine pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Par crainte d'être considérées comme racistes, les autorités ont longtemps refusé d'enquêter » (Steve Bird The Télégraph du 9 décembre 2017).

    Pendant ce temps, les pseudo-antiracistes hystériques et les néo-féministes frénétiques à moralisme chromatiquement variable restent calmes.

    La souffrance, quand elle est blanche, demeure une zone noire interdite de visite. 

    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain.  

  • « Balance ton porc », politique des minorités : le multicultualisme américain à la sauce française

     Marché aux esclaves noirs en Libye 

     

    Par  

    TRIBUNE - Gilles-William Goldnadel observe l'américanisation de la société française. Il dénonce l'alliance entre un antiracisme et un féminisme sectaires et délétères.Cette chronique [Figarovox,27.11] dit avec force et un courage certain un grand nombre de simples vérités !  LFAR

     

    XVMf7715e60-bd8b-11e7-b423-cdc4e7cfb664.jpgAprès Charlottesville en août qui accoucha de la campagne d'éradication des statues de Colbert en septembre, après l'affaire Weinstein d'octobre qui balança le porc français par-dessus bord en novembre, voici le consommateur français saisi de transes à la faveur transatlantique du Black Friday. Jamais dépendance culturelle et linguistique à l'égard des États-Unis ne s'était fait sentir avec autant de consentement complice.

    Il faut dire que cette soumission acceptée n'a rien de politiquement ou économiquement innocent. La fièvre du vendredi noir est une fièvre acheteuse de nature consumériste. La tentative de talibanisation du CRAN à l'égard de l'histoire de France est un consommé de « Black Lives Matters » à la sauce créole. Quant au mouvement « balance ton porc » qui s'est caractérisé à ses débuts par une délation électronique qu'il est désormais défendu de taxer d'hystérique, il est déjà tenu en laisse par le féminisme gauchiste le plus agressivement intransigeant.

    Dans l'emballement médiatique du moment, il est totalement illusoire de penser que réfléchir sur l'événement aurait la moindre chance de pouvoir le contrarier. Le temps de l'intellect est précisément le contraire de celui de l'émotion embrigadée. Il est même son contretemps.

    Mais pour préparer l'avenir, il n'est pas interdit de tenter de prévenir et de prédire en décodant le présent.

    Il ne relève en rien du hasard mais tout de la nécessité politique que l'idéologie gauchisante et ses serviteurs zélés tentent de se refaire une santé à travers le féminisme actif après avoir connu la déroute et la déconsidération sur le terrain de l'antiracisme militant.

    La révélation du racisme islamiste, et de ses effets terroristes criminels, aura porté un coup fatal à un antiracisme dévoyé dont le caractère pathologiquement anti-blanc apparaît désormais crûment à la lumière glauque des camps racisés.

    Il fallait pourtant être particulièrement myope et strabique pour ne pas voir que l'obsession du racisme dissimulait en creux l'obsession de la race détestable.

    Cette semaine, un des derniers tabous de l'antiracisme dévoyé vient de voler en éclats : la pérennité de la traite négrière arabo-islamique. Il aura fallu la viralité d'un terrible document diffusé par CNN sur un marché aux esclaves noirs en Libye pour obliger les médias conformistes à traiter le sujet. Le Monde dans un article éclairant de Charlotte Bozonnet daté du 23 novembre reconnaissait enfin la réalité « persistante du racisme anti noir au Maghreb ». Une manifestation à Paris fut organisée, mais seuls des Noirs criaient leur impuissance, en l'absence remarquable des grandes associations antiracistes.

    Mais laissons la parole à l'écrivain algérien Karim Akouche (Marianne) : « La traite négrière est triple : l'occidentale (la plus dénoncée), l'interafricaine (la plus tue) et l'orientale (la plus taboue). On y dénombre plus de 40 millions d'esclaves. La plus longue, la plus constante aussi est l'orientale. A-t-on le droit de le dire ? A-t-on la liberté de l'écrire sans se faire taxer de néocolonialiste ? »

    C'est donc parce que le roi gauchiste était ridiculement nu sur le terrain non seulement intellectuel mais désormais largement médiatique de l'antiracisme anti-occidental, qu'il a décidé de se retrouver un domaine voisin plus sûr en s'emparant de la cause des femmes.

    Hélas, les violences sexistes sont une chose trop sérieuse pour en confier la résolution aux amies de Caroline de Haas, de Clémentine Autain et de Marlène Schiappa.

    Et l'on peut prédire, hélas sans grand risque, que le féminisme dévoyé aura autant raison du sexisme que l'antiracisme dévoyé aura eu raison du racisme. Bien au contraire, il ne fera que l'exacerber par son outrance idéologique, son unilatéralisme dogmatique et ses stéréotypes crétins.

    Au demeurant, leur antiracisme en déconfiture et leur féminisme conquérant ont déjà fait naturellement alliance en dissimulant la forêt du machisme oriental derrière l'arbre occidental. C'est cette même Marlène Schiappa, on le rappelle, qui ne voit pas plus d'antisémitisme dans les quartiers que de machisme à la Chapelle-Pajol. Clémentine Autain et Caroline de Haas, sont au moins sur ce point, sur la même longueur d'onde.

    Prenons date, même s'il est aujourd'hui médiatiquement suicidaire de l'écrire : on peut prédire, hélas sans plus de risques, que l'emballement actuel irrationnel va accoucher d'une vague de procédures pénales dont toutes ne seront pas caractérisées par la bonne foi et le désintéressement mais par le chantage et de règlement de comptes.

    Je ne suis pas professionnellement le plus mal placé pour affirmer que dans l'état actuel de quasi-paralysie de la justice pénale, il en résultera fatalement une thrombose qui pénalisera en premier lieu les véritables victimes des violences conjugales.

    Prenons date encore, quitte à encourir le courroux du moment exalté : la contraventionnalisation inflationniste des comportements inappropriés, dont l'appréciation est sujette à la subjectivité, va dévaluer le traitement de la pénalisation nécessaire des comportements objectivement violents et des viols.

    Reste enfin et surtout la culpabilisation des hommes et l'injonction à leur repentance, exactement à l'instar de ce qu'il était demandé aux Français et aux Occidentaux de faire, ce qui évidemment ne tient pas du hasard.

    L'actuel président de la république a parfois le goût des formules qui ne font pas honneur à son intelligence. A décharge pour cette dernière, on les mettra, en partie, sur le compte de son opportunisme sociologique.

    Ainsi, on se souviendra longtemps de ses propos nazifiant la colonisation française de l'Algérie. Ou de ceux, plus récents, qualifiant de « menteurs » « ceux qui veulent faire croire que l'islam se construit en détruisant les autres monothéismes », constitutifs, pour le coup, d'un bien fieffé mensonge.

    Cette semaine, s'agissant des violences faites aux femmes, Jupiter redescendu sur terre, a cru devoir évoquer sa « honte » « en tant qu'homme ».

    Il a même réclamé et obtenu une minute de silence en hommage aux 126 malheureuses femmes décédées cette année des suites de violences conjugales. Renseignements pris, pendant la même période, 34 hommes étaient tués dans les mêmes conditions par leur conjointe. Ce chiffre de 25 % rejoint au demeurant les statistiques américaines en cette triste matière. Il montre, qu'au-delà de ce stéréotype anti-masculin indiscutablement sexiste, la femme, pour être la première, n'est pas l'unique victime et que l'homme n'est pas le seul tortionnaire. Un quart ce n'est pas tout mais ce n'est pas rien, et peut-être bien que ces hommes victimes auraient pu mériter dans ce contexte compassionnel, 15 secondes de silence.

    L'homme qui écrit ces lignes, sans poser en victime car ce n'est pas son style, a fait condamner en justice sa harceleuse (tribunal correctionnel de Pontoise confirmée par la cour d'appel de Versailles).

    Toute honte bue dans ce cadre frénétiquement soupçonneux et prompt à l'indignation, il confesse qu'il n'a pas honte, en tant qu'homme, du mal qu'il n'a pas fait aux femmes.  

    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain.  

  • «Territoires perdus et faiblesse d’État». L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers.

    L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers.

    Source : https://www.lefigaro.fr/vox/

    Nous en étions à la statue de Colbert, à la contextualisation d’Autant en emporte le vent, aux propos coupables de Jules Ferry sur la colonisation ; aux «hommes et femmes qui, selon la chanteuse Camélia Jordana, vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau», aux «violences systémiques» de la police qu’il faudrait «désarmer» selon les mots, une fois encore prophétiques, de Jean-Luc Mélenchon.

    Nous vivions dans cette surréalité au point de mettre trois jours à réaliser qu’à Dijon, deux communautés s’affrontaient sauvagement à balles réelles, au milieu d’une anarchie de flammes, de fumées et de destructions. François Molins, qui s’y connaît, confie n’avoir «jamais vu une telle intensité de violence». Nous aurions pu nous en douter. Depuis des décennies, des centaines de quartiers en France connaissent la triple peine: immigration incontrôlée, désintégration de l’école, insécurité galopante. La loi commune, l’ordre public, la civilité élémentaire ont disparu. Au code civil ont succédé les règles du trafic, les normes communautaires, les pratiques des bandes: une loi sommaire, bête et méchante. Une «véritable contre-société en rupture culturelle profonde» (Gilles Kepel). Depuis des années, discrètement mais sûrement, l’autorité de l’État s’arrête à l’entrée de ces territoires perdus. Là-bas, ce n’est pas la guerre, non, mais ce n’est plus la paix. La consigne, pour les forces de l’ordre, est d’y agir avec «discernement». En d’autres termes, c’est à la police, que les pouvoirs publics demandent de se tenir tranquille.

    Les esprits cyniques ont longtemps cru que ces violences resteraient cantonnées aux banlieues lointaines. Erreur tragique! La technique du chaos a fait jurisprudence. Elle enflamme régulièrement les centres-villes. Zadistes, antifas, islamistes, racailles, black blocs veulent déboulonner ce qu’il reste d’autorité. M. Castaner leur répond par des tweets dans lesquels il «condamne» et promet des «réponses fermes». Les dealers cagoulés du quartier des Grésilles qui paradent, kalachnikov à la main, en tremblent encore. 

  • Pour saluer Gustave Thibon...

    1903 : Naissance de Gustave Thibon

     

    • Retrouvez deux des Discours de Gustave Thibon aux Rassemblement Royaliste des Baux, qui constituent deux de nos Grands Textes :

     

    GRANDS TEXTES (IV) : Le suprême risque et la suprême chance.

     

    GRANDS TEXTES (X) : La paille des mots remplace le grain des choses.

     

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    Au Rassemblement Royaliste des Baux, dont il fut sans conteste l'un des piliers, par la régularité et la qualité de sa participation...

    "Vous êtes, vous et vos amis, les héritiers spirituels de Charles Maurras. Mais vous savez bien qu'un héritage n'est pas un talisman ni une baguette magique : c'est un outil. Et un outil qu'il faut savoir manier et adapter en fonction du mouvement de la vie qui ramène toujours le semblable, jamais l'identique. Épouser la pensée d'un maître, cela veut dire s'unir à elle pour lui faire des enfants et non pas la stériliser sous prétexte de lui conserver je ne sais quelle intégrité virginale. Il n'y a pire trahison qu'une certaine fidélité matérielle et littérale qui, en durcissant les principes en système, n'aboutit qu'à congeler ce qui était le jaillissement d'une source vive. Les exercices de patinage qu'on peut faire sur cette glace ne m'intéressent pas. La vraie fidélité est celle qui prolonge, qui corrige et qui dépasse. Et le meilleur héritier n'est pas celui qui fait de son héritage un musée ou une exposition rétrospective. "Le bien gagné reste à défendre" : le capital de la sagesse que Maurras vous a légué, vous ne le conserverez qu'en le fécondant, en le récréant sans cesse".

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    Radioscopie, 9 avril 1974 : Jacques Chancel reçoit Gustave Thibon : 

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Assassinat de Théo et occultation volontaire de l'origine du criminel : trois réactions sur tweeter, que nous partageons entièrement...

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    Patrick Edery
    #PROPAGANDE JT @France2tv : "Théo a été tué par un client" pas un mot sur le fait que c'est un Sénégalais multirécidiviste. Le reportage est quasiment exclusivement accès sur "Mohamed, le héro qui a maitrisé l'assassin", pratiquement rien sur Théo ou le tueur.
     
     
    André Bercoff
    #Theo: assez de larmes, d’excuses, de fleurs, de bougies, de marches blanches, de bouffées délirantes, de déni, d’impunité, de surdité, d’aveuglement, de lâcheté : la légitime défense, c’est maintenant. L’arbre du #Covid_19 ne peut cacher la forêt de la décomposition française.
     
     
    Gilles-William Goldnadel
     
    Je propose le hashtag #Theoccultation afin d’obliger les médias écrits comme Le Monde ou audiovisuels publics comme France Inter et France 2 à ne plus cacher le fait que son meurtrier est un délinquant sénégalais irrégulier. Le mensonge idéologique gauchisant , c’est assez !
     

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    Pour Théo comme pour toutes les vies arrachées par cette barbarie importée volontairement par le Système, qui posera un genou à terre ? 

     

    1 BIS. D'accord aussi avec cette réaction de Damien Rieu :

    Il y a des #Theo blessés accidentellement pour qui le président se déplace et des Théo qui se font massacrer par des migrants sénégalais mais n’ont même pas le droit à un tweet. C’est le privilège blanc ? #JusticepourTheo

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    Aucun mot de la Macronie pour le jeune Théo. Par contre McFly et Carlito auront droit aux éloges et aux honneurs le 14 juillet. Devant un tel abîme d'indécence et d'ignominie, on n'a plus de mots...

     

    1 TER. Par contre, comment ne pas être scandalisé par cette "réaction" (?) de la CGT, qui ose parler d'un "accident du travail" et appelle à protéger les salariés ? Mort au travail, mesures de prévention ? On croit rêver ! Les syndicaliste de la CGT sont donc  capables de faire passer l'immigration illégale, l'islamisme, les criminels pour des facteurs de la lutte de classes ! C'est la France et les Français qu'il faut protéger !