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  • Le caméléon Macron, par Natacha Polony.

    Au moment d’arbitrer, quelle est la couleur du caméléon ?

    Cette semaine, Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", questionne la conversion idéologique d'Emmanuel Macron et la plasticité dont il a fait montre sur certains sujets ces derniers mois. "Quand la technostructure et les lobbys pèsent de tout leur poids pour perpétuer le système – ce pour quoi ils ont soutenu Emmanuel Macron en 2017 –, qui l’emporte ?"

    Il y eut Saül, soldat romain tombant de son cheval en un éblouissement sur le chemin de Damas et se convertissant au christianisme sous le nom de Paul. Et puis il y a Emmanuel Macron. Et le moins qu’on puisse dire est que la conversion est tout aussi spectaculaire. À ceci près que saint Paul a finalement modelé le christianisme alors que nul ne peut savoir si le Macron nouveau durera plus d’une saison.

    Dans un très long entretien donné à la revue le Grand Continent Emmanuel Macron embrasse l’ensemble des sujets essentiels pour dessiner une vision de la place de la France dans le chaos du monde et des enjeux pour les générations à venir. Il y est question, bien sûr, des tensions internationales qui ont fait de la France une cible et le prétexte, pour nombre de dirigeants, d’une guerre d’influence pour apparaître comme le premier défenseur des musulmans, mais aussi des rapports entre l’Afrique et l’Europe, de l’impérialisme américain, de la stratégie à adopter vis-à-vis de la Turquie ou de la Russie, de la relance du multilatéralisme, du défi écologique, de la nature du capitalisme, des dégâts de la mondialisation et des valeurs fondatrices de la civilisation européenne. Vaste programme.

    Mue

    Sur tous ces points, ou presque, la mue est étonnante. Heureusement pour lui, plus personne ne se souvient de ce que fut la campagne présidentielle du candidat Macron, encore moins la politique menée par le secrétaire général adjoint de l’Élysée ou le ministre de l’Économie. Ceux qui ont alors applaudi le techno-libéral adepte des poncifs modernistes du langage managérial et des dérégulations censées permettre la « destruction créatrice » théorisée par Schumpeter et rêvée par des élites hors-sol continueront donc à le trouver génial alors qu’il défend désormais le contraire absolu.

     

    Ceux qui traquaient avec lui les « déclinistes », coupables d’alerter sur la destruction des classes moyennes occidentales par le libre-échange et la division mondiale du travail, ceux qui voyaient un adepte de Poutine dans quiconque alertait sur le tropisme atlantiste des élites européennes ou sur le dépeçage d’Alstom (avec la bénédiction du ministre de l’Économie de l’époque) ou ceux qui se satisfaisaient que ledit ministre ne se donne même pas la peine d’examiner une seconde les enjeux écologiques derrière les demandes des multinationales pour exploiter le sous-sol ou arroser les sols de pesticides feront comme si de rien n’était et continueront à montrer du doigt les dangereux « souverainistes », parmi lesquels on compte donc désormais le président de la République.

    Constater que l’extraterritorialité de droit américain a coûté à la France et à l’Europe des fleurons industriels et qu’elle est l’arme d’une guerre commerciale impitoyable enclenchée non par Donald Trump mais par les démocrates, déplorer la posture de certains pays européens qui soutiennent aussi peu la France sur sa volonté de construire une Europe indépendante que sur sa défense de la liberté contre l’obscurantisme, rappeler que la simple observation géographique fait apparaître les intérêts divergents des États-Unis et de l’Europe au Proche-Orient comme en Afrique, et tenter de dessiner une politique de coopération avec cette dernière pour désamorcer la bombe démographique, voilà autant de points sur lesquels Emmanuel Macron esquisse une doctrine lucide et raisonnable.

    Au moment d’arbitrer, quelle est la couleur du caméléon ?

    Évidemment, celui qui s’est coulé dans le moule de la technostructure pour faire carrière ne peut pas totalement se dédire, mais il va tout de même jusqu’à tempérer son concept si vague de « souveraineté européenne » pour énoncer la seule chose tangible : la nécessite d’une indépendance stratégique de l’Europe. Certains pourront ironiser sur son indéfectible foi en une Angela Merkel qui a pourtant martelé – et démontré en actes – que l’Allemagne choisirait toujours les États-Unis et l’Otan (et son propre intérêt) contre l’UE et la France, d’autres regretteront l’incapacité du président à nouer des alliances avec ces pays du sud de l’Europe indispensables pour sortir la France de l’isolement et mener à bien ses projets. Mais l’orientation est là. Et même la dimension de combat culturel.

    "Quand la technostructure et les lobbys pèsent de tout leur poids pour perpétuer le système – ce pour quoi ils ont soutenu Emmanuel Macron en 2017 –, qui l’emporte ?"

    On saura gré à Emmanuel Macron d’énoncer ce que ses prédécesseurs ont été incapables de mettre en avant et ce que nos partenaires européens oublient : il y a une vision européenne du monde et de l’être humain. Un modèle fondé sur la liberté individuelle par l’exercice de la raison, qui n’existe nulle part ailleurs sur la planète, et qui est attaqué de toute part, en une offensive à la fois culturelle et géostratégique. Dans ce combat non plus, les États-Unis ne sont pas nos amis. Et c’est en effet le combat d’une génération.

    Tout cela est fort bien. Une fois de plus, les mots sont là. Mais que penser de leur interprète ? Au moment d’arbitrer, quelle est la couleur du caméléon ? Quand la technostructure et les lobbys pèsent de tout leur poids pour perpétuer le système – ce pour quoi ils ont soutenu Emmanuel Macron en 2017 –, qui l’emporte ? La limite du discours d’Emmanuel Macron est sans doute à chercher dans sa façon de gouverner, dans son absence totale de réponse aux aspirations démocratiques. Qui gouverne sans les citoyens défend rarement leurs intérêts.

    Source : https://www.marianne.net/

  • Réunions non mixtes : sortir du piège, par Natacha Polony.

    "Puisque le racisme est partout, puisqu’il est « systémique », toute personne de couleur est embrigadée de fait dans cette communauté des « racisés »."
    © Hannah Assouline 

    Il se trouvera des gens pour considérer qu'évoquer la polémique autour des réunions « en non-mixité » de l’Unef est bien la preuve d’une obsession malsaine et d’une volonté de cliver la société. C’est pourtant l’inverse qui pousse un hebdomadaire comme "Marianne" à traiter d’un tel sujet, dont nous estimons pourtant qu’il prend une place totalement délirante dans l’espace public.

    Car une telle hypertrophie révèle l’effacement progressif de la question sociale dans une part croissante du champ politique.

    Prenons un pari : alors que tout Marianne est consacré à des sujets économiques essentiels, comme l’indépendance industrielle de la France, la question de l’inflation ou l’éventuel retour d’une spéculation boursière comparable à celle des années 1920, il se trouvera des gens pour considérer que consacrer une page du journal à la polémique autour des réunions « en non-mixité » de l’Unef est bien la preuve d’une obsession malsaine et d’une volonté de cliver la société. C’est pourtant l’inverse qui pousse un hebdomadaire comme Marianne à traiter d’un tel sujet, dont nous estimons pourtant qu’il prend une place totalement délirante dans l’espace public. Car une telle hypertrophie révèle l’effacement progressif de la question sociale dans une part croissante du champ politique. Cette question sociale que le mouvement des « gilets jaunes » avait tout à coup remise sur le devant de la scène est à nouveau reléguée au profit des questions identitaires, qui ont l’avantage d’hystériser encore un peu plus le débat pour masquer le vide absolu de tous ceux qui ont renoncé à bousculer le système.

    Juste milieu et mise au ban de l'universalisme

    Quand Audrey Pulvar répond, sur BFMTV, à propos des réunions de l’Unef, que « si une personne, un homme ou une femme blanche se présente, on ne va pas le ou la jeter dehors, en revanche on peut lui demander de se taire », elle tente, de son point de vue, de définir une sorte de juste milieu. Dans la logique d’une partie de la gauche, face à des militants indigénistes radicaux, le juste milieu consiste à comprendre la nécessité de « groupes de parole » non mixtes organisés par un syndicat étudiant, mais de considérer qu’on ne doit pas en interdire l’entrée officiellement à une part de la population. Les réactions outrées d’une droite dont les arrière-pensées électoralistes n’auront échappé à personne n’aident évidemment pas à comprendre où se situe le problème. Mais, de toute évidence, une partie de la gauche, d’Audrey Pulvar à La France insoumise, qui, il y a encore deux ans, récusait ce genre de dispositif au nom de l’universalisme, estime désormais qu’un positionnement équilibré consisterait à en valider le principe tout en prévenant qu’il ne faut exclure personne…

    On a bien compris que le terme « racisé » voulait désigner l’expérience vécue par ceux qui, victimes de discriminations, sont ramenés à leur couleur de peau par le regard d’autrui. Et l’on a bien compris également que l’idée des réunions « en non-mixité » consiste à permettre à des gens partageant une même expérience de parler sans être réduits au silence par ceux qui pourraient nier leur expérience et, par là, leur statut de victime. Mais tel est bien le problème. Premier point, ce terme censé décrire un processus, une expérience sociale, devient dans la bouche de ceux qui l’utilisent une identité englobante. Puisque le racisme est partout, puisqu’il est « systémique », toute personne de couleur est embrigadée de fait dans cette communauté des « racisés ». Et quiconque tente de s’en extraire au nom de l’unicité de son expérience et au nom de la multiplicité de ses identités est immédiatement accusé de minimiser le racisme. Bref, « racisé » devient un équivalent de « non-Blanc », et donc une identité figée, une assignation, dans la bouche même de ceux qui l’emploient.

    Déconstruire ces évidences assénées à coups de références sociologiques

    D’autant que le racisme exercé par un non-Blanc n’est pas considéré comme du racisme puisque n’étant pas « systémique ». CQFD. Second point, le partage d’expériences dans un espace « sécurisé » – les groupes de parole – est une pratique qui relève de la psychologie et qui s’adresse à des victimes de traumatisme. Le transposer dans le champ du politique n’est pas neutre. La conséquence principale est de constituer l’individu comme victime, face à d’autres individus exclus car potentiellement bourreaux, quelle que soit leur expérience vécue. Il s’agit avant tout de refuser la confrontation avec une forme de contradiction, et donc de faire échapper la notion de « racisme systémique » à l’ordre du débat politique. Les victimes, entre elles, peuvent donc se conforter dans l’idée que ceux qui ne sont pas admis dans cette réunion font partie des bourreaux.

    Déconstruire ces évidences assénées à coups de références sociologiques prend du temps et nécessite de poser les termes de la discussion sans postuler que l’autre est un raciste, un racialiste, un indigéniste, ou quelque autre nom d’oiseau. Ce qui devrait nous inquiéter sérieusement est de voir un syndicat étudiant réduire peu à peu son champ d’action à la « lutte contre toutes les discriminations », quand son rôle politique devrait être de s’inquiéter de l’état dramatique de l’enseignement universitaire en France, miné par les inégalités et le décrochage de masse, de s’alarmer de la proportion de jeunes gens titulaires de diplômes sans aucun débouché, d’exiger des politiques une remise à plat d’un système en bout de course. Tout simplement parce que c’est la promesse républicaine qui sombre dans ce naufrage. Et ce qui est vrai pour l’Unef l’est pour toutes ces organisations syndicales et politiques dont on comprend qu’il leur est plus facile de manier des concepts flous et de se constituer en association de victimes que d’analyser un système économique et de porter les revendications de citoyens libres.

    Source : https://www.marianne.net/

  • Faire sortir les élections du brouillard !, par Christian, Vanneste.

    Les élections régionales puis l’élection présidentielle émergent du brouillard covidien. Malheureusement, celui-ci en se dissipant, peut-être, va faire apparaître le piège dans lequel la politique a enfermé les Français. La succession des intérêts partisans a ôté à notre système électoral toute cohérence. On remarquera que le Royaume-Uni avec son mode de scrutin uninominal par circonscription à un seul tour s’offre au contraire  la stabilité du fonctionnement et  la capacité de dégager des majorités de gouvernement. 

    christian vanneste.jpgLe Premier Ministre est le réel conducteur de la politique du pays. Le monarque n’a qu’un rôle institutionnel et symbolique. Les élections législatives sont sans conteste le scrutin essentiel de la démocratie britannique. Une monarchie constitutionnelle et un régime parlementaire assis sur une Assemblée élue par un vote uninominal auraient parfaitement convenu à la France. Les Britanniques ont subi la proportionnelle avec l’élection de leurs députés européens. Ils ont heureusement tourné la page.

    La France a choisi sous l’impulsion du Général de Gaulle une autre voie : un régime parlementaire où le gouvernement soutenu par la majorité des députés conduit la politique pendant le mandat législatif. Le scrutin est uninominal à deux tours pour permettre à la diversité des opinions de s’exprimer au premier tour. Depuis 1962, le Président de la république est lui-aussi élu au suffrage universel et doit théoriquement jouer un rôle d’arbitre en assurant le respect de la constitution et la continuité de l’Etat. Il a un rôle privilégié en politique extérieure puisqu’il est en charge de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. Tant que le mandat du Président était de sept ans, et celui de l’Assemblée de cinq ans, tout le monde savait que le Président détenait l’essentiel du pouvoir si la majorité parlementaire lui était acquise, et n’en gardait qu’une part pendant les cohabitations, avec toutefois l’arme de la dissolution. Cela pouvait créer un flottement dans la conduite du pays et brouiller son image à l’extérieur : on a vu récemment les risques d’un binôme pour présenter la même “puissance” dans les relations internationales. Le septennat fut donc réduit en quinquennat sans qu’on en mesure les conséquences : l’élection des députés est devenue une formalité qui conduit à des “chambres introuvables” dans la foulée de la présidentielle. Fort d’une assemblée d’enregistrement de ses décisions, le Président bénéficie d’un régime non pas présidentiel, avec un équilibre à l’américaine entre Congrès et Présidence, mais carrément autocratique : Macron intervient tout le temps, y compris sur des sujets qui ne sont pas du niveau de la Présidence. Le Parlement est prié de suivre. Quant au gouvernement, il est chargé dans la théâtrocratie macronienne des mauvaises nouvelles et des annonces technocratiques ennuyeuses. Avec l’actuel locataire de Matignon, Macron a trouvé son homme.

    Les raz-de-marée législatifs comme celui de 2017, peu légitime en raison d’une abstention record, conduisent à vouloir instaurer une dose de proportionnelle pour redonner du pouvoir au peuple, le vrai souverain. Certains imaginent ce mode de scrutin plus démocratique car il permet de représenter la plupart des opinions. En fait, il conduit à faire élire les chefs des partis de manière continue sans qu’ils aient à rendre des comptes à leurs électeurs en chair et en os, dans leur circonscription. Une proportionnelle intégrale conduit à des coalitions instables ou dangereuses, puisque le plus petit parti d’une majorité faible peut se livrer à un chantage et donc jouer un rôle “disproportionné”. Une “dose” de proportionnelle est une mesure décorative et démagogique. Dans notre système à deux tours, un parti peut émerger grâce au premier tour et devenir l’un des grands ensuite. Cela est vrai d’ailleurs même avec un seul tour, puisque les travaillistes ont supplanté les libéraux au début du XXe siècle au Royaume-Uni. Les partis sont des outils nécessaires. La proportionnelle accroît inutilement leur importance. Le caractère bipartisan qui est donné aux élections uninominales par circonscriptions conduit à installer le débat idéologique à l’intérieur des grands partis tout en gardant une place pour la dimension personnelle des élus choisis directement par les électeurs. Pour l’élection présidentielle, l’organisation de primaires au sein des grands partis est une excellente procédure. C’est ainsi que Fillon avait été désigné. Son éviction par un coup d’Etat judiciaire a permis le succès d’une opération qui relève de la manipulation, voire du complot.

    En fait, avec des élections proportionnelles pour les Européennes d’une part, avec prime majoritaire, pour les régionales et les municipales, d’autre part, tandis que les législatives et les départementales gardaient le processus par circonscription, avec cette idée baroque d’un duo pour les cantons, on a inutilement brouillé l’esprit des Français qui devraient pouvoir toujours voter de la même manière : une circonscription, un élu. Les contorsions des dernières régionales ont permis d’exclure la victoire de la liste arrivée en tête grâce au retrait de la troisième dans le cadre d’une alliance objective entre des partis que rien ne conduit à gouverner ensemble. Autrement dit, on a détourné la proportionnelle de son but, et volé les électeurs. Le maintien voire l’augmentation du nombre des élus malgré un nouveau découpage montrent que pour beaucoup la politique est devenue un métier et l’engagement une carrière.

    Le retour au septennat avec une distinction plus nette des domaines de la Présidence et du gouvernement, en gros l’extérieur et l’intérieur, est nécessaire. L’instauration d’un mode de scrutin unique pour toutes les élections, uninominal à deux tours est indispensable. Le risque d’un affadissement de la vie politique selon la loi de Downs qui veut que la droite et la gauche se recentrent, a été conjuré par Sarkozy en 2007. Il a malheureusement commis la bêtise de l’ouverture à gauche après son élection, quand cela était inutile et même nuisible. Et pour couronner ce système efficace, il faut introduire en France le Référendum d’Initiative Populaire qui permet au peuple souverain de se faire entendre sans passer par les partis, et donc l’oligarchie.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    ÉIndigne, lamentable et -surtout - d'un point de vue strictement professionnel, tout simplement raté et sans aucune hauteur, le très mauvais "entretien de Procureur" du très mauvais Gilles Bouleau démoli par Kévin Bossuet (Zemmour, par contre, nous a paru excellent, habile et prêt pour l'arène...) :

    https://twitter.com/kevinbossuet/status/1465949606014070784?s=20

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    Kevin Bossuet :
    "Gilles Bouleau a tout fait pour saboter le début de campagne d’Eric Zemmour. Il a lancé lamentablement des petites boulettes trouvées ici et là. Il n’a pas été à la hauteur. Beaucoup de gens ont été déçus. Cette interview a été volontairement ratée !"

    1. Et, puisque notre entame d'aujourd'hui parle de ce pseudo entretien, manifestons notre accord avec Gilbert Collard sur un journaliste qui a mal fait son travail, ou qui a été sectaire, ou malhonnête (chacun choisira son mot...) :

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1465943295926931459?s=20

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    1 BIS. Là, par exemple, où l'on a un terrorisme de fait à la fois "intellectuel et pratique", si l'on nous passe l'expression, que disent les journaleux de tout poil face à cette inadmissible prétention d'empêcher quelqu'un d'exprimer ses idées ? Rien ! Pourquoi ? Parce que, qu'ils l'avouent ou non, et, même, qu'ils le sachent ou non, ils sont les enfants de Robespierre et Saint Just, les héritiers des terroristes de 89/93 et les représentants actuels de ce Système que les "pères fondateurs" ont créé dans l'émeute, la violence, le Génocide : "Ce qui caractérise une République, c'est la destruction de tout ce qui lui est opposé", disait Saint Just. Comment voudrait-on que les héritiers des terroristes luttent contre... le terrorisme ?

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    Gustave Thibon parlait avec justesse du "chaos figé des conservateurs du désordre" (aujourd'hui, Macron et son Système, tous des "Robespierre en cravate"...), héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires" (hier, 89/93, 1848, la Commune, l'Épuration de 45...)

     

    3. (Dans Figaro Vox) : pour Israël Nisand: "L'extension du délai de l'IVG est une mauvaise nouvelle pour la santé des femmes"... :

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/israel-nisan-l-extension-du-delai-de-l-ivg-est-une-mauvaise-nouvelle-pour-la-sante-des-femmes-20211201?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

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    4. Zoo de Vincennes : La Tribune de l'Art dénonce :

    "Après avoir détruit une grande partie de l’œuvre de L’architecte Art déco Charles Letrosne et largement coupé les arbres, le zoo de Vincennes demande la charité. C’est assez lamentable

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    5. Le "haro sur Zemmour " hallucinant d'une caste médiatico-politique, qui ne dit jamais rien de la violence terroriste de gôche/extrême-gôche : le "deux poids/deux mesures" du Système justement dénoncé par Charlotte d'Ornellas, bien appuyée par un Pascal Praud qui parle juste... :

    https://twitter.com/ChdOrnellas/status/1465688148025905160?s=20

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    Avant-hier (ci-dessus), hier (ci-dessous, le restaurant où a déjeuné Zemmour); et demain ?

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    6. Et pour conclure cette série d'aujourd'hui, on relaiera l'annonce de Gilles-William Goldnadel, qui annonce la sortie de son livre (on regrettera juste l'emploi de "timing", là ou "calendrier" ou "bon moment" auraient été parfaits, mais bon...) :

    "A l’heure où les Antifas sont la seule violence légitime, tacitement encouragée pas certains médias. A l’heure où l’occultation des violences antiblancs continue de régner , mon livre sort aujourd’hui. Tragiquement bon timing."

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    112 pages, 10 euros

     

    6 BIS : Quatrième de couverture du livre :

    Selon Gilles William Goldnadel : "Ce manuel est interdit à la vente pour tous ceux qui n'ont pas encore compris que le fascisme était aujourd'hui situé à l'extrême gauche de l'échiquier politique et intellectuel."  
    Il écrit "fascisme", car il démontre que "malheureusement, à force de matraquage par l'extrême gauche en majesté médiatique, ce mot, historiquement précisément marqué, a été dénaturé, dévalué, galvaudé. Mais j'ai écrit fascisme d'extrême-gauche, pour me faire comprendre immédiatement et émotionnellement, par souci premier d'efficacité." 
    C'est tout le sens et la finalité de ce manuel. Celui qui l’a écrit s'inscrit dans le combat culturel. 
    Il sait la gauche habile à l'extrême dans ce combat où gagner la bataille de l'émotion est essentiel. 
    La bataille des idées, la gauche sait qu'elle l’a peut-être perdue depuis quelque temps. 
    Elle n'ose plus nier comme elle le faisait effrontément la laideur ou les dangers cruels de l'islamisme. Raison pourquoi elle ne se bat plus que sur le terrain de l'émotion où elle peut encore l'emporter en quelques instants, par la grâce disgracieuse de ses médias, sans faire appel à la raison. 
    La bataille culturelle qui se joue est une bataille existentielle. Puisqu'il va de notre identité comme de notre sécurité. 
    Ce manuel est un vade-mecum. Il propose des recettes simples telles que de traiter l'adversaire par la dérision plutôt que par la colère. De ne pas s'offusquer des étiquettes ( "fachos" !, "extrême-droite !" , "raciste !" etc…) dont l'extrême gauche fasciste vous affuble puisque elles ne peuvent plus piquer profondément, ayant largement perdu son magistère intellectuel et moral. 
    Il préconise de pratiquer le cambronisme tranquille. 
    De rendre coup pour coup : on vous parle chaque jour de la traite transatlantique ? Rappelez donc l’esclavage arabique et les razzias barbaresques en France. De dénoncer une imposture morale qui tient davantage de l'escroquerie de l'art contemporain que de la politique rationnelle. 
    Enfin : "N’'ayez aucun complexe de supériorité ou d'infériorité : Que vous soyez blancs ou noirs, soyez le sans honte. Ni vanité. N'aimez pas votre adversaire d'extrême-gauche, mais ne pratiquez ni la haine ni la vulgarité. Ce serait faire un cadeau à l’ennemi. N'ayez plus peur. C'est la leçon numéro un du manuel qui commence." 

     

     

    À DEMAIN !

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  • Abstention au premier tour des régionales : un mea culpa médiatique, c’est possible ?, par Natacha Polony.

    Le désintérêt pour une démocratie dont politiques et éditorialistes en vue ont tout fait pour qu’elle ne permette pas de changer le système ne peut pas nous étonner.
    © Hannah Assouline

    Une démocratie digne de ce nom a besoin d’une agora, rappelle Natacha Polony. Les médias devraient en être une, les réseaux sociaux auraient pu en être une autre. Encore faut-il acclimater les téléspectateurs aux débats de fond, à la contestation farouche mais argumentée, encore faut-il leur donner le goût de la démocratie, parce qu’on ne naît pas citoyen, on le devient.

    Si l’on songeait à interroger les citoyens pour savoir qui ils jugent responsable du naufrage démocratique dont ces élections régionales, avec leur abstention à 66,7 %, ne sont qu’un épisode de plus, nul doute qu’ils citeraient en bonne place « les médias ». Avec des guillemets, parce qu’il ne faut pas généraliser, et parce que chacun se considérera comme à part, faisant correctement, ou du mieux qu’il peut, son travail, et ne méritant pas l’opprobre. Mais arrêtons d’ergoter. Les médias sont aussi blâmables que les politiques quand tant de citoyens considèrent que les élections ne les concernent pas car leur résultat ne changera strictement rien à leur vie. Quiconque prétend continuer à commenter, à analyser doctement, les « rapports de force » des partis politiques, dans ce contexte, participe d’une formidable escroquerie.

    Le problème n’est pas tant, comme l’imaginent certains adeptes des vérités cachées et des manipulations de masse, que « les médias » seraient aux ordres et les journalistes soumis à « ceux qui les paient ». Rares sont les journalistes (assez facilement identifiables car peu discrets) qui font profession de servir consciemment un pouvoir. La connivence ne naît pas, le plus souvent, de la soumission – sinon de la soumission au jugement de la profession – mais de l’entre-soi. La fracture croissante entre les médias et les citoyens ne vient pas des manigances du pouvoir mais d’une mécanique aux multiples ressorts dont les plus puissants sont le conformisme et la pression imposée par des dirigeants qui réclament des rendements.

    « Média d’opinion » et petit écran

    Qui se repasse le film des dernières semaines, avec son lot de paroles politiques affligeantes et irresponsables, de polémiques absurdes ou délirantes, ou d’épisodes montés en épingle, se dit que la campagne présidentielle qui s’ouvre va nous mener de Charybde en Scylla. Encore faut-il comprendre pourquoi les médias amplifient cette dégradation de la vie publique, cette montée des haines et de l’intolérance, au lieu d’apporter un peu de raison, le sens du débat argumenté et la capacité d’identifier les véritables blocages qui expliquent la relégation des classes populaires et des classes moyennes, le chômage de masse, la désindustrialisation, la paupérisation de l’État…

    « Le dégoût des citoyens vient plus généralement de cette pléthore de débats dans lesquels ne sont sélectionnés que les plus caricaturaux. »

    Se focaliser sur CNews serait un peu trop simple, même si la chaîne a explicitement importé un modèle américain de « média d’opinion » qui, en France, n’existait que pour la presse écrite, mais certainement pas pour une chaîne dite d’information. Le dégoût des citoyens vient plus généralement de cette pléthore de débats dans lesquels ne sont sélectionnés que les plus caricaturaux (et non les plus radicaux, la nuance est de taille). Il s’agit de créer de l’opposition facilement compréhensible pour qu’il se passe quelque chose sur le plateau. D’où la nécessité de sélectionner les sujets immédiatement « clivants » : « pour ou contre l’écriture inclusive », c’est tout de même plus facile à développer qu’une réflexion sur l’assiette de l’impôt sur les multinationales ou la possibilité de relance de la production française par le jeu de la commande publique en contournant les contraintes européennes…

    Bateleurs de plateaux vs. éditorialistes

    À la décharge des rédacteurs en chef et des producteurs d’émissions, les audiences jouent les juges de paix. Il faut avoir une foi immense en l’intelligence humaine pour maintenir que l’on peut installer des débats pédagogiques sur le temps long quand Cyril Hanouna est le mètre étalon. La dérive est lointaine. Quand sont arrivées les premières émissions de divertissement, abrutissantes à souhait, pour offrir à Coca-Cola et aux autres annonceurs du « temps de cerveau humain disponible », nombreux sont ceux qui estimaient qu’on « touchait le fond ».

    Nous avons sorti les tractopelles. Et nul ne peut en vouloir à ces travailleurs fatigués qui rentrent chez eux et veulent se vider la tête. Le problème est d’avoir soumis l’ensemble des chaînes à ce modèle commercial. D’avoir peu à peu réduit les espaces non soumis à l’audience. Qui se souvient qu’un Frédéric Taddeï, avec « Ce soir (ou jamais) », proposait tous les soirs des plateaux d’universitaires, d’intellectuels et de politiques, et réunissait 600 000, 1 million, et même jusqu’à 2 millions de téléspectateurs ? Un peu trop pluraliste, au goût de certains (Patrick Cohen trouvait scandaleux qu’on y invitât ceux qui pensaient mal).

    Le désintérêt pour une démocratie dont politiques et éditorialistes en vue ont tout fait pour qu’elle ne permette pas de changer le système (2005 restera de ce point de vue la trahison par excellence) ne peut pas nous étonner. Les citoyens n’ont finalement le choix pour s’informer qu’entre les combats de catch des bateleurs de plateaux de télé et les démonstrations très doctes des éditorialistes gardiens du temple, pour qui toute remise en cause du système relève du complotisme, du populisme, ou d’un quelconque crime en « isme ». Une démocratie digne de ce nom a besoin d’une agora. Les médias devraient en être une, les réseaux sociaux auraient pu en être une autre. Encore faut-il acclimater les téléspectateurs aux débats de fond, à la contestation farouche mais argumentée, encore faut-il leur donner le goût de la démocratie, parce qu’on ne naît pas citoyen, on le devient.

     

  • Épidémie incontrôlable et attentats barbares : la chute de l’Empire romain, par Natacha Polony.

    "L’angoisse face à une épidémie que les pays occidentaux, visiblement, ne parviennent pas à maîtriser, est légitime. Mais la forme qu’elle prend ne révèle que trop crûment nos fragilités".

    Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", ausculte "le spectacle d’une société française reconfinée, traumatisée par des attentats barbares, et comme incapable de trouver les ressources pour éviter le délitement de son système démocratique".

    Crépusculaire. C’est le mot qui vient à l’esprit devant le spectacle d’une société française reconfinée, traumatisée par des attentats barbares, et comme incapable de trouver les ressources pour éviter le délitement de son système démocratique. L’angoisse face à une épidémie que les pays occidentaux, visiblement, ne parviennent pas à maîtriser, est légitime. Mais la forme qu’elle prend ne révèle que trop crûment nos fragilités. Certains prétendront que la façon dont la Chine tirera profit de cette crise sanitaire qu’elle a elle-même provoquée démontre combien les dictatures seraient plus efficaces que les démocraties.

    "Rappelons-le, les électeurs de Trump ne sont pas les seuls à refuser le résultat des urnes. En 2016, toute l’intelligentsia américaine, du monde des médias à celui de la culture, avait manifesté son rejet d’un président certes ignoble, mais démocratiquement élu."

    Mais c’est justement la perversion des démocraties européennes et américaine qui les paralyse en les soumettant au court terme des réseaux sociaux et de l’opinion plutôt que de laisser la délibération des citoyens élaborer des arbitrages en fonction d’une vision à long terme de l’intérêt général. Le spectacle nous tue.

    Spectacle et négation du réel

    Le spectacle, au sens où Guy Debord entendait ce mot, est en train de détruire la possibilité même d’un « demos », d’un peuple en tant que communauté politique réunissant des citoyens autonomes et responsables. Les États-Unis sont aujourd’hui le visage difforme de cette fracturation violente dont Trump n’est qu’un symptôme. Car, rappelons-le, les électeurs de Trump ne sont pas les seuls à refuser le résultat des urnes. En 2016, toute l’intelligentsia américaine, du monde des médias à celui de la culture, avait manifesté son rejet d’un président certes ignoble, mais démocratiquement élu. Et, cette fois encore, la capacité de ces commentateurs à nier le réel avait quelque chose d’effarant.

    C’est un avertissement pour les Européens en général, et pour les Français en particulier. L’atomisation des communautés nationales est sans doute le fait le plus saillant de ces dernières années, avec le recul de la rationalité. Deux phénomènes liés à la lame de fond de l’émotion et du narcissisme promus dans les sociétés de consommation et de spectacle. La conséquence ? Le repli de chacun sur ses intérêts propres ou ceux d’une communauté fantasmée, l’incapacité à accepter la volonté majoritaire, au motif qu’elle serait l’expression d’une domination systémique contre des minorités conçues comme des entités homogènes, et le ressentiment généralisé, c’est-à-dire l’expression d’une frustration qui domine tout l’être et justifie sa violence puisqu’elle n’est qu’une réponse à une injustice.

    Terrorisme

    Le terrorisme islamiste frappe de plein fouet des sociétés fragilisées, qui ont perdu toute capacité à penser leur propre modèle. Comment ne pas avoir à l’esprit le souvenir de l’Empire romain, devenu incapable, au fil des décennies, de proposer autre chose à ses innombrables citoyens que le « mode de vie romain », fait de thermes, de jeux et de tout-à-l’égout. Les populations germaines ou slaves qui peuplaient les confins de l’Empire n’avaient que faire de ces fadaises, droit romain et organisation administrative, qui avaient rendu possible ce mode de vie.

    "Les sociétés européennes sont à un tournant de leur histoire. Mais, face aux désordres du monde, face aux idéologies mortifères, la seule réponse efficace est l’approfondissement de ce qui fait le cœur de notre civilisation."

    Dans le même ordre d’idée, il faut rappeler l’analyse du regretté Abdelwahab Meddeb sur ce qu’il appelait la « maladie de l’islam », l’intégrisme, et la façon dont elle venait percuter nos sociétés. Le poète et philosophe tunisien distinguait deux états du dialogue entre Orient et Occident. L’européanisation, processus à l’œuvre durant les deux derniers siècles, et qui liait la diffusion des progrès scientifiques, médicaux et techniques au rayonnement des valeurs universalistes héritées de l’humanisme et des Lumières, et l’américanisation, processus récent dans lequel les technologies sont adoptées sans aucun lien avec la philosophie qui les a rendues possibles. L’usage des réseaux sociaux par les intégristes en est l’illustration la plus frappant.

    Tétanie ou sursaut

    Dans une époque où les Frères musulmans ont, depuis les années 1930, lancé la reconquête du monde arabo-musulman par un islam littéraliste et politique niant toutes les dimensions ouvertes et spiritualistes de cette religion, l’américanisation diagnostiquée par Abdelwahab Meddeb se conjugue avec la dérive narcissique des sociétés occidentales. Celles-ci sont comme tétanisées, engluées dans des débats byzantins pour savoir s’il faut ou non « respecter » ceux qui ont décidé d’imposer leur croyance au reste de la société et si s’interroger sur la jurisprudence de la Cour de justice européenne non élue ne serait pas déjà une remise en cause de l’État de droit.

    Les sociétés européennes sont à un tournant de leur histoire. Mais, face aux désordres du monde, face aux idéologies mortifères, la seule réponse efficace est l’approfondissement de ce qui fait le cœur de notre civilisation : la foi en une liberté humaine permise par la diffusion du savoir et le choix de la démocratie comme seul système capable d’éviter la haine et la violence. Mais une véritable démocratie. Pas son contournement par des instances non élues, administrations, organisations internationales, pouvoir économique, qui ont préparé le chaos dans lequel nous sommes.

    Source : https://www.marianne.net/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Plusieurs Rois de France ont eu des surnoms : "Louis le Grand", "Philipe Auguste", "Charles le Bien servi", "Louis le Père du Peuple"... Si l'Histoire en retient un pour ce pauvre semple-Président d'un Système essoufflé et en bout de course, ce pourrait être : "Macron le pathétique" !

    Cette soumission du politique, guidé par sa seule volonté de se faire réélire, à la vulgarité qui accroît sans cesse son règne sur notre époque, a en effet quelque chose de pathétique : en s'affichant aux côtés de McFly et Carlito, Emmanuel Macron tente de séduire la jeunesse en brisant les codes, il ne fait que se rabaisser lui-même, et rabaisser la fonction qu'il est censé représenter... Pauvre Système !

    https://www.lefigaro.fr/politique/devant-mcfly-et-carlito-emmanuel-macron-tente-de-seduire-la-jeunesse-en-brisant-les-codes-20210523

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    1 BIS. Sur cette pitoyable séquence, d'accord avec Gilbert Collard :

    #McflyEtCarlito : heureusement que le gage ce n'était pas que #Macron se promène en tutu kaki sur les Champs-Élysées ! On se demande où va s'arrêter cette course à l'électorat. C'est quoi la prochaine étape ? Se mettre nu pour séduire le corps électoral des nudistes ?

    (extrait vidéo 1'30)

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1396713215078375424?s=20

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    1 TER. Question à un centime d'euro : qui est la personne de dos ? Vous l'avez reconnu, évidemment, c'est le Chef du Système qui ruine et déclasse inexorablement le pays...

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    Comme le dit fort justement Guillaume Bigot :
     
    "À force de creuser, en élevant le niveau de démagogie et en rabaissant sa fonction, Macron va se retrouver dans le PC Jupiter, 70 mètres sous terre. #mcflyetcarlito"

     

    4. Dans un excellent article, publié dans Le Figaro ("Ceuta, l'aveuglement de l'humanitarisme") Mathieu Bock-Côté pose les bonnes questions et dénonce la grande naïveté de la gauche occidentale, qui veut dépolitiser cette question, et n’y voir qu’une crise humanitaire :

    "Pouvait-on croire un seul instant qu’en permettant à l’islam de s’installer massivement en Europe, puis d’y progresser à ses propres conditions, et d’y imposer ses mœurs, avant d’y imposer son droit, on créerait une société sous le signe de la concorde ?"

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    L'article étant réservé aux abonnés, en voici les premières lignes :

    "La scène avait des allures apocalyptiques: pendant une semaine, des milliers de migrants se sont rués sur l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc, dans l’espoir de traverser les frontières de l’Union européenne. De telles images, n’en doutons pas, se multiplieront dans les années à venir, d’autant qu’elles ne sont pas inédites. Devant cette marée humaine, les dérisoires grillages censés marquer l’emplacement d’une frontière et freiner ceux qui voudraient la violer ne tiennent pas vraiment. Une civilisation incapable de prendre au sérieux ses propres frontières et d’assurer leur défense en appelle sans même s’en rendre compte à ce qu’on les transgresse, comme s’il s’agissait de tracés arbitraires illégitimes et révoltants qu’un monde nouveau devrait enfin effacer..."

     

    5. Thierry Mariani a évidemment raison, et nous l'avons écrit ici-même plusieurs fois :

      "Il y a dans nos prisons 23% de détenus étrangers. Il faut négocier d'urgence avec les pays dont ils sont originaires pour qu'ils effectuent leurs peines chez eux, d'autant plus qu'on aide ces pays financièrement, il faut que ce soit donnant-donnant !"
     
    (extrait vidéo 1'51)
     
    AUX PROCHAINES ÉLECTIONS RÉGIONALES, EN PROVENCE, LAFAUTEAROUSSEAU VOTERA ET APPELLE À VOTER MARIANI

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    NON À MUSELIER, LE FAUX-NEZ DE MACRON !

     

    6.                                            saccageparis

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau !

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    Gestion des trottinettes : y'a pas comme un défaut ?

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    7. Et, pour finir cette série avec le sourire, relayons cette annonce amusée et amusante vue sur tweeter :

    Après le succès de la journée spéciale de Mc Fly et Carlito à l'Elysée... Voici les portraits que les spécialistes de la communication de Macron ont prévu pour le 14 juillet...

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    Et surtout l'explication de texte de Guillaume Bigot :

    "Ça farte Manu ? On va déglinguer l’assurance chômage ouais mais c’est pour rire mec ! Les banlieues brûlent ? Ouais mais c’est la teuf de ouf avec des feux d’artifice. T’as 18 ans et on te prend pour un tocard en te causant djeuns ? Ouais mais faut se détendre du slip frérot !"

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    À DEMAIN !

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  • Bridgewater, le plus grand fonds d’investissement au monde, prédit un krach financier

     

    Par Marc Rousset 

    En matière de prévision économique, une bonne dose de prudence s'impose. Bernard Maris disait qu'un économiste est un monsieur qui est capable d'expliquer le lendemain pourquoi il s'est trompé la veille. Une addition de principes de bon-sens et de connaissance des dossiers conduit toutefois à envisager sérieusement ce qui peut attendre nos sociétés dans un avenir plus ou moins proche. C'est l'exercice auquel Marc Rousset se livre ici pour nous au fil d'une analyse documentée qui intéressera ce qu'on appelait jadis les pères de famille aussi bien, d'ailleurs,  que les patriotes. La racine est la même ! ...   LFAR 

     

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    Bridgewater, le plus grand fonds d’investissement au monde, gère 160 milliards de dollars. Ray Dalio, son fondateur, s’est rarement trompé. En 2007, il avait prophétisé la fin du boom immobilier américain, l’effondrement imminent des banques et l’implosion des marchés du crédit. Selon le Financial Times du dimanche 18 février, Bridgewater est d’avis qu’après le mini-krach récent d’environ 10 %, « une secousse bien plus grande arrive ; les marchés vont entrer dans une nouvelle ère de volatilité »« La fin de l’argent facile » va déclencher une cascade de ventes et un krach financier.

    Les raisons principales sont la peur d’une inflation grandissante, la fin de la politique monétaire d’assouplissement quantitatif et le rendement de presque 3 % des bons du Trésor américain. Les États souverains en quasi-faillite ainsi que les entreprises « zombies » ne supporteront pas le choc à venir de la hausse des taux d’intérêt.

    Les prix des actions et des obligations sont au plus haut et les déficits jumeaux commercial et budgétaire des États-Unis vont continuer à se creuser d’une façon abyssale. Lloyd Blankfein, le président de Goldman Sachs, se déclare soucieux que Trump jette du combustible sur le feu pour les dix prochaines années avec une baisse des impôts de 1.500 milliards de dollars, un plan de modernisation des infrastructures de 1.500 milliards de dollars, une relance des dépenses militaires de 1.200 milliards de dollars et 400 milliards de dépenses nouvelles en 2019, ce qui porterait le déficit de l’État fédéral à 984 milliards de dollars. Ce déficit serait le plus important de l’histoire américaine par rapport au PIB, hors périodes de récession et de guerre.

    Le PER de Shiller, qui compare la capitalisation boursière du S&P 500 américain à la moyenne des bénéfices réels ajustés en fonction de l’inflation, est à un score historiquement élevé de 32. Il est plus élevé que celui du jeudi noir de 1929 et n’a été dépassé que lors de la bulle Internet en 2000. 

    Quant au magazine Capital, il craint que le krach de 2018 ne soit pire qu’en 1987. Les systèmes de vente automatiques et les stratégies de protection du portefeuille avaient joué un rôle primordial lors du krach de 1987. Le phénomène pourrait se reproduire en 2018. Mais les autorités, en 1987, avaient des cartouches dont elles sont aujourd’hui démunies. Les pays occidentaux n’ont plus de marges de manœuvre budgétaires, monétaires ou sur les taux, tandis que la BCE n’a même pas encore mis un terme à son programme de rachats d’obligations européennes. 

    Il n’y a donc plus de prêteur de la dernière chance qui soit prêt à soutenir le système financier mondial. En outre, la Fed est désormais dans l’incapacité légale d’entreprendre les mêmes actions d’urgence qu’en 2008. Le Dodd-Frank Act, adopté à la va-vite sous Obama après la faillite de Lehman Brothers, empêche la Fed de voler à la rescousse de sociétés individuelles en difficultés ou de prêter dans l’urgence à des sociétés non bancaires. La Fed ne peut prêter de l’argent qu’à des institutions assurées, et avec la permission du Trésor.

    En 2008, c’est la Fed qui avait sauvé le système financier européen en créant des dollars pour soutenir le marché interbancaire européen. Le 14 octobre 2008, le montant des « swaps » en dollars passa brusquement de 50 milliards de dollars à 580 milliards de dollars.

    Le paradoxe, c’est que seule la concurrence mondiale exacerbée, qui a pour conséquence la disparition à terme de toutes les industries occidentales, freine la remontée de l’inflation ! Mais depuis 2008 et Lehman Brothers, la dette mondiale globale est passée de 57 % à 327 % du PIB. Face à la faillite de nombreuses entreprises et de nombreux États, dont la France, suite à la remontée des taux d’intérêt à long terme, on pourrait alors assister à l’éclatement simultané des bulles dans les cinq classes d’actif, les trois plus périlleuses étant les cryptomonnaies, les obligations et les actions, suivies de l’immobilier ainsi que des œuvres d’art, biens réels gardant toujours une valeur substantielle si l’on se réfère à la crise hyperinflationniste de 1923 en Allemagne.   • 

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    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

  • Xavier Bertrand ou le maintien de la confusion politique !, par Christian Vanneste.

    Depuis 2017, le paysage politique français est devenu chaotique, illisible. Il y a deux manières de pratiquer la démocratie représentative. Le point de divergence repose sur le mode de scrutin, plus que sur le caractère présidentiel ou parlementaire du régime. 

    christian vanneste.jpgOu l’élection est uninominale par circonscription si possible à un seul tour, et l’intelligence des électeurs crée un bipartisme avec alternance, soit la proportionnelle multiplie les partis avec une tendance perverse qui veut que cette diversité épouse davantage les ambitions des uns et des autres que la pluralité des opinions. Dans le premier système, les choix sont donc clairs : celui des hommes a lieu dans le cadre des primaires internes aux deux grandes formations politiques, celui des idées doit également procéder d’une compétition  entre les courants au sein des partis. Dans le second système, la multiplication des partis oblige à des coalitions parfois précaires, et même quelquefois hétéroclites. Les Anglo-Saxons offrent le meilleur exemple de la première hypothèse : l’élection du Président, des sénateurs et des représentants aux Etats-Unis, celle des députés britanniques , et on pourrait citer d’autres  Etats issus de l’Empire créé par les Anglais, ont lieu dans le cadre d’un bipartisme qui permet des alternances et aussi des évolutions “idéologiques” internes aux partis. Le Sud profond votait systématiquement démocrate par hostilité au parti de Lincoln, républicain, mais son conservatisme l’a fait progressivement préférer le parti républicain devenu plus conservateur quand le parti démocrate s’orientait plus à gauche. Ensuite, le caractère présidentiel ou parlementaire ne fait qu’apporter des différences secondaires. Aux Etats-Unis, le Président conduit la politique, mais peut être ralenti ou entravé par une majorité hostile tandis qu’au Royaume-Uni, une majorité souvent nette permet au Premier Ministre d’exercer le pouvoir de manière très clairement orientée.

    Le mode de scrutin proportionnel disperse les suffrages, ne permet pas des majorités solides. C’est une supercherie qui repose sur l’illusion que le nombre des partis facilite la représentation des opinions alors qu’il a un tout autre but : ouvrir la route à de petits chefs maîtres de leur petite formation, obligés à des alliances pour participer au pouvoir même quand ils représentent peu d’électeurs, et formant une profession politicienne grâce à des réélections assurées par la place en haut de la liste. Des alliances contre nature sont possibles et bien sûr dans le dos des électeurs. L’exemple le plus criant est actuellement Israël où une majorité aussi composite que fragile de huit partis chacun doté de 6 ou 7 députés s’est imposée au Parlement contre le Likoud qui avait obtenu à lui seul 30 sièges. Le premier ministre Naftali Bennett est nationaliste religieux et devra céder la place dans deux ans à son allié Yaïr Lapid, laïc et de centre-gauche. Leur “majorité” réunit donc l’extrême-droite, la gauche socialiste et des Arabes musulmans. Les voix qui s’étaient portées sur Bennet ne visaient pas à mettre un jour Lapid au pouvoir.

    La France avait choisi le scrutin majoritaire à deux tours, uninominal sauf pour les municipales et les sénatoriales, au début de la Ve République. Cela permettait d’éviter que le Parti communiste qui pesait alors 25% des voix ne prenne la majorité ce qui était très possible avec un seul tour. L’élection du Président au suffrage universel direct étendait le système au plus haut niveau. Par la suite, essentiellement du fait de la gauche, la confusion a été introduite avec l’introduction de la proportionnelle pour les municipales, pour les régionales et pour les européennes, et en 1986 uniquement, pour les législatives, avec des limites différentes pour chaque type d’élection. Le vote uninominal majoritaire à deux tours conduisait logiquement à quatre partis, deux de gauche, PS et PC, deux de droite, RPR et UDF. L’introduction de la proportionnelle en a introduit d’autres, et notamment le Front National et les écologistes, faux-nez des gauchistes soixante-huitards. Une fausse bonne idée a progressivement gagné la “droite”, celle d’unir en un seul mouvement les durs et les modérés, ce qui a adouci l’ensemble et favorisé le transfert d’un certain nombre des premiers vers le Front National. La logique de l’élection primordiale dans un régime parlementaire , à savoir les législatives, aurait dû amener un “jeu” à quatre : écolo-gauchistes et socialistes à gauche, FN et UMP à droite. Le poids dominant de l’UMP lui aurait assuré la suprématie, mais le FN aurait existé à la mesure du nombre de ses électeurs et aurait sans doute poussé l’ensemble vers une politique de droite en cas de succès.

    Deux facteurs ont brisé cette logique : d’une part, un interdit irrationnel à l’intérieur de la droite parlementaire a empêché tout rapprochement avec le FN, même pour partager le pouvoir local ; d’autre part, le quinquennat a présidentialisé le régime de manière excessive et vidé les législatives de leur importance. Alors, on se retrouve dans une situation ubuesque où l’alliance contre nature entre la “droite” et la gauche l’emporte sur la clarté d’une confrontation gauche-droite. Un rappel simple de la Ve République montre que la gauche est la cause essentielle du déclin et de la décadence de notre pays que de Gaulle voulait éviter : 1968, la décadence culturelle, 1981, le déclin économique, 1997, avec les 35 heures et une politique à contre-temps, l’immigationnisme militant, l’européisme étouffant, le “progressisme” sociétal débilitant. Comment est-il possible qu’au nom d’obscures valeurs la “droite” préfère la gauche à la droite ? Or des élus qui se prétendent “de droite” soutiennent le rejeton du PS tendance Attali, caviar, et Terra Nova, qui occupe l’Elysée, et ceux qui semblent vouloir le déloger, comme un certain Xavier Bertrand, désignent le Rassemblement National comme leur ennemi, et les Identitaires comme plus infréquentables que les communistes. On comprend la position allemande assez voisine et fondée sur des souvenirs difficiles à effacer. Mais il n’y a rien de tel en France ! La France de Vichy est morte depuis longtemps et elle n’était pas plus à droite que de Gaulle lui-même et les premiers Français libres qui l’avaient rejoint. Quant à l’Algérie, elle a suscité une opposition de droite au Général fondée non sur les valeurs, notamment le patriotisme, mais sur la stratégie et le réalisme de celle-ci à propos d’un problème limité dans le temps. On comprend la réaction outrée de Robert Ménard lorsque Xavier Bertrand refuse de lui parler. Il est indispensable en effet que ce brouillard entretenu se dissipe, que les gens qui se sentent proches par les idées se parlent et essaient de s’unir plutôt que de trahir les valeurs de ceux qui les élisent en s’alliant avec une gauche qui ne renonce pas à son idéologie.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • L’Action Française au cœur des nouvelles contestations ?, par Olivier Perceval.

    Nos « élites » déter­mi­nées comme telles, non par leurs ser­vices ren­dus à la patrie mais plu­tôt par leurs gigan­tesques for­tunes, ont réso­lu­ment pris la déci­sion de dis­soudre notre nation dans un glo­ba­lisme funeste, tant elles consi­dèrent cet espace géo­gra­phique, his­to­rique et cultu­rel comme une sur­vi­vance d’un pas­sé révo­lu, dont la popu­la­tion ano­mique et inter­chan­geable compte pour du beurre.

    olivier perceval.jpgLa finance inter­na­tio­nale qui nous gou­verne en effet, ne sou­haite pas s’encombrer de cette plèbe réac­tion­naire et popu­liste, tout juste bonne à payer des taxes et des hausses de CSG, pour apu­rer un défi­cit public et des inté­rêts colos­saux contrac­tés auprès des banques privées.

    Mais ce pou­voir apa­tride pour­rait bien voir sa morgue lui reve­nir comme un boo­me­rang en pleine figure.

    Une « bien pen­sance » savam­ment orga­ni­sée par les médias offi­ciels et relayée par des intel­lec­tuels acquis au sys­tème mora­li­sa­teur et répres­sif qui s’est mis en place pro­gres­si­ve­ment, découvre avec stu­peur que cette popu­la­tion mépri­sable refuse de plus en plus les règles du jeu imposées.

     Il y a déjà eu l’épisode des gilets jaunes, mais après le confi­ne­ment inhu­main impo­sé, le Passe sani­taire qui n’est qu’un pre­mier essai de contrôle de la popu­la­tion, « passe » assez mal auprès d’un cer­tain nombre de nos contem­po­rains qui d’instinct, sentent qu’on veut créer un sys­tème de tri entre les bons et les mau­vais citoyens (le modèle chinois ?)

    Des scien­ti­fiques et des intel­lec­tuels issus de tous les hori­zons uni­ver­si­taires, poli­tiques et cultu­rels, se dressent par grappes et dénoncent avec force le cercle oli­gar­chique domi­nant, remet­tant en cause sa légi­ti­mi­té. Cela au risque de perdre le droit de s’exprimer, voire d’exercer leur métier. L’émergence du phé­no­mène Zem­mour à cet égard est assez signi­fi­ca­tive et ouvre des voies inté­res­santes en matière de recon­quête culturelle.

    Il appar­tient à l’Action fran­çaise d’observer atten­ti­ve­ment la for­ma­tion de cette nou­velle contes­ta­tion et de faci­li­ter la conver­gence, dans la pers­pec­tive de res­tau­rer le plus lisi­ble­ment pos­sible la pri­mau­té du bien com­mun et du bon sens.

    C’est ain­si qu’un ancien ministre (de l’intérieur) du sys­tème mul­ti­cul­tu­rel du « vivre ensemble », décou­vrit en quit­tant son maro­quin, que l’on s’acheminait vers le vivre « face à face ». C’est ain­si éga­le­ment, car tous les sujets se tiennent fina­le­ment, que l’on redé­couvre la néces­si­té éco­no­mique et sociale de reve­nir aux cir­cuits courts des pro­duc­teurs qui se passent de la grande dis­tri­bu­tion, que la poli­tique d’état a besoin du « temps long » et que ce même état doit contrô­ler ses finances en dépit du « quoi qu’il en coûte ».

    « Le déses­poir en poli­tique est une sot­tise abso­lue », d’autant plus, comme on l’a vu, que les mul­tiples entre­prises de démo­li­tion du pays génèrent des « anti­corps » au sein même de la nation, mal­gré les efforts déployés par nos enne­mis pour pro­vo­quer l’abrutissement du peuple en essayant de le réduire en une masse de consom­ma­teurs dociles.

    Il nous appar­tient d’apporter notre pierre et de sou­te­nir de nou­velles élites nais­santes en leur offrant encore et tou­jours l’occasion de prendre des « cure d’altitude men­tale » avec nos ana­lyses acé­rées et sans com­plai­sance. En mon­trant du doigt les his­trions, en récu­sant les idéo­lo­gies rebat­tues et par prin­cipe des­truc­trices du réel, en rejoi­gnant et si pos­sible en pre­nant la tête des mani­fes­ta­tions de rue, nous ferons recu­ler la tra­hi­son pro­gram­mée et assu­mée par les théo­ri­ciens du libé­ra­lisme outran­cier et individualiste.

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     
    À l'appel de Touche Pas À Ma Statue, Rendez vous - pour tous ceux qui le peuvent - demain, ce samedi 28 janvier, à 14 heure devant la statue !

    https://twitter.com/TPMStatue/status/1615762175708086272?s=20&t=szEHyp-zSGCdUx3DoMesMg

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    LA RÉSISTANCE À LA DÉ-FRANCISATION DE LA FRANCE,

    C'EST TOUT LE TEMPS, C'EST TOUJOURS,

    C'EST DONC, AUSSI, MAINTENANT,

    ET DEMAIN À LA FLOTTE EN RÉ !

     

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    1. Nous avons déjà cité Cyril Hanouna ici, en précisant bien que le-dit Cyril n'était pas notre tasse de thé. Mais que, comme Molière, nous prenions notre bien où nous le trouvions. Aujourd'hui, puisque Cyril "se paye" les bobos de la caste médiatique, les privilégiés du Pays légal, France inter et, surtout, la patronne de Radio France, Sibyle Veil, pourquoi se priver de sa "contribution" ? Le dicton ne dit-il pas que "le diable porte pierre" ?...

    (extrait vidéo 4'53)

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-524565-cyril-hanouna-explose-la-patronne-de-radio-france-sibyle-veil-vous-savez-combien-elle-gagne-je-vais-vous-le-dire-car-tout-ca-c-est-les-bobos-dans-leur-monde-regardez.html

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    Elle menace C8 et CNews, mais empoche ses 18.500 euros par mois...

    CASTE MÉDIATIQUE POURRIE,

    À L'IMAGE DU SYSTÈME QUI L'A CRÉÉE !

     

    2. La tiermondisation de la France et des Français par le Système continue de plus belle. Et cela semble réjouir ce pauvre Gabriel Attal, en l'occurrence, tout content de voir les gens se ruer pour "bénéficier" (?) de l'indemnité carburant ! "En 3h. seulement". En somme, semble-t-il dire, "Tout va très bien madame la Marquise ! Tout va très bien, tout va très bien !..."

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    3. De Bruno Attal :

    "Après le bide d’#OmarSy avec #tirailleur. Maintenant une promo de fou pour le film de #Ramzy « Youssef Salem a du succès » Le cinéma français c’est la propagande communautaire et woke."

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    "Cinéma français", vraiment ? On se réjouit du "bide" d'Omar, on se réjouira du bide de celui-ci...

     

    4. Juste réfexion de Verlaine, sur tweeter :

    "En France on planche sur un projet de loi visant à accélérer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR2, en Allemagne on redéploie la production de charbon... L'écologie politique aura vécu, c'est la plus belle chose que le conflit en Ukraine aura provoqué."

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    Le "monstre Allemagne" et sa monstrueuse pollution due à son charbon, l'un des plus gras et des plus "sales" au monde...

    Pour mémoire (et pour l'Allemagne), la remarque de Thomas Nenninger :

    "En 2015, le charbon représentait 8% du mix énergétique Allemand. Avance rapide vers 2023, c’est plus d’un tiers. Exceptionnelle réussite des renouvelables et de l’arrêt du nucléaire, sans prise en compte de la réalité."

    Ajoutons-y celle de Marc Ferandou :

    "L’Allemagne, pour des raisons idéologiques et électoralistes a détruit son parc nucléaire, et nous a contraint, avec la soumission de nos gouvernants à détruire le nôtre. l'Allemagne pollue l’air que nous respirons avec ses nombreuses centrales à charbon !"

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    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

    5. D'accord avec Marine Le Pen :

    "Cette distinction interroge alors que Bruno Le Maire est incapable d’imposer à l’Allemagne une réforme du marché européen de l’énergie dont le principal bénéficiaire est… l’Allemagne."

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    Être décoré par nos ennemis allemands du Quatrième Reich ? Alors que, nous, nous disons "DELENDA EST GERMANIA"... : c'est effectivement une "belle" allégorie de notre République idéologique, héritière de la Révolution terroriste et totalitaire, qui a créé ce monstre "Allemagne politiquement unie" à la place des Allemagnes, que les Rois de France avaient sagement divisées, conformément à nos intérêts.

    "Les vivants sont toujours, et de plus en plus, gouvernés nécessairement par les morts : telle est la loi fondamentale de l'ordre humain...", disait Auguste Comte : nous ne cessons de payer, encore et toujours, les conséquences de cette politique anti-nationale de la République idéologique, du Système, qui a abouti à la création de l'Allemagne unifiée, notre premier et principal ennemi...

     

    6. De Daily Christ :

    "L'ONG Portes Ouvertes a mis a jour son Index de persécution des chrétiens. Les chiffres sont alarmants :
    • 360 millions de chrétiens persécutés
    • 5 621 chrétiens tués en 2022
    • Top 3 des pays dangereux pour un chrétien : Corée du Nord, Somalie, Yémen"

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    7. D'accord pour relever le "défi" (mot qu'on préfère à l'autre) que lance Francis Renaud, sur tweeter :

    "A compter d'aujourd'hui, 970 affiches du film Vaincre ou Mourir vont pavoiser dans 222 gares en France, dont une nouvelle affiche que nous vous dévoilons sur ce post ! Challenge : Si vous croisez nos affiches en gare, prenez-les en photo et publiez-les sur les réseaux sociaux."

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Il y a les paroles, et puis il y a les actes, après... Ou, plutôt, en l'occurrence, "il n'y a pas"...

    Selon le Canard Enchainé du 25 janvier dernier, Macron a "pulvérisé la requête" du CEMA sur l'achat de chars et canons supplémentaires lors d'un conseil de défense en décembre. L'armée de Terre devra, jusqu'en 2040, "se contenter de 200 Leclerc rénovés".
     
    Et croiser les doigts pour le MGCS  ? (anglicisme pour "Main Ground Combat System"), ou : "Système Principal de Combat Terrestre" (quel charabia, inutile et grotesque !), projet d'armement franco-allemand qui était conçu pour remplacer les chars Léopard et Leclerc.
     
    La seule question est : le Canard dit-il vrai ? On attend avec impatience un démenti de l'Élysée, sinon cela voudra dire que, comme d'habitude, le Système et la République idéologique nous désarment...

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    Dans "En quête d'esprit", sur CNews, Philippe de Villiers appelle le président de la République française à reconnaître le génocide vendéen :

    (extrait vidéo 0'46)

    https://twitter.com/FranceCatho/status/1619772364903833600?s=20&t=S2swsvohD_7HH3Y5JsVOFw

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    ------------------------------------------

     

    1. Que voulez-vous, monsieur Balladur, 150 ans de République idéologique, ça se paye ! Et cher... La preuve : même vous, membre du Pays légal, vous vous en êtes rendu compte !

    "Rarement notre pays a connu des difficultés aussi graves, que ce soit dans les domaines économique, social, éducatif, de la sécurité ou de l’immigration incontrôlée… Comme si nous assistions à un affaissement général."

    Le "comme si" et le conditionnel sont de trop : il faut commencer la phrase directement par un présent, "nous assistons"...

    CE SYTÈME NOUS "AFFAISSE" ?

    "AFFAISSONS-LE" UN BON COUP,

    AVANT QU'IL N'AIT TERMINÉ SON TRAVAIL !

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    2. Toujours le grand bon sens, du côté de Jean Messiha :

    "Y a un truc que je pige pas ! On dit qu’il faut bannir Noël ou Pâques pour respecter la diversité et être inclusif au nom du vivre ensemble. Bien. Mais alors pourquoi ne pas bannir aussi Ramadan et Aïd pour respecter le peuple de souche, parfaire l’inclusion et le vivre ensemble ?"

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    3. De Yannick Moreau, Maire des Sables d'Olonnes :

     "Nous avons devant nous un océan de solutions … Retrouvez mes déclarations contre le déploiement des #éoliennes proches de nos rivages et de nos plages dans l’édition du @JdSables"

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    Cliquez sur l'image et utilisez le zoom...

     

    3 BIS. Entièrement d'accord avec PPEEBP / #StopEolien, qui répond à Bruno Le Maire, lequel a déclaré (ce 29 janvier) :

    "Avec Emmanuel Macron et Elisabeth Borne, nous sommes totalement déterminés à faire baisser la dette publique. Nous passerons au peigne fin toutes les dépenses avec un objectif : dépenser mieux en préservant les investissements nécessaires à la Nation"

    réponse de vrais défensuers de l'environnement :

    "Eh bien, @BrunoLeMaire, pourquoi ne pas commencer par supprimer les aides aux #PromoteursEoliens dont l'inutilité dans notre pays déjà largement décarboné est amplement documentée ?"

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    5. De la toujours excellente Gabrielle Cluzel (sur CNews) :

     "La position du gouvernement qui refuse de réintégrer les soignants non-vaccinés est incompréhensible : non seulement on manque d’infirmiers mais on sait en plus aujourd’hui qu’ils ne contamineront personne !"

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    6. Geoffroy Lejeune a mille fois raison :

    "Peu de gens sont heurtés par la présence d'une statue de Marie ou des calvaires dans l'espace public, surtout s'ils sont là depuis très longtemps. Il y a une offensive d'hystériques ultra-minoritaires qui mènent ce combat au moment où notre civilisation est attaquée."

    (ectrait vidéo 1'06)

    https://twitter.com/GeoffroyLejeune/status/1619745919137873920?s=20&t=7lx-zkbw8cujR52k1bdEHA

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    "Notre civilisation est attaquée" ?...

    En effet, mais, par sa "guerre d'extermination" (René Viviani, 1906) menée contre le catholicisme, le Système, la République idéologique, ont affaibli intellectuellement, mentalement, moralement, spirituellement la France (et l'Europe) et maintenant les mêmes ont fait entrer de force l'Islam et l'islamisme en France. Leurs prétendues "valeurs de la République" ne pèseront rien face à lui, dont près des trois quart des adeptes (surtout parmi les jeunes) déclarent ouvertement que la charia passe avant ces soi-disant "valeurs".

    Qui s'opposera donc à l'Islamisme conquérant ?

    Le fond de braises qui couvent sous la cendre, et - après un siècle et demi de persécution par la Nouvelle religion républicaine - tout ce qui est vivant de nos Racines et Traditions fondamentales, constitutives de notre Être profond ! Au premier rang desquelles nos racines chrétiennes, adossées à notre héritage gréco-romain...

    Dans cet affrontement titanesque qui s'annonce, la seule boussole sera le Prince chrétien, dont parle Boutang, "...le premier rebelle, et serviteur de la légitimité révolutionnaire."

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    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par un petit sourire, que nous devons à Bruno Attal, que nous remercions ici :

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Hausse permanente des prix des carburants et des péages autoroutiers...

    LE GOUVERNEMENT NE NOUS TRANSPORTE PAS,

    IL NOUS ROULE !

     

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    1. Amine Elbahi (Dans Le Figaro Vox; l'article est réservé aux abonnés, en voici l'entame) : "Roubaix est devenu le symbole de la faiblesse de l'État face à l'islamisme"...

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Le juriste et militant associatif de la ville de Roubaix, Amine Elbahi, est menacé de mort et placé sous protection policière depuis la diffusion du documentaire de Zone interdite sur l'islam radical, diffusé sur M6. Il déplore la faiblesse de l'État, qui peine à agir contre le séparatisme et établit des propositions.

    Amine Elbahi est juriste en droit public et militant associatif à Roubaix. Depuis la diffusion du documentaire de «Zone interdite» sur l'islam radical, il est menacé de mort et placé sous protection policière.

    Il aura fallu un nouveau reportage pour montrer l'ampleur de la fracture économique et sociale à Roubaix, là où se trouvent les fondements du séparatisme islamiste enraciné dans plusieurs de nos quartiers. Je m'étonne de notre capacité à nous émouvoir collectivement d'une situation que nous connaissons depuis bien longtemps. Comme un certain nombre de citoyens, j'avais déjà alerté en 2016 sur la carence de l'État et la montée progressive de l'islam radical dans une tribune que j'avais intitulée « Elle est partie défier la République qui n'a pas su la retenir »*. Roubaix comme de nombreux territoires en France sont devenus le symbole de l'échec de l'État, incapable d'affirmer son autorité...
    Le juriste et militant associatif, Amine Elbahi, a pointé du doigt l'islamisme dans la ville de Roubaix, dans un documentaire de «Zone interdite». Il est depuis menacé de mort et placé sous protection policière.
     
    Le juriste et militant associatif, Amine Elbahi, a pointé du doigt l'islamisme dans la ville de Roubaix, dans un documentaire de "Zone interdite". Il est depuis menacé de mort et placé sous protection policière. Capture d'écran BFM TB

    NDLR : Amine El Bahi est menacé de mort, comme Ophélie Meunier. Voilà dans quel état le Système a mis la France : dès que l'on dit la vérité, les terroristes/barbares que le Système a volontairement installés chez nous menacent de mort.
    C'est ce Système dont il faut débarrasser la France...

     

    1 BIS. La courageuse réponse d'Amine El Bahi : "Je dis aux islamistes que je ne me tairai pas" :

    https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/zone-interdite-a-roubaix-je-dis-aux-islamistes-que-je-ne-me-tairai-pas-martele-sur-rtl-amine-elbahi-7900119676

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    Chateaubriand a raison, comme Jean-Paul II, quand il nous exhortait : "N'ayez pas peur !". Les Totalitarismes, quels qu'ils soient, ne tiennent que par la peur : nazisme, marxisme-léninisme, islamisme...

    Puisque c'est le totalitarisme islamiste barbare qui nous menace ici et maintenant, chez nous, c'est de lui qu'il ne faut pas avoir peur et dont il faut libérer la France.

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    Le prix à payer sera peut-être - probablement ?... - une guerre de libération nationale. N'oublions pas, alors, la parole prophétique de Maurras :

    "Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie." 

     

     

    1 TER. Ophélie Meunier, Amine El Bahi et tous ceux qui précèdent et suivront : la meilleure solution, pour Maître Richard Malka (qui a raison) :

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    4. Apprécié (sur tweeter) le bon jeu de mots de Grégory Roose, chroniqueur à Valeurs actuelles :

    "Le représentant légal de la France au Mali a été expulsé. Les représentants illégaux du Mali en France ont été relogés."
     
    Et, puisque nous parlons de Grégory Roose, profitons-en pour faire un peu de pub à son "Journal d'un Remplacé" :

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    264 Pages, 10 euros

    Ce livre est un journal de bord, témoignage des évolutions qui menacent ce que nous sommes en tant que peuple et individu : le Grand Remplacement ou le changement de peuple, et le Petit Remplacement ou le changement de paradigme, le second nourrissant le premier, le premier justifiant le second. Nous en sommes les esclaves, conscients ou inconscients, serviles ou rebelles.

    L'auteur offre au fil de ces pages des pistes de réflexion et des propositions d’action utiles pour nommer, alerter et s’opposer aux Grand et Petit Remplacements, terribles menaces qui pèsent sur notre siècle.

     

    4 BIS. Et, sur le sujet du Mali, ou plutôt de la présence française au Mali, comment ne pas approuver ceci :

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    6. Martin Hirsch est un menteur, doublé d'un sale esprit, d'une sale mentalité. Il aurait fait "un bon petit soldat" au service du Parti, au Goulag ou pour Pol Pot... Charlotte d'Ornellas et Alexandre Devecchio démontent son mensonge : 

    "Martin Hirsch explique que les non-vaccinés doivent payer leurs soins car l'état de l'hôpital serait de leur faute. Un document de l'AP-HP révèle que la majorité des déprogrammations ne sont dues pas au covid, mais au manque de personnel."

    (extrait vidéo 2'06)

    https://twitter.com/EtienneFaucher3/status/1488149463654977543?s=20&t=xPazYo2kNZYB0ZFG3e5QGA

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    7. François Hollande, le privilégié de la République (mais il n'est pas le seul !...) :

    https://fr.irefeurope.org/publications/articles/article/francois-hollande-le-privilegie-de-la-republique/

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

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    • https://www.bfmtv.com/politique/uber-files-emmanuel-macron-accuse-d-avoir-aide-l-entreprise-de-vtc-a-se-consolider-en-france_AD-202207100307.html

    • https://www.radiofrance.fr/franceinter/uber-files-quand-emmanuel-macron-jouait-les-lobbyistes-pour-uber-3366428

    • https://www.lemonde.fr/pixels/article/2022/07/10/uber-files-revelations-sur-le-deal-secret-entre-uber-et-macron-a-bercy_6134202_4408996.html

    Que rajouter, quand même BFM, même France info, même le pays légal le dit ? Reprise de l'entame de notre Revue de presse d'hier matin : 

    Macron a voulu d'UBE(u)R et de l'argent d'UBE(u)R !

    Encore un scandale pour Macron, mais cette fois c'est le scandale de trop, un scandale d'État : il est avéré que Macron, Ministre de l'Économie et des Finances en 2015, a favorisé Uber, ses intérêts et son implantation en France, au détriment du modèle économique et social français. Il s'est fait le laquais d'Uber, sa carpette, son petit télégraphiste, se couchant - et forçant ainsi la France à se coucher - devant les intérêts économiques d'un groupe étranger. Parfaite allégorie et illustration du Système républicain idéologique : l'État se couche devant la finance internationale, "la fortune anonyme et vagabonde", parce qu'il est lui-même - l'État - aux mains de l'Argent, de l'Argent-roi, qui le "tient" parce que c'est lui qui paye les élections et les élus, qui doivent le "rembourser", après, bien évidemment.

    Et nous, royalistes, sommes révolutionnaires de cet état de fait, de cet État-là, soumis à l'Argent-roi et à toute sorte de puissances, qui n'ont pas en vue l'intérêt national, le Bien commun, mais leur intérêt bassement matériel à elles.

    Nous voulons remettre l'argent à sa place et dans son rôle, qui est de servir, et c'est tout. Et nous voulons remettre le Roi à sa place : Chef de l'État, un État libéré de l'Argent, des groupes de pression, de l'étranger, des partis et factions... et qui n'aura en vue, lui qui sera pleinement et absolument libre de toute influence, que l'intérêt national et le Bien commun...

     

     

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    1. L'Abbé Matthieu Raffray a répondu aux questions de Boulevard Voltaire : "La Messe traditionnelle possède une force d'évangélisation et d'apostolat qui est incroyable !..."

    (extrait vidéo 1'57)

    https://twitter.com/AbbeRaffray/status/1546395862091415552?s=20&t=qns8hUG15FlvSVadpa6eFw

    Version plus longue (12 minutes)

     

    2. On l'a déjà dit, mais c'est toujours bon à redire, à temps et à contre-temps...

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    3. La "France orange mécanique" à cause du Système et de la folle et suicidaire politique d'immigration/invasion qu'il impose depuis plus de quarante ans... :

    "À Aix-en-Provence, 5 #policiers hors service ont été reconnus par 15 barbares dans la rue. Ces voyous ont lynché sauvagement nos collègues avec des pavés, car ils voulaient se faire du flic! 2 interpellés par la #Police municipale, bravo! Cette haine va se solder par un drame !"

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    3 BIS. Et, toujours de Matthieu Valet :

    #Grenoble, jeudi, sur une moto, un voyou braquait à la kalash des #policiers. Aujourd’hui, le Maire préfère aider la famille d’un des voyous impliqué dans cette tentative de meurtre plutôt que les familles de victimes. La famille du #voyou est accompagnée, les #policiers non !"

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    5. À propos du scandale d'État Macron/Uber, l'excellent citation proposée par Montjoie Saint Denis :

    "Jamais on avait vu tant d’argent rouler pour le plaisir, et l’argent se refuser à ce point au travail. Et tant d’argent rouler pour le luxe et l’argent se refuser à ce point à la pauvreté."  (Charles Péguy #Macron #UberFiles #McKinsey #Pfizer #Alstom)

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    6. Au pays de Saint François d'Assise (sa mère était provençale, et il parlait et priait aussi bien et aussi souvent en français qu'en italien) il est intolérabmle de "laisser passer" la souffrance animale, aussi barbare qu'inutile ! D'accord avec Anne-Sophie Frigout, Députe RN de la Marne :

    "Lors de l'Aïd-el-Kebir, des moutons sont égorgés sans étourdissement, parfois dans des conditions effroyables. La France gagnerait à interdire cette pratique par humanisme. Comptez sur moi pour qu’une loi soit adoptée en ce sens, au nom du bien-être animal !"

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    V I T E !

     

    7. Pourquoi sommes-nous le pays le plus taxé au monde ? Une partie de la réponse ici (une toute petite partie : il y a tant de privilégiés et de gaspillages, directement imputables au seul Système !...) :

    https://twitter.com/wonderjustice/status/1546028418415951873?s=20&t=c17PldMuSN2UJowUtOpQOg

    ÇA SUFFIT ! SUPPRESSION DE CES PRIVILÈGES SCANDALEUX !

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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    MBS, Prince héritier d'Arabie Séoudite, est à Paris, et Ouin-Ouin, président de la Ligue des Droits de l'Homme est venu pleurer, hier matin, sur France info, disant - en substance, et entre autres insanités - que cette visite était une honte, et qu'elle était contraire aux "valeurs" (!) du pays des droits de l'homme...

    Certes, nous ne souhaiterions pour rien au monde à la France un Régime et une Société qui seraient un tant soit peu comparables à ce que l'on voit en Arabie.

    0n rappellera juste, cependant, à ce monsieur Ouin-ouin que son "pays des droits de l'homme", son Système, plutôt, sa République idéologique, a froidement perpétré le premier Génocide des Temps modernes, le Génocide vendéen, précurseur, matrice et modèle de tous les suivants, et qu'il ajoute à ce crime de Génocide un second, terrible lui aussi : celui de mémoricide... 

    On lui rappellera aussi cette horreur proférée par Clemenceau :

    "J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.

    J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.

    J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre vingt dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.

    Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.

    Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat..."

    Quand on approuve "ça", monsieur Ouin-Ouin, Génocide/Mémoricide, propos abjects de Clemenceau et tout le reste, on ne vient pas pousser des cris d'orfraie à la radio...

    Il vaudrait peut-être mieux avoir l'ouverture d'esprit de vous informer, en lisant, par exemple, notre courte note, en page d'accueil de notre Quotidien :

    (2/2) Ces évènements historiques, ces faits et idées reçues qu'il nous faut "reprendre", et qu'il faut re-nommer correctement : l'alter-révolution passe aussi par la sémantique...

    Il semblerait que le nombre de morts soient plutôt autour des 220 000.

     

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    1. Guillaume Bigot a évidemment raison :

    "La souveraineté européenne : c'est un attrape-nigaud !..."

    • (extrait vidéo 2'08)

    https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1669423866236612608?s=20

    • (l'intégrale ici, 8'56)

     youtu.be/1bwy5IcFy5s

    Guillaume Bigot : «La souveraineté européenne, c'est la cigarette qui  dégage les bronches» - Vidéo Dailymotion

     

    G.Bigot - Réessayons la France #2 - L'UE contre la souveraineté énergétique  française. - YouTube

     

    2. On en apprend de belles, sur Sandrine Rousseau (source Marianne) : Derrière la polémique Jadot-Rousseau, il y a la question des législatives. Sandrine Rousseau refuse de se présenter dans sa région de travail et d'origine, qu'elle juge bien trop difficiles, et exige d'être parachutée à Paris dans une circonscription gagnée d'avance. C'est chose faite : Sandrine Rousseau a obtenu son parachutage dans la 9eme circonscription de Paris, en dépit du refus des militants locaux qui s'y sont opposés par deux fois... Elle est à ce point convaincue de son impopularité ?...

    Entame de l'article de Marianne, réservé aux abonnés :

    https://www.marianne.net/politique/ecolos/la-sororite-tu-ten-souviens-evincee-par-sandrine-rousseau-leelv-claire-monod-reagit

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    3. Incroyable mais vrai : Benoît Payan, Maire non élu de Marseille, peut-être légal mais sûrement pas légitime, transforme "Le château de ma Mère" en Maison de  quartier et "vire" Nicolas Pagnol, petit-fils de l'Académicien !...

    Le château de la Buzine, dirigé par Valérie Fédelle, est devenu un lieu culturel qui compte, en Provence.
     
    (Source Le Figaro Culture, article de Léna Lutaud)
    Le château de la Buzine, dirigé par Valérie Fédelle, est devenu un lieu culturel qui compte, en Provence. 

    INFO LE FIGARO - Malgré un bilan excellent, le petit-fils de l'écrivain et son équipe sont sommés de quitter le château de la Buzine. Benoît Payan, maire de Marseille, souhaite confier ce lieu mythique, symbole patrimonial de la Provence, à une association ouvrière dont le cœur de métier est la gestion de centres sociaux.

    C'est un coup de téléphone auquel Nicolas Pagnol, petit-fils du célèbre écrivain et cinéaste, ne s'attendait pas du tout. Mercredi 14 juin, Jean-Marc Coppola adjoint à la Culture (PC) de la mairie de Marseille -avec qui il a toujours eu de très bons rapports- lui annonce que le comité en charge de la délégation de Service Public du château de la Buzine a décidé ne pas lui renouveler son contrat.

    «La mairie de Marseille nous vire pour nous remplacer par une association ouvrière dont le cœur de métier est la gestion de centres sociaux et n'a aucune expérience en équipements culturels, dit-il d'une colère froide. Ils vont transformer ce lieu mythique du patrimoine de Provence en Maison de Quartier. Ce château ce n'est pas juste quatre murs et un toit. C'est l'histoire de mon grand-père. J'y suis extrêmement attaché. Au-delà de mon cas personnel, c'est un lieu phare pour tous les Provençaux. Ce château symbolise leur langue, leur culture, leur patrimoine..."

    DECIDEMMENT, EN TOUS DOMAINES,

    CE PAYS LEGAL EST DE PLUS EN PLUS LÉGAL (PEUT-ÊTRE)

    MAIS AUSSI DE PLUS EN PLUS "EN FOLIE",

    AUTANT QU'IL EST DE MOINS EN MOINS LÉGITIME...

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    4. Entièrement d'accord avec Grégoire de Fournas :

     
    "Pour le ministre du commerce extérieur, il vaut mieux acheter une télévision chinoise plutôt que française « parce que c’est moins cher ». Avec ce genre d’incapable, on comprends mieux pourquoi la balance commerciale accuse un déficit record de 160 milliards d’euros !"
     
    (extrait vidéo 1'09)
     
     
    Pouce bas - Non - SGEN-CFDT Académie de Lyon

     

    5. Proposé par David Dobsky, sur tweeter : plus que "pas mal !", "excellent !"

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    6. C'est la fin de semaine, on a peut-être un peu plus de temps, et l'on peut peut-être se consacrer un peu plus à des sujets culturels. Le "sujet" proposé par Défense de la langue française tombe donc à pic :

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    7. Et, dans le même ordre d'idée, l'on terminera cette série d'aujourd'hui par un petit sourire - même si le sujet est assez grave malgré tout, dans ce qu'il révèle... - en constatant que le Système est vraiment tombé bien bas... (c'est sur Actu Forces de l'ordre) : Incroyable découverte dans le jardin bio géré par les détenus de la prison de Toulon : Les pieds de tomates remplacés par des pieds de cannabis...

    https://actuforcesdelordre.fr/2023/06/15/incroyable-decouverte-dans-le-jardin-bio-gere-par-les-detenus-de-la-prison-de-toulon-les-pieds-de-tomates-remplaces-par-des-pieds-de-cannabis/

    Ce Système failli transforme vraiment la France en poubelle/pétaudière !

     

     

     

    À DEMAIN !

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