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  • "Sept ans" pour Ahmed ? NON ! DECHEANCE/EXPULSION ! et pareil pour Fathi, "le violeur au hachoir" !......

     avril 2013 .jpg

     ("La Provence", lundi 8 avril 2013)

    violeur au hachoir.jpg

    ("La Provence", mardi 23 avril 2013 : Fathi, c'est le charmant "jeune" homme, chance pour la France,  "violeur/hacheur", un prénom "bien d'chez nous" !...) 

     

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • Libération est mort. Paix à son âme, par Robert Ménard.

    (Publié le 23 avril sur Boulevard Voltaire) 

    mort.jpgLibération est un tract. Au service du vieux monde et de ses maîtres. On y dénonce les contestataires d’aujourd’hui avec les mêmes mots, la même fureur mais aussi la même sottise que leurs aînés de la presse Hersant face à la « chienlit » du printemps 68.

    Libération vieillit mal. Corseté dans ses petites certitudes, on y applaudit les forces de l’ordre quand jeunes garçons et jeunes filles vont dire leur hargne à des politiciens pour qui le Libé des années 70 n’était pas plus charitable. Le journal de Jean-Paul Sartre est passé, comme on disait alors, de l’autre côté de la barricade.

    Libération n’a plus d’humour. On y signe des unes vengeresses, on y mène des enquêtes à charge, on y pratique un journalisme de délation. On y joue les flics. On s’y comporte comme des flics. On y pense comme des flics.

    Libération a perdu pied. On n’y interroge plus le réel. On s’en désintéresse, on a mieux à faire. On juge avant d’écouter. On condamne avant toute forme d’enquête. Rue Béranger, on est devenu autiste. Sourd au monde.

    Libération est assis sur son petit magot. Un magot de lecteurs de plus en plus maigre. Un magot vieillissant, recroquevillé sur ses certitudes. Mais qu’il ne faut surtout pas effaroucher, encore moins bousculer. Alors, c’est écrit une fois pour toutes : la rue aujourd’hui, c’est la « haine ultra ». La messe est dite.

    Libération fait peine à voir. Trente ans à le lire. Trente ans à y découvrir des papiers qui vous agacent, vous malmènent mais vous nourrissent. Et puis, plus rien. Plus besoin de dépasser le premier paragraphe, on sait déjà. On ne vous apprend rien. On vous sermonne.

    En ce printemps 2013, Libération est mort. Et la jeunesse qui bat le pavé n’en aura même rien su.

  • Tout à fait d'accord avec Jean Sévillia : "Eh, les filles, enlevez votre bonnet phrygien !"

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    Pour traduire la défense de la liberté contre la dictature, le symbole est vraiment mal choisi.

    Une remarque préalable : les Manifs pour tous, je les ai toutes faites, et ma famille de colleurs, tracteurs et veilleurs également. Par conséquent, qu’on ne me fasse pas le procès du grincheux qui boude dans son coin. Mais d’être opposé à la légalisation du mariage homosexuel ne m’a pas fait perdre la mémoire. Or je trouve bien curieux que, dans toutes ces manifs si sympathiques, des kyrielles de jeunes filles s’affublent d’un bonnet phrygien. J’ai bien compris l’idée que les organisateurs veulent traduire en les déguisant ainsi : l’heure est à la défense de la liberté contre la dictature. Mais précisément, parce que je sais un peu d’histoire de France, je m’autorise à souligner que le symbole est mal choisi. Car pour ce qui est du combat de la liberté contre la dictature, ce n’est vraiment pas du côté de la Révolution française qu’il faut chercher.

    Le bonnet phrygien, devenu l’emblème du mouvement révolutionnaire en 1790, s’impose fin 1792, son usage culminant jusqu’à la réaction thermidorienne de 1794. C’est-à-dire que ce couvre-chef incarne peu ou prou la Terreur et même la Grande Terreur, qui est sans doute un des moments les plus tragiques de notre histoire.

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense donc à la princesse de Lamballe, assassinée pour crime d’amitié avec Marie-Antoinette, et dont le corps nu, décapité au couteau de boucher, a été promené dans Paris, la vue de son intimité soigneusement exposée suscitant des propos égrillards de la part de délicats militants de la Liberté.

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ces prêtres et à ces religieuses que Carrier, à Nantes, déshabillait et liait nus, l’un à l’autre, l’un face contre l’autre pour être précis, sexe contre sexe, avant de les noyer dans la Loire. Ce charmant adepte de l’Egalité appelait cela un « mariage républicain ». Parenthèse : détourner la symbolique du mariage n’est donc pas nouveau…

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ce curé vendéen à qui des soldats, sans doute  partisans de la Fraternité, avaient tranché les deux mains avant de répandre dans l’auge à cochons le contenu du tabernacle de son église. Ce martyr a été retrouvé accroupi devant l’auge, les deux avant-bras collés contre terre afin de tenter d’arrêter l’hémorragie, et lapant dans l’auge, s’efforçant de disputer aux cochons les hosties consacrées.

    Je ne cherche pas ici à ranimer de vieilles querelles idéologiques, et je sais que le succès de la Manif pour tous repose sur sa diversité, et l’acceptation de cette diversité. Mais quand même. Jolies jeunes filles de 2013 qui vous promenez avec un bonnet phrygien, pensez aux horreurs de 1793 : mettez-vous autre chose sur la tête. Je vous assure que vous n’en serez que plus belles.

    Jean Sévillia

    Sources :  (Edition du  lundi 22 avril 2013)

     

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  • Ouverturte de notre 16ème "Page" : DOUZE CONTRIBUTIONS POUR UNE REFLEXION DE FOND SUR LE "MARIAGE POUR TOUS"

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    CLIQUEZ SUR L'IMAGE 

    On ne peut plus d'actualité, et sur un sujet on ne peut plus important, cette 16ème "Page" est consultable en permanence, comme toutes les autres, sur la page d'accueil du Blog, colonne de droite, tout en bas à droite, après les Commentaires et les Albums.

     

    Les manifestations, si justifiées, si imposantes soient-elles, les cris, les slogans, l'exaltation des participants, celle des militants, où se mêlent, parfois, le bon grain et l'ivraie, les initiatives heureuses et les erreurs ou bavures de tous ordres, les plateaux de télé, les discours et les débats, des "meneurs" sans-doute contestables, les possibles tentatives de "récupération" tout cela finit par passer, par s'oublier. Dans ce monde de l'éphémère et de l'artifice, une actualité, très vite, chasse l'autre.

    C'est pourquoi, dans cette affaire, qui met en cause la cellule de base même de notre société, comme de toute société humaine, une réflexion de fond, nous a, dès le début, semblé nécessaire. Cela reste; cela ne s'oublie pas; cela peut servir, demain ou après demain.

    C'est la raison pour laquelle nous avons regroupé ces douze contributions - mises en ligne de janvier à avril de cette année - sur cet unique document où elles pourront toujours être consultées. Elles sont classées par date, de la plus récente à la plus ancienne.

    Les commentaires, nombreux, souvent fort intéressants, pourront être consultés en cliquant sur les liens du sommaire qui renvoient au jour de parution.

  • Les assassins sont-ils parmi nous ? par Louis-Joseph Delanglade

    boston.JPGEnvoyer un corps expéditionnaire au Mali ou sous-traiter une libération d’otages au Nigeria a, paradoxalement,  quelque chose de rassurant : l’ennemi islamiste est loin et clairement identifié (les djihadistes d’Aqmi dans le premier cas, la secte Boko Haram dans le second). L’attentat de Boston nous rappelle opportunément que la réalité peut être plus désagréable. Perpétré, semble-t-il, par deux frères, de confession musulmane, issus d’une famille originaire de Tchétchénie, et s’inscrivant dans une liste déjà longue (Paris 1995, New York 2001, Madrid 2004, Londres 2005, Moscou 2010, etc.), il confirme que le terrorisme islamiste urbain reste le mode opératoire le plus efficace et donc le plus dangereux.

     

    Parce qu’il est un tenant de l’idéologie multiculturaliste  et qu’il cherche à éviter toute forme de « stigmatisation » (c’est-à-dire de mise en cause directe de l’islam-isme), M. Durpaire – consultant que l’on voit et entend trop souvent sur toutes les chaînes de radio et de télévision - se plaît à souligner que les frères Tsarnaev auraient été de bons Américains. Ainsi ne serait-il plus possible de pointer du doigt une quelconque nébuleuse terroriste internationale et faudrait-il seulement voir dans l’attentat de Boston un problème intérieur. Mais son analyse, vicieuse, fait long feu et se retourne contre lui.

     

    En effet, s’il est vrai que les frères Tsarnaev pouvaient sembler (d’après tous les témoignages recueillis) bien « intégrés », voire « américanisés » - et, de toute façon, en situation parfaitement régulière – on doit alors se demander comment il peut se faire qu’ils en soient arrivés à une telle extrémité. « Pourquoi, se demande M. Obama, de jeunes hommes qui ont grandi et étudié ici, dans notre communauté et dans notre pays, en sont-ils venus à une telle violence ? »

     

    M. Mudd, expert en terrorisme à la New America Foundation, répond que le scénario de « radicalisation » des frères Tsarnaev est en fait courant et que leur histoire est banale. Cela signifie que, dans toutes les grandes villes d’Occident, vivent des jeunes gens qui leur ressemblent : immigrés ou enfants d’immigrés, toujours musulmans, et constituant ainsi un formidable vivier pour l’internationale islamiste. Des milliers de Mohamed Merah, des milliers de Tamerlan et Djokhar Tsarnaev – apparemment bien « gentils » (l’adjectif est souvent revenu dans la bouche des témoins de Boston) – dormiraient donc  parmi nous. Effrayant.

     

    On sait que des centaines de jeunes combattants venus d’Europe se trouvent aux côtés des groupes islamistes extrémistes en Syrie (par exemple, des images diffusées sur Internet montrent des individus parlant néerlandais entre eux). Beaucoup ont été identifiés. Comment sera « géré » le retour de ces djihadistes ? Russes et Américains coopèrent déjà dans le domaine du terrorisme islamiste international. Qu’en est-il en Europe ? Pourquoi n’en parle-t-on pas davantage en France ? Serait-ce un sujet tabou ? Des armes de guerre circulent dans nos « cités », des « jeunes » se forment au combat en Afghanistan ou en Syrie. Rien de sérieux, au-delà d’une certaine surveillance, n’a jamais été entrepris par les autorités compétentes. Et quand surgit un Merah, on nous le présente comme un « loup solitaire ».

     

    Faudra-t-il attendre qu’une famille de sept personnes soit prise en otage ici même, sur le territoire national ?

  • Le grain de sel de Scipion : Fichez-leur donc la paix !

    grain de sel 1.jpgDans les collèges, nos enfants subissent chaque jour un peu plus la pression de la morale bien pensante soixante-huitarde. Non plus seulement celle de professeurs d’histoire ou de philosophie qui prennent leur estrade pour une tribune politique, mais celle de l’omniprésente pensée progressiste qui inonde tous les rouages de nos institutions pour distiller ses messages culpabilisants sur le racisme, la xénophobie, l’homophobie, l’islamophobie, le colonialisme, l’esclavagisme, la repentance, le multiculturalisme, le sexisme, le Sida et autres heures-sombres-de-notre-histoire dont les jeunes générations se doivent de porter la croix en rémission des péchés de leurs parents. Et nous n’avons pas encore vu arriver les cours de « morale laïque » que nous promet le sieur Peillon !

    Mais si l’on fichait la paix à nos enfants ? Si on leur parlait de la grandeur passée de leur pays, de sa beauté et de ses richesses, de sa culture ancestrale, de ses racines chrétiennes, du beau, du vrai et du bon ? Non, il semble que l’on ait décidé d’en faire des frustrés, des coupables honteux, des repentis suicidaires et des aigris prématurés.

    Comment peut-on s’étonner des ravages de la drogue ou du nombre de suicides chez des jeunes auxquels on ne donne plus aucune vision positive et saine de la vie, aucun idéal collectif fort et motivant ? Au fait, le changement, c’est quand ?                                                                                                          

  • Dans votre quotidien, cette semaine...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg          * Louis-Joseph Delanglade inaugurera notre semaine, en traitant, comme à chaque fois, d'un sujet au coeur de l'actualité, qui n'en finit pas de s'accélérer, ces temps-ci... Vous avez pris l'habitude, maintenant, de retrouver tous ces Lundis de Louis-Joseph Delanglade sur la page d'accueil du Blog, en haut à gauche, juste en dessous de la Présentation de notre Quotidien et des Activités partout en France...   

               * "Minable" : on ne peut rien dire d'autre de ce qui s'est passé à l'Assemblée ce vendredi, et qui n'est finalement que le reflet d'un quinquennat qui commence vraiment très mal, et dans lequel le malaise s'étend partout, enfle et croît irrésistiblement, comme le grand air de la calomnie...

               * Après son travail fouillé et érudit sur le gaz de schiste (voir I et II), Champsaur nous prépare des articles sur Démographie et terrorisme intellectuel (loin du politiquement correct, mais avec une documentation incontestable...), le budget militaire de la Chine (évolution effarante du budget militaire chinois...) et l’Egypte...

                  * La chronique économique de François Reloujac, sera consacrée à Chypre, le coupable idéal... Alors même que la crise chypriote n’a pas fini de dérouler ses conséquences, il est déjà possible d’en tirer quelques enseignements partiels. Le premier de tous, c’est de constater que la solidarité européenne est un leurre et l’euro un piège...

            DAUDET ASSEMBLEE.jpg                          

              * La parution de notre 20ème Album : Maîtres et témoins...(III) : Léon Daudet. se poursuivra, vendredi, avec 15 photos : Député de Paris, quatre années bien remplies (I) : la grande illusion, croire au parlementarisme; élu Député de Paris; le conseil avisé de Jacques Bainville; rue du Bac, Chapelle des Missions Etrangères; "Je recommande ma méthode à mes successeurs..."; 10 mai 1920, Barrès et le Cortège de Jeanne d'Arc; la Fête de Jeanne d'Arc; à la Chambre, sur Gambetta et Benoît XV (I et II); Aristide Briand, "prince des nuées"; Poincaré, "le point faible et nullement carré"; Défense des Humanités; Stupeur : "motion Daudet" ?  : 249 voix sur 538 votants !; 1922 : "Sylla et son destin"; 1922 : "Le stupide XIXème siècle"...

            * On aura aussi, comme d'habitude le samedi, notre note en deux parties :

    1. D'abord, une revue des Blogs, de Facebook, des magazines  et d'ailleurs;

    2. Et, ensuite, on donnera les liens que des lecteurs ont envoyés : N'hésitez pas à nous faire parvenir des liens sur des sujets qui vous ont paru importants...  

     

    AIRBUS A 330.jpg          * On aura, évidemment, les Ephémérides, car c'est "tout cela, tous ceux-là, aussi, la France" : De la consécration de la Sainte Chapelle au premier vol de l'Airbus A 330... en passant par la consécration de la cathédrale Sainte Cécile d'Albi; la pose de la première pierre de la Bastille; la naissance du futur Saint Louis; le même, Louis IX, qui quitte la Terre sainte, à la mort de sa mère, pour rentrer en France; Marie Stuart qui épouse François II; la création de la Commune de Martigues, voulue par Henri III; le mot "Amérique", employé pour la première fois à Saint Dié; la première opération mondiale de la cataracte, à Marseille; les gaz asphyxiants employés pour la première fois par les Allemands durant la Grande Guerre... Sans oublier les naissances du futur Saint Vincent de Paul, John Law, Eugène Belgrand, Bertillon; et les décès de Louis Labé, Vatel, Racine, Jean Bart, Malesherbes, Barbey d'Aurevilly... 

         En plus de la Table des Matières (pour les 366 jours de l'année, 1er, 2ème, 3ème et 4ème trimestre), les Ephémérides proposent, en permanence L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... et aussi... de la MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf       

              * Notre rubrique Activités partout en France (mise à jour quotidiennement) propose en permanence une trentaine d'activités diverses : "sitôt reçu, sitôt publié", cette rubrique est à votre disposition pour annoncer et répercuter tout ce qui se fait chez vous, "sans nostalgie ni folklore", pour un royalisme intelligent. Lafautearousseau se veut la "maison commune" de toutes les bonnes volontés royalistes, fidèles à la Maison de France. 

    lafautearoiusseau page facebook.jpg              * Bienvenue à nos nouveaux "Amis" sur notre Page Facebook Lafautearousseau Royaliste : 1870 "Amis", en route vers les 2.000 ! aidez-nous à faire grandir cette page, en suggérant à vos parents, enfants, amis, relations etc... de demander leur ajout à notre liste d' "amis", même et surtout s'ils ne sont pas "de nos idées", pourvu que la chose politique et le Bien commun les intéressent, évidemment : nous avons besoin de sortir de nos cercles traditionnels, et même si c'est simplement pour savoir ce que pensent les royalistes des grands sujets de l'heure, il est bon, et vital, que nous "touchions" un maximum de personnes en dehors de celles qui nous connaissent déjà... Aidez-nous donc à développer cette page, à lui donner des ailes, en vous inscrivant vous-mêmes, en lui suscitant des "amis", en la faisant connaître autour de vous...

              * Et, bien sûr, on réagira "en temps réel" (comme on dit dans le jargon) à l'actualité immédiate, et on parlera de tout ce dont on ne sait pas encore que l'actualité nous amènera à évoquer.   

            Bonne lecture, et bonne semaine sur votre quotidien ! 

  • Un Système qui dégoûte les jeunes français de la Françe...

    ...qui décourage d'entreprendre, qui désespère, qui "bouche l'avenir"...

    Un tel Système ne saurait être le bon...

    LE FIGARO 20 AVRIL 2013.jpg

  • Les faux prophètes, par Yvan Blot...

    YVAN BLOT FAUX PROPHETES.jpg

    240 pages, 20 euros,

    http://www.apopsix.fr/catalogue/les-faux-prophetes--978-2-35979-065-8.html

  • ERIC ZEMMOUR SUR LA QUESTION ALLEMANDE ... A LIRE ABSOLUMENT

    Sans titre-1.jpgExcellente analyse, une fois encore, d'Eric Zemmour sur le retour de la question allemande, dans le Figaro Magazine de cette semaineA vrai dire, ces réflexions, sur ce grand sujet, de tout temps  crucial pour la France, sont pétries  d'esprit maurrasso-bainvillien. Et elles collent à l'actualité la plus immédiate, raison pour laquelle nous la publions. 

    L'ALLEMAGNE NE PAIERA PAS !

     

    C'est le grand retour de la question allemande. Les socialistes, qui ont le don de tout gâcher, l'ont transformée en manœuvre grossière de diversion pour dissimuler leurs divergences partisanes sur la politi­que du gouvernement Ayrault; par peur d'être accusés de germanophobie et souci de tout ramener à un clivage droite-gauche démonétisé, ils ont fait croire qu'ils cherchaient querelle aux seuls conservateurs allemands, alors que leurs compatriotes sociaux-démocrates feraient à peu près la même politique et l'ont amplement prouvé par le passé. Cette question allemande mérite pourtant mieux que les gros sabots des apparatchiks de la Rue de Solferino. [Allemagne domine l'Europe, personne ne le conteste. Sa puissance commerciale est l'unique réassurance de l'Euro aux yeux des marchés. Son Bundestag et sa Cour de Karlsruhe trient le bon grain de l'ivraie des accords européens. Ses autorités financières rejettent l'union bancaire après avoir fait mine de l'accepter. Bruxelles n'est que la courroie de transmission des oukases berlinois. Merkel impose une politique de l'Euro fort et de rigueur budgétaire qui correspond à sa démographie vieillissante et à son industrie de produits à haute valeur ajoutée. L'exact contraire de la France.ZEMMOUR 2.jpg

     

    L'industrie française se meurt, prise en étau entre les pays à faibles salaires et à produits bas de gamme (la Chine et les émergents) et les industries à forte valeur ajoutée (Allemagne et nord de l'Eu­rope). Le prix Nobel d'économie Paul Krugman nous a enseigné que dans toute zone unifiée par une même monnaie, les régions les mieux dotées sont encore favorisées. Des jeunes ingénieurs espa­gnols, grecs (demain les Français et les Italiens ?) prennent la route des usines bavaroises, qui manquent justement de main-d’œuvre ! Si l'Euro avait existé dès les années 60, nous roulerions déjà tous en Volkswagen. Ce sont les dévaluations compétitives des années 70 et 80, tant décriées, qui avaient permis à l'industrie française (et ita­lienne) de résister jusqu'alors au rouleau compresseur germanique. De même qu'après la guerre de 1914, Aristide Briand avait cru que la paix signifiait la fin de la guerre, Lionel Jospin a cru que l'Euro était une sorte de fin de l'Histoire, nous protégeant et nous permettant n'importe quoi : 35 heures, relâchement salarial, et surtout endettement à tout-va pour financer un mo­dèle social obèse. Les socialistes découvrent effarés que les ajustements autrefois monétaires se font désormais par l'emploi et les salaires. Leur monde s'écroule. Et ils ont enfin compris que cette fois encore, l'Allemagne ne paiera pas...

  • Au hasard de la navigation sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs....

    capture d'ecran blog.jpg        (Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées... Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour "aller plus loin"...)  

     1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs... :  

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  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...), "la France" : dans les Ephémérides, cette semaine...

    "Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines...

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire" :

    * Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    * Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf 

    L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... 

    MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf

    Ephémérides Table des Matières du premier trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du deuxième trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du troisième trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du quatrième trimestre.pdf

             Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :        LOGO 9 LFAR copie.jpg

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  • APPEL A NOS LECTEURS POUR 2013 : SOUTENEZ LAFAUTEAROUSSEAU, VOTRE QUOTIDIEN ROYALISTE !

    donner-argent-enfants-430-argent-impots-537467.jpgL'an dernier, en 2012, nous avons demandé à ceux de nos lecteurs qui le voudraient bien - et qui le considèreraient même normal - de nous adresser une participation aux frais de Lafautearousseau. Vous avez été nombreux à répondre à notre appel et nous remercions encore chaleureusement tous ceux qui l'ont fait. Que votre envoi ait été de 5 €, ou de bien davantage, vous avez apporté votre pierre.

    A vrai dire, Lafautearousseau se développe très bien tout seul. Près de 20 000 visiteurs uniques et 40 000 visites chaque mois, font de notre blog le premier média royaliste français. Une audience qui, d'ailleurs - et c'est très heureux - va bien au delà de nos cercles traditionnels ... Et qui, de plus, s'accroît constamment. Mais votre aide nous permet d'aller plus vite : plus d'articles; plus de vidéos; plus de cafés politiques; plus d'influence, donc, de nos idées : tout cela est grâce à vous qui aidez ainsi l'équipe de Lafautearousseau, en un temps troublé, un temps de crise sociétale, de crise morale, de crise économique et sociale, de crise politique et, même, de crise institutionnelle. Plus que jamais la France a besoin d'un grand essor des idées que nous défendons, ici.

    C'est pourquoi nous renouvelons notre appel pour cette année 2013.

    Vous pouvez - sans tarder - envoyer votre contribution :  

    = par PayPal (paiement sécurisé, sous la rubrique Faire un don),  

     

    =mais aussi par chèque à l’ordre de : Les Amis de Lafautearousseau.

     

    Adresse d'envoi : 

     

    Les Amis de Lafautearousseau

    B.P. 50204,

    13445 Marseille 06

     

    D’avance tous nos remerciements et nos sentiments cordiaux.

     

    Les Amis de Lafautearousseau

     

     

    Si vous comptez contribuer, ne tardez pas, faites-le dès aujourd'hui.    

      

    Présentation de Lafautearousseau, point complet sur son évolution et son importance, cliquez sur ce lien :

     

     

     

  • Le grain de sel de Scipion : Fichez-leur donc la paix !

    untitled.JPGDans les collèges, nos enfants subissent chaque jour un peu plus la pression de la morale bien pensante soixante-huitarde. Non plus seulement celle de professeurs d’histoire ou de philosophie qui prennent leur estrade pour une tribune politique, mais celle de l’omniprésente pensée progressiste qui inonde tous les rouages de nos institutions pour distiller ses messages culpabilisants sur le racisme, la xénophobie, l’homophobie, l’islamophobie, le colonialisme, l’esclavagisme, la repentance, le multiculturalisme, le sexisme, le Sida et autres heures-sombres-de-notre-histoire dont les jeunes générations se doivent de porter la croix en rémission des péchés de leurs parents. Et nous n’avons pas encore vu arriver les cours de « morale laïque » que nous promet le sieur Peillon !

    Mais si l’on fichait la paix à nos enfants ? Si on leur parlait de la grandeur passée de leur pays, de sa beauté et de ses richesses, de sa culture ancestrale, de ses racines chrétiennes, du beau, du vrai et du bon ? Non, il semble que l’on ait décidé d’en faire des frustrés, des coupables honteux, des repentis suicidaires et des aigris prématurés.

    Comment peut-on s’étonner des ravages de la drogue ou du nombre de suicides chez des jeunes auxquels on ne donne plus aucune vision positive et saine de la vie, aucun idéal collectif fort et motivant ? Au fait, le changement, c’est quand ?