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  • Du déni de réalité

     

    par Jean-Louis Faure* 

    On apprend qu’il existe un ministre de la ville nommé Patrick Kanner

    Il vient de déclarer à une feuille de chou régionale : « une centaine de quartiers en France présentent des similitudes potentielles avec Molenbeek ». Hurlements de ce que Charles GAVE appelle joliment « la classe jacassière ». Kanner ne dit rien d’autre que ce que chacun de nous observe d’une communauté qui n’a nulle intention de s’assimiler, en croissance rapide où l’endogamie est la règle.
     
    Le Cambadélis de Solferino y est allé de sa dialectique trotskyste, soixantehuitarde enfumée. Et la totalité du Système politicard est au diapason. Du déni de réalité.
     
    Je suis surpris d’entendre de plus en plus souvent désormais, dans la bouche de gens que je tiens pour raisonnables - professions libérales éduquées et aisées - que la seule solution pour en sortir est une guerre civile … A noter. 
     
    * Reçu dans les commentaires

     

  • Hier, dans toute la France, se souvenir de Louis XVI, c’était faire un acte de résistance citoyenne ...

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     "Se souvenir de Louis XVI, c’est faire un acte de résistance citoyenne capital, en ces temps d’oubli, puisqu’il s’agit de marquer un refus, celui de l’amnésie. Il s’agit de rétablir un fil faussement tranché dans l’esprit général, et de montrer à tous l’unité de l’histoire de la nation française."

    Ces lignes sont  extraites du texte de Gabriel Privat "Pourquoi se souvenir de la mort de Louis XVI ?" que nous avons publié hier.

    Des dizaines de messes, à Paris, autour du comte de Paris, dans toutes les grandes villes de France, et dans de nombreuses autres, mais aussi des rencontres, des conférences, des colloques se sont tenus. Nous en avons diffusé, ces jours derniers, la très longue liste.

    Nous en rendrons compte dans les jours qui viennent.  

     

  • 18 au 20 août 1914 ... Angoisse. On se bat depuis Bâle jusqu'aux portes de Bruxelles...

    photographie-couleur-paris-1914.jpgAngoisse. On se bat depuis Bâle jusqu'aux portes de Bruxelles... Paris est grave, sans fanfaronnades. La légère griserie des débuts, lorsqu'on a appris nos succès d'Alsace, n'a pas duré et c'est heureux. On se rend compte du caractère formidable de la lutte qu'il faudra soutenir contre un empire de 65 millions d'habitants qui est devenu, sous la direction de la Prusse, une immense machine de guerre.

    On devine qu'entre Namur et Liège, l'Allemagne se prépare à un immense effort pour envahir la France, l'inonder de deux millions d'hommes. Paris retient son souffle en attendant l'issue de cette lutte gigantesque. C'est un moment historique pareil à celui qu'a connu Athènes menacée par les armées de Xerxès. L'œil en caresse avec plus d'amour le paysage, les monuments parisiens qui, dans la solitude et le silence de la ville, revêtent une grandeur nouvelle.  

     

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  • 15 Décembre 1964 ... A Laon, dans la cathédrale, on a joué du Parsifal

    800px-Autel_vitraux_cathédrale_Laon_1.jpgDe très vagues nouvelles arrivent de temps à autre des régions envahies : toute une région de la France est comme plongée dans le silence et les ténèbres. Les Allemands se sont installés dans beaucoup de villes, Saint-Quentin, Douai, Valenciennes, Cambrai, Mézières etc... Ils administrent, se conduisent comme chez eux. Quand cette situation-là se prolonge, elle s'appelle l'annexion. A Charleville, il y a deux cafés : un pour les officiers allemands, l'autre pour la population indigène : c'est convenu ainsi, ce sont des habitudes déjà prises. A Laon, il y a eu dans la cathédrale une grande fête de musique religieuse, programme tout national (on y a joué du Parsifal), orgues tenues par un célèbre Kapelmeisdter de Berlin. A Péronne, en l'absence des autorités civiles, les Allemands ont nommé l'archiprêtre maire, c'est-à-dire « bourgmestre ».

    Comme compensation, nous occupons tout le district alsacien de Thann, et l'on affirme que deux des forts de Metz sont déjà canonnés par notre artillerie.   

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  • Le prince Jean nommé président d’honneur du club de foot US de Dreux ”les Monarchs”

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    Vendredi 31 octobre, le Prince Jean de France qui vit depuis 2011 avec sa famille au sein du Domaine royal de Dreux, a été nommé Président d'Honneur du Club de foot US de la ville de Dreux. Passionné par les États-Unis, le Prince Jean de France a découvert voici un mois qu'un club de football américain existait à Dreux. « J'ai vu une affiche, le sport et le nom du club m'ont interpellé. » 

    C'est Mourad Souni, conseiller municipal chargé des sports, qui l'a mis en contact avec le club des Monarchs et son président Mickaël Véry. Le courant est aussitôt passé entre les deux hommes grâce à leur passion commune pour le foot américain. Et logiquement, le prince Jean vient d'être nommé président d'honneur du club. Il sera dès la semaine prochaine au bord du terrain pour soutenir les Monarchs. ♦  

    Voir l'article complet de l'Echo Republicain 

    Source : la-couronne- L'écho Républicain

     

  • HISTOIRE • Visite du MuséoParc d’Alésia : une émissin de TV Libertés, dans la série Héros de Jeunesse

     

    Ce dimanche peut-être est un excellent moment pour visiter, grâce à TV Libertés, le MuséoParc d'Alésia. (18' 10''). 

    Cette visite s'effectue dans le cadre de l'émission Héros de jeunesse présentée par Anne-Laure Blanc.

    Après un entretien avec Laurent de Froberville, directeur du MuséoParc d’Alésia, l’émission présente ce centre d’interprétation. L’historien Vincent Badré explique les enjeux de la bataille d’Alésia.

    Elle fait découvrir une reconstitution de combat côté gaulois avant de visiter l’exposition « Astérix à Alésia ».

    Enfin, sur l’oppidum lui-même, l'émission évoque Vercingétorix et donne un intéressant aperçu des ruines de la ville gallo-romaine.  •  

     

     

     TV Libertés

     

  • Société • Pas de crèche dans les mairies mais avec Najat Vallaud Belkacem on y fête le nouvel an berbère

     

    Les crèches ne seraient pas à leur place dans les mairies; le sapin suffit largement. Laïcité oblige. Mais ...  

    Pas de crêches donc, à Noël, mais, avec Najat Vallaud Belkacem, on fête le nouvel an berbère en mairie. Et pour ce faire, on ouvre l'hôtel de ville de Paris et la mairie de Lyon. En soi, la chose pourrait être compréhensible, voire acceptable, s'il n'était pas fait preuve envers les traditions ancestrales de notre pays, notamment celles liées à la religion catholique, d'ostracisme actif et d'un sectarisme particulièrement agressif et exclusif ...

    la vidéo dure 1 mn, tout est dit à 0 mn 40...  Et c'est assez étonnant.  LFAR 

     

     

  • Photographie la plus marquante de la semaine selon le Figaro Magazine : La Messe de Notre-Dame ...

    Dans la cathédrale Notre-Dame, les responsables politiques se sont rassemblés le 27 juillet pour assister à la messe en hommage au prêtre Jacques Hamel, assassiné à Saint-Etienne du Rouvray. Le président de la République, le premier ministre, les présidents de l'Assemblée et du Sénat, les chefs de parti, et 2000 personnes, croyantes ou non, ont tenu à être présents. - Crédits photo : Benoit Tessier/AFP

     

    Tous sont là, en effet, francs-macs ou ex-francs-macs, israélites et musulmans, nationaux et binationaux, athées, anticléricaux farouches et quelques chrétiens, voire quelques catholiques : la France légale, au premiers rangs de l'assistance et le peuple de Paris, rassemblés autour du cardinal-archevêque de la ville, dans cette cathédrale Notre-Dame vers laquelle on s'est porté tant de fois, depuis huit ou dix siècles, dans les grands moments de joie ou de malheur national. Etrange spectacle; étrange coexistence de quelques moments entre, volens nolens, l'anti France, et, par delà, malgré tout, la France.  Lafautearousseau  •  

     

  • Famille de France • La duchesse de Vendôme mise à l’honneur par l’Echo Républicain ... Nos félicitations !

     

    A l’occasion de la journée de la Femme, le journal l’Echo Républicain a mise à l’honneur des femmes du département de l’Eure-et-Loir. Parmi celles-ci on retrouve la Princesse Philoména qui réside avec son époux le Duc de Vendôme au Domaine Royal de Dreux depuis 5 ans. La Princesse, particulièrement sympathique, est appréciée par la population locale très heureuse de voir le Domaine Royal revivre depuis l’installation définitive du Prince Jean et de sa famille.

     

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    Dans son édition du 8 mars, l’Echo Républicain décrit la Princesse en ces termes « Elle est une Drouaise parmi les autres, buvant parfois un chocolat chaud dans un des jolis cafés du centre ville avec Gaston et Antoinette, les deux plus grands. Cette maman enjouée de trois enfants, bientôt quatre, et attentive n’est autre que Philoména, épouse du Prince Jean de France, héritier du trône. Le couple princier a décidé de s’installer à Dreux, sur les terres des Orléans, une manière d’enraciner leur famille dans ce lieu voulu par Louis-Philippe, tout en vivant comme de simples Drouais. » 

    Sources :

    www.lechorepublicain.fr

    Noblesse & Royautés

  • Entretenir la flamme

     

    par Louis-Joseph Delanglade

     

    logo lundis.jpgTapis rouge pour Mme Hidalgo à son retour de Lima où Paris a été désigné officiellement « ville hôte » des J.O. de 2024.

    Accueil d’un triomphalisme déplacé quand on sait que le choix de Paris est le résultat, connu d’avance, de tractations avec l’autre ville candidate, Los Angeles, laquelle aura aussi « ses » J.O. en 2028 et, mieux, touchera une rallonge de deux milliards de dollars : tractations sous l’égide du Comité international olympique et avec sa bénédiction. Mme le maire de Paris, qui n’a pas hésité à se déconsidérer à Lima en surjouant son rôle, offre sa première médaille à la France, médaille d’or du ridicule. 

    Il n’empêche, diront certains, les J.O. peuvent rapporter gros. Sur l’aspect purement comptable, le scepticisme est de rigueur, le coût global réel des jeux ayant une fâcheuse tendance à augmenter, si ce n’est à exploser, par rapport aux prévisions - à preuve les exemples plus ou moins récents et inquiétants de Montréal (1976), Athènes (2004) ou Rio (2016). Quant au bénéfice pour l’image de la ville organisatrice, il est surtout intéressant dans le cas où il permet à celle-ci de franchir un palier, comme ce fut le cas pour Barcelone qui, en 1992, s’est muée de capitale régionale espagnole en métropole européenne ouverte sur la Méditerranée : Paris est déjà, pour le meilleur et pour le pire, une ville-monde. 

    On se demandera donc pourquoi des gens qui sont, ou ont été, « aux responsabilités » nous ont fait le coup de l’émerveillement puéril dès la proclamation du « résultat ».  MM. Sarkozy, Hollande et Macron auraient pu se dispenser de donner conjointement et très rapidement une caution toute politicienne à la chose, le bon peuple n’ayant qu’à suivre. Et c’est ce qu’il fait, si l’on en croit les apparences, d’autant que de nombreux journalistes et sportifs (eux, on ne peut que les comprendre) se chargent à qui mieux mieux d’entretenir la flamme chez tous ces anonymes pour qui les J.O. de 2024 doivent forcément constituer un événement extra-ordinaire. Comme il est écrit dans Le Monde (14 septembre) : « Journalistes forcément “contents“ et population forcément enthousiaste ». 

    Pourtant, c’est un fait, les Jeux Olympiques « modernes » ont perdu leur âme en devenant, olympiade après olympiade, un événement où prime désormais l’extra-sportif, à l’identique de ce qui se passe dans les disciplines sportives les plus populaires et les plus médiatisées, disciplines gangrenées par l’argent, le dopage et le chauvinisme le plus primaire. Les exemples sont tellement nombreux qu’on en a la nausée : sommes astronomiques dépensées pour acheter et rémunérer des « joueurs » devenus des mercenaires-esclaves, présence avérée du dopage dans la quasi totalité des spécialités et à tous les niveaux, violence verbale et physique allant jusqu’à des affrontements meurtriers sur les terrains et dans les tribunes. 

    Il est bien qu’en de certaines occasions, notamment quand l’existence même du pays est menacée, une sorte d’union sacrée puisse transcender les divisions et exalter la population. Mais existe aussi, dangereux, un unanimisme de façade, aux relents idéologiques, auquel on voudrait nous faire croire - tels le multiculturalisme de la « France black-blanc-beur » de 1998 ou les manifestations compassionnelles de « Je suis Charlie ». C’est à celui-là que nous fait penser l’enthousiasme olympique de commande. Alors, entretenir avec Mme Hidalgo, ou même avec M. Macron la flamme d’un olympisme déjà mort, au nom d’on ne sait quelle arrière-pensée ? Non, merci et, à tout le moins, méfiance.  

  • 8 Novembre 1914 ... « Le désordre et l'incapacité règnent partout. Que de comptes il y aura à régler plus tard !»

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    Etat d'esprit. Je coupe ceci dans la lettre d'un ancien député radical-socialiste, maire de sa ville située dans la zone envahie : « Je suis furieux contre tout le monde, aussi bien contre le gouvernement français que contre l'Allemagne (sic). Le désordre et l'incapacité règnent partout. Que de comptes il y aura à régler plus tard !» 

    Le service de santé, en particulier, était dans un état d'inorganisation, ou plutôt d'inexistence lamentable. A Tours, en apprenant la déclaration du guerre, le directeur s'est suicidé. A l'hôpital Bégin, à Vincennes, il n'y avait rien, ni pansements, ni le reste. «Comment ferez-vous ?» - demandait quelqu'un aux majors. Réponse : « Il y aura tant de blessés pour le peu de lits, de chirurgiens et de médicaments que nous avons, qu'on ne les ramassera même pas.» En effet, le jeune F... qui, en septembre, à la bataille de la Marne, avait reçu un éclat d'obus dans la cuisse, est resté quatre jours sans soins et est mort d'une blessure sans réelle gravité. 

      

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  • Communiqué de presse de l'Action française Bordeaux : Nos libertés d'abord !

    Selon la regrettable tradition républicaine, une tradition toutefois récente, les élections municipales seront encore placées sous le signe des luttes partisanes et nationales.

    Depuis plusieurs années, un processus de gentrification s'est accéléré à Bordeaux, transformant peu à peu la Belle Endormie en un 21ème arrondissement parisien.

    En outre, a l'instar des autres métropoles, Bordeaux est touchée par l'insécurité, comme en témoigne le meurtre commis en plein centre-ville, place Saint-Projet, cet automne.

    Parmi les neuf listes, plusieurs propositions méritent d'être soutenues et développées. Nous retenons ces trois grands axes : la démétropolisation dans une logique localiste ; le recours au référendum d'initiative locale ; le soutien des résidents, des artisans et des commerçants de l'hyper-centre.

    Nous appelons donc à soutenir les deux listes suivantes : le réveil bordelais et le temps des Bordelais.

    Alors que notre pays est secoué depuis plus d'un an par un mouvement social de grande envergure et décentralisateur, il est plus que temps de revoir à la hausse les moyens d'action et les responsabilités des municipalités. Seul un pouvoir qui saura garder « l'ordre en haut et les libertés en bas », permettra d'obtenir cet équilibre.

    La section bordelaise de l'Action française

  • En réponse au commentaire de Catoneo : Martigues/Maison de Maurras, LE COMBAT CONTINUE !

    Hélas, Catoneo, nous avons appris comme vous, à la même heure, le résultat consternant de l'élection municipale à Martigues (et à Roquevaire).

    Tant pis !

    Cela ne change rien à  notre combat pour sauver le très beau monument qu'est la Bastide de Charles Maurras au Chemin de Paradis, ainsi que son Jardin, l'une et l'autre étant scandaleusement et d'une façon insensée - preuve d'une mauvaise gestion de la Ville - laissées à l'abandon depuis des années : abandon complet pour la maison, quasi complet pour le jardin, simplement nettoyé "a minima"...

    Ce combat consistera, entre autre, à rappeler sans cesse à la très riche Mairie de Martigues qu'elle a promis, par un vote assez récent, 850.000 euros pour la restauration de cette Bastide. Qu'elle les mette donc sur la table ! En sachant bien que, sur un monument de ces dimensions, classé pour sa façade et sa toiture, on ne fait pas grand chose avec huit cent mille euros : l'incurie, la mauvaise gestion, le sectarisme insensé de la Mairie risquent fort de lui faire ajouter pas mal d'euros à ceux déjà promis !

     

  • A la découverte de l'homme Maurras : sur le Mur des Fastes, Malherbe blessé devant Martigues...(X/XIX)

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui  : sur le Mur des Fastes, Malherbe blessé devant Martigues...(X/XIX)

    "...le grand Malherbe fut blessé au siège qu'il avait mis devant Martigues..."

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    Si tout le monde connaît le Malherbe poète ("Enfin, Malherbe vint !..." dit Boileau...), certains ignorent que, s'étant attaché à Henri d'Angoulême, fils naturel d’Henri II, il s'est aussi battu, dans les rangs de la Ligue, et qu'il a passé une bonne partie de sa vie en Provence, fixant sa résidence à Aix.


    Dans Les secrets du soleil ("à Pierre Varillon"), Maurras en dit un peu plus sur l'épisode qu'il évoque dans son "Mur des Fastes", et l'arquebusade qui blessa bel et bien, quoi qu'il en ait dit, le grand poète :

    "...Le XVIème siècle s'étant achevé en combats, ces joyeux « bragards » ne s'y étaient pas montrés méprisables ; avec ma chère petite ville originelle de Roquevaire et la tour de Toulon, Martigues fut des trois places de Provence qui résistèrent aux Impériaux de l’amiral Doria. Pendant les guerres de religion, la ville à peine réunie s'était de nouveau subdivisée et nos quartiers se partageaient entre les deux cultes, puis entre le Roi et la Ligue. Bataille, siège, assaut, reprises, trahisons, massacre, épidémie, toutes les misères !


    On connaît sur ce point un trait assez bien inventé :

    Autrefois à Racan, Malherbe l'a conté...

    Cette gasconnade du grand Normand est recueillie dans la Vie de Malherbe :
    « Il m'a encore dit plusieurs fois, écrit le disciple fidèle, qu'étant habitué à Aix depuis la mort de M. le grand prieur, son maître, il fut commandé de deux cents hommes de pied devant la ville de Martigues qui était infectée de contagion et que les Espagnols assiégeaient par mer et les Provençaux par terre, pour empêcher qu'ils ne communiquassent le mauvais air, et qui la tinrent assiégée par ligne de communications si étroitement qu'ils réduisirent le dernier vivant à mettre le drapeau noir sur la ville avant que de lever le siège. »

    Le dernier vivant ! Presque aussi grand fanfaron que puissant poète, Malherbe faisait subir à nos bons aïeux le même sort qu'à ces deux moitiés de Ronsard qu'il ratura successivement un jour d'humeur et qui ne s'en portent pas plus mal. Mais les survivants de la peste et du siège durent rire de ce massacre digne de l'Ajax furieux. Car une de leurs arquebuses l'avait blessé autrement qu'en pensée ou figure de rhétorique.

    C'est l'ère qui suivit cette vengeance malherbienne où, très exactement, doit se placer notre âge d'or. Pareils en cela à beaucoup d'autres Français, notre grande prospérité est marquée à ce chiffre du XVIIe siècle. Le retour de la paix civile fit affluer les autres biens. Dès la première moitié du règne de Louis XIV, l'essor avait été si vif que la population s'était élevée à seize mille âmes...."

    lafautearousseau

  • Famille de France • Le prince Jean de France a reçu les membres du « Lions Club Dreux Cité Royale »

     

    Son Altesse Royale, le Duc de Vendôme, a reçu au Domaine royal de Dreux, les membres du « Lions Club Dreux Cité Royale », à l’occasion du centième anniversaire de la création de leur mouvement.

    Après une visite de la Chapelle Royale, commentée par le prince, Son Altesse Royale, le Duc de Vendôme les a reçus dans la salle Henri VI, pour une soirée conviviale durant laquelle les membres du Lions Club Dreux Cité Royale ont remis un chèque de 16.500 € à Dominique Bayle et Anaïs Garnier-Hue, de l’association « Petits Princes », récoltés à l’occasion du dernier Rétrosport. Créee en 1987 à Paris, l’Association Petits Princes est une association à but non lucratif qui s'est donné pour but de réaliser les rêves d’enfants et adolescents malades atteints de cancers, leucémies et certaines maladies génétiques.

    (Photo et source : M Ta Ville)

    La Couronne