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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Les délires écolos n’ont plus de limites : ils veulent interdire aux enfants de rêver !, par Marie d'Armagnac.

    Souvenez-vous : municipales 2020, EELV remporte plusieurs grandes mairies : Poitiers, Bordeaux, Lyon, Strasbourg, Grenoble. À la faveur d’une abstention très forte, des maires écologistes, rouge-vert, se sont donc retrouvés aux affaires. 

    3.jpgOn aurait pu imaginer, de leurs points de vue, que cette accession au pouvoir serait l’occasion de montrer leurs capacités de gestion et leur vision politique ailleurs que dans les manifestations « grétinistes » ou les mouvements zadistes. Il était temps de passer de l’agit-prop à la gestion institutionnelle.

    Las ! Ils font, depuis six mois, preuve d’incompétence lourde et de cécité politique : ce ne sont que des révélateurs, en creux, de leur idéologie plus verte que rouge, qui flirte non seulement avec tous les délires de l’époque, mais aussi, plus sérieusement, avec l’idéologie islamiste. L’affaire de la mosquée de Strasbourg, que la mairie veut financer à hauteur de 2,5 millions d’euros, en est un exemple.

    On rappellera rapidement, également, que les délires écolos ne sont pas seulement loufoques, bizarroïdes et inoffensifs : les bobos écolos n’ont plus rien à voir avec une vision fantasmée d’un flower power revisité. La nocivité de leurs actions, qui sont autant d’insultes au bon sens que d’avancées dans l’entreprise de déconstruction nationale, commence à apparaître. Les premières décisions des mairies EELV ont eu comme conséquence de susciter une belle unanimité… contre elles. À Lyon, par exemple, exit le Tour de France, manifestation éminemment populaire, car jugé trop « machiste et polluant » ; pas le temps, non plus, pour le nouveau maire, Grégory Doucet, de s’inscrire dans la longue tradition du Vœu des échevins à la basilique Notre-Dame de Fourvière, qui remonte à 1643, sous prétexte de laïcité… mais pas le temps, le lendemain, d’invoquer ladite laïcité en se rendant à la pose de la première pierre de la mosquée de Gerland.

    On pourrait aussi évoquer la polémique bordelaise sur le sapin de Noël, « arbre  », dont le maire a privé ses administrés, petits et grands. Il est vrai qu’après l’année passée, ils n’avaient sûrement pas besoin d’inutiles joies simples.

    Ces jours-ci, c’est le maire de Poitiers, Léonore Moncond’huy, estampillée EELV, qui supprime les subventions accordées à deux aéro-clubs et n’invoque, comme motif, rien de moins qu’un changement de civilisation : « L’aérien ne doit plus faire partie des rêves des enfants aujourd’hui. » Après la police de l’arrière-pensée déjà bien installée, voici la police du rêve. Si elle a reconnu une maladresse d’expression devant le tollé qu’elle a suscité, on a pu voir sur BFM TV, le 5 avril, Pablo Pillaud-Vivien, responsable éditorial de la revue d’extrême Regards, s’approprier cette réflexion et déclarer : « L’avion ne peut plus faire rêver, car il est intrinsèquement lié au réchauffement climatique […] les rêves, ceux des enfants comme ceux des adultes, sont aussi des constructions sociales et, à ce titre, il est tout à fait légitime que le politique s’attache à les construire ou à les déconstruire. Les politiques n’ont pas la mainmise sur les rêves mais l’imaginaire, c’est aussi ce qui nous permet de faire peuple, c’est ce qu’il faut qu’on co-contruise, pour que ces imaginaires soient plus résilients, moins agressifs envers notre environnement. »

    Entre les prêtres mis en garde à vue pour non-respect de la nouvelle morale « covidienne » et la résurgence virulente du maoïsme incarnée par les Verts, on se dit que la France, depuis quelques mois, est en voie de sinisation accélérée.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • SOLIDARITÉ KOSOVO !... : Le président kosovar, inculpé, démissionne et est mis en détention à La Haye !

    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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    https://www.liberation.fr/depeches/2020/11/05/le-president-kosovar-demissionne-pour-faire-face-a-son-inculpation-a-la-haye_1804694

     

    Le dirigeant, qui domine la vie politique de son pays depuis 2008, a été inculpé par le tribunal spécial de La Haye et a passé sa première nuit dans une prison néerlandaise.

    Hashim Thaçi a passé sa première nuit dans la prison de Scheveningen, en banlieue de La Haye, aux Pays-Bas. Le président du Kosovo a démissionné, jeudi 5 novembre au matin, « afin de protéger l’intégrité » de son pays, à la suite de son inculpation pour des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre commis lors de la guerre contre les forces serbes de 1998 et 1999.

    A 52 ans, ce n’est pas en tant que chef du jeune Etat kosovar, qui avait autoproclamé son indépendance en 2008, qu’il se présentera devant les juges du tribunal spécial à La Haye. Mais pour son rôle de chef politique de l’Armée de libération du Kosovo (UCK), la guérilla indépendantiste albanophone opposée, dans les années 1990, à la Serbie de Slobodan Milosevic. 

    Trois autres responsables kosovars figurent parmi les coaccusés, dont Kadri Veseli et l’ex-commandant Rexhep Selimi qui a, lui aussi, quitté Pristina, jeudi après-midi, dans le même avion que MM. Veseli et Thaçi. L’ancien porte-parole de la guérilla, Jakup Krasniqi avait, lui, été arrêté la veille et immédiatement transféré aux Pays-Bas.

    Thaçi domine la vie politique du pays depuis 2008

    Ces quatre membres fondateurs de l’UCK devront répondre du meurtre de près de cent personnes, mais aussi de tortures, de persécutions, de détentions arbitraires, de traitements cruels et de disparitions forcées. Selon l’acte d’accusation, des centaines de personnes ont été enlevées, interrogées, torturées, battues, maltraitées et détenues dans une quarantaine de sites au Kosovo et en Albanie voisine. La guérilla ciblait alors tout opposant potentiel : les ennemis serbes, les Roms, ou d’autres ethnies, mais aussi les Kosovars albanais, siglés traîtres et collaborateurs, dont, au premier chef, les partisans de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK) d’Ibrahim Rugova, défenseur de l’action non violente contre l’oppresseur serbe.

    La démission d’Hashim Thaçi est un véritable choc pour le Kosovo, alors que l’ancien commandant de l’UCK domine la vie politique de ce petit pays des Balkans depuis son indépendance, en 2008. Président depuis 2016, celui qu’on surnomme « le Serpent » semblait insubmersible. « Ce n’est pas un adieu, seulement un au revoir », a-t-il d’ailleurs promis, lors de son allocution de démission. Après avoir dirigé l’aile politique de l’UCK, il avait fondé le Parti démocratique du Kosovo (PDK), qu’il a dirigé jusqu’en 2016. Vu comme un héros de la guerre par une bonne partie des musulmans, très proche des Américains, il est toutefois régulièrement accusé d’avoir laissé proliférer la corruption.

  • Sainte G-rita Thunberg : épisode tristement ordinaire de la christianophobie des « écologistes », par Marie d'Armagnac.

    Dimanche dernier, un peu partout en France, avaient lieu les marches pour le : il s’agissait de faire pression sur le gouvernement et le Parlement pour que la loi Climat intègre plus de propositions de la pour le climat. 

    5.jpgEn effet – et c’est encore un coup de génie de nos gouvernants -, cette convention citoyenne, organisée pour complaire à la et donner l’impression d’un semblant de démocratie participative, a déçu ses participants quand le texte de loi gouvernemental été publié, sifflant, un peu, la fin de la récré pour les utopistes rouges-verts.

    À Sète, la journée de manifestation était organisée par le mouvement d’écologie radicale Alternatiba Thau et soutenue par Attac, la Ligue des droits de l’homme et, bien sûr, le mouvement local EELV. Rien de nouveau sous le soleil avec cette collusion habituelle entre les mouvements altermondialistes, « écologistes » et d’extrême gauche : la métaphore « zemmourienne » de la pastèque verte à l’extérieur, rouge à l’intérieur, l’exprime parfaitement. Alternatiba Thau fait partie de la galaxie Alternatiba, « un mouvement citoyen pour le climat et la justice sociale » : « Le mouvement marche sur deux jambes : celle des alternatives pour construire une plus juste, plus solidaire, plus conviviale et plus soutenable, ainsi que sur celle de la résistance pour bloquer les projets climaticides (sic) et interpeller les décideurs politiques et économiques sur l’urgence de s’emparer de ces solutions, aux côtés du mouvement Action Non-Violente COP21 », indique le site. Financé à 30,9 % par des fondations privées, dont la fondation Charles-Léopold-Mayer pour le progrès de l’homme ou encore l’European Climate Foundation, Alternatiba a co-organisé la marche pour Adama Traoré qui a eu lieu, le 18 juillet 2020, à Beaumont-Sur Oise. Parce qu’ils partagent les « mêmes combats », cette « mobilisation commune » sera l’occasion « de renforcer une alliance importante pour la construction d’une écologie populaire, aux côtés des populations en première ligne des injustices et de la », avait expliqué Élodie Nace, porte-parole d’Alternatiba dans un communiqué publié sur France Info.

    Le collectif organise également, chaque année, des « camps climat » où sont mises en scène des simulations de désobéissance civile.

    Zadiste un jour, zadiste toujours.

    Dimanche dernier, donc, la fine fleur de l’extrême gauche a défilé dans les rues de Sète : « Un périple coloré » nous dit la section locale d’EELV. Les participants étaient invités à manifester avec un masque et un tuba car, explique une militante à France 3 Occitanie, « c’est ce qui va nous servir quand on sera sous l’eau. En ce moment, on essaye de rester à la surface, mais ça demande une énergie et une force mentale. »

    On la croit sans peine.

    Sébastien Pacull, ex-LR et candidat aux départementales soutenu par le RN, a posté, via Le Salon beige, des photos de ce happening : on y voit, portée en simulacre de procession, une statue de la Vierge (où l’ont-ils trouvée ?) travestie en « G-rita Thunberg des causes perdues ». Affublée d’un ciré, la statue de la Madone ainsi moquée, vilipendée, instrumentalisée, a parcouru les rues de la ville. Une insulte aux catholiques dont on sait pertinemment qu’elle sera, pour ces militants, sans conséquences : ils ne risquent rien, ni indignation ministérielle ni opprobre publique ni représailles violentes.

    On ne peut que reprendre les mots de Sébastien Pacull : « Les imaginerait-on faire de même avec les symboles d’une autre religion ? »

    La haine de la France, de ses racines et de son âme n’a plus de limites chez les rouges-verts. Dans un pays fracturé et abandonné, elle s’exerce en toute impunité.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Victime collatérale du crétinisme et de l'incompétence absolue d'un Pays légal toujours plus bureau/technocratique et totalement coupé des réalités du terrain; totalement COUPÉ DU PEUPLE !

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    2. Mais pendant ce temps, le même Pays légal infect aide les clandestins, de plus en plus : le coût de l’aide médicale d’État s’envole ! Plus de 330.000 clandestins ont droit désormais à cette couverture santé unique, dont l’enveloppe budgétaire dépasse désormais, pour la première fois, le milliard d’euros (la somme inscrite en "crédits de paiement" dans le projet de loi de finances pour 2021, est exactement de 1 milliard et 61 millions d’euros...). Évidemment, cette générosité rare contribue à attirer les étrangers...

     

    2 BIS. Dans son dernier avis sur le volet "asile, immigration, intégration et nationalité" du projet de loi de finances pour 2021, la commission des lois du Sénat précise que "l’aide médicale d’État permet une première approche statistique du nombre de personnes en situation irrégulière sur le territoire, puisqu’elle autorise un accès gratuit aux soins médicaux et hospitaliers spécifique en faveur de ces étrangers". Elle ajoute que "334.546 personnes en bénéficiaient au 31 décembre 2019, soit une hausse de 5% par rapport à la même date l’an passé (318.106 bénéficiaires) et un doublement en quinze ans". Et conclut que le nombre d’étrangers en situation irrégu­lière est probablement nettement supérieur (source : Commission des lois du Sénat).

     

    4. Le terroriste Abdullah Anzorov, qui a décapité #SamuelPaty,  a été inhumé avec des honneurs dans son village natal, en Tchétchénie. Sa dépouille avait été envoyée la veille par la France. Toute sa famille est très fière et très honorée de ce qu'il a fait; tout son village aussi : d'ailleurs, une rue de ce petit trou perdu - Shalazhi - porte d'ores et déjà son nom !...

    Ceux qui on dit "Vivre ensemble", levez la main ! 

    https://www.bvoltaire.fr/hommage-funebre-pour-le-tueur-de-samuel-paty-en-tchetchenie-une-rue-porte-son-nom/

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    5. Guillaume Meurice, journaleux à France Inter, a traité les policiers de "bâtards" : déjà, s'il s'exprimait sur une radio privée, il devrait être poursuivi; mais en plus, s'exprimant sur une radio publique, donc financée par les impôts de tous, il devrait non seulement faire l'objet de poursuites mais être révoqué sur le champ. Cependant, il ne le sera pas. France Inter, et la quasi totalité de "l'odieux visuel" français (ou : "idiot visuel", au choix) est possédé et fermement tenu par l'esprit racailleux de l'extrême-gauche la plus révolutionnaire. Rappelez-vous, après le tragique incendie de Notre-Dame de Paris, un pauvre type avait osé chanter (?), dans le studio, une horreur qui ne déshonorait que lui, et tout ce petit monde pourri avait bien rigolé ! lafautearousseau en avait évidemment parlé : 

    Médias • France Inter : un humoriste-voyou a chanté Elle a cramé la cathédrale. Le studio a ri bêtement. Pas nous

     

    6. Acharnement contre le Professeur Perronne : les soutiens au Professeur affluent !...

    http://www.francesoir.fr/societe-sante/apres-lacharnement-contre-le-pr-perronne-une-vague-de-soutien-afflue

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    7. Séquence nostalgie "politico/culturelle", en constatant l'effondrement effarant de notre Société, dû à l'action corrosive aussi incessante qu'intentionnelle menée par un Système dont le but est d'éradiquer intégralement toutes nos Racines : voici la Une de Télé poche, dont vous arriverez sans peine à lire l'année : qui peut imaginer, aujourd'hui, un média de ce genre proposer une Une pareille ? Hélas ? Oui, hélas ! Mais se lamenter est vain ! Notre rôle, ce qui fonde notre légitimité, et de ne cesser jamais de le dire et de le répéter, à temps et à contre-temps : voici l'oeuvre du Système, qui mène une guerre d'extermination contre tout ce qui fait la France...

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  • BAC Nord : mention très bien !, par Philippe Bilger.

    Après avoir vu BAC Nord, film exceptionnel de Cédric Jimenez, je comprends pourquoi il a été accueilli au Festival de Cannes par des murmures de réprobation, et les raisons pour lesquelles son réalisateur et deux de ses remarquables acteurs, Gilles Lellouche et François Civil, ont quasiment été obligés de se justifier par la suite parce qu'il se serait agi d'une oeuvre pro-police (Midi Libre). La honte donc dans le climat actuel !

    2.jpgC'est ne rien comprendre à ce film magistral qui, à partir d'un trio de trois fonctionnaires de police unis par l'amitié, une même énergie, une passion similaire pour leur mission difficile, dangereuse, éprouvante, exaltante, appréhende l'ensemble des problématiques de la société, de ses désordres et de sa violence, de la mainmise sur certaines cités d'une délinquance hiérarchisée et assurée de son impunité grâce au trafic de drogue, du découragement et de l'impuissance de la police face à ce qu'elle ressent comme une désertion de l'Etat et un abandon des citoyens honnêtes.

    Cette oeuvre est trop riche pour qu'on l'examine dans le détail. Elle comporte une admirable séquence policière et, les trois policiers ayant été mis en cause injustement par une IGPN peu flattée, une part pénitentiaire rude et dévastatrice. Oublions deux très brefs épisodes judiciaires peu réalistes.

    Pourquoi BAC Nord est-il, avec le brillant L.627 de Bertrand Tavernier, le meilleur film français sur la police et pourquoi a-t-il été critiqué avec condescendance par les coteries artistiques et médiatiques ?

    D'abord, parce qu'il rend hommage à la police dans ses activités quotidiennes et notamment dans sa reprise en main hallucinante de vérité, de courage et de violence d'une cité gangrenée par une bande "exemplaire" dans sa gestion du trafic ; et qu'à aucun moment il ne magnifie les voyous. Dans aucune scène ils ne sont représentés avec cette complaisance molle du cinéma français allant plus volontiers vers les transgresseurs que vers ceux qui les poursuivent. C'est une intégrité trop rare pour ne pas être saluée.

    Ensuite, une image terrifiante de la France nous est montrée, en particulier dans ces lieux multiples où elle est dépossédée d'elle-même et la police interdite d'accès. Ce que déplore l'un des protagonistes qui se demande à quoi ils servent puisqu'ils ne peuvent accomplir ce pour quoi ils ont choisi d'être policiers. La reconquête d'une cité pour mettre fin au trafic de drogue montre, avec un degré de violence inouï, ce qui est devenu précisément impossible depuis quelques années et ce qui se déroulerait, dans nos cités sensibles, si la police avait le droit d'y faire régner l'ordre et la loi.

    C'est probablement la deuxième raison des réserves ridicules face à ce film : il ne cache rien. Ce serait à feu et à sang comme il le montre et l'émotion est à son comble chez les policiers qui ont réussi cet exploit vécu comme un triomphe, tant la normalité et la quotidienneté sont aux antipodes d'une telle avancée.

    Je pourrais dégager d'autres pistes mais il me semble qu'une dernière essentielle mérite d'être soulignée. Elle se rapporte à la conception de l'Etat de droit et à la vision qu'on a de la police. Le trio est incriminé parce que l'IGPN et la justice ne parviennent pas à croire que ses transgressions (une "collecte" de drogue auprès d'usagers pour régler l'informatrice) n'étaient destinées qu'à favoriser l'efficacité de leur action policière au sein de la cité en question. Avec une hiérarchie lâche et frileuse.

    Même s'il est traité de manière allusive, le débat entre la pureté des principes abstraits et la réussite policière sur le terrain est posé. Il y a les Antigone en chambre et les policiers ne peuvent qu'être dans le réel des Créon les moins imparfaits possibles.

    BAC Nord, hors compétition à Cannes, s'il avait concouru pour la Palme d'or, ne l'aurait évidemment pas obtenue. Trop vrai, trop peu manichéen, trop angoissant sur notre pays, aucune sublimation des crapules et des voyous, la police considérée avec un regard évidemment plus laudateur quelles que soient ses failles et son pragmatisme.

    Mais peu importe. Allez le voir.

    Il mérite la mention très bien.

    Source : https://www.philippebilger.com/

  • Mainmise de l’industrie pharmaceutique sur le pays : pas plus de réaction que ça…, par Jérôme Serri.

    Recevant, le 23 mars sur , Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, dénonça l’incohérence des dernières mesures gouvernementales, avant de lui faire la leçon avec l’inévitable citation de Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement. »

    8.jpegIl serait difficile de prétendre que les journalistes, depuis le début de la crise, ont contribué à la clarté du débat. Composer des plateaux et des duplex hétérogènes, c’est privilégier le spectacle plutôt que l’information. Comment se fait-il que la situation sanitaire du pays à un instant donné ne puisse faire l’objet d’un consensus ? Comment peut-on laisser un gouvernement prendre des mesures privatives de liberté à partir de courbes et de données chiffrées dont on apprend que leur présentation serait sujette à caution ? Il ne s’agit pas de revenir sur le scandale des , du nombre de morts, des tests PCR, des analyses des eaux usées ou de l’achat massif par l’ de doses de remdésivir, il s’agit désormais, émission après émission, d’obliger le gouvernement à mettre en place une stratégie à l’abri des conflits d’intérêt. Seule une telle stratégie pourrait être dite bien conçue, c’est-à-dire conçue dans l’intérêt des Français.

    En invitant un représentant de l’opposition institutionnelle pour lui demander « Et vous, vous faites quoi, au juste ? », Pascal Praud nous ferait gagner du temps et de l’efficacité… Laissons de côté les partis ainsi que les groupes d’opposition de l’Assemblée nationale qui n’ont aucun pouvoir. L’opposition institutionnelle, celle qui a les moyens effectifs de contester l’action gouvernementale, c’est le Sénat. Que Pascal Praud interroge donc la cancérologue Catherine Deroche, présidente (LR) de la commission des affaires sociales de cette assemblée ! Elle a à sa disposition une équipe d’administrateurs de haut niveau qui pourraient vérifier toutes les données chiffrées, les comparer, se les faire commenter, les discuter avec ceux qui les contestent. Quelques auditions bien conduites suffiraient. Dans une situation d’urgence, les commissions d’enquête qui durent des mois ne servent à rien.

    Est-il normal que le Sénat ferme les yeux sur la sincérité de la situation des services de réanimation ? Un comptage sincère des lits et une vérification des raisons de leur occupation sont-ils impossibles à réaliser ? Le sénateur Alain Milon (LR), qui présida la même commission des affaires sociales, n’avait-il pas reconnu, devant un journaliste du Point, qu’il avait manqué de vigilance en négligeant durant plusieurs années d’interroger le gouvernement sur l’état de nos stocks de masques ? Catherine Deroche, qui lui a succédé, est-elle aujourd’hui plus vigilante ?

    Que Pascal Praud lui demande pour quelles raisons elle accepte que la question des traitements soit mise sous le boisseau ? Et comment peut-on accepter que Gabriel Attal puisse déclarer, avec une insupportable suffisance, que certains ont souhaité que l’on prescrive l’hydroxychloroquine comme on distribue des « fraises Tagada » ? Qu’il demande également à Catherine Deroche les raisons pour lesquelles elle ne proteste pas devant le refus du ministère de donner le label « priorité nationale » à l’étude que mène l’institut Pasteur de Lille sur un traitement prometteur qui repositionne une ancienne molécule ?

    La seule stratégie compréhensible serait celle qui permettrait aux médecins de tester les malades, de les soigner et de les isoler, afin que le pays se donne d’abord le temps d’avoir des au-dessus de tout soupçon, puis celui d’organiser correctement la vaccination de la population. En n’interrogeant pas le Sénat, en le laissant fuir ses responsabilités dans le silence, les journalistes se font les complices de l’incurie des politiques. Comme eux, ils acceptent l’impuissance de l’État et la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation de la dans le pays.

     

    Jérôme Serri

    Ancien collaborateur parlementaire, journaliste littéraire
  • Débat Mélenchon VS Zemmour.


    Le jeudi 23 septembre 2021, Jean-Luc Mélenchon débattait contre Éric Zemmour. Il a expliqué que ce débat était l’occasion de mettre sur le devant de la scène les vrais problèmes de notre pays : lutte contre le changement climatique, pauvreté, crise sociale, et de sortir des thèmes stériles de M. Zemmour.

    Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a dénoncé le « danger pour la France » que représente Éric Zemmour, notamment pour les droits des femmes. Il a aussi démontré la fausseté des chiffres extravagants du polémiste d’extrême droite sur l’immigration. À l’inverse, Jean-Luc Mélenchon a défendu la « religion républicaine » du peuple français uni autour de sa devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

    Concernant la sécurité, face à un Éric Zemmour qui ne proposait pas grand chose, Jean-Luc Mélenchon a déployé son programme : dissolution des BAC et des BRAV, arrêt de l’utilisation par la police des flashball et des grenades dans le maintien de l’ordre. Il a défendu une police républicaine, respectueuse des gens, entraînée et disciplinée. Il a également affirmé vouloir casser pour de bon les trafics d’armes, de drogue et d’êtres humains et lutter contre le blanchiment de l’argent sale.

    Le débat portait ensuite sur l’indépendance de la France et sa souveraineté. Jean-Luc Mélenchon a défendu la sortie de l’OTAN. Mais il a également parlé du rayonnement de notre pays, évoquant notamment notre territoire maritime (le deuxième du monde) et notre contribution à la recherche spatiale. Il a par ailleurs proposé que la francophonie devienne un espace politique de coopération entre les peuples partageant la langue commune qu’est le français.

    Jean-Luc Mélenchon a ensuite développé son programme social : SMIC à 1400 euros nets, retraite à 60 ans pour 40 annuités, blocage de certains prix et notamment de l’énergie (électricité, gaz, essence) et de l’alimentation. Il a expliqué que ces mesures étaient aussi des mesures écologiques puisqu’un meilleur salaire signifie aussi souvent une meilleure consommation alimentaire. Sur tous ces sujets, Éric Zemmour est resté muet.

    Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a aussi défendu son programme en matière écologique. Il a expliqué qu’il voulait mettre en place un protectionnisme écologique pour interdire l’entrée sur notre territoire de produits contenant du glyphosate puisqu’il l’interdirait lui-même en France. Il a aussi dit qu’il fallait sortir du nucléaire et a expliqué comment un plan permettrait de le faire en développant les énergies renouvelables et en créant des dizaines de milliers d’emplois.

    Concernant les traités européens, Jean-Luc Mélenchon a pris l’engagement absolu d’appliquer son programme quoi qu’il arrive, expliquant que si des traités européens s’y opposaient, il appliquerait un droit « d’opt-out » sur ces traités, c'est-à-dire de non application. Défendant la souveraineté du peuple dans toutes ses dimensions, il a aussi plaidé de nouveau pour une 6e République, un référendum d’initiative citoyenne et le droit de révoquer les élus.

    Enfin, Jean-Luc Mélenchon a conclu l’émission en rappelant que le défi numéro 1 à relever était de faire face au changement climatique. Il a souligné l’urgence de ce défi en précisant que sans action de notre part, en 2050, plusieurs zones de la France seront sous l’eau et 1 million de personnes inondées chaque année. Pour y faire face, il a proposé d’appliquer la “règle verte”, mesure présente dans son programme qui consiste à ne pas prendre à la nature plus que ce qu’elle ne peut reconstituer. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a aussi appelé, à l’heure du changement climatique, à agir tous ensemble, dans la solidarité et sans discrimination.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    En ce pénible moment pour lui, mais aussi pour nos idées et nos combats, lafautearousseau assure Geoffroy Lejeune de son soutien, de son estime et de ses remerciements pour l'action qu'il a menée si longtemps et si bien au sein de Valeurs actuelles...

    Bravo, "Monsieur" Geoffroy Lejeune !

     
    De Geoffroy Lejeune :
    "Chers amis, c'est avec le cœur lourd que je vous confirme aujourd'hui mon éviction de Valeurs actuelles. Merci pour votre présence, votre enthousiasme et votre soutien durant toutes ces années. L'aventure n'est pas terminée, nous nous retrouverons bientôt ailleurs."

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    1. Et la réaction, qui l'honore, de Goldnadel :

    qui était l’âme de ce journal. J’en ai le cœur déchiré car j’y laisse d’autres amis . Mais je me mépriserais si j’agissais autrement."

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    2. Mathieu Bock-Côté en défense d'Éric Zemmour (partie 1) :

    "On dilue la responsabilité de l'agresseur et on transforme même l'antifa en caution démocratique..."

    (extrait vidéo 7'12)

    https://twitter.com/mbockcote/status/1670862153991979010?s=20

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    2 BIS. ...et la Partie 2 (5') : "Notre système ne condamne pas les violences, il condamne les violences contre les acteurs politiques jugés raisonnables..."  

    https://twitter.com/mbockcote/status/1670862218550755328?s=20

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    4. Nos ennemis allemands ont voulu démolir EDF ? Oui, c'est vrai, mais ils sont dans leur logique (expansionniste, impérialiste, conquérante) et notre maudit Pays légal dans la sienne (à toujours capituler et trahir les intérêts supérieurs de la France). Henri Proglio a raison :

    "Les Allemands n’ont pas supporté que la France soit aussi compétitive sur le plan énergétique. Ils ont donc naturellement voulu détruire #EDF. J’en veux plus aux dirigeants français qui n’ont pas défendu EDF qu'aux Allemands qui ont défendu l’Allemagne"

    (extrait vidéo 2'15)

    https://twitter.com/Figaro_Live/status/1670830891948470272?s=20

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    5. (Source : Lyon Mag) Les envahisseurs (et évidemment "clandestins/irréguliers") veulent "manger halal", et refusent ce qu'on leur sert ! À Lyon : soirée d’émeutes dans le centre de rétention administrative (CRA) de Lyon Saint-Exupéry...

    https://www.lyonmag.com/article/130656/lyon-soiree-d-emeutes-dans-le-centre-de-retention-administrative-cra-de-lyon-saint-exupery

    SI VOUS VOULEZ "MANGER MUSULMAN",

    VOUS "HABILLER MUSULMAN",

    BREF, "VIVRE MUSULMAN",

    ALORS, OU VOUS RESTEZ CHEZ VOUS,

    OU VOUS ALLEZ DANS UN PAYS MUSULMAN !

     

    6. Exemple genre "cas d'école" d'un journaleux à l'esprit réellement tordu et, semble-t-il, irrécupérable :

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    La vérité, en vidéo (O'31) : voilà ce que ce Toussaint appelle "tensions" ! :

    https://twitter.com/JrmCortier/status/1671023660289728513?s=20

     

    7. Séquence rétro/nostalgie... La Place de la République (que nous aimerions bien rebaptiser "de France"...) avant que la gauche ne coupe les arbres pour que les zadistes aient de la place pour faire des manifs pour le climat...

    Abonnez-vous à @saccageparis

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    Et, pour conclure cette série d'aujourd'hui, sachez que le maillot d'Olivier Giroud (dont nous parlions ici-même, hier) a été vendu 35.000 euros au profit des chrétiens persécutés en Arménie !

    BRAVO, OLIVIER, POUR CE BEAU GESTE !

    ET VIVE L'ARMÉNIE,

    DONT LE HAUT KARABAGH FAIT PARTIE INTÉGRANTE !

     

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    À DEMAIN !

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  • Autour du Prince Jean ! Dernier acte : à Chantilly, où tout est beau....(1/2)

    TimbrebisRVB.jpgLes quelques kilomètres qui séparent Chantilly de Senlis sont vite avalés. On a juste le temps de méditer quelques instants sur la beauté de la nature environnante, et voilà que les premiers membres du Service d'Accueil, qui nous entourent depuis le début de la matinée, nous indiquent la voie à suivre. On traverse à peine quelques rues, et on se rend directement sur l'hippodrome.

    D'emblée, le spectacle est grandiose. À peine franchies les grilles du domaine, on mesure combien tout respire la grandeur et l'harmonie. Manifestement, tout obéit à l'esprit, à Chantilly. Et si l'on a parfaitement respecté la Nature - à laquelle de toutes façons, c'est bien connu, on ne commande qu'en lui obéissant... - un sens artistique et un goût très sûr, développés là sur plusieurs siècles d'affilée, sans discontinuer, ont abouti à ce résultat qui tend vers la perfection : le domaine de Chantilly, qui s'offre aux yeux du visiteur.

    Madame de La Fayette ne disait-elle pas : "De tous les lieux que le soleil éclaire, il n'y en a point de pareil à Chantilly" ?

    Même la révolution, qui a pourtant fait ce qu'elle a pu en saccageant le Parc, en morcelant le domaine et en rasant le Grand château, n'a pas réussi à détruire Chantilly. Le Parc et les jardins furent recréés en premier, après que le domaine eut été peu à peu racheté, morceau par morceau; puis le Grand château fut restauré par le duc d'Aumale...

    En entrant, on tombe directement sur l'hippodrome et l'on a, juste à gauche, les Grandes Ecuries. C'est là, sur l'hippodrome, que va se dérouler le dernier acte de la fête. Sur la photo aérienne ci dessous, vous en voyez l'extrémité en haut, à droite.

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    Il a été prévu un long moment de détente, bienvenu, pour commencer. De grandes tables, dressées à l'extérieur, offrent boissons et mises en bouche de qualité, ce qui donne à tous, de nouveau, la possibilité de nouer agréablement dialogues et contacts, ou de reprendre ou poursuivre une discussion que le déplacement avait dû interrompre.

    Sur la pelouse, les personnalités présentes déjà à la cathédrale ont été rejointes par d'autres. On note la présence de l'Aga Khan, qui restera avec nous toute l'après midi. Il n'est pas étonnant qu'il soit là. Outre les relations directes qu'il entretient, bien sûr, avec la Famille de France, on connaît le rôle extrêmement important qu'il joue, dans le monde entier, mais aussi particulièrement à Chantilly, grâce à son action inlassable en tant que mécène.

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    Pour le seul domaine de Chantilly, et sans entrer dans des détails trop complexes, l'engagement de l'Aga Khan a la double particularité d'être très important (et le mot est très, très faible...) et, surtout, de s'étaler sur plusieurs années. Ce qui permet évidemment d'assurer une sécurité et une continuité bienvenue dans la programmation et l'échelonnement des travaux d'entretien, d'aménagements, d'embellissements, de mises aux normes etc... dont on comprend sans peine qu'un joyau comme Chantilly ne peut se passer...

    C'est donc au double titre de grand ami de la Famille de France, mais aussi de grand ami de Chantilly que Karim Aga Khan, mécène et bienfaiteur, se trouve là.

    Le maire de Senlis, Jean-Christophe Canter, qui est toujours là, a été rejoint par le maire de Chantilly, et Ministre du Budget, Eric Woerth. On sait qu'Eric Woerth a consacré une intéressante biographie au duc d'Aumale, dernier propriétaire du domaine, celui-là même qui le légua, avec l'ensemble de ses collections, à l'Institut de France.

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    Alain Decaux, Bernadette Chirac et le Garde des Sceaux, Rachida Dati, ont été rejoints, si l'on peut dire, par Jean-Jacques Aillagon (ancien ministre de la Culture et président du Château de Versailles), le prince Gabriel de Broglie (chancelier de l’Institut de France), et Ernest-Antoine Seillière.

    Il y a les ambassadeurs du Liban, de Pologne, le délégué général du Québec. Lorant Deutsch est là, avec sa fiancée...

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    Fin du premier moment : on nous invite à prendre place pour le repas...

     À l'intérieur d'un très beau pavillon, aux dimensions impressionnantes, de grandes tables rondes de dix personnes ont été dressées. On nous y offrira, là aussi, des mets de qualité, jusqu'au moment où, par l'extérieur, arrivera la monumentale pièce montée, occasion pour toute l'assemblée de se lever et d'applaudir pour les nouveaux mariés, mélangeant dans ces applaudissements les voeux de bonheur et les remerciements pour cette journée...

    (à suivre).

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    La "bombe" d'Éric Anceau (sur tweeter) :

    "Écœurement après les révélations sur la lettre envoyée par le rectorat de Versailles aux parents du jeune de Poissy victime de harcèlement et qui s’est finalement suicidé. Après Samuel Paty, après le job dating, après le traitement des néotit,… une énième preuve de la gestion calamiteuse du plus grand rectorat de France sous Charline Avenel dont le seul titre pour exercer cette fonction était d’avoir été camarade de promotion de Macron. La révoquer ? Impossible ! Elle a été exfiltrée vers l’enseignement privé !"

    Oui, mais Gabriel Attal a bien parlé de "honte" pour le courrier du Rectorat; et a bien dit qu'il se réservait la possibilité d'aller jusqu'à des sanctions disciplinaires...

    Ça va chauffer en Macronie...

     

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    1. Entièrement d'accord avec Gabrielle Cluzel sur le propos imbécile de François Gemenne, concernant Marion Maréchal, qu'il accuse d'avoir "sauté dans le premier avion pour faire sa pin-up à Lampedusa" (sic). :

    "Remplaçons LCI par CNews et Marion Maréchal par Clémence Guetté, et imaginons une minute et demie la syncope générale, la sidération totale avant le tsunami d'indignation. Ouf, ce n’est QUE Marion Maréchal…"

    https://www.bvoltaire.fr/marion-marechal-fait-elle-sa-pin-up-a-lampedusa/?fbclid=IwAR1M6ExcbSOk4MkVO17uMlzgvC7BadRKJ8mASwUZaFMPZxoKb3mfwsLgemY_aem_AdfmWPXXFK40C4BKYHOdvd-_8hHt8-3yPOHrq_dVPfd6RNSYgbd9H0xsqOXZhrxW93E

    Migrants: l'interview de Marion Maréchal sur BFMTV en direct de Lampedusa -  YouTube

     

    1 BIS. Et entièrement d'accord aussi, sur le même sujet, avec Mathieu Bock-Côté :

    "Un intellectuel de gauche, François Gemenne, insulte une femme politique de droite, Marion Maréchal, en la traitant de pin-up. Où sont les féministes qui normalement, se mobiliseraient contre un propos aussi méprisant ?"

    https://x.com/mbockcote/status/1703138343561650204?s=20

    Allô, Caroline de Haas, Mathilde Panot, Sandrine Rousseau et toute la clique des tartufières... 

     

    3. De Nicolas Meilhan à Bruno Le Maire :

     

    4. De Fabien Bouglé :

    "Ce matin (hier, dimanche, ndlr) l'Allemagne avec son record d'#éoliennes couplées à ses centrales au charbon émettait 35× plus de gaz à effet de serre que la France..."

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    CONCLUSION :

     

    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

     

    4 BIS. Et, toujours de Fabien Bouglé : nos ennemis allemands toujours à la manoeuvre contre la France et son nucléaire... :

    "ALERTE OFFENSIVE ALLEMANDE ! L'officine @global_chance, a l'origine de la pétition antinucléaire est membre du Réseau Action Climat @RACFrance, financé par la fondation allemande Henrich Boll qui reçoit de l'argent du gvt allemand pour dénigrer le nucléaire français..."

    https://www.ouest-france.fr/environnement/nucleaire/1000-scientifiques-remontes-contre-le-nucleaire-4dad2992-5180-11ee-adac-39f36570e544

    Le retard et le surcoût de l’EPR de Flamanville sont pris en exemple par les opposants au nucléaire.

     

    DELENDA EST

     

    GERMANIA !

     

     

    6. Terrorisme : alerte rouge sur la France !

    On sait très bien que les terroristes/assassins du Bataclan sont entrés en France avec "les migrants", de leur vrai nom : les envahisseurs... Jean Messiha a raison "d'appuyer là où ça fait mal"... :

    "...Darmanin dit lutter activement contre la menace terroriste En même temps, le même Darmanin fait entrer chaque année en France des centaines de milliers de musulmans qui charrient en leur sein une frange radicale et possiblement terroriste On nous prend pour des demeurés ?..."

    (extrait vidéo 1'16)

    https://x.com/JeanMessiha/status/1702975492247142622?s=20

    https://images.bfmtv.com/9FUPz2DrOug6unO0JTAKKUPrZZM=/0x0:1280x720/385x0/images/Al-Qaida-a-quel-point-prendre-les-menaces-au-serieux-16-09-1707693.jpg

     

    7. Dans Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel reçoit Georges Fenech, qui parle du Syndicat de la Magistrature :

    https://www.bvoltaire.fr/linvite-les-juges-du-sm-sont-des-revolutionnaires-en-robe-dhermine/

     

     

     

    À DEMAIN !

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  • Reçu de SOS Éducation, cette Association amie qu'il faut défendre et aider...

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    Chère amie, Cher ami,

    Je vous invite à découvrir cet article fouillé sur la tentative d'asphyxie financière de votre Association !

    Ce nouveau papier apporte plus de détails sur l’incroyable acharnement dont a été victime SOS Éducation, et sur les points de droit qui l’opposent désormais à l’administration fiscale.

    Un grand merci au journaliste Victor Eyraud, qui s’est emparé du sujet et a souhaité rédiger un article de fond après avoir mené sa propre investigation. Il propose son analyse de ce scandale d’État.

    Aperçu article Valeurs Actuelles Situation SOS Éducation

     

    Je sais que beaucoup d’entre vous ont suivi cette affaire avec intérêt, appréhension et espoir.

    Et vous êtes nombreux à nous avoir demandé des précisions sur ce scandale d’État qui touche SOS Éducation. Merci à tous pour vos messages et vos encouragements !

    Cet article fouillé donne un vrai éclairage sur l’affaire. Il est payant, ce qui se justifie par le travail d’investigation et d’écriture réalisé par le journaliste.

    Vous pouvez accéder à l’article en suivant ce lien : SOS Éducation, une association devenue (trop) encombrante pour l’État.

    Néanmoins pour tous ceux d’entre vous qui ne pourront pas accéder à l’article complet, nous avons sélectionné quelques extraits ci-dessous qui vous donneront un bon aperçu des éléments saillants.

    D’autres articles et interventions dans les médias sont prévus pour dévoiler ce scandale : nous ne manquerons pas de vous les transmettre au fur et à mesure.

     

    Extrait 1

     

    Extrait 2

     

    Extrait 3

     

    Extrait 4

     

    Extrait 5

     

    Extrait 6

     

    Extrait 7

     

    Extrait 8

     

    Extrait 9

     

    Extrait 10

     

    Extrait 11

     

    Extrait 12

     

    Extrait 13

     

    Extrait 14

     

    Vous l’aurez compris à la lecture de ces extraits : SOS Éducation a subi des attaques d’une ampleur inégalée, visant à la faire disparaître à court terme.

    Le but ? Faire taire la seule Association en France qui se bat pour une instruction de qualité.

    C’est évident, SOS Éducation dérange le pouvoir en place.

    SOS Éducation pousse les mesures de bon sens pour améliorer l’École, et met le pouvoir en place face à ses responsabilités.

    Nous portons la voix de 125 000 citoyens engagés, qui comme vous, refusent de voir le niveau scolaire dégringoler chaque année et les idéologies contraires à l’intérêt supérieur de l’enfant s’installer dans les programmes scolaires.

    Et malgré les attaques insensées auxquelles nous avons dû faire face, nous sommes encore là...

    Plus vigoureux que jamais, plus visibles que nous ne l’avons jamais été, plus consultés aussi car notre expertise de 20 ans d’analyse des politiques éducatives est recherchée pour comprendre et enrayer le marasme actuel dans lequel notre école est plongée.

    SOS Éducation n’a jamais été aussi proche de faire entendre la voix de la raison et du bon sens pour inverser la tendance et renouer avec une instruction de qualité.

    Nous sommes à un moment crucial, où l’École a plus que jamais besoin de nous !

    Nous allons continuer à agir chaque jour pour sauver l’École, et j’espère pouvoir compter sur vous dans cette mission...

    Restez à nos côtés : continuez à signer nos pétitions, à participer à nos sondages, à transférer nos lettres d’information à vos proches, à nous donner votre avis sur les actions à mener...

    Et bien sûr, si vous le pouvez, soutenez financièrement l’Association pour participer encore plus activement au sauvetage de l’École !

    Plus de 15 000 personnes ont soutenu l’Association récemment, réaffirmant leur souhait de contribuer à ce que SOS Éducation poursuive sa mission d’intérêt général pour l’instruction de notre jeunesse et le respect de l’autorité parentale.

    Pour les rejoindre, c’est simple et rapide : rendez-vous sur notre page de dons sécurisée, et confirmez votre don en quelques clics.

    Merci pour votre soutien !

     

    Aperçu page de dons SOS Éducation

     

    OUI, je soutiens SOS Éducation ! 

     

    Priorité à l'Éducation !

    Signature Sophie Audugé

  • Amine, Anis étaient au milieu de nous : 66 millions de Français virtuellement livrés au terrorisme islamiste

     

    Mur-bleu gds.jpgNous ne jouons pas à nous faire peur ni à chercher à faire peur aux autres ; ni à cultiver une sorte de morbide sinistrose, qui se porte assez bien comme cela pour qu'il soit utile d'en rajouter...

    Nous tirons simplement le constat froid et lucide (on dira clinique, puisqu'Amine était Interne à La Timone, à Marseille !) que deux dangereux terroristes islamistes étaient au milieu de nous, normalement, habituellement :

    - le premier, Interne en Chirurgie orthopédique à l'Hôpital de La Timone à Marseille, était en neuvième année de médecine : il a dû en voir, en soigner des gens, leur parler, avoir accès à toute sorte de locaux plus ou moins « sensibles ». Et voilà que l'on apprend qu'il s'était réjoui des assassinats de novembre à Paris, qu'il tenait des propos ouvertement favorables au djihadisme sur les réseaux sociaux, parlant même de commettre des attentats en France. Disparu depuis la mi-octobre, il a finalement été arrêté en Turquie, alors qu'il se rendait en Syrie : pour y faire quoi ? Devinez ! 

    - le second, après son carnage de Berlin, s'est baladé, il n'y a pas d'autres mots. D'Allemagne il est passé en Hollande puis, via la Belgique en France. Il a pris le train, tout naturellement, a traversé plusieurs gares, et, lui aussi, a côtoyé pas mal de monde dans les rues, les dites gares, les trains...

    Heureusement, dans un cas comme dans l'autre, les deux assassins n'ont pas tué chez nous. Si l'un est passé à l'acte en Allemagne, l'autre est resté « assassin en puissance », mais l'intention - quand elle est aussi froide, résolue, planifiée... - ne vaut-elle pas l'action ?

    Mais ces deux cas troublants nous amènent au seul constat possible : nous sommes toutes et tous livrés, à tout moment, au couteau de l'égorgeur, à la ceinture d'explosif de l'artificier, au véhicule lancé dans la foule... Et les terroristes sont - ou peuvent être - le voisin du dessus ou du dessous ; celui d'en face ou d'à côté ; celui d'en haut de la rue, ou d'en bas, ou du coin : bref n'importe lequel de ces 200.000 entrés par an en France sous Sarko (sans compter les clandestins, évidemment) ; chiffre qui est passé à 300.000 pendant le « quinquenium horribilis » de Hollande.

    Toutes et tous étant parfaitement « normaux » en temps normal, mais pouvant basculer d'un coup, à tout moment, dans ce que l'on appelle maintenant, dans la novlangue idéologique politiquement correcte, la radicalisation : en clair, l'islamisme, le terrorisme, l'assassinat de masse.*

    C'est dans cet esprit que nous dressons notre constat : non pour faire frissonner dans les chaumières, mais pour lancer une accusation frontale contre le Système, que nous accusons d'irresponsabilité et de mise en danger de la vie de la Nation.

    Donald Trump a fait scandale dans la petite bulle des journaleux bobos/gauchos lorsqu'il a déclaré, pendant sa campagne, qu'il voulait interdire l'entrée de musulmans aux Etats-Unis, avant que les autorités compétentes ne se soient renseignées sur les dits musulmans. C'est le bon sens le plus élémentaire : au moins, en savoir le plus possible sur ceux qui veulent venir chez vous. Ce bon sens-là, le Régime, le Système ne l’a pas, car il ne veut surtout pas l'avoir. Ce qu'il veut c'est créer un citoyen nouveau, une France nouvelle, surtout sans contact avec ses Racines et ses Traditions, qui sont gréco-latines, européennes et, bien sûr, chrétiennes. Et, pour effacer ces Racines et ces Traditions, tout est bon, pour le Système, même et surtout l'Islam et les musulmans. 

    Sauf qu'à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler ; à force de manipuler des bombes, elles vous explosent à la figure...

    On en est là. Que ce soit le Régime, le Système qui saute, cela ne nous gêne guère. Mais qu'il nous fasse courir le risque avec lui, alors là, non !   

    * Répétons-le, une fois de plus : nous ne disons pas que tous les musulmans sont des terroristes, nous disons que tous les terroristes sont des musulmans, et pratiquent leur terrorisme au nom de l'Islam.
  • Mai 68 : Gauchisme et néolibéralisme [2]

    Les gauchistes, des Rastignac honteux 

    Mai 68 propulsa la carrière de « Dany-le-rouge ». Ce fut le début de son ascension politico-médiatique, sous la protection de l’aristocratie financière mondiale, ensemble fusionnant le trust bancaire (Rothschild) et le complexe militaro-industriel (Rockefeller), et employant d’illustres hommes de main comme René Cassin et Georges Pompidou. Puissance qu’il n’est point grandiloquent de qualifier d’empire, c’est-à-dire d’entreprise agissant sur un mode réticulaire et transnational qui poursuit un objectif de domination totale, sur toutes les parties du monde et de la vie sociale, des centres aux périphéries, des plus publiques aux plus intimes, objectif commandé par une mystique de l’action fondée sur des sources à la fois gnostiques (franc-maçonnerie) et vétérotestamentaires (sionisme juif et chrétien).

    Cette élite impériale a pu s’appuyer durant la crise de mai-juin 1968 sur une clique, une bande, de professionnels de la Révolution qui fut le matériau humain disponible dont elle disposait dans le bras de fer que de Gaulle avait périlleusement engagé contre elle. Ces jeunes gauchistes furent les acteurs visibles de Mai 68, l’étincelle qui déclencha l’allumage d’un feu follet qui pendant des semaines embrasa la France gaullienne. Si leur rôle a été déterminant, il faut souligner le soutien qu’ils reçurent de la part des ploutocrates, notamment via les grands médias de masse, presse écrite et radio en tête.           

    Le mouvement de Mai a ainsi démarré sous l’impulsion d’une poignée de brillants étudiants d’extraction petite-bourgeoise grenouillant dans les cénacles d’extrême-gauche et entretenant un rapport ambigu avec Israël. À l’image de leur parrain, Jean-Paul Sartre, qui, d’après Pierre Messmer, « avait des choses à se faire pardonner. Il n’a pas pu faire jouer ses pièces, sous lʼOccupation, sans autorisation de la Kommandantur... De Gaulle a toujours refusé de le faire arrêter. »[1]

    Mais, se demande, Morgan Sportès, qui est-il réellement, ce Sartre, en Mai 68 ? « Un vieil homme malade courant après sa jeunesse, […] plongé dans le XIXe siècle, avec son étude sur Flaubert qu’il poursuit depuis des années, se bourrant d’amphétamines et autres excitants, fumant boyard sur boyard, paumé dans son imaginaire, il perçoit la politique de cette seconde moitié du XXe siècle à travers celle du siècle passé : mais ces maos qu’il fréquente, du moins les cadres supérieurs […], rejetons de la classe moyenne frustrée de ne ramasser que les miettes du festin de la société libérale, ne ressemblent-ils pas – avec ce faux dédain qu’ils affichent vis-à-vis de ce à quoi secrètement ils aspirent (l’argent, le luxe, le pouvoir, les starlettes, la célébrité) – aux héros si modernes de LʼÉducation sentimentale ? »[2]  (Dossier à suivre)  

    [1]  Cité par Morgan Sportès, Ils ont tué Pierre Overney, Paris, Grasset, 2008, p. 175.

    [2]  Ibid. p. 78-79.

     

    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    Dossier spécial Mai 68

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Violence des jeunes : faut-il croire au « sursaut » ?
     
    L'édito d'Alexis Brézet, à propos du diagnostic partiel de Gabriel Attal (sur Europe 1) :
    "Dans le discours de Gabriel Attal il y a un mot manquant : immigration. Il découvre que nous avons un problème avec la jeunesse, avec les parents, les écrans, les réseaux sociaux, mais il ne voit aucun problème lié à la faillite de l’intégration ni à une immigration incontrôlée..."
     
    (extrait vidéo 4'16)
     

     

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    1. Plutôt que de "s'excuser", et de chercher à faire oublier ses erreurs, en nous parlant de crise économique, ce qui nous sert de gouvernement ferait mieux de voir les réalités en face : toutes les bourses ont dépassé leurs records historiques et, s'il y a crise, chez nous, c'est simplement une crise de la Dette, donc de l'action erronée et néfaste de l'Etat. 

    D'accord avec Philippe de Villiers :

    "Contrairement à ce que déclare Emmanuel #Macron, la #crise économique n'a rien de conjoncturelle : elle est structurelle ! Le redressement national permettra le rétablissement des comptes. Mais on ne peut pas avoir un Etat-providence sans avoir de frontières : la France ne peut plus nourrir la misère du monde !"

    (extrait vidéo 4'91)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1780978677599043938

    Crise de la dette, retour sur ce vendredi 2 juin 2023 : ce jour où tout est  parti en vrille pour la France - FranceTransactions.com

    La situation budgétaire de la France s'est particulièrement dégradée depuis 2019. La dette publique est passée de 97,4% du PIB en 2019 à 112,1% du PIB en 2023. De même, le déficit public a augmenté de 2,1% du PIB en 2029 à 4,9% en 2023...

     

    2. Par contre, pour ce qui est de l'École, Gabriel Attal semble voir - au moins en partie - les choses comme elles sont. Même si, pour l'instant, il ne fait pas fait le lien entre les conséquences et la cause du développement de la charia dans nos écoles : la cause, c'est évidemment l'immigration/invasion...

    D'accord donc, en partie, avec Alain Bauer (sur CNews) après les déclarations de Gabriel Attal sur "l'entrisme islamiste" à l'école :

    "Pour la première fois, les mots correspondent à la réalité des faits..."

    (extrait vidéo 2'14)

    https://x.com/CNEWS/status/1781194316641140880

    "Entrisme islamiste" à l'école: "Quand nous sommes en campagne électorale,  Gabriel Attal parle comme le Rassemblement national", pour Edwige Diaz (RN)

     

    3. Quand Goldnadel tacle, avec raison, Sophie Binet... Celle-ci est venue pleurer (sur tweeter) :

    "Le tribunal de Lille vient de condamner Jean Paul Delescaut SG de la CGT du Nord à un an de prison avec sursis suite à une phrase dans un tract. Il s’agit d’un cap gravissime franchi dans la répression des libertés. La cgt fait appel de ce jugement honteux..."

    Oui, mais... Dame Binet ne dit pas tout ! Écoutons Goldnadel, qui rétablit les faits :

    "Après avoir soutenu son cadre SNCF Tronche qui a demandé à Zemmour si son train partait pour Auschwitz, voilà qu’elle soutient le cégétiste Delescaut condamné pour apologie d’un massacre. La GGT est maquée par les islamistes. Elle est gracieuse la Binet."
     
    Comme le disait Jean Rochefort dans l'un de ses films, à un subordonné peu doué : "Vous êtes un cas, Binet !..."

    ane-qui-rit.jpg

     

    4. L'édito de Gauthier Le Bret : "Jean-Luc Mélenchon : CNEWS "une chaîne infâme"...

    (extrait vidéo 3'31)

    https://x.com/CNEWS/status/1781187164992143807

    @CNEWS's video Tweet

     

    5. La situation à Paris, saccagé : de Charlotte Rocher (sur tweeter) :

    "Construire des barres d’immeubles espacées de 8m, abattre les arbres, tromper les riverains, le tout dans un arrondissement eelv : voici un bon résumé de l’écologie de la gauche d’#AnneHidalgo alliée aux écologistes de David Belliard. Des champions de la bétonnière"
     
    (extrait vidéo 2'08)
     
     
    Ces arbres que l'on abat à Paris

     

     

    6.  @MarineNationale  communique :

    "La FREMM Aquitaine (ndlr : "fremm", acronyme de FREgate Multi Missions), positionnée au large de Quimper, et un SNA de classe Suffren, au large de Biscarrosse, ont conduit pour la première fois, le 18 avril 2024, un double tir simultané d’entrainement du Missile de croisière naval (MdCN). Ce tir a permis de traiter avec succès une cible terrestre, située sur le site des Landes de DGA Essais de missiles. Les deux missiles ont atteint leur cible en parfaite synchronisation."

    Image

     

    7. Jacques Bainville a terminé son Discours de réception à l'Académie par ces mots magnifiques : "Et, pour les renaissances, il est encore de la foi." Un mois avant le pèlerinage de Chartres, les inscriptions sont déjà closes ! Pour la deuxième année consécutive, Notre-Dame de Chrétienté a fermé les inscriptions au pèlerinage de Chartres en avance, ce qui laisse présager un nouveau record d’affluence...

    <p>Le pèlerinage de Chartres avait déja atteint un record en 2023 avec 16 000 inscrits. Ici, l'un des chapitres près d'un des points de bivouac. </p>

     

     

    À DEMAIN !

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  • Solidarité Kosovo ! DES ENFANTS HEUREUX D’APPRENDRE DANS LES ÉCOLES RÉNOVÉES

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

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    Depuis la rentrée, les écoles de Tomanac et Rajanovac résonnent à nouveau du bruit des cris des enfants à la récréation. Après un trimestre de travaux d’agrandissement et de réhabilitation, les établissements ont fait peau neuve et accueillent les écoliers toujours plus nombreux dans un environnement  désormais sain et sécuritaire.

    De nombreux aménagements

    Des classes supprimées, une école qui ferme, trahissent bien souvent le déclin d’un village. A l’inverse, une rénovation, des travaux d’agrandissement d’un établissement scolaire traduisent à la fois la vitalité démographique d’une enclave et le soutien qui lui est manifesté. Ainsi en est-il de deux communes situées dans la zone Est de la province appelée Kosovsko Pomoravlje, qui peuvent revendiquer aujourd’hui de belles écoles rénovées après plusieurs mois de travaux.

    L’ensemble des locaux ont subi une importante cure de rajeunissement. Comme l’école primaire de Tomanac, vieille de 70 ans, qui fait partie du patrimoine du village. Si bien que le jour de l’inauguration des travaux, nombre d’habitants se sont rejoint spontanément aux abords de l’école. On pouvait entendre « Ça ne nous rajeunit pas, mais ça rajeunit la mémoire » ou encore « c’est quand même ici que j’ai appris à lire. C’est ici le début de la vie ».

    Dans les deux écoles, la plomberie, l’électricité, les finis intérieurs et la peinture ont été entièrement refaits. Les poêles à charbon ont été remplacés par un chauffage central. A l’extérieur, une vaste cour de récréation, une façade repeinte à neuf, de grandes baies vitrées inondant de lumière des salles de cours plus spacieuses, etc. voilà tout ce qui a plu aux petits élèves et qui a réjouit les institutrices.

    «C’est le jour et la nuit »

    Une réhabilitation qui est également accueillie avec enthousiasme par les parents d’élèves de l’école primaire « Trajko Peric » à Rajanovac. «L’ancienne école était vétuste et l’hiver il y faisait un froid glacial. Là c’est le jour et la nuit. Regardez, les enfants se précipitent en classe sans même nous dire au revoir », s’amuse Tamara, maman d’un écolier de neuf ans. Il est l’un des quatorze écoliers que compte cette école construite en 1967 sous l’impulsion et les moyens des habitants du village.

    «Après avoir passé deux décennies à enseigner dans des bâtiments lugubres, nous célébrons aujourd’hui, la rénovation de notre école grâce au soutien de Solidarité Kosovo et aux fonds investis», confie visiblement émue l’institutrice du village avant de poursuivre. « Il n’y a de plus belle réalisation dans un village que celle d’investir pour créer les meilleures conditions d’éducation des générations futures, pour leur donner les meilleures chances de réussir, de bien grandir, de bien apprendre ».

    11 ans de l’opération de rénovation des écoles

    Une conviction partagée par Solidarité Kosovo qui a fait de l’éducation une priorité d’action. Grâce à un investissement de 110.000 euros, la rénovation des écoles de Tomanac et Rajanovac  permettra aux 38 élèves d’évoluer et de grandir dans un environnement des plus propices à l’apprentissage, à la socialisation et à l’épanouissement. Ce chantier humanitaire, devenu traditionnel, est reconduit pour la 11e année consécutive grâce à la mobilisation fidèle des donateurs de Solidarité Kosovo.