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11 novembre

  • Éphéméride du 26 mars

    1686 : Inauguration de la Place des Victoires, à Paris 

     

    Cette place circulaire, d'environ 80 mètres carrés de diamètre, a été créée à l'initiative du maréchal de La Feuillade, vicomte d'Aubusson, et de la Ville de Paris, pour célébrer les victoires de Louis XIV.

    Les plans sont de Jules Hardouin-Mansart.

    En son centre, la statue originelle de Louis XIV en pied était l'oeuvre de Martin Desjardins. Le socle comportait quatre personnages en bronze, des bas-reliefs et des inscriptions sur la gloire militaire du règne. Quatre fanaux y brûlaient en permanence. En 1792, la statue fut abattue par les révolutionnaires et la place renommée place des Victoires Nationales en 1793 (mais les éléments de décoration du socle ont été conservés et sont visibles au Musée du Louvre).

    La statue du général Desaix - représenté entièrement nu - fut érigée à sa place en 1810 : elle n'eut qu'une durée de vie assez courte, et son bronze fut refondu pour réaliser la statue équestre d'Henri IV, au Pont Neuf.

    L'actuelle statue équestre de Louis XIV est de François Joseph Bosio, et fut érigée au centre de la place en 1828.

    Malheureusement, l'harmonie primitive de la place n'a pas été respectée, et le percement de plusieurs rues a irrémédiablement défiguré l'ensemble : la Place des Victoires partage ainsi avec la Place Dauphine (voir l'Éphéméride du 10 mars) le triste privilège d'avoir été largement dénaturée et mutilée, au point d'avoir perdu, sinon la totalité, du moins une très large part de sa splendeur d'antan.

    Telles qu'elles nous apparaissent aujourd'hui, cependant, ces deux places conservent assez d'éléments de leur beauté passée pour que l'on puisse se faire une idée assez précise de ce que fut cette très grande beauté. 

     

    http://paris1900.lartnouveau.com/paris02/place_des_victoires.htm  

     

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  • Éphéméride du 11 novembre

    397 : Célébration de Saint Martin de Tours (mort le 8, enterré le 11) 

     

    Il est l'un des quatre patrons de la France, avec Remi, Denis et Louis (saint Michel étant, non patron, mais protecteur; Sainte Marie (depuis le Voeu de Louis XIII), Jeanne d'Arc et Thérèse de Lisieux étant les trois patronnes).

    S'il est reconnu pour avoir pratiqué le précepte évangélique de partage et d'amour du prochain (ci dessous, détail de la fresque dite Vie de Saint Martin, de Simone Martini), l'importance historique de Martin de Tours tient davantage au fait qu'il a créé les premiers monastères en Gaule, et qu'il a formé des clercs par la voie monastique.

    Aujourd’hui plus de 236 communes portent son nom en France et plus de 4.000 églises sont placées sous son vocable; son nom de baptême est devenu le nom de famille le plus fréquent de France. 

    saint-martin.jpg
     
     
     

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  • D'accord avec.... le Président de la République, pour un 11 novembre étendu à tous ceux qui sont morts pour la France.....

            ........depuis qu'elle existe en tant que telle, c'est-à-dire, au moins, depuis le triomphe de Bouvines, le dimanche 27 juillet 1214.

          On relierait ainsi, par dessus les siècles, ceux qui meurent pour la France aujourd'hui à ceux qui sont morts pour elle hier, les français d'aujourd'hui à ceux d'hier (le "milliard de fançais morts..."), manifestant l'ancienneté et la solidité de la Nation France.....

          Un 27 juillet qui, par parenthèse, serait une bien plus belle Fête nationale que l'ambigu 14 juillet, puisq'on ne sait pas trop qui célèbre, ce jour-là, les têtes au bout des piques du 14 juillet 89 - prémices de la Terreur - et qui célèbre - comme Marc Bloch - l'enthousiasme - certes, vite déçu et trompé, mais au moins sincère et pur, même s'il était naïf... - de la Fête de la Fédération.....

    PS : énième rapppel : tout propos, aussi bon soit-il, tenu au pied de ce grandiose monument souillé qu'est l'Arc de Triomphe de l'Etoile se retrouve, ipso facto, souillé, lui aussi, par la présence gravée dans la pierre du nom de deux génocidaires : Turreau et Amey, et de celui qui a conçu et organisé le premier Génocide des temps modernes : Lazare Carnot.

           A quoi sert-il de dire qu'on va garder le 8 mai férié pour rappeler la lutte contre le nazisme lorsqu'on le dit "sous" les noms de trois de ceux qui ont ouvert la voie à Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, Ceaucescu... au Goulag, au Lao Gai.... Il faut être sérieux..... 

    11 novembre

     Grand monument souillé, à "nettoyer" d'urgence.... 

    11 novembre

    11 novembre

     11 novembre