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  • Versailles, Chambord, Chenonceaux : c’était avant, sous l’Ancien Régime… Aujourd’hui ce serait : ”Châteaux de sable”

     

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    Versailles, Chambord, Chenonceaux…

    C’était avant, sous l’Ancien Régime…

    Aujourd’hui ce serait :

    « Châteaux de sable ».

    Voilà une pépite littéraire que plus personne n’oserait écrire désormais.

    L’auteur, Louis-Henri de la Rochefoucauld nous donne après ses deux livres précédents, La révolution française, et le Club des vieux garçons, un magnifique ouvrage sur la vie du fantôme de Louis XVI.

    Le pauvre Roi martyr condamné à errer dans les limbes, se confie et livre ses états d’âme au héros de notre histoire, qui pourrait bien être l’auteur…

    Diffusons ce livre, il y en a peu de cette eau là ! Qui parle encore de Louis XVI ? Qui en dirait du bien ?

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    Je viens de regarder le reportage diffusé par TF1 sur le Jubilé de la Reine du Royaume Uni, et je me félicite d’être royaliste, c’est véritablement bien mieux qu’une chance, c’est une grâce !

    Voir ce Peuple Anglais respectueux et aimant quel exemple !

    Quand nous avons en mémoire les sinistres images du stade de France et ses débordements…

    C’est une grâce également, d’avoir un auteur tel que Louis-Henri.

    Nous lui devons notre affection et notre dévouement.

  • Au Cinéma : Les secrets de mon père…, par Guilhem de Tarlé

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    Arts & Ciné  : Les Secrets de mon père,  un film belge de Véra Belmont, avec Jacques Gamblin, Michèle Bernier.

    guilhem de tarlé.jpgLes secrets de mon père … « Avec Jacques Gamblin », c’est ce qui était écrit sur le programme du cinéma… et c’est ce qui m’a donné envie de voir ce film.

    Nous avons en effet beaucoup aimé le jeu de cet acteur dans L’Incroyable histoire du Facteur cheval, et tout dernièrement dans son interprétation de Paul Deschanel, Le Tigre et le Président…
    Je n’avais malheureusement pas vu qu’il s’agissait d’un film d’animation, et la présentation ne précisait pas qu’il ne s’agissait donc que de la voix de Jacques Gamblin ! 

    En outre le synopsis, lu trop rapidement, semblait annoncer un film d’aventure en parlant de « grand aventurier, pirate ou chercheur de trésors »…

    Ainsi je me suis heurté à une présentation soit délibérément mensongère, soit rédigée par quelqu'un qui n'avait manifestement pas vu le film.

    Il s’agit en fait – et cela n’était, une fois encore, pas écrit - d’une adaptation d’une BD, Deuxième génération - ce que je n'ai pas dit à mon père, de Michel Kichka, que j’avoue ne pas connaître, qui raconte la jeunesse de son père rescapé de l'holocauste... 

    Convenons que le dessin était de bonne facture, mais je me suis véritablement fait avoir, puisque j'étais seulement parti me divertir. 

  • Le numéro 1246 (19 décembre) de Royaliste est paru...

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    Au sommaire de ce numéro :
     
    Page 2 – Du mou dans la gachette. – Sur le mur de Jean Chouan.
    Page 3 – Marine, François, Clémentine et les autres... – La politique au crible.
    Page 4 – Bercy, la cybersécurité et nous. – La quinzaine sociale.
    Page 5 – Réseaux sociaux : la fin d'une ère.
    Page 6 – La montée des difficultés du monde agricole. – Pesticides. – Les Faits marquants.
    Page 7 – Les enjeux du Pacifique français.
    Page 8 – Une Chine insoumise. – Voix étrangères. – Les faits marquants.
    Page 9 – Tornade blanche.
    Pages 10-11 – Décembre 1942. – Dans les revues.
    Page 12 – Le néolibéralisme contre l'imaginaire des peuples.
    Page 13 – Sarcelle, une ville française.
    Page 14 – Géopolitique d'aujourd'hui. – Les autres et nous.
    Page 15 – Les 90 ans d'Esprit.
    Page 16 – Une nouvelle voie pour l'Afrique et le monde.
    Page 17 – « Contre-Histoire de France ».
    Page 18 – Portrait photographique d'un prince. – « L'Arabe du futur ».
    Page 19 – Brèves royales. – Communiqués – Mercredis de la Nar.
    Page 20 – Leurs systèmes de corruption.
  • Au Cinéma : Don Juan, par Guilhem de Tarlé

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    À l’affiche : Don Juan, un film français de Serge Bozon, avec Tahar Rahim (Laurent, Don Juan), Virginie Efira (Julie), Alain Chamfort (« dans la peau du Commandeur »).

    guilhem de tarlé.jpgDon Juan… l’histoire d’un Don Juan fidèle… « comme moi », et quand j’ai dit ça, ma fille et mon épouse ont rigolé… Était-ce pour le « Don Juan » ou pour le « fidèle » ? En tout cas, elles ont eu raison de rire, car après la séance mon épouse commentait : « Plus ch… que la pluie » !

    Une « comédie musicale » ? C’est sinistre ! ça joue l’intellectuel et la profondeur, et c’est une imitation nulle de Michel Legrand dans Les Parapluies de Cherbourg !

    On s’ennuie au bout de 20 minutes alors qu’il reste encore les 4 cinquièmes du long-métrage à s’interdire de quitter la salle.

    Mais peut-être suis-je coupable ? au lieu de ma plaisanterie à deux balles, j’aurais sans doute mieux fait de retourner aux sources.

    Je n’ai qu’un vague et très lointain souvenir d’un téléfilm de 1965 avec Michel Piccoli et Claude Brasseur dans le rôle d’un Sganarelle particulièrement excellent dans l’éloge du tabac… « et pis… ».

    Sans doute aurais-je identifié des clins d’œil à l’œuvre de Molière, que mon épouse a su voir, et c’est finalement là le seul intérêt du pensum d’hier, m’inciter à relire la pièce.

  • Au Cinéma : Jeanne du Barry, par Guilhem de Tarlé

    cannes2023 "Jeanne du Barry" de Maïwenn avec Johnny Deep - LA RADIO DU  CINEMA

     

    A l’affiche : Jeanne du Barry,  un film français de  Maïwenn,  avec Maïwenn et Melvil Poupaud (la comtesse et le comte du Barry), Johnny Deep (Louis XV), Benjamin Lavernhe (La Borde), Pierre Richard (le Duc de Richelieu)

    "Il y a (avait) bien du monde aujourd'hui..." au cinéma !

    Jeanne du Barry.... Un très beau film ponctué par des applaudissements dans la salle, et je me suis retenu pour ne pas y contribuer.

    Qu'est-ce que les spectateurs ont applaudi ?


    • Johnny Depp, contre Sandrine Rousseau, Adèle Haenel et les "néo-féministes", puisque c'est le nom qu'on leur donne ?


    • L'hagiographie de la “Comtesse du Barry”, fille de joie née d'une couturière, Anne Bécu, et d'un moine, Vaubernier,  héroïne de la liberté sexuelle et de la "modernité " jusqu'à "s'habiller en homme à la Cour", puis victime de la peine de mort et de la guillotine après avoir été méprisée, "discriminée", par une aristocratie décadente ?


    • La peinture, précisément, de cette aristocratie décadente, et la Révolution qui l'exécuta en guillotinant le Roi et la Reine ?


    • Une belle histoire d'amour qui transcende les codes, les classes et les castes ?

    • Ou finalement, avec toute cette “hommerie”, un film tout simplement magnifique dont on regrette qu'il se termine ?

    "Encore une minute..." Madame la Réalisatrice.

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  • MAGNIFIQUES SAPEURS-POMPIERS DE PARIS : ILS NOUS ONT SAUVÉ NOTRE DAME !

     

    Le fait est avéré : agissant comme une troupe bien formée, bien disciplinée et remarquablement efficace, les Sapeurs-pompiers de Paris ont courageusement, intelligemment et héroïquement agi. 

    Contre un ennemi puissant et terrible : le feu, ils ont mené une vraie bataille, comme de vrais soldats, obéissant aux bons ordres salutaires qui leur étaient donnés.

    Et, cette bataille, ils l'ont gagnée : certes, le désastre est irrémédiable et « la forêt », charpente unique des XIIème et XIIème siècles est perdue à jamais. On pourra en refaire une, belle aussi, mais ces arbres, d'essences différentes et plantés pour beaucoup avant l'an mil, on n'en possède plus l'équivalent, de nos jours...

    Dans l'immense affliction qui gagne tous les Français à cette heure, réjouissons-nous pourtant de l'acte magnifique de ces quatre cents soldats du feu : en agissant comme ils l'ont fait, en faisant reculer le feu vers l'arrière du bâtiment afin qu'il ne s'emparât point des deux tours ouest, les détruisant à coup sûr; et en rafraîchissant sans cesse l'ensemble des pierres de la cathédrale, ils ont tout simplement évité l'écroulement de l'édifice tout entier.

    Car, il faut le savoir, les pierres « brûlent » aussi...

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    Au moins, dans le désastre final, nous pouvons être heureux que nos pompiers nous aient sauvé le corps du bâtiment...

    Voici un court rappel de cette bataille de Notre-Dame, gagnée par nos Sapeurs-Pompiers de Paris, qui - certes - n'avaient pas besoin de ce titre pour s'attirer l'admiration de tous les Français mais qui viennent d'écrire, en cette sinistre soirée du lundi 15 avril 2019, une des plus belles pages de leur glorieuse Histoire... :

    http://www.opex360.com/…/les-sapeurs-pompiers-de-paris-ont…/

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  • Feuilleton ”Vendée, Guerre de Géants...” (18)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : Frotté...

     

    Fusillé traitreusement, au mépris de la parole donnée, le 18 février 1800...

    Au plus fort de ses succès, il avait réussi à entrainer une troupe de plus de dix mille hommes.

    Le Premier Consul avait fait presque une affaire personnelle de l'élimination du "Général des Royalistes de Normandie". Arrêté par traitrise à Alençon, alors qu'on lui avait délivré un Sauf-conduit pour aller négocier, il sera condamné par une commission militaire, sans avocat ni témoin...

    Il sera le dernier Général des Chouans, "...ce Frotté à l'écharpe blanche, tué par le fusil des gendarmes, avec un sauf-conduit sur le cœur..." qu'évoque Barbey d'Aurevilly dans L'Ensorcelée...

     

    La stèle de Louis de Frotté...

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    ... érigée le dimanche 14 octobre 1973 par le "Souvenir de la Chouannerie normande", au Clos-Frotté, près de Verneuil.

    Source : l'excellent numéro Hors série de la Nouvelle Revue d'Histoire, Printemps-Été 2011, numéro 2H

     

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  • La revanche de Bossuet, par Jeanne Estérelle.

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    L’esprit de vertige a saisi toutes les nations, mais, c’est la France qui se montre la plus troublée. Le « conditionnement imposé de l’esprit » contre lequel s’est battu Léon Daudet, avec un meilleur discernement que Charles Maurras, a réduit aujourd’hui les français en captivité. Leur enfermement tient à deux formes délirantes, l’hypocondrie et l’avarice. La presse flatte le malade imaginaire. L’endettement public emprisonne l’avare.

    La République française extravague en tête des nations parce qu’elle s’obstine non seulement à transgresser les «  lois fondamentales  », depuis 1974, mais s’érige en modèle du changement mondial. Les conséquences ultimes de l’idolâtrie révolutionnaire requièrent, aujourd’hui, l’interprétation théologique dont l’évêque de Meaux avait instruit le Dauphin : «  On perd la vénération pour les lois quand on les voit si souvent changer. C’est alors que les nations semblent chanceler comme troublées et prises de vin, ainsi que parlent les prophètes. L’esprit de vertige les possède et leur chute est inévitable : «  parce que les peuples ont violé les lois, changé le droit public, et rompu les pactes les plus solennels.  » C’est l’état d’un malade inquiet, qui ne sait quel mouvement se donner.  »

    ​Le spectacle affligeant, et même exaspérant, que donne, en permanence, le gouvernement français est le résultat des lois iniques qu’il a imposées malgré les oppositions salutaires. Bossuet le regarderait «  comme un effet de cette justice qui met l’esprit de vertige dans les conseils des rois.  »

    ​Ce regard est éclairé par une conception de l’histoire qui nous est devenue étrangère : «  Tout est régi dans le monde par la providence. Mais surtout tout ce qui regarde les hommes est soumis aux dispositions d’une sagesse occulte et particulière, parce que de tous les ouvrages de Dieu, l’homme est celuy d’où son ouvrier veut tirer le plus de gloire.  » Le confinement des français, comme celui des autres peuples, pour fou qu’il apparaisse du point de vue économique, s’inscrit dans la sagesse de l’ «  ouvrier  » divin.

    ​Charles Maurras s’est malheureusement convaincu qu’il pouvait, sans préjudice, dépouiller la Politique tirée des propres paroles de l’Ecriture Sainte «  de son appareil théologique  », comme l’avait fait Auguste Comte.  Dans sa lecture résolument positiviste, il a brisé l’unité du traité : «  Chacun des mouvements de Bossuet, historien, philosophe, théologien, se tient par sa propre vertu.  » S’imaginant faire l’éloge de la Politique, il a infirmé sa propre lecture : «  Un incroyant peut l’ouvrir et l’étudier en y faisant sans doute un profit inégal : en nul endroit du texte, il ne remarquera que la qualité de croyant ait incliné Bossuet dans le sens de telle ou telle thèse historique, politique, morale.  » Même s’il a tenté, pour ses lecteurs catholiques, une formule vaguement théologique, «  les processions de l’Esprit dans le monde  », Maurras a cédé aux sirènes du «  génie français  ». Il n’a ni remarqué que, d’après Bossuet, le dessein de Dieu se manifestait dans l’histoire, en jouant de la liberté humaine, ni que, par exemple, l’impiété triomphant après la guerre, la IIIRépublique n’avait pas échappé à l’esprit de vertige, au moment du   Traité de Versailles, en 1919.

    ​Léon Daudet a heureusement signé la revanche de Bossuet ! Ayant fait une critique sans appel d’Auguste Comte, «  une philosophie générale sans métaphysique ne saurait être qu’un corps sans tête  », il comprend qu’«  un Pascal, qu’un Bossuet (Discours sur l’histoire universelle) sont constamment revivifiés par ces puissances de l’invisible.  » Il médite et tente à leur école une nouvelle conception de l’histoire, comme en témoigne cet exemple, tiré de l’essai intitulé Les universaux  : «  La destinée de Clemenceau lui-même, qui ne croyait pas à la Providence, ayant gardé l’état d’esprit d’un carabin de 1886, eut un caractère à la fois météorologique et providentiel.  » Daudet entame une synthèse étonnante pour saisir les ondes historiques  : «  Dans cette grande destinée en zigzag et qui tient pas mal de la foudre, je vois plusieurs ondes de sens contraire, se réunissant tout à coup pour un éclatement prodigieux. Mais l’agencement de ces carreaux de couleurs diverses indique un choix surnaturel, que, seules, débrouilleraient à la fois la haute physique et la théologie. »Le choix de Dieu !

    ​La foi fonde l’unité des productions de Léon Daudet, dans leur apparent foisonnement, et détermine les conditions de la restauration future : aux français «  une longue habitude héréditaire (aux yeux du psychologue) et une conformité mystique (aux yeux du théologien) ont rendu la morale catholique aussi indispensable, que le sont aux corps de nos compatriotes le pain et le vin. Le retour des congrégations chassées est pour nous une nécessité vitale, le to be or not to be de Shakespeare.  »

    ​Daudet s’avance «  vers le Roi  » dans le mystère de la Communion des Saints : «  Le croyant que je suis devenu… compte aussi, pour le retour du Roi, sur l’intercession de nos morts. Il n’est pas possible que tant de vaillants, pour lesquels la vie d’homme commençait à peine, qui l’avait saisie par son angle de vérité et de sagesse, et qui sont tombés dans la fournaise, il n’est pas possible que ces vaillants n’obtiennent point ce que leur sacrifice a mérité.  »

    ​Si l’esprit de vertige a fait éclater les limites de l’empirisme organisateur dans «  le grand déménagement des idées  » qui aboutit au confinement physique, intellectuel et spirituel des français, sinon de tous les peuples, jaillit la «  certitude inébranlable  » de Léon Daudet «  faite de la solennelle, de l’insistante supplication de ceux qui sont partis.  » La foi n’exclut pas la méthode de Charles Maurras dans la libération des esprits et la construction politique de l’avenir national, mais rapproche son exercice de Notre-Seigneur Jésus-Christ, «  car Il est la science, c’est-à-dire la Connaissance, incarnée et épurée.  »  

    Jeanne Estérelle

  • FORZA SALVINI ! 

    "Commandante arrêtée, bateau séquestré"...
    En voilà un qui ose s'en prendre frontalement à la hideuse alliance des mafieux/négriers, des révolutionnaires internationalistes qui veulent abolir les frontières et des pilleurs d'Afrique, qui vampirisent son avenir en lui volant son bien le plus précieux : sa population. 
    Les néo-colonialistes d'aujourd'hui font le même sale boulot que ceux d'hier : piller l'Afrique, vampiriser son avenir... 
    Et cela avec la bénédiction d'un Pape complice, de médias aux ordres de l'Argent-Roi et d'une "pensée unique", d'un "politiquement correct" qui ne vise qu'à dissoudre toutes les singularités nationales, culturelles, spirituelles... en vue d'une mondialisation et d'une marchandisation de "tout", au seul profit de "la fortune anonyme et vagabonde" que dénonçait déjà L'Action française...
    Tartufe est au pouvoir, et dispose de tous les moyens pour tromper le monde : les "migrants" (envahisseurs) c'est le pillage de l'Afrique pour un double bénéficiaire : la Révolution et l'Argent :
    - l'Argent, parce que ce pillage d'hommes fournit aux possédants une main d'oeuvre abondante et à bon marché, afin d'augmenter toujours plus leurs bénéfices..
    - la Révolution, parce que cet effacement des diversités brise les seules résistances à l'internationalisme idéologique : les Nations, avec leur Histoire, leurs Coutumes et Traditions, leurs Moeurs, leur Esprit...
    Un dispositif planétaire de migration(s) est en marche : les vieilles Nations historiques, et nous-mêmes pour commencer, les Européens, ont le devoir et le droit de s'y opposer.
    Il faudra pour cela beaucoup d'actions énergiques et d'hommes courageux, comme Matteo Salvini, pour briser le grand Tabou, et inverser le mouvement, en imposant la re-migration des populations déplacées chez nous, sans notre consentement, sans même que nous ayons été consultés...

  • Au cinéma, pour une chronique très ”politique” de notre ami Guilhem de Tarlé...

    1A.jpgA l’affiche : Tori et Lokita, , un film belge de Luc et Jean-Pierre Dardenne, Prix du 75ème Festival de Cannes, avec Pablo Schils et Joely Mbundu dans les rôles titre.

    Tori et Lokita... Je ne serais pas allé voir cette mise en scène de "mineurs isolés" siguilhem de tarlé.jpg des neveux ne m'y avaient pas engagé... Et je ne le regrette pas, et je les en remercie.
    Ce n'était certainement pas la volonté des réalisateurs mais ce film, destiné à faire pleurer Margot. s'avère en fait un témoignage et, partant, un réquisitoire implacable contre les immigrationnistes de toute obédience, Politiciens, églises, associations, ONG, et les médias laquais qui les servent.
    L'histoire dramatique de Tori et Lokita, c'est la responsabilité et la culpabilité première des élites « droit-de-l'hommistes », des "passeurs" en col blanc qui prétendent nous gouverner et nous font la morale à longueur d'antennes et de pellicules.
    Ceux-là même qui s'offusquent de se faire traiter de "lâches" et de "communautaristes" à l'Assemblée nationale, sont les véritables trafiquants de drogue et d'êtres humains, les esclavagistes et les assassins de Tori et Lokita. Pires que ce dont on les accuse, ils sont des criminels passibles à tout le moins de l'indignité nationale si ce n'est de Haute trahison.

    Merci à Luc et Jean-Pierre Dardenne, avec ce conte « de téléfilm », aux quelques invraisemblances, Merci d'ouvrir leurs propres yeux et de nous ouvrir les nôtres.

  • Au Cinéma : The Whale, par Guilhem de Tarlé

    The Whale - film 2022 - AlloCiné

     

    A l’affiche : The Whale,  un film américain de Darren Aronofsky,  avec Brendan Fraser (Charlie, professeur d’anglais), Sadie Sink (Ellie, sa fille), Ty Simpkins (Thomas, évangéliste de la New Eglise), Hong Chau (Liz, la sœur du compagnon de Charlie), d’après la pièce éponyme de Samuel D. Hunter (2012).

    Si nous avions compris à la lecture du synopsis qu’il s’agissait de l’histoire d’un homme devenu boulimique après le suicide de son « compagnon », nous ne serions certainement pas allés voir ce long-métrage car nous en avons marre de cette banalisation des paires homosexuelles… Oui, ça a toujours existé, mais ce n’est pas une raison pour en faire la promotion ni pour glorifier ceux que l’on doit plaindre…

    Comme par hasard c’est la secte, évidemment chrétienne, qui est responsable et coupable du suicide !

    Charlie ne cesse de dire et répéter, à propos de tout, qu’il est « désolé »… eh bien oui !  nous aussi nous sommes « désolés » d’avoir dépensé temps et argent devant cette « baleine » dont nous aurions pu user plus intelligemment, par exemple en lisant ou relisant Moby Dick d’Herman Melville auquel ce film se réfère de façon très artificielle.

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  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (97), 1515 : De la guerre à la ”Paix perpétuelle”...

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre VIII, François 1er et Henri II : La France échappe à l'hégémonie de l'empire germanique :

    "...À la veille de la mort de Louis XII, on s'apprêtait à reconquérir le Milanais. François 1er, prudent malgré sa jeunesse et son désir de briller, s'assura qu'il n'y aurait pas, cette fois, de coalition à craindre et franchit les Alpes hardiment.
    Il ne tarda pas à rencontrer les Suisses qui étaient là comme en pays conquis. Curieuse histoire que celle de ces cantons, qui, enivrés de leurs victoires pour la liberté, avaient pris goût à la guerre et, d'opprimés, étaient devenus oppresseurs.
    Histoire qui s'est répétée vingt fois, qui a été celle de presque tous les peuples affranchis.

    Les Suisses étaient de rudes soldats et François 1er put être fier de les avoir mis en fuite à Marignan après une bataille de deux jours. Il y gagna Milan et une réconciliation avec le pape : le premier Concordat, qui durera jusqu'à la Révolution, date de là. Il y gagna aussi l'estime de ceux qu'il avait battus. Une paix perpétuelle fut signée à Fribourg avec les cantons suisses : de part et d'autre, exemple presque unique dans l'histoire, le pacte a été observé..."

    C'est en vertu de cette "Paix Perpétuelle", conclue entre les Suisses et François Premier, le 29 novembre 1516 (Paix de Fribourg), que des contingents suisses furent recrutés en permanence par la monarchie française.
    Cette Paix ne sera rompue qu'à la Révolution, et du fait de la folie sanguinaire des révolutionnaires (massacre des Suisses en 1792, invasion du territoire helvétique en 1798...).
    En trois siècles et demi, un million de Suisses serviront la France, et la Monarchie, dont 600.000 périront au combat ou des suites de leurs blessures.
    Parmi les différents régiments, celui des Gardes Suisses était un régiment d’élite, devenu permanent en 1616.
    Formé de soldats de grande taille, triés sur le volet, il fut chargé jusqu’à la fin de l’Ancien Régime d’une triple mission :
    * garde et service d’honneur auprès du Roi, à l’extérieur des châteaux royaux avec le régiment homologue des Gardes Françaises;
    * maintien de l’ordre à Paris et en Île de France;
    * participation à la guerre en première ligne, comme les Gardes Françaises, pour une partie, au moins, du régiment.

    Jusqu’en 1755, il n’y eut pas de casernes pour ces soldats en région parisienne : ils étaient logés chez l’habitant.
    Il y eut une Compagnie à Rueil, et d'autres à Vanves, Issy, Colombes, Argenteuil, Saint Denis…
    L’arrivée des Gardes Suisses à Rueil s’est faite dès le début de la création du régiment et leur présence a été constante jusqu’au drame du 10 août 1792 (leur massacre aux Tuileries).
    Deux cents militaires cohabitèrent ainsi pendant plus d’un siècle avec la population du village de Rueil, estimée à 1300 habitants vers 1700.
    Puis, en 1755, selon la volonté de Louis XV, trois casernes identiques furent construites, à Rueil, Courbevoie et Saint Denis. Elles reçurent chacune, au minimum, un bataillon de gardes.

    Ce sont ces soldats qui tomberont devant les Tuileries, puis qui seront massacrés, pour les survivants, par une foule hystérique, après que Louis XVI leur ait ordonné de déposer leurs armes...
    A Lucerne, en Suisse alémanique, un monument a été élevé, en 1821, en souvenir de ces Gardes Suisses morts aux Tuileries, au service du roi Louis XVI, ou assassinés dans les rues : encastré dans la roche, un lion couché, blessé à mort (une flèche est tanquée dans son flanc gauche, qui nous fait face). Ses traits sont marqués par la douleur, une douleur à la fois physique et morale. Au creux de sa patte droite, il serre une fleur de lys, symbole de la monarchie française.
    Une inscription : "A la foi et au courage des Helvètes qui, pour ne pas trahir le serment, tombèrent en combattant avec la plus grande bravoure" (Helvetiorum fidei ac virtuti, qui, ne sacramenti fallerent fidem, fortissimi pugnantes ceciderunt)

    C'est une très belle sculpture, le lion semble presque vivant et mourant sous nos yeux. C'est de lui que parlait l'écrivain américain Mark Twain, disant que c'était le «morceau de pierre le plus triste et le plus émouvant du monde».
    Au moins, certains Suisses moururent-ils au combat, face au soleil. L'assassinat ignominieux de leurs camarades constitue l'une des infamies les plus sordides et les plus ignobles de cette Révolution, qui n'en manque pas.
    On ne peut qu'évoquer à ce propos le mot de Chateaubriand :
    "Il y a des temps où l'on ne doit dispenser le mépris qu'avec économie, vu le grand nombre de nécessiteux..."

    Le Musée Franco-Suisse de Rueil Malmaison, dans l'ancien poste de garde de la caserne des Suisses, perpétue le souvenir de cette grandiose amitié de deux siècles et demi, stupidement et sauvagement rompue par une Révolution idéologique, matrice des Totalitarismes modernes...

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : 

    L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Dans notre Éphéméride de ce jour (1/2): Fernand Braudel, démolisseur du mensonge ”France, terre d'immigration...”

    1902 : Naissance de Fernand Braudel

     

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    http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/fernand-braudel

     

    Fernand Braudel n'est pas seulement le grand historien qui a popularisé le concept du "temps long", de la "longue durée", celui qui a voulu étudier l'Histoire en la resituant dans ses multiples contextes : géographiques, économiques etc...

    Il est aussi celui qui a remis les idées à l'endroit en ce qui concerne les migrations. Celui qui a rappelé que - en ce qui concerne la France - ces migrations/invasions ne concernaient que quelques dizaines de milliers d’hommes, voire quelques milliers pour ce qui est des Normands,  alors que  la Gaule gallo-romaine était peuplée de 10 millions de Gaulois, soit 1/6 de l’empire romain, alors que la France compte 10 millions d’habitants vers le XIIème siècle, 20 millions sous Louis XIV et près de 30 millions au début de la Révolution.

    D’un poin24 aout,simone weil,bombe h,fangataufa,saint barthelemy,henri iv,charles ix,louis xvi,henri vt de vue génétique les apports des peuples germaniques, des Normands et des pillards Sarrazins et Maures au Moyen Age et Barbaresques, du XVème siècle à juillet 1830 et autres "migrants" et envahisseurs ont été démographiquement  infimes, au total, et sur 15 siècles, de l’ordre de 4 ou 5  % .

    Fernand Braudel, dans L’identité de la France, souligne - tout comme Pierre Chaunu... - que, jusqu’au XIXème siècle,  la population de la France était  à plus de 90 %  héritière des gènes des gallo-romains.

    "La France terre d’immigration..." est une légende (une sorte de "roman historique de gauche et anti-français")  colportée dans la bobosphère des journaleux/show-bizeux/cultureux parisianistes, faux historiens mais vrais pseudo – intellectuels

  • Au cinéma : Le colibri, par Guilhem de Tarlé

    Le Colibri - film 2022 - AlloCiné

     

    A l’affiche :  Le Colibri, un film italien (VOSTF) de Francesca Archibugi, avec Pierfrancesco Favino (dans le rôle-titre, le Docteur Marco Carrera),  Bérénice Bejo (Luisa Lattes), Nanni Moretti (le psychanalyste Daniele Carradori), et Kasia Smutniak (Marina Molitor, l’épouse du Colibri), d’après le roman éponyme de Sandro Veronesi.

    Le Colibri… Je n’ai pas lu le roman et ne sais donc rien de ce qu’a voulu raconter Sandro Veronesi, de même que je m’interroge sur le scénario de Francesca Archibugi dont je dénonce la fin qui relève de la promotion de l’euthanasie ou du suicide assisté !

    Dommage car on pourrait peut-être parler d’un bon film, en tout cas un long-métrage (2h06) au cours duquel on ne s’ennuie pas même si, finalement, je ne comprends rien à ces différentes histoires qui s’entrecroisent avec des va-et-vient incessants dans le passé…

    Un amour de jeunesse « non consommé », une épouse infidèle qui reproche à son mari de croire à ses mensonges, une fille qui se tue en laissant un enfant métis (pour cocher la case), et enfin cette référence au colibri que le réalisateur est obligé d’expliquer par deux fois… parce qu’il est petit… et Luisa Lattes de surenchérir : « tu es vraiment un colibri, tu dépenses toute ton énergie à rester au même endroit ».

    Trop d’intrigues tue l’intrigue, et le spectateur se perd qui peut seulement se laisser prendre au très bon jeu de Pierfrancesco Favino… et charmer, une fois de plus, par la très jolie Bérénice Béjo.

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  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (14)

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    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : le déficit des Finances sous Louis XVI ?...

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    À l'époque, pas si lointaine finalement, ou nous avions - pour reprendre l'excellente formule de Pierre Gaxotte - "L'État pauvre dans le pays riche", aura-t-on assez daubé sur la crise financière persistante de la monarchie, et la nécessité urgente qu'il y avait d'agir pour changer les choses ?


    "Il était question, pour la foule, de combler un déficit que le moindre banquier aujourd'hui se chargerait de faire disparaître.
    Un remède si violent, appliqué à un mal si léger, prouve qu'on était emporté vers des régions politiques inconnues.
    Pour l'année 1786, seule année dont l'état financier soit avéré, la recette était de 412.924.000 livres, la dépense de 593.542.000 livres; déficit 180.618.000 livres, réduit à 140 millions, par 40.618.000 livres d'économie...."

    (Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, tome 1, page 149)


    À comparer avec les chiffres de nos déficits d'aujourd'hui !...