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Le tweet du jour...
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200.000 étrangers "reconnus" entrent en France chaque année : avec les clandestins, le PS veut-il faire passer ce chiffre à 300.0O0 ? BASTA !
Alors que le bilan du Système s'établit à 8 millions de pauvres et 6 millions de chômeurs; alors que 150.000 personnes dorment dans la rue et 81.000 vivent dans des bidonvilles; alors que 3 millions 500.000 personnes sont officiellement reconnues "mal logées" (tous ces chiffres ont été fournis au JT de 20 heures de France 2), le gouvernement - gauche aujourd'hui, droite hier - poursuit la folle politique qui consiste à continuer de faire entrer en France des centaines de milliers d'étrangers par an !
Question n° 1 : pour "quoi" faire ? Pour qu'ils travaillent, alors qu'on fabrique plus de 1.000 chômeurs par jour depuis l'élection de Flanby ?
Question n° 2 : qui, et quand, hurlera enfin le necessaire et salutaire BASTA ! qui s'impose, face à cette politique de fous furieux ?
* Augmentation du nombre de régularisations de clandestins en 2013 de 30% par rapport à 2012, avec un objectif annuel fixé par Manuel Valls à 100 000 naturalisations (contre 46 000 en 2012).
* Diminution sensible du nombre d'expulsions sur 2013, selon un rapport de la Police aux Frontières : Immigration : 9000 expulsions de moins en 2013 (Valls)
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Dans la série "clichés et poncifs trop faciles", je demande... Bruno Frappat, sur "C'était les Daudet"...
Le dimanche 3 février 2013 - dans nos "pages magazines" des samedis/dimanches - nous avons présenté ce qui était alors le récent ouvrage de Stéphane Giocanti, "C'était les Daudet" : Le hasard fait coincider sa parution avec la sortie de notre Album : "C'était les Daudet", de Stéphane Giocanti
Deux mois après, le 9 avril, et toujours dans ces mêmes "pages magazines" des samedis/dimanche, nous avons jugé utile d'apporter une précision sur le très bon article de Sébastien Lapaque dans Le Figaro, qui présentait l'ouvrage de Giocanti : Sur un point précis de l'article de Sébastien Lapaque, présentant le dernier ouvrage de Stéphane Giocanti, "C'était les Daudet"...
La rectification qu'il nous semblait utile - et surtout honnête... - d'apporter concernait, on le voit, le reproche d'antisémitisme, alors que Daudet, effectivement antisémite à ses débuts, et pendant plusieurs années, s'était totalement détaché de l'antisémitisme dès le début des années 30, lorsque Bainville dénonçait Hitler - dans son Journal et dans L'Action française quotidienne - comme "l'énergumène", "le monstre", "le Minotaure"...
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Paris : Cercle d’étude : Application de la pensée d’Action Française, c'est ce soir...
L’école de pensée qu’est l’Action Française ouvre ses portes trois vendredis par mois pour la tenue du Cercle des étudiants animé par Pierre de Meuse pour les parties initiation et application de la pensée d’AF. C’est l’occasion d’apprendre les bases ou de se refamiliariser avec la pensée nationaliste maurrassienne !RDV 18h30, 10 rue Croix des Petits Champs Paris 1er (2ème étage) - Métro : Palais Royal/Musée du Louvre.
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Les tweets du jour...
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Combien de médailles françaises à Sotchi ? Espérons. Pour le gouvernement Hollande, on le sait déjà : ZERO !
lafautearousseau
@AFRoyalisteMunicipales: les maires de gauche se démarquent du gouvernement et ne veulent pas de visite dans leur ville,ce serait les perdre; quel aveu !
Ca barde à gauche : des trombes d'eau sur la France, et Hollande réussit à mettre le feu au PS et au gouvernement ! Chapeau l'artiste ! -
C'est fête aujourd'hui dans la Famille de France, à l'occasion de la saint Gaston, et lafautearousseau s'y associe...
Vitrail de l'église Saint Nicolas, d'Arras : L'ours de saint Vaast. Sur l'ordre de saint Vaast, ou Gaston, un ours s'enfuit à travers les ruines. L'ours serait la représentation symbolique du paganisme qui recule à l'arrivée de Saint Vaast. -
"Dans ce jour indistinct où sont tombés les nôtres" ...
AUX MORTS DE FÉVRIER
Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans ce jour indistinct où sont tombés les nôtres
Sur onze ans de retard serais je donc des vôtres
Je pense à vous ce soir, Ô morts de février.Robert Brasillach (Poèmes de Fresnes, Minuit et demi, 1945 ) -
Pourquoi le 6 février 1934 a été stérile : l'analyse de Maurice PUJO
Pourquoi les manifestations de janvier et février 1934, dont celle, tragique, du 6 février, n’ont pas débouché sur ce changement de régime, pour lequel l’Action française s’était toujours battue ? Maurice Pujo, après avoir conduit toute la campagne de l’Action française sur l’affaire Stavisky et dirigé l’action des camelots du Roi, en a donné l’explication en termes simples * : sans une Action française suffisamment forte et reconnue tant sur le plan de la pensée politique que de la conduite de l’action proprement dite, l'union des patriotes est stérile. Et la leçon vaut pour aujourd’hui.
À force de le répéter, les gens du Front populaire ont fini par croire que le Six Février était le résultat d’une terrible conjuration tramée de toutes pièces par d’affreux "fascistes" contre les institutions républicaines.
Rien ne correspond moins à la réalité. Le 6 Février a été, à son origine, le sursaut national le plus spontané, le plus pur d’arrière-pensées. Il a été la révolte de l’honnêteté et de l’honneur français contre un scandale qui était une des hontes naturelles et cachées du régime : le pillage de l’épargne sans défense avec la complicité des gouvernants qui en ont la garde.
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Maurras a-t-il vraiment "voulu" le roi ? La réponse de Pierre Boutang
La note précédente – l’analyse de Maurice Pujo – dit en quoi et pourquoi les révoltes de janvier et février 1934 furent sans lendemain. En quoi et pourquoi, du même coup, Maurras n’a pas cru que les émeutes du 6 février fussent l’occasion, comme disaient les anciens ligueurs et camelots, de ramener le Roi. Une frange insuffisante de l’opinion et des élites française acquise à la monarchie ; l’union des patriotes, faute de pensée politique commune ou faute de pensée politique tout court et faute d’une direction unique, était surtout une désunion, une dispersion, un chacun pour soi. Le succès ne lui était pas ouvert. Entre les deux guerres, à vrai dire, Maurras et l’Action française semblent bien avoir cherché ailleurs les moyens d’aboutir. Par exemple avec le (les) Monk en puissance dont parle Maurice Pujo : « Il y aurait eu un Monk et même plusieurs si les circonstances avaient été telles qu’elles pussent lui donner confiance ». Elles ne le furent pas, entre 1918 et 1940 et pas davantage le 6 février 1934.
Reste, alors, s’agissant de Maurras, ce que Boutang appelle l’insulte. Non pas seulement le reproche, cent fois répété - origine, comme Olivier Dard, l’a montré récemment, à Martigues, des grandes ruptures de l’histoire de l’Action française - de ne pas avoir abouti ; reproche de l’échec, adressé, on le sait, au seul Maurras, car c’est de lui, de lui seul, que les contemporains – et plus tard, encore, la postérité - attendent tout.
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6 février 1934 - 6 février 2014 : Colloque d’Action Française en Provence
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Le CRAF (Centre Royaliste d'Action Française) organise le colloque annoncé ci-dessus en détails.
Les personnes intéressées devront s'inscrire par téléphone ou par courriel. et courriel indiqués). L'inscription est obligatoire.
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Les tweets du jour...
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lafautearousseau
@AFRoyalisteLa classe ! A Lellouche qui lui dit "Tu y es allé un peu fort, on n'est pas le 6 février 34", Valls répond avec un très chic "Je t'emmerde".
lafautearousseau
@AFRoyalisteValls en chute libre dans les sondages: moins 6 points chez les sympathisants socialos. Normal, il a aliéné le vote immigrél/musulman au PS
lafautearousseau
@AFRoyalisteLa blague en vogue au PS : Si Valls veut aller dans le 9-3, le préfet doit l'interdire, "pour trouble à l'ordre public"
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Hier Valls, avec Dieudonné et l'antisémitisme; aujourd'hui Peillon avec le "gender" : tout le PS est dans la tenaille, dans laquelle il s'est lui-même fourré...
Il y a peu de temps, Louis-Georges Tin (au centre, sur la photo), président du CRAN, faisait une révélation sensationnelle, que nous n'avions pas manqué de relever : Révélation sensationnelle du CRAN : François Hollande est un président ”ethnique” !...
Louis-Georges Tin, étant noir et président du CRAN, peut se permettre de dire des choses qui, si elles étaient dites ou écrites par nous, nous vaudraient probablement des ennuis à cause des lois scélérates du Système. En substance, Louis-Georges Tin expliquait que le gouvernement avait lâché, et donc déçu son électorat, c'est-à-dire "les noirs et les arabes" ! (en français dans le texte !...).
Le gouvernement n'allait pas tarder à mesurer les effets de ce "lâchage", et de l'amertume et du ressentiment provoqués dans ce qui est la nouvelle base électorale du PS, depuis que celui-ci a adopté la sratégie (!) préconisée par son "Think tank" Terra Nova...
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C'est toujours ça de gagné !
Non, les manifestations contre la familiophobie n'ont pas été un coup pour rien puisque nos gouvernants jurent maintenant leurs grands dieux socialistes qu'ils s'opposeront à la GPA et à la PMA et qu'il n'a jamais été question d'introduire à l'école la théorie du genre.
En brûlant aujourd'hui ce qu'ils ont adoré hier, ils nous mentent une fois de plus, certes, mais ce faisant ils contribuent à discréditer un peu plus dans l'opinion ces projets « d'avancées sociétales » destructrices.
C'est toujours ça de gagné !
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Paris : Jean-Arnault Dérens aux "Mercredis de la Nar", c'est ce soir...
Chaque mercredi, 38, rue Sibuet, 12ème, rez-de-chaussée; la conférence commence à 20h très précises (accueil à partir de 19h45 - Entrée libre, participation aux frais de 2€ ), elle s'achève vers 22h. Un dîner amical est servi pour ceux qui le désirent (participation 7€).
Aujourd'hui, Jean-Arnault Dérens, pour Les mouvements contestataires dans les Balkans...