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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Racines • Les royalistes aixois et autres provençaux ont fêté la Saint Patrick, vendredi soir ...

     

    3760447625.jpgNous avions annoncé cette soirée, comme une heureuse et sympathique initiative. D'un sens et d'une portée plus profonds qu'il n'y paraît. Sur sa page Facebook, Action française Provence en a donné les quelques impressions suivantes et trois photos que nous reprenons pour l'information de nos lecteurs. Ces derniers seront heureux d'y découvrir une nombreuse et ardente jeunesse :   

    « Vendredi soir, la bonne humeur fut au rendez-vous à l'occasion de la fête de la Saint Patrick, célébrée au local d'Action française d'Aix-en-Provence. Avec une quarantaine de convives présents, la soirée fût un succès et l'occasion de se rassembler autour de quelques bières en attendant les combats politiques de demain.

    Rejoins les tiens ! » 

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    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Les royalistes aixois invitent à venir fêter la Saint Patrick avec eux : Ils ont raison !

  • Après Paris, Marseille : l'hommage rendu à Jeanne d'Arc

     

    A Marseille, hier jeudi 18 mai, à 18 heures, une gerbe a été déposée, suivie d'une allocution, pour célébrer Jeanne d'Arc ...

    L'Action française Provence en a donné aussitôt après, le bref - et suffisant - compte-rendu ci-après - que les belles images en titre illustrent fort bien.  LFAR 

    « Ce soir les militants de l'Action française Provence se sont rendus au pied de la statue de Jeanne d'Arc, dans le quartier des Réformés, afin de saluer la mémoire de celle qui demeure la figure de sainteté, d'espérance et de courage dans notre combat quotidien. Malgré les grossières intimidations de groupuscules antifascistes, un discours a pu être prononcé, une gerbe déposée et un hommage rendu.

    Toi qui aimes la France, rejoins nous ! »

  • Pour en finir avec les dérapages de « La Provence »

    18 avril 2016

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    « La Provence » a publié cette information dans son édition d'hier lundi au matin.

    Cette fois-ci, plus de photos, plus d'idéologie, plus de phrases. Des faits.

    Après avoir relayé pendant des mois la propagande de l'ultragauche,  dite antifasciste, repris à son compte les formules, les accusations, et les insultes de cette dernière envers l'Action Française et les royalistes en vue de les interdire de parole et d'existence, au besoin par la violence, Laurent d'Ancona cosigne, pour La Provence un article où les casseurs, les violents, les auteurs d'une intrusion et de vandalisme chez autrui, encapuchonnés et gantés selon les riverains, au nombre d'une trentaine, actuellement recherchés par la Sûreté pour de tels délits, ce ne sont pas les militants d'Action Française mais ceux de l'extrême-gauche !

    Pour clore cette affaire, nous nous bornerons à dire qu'au bout du compte ni M. D'Ancona ni La Provence n'ont l'air bien malins !  LFAR

     

  • Ephémérides de lafautearousseau : mise au point, par François Davin

    lfar flamme.jpgJe lis aujourd'hui sur le Blog de l'Action française mon Ephéméride du 21 septembre sur la Convention, "la plus grande escroquerie démocratique de tous les temps". Le Blog dit avoir lu cette Ephéméride sur un autre journal que lafautearousseau.

    Je fais savoir PUBLIQUEMENT ici que je n'ai pas donné mon accord pour la parution de mes Ephémérides sur le titre cité par le Blog; que cette parution se fait donc contre ma volonté; et je rappelle que je suis l'unique concepteur, rédacteur, illustrateur et réalisateur de ces Ephémérides.

    Je n'en ai malheureusement que la propriété intellectuelle et morale, et ne suis donc pas en mesure d'interdire leur parution ailleurs : au moins, les gens sauront que la personne qui les utilise là où le Blog de l'Action française l'a vue réalise une forme de vol et de tromperie morale vis -à-vis du public.

    François Davin,

    Inventeur du titre "lafautearousseau", fondateur et Blogmestre du quotidien

  • Tollé sur tweeter où les soutiens à Augustin se multiplient...

    Sur tweeter, deux ou trois nervis d'extrême-gauche, LDH et prétendus antifas ont carrément justifié le "massacre" d'Augustin, parce que il est d'Action française. Pour eux, cela suffit pour légitimer le fait que des racailles, à cinq contre un, agressent un jeune Français qui défendait deux jeunes filles importunées (restons polis) par les dites racailles.
    Heureusement, les réactions en défense d'Augustin pleuvent sur Tweeter, et de partout, même et aussi de la part de personnes ne partageant pas nos idées. 
    Nous extrayons juste la réponse d'Adrien Molin aux terroristes complices de leurs potes racailles/terroristes, à cinq contre un...
     
    Et bravo à Augustin : on est tous avec toi, on est tous fiers de toi !
     
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    Adrien Molin
     
    L'Action française n'est pas un "groupuscule raciste ultraviolent" mais un mouvement qui œuvre pour le Bien commun, l'unité des Français soucieux de leur nation et de son avenir. Vous pouvez rencontrer nos militants partout en France. #JeunesseRoyaliste #DécoronsAugustin
     

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  • D'accord avec Jean-Christophe Buisson...

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    J-Christophe Buisson
    On aurait préféré entendre le gouvernement français parler de "mesures restrictives et dissuasives" à l'encontre de l'Azerbaïdjan utilisant des mercenaires djihadistes syriens en #Artsakh #HautKarabakh arménien plutôt que contre les skieurs français italophiles et helvétophiles.

     

    Karabakh arménien plutôt que contre les skieurs français italophiles et helvétophiles.
     
     
     
    Par ailleurs, sur ce sujet, notre compte tweeter de lafautearousseau vient de relayer le tweet de L'Action française :

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    Action Française
     
    L'Etat contrôle les Français partant skier mais laisse grandes ouvertes nos frontières à la Terre entière. "La République est le règne de l'étranger" encore et toujours.
     
    C'est aussi la preuve qu'il suffit d'une volonté politique pour contrôler l'immigration.
  • Darmanin KO debout : 2 à 0 pour nous, dans le bras de fer insensé auquel il a cru malin de jouer. Et Jeanne d'Arc honoré

    Fichier:Statue of Jeanne d'Arc in Paris, Place des Pyramides - France - 4 July 2014.jpg

    ON N'INTERDIT PAS JEANNE D'ARC !

    (dans Le Figaro)

    Après avoir suspendu l'interdiction d'un colloque de l'Action française, le tribunal administratif autorise également le défilé d'hommage à Jeanne d'Arc, qui doit avoir lieu dimanche matin. Une manifestation nationaliste reste en revanche interdite.

    L'Action française pourra finalement bel et bien défiler en hommage à Jeanne d'Arc, dimanche 14 mai au matin à Paris. Le rassemblement, qui doit partir de l'Opéra en direction de la statue de Jeanne d'Arc place des Pyramides, avait été interdit vendredi par un arrêté du préfet de police de Paris, en application d'une circulaire de Gérald Darmanin visant les manifestations d'ultradroite. Ce samedi soir, selon une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de Paris, l'interdiction a été suspendue.

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgEn plus de tout le reste, elle traite du fameux Toast d'Alger, "acte 1" de la capitulation en rase campagne de l'Église catholique (du moins, de son Pays légal) devant la Nouvelle religion Républicaine : par ce toast, le cardinal Lavigerie - pourtant, un... conservateur ! - indiquait aux catholiques qu'il fallait accepter la forme nouvelle de gouvernement... (entendez : la République).

    Cet "acte 1" sera immédiatement suivi par le Ralliement de Léon XIII puis, beaucoup plus tard, par le coup de poignard dans le dos de Pie XI et ses ignobles sanctions vaticanes contre l'Action française : une Action française qui menait alors la croisade contre un Hitler qui ne cessait de "monter" outre-Rhin...

    Malgré de grands Papes (Pie X, Benoît XV, Pie XII) la partie gangrenée du pays légal catholique, acquise aux idées nouvelles, a réussi son coup : une reddition sans conditions aux soi-disant idéaux révolutionnaires, une capitulation en rase campagne, une soumission de l'Église catholique légale à la Révolution, admise par elle comme supérieure à elle et à qui elle doit respect et obéissance...

    Tout cela a commencé par le Toast d'Alger...

    lafautearousseau

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1892 : Léon XIII impose le "Ralliement" à la République, premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Église catholique face à la Nouvelle Religion Républicaine.

    Trente quatre ans plus tard, un autre Pape, Pie XI, "sanctionnera" l'Action française, qui menait la croisade contre le nazisme montant en Allemagne, et qui était alors en pleine "phase ascendante"...

    Dans un cas comme dans l'autre, l'Église "légale" aura bien servi la Révolution, dont l'oeuvre et le but essentiel est, justement, la destruction de l'Église catholique autant que de la Royauté traditionnelle; conscient, "mais un peu tard" (comme le dirait La Fontaine), Léon XIII déclara à ses intimes : "Ils nous ont bien eu !..." Certes, mais, à qui la faute ?

    De même, Pie XI prit en 1926 les écoeurantes "sanctions vaticanes" contre l'Action française : ses injustes et cruelles sanctions seront levées en 1939 par le nouveau Pape, Pie XII, dont ce fut le premier acte pontifical. La mesure était bonne, certes, mais elle arrivait trop tard, le mal était fait, irrémédiablement...

    lafautearousseau

  • Quand CGT et MEDEF oublient leurs devoirs sociaux..., par Jean-Philippe Chauvin.

    471283652.2.pngEn cette période particulière, quelques efforts sont demandés à chacun d’entre nous, et cela dans tous les métiers et dans toutes les catégories sociales, ce qui n’est pas, au regard des enjeux, choquant en soi-même. D’autant plus que le temps du confinement, désormais dépassé, pourrait bien entraîner, si l’on ne s’en préserve, une véritable catastrophe économique et, au-delà, sociale : la crise est devant nous, affirment nombre d’acteurs et d’observateurs de la scène publique française, et le plus compliqué reste à venir.

    jean philippe chauvin.jpgEt c’est la capacité de la « nation productrice » à aborder les temps qui viennent qui sera déterminante : résilience, bonne volonté et esprit de service devront prévaloir, et cela fait sens dans une société qui n’est pas qu’un agrégat d’individus interchangeables. Justement, le vieux pays qu’est et que reste la France fait sens, et elle incarne cette durée et cette possibilité, à échelle humaine et historique, de « l’éternité renouvelée ». Sur ces fondations-là, la crise peut, sinon être évitée, du moins être amortie et quelques mauvais coups déviés. Le fait de naître français, de le devenir, de l’être engage : l’oublier ou simplement le négliger aux heures sombres peut être, civiquement parlant (au sens athénien de la cité, de la « polis »), une forme de trahison qu’il s’agit, non de dénoncer, mais de combattre et de dépasser pour en éviter les sinistres conséquences.

     

    Or, deux faits récents montrent que le bien commun n’est pas toujours envisagé par ceux-là mêmes dont ce serait le rôle de le défendre et de le promouvoir. Ils sont révélateurs de certaines maladies qui minent l’entente sociale nécessaire à la vie et à la prospérité raisonnée que chacun doit espérer, tout en y travaillant, pour sa communauté d’ensemble nationale, ce « plus vaste cercle communautaire qui soit, au temporel, solide et complet » et qui garantit la liberté et la survie de tous les autres. Le premier, c’est la politique d’obstruction du syndicat CGT à la reprise de la production dans l’usine automobile Renault de Sandouville (site de production de véhicules utilitaires), politique qui a abouti à l’arrêt complet de celle-ci, pourtant en cours de redémarrage la semaine dernière. Les raisons de cette obstruction, liée aux conditions de sécurité sanitaire au sein de l’usine ou, plutôt, aux procédures de convocation de la commission de santé et sécurité de l’établissement, sont, à bien regarder l’affaire, sans lien véritable avec la préservation de la santé des ouvriers, l’usine étant considérée comme l’une des plus exemplaires sur ce sujet sensible. Non, il s’agit juste d’une manœuvre assez indigne d’un syndicat qui, dans cette affaire, ne l’est pas moins et qui n’a agi que selon des considérations fort peu sociales, au risque de menacer l’existence même de nombreux emplois de Renault ! Après un tel mauvais coup, qui prive les salariés d’une reprise complète de l’activité sur le site prévue initialement pour cette semaine et désormais repoussée à quelques dizaines de jours, la CGT se retrouve isolée et décrédibilisée, au moment même où un syndicalisme fort et responsable serait absolument nécessaire pour participer au mouvement de redressement productif qu’il s’agit de favoriser et d’amplifier : avec une telle obstruction, « les clients ne risquent-ils pas de se tourner vers la concurrence si on ne peut plus produire ? », s’inquiète avec raison le délégué local de la CFE-CGC de l’entreprise. La CGT se comporte là en bien mauvais défenseur du monde ouvrier ! Là où il faudrait serrer les rangs (façon de parler, évidemment, en période de distanciation physique…) et se retrousser les manches, comme l’avaient commandé les prédécesseurs de M. Martinez aux ouvriers de 1945, cette centrale syndicale appelle à la démobilisation ou au blocage : Thorez et Frachon (secrétaire général de la CGT en 1945 et auteur du livre « La bataille de la production » que devraient utilement relire les cégétistes d’aujourd’hui...) doivent se retourner dans la tombe !

     

    Les autres syndicats de l’usine de Sandouville avaient participé à un cycle de négociations entre la direction et les représentants des salariés, au niveau du groupe d’abord, de la France puis de chaque site de l’entreprise, dans le cadre d’un dialogue social largement apaisé au regard des circonstances particulières de la pandémie, un dialogue qu’il faut sans doute renforcer mais qui, pour le coup, était plutôt équilibré. Mieux vaut la conciliation sociale que l’antagonisme des acteurs de l’entreprise entre eux, sachant que, le plus souvent, le rapport de forces n’est pas favorable aux salariés, surtout dans le cadre d’une mondialisation qui valorise plus les « avantages comparatifs » que le « progrès social ». Mieux vaut l’unité de l’entreprise face à l’adversité concurrentielle que le rapport de forces permanent et destructeur de la justice sociale autant que de l’entreprise elle-même ! Avec cette obstruction totalement inappropriée, la CGT, au lieu de servir les salariés, risque bien d’accélérer le déclin de l’emploi dans les usines automobiles françaises : beau gâchis ! En l’espèce, la fameuse formule de Maurras, « la politique du pire est la pire des politiques », s’avère bien définir l’attitude funeste de la CGT locale…

    Le deuxième fait que je qualifierai, là aussi, d’antisocial est le discours du MEDEF et de ses alliés d’experts libéraux qui ne raisonnent qu’en termes de croissance économique quand il faudrait, d’abord, penser en termes de prospérité, celle qui ne peut exister que si le social n’est pas négligé par l’économique. La croissance n’est pas toujours la prospérité, et la prospérité n’est pas qu’affaire de croissance : l’enjeu de l’avenir sera sans doute, justement, de penser « la prospérité sans la croissance », et de l’appliquer à ce monde, en procédant à un retournement de système (par la sortie de la société de consommation et de sa logique fordo-franklinienne). Ce qui est certain, c’est que le discours du « travailler plus d’heures et plus de jours dans l’année », et vouloir l’inscrire dans la loi, est plus que maladroit, c’est une faute sociale autant que stratégique : d’abord parce qu’il n’est pas utile de l’imposer par le biais législatif (ce qui paraît d’ailleurs contradictoire avec le libéralisme prôné qui, a priori, valorise plutôt la liberté que la contrainte…), les salariés, les indépendants et les chefs d’entreprise sachant bien que des efforts seront, évidemment, nécessaires pour sauver leur propre emploi et leur revenu ; d’autre part, pourquoi évoquer cela au moment où le confinement forcé et obligatoire pour nombre de travailleurs a été vécu, déjà, comme une contrainte plutôt que comme des vacances reposantes ? Bien sûr, les situations sont différentes d’un secteur d’activité à l’autre, mais le discours brutal du MEDEF a tendance à bloquer les bonnes volontés plutôt qu’à les susciter et à les soutenir. De plus, la réticence de ce même MEDEF à accepter quelques efforts financiers, en particulier par le moindre versement de dividendes aux grands actionnaires, et le chantage au départ fiscal de ceux qui pourraient être soumis à un ISF rénové, semblent prouver un comportement bien peu patriotique, au moment où l’État injecte tant d’argent, celui des contribuables (et pas des seuls actionnaires), dans l’économie réelle pour en éviter le collapsus. Dernier point : les chefs d’entreprise des grandes sociétés et les actionnaires les plus aisés (tous ne le sont pas, et le retraité qui compte sur quelques dividendes annuels pour améliorer un peu sa retraite ne peut être confondu avec les grands spéculateurs aux comportements de prédateurs) ne peuvent s’abstraire de leurs devoirs sociaux, au risque de ne plus être considérés que comme des profiteurs sans légitimité et s’attirer les foudres de l’opinion publique, à raison dans ce cas-là. La solidarité ne doit pas être un vain mot ou ne s’exprimer que dans le cadre de sa classe sociale d’appartenance : elle doit irriguer toute la société et ses catégories diverses, dans l’équité et la péréquation sociales.

     

    Sans justice sociale, une société ne peut que se déchirer et compromettre son rétablissement économique. L’oublier, que l’on soit syndicaliste CGT à Sandouville ou libéral de l’Institut Montaigne ou du MEDEF, c’est manquer à ses obligations de solidarité française, celle qui permet de traverser les tempêtes sans briser le navire ni jeter ses passagers par-dessus bord…

  • Lu sur le Blog de la Fédération Royaliste Provençale : le compte-rendu de la réunion de rentrée..... (1/4)

    Notre 24 septembre : Qu'est-ce qu'une Réunion de rentrée réussie ?....(1/4) : Impression générale....

            Pour nous, c'est si l'on peut constater, tout simplement, au moins trois choses :

    1. La première, que des amis se retrouvent avec un réel plaisir, après la coupure des vacances; qu'ils sont heureux d'être ensemble et que règne un véritable et sincère esprit d'amitié...

    2. La deuxième, c'est si l'on peut, en se retournant vers l'année écoulée, constater que les décisions qui avaient été prises l'année dernière à pareille époque et en pareille circonstance, les souhaits qui avaient été exprimés, les objectifs qui avaient été fixés ont été tenus et réalisés, sinon dans leur totalité, du moins pour la plus grande partie d'entre eux, et en tout cas les plus importants...

    3. Et la troisième, que de nouveaux projets fusent, et que l'on se met d'accord pour travailler de plus en plus en synergie, en coordonnant de plus en plus nos actions, et en mettant de plus en plus tout en commun, pour toujours plus d'efficacité... 

            Comme ce triple constat a, de toute évidence, été fait par tous les participants, nous ne pouvons que nous réjouir de cette Réunion de rentrée 2011, en Arles et à Fontvieille : non seulement parce que ce fut une vraie fête, mais surtout parce qu'elle a été utile pour la préparation de l'année à venir, et c'est bien le plus important..... 

            Pour celles et ceux qui n'ont pu s'y rendre, nous allons vous en retracer les grandes lignes, en commençant par le clip de 21 minutes, réalisé par Paul, qui montre ce qui a été fait depuis la dernière réunion de Fontvieille, l'an dernier, le 25 septembre :

     Que s'est-il passé depuis la dernière réunion de rentrée ? 9 Cafés Actualités à Aix et 11 Cafés actualités à Marseille (la vidéo de l'an prochain montrera ceux d'Aix et de Toulon...); la Messe du 21 janvier, journée refondée depuis plusieurs années et conçue comme la dénonciation de l'établissement des Totalitarismes modernes; la Fête de Jeanne d'Arc, elle aussi maintenant refondée, et conçue, comme l'explique Hilaire de Crémiers, comme l'exaltation de la Legitimité; la création de plus de 30 clips vidéos pour la Restauration nationale et le Blog d'Hilaire de Crémiers; l'entretien de lafauterousseau sur la Radio québecoise Radio Notre-Dame; la "passation de pouvoirs", à Toulon, entre le docteur Pierre Navarranne et Philippe Lallement; la poursuite et l'expansion de nos deux Blogs : le Blog de la FRP et le Blog lafauteraousseau, à vocation nationale (et au delà...); la mise à disposition du serveur Viméo, sur lequel sont proposées des dizaines de vidéos, totalisant, pour l'instant, plus de 150.000 téléchargements.... A quoi il convient de rajouter la création / réalisation par une équipe de Marseillais du nouveau Site officiel du Prince Jean de France

    Pas mal, non ? La Fédération Royaliste Provençale, c'est tout cela. Et c'est l'Action française, en Provence. Il faut que ce soit encore mieux l'année prochaine : pour cela, tous doivent s'y mettre et apporter leur pierre....

    A suivre - 2/4 : le récit du début de l'après-midi, avec des photos de Solange...

                 - 3/4 : nos projets pour l'année à venir....

                 - 4/4 : la vidéo de Paul, avec l'intervention remarquée de Jean-Baptiste Donnier, Le royalisme et le Prince : une autre vision de la France et du monde....

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : le ”toast d'Alger”, acte I du ralliement du pays légal catholique à la République idé

    1890 : le "Toast d'Alger"

     

    Évêque de Nancy, Charles Martial Allemand Lavigerie fut nommé archevêque d’Alger en 1867.

    Longtemps proche des milieux légitimistes, il fut cependant choisi par le Pape Léon XIII pour promouvoir sa stratégie : endiguer la politique anticléricale des républicains par une attitude de conciliation pour défendre la liberté des catholiques français au sein même de la République, et non contre elle.

     18 novembre,moliere,les precieuses ridicules,ledoux,arc et senans,proust

    Le cardinal Lavigerie, par Léon Bonnat, Château de Versailles 

     

    Cette ouverture se concrétisa par l’encyclique Inter sollicitudines du 16 février 1892, mais la République, définitivement triomphante autour de 1890, devait décevoir - et de quelle façon ! -  cette stratégie puisqu’en 1905 sera proclamée la séparation des Églises et de l’État.

    Cette mesure radicale, qui montra bien la marché de dupes que fut le Ralliement, fit suite à une longue série d’agressions, entreprises dès les premières années de son existence par une République férocement anti catholique :  :

    1879 : Exclusion du clergé des commissions administratives des hôpitaux et des bureaux de bienfaisance;
    1880 : Suppression des aumôniers militaires. Interdiction aux magistrats d’assister en corps aux processions de la Fête-Dieu. Suppression de l’enseignement religieux dans les examens;
    1A.jpg 1881 : Suppression de l’enseignement religieux dans les écoles maternelles. Sécularisation des cimetières;
    1882 : Crucifix enlevé des écoles. Suppression des aumôniers de lycées. Enseignement religieux interdit dans les écoles primaires.
    1883 : Interdiction aux troupes de paraître en corps aux cérémonies religieuses;
    1884 : Suppression des prières à la rentrée du Parlement. Suppression des aumôniers dans les hôpitaux et de l’exemption des clercs du service militaire;
    1886 : Exclusion des congréganistes de l’enseignement public. Organisation de l’école laïque etc... etc...

    Cette escalade ininterrompue préparait l’interdiction des ordres religieux et devait aboutir, en 1905, à la séparation "des" Églises et de l’État : la "loi de 1905" proclame en effet la séparation de l’État et des Églises concernées par le Concordat de 1801 et ses modifications du 8 avril 1802 et du 17 mars 1808 : l’Église catholique, les Églises protestantes (Églises réformées et Églises de la Confession d’Augsbourg) et le Judaïsme. 

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    C'était probablement pour éviter cela que le Pape Léon XIII avait, naïvement, échafaudé sa stratégie du Ralliement, pour laquelle il eut besoin d'un cardinal disposant d'une grande popularité...

    Le 18 novembre 1890, le cardinal Charles Lavigerie, archevêque d'Alger, prit prétexte d'une visite de l'escadre française de la Méditerranée dans sa ville pour lever son verre devant les officiers. Ce jour-là, il accueillait l’État-major de l’escadre de la Méditerranée, ayant à sa tête le vice-amiral Duperré, accompagné par une quarantaine de hautes personnalités appartenant à l’Armée, à la Magistrature ou à l’Administration de la province. À la fin du repas, Monseigneur Lavigerie prit la parole, et déclara notamment (dans la Salle Saint Eugène, ci dessous ) : 

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    "...L’union... est en ce moment... notre besoin suprême, l’union est aussi, laissez-moi vous le dire, le premier vœu de l’Église et de ses pasteurs, à tous les degrés de la hiérarchie. Sans doute elle ne nous demande pas de renoncer ni au souvenir des gloires du passé, ni aux sentiments de fidélité et de reconnaissance qu’honorent tous les hommes.  

    Mais quand la volonté d’un peuple s’est nettement affirmée, que la volonté d’un gouvernement n’a rien en soi de contraire… aux principes qui seuls peuvent faire vivre les nations chrétiennes et civilisées; lorsqu’il faut, pour arracher son pays aux abîmes qui le menacent, l’adhésion sans arrière-pensée à cette forme de gouvernement, le moment vient de déclarer enfin l’épreuve faite, et, pour mettre un terme à nos divisions, de sacrifier tout ce que la conscience et l’honneur permettent, ordonnent à chacun de nous de nous de sacrifier pour le salut de la patrie. C'est ce que j'enseigne autour de moi. Et ce que je souhaite voir enseigner en France par tout notre clergé et, en parlant ainsi, je suis certain de n'être désavoué par aucune voix autorisée…".

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    Caricature d'époque, hostile aux propos du cardinal...

     

     

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    Quatre de nos Éphémérides traitent des rapports entre l'Église et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Église et l'Action française en particulier :

     • pour les rapports entre l'Église et la République idéologique française, voir notre Éphéméride du 16 février sur le "Ralliement", en complément de celle-ci sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

      pour les rapports entre l'Église et l'Action française, voir notre Éphéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Éphémeride du 10 juillet, sur la levée de ces mêmes sanctions par Pie XII...

  • Sur le site de l'URBVM, communiqué de Presse : Deux entreprises stratégiques à la dérive !

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    L'Union Royaliste Bretagne Vendée Militaire (URBVM) est une association royaliste basée en Bretagne et dans l'historique Vendée Militaire.

    https://urbvm.fr/

     

    L’URBVM devant l’urgence sanitaire demande une action immédiate pour aider ces deux entreprises et demande la relocalisation et la préservation des entreprises stratégiques de santé .

    L’une est le dernier fabricant de chloroquine sur le territoire national, l’autre est la seule usine d’oxygène médical en Europe. L’une est menacée de fermeture à l’été prochain, l’autre a mis la clé sous la porte en mai dernier. Les salariés appellent à la nationalisation de ces deux entreprises stratégiques à l’heure où la France se mord les doigts de n’avoir pas su préserver sa souveraineté sanitaire.

    Première à sauver, l’usine de Saint-Genis-Laval, dans la métropole lyonnaise, qui appartenait à Sanofi jusqu’à sa cession en 2003 au groupe grec Famar. Elle va alors essuyer la crise financière de 2008, les difficultés pour s’approvisionner en matières premières, l’arrêt des investissements pour maintenir ses équipements et en conséquence les groupes pharmaceutiques qui se détournent. C’est la cessation de paiements. Famar est placée en redressement judiciaire le 24 juin dernier. Le carnet de commandes s’arrête net au 3 juillet. Mais au moment où la chloroquine fait débat dans la prise en charge du Covid-19, les 250 salariés de l’usine reprennent espoir. Rappelant que le site fabrique une dizaine d’autres médicaments d’intérêt thérapeutique majeur (MITM), ils appellent le gouvernement à une nationalisation. Miracle de la médiatisation, une offre ferme d’un repreneur a été dévoilée début avril. Le tribunal de commerce de Paris doit maintenant statuer. Mais les syndicats n’y croient pas, soulignant que l’offre semble « peu sérieuse » au vu d’un plan de développement insuffisant pour garantir la pérennité du site et qu’elle n’envisage de garder que 50 salariés. L’appel à la nationalisation se poursuit.

    Utilité publique

    Quant à Luxfer, il s’agirait plutôt d’une entreprise à ressusciter. Le groupe britannique a fermé la seule usine française fabriquant des bouteilles d’oxygène médical, située à Gerzat (Puy-de-Dôme), en mai 2019. Une production qui est devenue le nerf de la guerre dans les services de réanimation débordés par les malades du Covid-19. C’est aussi ce que répètent syndicats et représentants du personnel depuis des mois. Pour eux, « c’est criminel de fermer une telle entreprise. Notre production est d’utilité publique ». D’autant que, « avant le plan social de novembre 2018, le carnet de commandes était plein. Nous avions augmenté le bénéfice net de 55 %. On avait fait plus d’un million d’euros de bénéfice pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros ». D’où l’incompréhension à l’heure du plan social, puis de la fermeture… Et la demande répétée d’une nationalisation. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a déjà opposé une fin de non-recevoir la semaine dernière, arguant que « ni les salariés, ni les machines ne sont disponibles pour reprendre l’activité ». Un non-sens pour les 136 collaborateurs qui occupent le site depuis le mois de janvier pour empêcher la destruction ou le départ des machines…

    Malgré les déclarations du gouvernement qui souhaite retrouver sa souveraineté sanitaire, l’État ne s’engage pas. Pas encore. L’heure de la relocalisation et de la préservation des entreprises stratégiques sur le territoire n’a-t-elle finalement pas encore sonné ? Bruno Le Maire assure avoir transmis à l’Élysée et à Matignon une liste d’une vingtaine d’entreprises stratégiques fragilisées. Famar et Luxfer ne semblent pas en faire partie. Pour lui, la nationalisation peut être l’un des outils à utiliser, mais « en dernier ressort » et de manière « temporaire ».Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3595

    https://www.lequotidiendupharmacien.fr/actualite-pharmaceutique/article/2020/04/14/deux-entreprises-strategiques-la-derive_283447#user_need_to_register

  • Polémique Peltier : L’État de droit, un concept dévoyé, par Pierre Louis.

    « La possibilité de faire appel, en matière pénale, n’est ni une vieillerie ni une marotte de méchant gauchiste-laxiste, mais un progrès auquel il n’est pas question de renoncer dans un État civilisé » (Guillaume Larrivé).

    « Une sans possibilité de faire appel ! Allez plus vite : rétablissez la »/em> (Aurore Bergé).

    7.jpeg« Il a fait une faute et devra s’en expliquer », pour l’ex-négociateur au Brexit, .

    Depuis deux jours, les critiques fusent envers le député du Loir-et-Cher coupable, aux yeux de l’intelligentsia juridique, de vouloir remettre en cause le droit d’appel, voire d’instaurer une dictature.

    Qu’a réellement proposé l’intéressé ? La création d’une juridiction spécifique pour juger les terroristes sans possibilité d’appel. Cour de justice, Cour militaire de Justice, Cour de sûreté de l’État : la tradition française est pourtant riche d’institutions en la matière. Quant au droit d’appel, faut-il rappeler qu’avant la loi Guigou de 2000, les verdicts des cours d’assises ne pouvaient en faire l’objet ?

    Depuis 2015, ce sont 271 personnes qui ont succombé sous les assauts de terroristes . Force est de constater que la faible réaction de nos politiques en la matière n’est pas à la hauteur des enjeux. Lorsque la IIIe République devait composer avec les attentats anarchistes, celle-ci n’a pas hésité à avoir recours aux lois scélérates qui seraient aujourd’hui qualifiées de liberticides.

    Bien que plusieurs textes législatifs aient été votés en la matière, ils ont pour nombre d’entre eux été censurés par le Conseil constitutionnel. Ce dernier serait-il incapable de faire preuve d’un pragmatisme comme sa consœur américaine qui avait validé l’internement de résidents japonais pendant la ? Le constat est accablant : nos juridictions nationales comme supranationales s’avèrent être un contrepoids inouï à l’action politique. Impossibilité d’interner préventivement des fichés S, d’interdire le salafisme, d’expulser des djihadistes, le tout au nom du sacro-saint État de droit.

    Que dit précisément ce dernier ? Le respect de la hiérarchie des normes. En 1958, seule la constitution de la Ve République disposait d’une valeur constitutionnelle. Par la suite, son organe de contrôle, le Conseil constitutionnel, s’est arrogé le droit de contrôler les lois par rapport à la Déclaration des droits de l’homme de 1789 et au Préambule de 1946. Par la suite, sous couvert de ces derniers, le juge constitutionnel a sacralisé le regroupement familial, le droit d’asile, ainsi que la gratuité de l’enseignement supérieur pour les étudiants du monde entier, au mépris de toute populaire. La politisation des juges n’est jamais évoquée en France à l’instar du débat outre-Atlantique. Personne pour s’offusquer que Laurent Fabius ou Alain Juppé aient un poids supérieur à nos parlementaires.

    En 2018, le politologue américain d’obédience centriste Yascha Mounk avait posé un diagnostic sur l’opposition irréversible entre le libéralisme et la démocratie à travers son ouvrage Le peuple contre la démocratie. Pour pouvoir reprendre la main sur le gouvernement des juges, il est d’usage de modifier notre Constitution. Le texte de la Ve République a été modifié à 24 reprises depuis l’origine, souvent pour des raisons très politiques (ratification du traité de Maastricht, Cour pénale internationale…). La réforme en cours qui vise à y inscrire l’ l’illustre pleinement. Dans le contexte de l’ensauvagement structurel que connaît notre pays, plusieurs responsables politiques abordent désormais ouvertement cette question. N’est-ce pas l’ancien chef du gouvernement Manuel Valls qui avait déclaré « Un traité se dénonce, une Constitution se modifie » ? Le même affirmait « Nous sommes en guerre », il appartient d’en tirer les conséquences.

    Quant aux collègues appartenant à la famille politique de Guillaume Peltier, il convient de leur rappeler la doctrine gaulliste en la matière : « La cour suprême, c’est le peuple. »

     

    Pierre Louis

    Etudiant en droit public
     
  • Dans votre quotidien, cette semaine...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgOn ne présente plus les Editoriaux de Louis-Joseph Delanglade, qui "ouvrent" notre semaine de réflexion et d'analyse et suscitent de nombreux commentaires, eux-mêmes sources de débats animés et toujours enrichissants entre les lecteurs...

    Ces notes concises, claires, nettes et précises, expriment, chaque semaine, notre position sur les sujets importants du moment. Quel sera le sujet de demain ? Comme d'habitude, dans l'actualité nationale ou internationale, le choix est large : encore un peu de patience... et, préparez vos plumes !...

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    capture d'ecran blog.jpg= Comme la semaine dernière, nous allons présenter quelques uns des liens "partagés" sur notre très dynamique Page Facebook Lafauterousseau Royaliste : ce mardi, on aura donc, d'abord, en "hors catégorie", la page Messes pour la Famille de France, puisque l'assassinat de Marie-Antoinette, après celui de Louis XVI et tandis qu'a débuté la lente et monstrueuse agonie du petit roi Louis XVII, c'est la destruction d'une famille, la Famille de France, et, aujourd'hui, la destruction de la Famille continue, avec la loi Taubira : la Révolution est toujours en cours, et dater l'origine de nos maux actuels n'est pas faire de l'histoire ancienne, mais parler de notre actualité la plus immédiate...
    Puis on aura Jean-Charles (sur un propos de Richard Millet); Hélène Richard Favre (sur l'origine de la russophobie); Stéphane Terrée (sur l'hommage de Fabius au Général Giap); Dona Rodrigue (un lien sur Cahuzac et un autre sur l'ex-préfète de la Creuse mise en garde à vue); Philippe Delorme (sur la sinistre dalle de la Place de la République...); Ahynn Kryzaal (sur le mythe de l'égalité, par François Marcilhac); Augustin Debacker (sur Stéphane Giocanti, interrogé sur son "Maurras") : encore ne s'agit-il là que d'un très faible échantillon !...

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    sos education.jpg= On parlera Education, mercredi, avec cette nouvelle très mauvaise décison de ce très mauvais ministre qu'est Vincent Peillon : il vient de décider la fin de la possibilité de l'apprentissage dès 14 ans, pour les jeunes qui le désirent.

    Nous laisserons la parole à SOS Education, qui a produit deux documents critiquant d'une façon très pertinente cette très mauvaise décision, en remarquant au passage que, seule, Ségolène Royal a fait preuve de réalisme et de pragmatisme en osant critiquer cette erreur monumentale : son courage, en l'occurrence, mérite d'être souligné... 

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    sevillia histoire passionnnee.JPG= Juste après Olivier Dard, qui vient de sortir son Maurras, dont nous avons parlé mercredi dernier, Jean Sévillia publie son Histoire passionnée de la France

    La richesse et la beauté de cet ouvrage méritent d'être soulignées : pas moins de 325 illustrations en couleur pour ce grand récit, personnel, vivant et exhaustif, accessible à tous. Comme le dit la présentation de l'éditeur : "Le plaisir d’apprendre en élevant l'esprit insuffle la conviction de la permanence d’un destin français, et partant, les raisons d’espérer..."

    On restera dans l'Histoire, ce même jeudi, à partir de la "découverte" d'un chercheur qui a restitué la véritable tête de Robespierre : mais on laissera le côté anecdotique de la chose pour se centrer sur la postérité de ce père de famille nombreuse (Staline, Mao, Pol Pot, Ho Chi Minh, Hitler...) et initiateur des Totalitarismes modernes avec son sophisme "Il faut que Louis meure..., sinon ceux qui ont fait la Révolution sont coupables...". Paroles de circonstance en cette période où l'on rappelle l'assassinat de Marie-Antoinette, acte II de la destruction méthodique de la Famille de France, comme on vient de le dire plus haut... 

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