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Au Cinéma... - Page 32

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Carbone.

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    A la télé : Carbone, un policier d’Olivier Marchal avec Benoît Magimel, Gérard Depardieu, Laura Smet et Dani.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Tu ne tueras point.

    (France 3 a rediffusé hier soir l'excellent film Tu ne tueras point et notre ami Guilhem de Tarlé, en prévision de cette rediffusion, nous a envoyé hier la chronique qu'il avait déjà rédigé en son temps sur ce film).

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    A la télé : Tu ne tueras point, un film de guerre (2016) de Mel Gibson, avec Andrew Garfield.

    D’après l’histoire vraie de Desmond Doss.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Apocalypse : La guerre des mondes 1945-1991.

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    A la télé : Apocalypse : La guerre des mondes 1945-1991, un film français de Daniel Costelle, avec Mathieu Kassovitz comme narrateur.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : La vérité.

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    A la télé : La vérité, un film français de 1960  réalisé par Henri-Georges Clouzot, avec Brigitte Bardot (Dominique Marceau), Charles Vanel (l’avocat de Dominique Marceau), Samy Frey (Gilbert Tellier, la victime) et Paul Meurisse (l’avocat de la mère de la victime).

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Walk in the line.

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    A la télé : Walk the line, un film américain de 2005  réalisé par James Mangold, avec Joaquin Phoenix (Johnny Cash) et Reese Witherspoon (June Carter)

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : La communion.

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    Oscar du meilleur film étranger : La communion, un film polonais de Jan Komasa, avec Bartosz Bielenia (Daniel)
    basé sur des faits réels..

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : de Gaulle.

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    En Avant-Première : de Gaulle, un film français de Gabriel Le Bonin, avec Lambert Wilson, Isabelle Carré, Félix Back, Lucie Rouxel et Clémence Hittin (de Gaulle, son épouse Yvonne Vendroux, ses enfants Philippe, Elisabeth et Anne), Olivier Gourmet (Paul Reynaud), Gilles Cohen (Georges Mandel), Pierre Hancisse (Geoffroy Chaudron de Courcel).

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Dark Waters.

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    A l’affiche : Dark Waters, un film américain de Todd Haynes, avec Mark Ruffalo (l’avocat Robert Bilott),
    d’après une histoire vraie.

     

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : L’Adieu (The Farewell).

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    A l’affiche : L’Adieu (The Farewell), un film américano-chinois de Lulu Wang,
    inspiré de l’histoire de la grand-mère de la réalisatrice.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : La Fille au bracelet.

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    A l’affiche : Proxima, un film franco-allemand d’Alice Winocour, avec Eva Green (Sarah Loreau, l’astronaute), Zélie Boulant-Lemesle (Stella, sa fille), et la participation de Thomas Pesquet.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le cas Richard Jewell.

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    A l’affiche : Le cas Richard Jewell, un film de Clint Eastwood, avec Paul Walter Hauser (Richard), kathy Bates (Bobi, sa mère), Sam Rockwell (Watson Bryant, son avocat), Nina Arianda (Nadia Light, la collaboratrice de l’avocat), Olivia Wilde (Kathy Scruggs, la journaliste), Jon Hamm (l’agent du FBI)
    basé sur des faits réels.

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  • Au cinéma : Monsieur Aznavour…, par Guilhem de Tarlé. Un bel hommage à ce trésor immense : notre si belle Langue française...

    Monsieur Aznavour - Film 2024 - AlloCiné

     

    A  l’affiche : Monsieur Aznavour… un film français de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, avec Tahar Rahim dans le rôle-titre, Camille Moutawakil (Aïda Aznavour, sœur du chanteur), Bastien Bouillon (Pierre Roche, compositeur) et Marie-Julie Baup (Edith Piaf).

    " Longtemps, longtemps, longtemps
    Après que les poètes ont disparu
    Leurs chansons courent encore dans les rues".


    1951, Charles Aznavour, qui aurait fêté ses 100 ans cette année, vit en « génie con » dans la lumière d’Edith Piaf et, à l’écoute de Charles Trenet et de L’Âme des poètes, sans doute rêve-t-il à la gloire : « Bien que miséreux, avec le ventre creux, nous ne cessions d’y croire ».

    C’est seulement une dizaine d’années plus tard que sa voix et « Je m’voyais déjà » percent le mur du silence et du dénigrement :

    « Mais un jour viendra, je leur montrerai que j’ai du talent ».

    Il n’est pas, je le confesse, dans le trio de tête du panthéon de mes chanteurs préférés, à savoir les 3 B (Brassens, Brel et Barbara), mais il est le premier de la concurrence très lourde de ce 3ème quart du vingtième siècle, que constituent les Bécaud, Ferré, Ferrat, les Frères Jacques et les Compagnons de la Chanson, Yves Montand, Félix Leclerc, Juliette Gréco, Mouloudji, Guy Béart, Claude Nougaro, et encore bien d’autres comme Henri Tachant, Maurice Fanon, Georges Chelon, jusqu’aux meilleurs des « yé-yé ».

     

    A l’époque malgré l’arrivée des rockers anglo-américains, on chantait encore français, et ce fils de réfugiés arméniens s’en vante comme le rapporte un recueil de ses chansons – poètes d’aujourd’hui – publié chez Seghers en 1964 : « je savais, moi, que J’étais français par la langue. En découvrant cette langue, j’ai trouvé un pays. Le français m’a révélé la France. Encore aujourd’hui, j’aime sûrement la langue française plus que n’importe quel lieu de France ».


    Merci aux réalisateurs de ce magnifique hommage rendu à ce Français « par la langue chantée » et merci à Monsieur Tahar Rahim de l’avoir si bien incarné.

    C’est aussi un hommage à l’esprit de conquête, à la volonté de réussir, et au Travail : « j’ai appris mon métier en travaillant tous les jours, depuis l’âge de dix-sept ans » nous dit-il dans le recueil cité plus haut, et nous chante-t-il dans « Mes Emmerdes » :

     

    « J’ai travaillé,

    Des années

    Sans répit,

    Jour et nuit

    Pour réussir,

    Pour gravir

    Les sommets ».

     

    Je ne voudrais pas encourir vos reproches, et les siens –« Tu t’laisses aller » -, en prolongeant plus avant ce commentaire – « Il faut savoir quitter la table » - même si je ne résiste pas à l’idée de conclure sur le podium de ses quelque 400 titres : La Bohême, La Mamma et Non je n’ai rien oublié ».

     

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  • Au cinéma : Un Homme en fuite, par Guilhem de Tarlé

    Festival Reims Polar : Un Homme en fuite, un film français de Baptiste Debraux, avec Léa Drucker (le commissaire de police), Bastien Bouillon et Pierre Lottin (les deux amis d’enfance, Paul Ligre et Johnny).

    Un Homme en fuite … Je n’irai pas jusqu’à écrire que ce film est à fuir… mais il est très médiocre.
    Malgré Léa Drucker et Bastien Bouillon, c’est très nettement le moins bon, après LaRoy et surtout Borgo, des trois long-métrages du festival de Reims vus en moins d’un mois.

    Sur un fond de lutte sociale et de violence de droit commun, le cinéaste met en scène l’amitié indéfectible, au-delà des trahisons, et les souvenirs d’enfance : Bonjour les « flash back ».
    Bref un film de série B pour la télévision… quoique…
    Quoique, précisément, nous avons eu la chance de revoir, ces jours-ci, sur France 2, avec le même Bastien Bouillon, un excellent docufiction de 2022, La nuit du 12, et aussi, et surtout, un très bon téléfilm Parents à perpétuité, adapté du livre éponyme (2016) de Sophie et Dominique Moulinas, dont le fils âgé de 17 ans, a violé une collégienne.

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