Vu sur la page FB du Comte de Paris.

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C'est le premier mai 1561 que le roi Charles IX, galant homme, dans ces temps troublés et souvent sinistres, offrit un brin de muguet à toutes les dames de la Cour, et formula le souhait qu'il en soit dorénavant ainsi à chaque premier mai...
C'est bien volontiers que nous nous conformons au désir du roi, et perpétuons donc cette aimable tradition, en vous offrant aujourd'hui, chères lectrices, un brin de muguet, pour célébrer, malgré tout, le retour des beaux jours...
Profitons de l'occasion pour rappeler que Charles IX, qui n'est pas le roi le plus connu du grand public - ni celui qui a eu le règne le plus facile !... - se trouve être, ainsi, à l'origine de trois des habitudes sociales les plus répandues aujourd'hui dans la société, cinq siècles après son règne :
Ce matin très tôt, dans la matinale de France Info, on a entendu cette information laconique : "le Président du Conseil départemental du Bas Rhin invite "les parents à ne pas scolariser leurs enfants avant le 25 mai"
Le plus notable dans la dernière intervention du Premier ministre flanqué de son ministre de la santé, d’une épidémiologiste et du croque-mort qui, pour ouvrir l’appétit du citoyen, chaque jour que le covid fait, donne le chiffre des décès quotidien au moment de l’apéritif, fut qu’elle a duré si longtemps! Plus de deux heures, un record français, et ce pour accoucher dans les forceps… de pas grand chose! Des broutilles, des détails, des bagatelles.
On ne dira jamais assez que le grand siècle français fut le XVIIe. L’une des preuves en est la profondeur des penseurs dont les idées inaugurent le monde « moderne », cette comète dans la queue de laquelle nous vivons. Ainsi, face à la pandémie que nous subissons, et au visage étrange qu’ont pris la société et la vie, on retrouve l’opposition entre les deux visions de la condition humaine qu’ont exprimées Descartes et Pascal. Le premier écrivait que la science devait « nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature », et il insistait sur un premier objectif, « la conservation de sa santé » et sur un premier domaine, la médecine.
Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci [1]. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.
• "Je m’insurge contre le fait de traiter la messe comme une activité secondaire voire ludique ! Il en va de la santé de notre âme !"
Stefan Zweig à Vienne, autour de 1900.
Kunst Salon Pictzner
On prétend que la littérature peut être d’un grand secours dans une période si difficile, permettre au moins de s’évader. Et si elle permettait aussi de mieux éclairer nos sentiments ou de mieux percevoir la complexité de ce que nous vivons…
Est-il permis de rêver en ce moment ? Est-il permis de s’évader grâce à la littérature, dont on prétend que nos loisirs forcés devraient favoriser la lecture ? Pourquoi pas ? Un simple texte peut vous propulser hors de votre confinement, ne serait-ce que pour anticiper ce qui devrait se passer demain. Comment imaginer, par exemple, notre sortie de la crise ?
Source : https://lincorrect.org/
© Ange Appino pour L'Incorrect
Le Premier ministre, s’exprimant le 28 avril devant l’Assemblée nationale, a considéré que les cultes ne pouvaient reprendre normalement que le 2 juin. Tollé chez les évêques de France, alors même que nos voisins, comme l’Allemagne, annoncent aujourd’hui rouvrir leurs lieux de culte sous conditions.
Faut-il craindre le pire sur les risques d'accidents dont les conséquences sont mal maîtrisées, en particulier à l'avenir dans des pays émergents qui n'auront pas forcément les moyens de réagir rapidement. Réfléchissons sur les conséquences, pour les plus graves dans le passé comme Tchernobyl (avril 1986). Ce fut des milliers d'irradiés, aux conséquences terribles voir incalculables, sur une population condamnée. La multiplication des cancers de la tyroïde, comme des maladies dégénératives, les malformations dans les naissances, avec ses zones devenues invivables, quel triste bilan à subir. Puis ce fut Fukushima, au Japon, mais avons-nous oublié de nombreux cas dont on parle moins, comme à Forsmark en Suède en 2006.
Source : https://lincorrect.org/
Hospitalisé le 28 avril dans un état critique, le prince et Grand-maître de l’Ordre souverain militaire de Malte, Fra’ Giacomo dalla Torre, est décédé peu après minuit ce 29 avril des suites d’une maladie incurable détectée il y a plusieurs mois.
Ce volume rassemble Les Origines du totalitarisme et Eichmann à Jérusalem.
Chaque oeuvre est suivie et complétée par un dossier (textes complémentaires, correspondance, dossier critique).
Les notes et la bibliographie ont également été entièrement revues et mises à jour.
L’ouvrage est complété en particulier par un » Vie et oeuvre » très illustré et un index des noms propres.
https://www.librairie-de-flore.fr/…/les-origines-du-totali…/
Luc Montagnier, prix prix Nobel de Médecine en 2008 revient sur les origines du Covid 19 au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.