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  • LIVRES • Sur les traces latines du Paris historique ... Paris en latin ! (Lu dans le Rouge et le Noir)

    Laurence Gauthier et Jacqueline Zorlu, Paris en latin. Legenda est Lutetia : Grands et petits secrets des inscriptions latines dans la capitale, Paris, Parigramme, 2014, 176 p. (11.90 euros)....

    Paris et Rome sont jumelles. La silhouette de la louve capitoline, coincée entre Cluny et la Sorbonne, en atteste. Sous le bronze de la lupa nourricière, la pierre parle aux passants. On y a gravé cette formule :

    paris-en-latin-couve-5310a4305b518-ba437.jpgAD FIDEI ET AMORIS VINCVLA FIRMANDA QVIBUS TRAQVE CIVITAS ALTERIS FAVSTE CONIVGITVR ROMA FABVLOSVM HOC SVAE ORIGINIS INSIGNE GEMINAE SORORI LVTETIAE PARISIORVM Etc.

    Ce qui, dans la langue de Molière, se traduit comme suit :
    « Pour consolider les liens de confiance et d’amitié qui unissent heureusement les deux villes, Rome apporte en présent amical ce symbole légendaire de son origine à sa sœur jumelle Lutèce des Parisiens, » etc.

    La statue et la formule datent de 1962. Depuis la fin des années cinquante, Paris n’est jumelée qu’à Rome. En retour, la Ville éternelle ne se juge digne que de la Ville Lumière.
    La gémellité entre les deux cités ne s’arrête pas là. On sait combien les anciens Romains tenaient en haute estime la langue latine. A deux millénaires d’intervalle, la capitale française est encore couverte de ses formules. Des porches des églises au fronton des monuments civils, des canons des Invalides aux cadrans solaires : certaines sont aisées à débusquer ; d’autres, plus pudiques, demandent un œil attentif et une curiosité aiguisée.

    ultimaratio-6d46a.jpgRetrouver le fil des centaines d’inscriptions latines parsemant la capitale, c’est la tâche que se sont assignée les auteurs de ce guide savoureux et admirablement conçu.
    Au fil des pages, le lecteur parcourra des formules tantôt lapidaires – Cave Canem, au 227 rue Saint-Jacques – tantôt longues et pompeuses, à l’image de l’épitaphe du dernier roi catholique d’outre-Manche, au Collège des Ecossais. La promenade latinophile se mène quartier par quartier : sans surprises, le lecteur débutera ses pérégrinations sur l’île de la Cité, lieu de pouvoir et de droit depuis les origines. Puis, de Saint-Michel au Panthéon, les époques se mêlent et se répondent pour donner à la Montagne Ste Geneviève ses lettres latines. La Concorde, les Grands Boulevards, le Marais : l’heureuse chasse au latin n’épargne pas un quartier. Loin de se limiter à un recensement sommaire des formules, l’ouvrage nous fait nous plonger dans l’histoire du lieu et le sens des lettres. C’est tout le roman national qui s’éclaire à nouveau.

    Car, bien postérieures à l’ère gallo-romaine de Lutèce, ces inscriptions illustrent le destin français et le regard que porte la France sur elle-même. Notre nation est profondément marquée du sceau de la latinité. Baptisée par un évêque gallo-romain dans la religion catholique romaine, alors qu’était ondoyé un chef franc romanisé ; élevée à la gloire par trois races de rois dont l’une – la carolingienne – rêva d’une rénovation de l’Empire ; soucieuse d’une indépendance nationale que les monarques allaient garantir en se drapant dans les prérogatives des empereurs romains ; fille aînée de l’Eglise romaine ; débitrice du génie latin qui conféra ses nobles accents à la langue de Ronsard ; éternelle nostalgique de la grandeur antique, du Roi-Soleil à l’Empereur corse : telle fut la course de la France.

    L’ombre de la Louve plane toujours sur sa capitale. « Je suis Romain parce que si je ne l’étais pas je n’aurais à peu près plus rien de français », proclamait Maurras. Ce livre fascinant vous propose d’en faire l’expérience. 

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    Source : Le Rouge & le Noir

     

  • Exposition ♦ Du neuf avec du vieux et ... les trésors du Prince de Liechtenstein

    Le sublime Hôtel de Caumont. à Aix-en-Provence

     

    PAR OLIVIER D'ESCOMBEAU 

    Les Aixois n'ont gardé qu'un pâle souvenir de ce qui fut jadis « le plus beau conservatoire de France », l'Hôtel de Caumont. Ce joyau de l'architecture du XVIIIe siècle, acheté par la ville au milieu des années 6o, avait été transformé, sous l'impulsion de Marcel Landowski, en conservatoire Darius Milhaud. Le lieu, devenu vétuste et encrassé, résonnait, il y a quelques années encore, des tâtonnements sonores de jeunes musiciens en herbe.

    En 2010, la ville décide de se séparer de ce bâtiment jugé peu fonctionnel. La vente de ce bien ne fut pas, comme on s'en doute, du goût de tous les Aixois. Une sévère polémique s'en suivit, où les édiles de la ville furent accusés de brader le patrimoine commun. À cinq ans de distance, il est pourtant difficile de leur donner tort lorsque l'on visite l'Hôtel de Caumont restitué dans sa splendeur au terme d'un gigantesque chantier. Qui plus est, voici ce lieu ouvert au public sous la bannière d'un opérateur privé bien connu dans le secteur du patrimoine : Culturespaces.

    Car le bâtiment, au terme d'une transaction et de travaux fort coûteux, est tombé dans l'escarcelle de cette société ayant, pour activité, la gestion de sites culturels aussi divers que le Château des Baux, la Cité de l'Automobile de Mulhouse, ou le Musée Jacquemart André à Paris.

    La culture ne nourrit pas son homme, c'est bien connu. Dans un pays où l'État, ces cinquante dernières années, a été l'alpha et l'oméga de l'action culturelle dans le patrimoine ou la création, les initiatives privées (autres que philanthropiques) ont eu bien du mal à prospérer. Culturespaces, qualifié par certains « d'ennemi de la culture », fait figure d'exception. Le rachat et l'ouverture de l'Hôtel de Caumont vient, en quelque sorte, couronner cette persévérance.

    Tenter d'instiller et d'adapter les méthodes du privé dans le domaine patrimonial n'est pas le seul reproche formulé à l'égard de Culturespaces. Car la spécialité de cette entreprise, c'est de gérer, en lieu et place des propriétaires publics ou privés, sites touristiques, Musées, Fondations ou demeures. Réussir, là où d'autres ont immanquablement échoué, se fait au prix de quelques sacrifices : sur-fréquentation des monuments, privatisations à outrance, restaurations des collections passant au second plan, exigences scientifiques en berne. Car il faut que cela paye. Il est de notoriété, parmi les conservateurs du patrimoine, que travailler dans une institution affermée à Culturespaces est une sorte d'enfer sur terre.

    Le cas de l'Hôtel de Caumont tranche avec les autres sites gérés par Culturespaces, près d'une quinzaine à l'heure actuelle. Car ici, point de collections encombrantes et coûteuses à entretenir, pas de professionnels de la culture rétifs et meurtris, pas de propriétaire sourcilleux regardant par-dessus l'épaule du concessionnaire ; mais un espace vide et prestigieux tout entier offert à la programmation et aux privatisations.
    Les trésors du Prince de Liechtenstein — Raphaël, Rubens ou Vernet — présentés dans les salles de l'Hôtel de Caumont ont eu de quoi enchanter l'amateur d'art. Ces magnifiques collections ont traversé des périodes troublées, en particulier au siècle dernier, sans jamais quitter la sphère privée. Un choix emblématique pour la première exposition du joyau de Culturespaces. 

     

    Le Musée Caumont est ouvert tous les jours de l’année de 10h à 18h. Librairie. Petite restauration. Parc-autos à proximité. 3, rue Joseph-Cabassol, à deux pas du cours Mirabeau, 13100-Aix-en-Provence. 

    Sur le même sujet : Exposition • Monarchie et beaux-arts par Péroncel-Hugoz

     

  • LIVRES & HISTOIRE • Le Roi Siméon II de Bulgarie à Chantilly les 20 et 21 juin derniers

     

    A l’occasion de la sortie de son livre autobiographique « Un Destin Singulier », Sa Majesté le Roi Siméon II de Bulgarie, accompagné de la Reine Margarita a choisi de venir à Chantilly pour rappeler les liens qui unissent la France et son Pays. Chantilly est chère à son cœur, car c’est la ville de la Princesse Clémentine d’Orléans, son arrière-grand-mère, fille de Louis-Philippe, et donc sœur du Duc d’Aumale qui a légué ce magnifique Domaine de Chantilly à l’Institut de France, et dont Son Altesse l’Aga Khan préside la Fondation. 

    Après avoir été accueillis au Château pour une visite et une présentation de souvenirs familiaux, samedi, le Roi et la Reine se sont rendus dans le superbe cadre du Potager des Princes magnifiquement restauré par Yves Bienaimé. 

    Un public très nombreux et des personnalités parmi lesquelles le Comte et la Comtesse de Paris ont assisté aux activités préparées par les associations bulgares du « Club Chrétien Monarchique » et de l’association « Joie des Horizons », en liaison avec l’association cantilienne « Le Valois Monarchique ». 

    Le spectacle a débuté par la projection d’un film sur la Princesse Clémentine, puis s’est poursuivi par un concert de musiciens et de jeunes choristes, et s’est terminé par une exposition de tableaux d’enfants bulgares. 

    Dimanche, le Roi Siméon et la Reine Margarita ont assisté à la messe de l’église de Chantilly, avant de se rendre aux célèbres « Grandes Ecuries » pour le spectacle équestre « Kavallisté ». 

    La journée s’est terminée au Potager des Princes où un public à nouveau très nombreux s’était réuni pour entendre le Roi Siméon donner sa conférence sur son « Destin Singulier », et dédicacer ses livres, avant de recevoir à l’Hôtel de Ville la médaille de la ville des mains du député-maire, Eric Woerth. 

    Le Roi Siméon II de Bulgarie 

    Enfant, le Roi Siméon II de Bulgarie a régné pendant quelques années, à la suite de la mort mystérieuse de son père, avant de connaître un long exil à Madrid, pendant lequel il a vécu les grands bouleversements de l’Europe: monarchie, nazisme, communisme, et « chute du Mur » côtoyant et se liant d’amitié avec de grands dirigeants : Juan Carlos, Hassan II ou Hussein de Jordanie, l’empereur d’Ethiopie, ou le Shah d’Iran. 

    Ce qui singularise le Roi Siméon, c’est d’être toujours resté au cœur de l’action : homme d’affaire avisé, il a toujours voulu rester dans le monde du « possible » ; il a accepté d’être le premier ministre de son Pays, quelques années après l’accueil triomphal des Bulgares en1996 ; et il a essayé de le redresser par une politique axée sur le Bien Commun, avec une volonté de réduire les divisions et de recomposer au-delà des partis une unité nationale, tout en l’ancrant à l’Occident. 

    Retiré de la politique, il vit en Bulgarie où l’on vient souvent prendre des conseils auprès de lui. 

     

    La Restauration Nationale

     

  • Crash tests, par Philippe Mesnard.

    Vladimir Poutine a décidé de mettre à mal la démocratie, comme chacun sait.

    Après avoir fait élire Trump président des États-Unis, le voilà qui empêche Griveaux d’être élu maire de Paris ; ce qui est presque la même chose ; enfin, c’est un poste important ; en tout cas, en France, ça en jette ; disons que LaREM aimerait régner sur quelques villes en plus du reste du pays. Bref, c’est Poutine qui a grillé Griveaux, comme il a promu Trump, car la mairie de Paris est le symbole du monde libre. D’ailleurs, si Buzyn est élue, Poutine n’y sera pour rien mais si elle perd, c’est bien parce qu’il aura préalablement ruiné la démocratie. Car la démocratie, c’est LaREM. Quand la république en marche ne marche plus, la démocratie s’arrête. Telle est désormais le paysage mental dans lequel nous sommes priés de circuler sous peine d’être suspects de mille péchés. La vie politique du pays légal est devenue un immense concours d’infox officielles et d’indignations commandées, comme si le pouvoir en place éprouvait la servilité passive des citoyens. Pour le moment, ça fonctionne très bien et le peuple français a passé haut la main tous les tests de soumission ahurie.

    1.jpgLa faute à Poutine

    Poutine est pratique, on peut le sortir dès que ça ne va pas. Hilary Clinton le brandissait régulièrement, et on crédite cet ancien tchékiste de toutes les subtilités dont on ne voulait pas créditer ses prédécesseurs. Une chose étonne, c’est que Macron n’ait pas plus fermement accusé la Russie de tous ses déboires européens ? Il vient de proposer une hausse des taxes écologiques : les “pays du Nord” l’ont envoyé paître, l’Allemagne en tête. À croire que Poutine joue le rôle de l’infâme suborneur de l’Allemagne, dans ce couple franco-allemand mythique. Merkel sourit à Macron comme on sourit à un ami exalté qui proteste de son amour et continue à administrer sa pension de famille en laissant M. Popov venir installer le gaz. Macron a vomi l’Italie, la Pologne, la Grèce, le Royaume-Uni et l’Espagne, qui, forcément sous influence de Poutine, n’appuient aucun de ses projets et n’applaudissent aucune de ses visions. Notre président a réussi l’exploit, en jouant les mouches du coche, en prétendant réveiller les consciences, en les fustigeant, en proposant des plans grandioses qui ne révélaient que son ambition, à faire en sorte qu’aucune de ses propositions, jamais, ne soit adoptée, à aucun moment, quelle que soit l’échéance considérée et sa nature, nomination d’un commissaire ou taxation des GAFA. Les discussions sur la PAC en sont le dernier exemple en date. Pour le coup, on peut dire que la France a raté tous les tests possibles, qu’elle se vautre régulièrement – ce qui n’empêche pas Macron, tel un ludion, de se redresser en souriant sous les applaudissements de la presse française pour proposer une énième mesure géniale.

    Un virus ne s’arrête pas aux frontières

    Encore en propose-t-il. Son ministre de la Santé vient d’expliquer (23 février) que fermer les frontières était inutile pour contenir le coronavirus, qui se moque, paraît-il, des espaces administratifs : « Un virus ne s’arrête pas aux frontières », a-t-il déclaré avec cette subtile ironie caractéristique de LaREM quand il s’agit d’enseigner le peuple. Car la France n’est qu’un espace administratif, pour M. Véran. Partout on annule les vols, l’Italie boucle des villes entières (qui sont des espaces administratifs), en France même on recommande administrativement aux gens qui reviennent d’Italie, étudiants et écoliers, de rester chez eux – ce qui s’apparente à une assignation à résidence sans contrainte, ce dont le virus devrait se moquer s’il n’a pas de conscience spatiale citoyenne –, mais nos frontières resteront ouvertes. Le dogme de l’ouverture des frontières est testé grandeur nature : on a décidé que nos frontières seraient des passoires, on va voir si les Français considèrent qu’un virus issu de la diversité (et porteur d’un vrai message d’universalisme mortel) a le droit de passer et qu’il serait vraiment trop… russe de reprocher au gouvernement une inaction si ironiquement vertueuse. En attendant, c’est toute la mondialisation qui passe un test : quand l’OMS parle de pandémie, quand les achats s’effondrent, quand les Bourses, enfin et à regret, marquent le pas, quand on apprend que les médicaments fabriqués en Chine risquent de ne pouvoir être exportés, pas plus que les iPhones, quand on comprend que la ville de Wuhan devient le centre névralgique de toutes les économies du monde, on mesure la folie de cette mystique des échanges sans frontières. Mais quels politiques sauront tirer les leçons de cette potentielle catastrophe ?

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    http://www.politiquemagazine.fr/

  • Décentralisation ou autonomie régionale, par Frédéric Poretti-Winkler.

    « Ce qui me frappe, c'est qu'à la variété des paysages cor¬respond une diversité de tempéraments régionaux qui, ras¬semblés, constituent la France. Chaque province a ses traditions, qui sont le produit d'une histoire spécifique et qu'il nous faut préserver. C'est d'ailleurs ce qu'ont tou¬jours fait les Capétiens. Notre pays est un puzzle dont les rois ont associé les pièces à force de patience, en veillant à respecter les identités régionales.

    frédéric winkler.jpgLa conception que les jacobins ont de la nation est toute différente : ils en ont une idée désincarnée, dont le triomphe supposerait l'éradication des traditions locales et des convictions person¬nelles. Ils ont voulu changer l'homme pour construire une nation selon leurs vœux, alors que les Capétiens ont tou¬jours considéré qu'on ne pouvait pas rassembler le pays sans en respecter les hommes : leur projet est fondé sur les réalités physiques et humaines que je décrivais à l'instant. La France n'est pas seulement une idée à laquelle il suffi¬rait d'adhérer pour devenir instantanément français. C'est une construction fragile, dont il faut respecter l'histoire et la culture. Ce que l'on nomme aussi son génie. » (Jean de France, Un Prince Français). En effet, beaucoup plus que la nécessité industrielle ou économique, la véritable raison du phénomène de désincarnation de la nation réelle est la centralisation dont souffre tout notre pays. Celle-ci conduit, par la force de la loi, toutes les activités à se regrouper autour de quelques grands centres administratifs. Déconcentrer certaines prérogatives de l'Administration centrale au niveau de quelques grandes villes, ce n'est pas réellement résoudre le problème, c'est le déplacer. Il est urgent que toutes les communes de France puissent se développer librement selon leur vocation spécifique.( Signalons l’intervention du sénateur-maire de Lyon, M. Collomb, qui parlait de « l'État français hyper jacobin »). Mais les grandes villes elles-mêmes, sur lesquelles pèsent des charges de plus en plus lourdes, sont loin d'être dotées des moyens financiers et de l'indépendance budgétaire qui seules assureraient leur développement harmonieux. Nos villes n'ont donc les moyens ni d'enrayer l'inquiétant processus de métropolisation (couplée avec une rurbanisation envahissante qui « mange » les campagnes avoisinantes) qui les hypertrophie, ni de le dominer par les mesures, c'est-à-dire par les investissements appropriées. Il s'agit donc de poser deux questions essentielles :
    - Doit-on se contenter d'accepter la prétendue fatalité de cette double incapacité à stopper la concentration et à dominer le phénomène urbain et ses suites rurbaines ?
    - Doit-on s'intégrer sans discussion dans les cités monstrueuses construites ?
    - Mais, d'autre part, un Etat central dont les seuls éléments de continuité et d'unité, si artificiels soient-ils, résident dans son administration et sa bureaucratie, peut-il réellement par tendance, par nécessité renoncer à son emprise financière et administrative ?
    - Peut-on sérieusement imaginer qu'il prenne la tête de la « Révolution communale » que la réalité sociale d'aujourd'hui appelle comme une urgente, une impérieuse nécessité ?
    On l'a vu, nos régions se sont développées fort inégalement, pour une bonne part en raison de ressources naturelles inégales, mais aussi pour une part, la plus large, en raison de données administratives et politiques tout à fait injustifiées. De plus, à la centralisation parisienne semble bien désormais s'ajouter une centralisation européenne tout aussi dévorante et plus inhumaine, plus technocratique et lointaine. Signalons qu’au niveau des régions, on pourrait compléter en parlant de la centralisation grandissante amorcée sous Sarkozy qui ôtait la plupart des moyens financiers mis à leur disposition. Elles ne maîtrisent plus que 12% de leurs recettes et les communes ont eu l'obligation de rejoindre des intercommunalités avant le 31 Mai 2013, sous peine de le faire de force sous l'autorité du préfet…Ainsi, nous avons là une décentralisation sans autonomie, malgré les nouvelles féodalités locales et ses figures parfois caricaturales telles que, dans les années 2000, Georges Frèche.
    F. PORETTI - Winkler (Projet de Société, à suivre)

  • Le déracinement, nouvel idéal écologique ?, par Xavier Patier.

    FredP / Shutterstock
    Un sapin de Noël devant la cathédrale Saint-André, à Bordeaux.
     

    L’entêtement de certains nouveaux maires à éradiquer les traditions de nos villes et de nos campagnes s’attaque à des joies populaires qui n’ont pourtant rien d’inciviques.

    Depuis quelques semaines, de nombreux Français se demandent quelle mouche a piqué les nouveaux maires verts de nos grandes villes qui semblent s’être lancés dans un concours de masochisme.

    10.jpgLe maire écologiste de Lyon s’en prend au tour de France, évènement cycliste et populaire qu’il semble détester précisément parce qu’il est cycliste et populaire, alors que nous pensions que le vélo et le peuple avaient les verts avec eux.

    Le maire écologiste de Bordeaux s’en prend au sapin de Noël, élégamment qualifié d’ « arbre mort », mot funeste pour dénigrer la tradition vivante qui met un peu de vert dans le noir de nos villes en décembre. Et, cerise sur le gâteau, Laurent Hénart, qui était jusqu’à il y a quelques semaines maire de Nancy, et n’est pas écologiste mais reste toujours président des Radicaux, vient de proposer de supprimer parmi les fêtes chômées le lundi de Pâques, le jeudi de l’Ascension, le 15 août et la Toussaint. Une seule de nos « fêtes d’obligation », celle de Noël, est pour l’instant épargnée par Laurent Hénart, peut-être parce que le la suppression du sapin est pour lui une première étape.

    Anticléricalisme d’un autre âge

    Laurent Hénart, on peut le comprendre : il y a dans son souci d’éradiquer les traces du catholicisme quelque chose d’antique et de réconfortant, un relent de cette France à chapeau haut de forme et à barbichette du temps jadis qui bouffait du curé à la chambre des députés, comme si l’Église représentait encore un danger pour lui et ses amis, et comme s’il existait encore une armée de curés à se mettre sous la dent. La vérité est qu’il n’y a plus beaucoup de curés en France et que Laurent Hénart n’y a plus beaucoup d’amis.

    Ce que les nouveaux édiles reprochent au tour de France et au sapin de Noël, c’est moins l’obstacle qu’il mettent en travers du développement durable que la fidélité qu’ils expriment à une tradition.

    Bientôt, notre vocation chrétienne ne sera signalée que par les reliquats sporadiques d’anticléricalisme qu’elle suscite. Tout cela ne nous émeut pas beaucoup, nous qui croyons que l’Église du Christ ne mourra pas. Les forces du Parti radical ne l’emporteront pas sur elle, le Christ nous l’a promis, et c’est ce qui chagrine le président des Radicaux. Il s’en prend aux vacances non pas parce qu’elles sont improductives, mais parce qu’elles sont religieuses. Rien de neuf. Rien d’alarmant.

    La haine de soi

    Mais les sapins, mais les vélos ! Cachez-moi ce sapin que je ne saurais voir ! Rangez-moi ces vélos ! Ce syndrome municipal a un nom : il s’appelle la haine de soi. Ce que les nouveaux édiles reprochent au tour de France et au sapin de Noël, c’est moins l’obstacle qu’il mettent en travers du développement durable que la fidélité qu’ils expriment à une tradition. Ces écologistes veulent nous empêcher d’être heureux. Maurras rêvait de débarrasser le message catholique du « venin du magnificat ». Les ayatollahs verts rêvent de débarrasser Laudato si’ du venin de la joie. Leur obsession écologique est à ce point forcenée que pour finir l’écologie n’a plus grand chose à voir avec elle. Ce qu’ils veulent, c’est des coupables à punir. Les coupables, c’est nous. Voilà des mandatures qui promettent d’être gaies.

    Source : https://fr.aleteia.org/

  • Face au laxisme, les Chemises Blanches rebaptisent une rue d’Avignon “Rue des dealeurs”, par Auteur Joseph Gallard.

    Image d'illustration. Photo © Facebook/Les chemises blanches

    Joseph Gallard, vice-président du think tank Droite de demain, il relate l’action des “chemises blanches” à Avignon, qui ont rebaptisé la rue Amphoux “Rue des dealeurs” afin de témoigner leur soutien à une commerçante victime des agissements de la racaille et de l’inaction des pouvoirs publics. Tribune.

    6.jpegLe mouvement « les Chemises Blanches » s’est une nouvelle fois illustré. A Avignon, ils ont apporté leur soutien à la gérante du Caf’Thiers. Une commerçante courageuse, victime des agissements incessants des dealers de la ville. Après un ras-le-bol, la commerçante s’est exprimée dans une vidéo Facebook, pour faire réagir les autorités de la ville. Une vidéo devenue très vite virale, cumulant près de 35 000 vues. Précisons qu’elle est souvent la victime d’agressions physiques par ces dealers.

    C’est par l’intermédiaire d’une vidéo Youtube, ambiance Peaky  Blinders – musique de la série et vêtements britanniques des années 30 -, que le collectif, composé de membres ne voulant plus se laisser faire par les racailles, a mis en scène l’inauguration d’une nouvelle rue dans la cité des papes, en lieu et place de la rue Amphoux… ils ont ainsi érigé une plaque de rue où est inscrit : « Rue des dealers, née de l’idéologie socialiste et de la justice laxiste, inaugurée par les chemises blanches. » Par cette action ludique, et toujours sarcastique – dans l’ADN du mouvement – les membres veulent rappeler le poids des politiques publiques laxistes envers les criminels.

    C’est ce qu’indique Morgan, fondateur du mouvement : « Après de nombreuses agressions physiques et d’innombrables altercations verbales et autres tentatives d’intimidation, ni la mairie PS, ni la police, ni la justice n’arrivait à en venir à bout. » Il indique également que lorsqu’une personne agit avec courage, les choses évoluent : « Il eut fallu le courage d’une commerçante, 24 h et 200 000 vues plus tard, pour que brutalement, tout rentre dans l’ordre. » Cette opération « Gangsta Paradise » se termine sur les mots d’Edmond Rostan, « souffrez, monsieur, qu’on vous salue, c’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ». Une nouvelle action pour ces chemises blanches après la ligne rouge tracée dans les rues d’Aix-en-Provence en hommage à la jeune Axelle Dorier, la déambulation au massif de la Sainte-Baume, le tour de France du niqab à Rennes et la manifestation contre l’impunité à Paris.

    Le message semble entendu par le Préfet du Vaucluse qui déclare dans un tweet : « J’ai personnellement eu sans délai au téléphone cette commerçante et les services de @PoliceNationale d’Avignon vont à nouveau intervenir sans délai sur cette zone afin de mener les opérations de contrôle qui s’imposent. » Espérons que la réaction sera à la hauteur, et que ce n’est pas une simple communication, surtout quand on constate l’aveuglement du directeur départemental de la sécurité publique dont la réaction a de quoi inquiéter. Il indique que la rue Thiers fait l'objet de patrouilles fréquentes. Il semblerait pourtant, selon les dires de cette commerçante et l’existence du point de deal, que ce ne soit pas forcément véridique. Des faits que l’on peut aisément rapprocher des cambriolages fréquents dans la ville du Vaucluse, comme cette buraliste, braquée à trois reprises, et dont les cambrioleurs n’ont jamais été inquiétés.

    Les contrôles devraient ainsi se renforcer dans cette zone, mais sans opérations de fond, le problème ne fera que se déplacer vers d’autres zones. Un climat anxiogène dans toute la France qui démontre la montée de la violence dans nos rues.

    Source : https://www.valeursactuelles.com/

  • Des violences urbaines sous contrôle, mais jusqu’à quand ?, par Olivier Damien.

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    Lyon, Rillieux-la-Pape, Beauvais, Metz, Longwy, Montbéliard, Tomblaine… la liste des villes où sévissent quotidiennement des violences urbaines est désormais trop longue pour pouvoir être citée intégralement. Ainsi, des dizaines de milliers de nos concitoyens sont confrontés à la violence, aux dégradations et à la mise à sac des quartiers dans lesquels ils vivent, non plus pour le meilleur, mais dorénavant pour le pire.

    5.jpegVoitures incendiées, Abribus™ détruits, commerces endommagés, équipements publics saccagés : tel est le spectacle qui s’offre à leurs yeux, chaque matin, après des nuits d’émeutes qui n’en finissent plus. Voilà le résultat d’années de laxisme, de laisser-faire et d’indulgence coupable à l’égard de caïds qui n’ont qu’une idée : mettre à bas les valeurs de la République et poursuivre leurs trafics en toute impunité.

    Car ne nous y trompons pas, il y a longtemps que, dans ces endroits perdus de notre territoire, les revendications sociales qui servaient hier à justifier tous les débordements ont cédé le pas à une volonté farouche de s’opposer à l’État et d’imposer, par la force, la loi des bandes et des communautés. Le vieil argument qui voulait que la délinquance et la violence soient les signes de révolte d’une population paupérisée et marginalisée est aujourd’hui, chaque jour, contredit par l’actualité. De fait, des milliards de francs puis d’euros ont été injectés au cours des dernières décennies dans ces quartiers en difficultés économiques et sociales (entre 120 et 180 milliards d’euros en quarante ans). De nombreux plans et programmes d’actions ont été mis en œuvre et développés pour venir en aide aux populations les plus défavorisées, notamment par le biais de subventions à près de 15.000 associations ! La jeunesse de ces quartiers a, en particulier, pu profiter d’une manne financière sans équivalent ailleurs dans notre pays. Résultat ? La situation n’a cessé de se dégrader. L’argent public a été déversé dans un puits sans fond, quand il n’a pas, tout simplement, été détourné par certaines familles ou certains clans. Si la même ardeur financière avait été appliquée à nos campagnes, de nombreux villages de France seraient, aujourd’hui, florissants et nos agriculteurs pourraient vivre dignement.

    Le constat est donc sans appel. Les politiques de la ville (à laquelle le gouvernement Castex vient d’octroyer une énième enveloppe de 3,5 milliards d’euros) ont été, à de très rares exceptions près, des échecs patents. Nombre de villes et de quartiers qui ont vu arriver l’argent des contribuables à flots sont maintenant gangrenés par le crime. Les réseaux mafieux ont pris possession de lieux où même la police ne pénètre plus, si ce n’est à l’occasion d’opérations de police judiciaire de grande envergure longuement préparées en amont. C’est, d’ailleurs, souvent à l’issue de ces opérations que se déclenchent les violences urbaines ! Soucieuses de protéger « leurs territoires », lieux de trafics divers et variés (drogue, tabac, alcool, armes, etc.), les bandes n’hésitent pas à déclencher une véritable guerre de guérilla contre les forces de l’ordre. Attaques de commissariats ou de casernes de gendarmerie, embuscades destinées aux policiers, aux gendarmes, voire même aux pompiers, tout est mis en œuvre pour que ces espaces restent sous le contrôle de ces criminels.

    Face à ce qui est clairement devenu un conflit ouvert entre l’État et des bandes séparatistes, la riposte demeure insuffisante et largement inadaptée. Absence de politique sécuritaire en rapport avec le phénomène, insuffisance des effectifs de police et de gendarmerie dans les zones concernées, cadres juridiques inopérants face à cette nouvelle forme de criminalité, l’État se retrouve en situation de subir des événements sur lesquels il n’a plus prise. Bien plus, la question qui actuellement s’impose est celle de savoir si, en cas d’embrasement général, l’ordre public pourrait encore être préservé dans notre pays. La réponse, à défaut d’une réaction énergique et rapide des pouvoirs publics, mais qui est de plus en plus improbable, est clairement non. La France est sur une poudrière. Et le calme très relatif qui semble encore régner en apparence ne repose que sur la capacité de nos forces de l’ordre à amortir les chocs répétés qui leur sont portés. Équilibre précaire s’il en est, mais qui peut se rompre à tout moment, ce qui ferait, à n’en pas douter, basculer notre pays dans le chaos.

     

    Olivier Damien

    Docteur en droit – Commissaire divisionnaire honoraire - Ancien secrétaire général du syndicat des commissaires de police
     
  • La loi Climat face aux excès de la mondialisation, par Christian Montagard.

    Selon l’Agence internationale de l’énergie, la France, avec 0,9 % d’émissions de carbone (28,2 % pour la Chine et 14,5 % pour les États-Unis), est un des pays les moins pollueurs du monde. Pour ceux qui se sont déplacés dans certaines capitales d’ ou d’Asie, Paris apparaît comme un havre d’air pur.

    4.jpgMais, comme nous le constatons chaque jour sur d’autres sujets (notre , nos grands personnages…), le projet de loi Climat, porté par le ministre Barbara Pompili devant le Parlement, n’échappe pas à l’idéologie ambiante consistant à culpabiliser les Françaises et les Français, qui seraient quasiment les principaux responsables du dérèglement climatique.

    Ce sentiment de culpabilité se manifeste par de nouvelles attaques insidieuses contre la France, dite périphérique, des villes moyennes et des campagnes qui représentent 60 % de la population. Sont visés les commerçants à qui l’on impose de nouvelles contraintes sur la publicité, notamment numérique, dans les vitrines. Les transporteurs routiers sont visés par de nouvelles taxes en perspective. Les agriculteurs sont menacés par de nouveaux délits, dont celui de l’écocide. À cet égard, l’ juridique de ces nouveaux délits est susceptible d’y affaiblir l’attractivité du métier d’agriculteur et, donc, à terme, de mettre en cause la souveraineté alimentaire de nos concitoyens.

    Autre bouc émissaire de la loi Climat, les automobilistes auxquels il sera progressivement interdit d’approcher des centres-villes des grandes métropoles et qui devront s’affranchir de nouvelles obligations. Manifestement, la des gilets jaunes n’aura pas servi, les pseudo-élites qui gouvernent ce pays ont décidé de se couper irrémédiablement du peuple.

    Mais pendant que le ministre présente ses mesures punitives au Parlement, il ne parle pas de l’essentiel, à savoir, d’une part, de la stratégie de la France concernant ses sources d’énergie et, d’autre part, de l’une des causes majeures du dérèglement climatique : le libre-échange sans limite et les excès de la mondialisation.

    L’abandon progressif du constitue la première faute stratégique de nos gouvernants. En effet, comment comprendre que le nucléaire, seule énergie capable, dans les décennies à venir, de contribuer à la diminution des émissions de gaz à effet de serre en produisant une électricité « bas carbone », de façon sûre et dans des conditions économiques satisfaisantes, soit aussi dévalorisé. Cette stratégie d’abandon progressif du nucléaire produit déjà ses effets : la fermeture des réacteurs de Fessenheim se solderait déjà par l’émission annuelle supplémentaire de plusieurs millions de tonnes de gaz carbonique (CO2) en .

    La mondialisation et le libre-échange sans limite constituent une source majeure de la et du dérèglement climatique. Le blocage, ces jours-ci, du canal de Suez par un porte-conteneurs de 400 mètres de long, transportant des produits et marchandises fabriqués à l’autre bout du monde, outre ses conséquences économiques et industrielles (difficulté d’approvisionnement des entreprises françaises en cette période d’épidémie), met en évidence le lourd tribut que ce type de transport fait peser sur la détérioration de la qualité de notre . Il est plus que temps de mesurer l’impact du carbone émis par ces navires, lesquels transportent des biens, souvent de piètre qualité, produits dans des conditions écologiques désastreuses.

    Ainsi, une véritable de protection de notre environnement, au lieu de culpabiliser nos concitoyens des villes moyennes et des campagnes, d’imposer des normes écologiques qui pénalisent nos entreprises et nous conduisent à importer, après un transport long et polluant, des produits fabriqués sans respect des normes environnementales les plus élémentaires, passe par l’injection d’une dose de protectionnisme et un patriotisme économique assumé. Il devrait s’ensuivre une relocalisation d’une partie de notre production et une réindustrialisation du pays. Une telle politique, qui devrait être impulsée par un État stratège, renforcerait l’indépendance nationale, notre souveraineté économique et (très important) préserverait la paix sociale, à laquelle la loi Climat de Barbara Pompili risque de porter atteinte.

     

    Christian Montagard

    Conseiller en stratégie et financement d'entreprises,
    ancien cadre dirigeant de banque
     
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Le dernier vote, le "OUI" final et définitif à la France, c'est ce dimanche : OUI À LA NOUVELLE CALÉDONIE FRANÇAISE !

    1. "Douce France" et "créolisation" (?) si chère à Mélenchon : dans l'Oise un concierge s’est fait massacrer par un migrant soudanais. Il n’aura pas le droit à l’émotion médiatique, aux genoux à terre, aux manifestations indignées. On ne sait même pas son nom. Sa vie ne compte pas. Ce sera bientôt juste un "fait divers" oublié... Quelle idée aussi d'être Français, fils, petit-fils, arrière petit-fils de Français... ave des ancêtres morts pour la France... Non, mais : il se prenait pour qui, et il se croyait où ? Heureusement, la "créolisation" va nous arranger tout ça!...

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    2. Révélations sur l'agresseur d'Eric Zemmour à Villepinte : L'homme est adhérent chez les Républicains et son casier judiciaire comporte 12 délits de droits communs

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-482733-revelations-sur-l-agresseur-d-eric-zemmour-a-villepinte-l-homme-est-adherent-chez-les-republicains-et-son-casier-judiciaire-comporte-12-delits-de-droits-communs-video.html

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    3. Alexandre del Valle rappelle avec justesse - une fois de plus !... - que Erdogan appelle les musulmans d’Europe à constituer une communauté séparée appelée à ne jamais s’assimiler. La Turquie menace notre civilisation, et ses organisations islamonationalistes travaillent avec les Frères musulmans pour saper nos valeurs sur notre sol...

     
    (extrait vidéo 1'49)
     
     

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    4. Dans Le Figaro Société : "Ils font régner un tel climat de haine": Bagnolet, ce laboratoire indigéniste aux portes de Paris... (extrait)
     

    ENQUÊTE - Dans cette commune de Seine-Saint-Denis de 36.000 habitants, la polémique enfle autour du soutien apporté par la municipalité à une association indigéniste. Un territoire miné par l'idéologie communautariste et racialiste.

    Ce modeste appartement c'est son petit nid. Elle l'assure, elle ne le quittera pour rien au monde. Cette ville de banlieue parisienne, à 6 kilomètres à vol d'oiseau de Notre-Dame, elle y a grandi, elle y travaille et refuse de partir.

    Pourtant, quand Corinne (son prénom a été changé à sa demande) raconte Bagnolet, la description se décline avec des mots au vitriol. «Bagnolet est la ville la plus endettée de France, le taux de pauvreté concerne près de 30% de la population. Depuis des mois, une enquête financière est en cours sur des soupçons d'emploi fictif au sein de la mairie. Un proche du maire a récemment été condamné pour des faits de corruption dans l'attribution de logements sociaux. Et pour finir d'achever le tableau, notre ville après une campagne sanglante, est passée entre les mains de politiques acoquinés avec des communautaristes et indigénistes. Franchement, cette commune, déjà bien mal en point, n'avait pas besoin de ça !... Le naufrage est sans fin.»

    Le constat de cette Bagnoletaise est amer. Sa colère est vive et ses mots sont durs. «Un petit groupe d'indigénistes est désormais aux manettes de la mairie et s'en donne à cœur joie, soupire-t-elle. Ces individus ont décidé d'en faire leur petit laboratoire à ciel ouvert du racialisme et du communautarisme. Cette conquête de leur idéologie toxique a été rendue possible par la main tendue du maire socialiste Tony Di Martino. Bagnolet est dorénavant une véritable baronnie islamo-indigéniste, un terrain sur lequel ils imposent leurs propres règles du jeu.»

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    5. Quand Valérie Pécresse signait avec Christiane Taubira un appel "pour une République multiculturelle et post-raciale" lancé par Rokhaya Diallo et d’autres figures indigénistes... Et dire qu'il y a des naïfs qui affirment qu'ils voteront pour elle !

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    6. On l'avait déjà dit, et plusieurs fois : avec un coût salarial de 185 millions d'euros, le gouvernement Castex est le plus cher de la Vème République!

    https://lecourrier-du-soir.com/avec-un-cout-salarial-de-185-millions-deuros-le-gouvernement-castex-est-le-plus-cher-de-la-veme-republique/

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    7. Quand Macron perd une bonne occasion de se taire, il se fait moucher aussitôt par Goldnadel :

    1. Macron fait son malin à Vichy et met en garde contre toute "manipulation" de l’Histoire...

    2. Et reçoit le "pan sur le bec" qu'il mérite :
    "C’est vrai cela . Ne manipulons jamais l’Histoire. On m’a rapporté que d’aucuns auraient prétendu que la colonisation de l’Algérie relevait du crime contre l’Humanité. Mais je me refuse à le croire."

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    À DEMAIN !

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  • Orban contre la déferlante progressiste, par Athanase de Magneval.

    © DR

    Hier les militants LGBT protestaient dans toute l'Allemagne contre le Premier ministre hongrois Viktor Orban, et l'un deux s'introduisait dans le stade munichois au début du match Allemagne-Hongrie. Face à la déferlante progressiste, Orban ne semble pas faiblir.

    Un militant LGBT s’est introduit sur la pelouse du stade de Munich au début du match entre la Hongrie et l’Allemagne, pour brandir le drapeau arc-en-ciel face à l’équipe hongroise. La ville de Munich avait prévu de colorer son stade aux couleurs du même drapeau en signe de protestation contre la politique conservatrice et prétendument homophobe de Viktor Orban. Il avait en conséquence refusé de se déplacer pour l’occasion malgré sa passion pour le football. L’UEFA, organisateur du tournoi, a finalement décidé d’annuler l’initiative, invoquant la neutralité politique et religieuse de la compétition. Décision qui a suscité une vague de critiques, et qui a entraîné cet acte militant. Aussi, le drapeau arc-en-ciel décorait hier l’Allemagne en plusieurs endroits – le musée juif de Munich, les stades de plusieurs villes, le compte Twitter de la police de la ville, des locomotives de la société de chemins de fer locale, et certaines entreprises comme Volkswagen et BMW, qui ont sauté sur l’occasion pour faire du pinkwashing.

    En France, Clément Beaune, secrétaire d’État aux affaires européennes, a qualifié ce refus de « décision politique ». Mieux encore, la jadis conservatrice Valérie Pécresse, invitée sur France Info ce matin, a déclaré : « Aujourd’hui, ce que fait monsieur Orban vis-à-vis des Hongrois homosexuels est inacceptable ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères hongrois s’est dit rassuré : « Dieu merci, les dirigeants du football européen ont fait preuve de bon sens ».

    Mais quelle est la politique du Premier ministre qui est à ce point décriée ? La Hongrie a adopté le 15 juin dernier, à 157 voix contre une, un texte de loi qui « interdit la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs ». « La pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ». L’objectif est de « protéger les droits des enfants ». Si l’on n’est pas encore certain du périmètre d’application du texte, sont dans le viseur les programmes télévisés, publicités et livres pour enfants remaniés pour « dédramatiser l’homosexualité ». Question d’éducation donc, et de perpétuation d’une norme sociale.

    Face aux nombreuses contestations, en particulier de ses homologues européens dont Emmanuel Macron, Orban a rappelé que cette loi ne concernait pas les homosexuels mais « la façon dont les parents veulent faire l’éducation sexuelle de leurs enfants », et qu’il « défend les droits des homosexuels ». Le texte en lui-même est relativement ambigu, certainement pour essayer de passer à travers le filet de la Commission européenne. Cette dernière a tout de même engagé la procédure prévue par l’article 7 du traité de l’UE pour violation présumée de l’État de droit. Sa présidente, Ursula Von Der Leyen, avait réagi : « Ce projet de loi hongrois est une honte. Il discrimine sur la base de l’orientation sexuelle et s’oppose aux valeurs fondamentales de l’UE. On ne fera pas de compromis ».

    En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple

    Des milliers de manifestants étaient descendus dans les rues pour dénoncer la « cruelle campagne politique » du pouvoir. Le texte s’inscrivait dans une série de lois visant à lutter contre la pédophilie, un « amalgame » dénoncé par les militants. En décembre, le gouvernement avait interdit l’adoption par des couples homosexuels et inscrit la notion traditionnelle de la famille et du « genre » dans la Constitution. Le texte ajoutait : « L’éducation est assurée conformément aux valeurs fondées sur l’identité constitutionnelle et la culture chrétienne de la Hongrie ». « C’est un jour sombre pour les LGBT et un jour sombre pour les droits humains » larmoyait Amnesty International.

    Orban a retiré dans la foulée les accréditations des études de genre. Une ambition conservatrice, ou « illibérale », que le Premier ministre hongrois affiche depuis le début de son mandat – en 2018, il entamait une politique familiale ambitieuse, subventionnant les familles d’au moins trois enfants, lui-même montrant l’exemple avec ses cinq enfants. Des choix qui provoquent un bras de fer avec Bruxelles depuis longtemps, sa Charte des droits fondamentaux interdisant « toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ». En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple quand on est dans l’UE. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré jeudi « La Hongrie n’a plus rien à faire dans l’UE ». Nous n’aurions pas dit mieux.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1.      PROVENCE : AUJOURD'HUI ON VOTE, ET ON                                VOTE MARIANI !

    Message de Marion Maréchal :

    https://twitter.com/MarionMarechal/status/1408446878916747264?s=20

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    2. Il y a un cinglé, membre d'un gouvernement d'un pays nordique, qui a demandé que la Hongrie sorte de l'Europe. C'est lui qui devrait en sortir, pour ingérence dans les affaires intérieures d'un pays souverain, entre autres motifs...

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    Les journaleux du monde politico-médiatique français nous présentent les dirigeants hongrois, polonais, slovènes et autres comme d'horribles "fâchistes". Quel inversement des valeurs ! Ce sont des héros qui ont lutté, au péril de leur vie, contre la dictature communiste. Pendant ce temps-là, durant le demi-siècle de Terreur marxiste-léniniste supporté héroïquement par l'Europe de l'Est, journaleux et "élites" (?) auto-proclamées déclaraient, avec l'infâme Sartre : "Tout anti-communiste est un chien !". Et maintenant ils viendraient donner des leçons ?
     

     

    2 BIS. À lafautearousseau, nous sommes du côté de la Hongrie, de la Pologne, de la Slovénie et de tous les pays européens qui défendent leur identité de nations historiques, leurs cultures, leur héritage gréco-latin pour beaucoup d'entre elles, et judéo-chrétien pour toutes. La Commission européenne (ce "machin", comme aurait dit de Gaulle...) et ses dirigeants non élus, de rencontre et de caniveau, n'ont pas vocation à dicter aux pays européens leur politique intérieure. Cette ingérence doit cesser !

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    4. L'irrecevable et scandaleux propos de Xavier Bertrand ("Il vaut mieux être avec les communistes qu'avec les Identitaires") continue à faire couler beaucoup d'encre, et à susciter des réactions indignées, à juste titre. Dernière en date, celle de Gilles-William Goldnadel :

     
    GWGoldnadel
    "Cher @xavierbertrand, au nom de l’amitié sincère que je te porte, je crains que tu ne sois conduit à regretter ces propos. Les millions de morts du communisme font qu’on ne préfère ce dernier à quiconque. Certainement pas aux identitaires qui n’ont pas de sang sur les mains."

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    5. La République des copains et des coquins ? Y'a bon ! Y'a même très, très bon ! Un commissaire mis en examen dans l’affaire Benalla obtient une promotion : alors qu’il n’a pas encore été jugé, Laurent Simonin, ancien chef d'état-major à la préfecture de police, est promu au grade de commissaire général ! 

    À BAS CE SYSTÈME POURRI !

    https://www.lepoint.fr/societe/un-commissaire-mis-en-examen-dans-l-affaire-benalla-obtient-une-promotion-24-06-2021-2432643_23.php

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    6. Notre ami Santiago Abascal ("Santi" !...) a raison :

    El Futuro de Europa ! : "No puede haber patriotismo sin amor por la herencia natural que hemos recibido... El marxismo cultural busca dividir a la sociedad de otra manera porque ya no puede hacerlo con la lucha de clases..."

    L'avenir de l'Europe ! : "Il ne peut y avoir de patriotisme sans amour pour l'héritage naturel que nous avons reçu... Le marxisme culturel cherche à diviser la société d'une autre manière puisqu'il ne peut plus le faire par la lutte des classes..."

    (extrait vidéo 1'51)

    https://twitter.com/vox_es/status/1408511285050982407?s=20

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    7. Lu dans Europe-Israël.org : Paris est devenu "une ville avachie, avilie, et très triste", massacrée par ses dirigeants, s’alarme l’écrivain Nicolas d’Estienne d’Orves. À l’occasion de la réédition en poche de son Dictionnaire amoureux de Paris, l’écrivain revient auprès du Figaro sur l’invraisemblable sort de la ville... :

    https://www.europe-israel.org/2021/06/paris-est-devenu-une-ville-avachie-avilie-et-tres-triste-massacree-par-ses-dirigeants-salarme-lecrivain-nicolas-destienne-dorves/

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    À DEMAIN !

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  • Déboulonnage des statues : la folie woke, par Geoffroy Antoine.

    Napoléon, Winston Churchill, Christophe Colomb, le général Lee : plus une semaine ne passe sans qu’une statue historique occidentale ne soit déboulonnée dans le monde. Quand ils ne se livrent pas à des autodafés qui feraient trembler Ray Bradbury, l’auteur de l’incroyable Fahrenheit 451, les woke s’adonnent à la « cancelisation » des statues, leur nouveau passe-temps préféré.

    5.jpgIl y a quelques jours, à Mexico, le maire de la ville a annoncé remplacer l’iconique statue de Christophe Colomb, le grand découvreur du continent américain, au profit d’une autre statue représentant une femme indigène, « symbole de la indigène ». C’est oublier que la des Amériques, si elle a amené avec elle des épisodes de violences et de massacres, est à l’origine même de la nation mexicaine et des États sud-américains. Vouloir nier ce pan de l’Histoire revient à balayer d’un revers de la main 500 ans de coexistence, parfois houleuse, certes, mais réelle, entre cultures européenne et amérindiennes.

    Plus au nord, dans des États-Unis assaillis par le « wokisme », c’est la statue du général Lee, l’un des plus grands commandants de la guerre de Sécession, que l’on a ôtée de son socle. Robert Lee était l’un des héros de la guerre d’indépendance, un tacticien hors pair lorsqu’il guida les armées confédérées et, avant toute chose, une figure emblématique de l’Histoire américaine qui, comme toute Histoire nationale, ne fut jamais ni blanche ni noire, mais teintée de gris.

    Loin d’être épargnée de ce côté-ci de l’Atlantique, la France fait face à son lot d’excités, désireux de taire sinon de supprimer une grande partie de notre héritage. C’est ainsi qu’à Rouen, profitant de la rénovation de la massive statue de Napoléon, place de l’Hôtel-de-Ville, le maire socialiste Nicolas Mayer-Rossignol cherche à la remplacer par une autre, de Gisèle Halimi. Persuadé du bien-fondé de sa décision, il affirme, sur Twitter : « J’assume la dimension symbolique forte de cette proposition. Il serait formidable que Rouen soit la première ville de France à accueillir, place de la Mairie, une statue ou une œuvre d’art dédiée à Gisèle Halimi, figure de la lutte pour les droits des Femmes. Le débat est ouvert ! »

    Nous aimerions comprendre de quel débat parle le maire de Rouen, tant cette prise de position ressemble à un coup de force plus qu’à une discussion démocratique. Si celui-ci parle de débat historique, alors y a-t-il véritablement lieu de discourir ? Peu importent les causes défendues par Mme Halimi, parmi lesquelles les positions favorables au FLN, ces insurgés algériens qui pendirent, torturèrent et émasculèrent des Français par milliers, qui restent en travers de la gorge de nombre d’entre nous : il demeure que cette dernière ne peut rivaliser avec la figure de Bonaparte.

    Évidemment, ce n’est pas d’un débat historique qu’il s’agit, mais bel et bien d’une dérive tyrannique qui vise à annihiler tout élément – d’autant plus quand ces derniers sont d’ordre séculaire comme les statues – qui n’entrerait pas dans les codes de la doxa progressiste. Non, n’était pas antiraciste, oui, la conquête européenne du Nouveau Monde s’est faite dans la violence, mais il s’agit là de faits historiques à contextualiser. En somme, l’Histoire de l’Occident n’a pas été plus sanglante que celle de l’Orient ni même que celle des civilisations précolombiennes. L’Histoire est un fleuve dont le cours ne suit aucun paradigme idéologique, celle-ci n’est pas plus « injuste » envers les Noirs que les Blancs, les Asiatiques ou les Amérindiens. Dès lors, vouloir supprimer ses représentations revient à dire : « Nous sommes l’Histoire », ce qui est un contresens. L’Histoire est ce que nous sommes, et nous sommes aussi ce que nous avons été.

     

    Geoffroy Antoine

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • D’Orléans à Reims ?, par Jean-Philippe Chauvin.

    Pour les croyants, certains événements particuliers sont des signes quand les autres, politiques d’abord, y voient plutôt, selon le beau mot de Léon Daudet, des intersignes. Un fidèle de la Maison de France, dont la foi catholique est fervente quand sa passion politique ne l’est pas moins, nous a envoyé ce témoignage d’un récent voyage princier à Orléans.

    jean philippe chauvin.jpgAu-delà des querelles dynastiques qui, trop souvent, amoindrissent la crédibilité du propos monarchiste, il nous a semblé intéressant de reprendre de larges extraits de son texte inspiré par une ferveur royaliste toute bernanosienne.

    « Orléans – 8 mai 2021 – Sainte Jeanne d’Arc veille sur la Maison de France,

    Après la très sainte Messe célébrée ce 8 mai en la cathédrale Sainte Croix d’Orléans, comment ne pas remercier la Sainte de la Patrie pour la sollicitude toute particulière qu’elle manifeste envers la Maison de Bourbon-Orléans ?

    Comment ne pas être touché par sa tendresse, si l’on se rappelle le sentiment de paix et de concorde familiale qui régnait lors des funérailles de Son Altesse Royale le Prince François de France célébrée le 6 janvier 2018, en la fête de l’Epiphanie. Ce jour étant le 606ème anniversaire de la Sainte de la Patrie.

    Plus tôt dans le temps, Son Altesse Royale, feu le Comte de Paris (1933-2019) avait eu le grand courage de demander pardon pour le vote régicide de son aïeul Philippe Egalité, à l’occasion d’une Messe du 21 janvier célébrée en l’Eglise Saint Germain l’Auxerrois en la mémoire du Roi Martyr. La providence lui fit une grâce insigne en permettant son rappel à Dieu le 21 janvier 2019, le remerciant de son beau geste, et accordant ainsi une protection particulière à la Maison de France. Le signe était fort, au-delà du deuil…

    Le 29 avril 1429 Sainte Jeanne d’Arc dit à Dunois (Déposition du procès de Jeanne) : « Je vous amène, dit-elle, le meilleur secours qui ait jamais été envoyé à qui que ce soit, le secours du Roi des cieux. Il ne vient pas de moi, mais de Dieu même qui, à la requête de saint Louis et de saint Charlemagne, a eu pitié de la ville d’Orléans ».

    Ainsi, ce 8 mai 2021 marquait en même temps le 592ème Anniversaire de la libération d’Orléans et la fin des combats en 1945 ! Mais auparavant la ville avait déjà résisté victorieusement aux Huns, puis aux Normands. Etonnant destin de cette simple cité qui régulièrement marque l’histoire de France de manière éclatante et providentielle.

    Ce jour du printemps 2021, leurs Altesses Royales arrivèrent à Orléans, dans un climat difficile marqué par la crise sanitaire et des polémiques stériles. Dés son arrivée en cette auguste ville, Monseigneur le Comte de Paris déclara « Cela fait toujours plaisir à un Orléans de venir à Orléans ». (La République du Centre, 9 mai 2021).

    A la surprise de tous, ils furent reçus personnellement par le Maire d’Orléans, avant la Messe, ce qui de la part de Monsieur Serge Grouard n’était pas joué d’avance. Mais l’histoire réunit parfois ceux que la politique du présent pourraient séparer.

    La très belle homélie de Monseigneur de Moulins-Beaufort Archevêque de Reims, restera le texte de tous les possibles – toute orientée vers la gloire de Dieu, avec un superbe final :

    « La gloire du Père que Jésus veut procurer, et tous ses amis avec lui, est la vie de tous les humains, et cela pour toujours, dans la paix vivante de Dieu. Cette paix pour tous, cette paix vivante et pour toujours, nous la demandons et nous la recevons aujourd’hui comme hier et demain dans l’Eucharistie de Jésus et nous espérons, Dieu le voulant, Dieu aidant, en être les serviteurs, chacun selon la part qui lui est confiée, Amen. ».
    Sous la protection de Sainte Jeanne d’Arc, Son Altesse Royale le Prince Jean de France a reçu le corps du Christ des mains de l’Archevêque de Reims, comme en son temps le Roi Clovis, le reçut des mains de Saint Rémi. Comment ne pas y voir un signe qui peut parler à tous, croyants comme simples spectateurs ? « Celui qui croyait au Ciel, celui qui n’y croyait pas », comme le dit Louis Aragon, peuvent se retrouver ici, aux confins de la foi et de l’histoire…
    Ne peut-on pas dire alors, qu’en ce 8 mai 2021, à Orléans en l’année Saint Joseph, le Ciel de notre France s’est ouvert ! »

    Restent alors aux hommes à faire que ce qui doit être advienne : pour la Monarchie royale, en France. Et, là encore, Jeanne d’Arc, la Sainte de la Patrie, nous le souffle, au-delà des siècles : « Les hommes batailleront, et Dieu donnera la victoire »…

    Source : http://www.actionroyaliste.fr/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Scandale Mac Kinsey : d'accord avec Gilbert Collard... :

    "En mars 2017, le Parquet National Financier faisait du zèle sur l'affaire Fillon : il doit immédiatement se saisir du #McKinseyGate, scandale d'État oh combien plus important qu'une assistante et quelques costards !"

    https://www.marianne.net/agora/entretiens-et-debats/si-mckinsey-est-si-puissant-cest-parce-que-macron-est-lidole-des-consultants

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    1. Et d'accord aussi avec Jean-Frédéric Poisson :

    "Ouvrons les yeux des Français sur la réalité de #Macron : scandales comme #Alstom #MacKinsey2022 #Pfizer ; pratique inégalée du népotisme (ex. nominations au ConCons) ; 500 milliards de dettes supplémentaires ; la domination de la logique du Marché sur tout..."

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    1 BIS. Pour bien (ou mieux) comprendre cette "affaire Mac Kinsey" : un rapport accablant du Sénat sur le poids pris par les cabinets de conseil au coeur de l'État :

    (extrait vidéo 3'37)

    https://twitter.com/nicolasyhhardy/status/1506531352883220483?s=20&t=vWZ9yL2pcAneYnQYuGOebw

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    3. En recevant Zemmour, il y a peu, Gilles Bouleau - qui est, paraît-il, journaliste... -  s'était fait remettre à sa place par "le Z", car sa toute première question portait sur une phrase d'un livre écrit en... 2014 ! Zemmour le reprit sèchement en lui disant qu'on était en 2022, qu'il était candidat à la présidence et que l'entrevue du soir devait porter sur son programme et non pas être une émission littéraire, portant sur un ouvrage de huit ans... Le même soi-disant journaliste Bouleau vient de recevoir Castex, dans son JT de 20h sur TF1, et s'est encore illustré, mais différemment : il a réussi à ne lui poser aucune question sur le scandale Mac Kinsey ! Ça, c'est du journalisme ! du vrai, du grand, du beau ! À moins que cela ne s'appelle servilité, allégeance au pouvoir, "journalisme d’État" ? À noter : le même soi-disant journaliste critique à fond Poutine, parce que là-bas, en Russie, les médias ne sont pas libres, les journalistes non plus, et le pouvoir contrôle ce qui se dit. On ignorait juste que Moscou se trouvait sur la Seine !!!!!

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    4. Trouvé sur tweeter :

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    5. Quand Goldnadel, qui ne l'achète pas, "se paye" malgré tout Le Monde : celui-ci avait titré "Quatre personnes ont été tuées dans une attaque au couteau à Beersheba, principale ville du désert du Néguev, dans le sud d’Israël, ont annoncé les secouristes israéliens". Réponse de Goldnadel (sur tweeter) :

    "4 victimes dans un attentat "qualifié de terroriste par la police". Un bédouin partisan de l’Etat Islamique assassine 4 israéliens au couteau, mais on se garde bien de le qualifier directement de terroriste. Les titres du Monde sont impayables, ça tombe bien, je ne l’achète pas."

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    6. Samuel Potier s'est souvenu de Trèbes, il y  a quatre ans... :

    Samuel POTIER
    "À Trèbes, il y a 4 ans, 2 croyants se sont retrouvés :
    - Celui qui sauve des vies en donnant la sienne. Au nom de Jésus.
    - Celui qui est là pour prendre et supprimer des vies. Au nom d'Allah. Reposez en Paix mon Colonel"
     
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    7. Un autre aspect du saccageParis : Rachida Dati écrit au préfet de Paris et d'Ile-de-France afin d'attirer son attention "sur le caractère inquiétant de la situation budgétaire et financière de la ville... :

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-493565-rachida-dati-ecrit-au-prefet-de-paris-et-d-ile-de-france-afin-d-attirer-son-attention-sur-le-caractere-inquietant-de-la-situation-budgetaire-et-financiere-de-la-ville-de-paris.html

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    À DEMAIN !

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