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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le féminisme de droite est-il persécuté ?

    En réaction à l'arrestation de Yona, la très intéressante intervention de Mathieu Bock-Côté, chez Christine Kelly, dans Fac à l'info :

    (extrait vidéo 14'51)

    https://x.com/DamienRieu/status/1778071974222147869

     

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  • La conférence de Jean-Pierre Chauvin, au Centre Lesdiguières...

    lafautearousseau annonce, à chaque fois, les conférences de nos amis du Centre Lesdiguières, puis met en ligne - à chaque fois que nous les recevons - les vidéos de ces conférences.

    Aujourd'hui, c'est Jean-Philippe Chauvin qui est venu parle du Royalisme social :

     

  • Éphéméride du 12 avril

    1927 : Le château de Villandry et ses jardins, inscrits aux Monuments Historiques

     

     

     

    1229 : Fin de la Croisade des albigeois 

     

    Un traité est signé à Paris entre Blanche de Castille, régente, mère de Louis IX, et Raymond VII, comte de Toulouse, contraint, par sa défaite, à en accepter les termes.

    L’accord met fin à la Croisade menée contre les Albigeois, ou cathares, depuis 1209.

    Le comte doit céder une grande partie de ses terres au royaume de France (par exemple, les sénéchaussées de Beaucaire et Carcassonne) mais conserve le comté de Toulouse et le Lauragais.

    Il s’engage également à marier Jeanne de Toulouse, sa fille unique et, donc, son héritière, à Alphonse de Poitiers, frère cadet du roi : le Comté de Toulouse ira aux enfants de ce mariage, et à défaut d'enfants, reviendra à la Couronne.

    Ainsi, à sa mort, le reste de son territoire reviendra définitivement au royaume de France (sur l'importance de la Croisade des Albigeois dans l'extension territoriale du Royaume de France, voir notre Éphéméride du 16 mars

     

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    Ratification du traité de Paris par Raymond VII, comte de Toulouse.
    Acte en latin donné le 12 avril 1229, scellé d'un sceau de cire verte appendu sur lacs de soie verts  
     

    Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes voir la photo La croisade des Albigeois 

     

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  • Colloque en hommage à Jean-François Mattéi, l’homme d’un idéal, d’une vision, d’une transcendance, les jeudi 11 avril et vendredi 12 avril...

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    Université Côte d’Azur-CRHI

    Chaire Jean-François Mattéi-CUM

    Sous la direction d’Hervé Pasqua, Centre d’Histoire des Idées


    Philosophe, Jean-François Mattéi est l’auteur d’une oeuvre riche et profonde. Sa pensée éclairée, nourrie de la lecture des Présocratiques et de Platon, en dialogue avec la pensée de Nietzsche et de Heidegger, s’est exprimée dans des ouvrages qui sont autant de coups de projecteurs sur la condition faite au XXe siècle à l’homme dévasté : « La dévastation, écrit-il, est l’action d’un homme qui se déserte de lui-même et du monde ». Ce colloque se propose de mettre en avant cette recherche de la transcendance en rendant hommage à l’homme,
    au philosophe, au professeur, à l’auteur, à l’ami, dont nous célébrons le dixième anniversaire de la disparition qui eut lieu le 24 mars 2014.

    https://www.cum-nice.org/agenda/colloque-en-hommage-a-jean-francois-mattei-1941-2014-lhomme-dun-ideal-dune-vision-dune-transcendance

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Dette, déficits : si ce n’est toi, c’est donc Le Maire…
     
    Le toujours excellent édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
     
    "La pique d'@EmmanuelMacron à @BrunoLeMaire, le «ça fait sept ans que tu es là » peut s’appliquer à la sécurité, à l’immigration, à l’école...
    Au fond, le « il serait temps de s’y mettre » c’est une excellente définition de la procrastination, donc du macronisme." 
     
    (extrait vidéo 4'08)
     
     
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  • Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) Novembre/Décembre 1938, Charles Maurras est en tournée en Algérie...

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    • Voici maintenant l'intégralité de ce qui se trouve dans la page cinq du numéro du Lundi 12 Décembre :

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    • À tout seigneur, tout honneur : commençons donc par le "discours de bienvenue du Maire d'Alger à Charles Maurras" : Alger, grande ville française (partie supérieure des deux colonnes de droite)... :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Soljénitsyne reçu par Bernard Pivot, dans "Apostrophes"...

    1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."

     

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    Bernard Pivot raconte :

     "...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..." 

     

    Deux de nos Grands Textes sont de Soljénitsyne : 

    1. Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral ...

    2. ... et son  Discours d'Harvard.

  • Éphéméride du 11 Avril

    Marseille, aujourd'hui

     

     

    13 mars,germain pilon,renaissance,francois premier,henri ii,saint denis,jean goujonIl y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-choseou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".

    Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel  à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.

    Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :  

     1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)

     2. Splendeur et décadence : Les diamants de la Couronne... Ou : comment la Troisième République naissante, par haine du passé national, juste après avoir fait démolir les Tuileries (1883) dispersa les Joyaux de la Couronne (1887), amputant ainsi volontairement la France de deux pans majeurs de son Histoire. (12 février)

     3. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France. (15 février)

     4. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. II : La basilique de Saint-Denis, nécropole royale. (19 février)

     5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française. (13 mars)

     6. Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France. (11 avril)

     7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien. (28 avril)

     8. Les Chambiges, père et fils (Martin et Pierre), constructeurs de cathédrales, élèvent à Beauvais (cathédrale Saint-Pierre) le choeur ogival le plus haut du monde : 46 mètres 77 !... (4 mai)

     9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile. (28 mai)

     10.  Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650. (26 juillet)

     11. Le Mont Saint Michel. (11 août)

     12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord. (29 septembre)

     13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé. (27 octobre)  

     

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    Aujourd'hui :  Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France. 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    On commence à recevoir, par bribes, des informations concrètes et détaillées concernant le successeur du Charles de Gaulle... Le Capitaine de vaisseau Alban est venu le présenter dans le grand amphithéâtre de l’école navale de Lanvéoc-Poulmic, dans le Finistère, et a aussi répondu aux nombreuses questions qui lui furent posées : 

    • sa propulsion nucléaire lui permettra dix ans d’autonomie de navigation;

    • il sera le plus grand bâtiment jamais construit en Europe;

    • avec ses 75.000 tonnes, il surpassera très largement les 42.500 tonnes de l'actuel Charles-de-Gaulle (qui quittera le "service actif", normalement, en 2038);

    • il pourra embarquer une quarantaine d’aéronefs, des Rafale Marine, des hélicoptères, des drones et peut-être le futur avion de combat issu du programme SCAF (système de combat aérien du futur);

    • son équipage sera de 2.000 hommes et femmes, et l'effectif total embarqué sera proche de 5.000 personnes;

    • la France sera la seule, avec les États-(Des)Unis à disposer d’un tel bâtiment...

    Deux choses à dire, pour nous :

    1. Nous voulons qu'il s'appelle "Le Richelieu" (nom que devait, initialement porter l'actuel Charles de Gaulle)...

    2. Et nous voulons qu'il ait un petit frère... (genre "Le Bayard" ou "Le du Guesclin" ou l'un de ces noms glorieux dont notre Histoire ne manque pas. Pourquoi pas "Le Jeanne d'Arc" ?...)

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  • Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) Novembre/Décembre 1938, Charles Maurras est en tournée en Algérie...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    Fin novembre/début décembre 38, Maurras effectua une tournée en Algérie, avec Maxime Réal del Sarte et Joseph Delest : tous les trois seront reçus chaleureusement à Oran, Alger, Sidi-Bel-Abbès, Philippeville, Batna, Bougie, Tlemcen, Mostaganem, Bône, Blida...

    L'embarquement eut lieu à Marseille (pour Oran) le 26 novembre; l'embarquement "retour" eut lieu le samedi 10, à Philippeville, toujours pour Marseille, d'où Maurras se rendit au Banquet d'Hyères...

    Nous allons raconter ce voyage - qui fut un très grand succès - en deux livraisons, en nous permettant deux entorses à notre règle habituelle concernant la "Une" mise en avant de la note :

    • la "Une" ci-dessus n'est pas celle du jour du départ de Maurras, qui n'est annoncé que par un tout petit pavé, certes en "Une", mais, si l'on peut dire, "sans plus", dans le numéro du vendredi 25 novembre; comme cela n'est pas très "parlant" pour une "Grande "Une"...", nous avons préféré mettre, pour cette première livraison, la "Une " du mardi 6 décembre, avec, en bas de page, occupant les quatre colonnes centrales, les deux photos de Maurras déposant deux gerbes, l'une à Sidi-Bel-Abbès, l'autre dans "la cour de la caserne du 1er Etranger"...

    • et, dans notre seconde livraison sur ce voyage triomphal, nous mettrons en avant non pas une "Une" mais une "Cinq" ! : celle du lundi 12 décembre, dont la page cinq est presqu'intégralement consacrée aux discours de bienvenue et à un très intéressant article sur... l'Algérie !...

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    • Voici donc, maintenant, pour commencer le récit, et reprendre l'ordre logique et chronologique, le "détail" de cette "Une", concernant le début de la tournée de Maurras, dans le numéro du Vendredi 25 Novembre 1938 : Maurras vient d'embarquer, à Marseille, le 24, et il commencera ses conférences par Oran, dès le 26... :

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    • En "Une" du numéro du Dimanche 27 novembre (en bas de la cinquième colonne), on a quelques précisions sur le programme général de la tournée et d'autres lieux de réunion :

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  • Au cinéma : Une vie, par Guilhem de Tarlé

    Une vie - Film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Une Vie,  le premier long-métrage, britannique, de James Hawes, avec Anthony Hopkins (Nicholas Winton),
    d’après le livre de Barbara Winton, publié en 2014, qui raconte le haut fait de son père.

    « Ce qui fait l’Histoire, selon notre conception occidentale et chrétienne, c’est la volonté des hommes, c’est l’intelligence des hommes, ce sont leurs passions ».

    Rappelons-nous avec émotion cette profession de foi du Colonel Bastien-Thiry à son procès, alors qu’en ce jour anniversaire nous faisons mémoire (le devoir de mémoire) de son exécution le 11 mars 1963. Je n’ai pas souvenance qu’à cette époque le « Panthéonisé » Robert Badinter, ni personne à gauche, ni personne chez les Gaullistes, se soit élevé contre la Peine de mort !

    Une Vie raconte l’action d’un Homme de volonté, un héros méconnu, Nicholas Winton, l’un de ces Hommes qui font l’Histoire, en sauvant 669 enfants de la barbarie nazie.
    Il y a aujourd’hui environ 6 000 personnes qui lui doivent leur existence.

    1938, les 29 et 30 septembre sont signés les « Accords de Munich » par la France, la Grande-Bretagne, l’Italie et l’Allemagne, en l’absence de la Tchécoslovaquie. Ils reconnaissent l’annexion par l’Allemagne du pays des Sudètes à savoir, en Tchécoslovaquie précisément, bordant la Bohême et la Moravie, le long de la frontière du Reich, une région dont les 3 millions d’habitants germanophones avaient demandé vainement en 1919 leur rattachement à l’Allemagne.
    Au lendemain de ces accords, l’Allemagne occupa ce « pays des Sudètes », et provoqua ainsi une fuite de réfugiés vers Prague, la capitale tchécoslovaque en plein cœur de la Bohême.
    Informé par un ami, Nicholas Winton s’investit dans leur accueil puis, dès l’invasion des pays tchèques de Bohême et de Moravie, le 15 mars 1939, il affrète des trains d’enfants, pour la plupart juifs, vers le Royaume Uni.

    Le film, malheureusement, n’est pas très didactique sur l’enchainement de tous ces événements, ni même sur les raisons de l’engagement du banquier Nicholas Winton, sans doute à cause du choix du réalisateur de procéder par « flash-backs ». Il nous instruit néanmoins et met en valeur une action héroïque et un véritable grand homme, à la veille de la deuxième guerre mondiale, dont on salue – et ce n’est pas le moindre de ce qu’il fut – l’humilité qui l’a caché au grand public jusqu’à ce jour.
    En France, il mériterait, lui, certainement, le Panthéon.

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  • Éphéméride du 10 avril

    1916 : Bataille de Verdun (photo : l'Ossuaire de Douaumont)

     

     

     

    1028 : Mort de Fulbert de Chartres 

     

    De L'Encyclopedia universalis :

    "Né près de Rome dans une famille pauvre, Fulbert eut pour maître un évêque italien, séjourna un peu à Rome, puis, vers 984, vint à Reims pour y suivre les leçons de l'illustre Gerbert d'Aurillac, le futur pape Silvestre II. En 992, il se rendit à Chartres pour apprendre la médecine. Bientôt il fut nommé maître, chancelier et chanoine. En 1006, la faveur du roi Robert le Pieux, qu'il connaissait depuis longtemps, le porta à l'évêché de Chartres. Fulbert acquit un prestige considérable auprès de ses contemporains; sa correspondance est une source importante de l'histoire de son temps. Après l'incendie de 1020, il reconstruisit sa cathédrale; la crypte actuelle est son œuvre.

    Fulbert est vénéré comme saint à Chartres.

    Disciple de Gerbert et utilisant comme celui-ci les grands texte de la logica vetus  Fulbert donne, par son enseignement à l'École cathédrale de Chartres, l'élan qui fera d'elle, au XIIème siècle, un centre d'études important, illustré par des penseurs de premier ordre (tels Bernard et Thierry de Chartres, Gilbert de La Porrée, Guillaume de Conches) et caractérisé par son intérêt pour les arts libéraux ainsi que par ses recherches philosophiques sur l'origine et la nature de l'univers.

    C'est à Fulbert que la célèbre école de Chartres doit ce goût de la science et des études profanes qui l'amènera à déborder les cadres du quadrivium dans le sens d'un "humanisme avant la lettre."  

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    http://nominis.cef.fr/contenus/saint/948/Saint-Fulbert.html 

     

    Sur les incendies et reconstructions de la cathédrale voir l'Éphémeride du 10 juin et l'Éphémeride du 17 octobre...

     

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  • Mercredi 10 Avril : Jean-Philippe Chauvin sera l'invité du Centre Lesdiguières...

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    LE CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
    Communication Culturelle, vous invite le mercredi 10 avril à 19h à la conférence de Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire en lycée public et royaliste social revendiqué :


    Les royalistes face à la question sociale, de la Révolution à nos jours.



    En 1791, la Révolution française détruit l’ordre social corporatif, au nom d’un libéralisme: ainsi, «le prolétariat naît de la Révolution française», (dixit le comte de Paris) la République n’aura guère de scrupules à faire tirer sur les ouvriers durant le XIXe siècle, siècle de l’exploitation des travailleurs de l’usine et de la mine.
    Les rois de France et les royalistes sociaux cherchent des solutions à la terrible question sociale, dans les villes comme dans les campagnes : Villeneuve-Bargemont, puis La Tour du Pin, Albert de Mun, et Maurras lui-même… dénonçant les conditions de travail et de vie des ouvriers.
    Aujourd’hui, la question sociale n’est toujours pas réglée, et les Gilets jaunes comme les paysans français et les ouvriers démontrent, par leurs colères respectives, la nécessité de nouvelles pistes, au-delà du libéralisme comme de l’étatisme: et si l’on écoutait ce que les monarchistes contemporains ont à dire, et à proposer?
    Jean-Philippe Chauvin évoquera une lecture monarchiste de la question sociale, de
    l’Ancien Régime à nos jours, avec l’ambition de valoriser une «autre voie» économique et sociale conciliant nécessité économique et justice sociale.
    La réunion sera suivie d'un buffet convivial Salle des Vignes : 3 bis, avenue Maréchal Randon à l’Ile Verte - 38000 GRENOBLE (tramway ligne B « la Tronche Hôpital »)


    (Inscription requise et participation aux frais)
    Merci de vous inscrire par courriel au centrelesdiguieres@gmail.com

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Philippe de Villiers n'y va pas de main morte : il a raison, il fait bien...

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  • Ephéméride du 9 avril

    1968 : Premier lancement au Centre spatial de Kourou, en Guyane

     

     

     

    1553 : Mort de François Rabelais

     

    Du XVIème au XXème siècle, les jugements les plus opposés ont été portés sur son œuvre si complexe, si riche en contrastes de toutes sortes. Les deux tendances de la critique sont assez bien résumées par le jugement de La Bruyère : 

    "Où il est mauvais, il passe bien loin au-delà du pire, c’est le charme de la canaille; où il est bon, il va jusques à l’exquis et à l’excellent, il peut être le mets des plus délicats"                             

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