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Grandes "Une" de L'Action française - Page 7

  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana...(2/11)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    Cela pourra surprendre, mais L'Action française n'insista pas trop sur la Croisière, les tous premiers jours, ni sur la présence de Maurras à bord, pendant la première journée; ni sur sa brève rencontre avec le Comte de Paris...

    D'autre journaux relatèrent pourtant ces moments : tel, ci-dessous, Le Petit Marseillais...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : du 4 au 11 septembre 1934, la croisière du Campana... (1/11)

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    • Dans le numéro du Lundi 23 Juillet 34 (page deux)... :

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    • ...Et Dans le numéro du 31 août 34 (cliquez sur l'image pour l'agrandir) :

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    • Dès le premier juillet 1934 - à peine cinq mois après le "6 février" !... - L'Action française annonçait :

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    • Ensuite, après la Croisière, à partir du numéro du 18, l'A.F. publiera plusieurs fois ce pavé :

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    (Là aussi, cliquez sur la photo pour l'agrandir et pouvoir lire les lignes de Georges Gaudy...)

    L'Action française rendra compte du voyage, d'abord, à partir du 9, puis fournira maints commentaires, jusqu'au 25 septembre (notamment du 20 au 25, sous la plume enthousiaste et lyrique de Georges Gaudy).

    À noter : Maurras ne resta qu'un jour à bord, le premier, et débarqua le lendemain, le cinq, jour où le Prince embarqua; et Daudet ne fit pas partie du voyage, pas plus que Bainville, déjà touché par le mal qui devait l'emporter un peu plus d'un an après...

    C'est donc Maurice Pujo qui fut comme le "chef de file" des quatre cents Camelots et responsables du Mouvement qui eurent la chance de participer à ce beau moment, au nombre desquels figurait le Commandant Dromard, premier Président de l'Union Royaliste Provençale, qui était "en force", comme entouré de son état-major ! : Duneau, secrétaire général de la Fédération provençale; Jules Servent, Président des Camelots du Roi des Bouches-du-Rhône; le comte Léon de Montgrand, vice-président du Comité royaliste de Marseille (1)...

    • Avant le premier compte-rendu d'importance, le 9 (photo de titre), L'Action française du 4 annoncera sobrement, dans sa "Une" :

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Marseille, dimanche 19 novembre 33, "Grande réunion" et "Banquet médical", autour de Maurras et Georges Claude...

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    Voici l'annonce de cette réunion dans L'Ordre provençal, qui précise : 

    "Nos amis sont invités à faire la plus active propagande pour cette réunion qui s'annonce, d'ailleurs, comme un très grand succès. Les portes seront ouvertes à neuf heures et l'on commencera à dix heures, exactement. On peut se procurer des invitations au local de la section, 60 rue Grignan."

    Et, en effet :

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    Comme on peut le voir sur cette "Une" de notre mensuel de l'époque, le local de la section de Marseille était au 60 rue Grignan; notre mensuel en était à sa neuvième année (sa première parution est indiquée, par Gallica, "en 1925") et se présentait comme l' "organe mensuel de la Fédération provençale des Sections d'Action française"...

    La réunion et le Banquet eurent lieu à la Place Jean Jaurès, connue des Marseillais sous le nom de "La Plaine"...

    Voici la "Une" de L'action française du lendemain, lundi 20 novembre, qui rapporte l'évènement en première page, avec un "lire la suite en 2ème page)

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k765429k/f1.item.zoom

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (3/3)...

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    Voici la "Une" du Lundi 6 juillet, dernier numéro évoquant longuement la mort de "Léon" :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k768412d/f1.image

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    Ce numéro ne comporte que deux pages, comme celui du vendredi précédent...

    La "Une" du lendemain, mardi, ne comportera plus que des télégrammes de condoléances (dont celles du Maréchal Pétain) : trois "Une" auront donc été consacrées à celui qui permit au journal de voir le jour, quatre si l'on tient compte du fait que le numéro du samedi est aussi celui du dimanche...

    Il est encore, pour l'essentiel, largement consacré à la mort de Daudet. Les iniques sanctions vaticanes ont été levées depuis trois ans par le nouveau Pape, Pie XII, et l'on peut donc lire, par exemple, dans la "Une" des choses telles que celles-ci : le message de condoléances de "Florent du Bois de la Villerabel, Archevêque d'Aix, Arles et Embrun" :

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (2/3)...

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    Voici la "Une du samedi 4/dimanche 5 Juillet 42 (numéro unique pour les deux jours) :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7684111

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 1er juillet 1942, mort de Léon Daudet (1/3)...

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    Ce triste numéro du vendredi 3 juillet 42 n'a que deux pages (restrictions et difficultés dues à la guerre obligent...); il est imprimé à Lyon, 71 rue Molière, L. Gonnet étant gérant, avec six colonnes à la Une, comme d'habitude, mais sept en seconde page...

    Voici le lien qui y donne accès :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k768410n/f1.image

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  • Grandes "Une" de L'Action française : À l'Assemblée, le discours de Léon Daudet, Député de Paris, en défense des "Humanités"...

     

    Le 22 Juin 1922, Député de Paris à la Chambre bleu horizon, Léon Daudet y prononça un discours vigoureux en défense des "Humanités". Bien entendu, L'Action française publia ce discours mais, étant donné sa longueur, elle le fit sur trois numéros : ceux des mercredi 28, jeudi 29 et vendredi 30 juin suivants...

    • Pour ceux qui préfèreront lire le discours d'une seule traite, en voici l'intégralité :

    http://xaviersoleil.free.fr/lectures-impressions/defense-humanites-greco-latines-daudet.html

    Et, dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudetvoir la photo "Défense des Humanités" 

    22 juin,napoléon,cent jours,waterloo,québec,niemen,1812,russie,grande armee,bonaparte,chateaubriand

    C'est en 1919 que fut lancée la Collection des Universités de France, dont les volumes sont plus connus sous le nom familier de "Budés" : les volumes de littérature latine - de couleur rouge - sont marqués de la louve romaine du musée du Capitole, tandis que les volumes grecs - de couleur jaune - arborent la chouette d'Athéna.
    La collection a pour but d'éditer tous les textes grecs et latins jusqu'à la moitié du VIème siècle, accompagnés de leur traduction française, d'une introduction, de notes et d'un appareil critique.

    "...Les Humanités, créant une élite, créent du même coup une aristocratie, aussi haïssable que l'autre, aux yeux des pauvres diables qui prennent Zola pour un écrivain et le Concile de Trente pour une réunion de trente curés... (les Humanités) enseignent l'autorité, la hiérarchie et l'ordre dans le domaine des idées. Elles font ainsi de la restauration mentale le prélude de toute restauration civique..." (Léon Daudet, Les Humanités et la culture, Édition du Capitole, page 23)

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Léon Daudet annonce la guerre, au lendemain de l'arrivée au pouvoir (démocratiquement !) d'Hitler...

     

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    Voici la Une du Mercredi premier Février 1933 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7651377

    Maurras , Bainville et Daudet sont là, comme d'habitude, à leurs places habituelles, et aussi J. Delebecque, avec un article sur les élections en Allemagne, qui se prolonge en page deux et se termine par cette lucide et accablante question :

    "...Couloir polonais, remilitarisation de la zone rhénane, Hongrie, Yougoslavie ? La matière inflammable est accumulée de tous les côtés. Où plaira-t-il aux incendiaires de jeter l'allumette ?".

    En 1918, après notre belle victoire trop chèrement payée, Clemenceau - le "Perd la Victoire" comme l'appela alors Maurras - ne voulut pas démembrer l'Allemagne, comme il avait démembré l'Autriche-Hongrie; Bainville avait aussitôt prévenu : c'est "la guerre pour dans vingt ans", avec une Allemagne revancharde qui créera un parti "socialiste-national" (il ne se trompait que sur l'ordre des mots !)... et, maintenant que le Pays légal, poussé par les traîtres pacifistes et les anglo-saxons, a gâché la paix, voilà qu'Hitler est élu !

    Eh, oui ! L'élection, cela peut donner... des Frères musulmans (terroristes islamistes) ou... un Hitler ! Pardon pour la digression : on n'a pas pu s'en empêcher !

    Dès la conclusion du calamiteux Traité de Versailles, L'Action française, mais aussi l'Armée et, même non royalistes, tous les patriotes sincères et lucides avaient demandé le démembrement de l'Allemagne... (Voir Grandes "Une" de L'Action française : 29 juin 1919, signature du calamiteux Traité de Versailles...)

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    Puis Bainville, dans son Journal, avait dénoncé Hitler, le premier de tous, le premier au monde, dès 1930 !...

    Dans notre Catégorie Lire Jacques Bainville, lire ses deux notes :

    • Lire Jacques Bainville (XLIII) : Dénonciation des persécutions antijuives et du racisme hitlérien...

    • Lire Jacques Bainville (XXXI) : Sur "l'énergumène" Hitler, dès 1930... (I)

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    Maintenant, donc, après toutes ces folies et ces occasions perdues, la nouvelle guerre, après la victoire de 18, est pour demain : et c'est Léon Daudet qui se taille la part belle dans cette "Une", avec son article intitulé : "Hitler et l'oeuvre de Briand".

    Mais on va voir qu'il y aussi d'autres choses intéressantes dans ce numéro du premier février, en plus des "articles phares" "Daudet/Maurras/Bainville" :

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    • la revue de presse, signée Pierre Tuc, en page trois...

    • et, en page trois et quatre, dans la rubrique "L'activité de nos sections", la relation de la Fête des Rois dans les onze "zones" militantes du mouvement : l'occasion de voir un peu comment nous étions organisés à ce moment-là; et aussi, de lire une "séquence émotion", de "nostalgie/nostalgérie" avec la onzième et dernière de ces zones, les sections d'Algérie : Sidi bel Abbès, Mascara, Mostaganem, Blida et Tlemcen...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) Et un exemple des Cortèges à Paris et en France, en 1933...

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    Voici la "Une" du Lundi 15 Mai 1933 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7652407/f1.item.zoom

    Trois sujets, dans les six colonnes de cette "Une", qui occupent quasiment deux colonnes chacun :

    1. Colonne 1 et 2 : le discours de Léon Daudet au Banquet des Étudiants... :

    Dans ce discours, un moment très émouvant, celui où Daudet raconte l'une de ses entrevues avec Clemenceau, lorsqu'il lui présenta son jeune fils François :

    "...Le seul républicain énergique, Clemenceau, n'a pas fait tout ce qu'il fallait. Vers la fin de sa vie, le vieux chouan s'en rendait compte. Un jour, il me tint ces propos : "La France succombe sous les coups du socialisme et du Vatican. Je vais mourir, et je regrette de n'avoir pas fait fusiller Caillaux et Malvy." (Sensation). Ce jour-là, je lui présentais mon fils François. Clemenceau me dit : "Il est bien malheureux de penser que par la faute de toutes ces canailles, votre petit François risque d'être tué sur un champ de bataille comme votre Philippe a été tué dans la librairie Le Flaoutter." (Le public très ému se lève)...

    2. Colonne 3 et 4 : les cinq paragraphes de "La Politique", de Maurras...

    3. Enfin, les deux dernières colonnes (5 et 6) sont consacrées à la Fête nationale, le compte-rendu se poursuivant en page 2 :

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  • Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) 1921, le premier Cortège d'une "Jeanne" devenue Fête officielle...

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    Voici la "Une" du Lundi 9 mai 1921 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k760851f/f1.image

     

    La veille, pour la première fois, ce n'était plus L'Action française, seule avec ses amis et sympathisants, qui défilait pour rendre hommage à la Sainte de la Patrie, comme on le voit sur cette photo du Cortège de 1919 : les anciens combattants d'AF, encore en uniforme, défilent par quatre avec un chef de groupe...

    Défilé de Jeanne d'Arc 1919

    Maintenant, grâce à l'action du mouvement tout entier, du journal et des Camelots du Roi, qui totalisèrent un record de 10.000 jours de prison cumulés, le culte de Jeanne d'Arc a été imposé au Pays légal, au Système, et l'Assemblée nationale a décrété, le 10 juillet 1920, que le deuxième dimanche du mois de mai serait, dorénavant, "Fête nationale de Jeanne d'Arc et du Patriotisme"... 

    La satisfaction profonde du mouvement tout entier se lit dans le titre qui barre toute la "Une" :

    LE TRIOMPHE DE JEANNE D'ARC

    Les deux tiers inférieurs des deux colonnes de droite (5ème et 6ème) débutent le récit de la journée, qui se pour suivra dans la plus grande partie de la page deux...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : En 1911, Bainville étrillait déjà les élucubrations et délires des "dé-constructeurs" d'aujourd'hui !...

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    Voici la "Une" du Dimanche 22 Janvier 1911 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k757155g

    Pas de Maurras ni de Daudet dans ce numéro... Juste Maurice Pujo, qui écrit un court billet, "Le Régime politique, pour Lucien Lacour" et Léon de Montesquiou qui occupe quasiment les deux premières colonnes, avec un long article sur "La noblesse".

    Seul des "trois", ce jour, c'est Bainville qui, jusqu'à la guerre, signe par un discret "Léonce Beaujeu" une sorte de rubrique intitulée "Au jour le jour".

    L'article de la rubrique de ce 22 janvier est pétillante d'ironie et de profondeur - mais on dira que c'est toujours le cas, chez Bainville... - et s'intitule

    "L'homme sans prénom"

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Madrid, 19 Mai 39, le grandiose Défilé de la victoire (2/2)

     

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    ... et voici la "Une" du lendemain, Samedi 20 Mai :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7674336/f1.image

    Comme la veille, le compte-rendu est toujours enthousiaste mais, après Pierre Héricourt, il est signé J. Dourec; il occupe le haut des deux colonnes quatre et cinq, avec un "lire la la suite en troisième page"...

    1. En page une.... :

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Madrid, 19 Mai 39, le grandiose Défilé de la victoire (1/2)

     

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    Nous sommes le 19 Mai 1939 : un an auparavant (il avait alors 70 ans) Maurras avait effectué un voyage triomphal, du 3 au 10 mai 38, dans "l'Espagne de Franco". Il y rencontra, naturellement le Généralissime; il apparut au balcon du premier étage de la Mairie d'une localité de la ligne de front, où il fut acclamé par la foule et où un détachement militaire défila devant lui, en lui rendant les honneurs; il passa des troupes en revue...

    Nous avons taché de raconter ce voyage dans cinq de nos Grandes "Une" :

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (5/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (4/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (3/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (2/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (1/5)

    Un an après, presque jour pour jour, ce que toute la France patriote espérait est, enfin arrivé : Franco a gagné, et les forces unies de la Tradition ont écrasé sur le champ de bataille ("en campo abierto y buena lid") celles de la Révolution et de l'horrible République espagnole !

    Et, ce magnifique 19 Mai, à Madrid, elles défilent fièrement, ces troupes victorieuses, devant celui qui les a emmenées à la victoire...

    Et, naturellement, L'Action française "y était"...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 20 septembre 1920, Bainville, Chevalier de la Légion d'honneur

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    Voici la "Une" du mercredi 22 septembre 1920 (le Décret a été pris le lundi précédent, 20 septembre) :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k760621s

    Sous le modeste titre "Échos", la nouvelle est annoncée en plein milieu du journal, par un pavé non signé, au milieu de la quatrième colonne :

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    Oui, comme le dit ce court "écho" - dont le style fait irrésistiblement penser que Maurras en est le rédacteur - "...Tous nos lecteurs et amis, tous ceux qui connaissent, qui suivent, l'oeuvre si hautement patriotique de Jacques Bainville, tous ceux qui apprécient le magnifique talent de l'auteur de l'Histoire de deux peuples et de l'Histoire de trois générations, la force et la sûre lumière de ses vues prophétiques sur la politique du monde, applaudiront, avec L'Action française tout entière, à la distinction dont il est l'objet de la part d'un gouvernement qui tient à se montrer français..."

     

    Tirée de notre Album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville, la photo "Chevalier de la Légion d'honneur"  :

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    Jacques Bainville est reconnu, respecté et honoré par le Pays légal : quand éclate la Guerre, il se rend en Russie, avec un ordre de mission du ministère des Affaires étrangères, dans le cadre de la Maison de la Presse et de la section de propagande, dirigée par Philippe Berthelot.
    Là bas, il a pour mission d’apprécier l’esprit public et l’opinion qu’on y a de la France.
    Il est, de fait, spectateur des dernières heures du régime tsariste.
    Jacques Bainville était bien, comme le dit Dickès, "le lien entre la République et le Roi"...
    Ce royaliste convaincu, qui écrivait chaque jour dans L'Action française, fut nommé Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 20 septembre 1920, pris sur le rapport du ministre des Affaires étrangères, Alexandre Millerand.
    Bainville était déjà Commandeur de la Couronne d'Italie et de celle de Roumanie, Chevalier de l'Ordre de Léopold, l'ordre militaire et civil le plus important de Belgique : dans ses "Détails sur les services extraordinaires rendus par le candidat", son dossier stipule qu'il s'est révélé "un de nos publicistes les plus éminents et (qui) occupe une une situation des plus en vue dans le monde de la presse, aussi bien en France qu'à l'étranger. Spécialisé dans les questions de politique extérieure où il écrit depuis plus de quinze ans, a publié dans L'Action française, dans La Liberté et dans Excelsior des articles remarqués. Dirige La Revue universelle, écrit dans La Revue des Deux Mondes et dans d'autres périodiques des écrits de grande valeur. A publié plusieurs ouvrages de politique extérieure où il a toujours fait preuve d'une compétence éprouvée et s'est montré écrivain de grand talent."

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    Bainville.jpg• l'article quotidien de Bainville - très court - est bien là, juste en dessous du pavé et dans la partie haute de la colonne (où il n'occupe que dix-neuf lignes !).

    Son titre :

    "Surveillance nécessaire. L'Allemagne et la réunion de l'Autriche..."

                    

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    Merveilleuse lucidité !...

     

    • Léon Daudet signe le sien "Député de Paris" (poste qu'il occupera,DAUDET.jpg dans la "Chambre Bleu horizon", du 16 novembre 1919 au 31 mai 1924).

    Il y tonne contre "Un péril national. Un cabinet Briand ?...!" sur toute la colonne de gauche et la moitié supérieure de la deuxième... Il n'aime pas Briand, en vrai patriote français, et il le dit carrément : "...La carrière politique de Briand a toujours reposé sur un certain compromis entre les conservateurs aveuglés, et les révolutionnaires amadoués, compromis dont les conservateurs faisaient les frais et dont les révolutionnaires tiraient les marrons. Clemenceau aussi, naguère, s'y laissa prendre; puis brusquement, dans l'éclair génial qui l'anima du 22 juillet 1917 au 11 novembre 1918, il y vit clair..."

    (extrait)

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    maurras.jpg• enfin, les quatre paragraphes de "La Politique" de Maurras occupent trois colonnes : la moitié de la deuxième, toute la troisième et la moitié supérieure de la quatrième, s'arrêtant juste au-dessus du "pavé" annonçant la nomination de Bainville...

    Puis Maurras écrit une brève réponse à une lettre reçue d'un ami brésilien et lance un appel à la générosité des lecteurs, sous le titre "Les millions de la Reconstitution nationale", afin de donner à l'action du journal "les moyens de la soutenir et de la développer." : "...La conquête d'un auditoire non seulement européen mais universel a tours été parmi les objectifs de L'Action française. On peut dire aujourd'hui que, pour plus d'une grande nation, cet objectif est atteint..."

    Cette réponse commence en cinquième colonne, juste en dessus de la fin de l'article de Bainville, et s'achève en haut de la sixième et dernière colonne de droite, dont elle occupe un peu moins de la moitié...

    Le journal emprunte à la lettre de ce lecteur sa "manchette du jour" :

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    Pour lire les articles...

    En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...

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  • Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) Nazisme et communisme ? À égalité dans l'horreur ! Et faits pour d'entendre : Maurras prend le pari... gagnant !

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    Voici la "Une" du mardi 22 Août 1939 :

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    Et les photos des deux "Une" des deux jours suivants :

    le mercredi 23...

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