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  • Joyeuses Pâques !

    paques 2013.jpg

    Christos alethos anesti, alleluia !

    Surrexit Christus, alleluia ! Surrexit Christus vere, alleluia !

  • Au hasard de la navigation sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs....

    capture d'ecran blog.jpg        (Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées... Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour "aller plus loin"...)  

     1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs... :  

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  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...), "la France" : dans les Ephémérides, cette semaine...

    "Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines...

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire" :

    * Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    * Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf 

    L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... 

    MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf

    Ephémérides Table des Matières du premier trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du deuxième trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du troisième trimestre.pdf

    Ephémérides Table des Matières du quatrième trimestre.pdf

             Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :     

       LOGO 9 LFAR copie.jpg

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  • Vendredi Saint, Racines chrétiennes de la France : depuis le XIIIème siècle, à Sartène, le "Catenacciu"...

    Chaque Vendredi saint, le catenacciu (de "catena", chaîne, en latin) effectue un Chemin de croix en pente à travers la ville, symbolisant la montée du Christ au Calvaire.

    catenacciu chaîne.jpgLe pénitent est vêtu d'une aube écarlate et d'une cagoule rouge (seul le curé de la paroisse connaît son identité).

    Il porte une croix de 37 kilos en chêne massif, des chaînes d'un poids de 17 kilos aux pieds, sur un parcours de 1,8 km et doit tomber trois fois sur son chemin, à l'image du Christ.

    Cette procession du Catenacciu date de l'arrivée sur l'île des moines franciscains  et des Aragonais,  en 1419, qui ont introduit les Chemins de croix dans la culture insulaire : aux XIVème et XVème siècles, le pape avait "confié", en effet, la Corse aux Aragonais, dans la lutte pour la Reconquête des terres chrétiennes sur l'Islam...

    La procession  - conduite par la confrérie de la Sainte-Croix - se déroulait jadis le 14 septembre, puis elle fut déplacée à la nuit du Vendredi saint, son caractère n'ayant pas été altéré et l'itinéraire à travers la ville étant demeuré le même...

     

     

    http://www.curagiu.com/catenacciu.htm

     

    http://infocatho.cef.fr/fichiers_html/cefpaques/rjcpqprocor.html 

     

    CATENACCIU 3.jpg

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  • Edwy Plenel, "journaliste politique" : à quand un enquête sur ce Grand Inquisiteur ?

    Edwy_Plenel.jpgNotre note politique d'avant-hier, mardi, Le jugement des juges, signée Louis-Joseph Delanglade, s'achevait par cette interrogation : "A quand une enquête sur Mediapart qui mettra en lumière le parcours et les accointances idéologiques de son Grand Inquisiteur M. Plenel ? A quand le « jugement des juges » que Robert Brasillach appelait de ses vœux ?".

    Hé bien, justement, nous proposons à nos lecteurs d'entamer ce travail ensemble; de tenter l'enquête que Louis-Joseph Delanglade a suggérée, sur Mediapart et sur Edwy Plenel. Tous les renseignements sérieux qui pourront nous être envoyés sur cette officine médiatique et sur le Grand Inquisiteur qui la dirige seront utiles et bienvenus. A vous, chers lecteurs.

    Et pour commencer, nous publions, dans le "lire la suite" de cette note, la fiche que Wikipédia consacre à ce Monsieur. Ce n'est pas, comme nous l'avons écrit souvent, que les fiches de Wikipédia doivent être toujours crues sur parole. Non, justement, elles ne sont pas parole d'Evangile. Elles sont souvent fausses, erronées, de parti-pris. Mais elles sont toujours une source utile si l'on s'y réfère armé du sérieux esprit critique dont nous ne devons pas nous départir.

    Voici donc, ce jour, la fiche de Wikipédia sur le cas Edwy Plenel. Ce n'est qu'un début !

     

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  • POUR UNE REFLEXION DE FOND SUR LE "MARIAGE POUR TOUS" (11) - Michel Maffesoli et Hélène Strohl : " Normaliser le mariage ? "

    Sans titre-1.jpgNous mettons en ligne, aujourd'hui, une réflexion  de Michel Maffesoli et Hélène Strohl* sous le titre : "Normaliser le mariage ?".

    Une dernière contribution suivra encore. Notre dossier, désormais à la disposition de tous, comportera donc, en fin de compte, un total de douze documents constituant notre dossier : "POUR UNE REFLEXION DE FOND SUR LE "MARIAGE POUR TOUS" **. 

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  • Voulez-vous vraiment placer ces 36 éléments dans la corbeille ?

     gouvernement a la corbeille.jpg

    Pour voir le document en plus grande dimension, et mieux le "savourer" : ATT00034.jpg

  • L’anti-discours de la méthode, par François Reloujac*

    Le 5 février dernier, François Hollande s’est présenté au Parlement européen pour y prononcer un discours sur la politique économique de l’Europe et la façon de sortir de la crise. Pensait-il vraiment qu’il allait ainsi forcer la main à Angela Merkel et David Cameron, juste avant le sommet budgétaire européen ? Voulait-il simplement grappiller quelques points de popularité en France ? Dans les deux cas, c’est raté ! Il suffit d’examiner avec un peu d’attention certaines phrases « choc » pour constater qu’il ne pouvait pas en être autrement.  

    Hollande_Parlement_EU 5 FEV 2013.jpg

     

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  • Le Jugement des Juges (Robert Brasillach*)

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    Le jugement des juges : c'est le titre de notre note politique d'hier, mardi, signée Louis-Joseph Delanglade.

    Chacun sait que c'est aussi le titre de l'un des poèmes de Fresnes de Robert Brasillach. Poème d'esprit subversif d'un certain ordre établi dont nous savons, plus que jamais, ce qu'il vaut.  

    C'est d'ailleurs pourquoi nous le publions ici, aujourd'hui. Ceux qui le souhaitent pourront le lire ou le relire.

    Pourquoi ne pourrions-nous pas citer Brasillach, comme certains interdits voudraient nous y contraindre ? Sa politique, Maurras, l'Action française, ne l'ont pas approuvée. Pendant l'occupation, Maurras refusa de recevoir Brasillach qui eût voulu le revoir ("je n'ai rien à vous dire que vous ne sachiez déjà"). Nous n'avons ni leçon ni interdit à accepter sur ce point. Mais ni la politique ni la condamnation de Brasillach ne suppriment son talent littéraire, pas plus que son courage face à l'épreuve des prisons et face à la mort.   

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    Ceux qu’on enferme dans le froid, sous les serrures solennelles,
    Ceux qu’on a de bure vêtus, ceux qui s’accrochent aux barreaux,
    Ceux qu’on jette la chaîne aux pieds dans les cachots sans soupiraux,
    Ceux qui partent les mains liées, refusés à l’aube nouvelle,
    Ceux qui tombent dans le matin, tout disloqués à leur poteau,
    Ceux qui lancent un dernier cri au moment de quitter leur peau,
    Ils seront quelque jour pourtant la Cour de Justice éternelle.

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  • François "normal" avait annoncé en 2012 "une nette amélioration de la situation économique à l'horizon 2013"...

    ..et l'on vient de découvrir les derniers chiffres du chômage : catastrophiques...

    Si l'on regarde dans un dictionnaire la définition du mot horizon, l'un d'entre eux donne : "ligne imaginaire, qui recule au fur et à mesure que l'on avance" !

    Hélas, cela se confirme dans les faits, et nous ne nous en réjouissons pas...

  • LE JUGEMENT DES JUGES par Louis-Joseph Delanglade

    mediapart.jpgAu cours de la même semaine, démission d’un ministre et mise en examen de l’ex-président. Il n’en faut pas plus pour mettre le landerneau médiatique et parisien en ébullition. Quitte à ne s’intéresser qu’aux apparences en se faisant l’écho des réactions de la caste politicienne.  

     

    Grande retenue dans le premier cas. Il faut dire que M. Cahuzac est (était) l’un des rares ministres digne de ce nom et, surtout, que ce qu’on lui reproche (avoir fraudé le fisc) est tellement courant… C’est plus animé dans le second cas, notamment grâce à M. Guaino qui, en franc-tireur du sarkozysme, s’en prend frontalement à la Justice en la personne du juge Gentil  - les socialistes oscillant, quant à eux, entre franchise (« enfin une bonne nouvelle ») et hypocrisie (« tout les justiciables bénéficient de la présomption d’innocence »).

     

    Et les Français ? Depuis l’avènement de la IIIe République (bientôt cent cinquante ans), les scandales impliquant le personnel républicain n’ont cessé d’agiter le pays de façon récurrente, de l’escroquerie de Panama aux frasques de M. Strauss-Kahn (nous épargnerons au lecteur leur liste interminable). La notion d’« affaire » est même devenue une sorte de topos de notre vie politique, favorisant la montée du « populisme ». La fracture est telle entre la population et ses prétendus représentants qu’on peut même se demander si ce n’est pas l’indifférence qui prédomine désormais.

     

    Voilà pour les apparences. Mais il y a plus grave. Dans les deux cas, c’est le site Mediapart qui a réussi à activer l’infernale machinerie judiciaire. Cette conjonction des deux pouvoirs, médiatique et judiciaire, est plus qu’inquiétante, en raison de ses dérives potentielles. Le pouvoir des juges, depuis le petit juge d’instruction (qui, comme Mme Joly en son temps, peut exercer sa vindicte en toute quiétude) jusqu’aux membres du Conseil constitutionnel (qui peuvent empêcher une mesure gouvernementale de voir le jour) est devenu exorbitant. Au moins correspond-il en principe à une légitime exigence de justice. Ce qui n’est pas le cas de celui des médias car le « droit à l’information » est trop souvent un paravent : le plus souvent, on crée l’information en fonction d’une certaine idéologie, et, pis, on s’arroge le droit de soupçonner tout le monde au nom de la transparence. Ces deux prétendus « contre-pouvoirs démocratiques » participent du déclin du politique, toujours sur la défensive face à la médiatisation et à une génération de juges politisés. Il ne s’agit certes pas de considérer MM. Cahuzac et Sarkozy comme des agneaux promis à quelque immolation, il s’agit plutôt de dénoncer l’arrogance insupportable de ceux qui prétendent mettre sous tutelle la notion même de pouvoir politique.

     

    On se souvient des pacifistes des années 70-80 (« mieux vaut être rouge que mort »), dont on a vite compris qu’ils n’étaient que la cinquième colonne de l’impérialisme militaire soviétique. A quand une enquête sur Mediapart qui mettra en lumière le parcours et les accointances idéologiques de son Grand Inquisiteur M. Plenel ? A quand le « jugement des juges » que Robert Brasillach appelait de ses vœux ?

  • Le grain de sel de Scipion : Mais où sont passés les esprits critiques ?

    grain-sel-jpg.jpgIl y a encore quelques mois, la gauche poussait des cris d’orfraie au sujet des mesures prises par le gouvernement sarkozien : garde des enfants les jours de grève ? Impossible, vous n’y pensez pas ! Nous n’avons pas les moyens en personnel, on refuse ! Suggestion de fiscalisation des allocations familiales ? Houlala ! C’est discriminatoire, on refuse ! Réduction du montant des dotations de l’Etat aux collectivités locales ? Horreur absolue ! On ne pourra plus boucler nos budgets locaux, il faudra augmenter les impôts. Et qu’on ne nous fasse pas le coup de la crise ; la rigueur c’est la faute au diable Sarko et à ses méchants ministres qui, par pur plaisir sadique, veulent le malheur des pauvres ! La retraite à 62 ans ? Impossible, c’est un crime, tous dans la rue ! D’ailleurs, ces réformes de droite se font sans aucune concertation et ils sont même capables de les faire passer par ordonnances ! Le fascisme ne passera pas, foi de socialiste ! Et l’on pourrait citer maints autres exemples.

    Mais où sont donc passés, aujourd’hui, tous ces contestataires ? Les voici devenus de bons godillots, comme leurs collègues de l’autre bord à l’époque gaullienne. Un ministre de l’Education  inconscient balance, sans concertation, la semaine en 4 jours qui va coûter bien cher aux communes ? Silence de nos élus. Le gouvernement va réduire comme jamais les dotations aux collectivités ? Silence dans les rangs. Le Premier ministre envisage la fiscalisation du livret A, l’épargne des plus pauvres ? Silence. Il propose de fiscaliser aussi les allocations familiales ? Silence. Oubliée la promesse de croissance par le pouvoir d’achat, l’heure est à un nouveau train de mesures d’austérité ? Silence. Et voilà qu’ils découvrent et acceptent le fait que nous sommes en crise. Une fois épuisé le filon bien commode de « l’héritage » nuisible du précédent gouvernement, gageons qu’ils vont beaucoup nous en parler de cette crise, nous dire qu’elle s’aggrave de jour en jour. C’est hélas vrai, notamment à cause de leur gestion, et nous allons droit dans le mur. Parions que ce sera l’occasion pour Normal Ier de passer en force en nous imposant ses réformes les plus impopulaires par ordonnances.