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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : La Fille au bracelet.

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    A l’affiche : Proxima, un film franco-allemand d’Alice Winocour, avec Eva Green (Sarah Loreau, l’astronaute), Zélie Boulant-Lemesle (Stella, sa fille), et la participation de Thomas Pesquet.

    guilhem de tarlé.jpgQuand on rêve toute petite d’aller dans l’espace, quel autre prénom donner à sa fille que Stella ?

    Proxima est un docu fiction sur l’entrainement d’une femme astronaute, et le cordon ombilical qu’elle doit couper avec sa fille pour ledit entrainement, avant de partir un an à bord de la navette et de la station spatiale… Mon épouse dit que c’est un film de femmes et, effectivement, j’ai trouvé cette réalisation en-deçà de celles que j’ai pu voir l’an dernier pour célébrer le jubilé des premiers pas sur la lune (après Tintin).

    Alors que les « starlettes » remplissent la presse people et les médias, à commencer par les journaux télévisés, je m’étonne a contrario de ne jamais voir ces héroïnes mises à l’honneur .
    les journalistes du beau sexe seraient-elles jalouses ?
    Qui connaît le nom de Claudie André-Deshays, la première française (et je crois la seule) dans l’espace ?

    .

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 400 autres sur mon blog Je ciné mate.
    Pour mémoire  

     

    Titre

    Violent/scabreux

    Date

    Il aurait été très dommage de ne pas le voir

    Le cas Richard Jewell

    oui

    22/02/2020

    Une bonne soirée

    Sol

    Non

    12/01/2020

    Un très bon film

    La Fille au bracelet

    oui

    12/02/2020

    Un bon film

    Proxima

    non

    23/02/2020

    (Très) intéressant

    Un monde plus grand

    non

    28/11/2019

    A revoir en VF

    La Famille

    non

    08/10/2019

    j’aurais pu et dû ne pas le voir

    Lillian

    non

    14/01/2020

    Je m’y suis ennuyé

    Séjour dans les monts Fuchun

    non

    09/02/2020

    Je n’ai pas aimé du tout

    Chanson douce

    oui

    10/12/2019

    S’il faut retenir un film depuis le 1er janvier

    Le cas Richard Jewell

    oui

    22/02/2020

  • La crèche, « admirable signe » par Gérard Leclerc

    Dimanche 1er décembre, le Pape publiait une lettre apostolique sur la signification et la valeur de la crèche, celle-ci étant qualifiée d’« admirabile signum ». « La crèche, écrivait-il, est comme un Évangile vivant, qui découle des pages de la sainte Écriture. En contemplant la scène de Noël, nous sommes invités à nous mettre spirituellement en chemin, attirés par l’humilité de celui qui s’est fait homme pour rencontrer chaque homme. »

    13584804_1050497325039319_7100176010205014433_o.jpgEt si certains peut-être chez nous font preuve de pusillanimité, craignant d’exposer ce signe en public, le pape François, lui, n’a aucun scrupule : « Par cette lettre, je voudrais soutenir la belle tradition de nos familles qui, dans les jours qui précèdent Noël, préparent la crèche. Tout comme la coutume de l’installer sur les lieux de travail, dans les écoles, les hôpitaux, les prisons, sur la place publique. » Et pour enfoncer encore le clou : « Je souhaite que cette pratique ne se perde pas ; mais au contraire, j’espère que là où elle est tombée en désuétude, elle puisse être redécouverte et revitalisée. »

    Le Saint-Père a-t-il été mis au courant de la querelle franco-française sur les crèches publiques qui est remontée jusqu’au Conseil d’État, lequel s’est engagé dans des distinguos subtils entre le cultuel et le culturel afin de préserver notre sacro-sainte laïcité, dont il ne faut pas trop médire pour les services qu’elle rend mais qu’il ne faut pas trop absolutiser non plus. On s’aperçoit d’ailleurs qu’hormis quelques séides sectaires de la Libre pensée, bien rares sont les adversaires de la crèche dans l’espace public. À Béziers, la crèche de la mairie a été inaugurée en présence de toutes les notabilités religieuses, y compris les imams !

    Certes, il y a eu du grabuge à Toulouse. Une cinquantaine d’individus violents ont manifesté en hurlant contre la crèche vivante de la place Saint-Georges, obligeant les organisateurs à interrompre le spectacle, ne serait-ce que pour protéger les enfants effrayés. Mais à leurs corps défendants, les vociférateurs n’ont-ils pas mis en valeur le témoignage pacifique de ce nouveau-né complètement désarmé devant leur violence et leur sottise ?

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 16 décembre 2019

     

  • SACR TV : Pour une Monarchie sociale et corporative


    La Monarchie ne peut vivre sans les libertés corporatives, comme les libertés régionales, provinciales et familiales. Elle ne se maintient qu’à la condition de les protéger, de même que la république ne subsiste qu’à la condition de les étouffer, car le principe qui est à la base de la république, c’est l’élection ; à la base de la Monarchie française, il y a l’hérédité. Parce que le pouvoir républicain est électif, son existence est à la merci d’un scrutin. Pour durer, il s’arrange de manière à ce que le scrutin lui soit toujours favorable, en faisant de l’individu son débiteur.

    Or l’individu ne devient vraiment débiteur du pouvoir républicain que lorsque ce pouvoir est le seul dispensateur des grâces, c’est-à-dire lorsqu’il n’existe pas, pour protéger l’individu, d’autre forteresse que l’Etat républicain. Cela ne veut pas dire que les élections n’existent pas en Monarchie, bien au contraire mais celles-ci sont débarrassées du parasitisme des partis. Les élections, plus nombreuses en Monarchie, sont liées au quotidien des Français, dans tous ce qui les touchent de près : organisation citadine, des métiers, représentants aux conseils de province, impôts, écoles, etc…

    La Monarchie corporative se bornera à faire du travailleur un professionnel, c’est-à-dire un connaisseur, un homme de métier, un propriétaire, comme le sont les médecins, les sages-femmes, les avocats et les notaires.

    C’est un connaisseur, un homme de métier qu’elle appelle à exercer telle ou telle fonction publique ; c’est un connaisseur, un homme de métier qu’elle place à la tête de l’Etat. Le Roi est un spécialiste, un professionnel, car jeune, il est initié à tous les détails du métier qu’il doit exercer un jour. Il est par là même beaucoup plus apte à gouverner que tous les politicards des partis politiques de la république !

    Ce qui fait du Roi un homme étant le plus capable de gouverner, c’est justement l’Hérédité dynastique qui est un apprentissage perpétuel de la fonction royale. Pourquoi cela ? Tout simplement parce que l’Hérédité dynastique lie le sort du Roi à la fortune de l’Etat. Assuré de laisser à son fils l’administration du bien national, le Roi sent par la force des choses son intérêt particulier se confondre avec celui du pays ; il est ainsi intéressé à la prospérité publique comme le cultivateur est intéressé à la bonne culture de son champ, l’industriel au développement de son industrie, le père à celui de sa famille… etc.

  • Sur la page facebook de notre ami Frédéric de Natal : Le chef de la maison royale de France invité par la Marine nationa

    Le chef de la maison royale de France invité par la Marine nationale*. Le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant au trône de France, invité aujourd'hui* à la cérémonie de remise de fanion de la promotion "Amiral de Joinville" suite à l'invitation de la "Royale", surnom que l'on donne à la Marine nationale .

    Fils de Louis-Philippe Ier d'Orléans, prince du sang, François Ferdinand Philippe Louis Marie d’Orléans (1818-1900) fera ses classes respectivement à Toulon, avant de rejoindre brièvement la Corse, la Toscane, Naples et enfin Alger. Passionné par la Marine, il participera à la conquête des côtes barbaresques, future Algérie française. Voyageur infatigable, très populaire parmi les marins, le fils du roi des français s'illustre encore au Mexique et conduira le retour des cendres de l'empereur Napoléon Ier en 1840.

    Marié à la princesse impériale du Brésil, Françoise de Bragance, il devient contre-amiral en 1843. Volontiers politique, il est un des rares princes à s'opposer à la politique du président François Guizot, président du Conseil jusqu'à la chute de la monarchie. Exilé, on pense alors à lui en 1852 afin qu'il prenne la présidence de la seconde république.Il faisait consensus face à Louis-Napoléon Bonaparte qui finit par s'emparer du pouvoir et proclamer le second empire.

    Il participe à la guerre de sécession du côté du nord anti-esclavagiste et rejoint le duc de Chartres et le comte de Paris, Philippe (VII) d'Orléans, tous deux ses neveux engagés dans l'armée yankee. Il a d'ailleurs été croqué dans le n"53 des "Tuniques bleues", principal personnage de l'album intitulé "Sang bleu chez les Bleus ".

    A la chute du second empire, il est élu député de Seine et Marne en 1871. La loi d'exil en 1886 le forcera à l'exil une nouvelle fois, entamant le dernier chapitre d'une vie qui aura été tumultueuse.

    Le maire de Neuilly et le commandant de la Marine à Paris ont tenu à inviter le chef de la maison royale de France et honorer ainsi une dynastie qui a contribué à l'essor de sa marine durant la monarchie de juillet.

    Copyright@Frederic de Natal

    *Photos suivront dans la journée.

  • Dans Valeurs Actuelles, Affaire Mila : Zemmour dénonce la lâcheté féministe.

    Dans un billet, l’essayiste s’en prend au silence assourdissant des féministes dans le débat public alors que la jeune fille a subi les foudres de ses opposants.

    eric zemmour.jpeg« Elles ont brillé par leur silence ». C’est le propos liminaire d’Éric Zemmour. Alors que l’affaire Mila n’en finit pas de rebondir, entre les menaces de mort, la déscolarisation et les invitations sur des plateaux télévisés, l’essayiste publie une chronique dans Le Figaro. Non pas seulement pour défendre la jeune lycéenne, mais surtout pour monter au créneau et dénoncer l’inaction des associations féministes, qui pourtant, sont habitués « aux réactions à chaud » ou au « féminisme médiatique », dit-il. « Toutes les Clémentine Autain et toutes les Caroline De Haas, toutes les contemptrices de la violence patriarcale ont brillé par leur silence », se désole Éric Zemmour.

    En préliminaire, l’essayiste rappelle que si la jeune fille a tenu ces propos, c’est qu’elle répondait à des insultes « de jeunes Maghrébins » et qu’un « harcèlement grossier » s’était ensuivi de menaces de mort, l’obligeant à fuir son lycée. « Pour nos féministes nouvelle vague, le patriarcat honni est seulement celui du mâle blanc occidental de culture chrétienne - d’autant plus une cible qu’il est déjà à terre. En revanche, elles ont la plus grande mansuétude pour le patriarcat arabo-musulman, exotique et associé à des populations qui sont, aux yeux de nos nouvelles dames de charité, d’éternels prolétaires victimes », énumère Éric Zemmour.

    Double discours ?

    La tête d’affiche de « Face à l’info » sur CNews, s’en prend aussi à la classe politique qui s’est perdue en reprenant « un argumentaire de publicistes catholiques, qui au XIXe siècle, tentèrent de persuader l’interdiction du blasphème, lui-même aboli par la Révolution française ». Il vise là notamment Ségolène Royal ou Nicole Belloubet qui s’étaient offusquées des propos de la jeune fille.

    Éric Zemmour ne comprend pas, enfin, la peur chez certains qui n’hésitent pas à dénoncer les « harceleurs ou violeurs » dans le cinéma, le sport ou la littérature, mais qui appellent « au respect et à la dignité des religions quand des musulmans insultent ou menacent femmes et homosexuels ». Sur CNews, le 4 février, Éric Zemmour avait reproché à Jean-Christophe Cambadélis de jouer « sur le sentiment anti-français et la victimisation arabo-islamique ».

  • Une France sans Roi ! Un Roi sans France !..., par Guy Adain.

    (Merci à Guy Adain de nous avoir fait parvenir, avec un petit mot très amical, ce qu'il s'appelle trop modestement cette "petite contribution"...)

     

    3834054413.30.jpgQuelle est la pire situation ?


    Bien évidemment je ne peux répondre qu’à la première question !
    Une France sans Roi… Que c’est triste comme devise !
    Les Français sont moroses, « En Marche » vers l’abîme d’un mal qui nous accable actuellement et qui n’est pas fait pour nous remonter le moral.
    Comment allons-nous nous débarrasser de ce fléau, et dans quel état nous en ressortirons ?
    Sans doute, y arriverons-nous grâce à la qualité, l’efficacité et le dévouement de nos hospitaliers.

    Et après ?
    On recommence comme avant ? ? ?
    Ou bien… On révolutionne ?

    Sans changement drastique, très sérieusement révolutionnaire, nous n’arriverons à rien !
    La Révolution dite Française, nous a mené là où nous en sommes. Tout en découle, et il faut, non pas repartir à zéro et revenir vers le passé, mais achever cette Révolution, dont nous n’avons fait que la moitié : après la descente aux enfers, il faut toucher le fond, marteler le sol d’un grand coup de pied et remonter vers la surface.
    Il faut solder les comptes, et pour une fois faire repentance à bon escient…Ça nous changera.
    Il faut tirer un trait sur les « Lumières » aveuglantes comme des spots de boîte de nuit ou de cabarets mal famés qui nous ont ébloui si longtemps.
    Une fois les « Lumières » éteintes, il va falloir « nettoyer les écuries d’Augias » et tâcher de retrouver : la Foi, la Loi…
    Et si Dieu veut : Le Roi !

    On pourrait commencer par expliquer aux enfants (ils comprennent mieux), qu’il est un pays de savane où 49% de lions sont soumis aux lois de 51% de veaux ! La primauté donnée aux plus nombreux se nomme la Démocratie ; et c’est dur quand on est lion de brouter l’herbe du Pré carré !
    Voilà pour la Loi !
    Pour la Foi, elle est désormais laïque, c’est la religion de la République !
    Il conviendrait donc de ranger au musée des horreurs la Loi démocratique et son pendant la Foi laïque.
    Quant au Roi qui a perdu sa tête depuis des lustres, il serait temps de la lui retrouver, et ce n’est pas le plus difficile…

    Voilà un petit programme d’après confinement ; bien sûr, ce ne serait qu’un début, mais peut-être les Français pourraient s’y intéresser et y réfléchir « En Marchant…En même temps » !

    Guy Adain

  • Sur Sacr TV : Français n'oublie jamais ce que tu es !


    Aujourd’hui tu es meurtrie par les délires malsains de la Vè république qui n’a de cesse de vouloir te détruire comme d’ailleurs, toutes les républiques depuis la première. C’est un violent châtiment issu des erreurs passées que tu subis actuellement. Ta musique n’est plus celle de Versailles enchantant les oiseaux, mais du bruit martelant les oreilles de tes enfants conditionnés par le système créant tes besoins… Tes bâtiments ne sont plus des lieux de vie, comme jadis dans tes villes peintes des temps classiques, où ceux-ci se mariaient avec le paysage, fruit de l’amour entre l’homme et la nature… Ta vie que rythmaient la beauté naturelle et le temps de chaque chose est remplacée par le confort et le luxe détruisant tes riches heures d’ententes communautaires mais il ne tient qu’à toi de retrouver ce chemin. Mais qu’importent les épreuves que tu devras affronter dans l’avenir. Quoi qu’il arrive, n’oublies jamais ce que tu es, français ! Toutes ces légendes, des gisants de pierre aux mondes étranges, d’un jadis toujours vivant qui court dans nos esprits comme dans notre sang. Héritiers nous sommes et empiriquement dignes, nous demeurerons. Tout est symbole dans les limbes qu’expriment encore les pierres où vécurent ces sagas. Ces grands d’hier vivront à travers nos actes et comportements d’aujourd’hui, comme demain l’arbre de vie irrigue nos veines sous le soleil qu’apporte la lumière du ciel. Le guerrier qui sommeille en nous, que l’instinct maintient dans la permanence, comme l’épée symbolique et pure demeure à nos côtés, est le garant de la civilisation des valeurs hautes de la société. Il reste dans ton esprit cet amour du service, ce qui fit que tu étais cet être d’exception qui à travers le monde enchantait les peuples par ses différences. Français, n’oublies jamais que tu es et seras toujours la civilisation française chaque fois que tu poseras le genou à terre face à la Croix du Christ et que tu adoreras ce que tu as brûlé, et brûleras ce que tu as adoré ! Ce jour-là Français, tout comme à l’époque de Jeanne d’Arc, tu feras reluire le soleil…

  • Distribution de masques à tous les Français : ”Pourquoi attendre encore un mois ?”, demande le médecin Jérôme Marty.

    Source : https://www.francetvinfo.fr/

    "On n'est pas un pays en voie de développement", s'exaspère Jérôme Marty, président du syndicat de médecins UFML qui ne comprend pas pourquoi le masque n'a pas été imposé il y a un mois déjà, et pourquoi il faut encore attendre un mois.

    Dans sa quatrième allocution aux Français, Emmanuel Macron a annoncé à partir du 11 mai la distribution de masques en "lien avec les maires" et "à chaque Français" pour se protéger et protéger les autres contre le coronavirus. "Pourquoi attendre encore un mois ?", demande mardi 14 avril sur franceinfo, Jérôme Marty, président du syndicat de médecins UFML (Union française pour une médecine Libre). Pour le docteur, le port du masque obligatoire arrive trop tard, "c'est incontestable".

     

    "Ça fait plus d'un mois qu'on sait qu'il faut masquer la population dans tous les domaines de la vie où on doit rompre la distanciation sociale, s'exclame Jérôme Marty. Le questionnement que l'on peut avoir, c'est pourquoi attendre encore un mois alors même qu'il continue d'y avoir une transmission de cette pathologie ?" Pour le médecin, l'urgence aujourd'hui est "d'accélérer les choses pour qu'on puisse enfin protéger la population, non seulement dans les transports en commun, mais aussi dans les cellules familiales".

    Il faut dépister les "asymptomatiques"

    Pour le président de l'UFML, cette urgence à produire et à distribuer des masques en France doit aussi être adoptée pour produire des tests de dépistage au Covid-19. "On n'est pas un pays en voie de développement", lance le médecin, pourtant "on voit qu'il manque encore des réactifs comme des écouvillons". Contrairement à la volonté du président de la République, pour Jérôme Marty, il faudra en priorité dépister les personnes "asymptomatiques", celles qui ne présentent pas de symptôme, puisqu'au mois de mai, "la grippe aura disparu". Toute personne présentant des symptômes sera forcément atteinte par le Covid-19, d'après le président du syndicat de médecins. Il appelle à ne pas perdre l'enjeu de vue :

    C'est une catastrophe nationale, avec plusieurs centaines de morts par jour. Je rappelle que tous les jours, c'est comme si un A380 se crashait en France. Jérôme Marty, président du syndicat de médecins UFML à franceinfo

  • Sanofi : d'accord avec Catoneo...

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    ... et son commentaire sur notre compte-rendu de vendredi, consacré à la prestation d'Eric Zemmour, le veille, dans son émission quotidienne du soir sur C News... :

    "Le problème de tous ces fleurons français rachetés par des étrangers puis délocalisés est plutôt simple. Le socialisme en place depuis la Libération a chassé petit à petit le capitalisme français vers des cieux plus accueillants. Comme si ça n'était pas suffisant, l'exercice d'entrepreneur est toujours aussi difficile en France comparé aux autres pays de l'OCDE, toute simplification est compensé par une nouvelle complication, et le succès y est mal vu, ce qui n'aide pas.

    Ainsi lorsque une entreprise française est à vendre, par exemple pour solder une succession ou pour appeler des fonds de développement que les propriétaires n'ont pas, il n'y a pas de vrai capitaliste français qui se présente, soit parce qu'ils sont installés loin et y ont fait leur vie, soit parce que la confiance en l'Etat socialiste français n'existe pas. Un Etat endetté jusqu'au coup et déficitaire dans tous ses comptes publics ne trouve son salut que dans la dévaluation et les taxes, ce qui terrorise un repreneur. Et je ne parle pas de l'agitation syndicale permanente.

    Donc, quand on voit arriver un repreneur français, ce n'est pas un capitaliste mais un ambianceur de concours bancaires comme Bernard Tapie. Le dit-repreneur n'a pas d'argent mais fait des tours de table avec des partenaires et des banques. A l'inverse, le capitaliste anglo-saxon ou hongkongais est le plus souvent capable de sortir un chéquier à son nom à la fin de la négociation et de compter les zéros qu'il y inscrit. C'est son propre argent et pas celui du "Crédit lyonnais".

    Les capitalistes français, nombreux autour du globe grâce à l'empire colonial, ne reviendront jamais à moins d'être devenus fous, et les fleurons industriels continueront à partir jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus. A moins que l'on rase le système socialiste actuel qui draine toute l'énergie du pays jusqu'à la cachexie. Mais il faudra rééduquer le peuple moralement affaissé par la solidarité à compte d'autrui, qui déporte la charge écrasante de son confort sur la tête des générations à naître, le comble de la lâcheté.

    Le défi est moral. Ce n'est pas un problème de souveraineté comme le diffuse Zemmour."

  • En Français s'il vous plaît ! Merci à Richard pour sa contribution...

    Après Catoneo, Richard nous envoie une réflexion intéressante sur le sujet :

    "C'est une trés bonne idée de continuer cette chronique, bien entendu il ne s'agit pas de dénigrer les autres langues, chacune étant constitutive de l'identité d'un peuple .

    Pour revenir au sujet des expressions françaises détournées, ne pourrait on ajouter "supporter" une équipe (au lieu de soutenir) ? A la limite, cantonné au domaine sportif, pourquoi pas ? d'autant que supporteur, difficilement remplaçable, étant bien installé, cela pourrait aller dans le continuum) mais ça devient "grave" quand ça diffuse comme, par exemple, supporter un candidat aux élections : c'est un contre sens.

    Autre domaine, et pour terminer par une note d'optimisme : le living-room contemporain du "Nervous Breakdown" a cédé la place à "la pièce à vivre" avant que l'on revienne se confiner au salon."

    Merci à Richard, et aux autres de dire ce qu'ils pensent... !

    Pour ma part, s'il y a pléthore d' "intrus" à chasser, j'ai hâte de dire ce que je pense du ridicule "jogueur/joguer"; mais aussi, plus délicat, de parler du "design/designer", et de l'inutile et prétentieux "dressing". Pour commencer seulement, bien entendu : la liste n'est pas limitative !...

    Le Blogmestre

    Rappel : nous avons placé cette chronique sous le signe et le parrainage de La Bruyère :

    En pensant aux nouveaux Précieux ridicules, nous placerons cette Chronique sous le signe de La Bruyère :

    "Que dites- vous ? Comment ? Je n'y suis pas; vous plairait-il de recommencer ? J'y suis encore moins. Je devine enfin : vous voulez, Acis, me dire qu'il fait froid : que ne dites-vous : "Il fait froid" ? Vous voulez m'apprendre qu'il pleut ou qu'il neige; dites : "Il pleut, il neige." ... Est-ce un si grand mal d'être entendu quand on parle, et de parler comme tout le monde ?
     Une chose vous manque, Acis, à vous et à vos semblables... c'est l'esprit. Ce n'est pas tout : il y a en vous une chose de trop, qui est l'opinion d'en avoir plus que les autres; voilà la source de votre pompeux galimatias, de vos phrases embrouillées, et de vos grands mots qui ne signifient rien...» (les Caractères, chapitre V, De la Société et de la Conversation, § 7)...
  • Cinéma • Le chant du loup

    Par Guilhem de Tarlé     

    A l’affiche : Le chant du loup, un film français d’Antonin Baudry, avec François Civil (Chanteraide – dit « Chaussette » - l’ « oreille d’or »), Mathieu Kassovitz (l’Alfost, Amiral commandant les Forces Océaniques Stratégiques), Reda Kateb (Grandchamp, Commandant de L’Effroyable,  Sous-marin Nucléaire Lanceur d’Engins ou SNLE, ), Omar Sy (d’Orsi, Commandant du Titane, Sous-marin Nucléaire d’Attaque ou SNA) et Paula Beer (Diane).

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    « Une  fiction passionnante qui met à l'honneur la Royale »

    La publicité du Chant du loup  est ainsi faite que j'en avais retenu le seul nom d'Omar Sy, et je ne m'étais pas intéressé à son côté animalier.

    Or, si j'aime bien les bêtes, et mon épouse davantage encore, l’« intouchable » Omar Sy m'insupporte et je craignais un scénario 5da40.jpgautour de lui, une mise en scène de l'acteur, raison d'être exclusive  de la réalisation ; peu m'importait d'ailleurs de savoir quel rôle il y jouait du loup ou du chanteur.

    Pourquoi l'avoir ainsi mis en avant quand le casting est ce qu'il est ?

    La plaisanterie est triviale de dire dans l'armée qu’avant d'obéir à un ordre il faut attendre le contrordre pour éviter le désordre…

    le-chant-du-loup-copier.jpgC'est tout le sujet du film.

    Une  fiction passionnante qui met à l'honneur la Royale et la force dissuasive nucléaire française en cas de crise internationale grave.  

     
    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.
  • Jacques Chirac n'est plus, par François Marcilhac

    Ce soir, Jacques Chirac a enfin pris sa revanche sur François Mitterrand : il n’était devenu vraiment président de la République, du moins était-ce l’avis des média, que le soir de la mort de Mitterrand, après un hommage remarqué. C’est Emmanuel Macron qui, ce soir, la lui a donnée, par son intervention très sobre, et surtout très macronienne sur les chaînes de radio et de télévision. Car le Chirac de Macron est évidemment un Chirac macronien : mais le plus terrible, est que le Chirac macronien est le Chirac chiraquien.

    L’homme forçait la sympathie : le nier serait faire de la basse politique. Pierre Pujo, qui le connut bien, étudiant, me l’avait confirmé. Mais si l’on doit respecter les morts, on leur doit aussi, et plus encore, quand il s’agit d’un chef d’Etat, on doit aux Français la vérité. 

    Chirac fut l’homme de toutes les démissions, de toutes les reculades, de tous les abandons, de toutes les compromissions, jusqu’à ce mensonger discours du Vel d’Hiv, auquel Mitterrand s’était toujours refusé. 

    Chirac a tout trahi : tout d’abord ses amis politiques, Chaban-Delmas pour Giscard en 1974, Giscard pour lui-même en 1976  ; le peuple, par une instrumentalisation de la fracture sociale qui se conclut par la nomination de l’ultralibéral Raffarin au poste de premier ministre, aux dépens du gaulliste social Philippe Seguin ; les institutions, par le passage au quinquennat, dans le seul but de se faire réélire président de la République  ; la droite, il est vrai à laquelle il n’appartenait pas vraiment, en transformant un RPR encore tant soit peu gaulliste, pour une UMP livrant définitivement la droite parlementaire française au centre libéral  ; la France, en achevant, après avoir jeté aux orties l’appel de Cochin, le projet mitterrandien de soumission de notre pays à l’Europe.

    Chirac fut un carriériste qui a réussi. Moins que Giscard, il a été l’inspirateur de Macron, c’est-à-dire celui d’une  élite politique qui a remisé la nation dans les oubliettes de l’avenir.

  • Chine communiste : 70, pour 70 ans et 70 millions de morts !

    L'empire européen des héritiers directs de la Révolution française, de sa Terreur et de son Génocide, de son Totalitarisme politico/religieux messianique a fait naufrage en URSS, redevenue Russie, et en Europe de l'Est, et c'est tant mieux.

    Mais le marxisme-léninisme perdure, toujours oppresseur, en Chine, en Corée, au Viet-Nam, à Cuba... même s'il n'est idéologiquement plus qu'une coquille vide et qu'il n'a gardé que les formes répressives extérieures du communisme, les plus efficaces jamais inventées au monde : Xi Jin Ping est bien le nouvel Empereur de Chine et pas plus "communiste" que vous et moi.

    Pourtant, parmi les commentateurs, bien peu sont ceux qui ont rappelé les 70 millions de morts de Mao et de ses héritiers : Gilles Bouleau l'a fait au JT d'hier soir, sur TF1, c'est à noter. 

    Les autres ? Ils sont douillettement installés dans le doux conformisme du "chaos figé des conservateurs du désordre", qui a succédé au "chaos explosif des révolutionnaires", selon l'excellente formule de Gustave Thibon; c'est-à-dire que, pour parler clair, les révolutionnaires français, pères des russes qui n'ont que prétendu améliorer leurs "performances" (!) sont toujours au pouvoir à Paris, même si c'est sous la forme apparemment policée d'un Emmanuel Macron : comment pourraient-ils condamner à Pékin ce qu'ils sont à Paris, sous la forme douce, dont parlait Tocqueville ?

    Oui, il est difficile à un père de désavouer ses enfants : comment notre République idéologique, révolutionnaire, totalitaire, Nouvelle Religion républicaine, pourrait-elle condamner un régime communiste en Chine qui, même s'il n'est plus communiste que dans la forme, n'en reste pas moins son fils spirituel direct ?

    Robespierre et sa clique de terroristes sont morts, une partie de leurs enfants aussi (ex-URSS et Europe de l'Est) mais une autre  partie de leurs enfants court toujours; elle est hélas toujours bien vivante, et toujours malfaisante, hélas pour les peuples qui supportent la monstruosité d'une idéologie venue tout droit de... Paris !

  • (Communiqué) A propos du voile islamique...

    Chers amis,

     

    Depuis quelques semaines, la question du voile islamique agite de nouveau la France. Responsables politiques et religieux, intellectuels et journalistes, tous veulent faire entendre leur voix dans cet interminable débat. Pour les uns, le port du voile est légitime car il relève des convictions religieuses ; pour d’autres, il est obligatoire parce que prescrit par le Coran ; et pour d’autres enfin, il est le signe d’un marquage identitaire qui veut imposer l’islam à la société française.

    Et si tout cela était étroitement mêlé ? Loin de clarifier le débat, les musulmans prennent des positions discordantes. Ainsi, le 29 octobre, le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) s’est, pour la première fois - à la demande du président Emmanuel Macron -, prononcé sur le sujet, déclarant que le port du voile est « une prescription religieuse ». Dans la même déclaration, il corrige cet avis en ne condamnant pas celles qui refusent de s’y soumettre. La position du CFCM est donc revêtue d’une ambiguïté embarrassante.

    En outre, dès le 30 octobre, l’ancien président du CFCM, Mohamed Moussaoui, déclarait que « le port du voile est une pratique religieuse qui ne fait pas partie des fondements de la foi musulmane ». Pour lui, le voile ne serait donc qu’une « pratique » et non une « prescription religieuse ».

    Quelques jours auparavant, le 22 octobre, le site de l’hebdomadaire Marianne publiait une tribune signée par 100 personnalités musulmanes résolument hostiles à la qualification religieuse du voile. « Nous, signataires de ce texte, affirmons haut et fort que le port du voile est le signe ostentatoire d’une compréhension rétrograde, obscurantiste et sexiste du Coran. Voiler les femmes, c’est stigmatiser leur présence dans l’espace public […]. Nous estimons qu’il est de notre devoir de faire savoir à tous nos compatriotes que la question du voile est un sujet de discorde, à l’intérieur même des écoles juridiques sunnites officielles ».

    Face à ces contradictions, nous avons pensé utile de vous envoyer les deux Petites Feuilles Vertes (n° 42 et 43) qu’Annie Laurent avait rédigées en 2016 sur les seuls fondements de la connaissance et de la raison, donc en évitant tout simplisme et toute polémique. Vous y trouverez tout ce qu’il convient de savoir sur cette question non dépourvue de complexité et vous pourrez ainsi en avoir une idée précise.

    Bonne lecture !

    François DARY,

    Président de CLARIFIER

    site de Clarifier : https://associationclarifier.fr/

  • Le valeureux chien Conan sera décoré de la ”Medal of honor”...

     

    2083917505.jpgConan sera reçu la semaine prochaine à la Maison Blanche, le siège de la présidence américaine : ce chien, devenu le symbole du raid réussi contre le leader du groupe Etat islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, sera honoré par Donald Trump

    Le président des Etats-Unis a déjà publié lundi dernier la photo de ce chien, qui a rendu « des services incroyables » pendant l'assaut, selon le chef d'état-major de l'armée américaine. 

    Le général Mark Milley a expliqué que l'animal, un berger malinois, a été « légèrement blessé » lors du raid. Il a refusé de donner son nom par mesure de sécurité afin de limiter les risques d'identification de son maître et de ses collègues.

    Donald Trump a toutefois confirmé les informations de presse selon lesquelles son nom est Conan. « Conan quittera la Moyen-Orient pour la Maison Blanche dans le courant de la semaine prochaine », a-t-il écrit sur Twitter. Il accompagne son message d'un photomontage diffusé mercredi dans lequel on le voit remettre au chien la Medal of honor, la plus haute distinction militaire.

    Donald J. Trump@realDonaldTrump
     

    Thank you Daily Wire. Very cute recreation, but the “live” version of Conan will be leaving the Middle East for the White House sometime next week! https://twitter.com/realdonaldtrump/status/1189601417469841409 

    Donald J. Trump@realDonaldTrump
     

    AMERICAN HERO!

    Voir l'image sur Twitter
     

    Les chiens ? Des membres de l'équipe aux "capacités surhumaines"

    Dans l'armée, les chiens sont utilisés pour leur odorat et leur ouïe extrêmement fines. "Ces capacités surhumaines rendent les chiens idéaux pour des tâches comme la traque, la détection d'explosifs, de stupéfiants, la localisation de victimes, la recherche et le sauvetage", écrit l'association des chiens de guerre américains. Leur taille leur permet également de pénétrer dans des endroits inaccessibles à l'homme.

    "Le chien occupe un rang supérieur à son maître (dans l'armée américaine, ndlr), ils sont à ce point estimés comme membre de l'équipe", déclare au Washington Examiner Deborah Scranton, auteure du documentaire "Chien militaire : Le meilleur ami du soldat".

    Et c'est évidemment la même chose dans l'Armée française...

    lafautearousseau