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Les assemblées ne sont plus le cœur de la souveraineté nationale. Les nostalgiques en particulier la France insoumise, doivent se faire une raison: ils ne vivent plus sous la IVe République.
Cela devient un rituel. À chaque fois qu’un premier ministre décide la mise en œuvre de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, c’est un tollé. Tout le monde - dans l’opposition, dans les médias, mais aussi dans la majorité - fait chorus pour tempêter contre cet «acte de brutalité», ce «déni du Parlement». Ces derniers jours, on montre volontiers les images d’Édouard Philippe, alors député juppéiste, protester avec véhémence contre le socialiste Manuel Valls qui, locataire de Matignon, avait actionné l’arme fatale.
(Rappel : lafautearousseau vous propose en permanence deux "Catégories"consacrées à Pierre Debray, dans lesquelles deux de ses études sont divisées en plusieurs parties, pour en faciliter la lecture : Une politique pour l'an 2000 (en 28 parties) et Maurras et le Fascisme (en dix parties)...)
Au moment ou l’Action française du XXI° siècle se porte en pointe du combat écologique, il est urgent de relire Pierre Debray.
Lui qui fut l’un des quatre maîtres de l’école maurrassienne, fut aussi celui qui analysa la société industrielle au crible de l’empirisme organisateur.
Le lire aujourd’hui permettra d’éviter au jeune royaliste de 2020, soucieux d’une véritable politique écologique, de tomber dans les dérives de ceux qui après 1968 utilisèrent l’écologie comme porte de sortie du marxisme.
Lire Pierre Debray aujourd’hui, c’est s’assurer de bien comprendre Ellul, Illitch et Mumford et de s’armer pour l’aggiornamento maurrassien.
Notons aussi que cette dernière étude monarchiste constitue le complément indispensable du suberbe n° 56 de la Nouvelle Revue Universelle.
C’est dans Politique Magazine qu’Olivier Lérins, l’un des jeunes talents du mensuel Le Bien Commun a rendu compte du livre de Debray dont il nous fait un résumé d’une grande clarté !
C’est au grand sociologue allemand Norbert Elias que l’on doit la notion de « civilisation des mœurs » progressive (1939). Même abondamment discutée, cette thèse a marqué la réflexion historique contemporaine, par la puissance de l’éclairage qu’elle donnait aux évolutions sociales. Parallèlement, le développement de la recherche sur les mentalités, dont Philippe Ariès fut en France un des grands initiateurs, n’a pu que renforcer ce point de vue. Il apparaît d’une rare pertinence dans la conjoncture actuelle, où nous assistons à un bouleversement manifeste de la société dans ses profondeurs.
LES CÉSARS D'UN EMPIRE EFFONDRÉ
Cette anagramme, Anemic cinema, est de Marcel Duchamp. A ce jour, elle a donc déjà plus d’un siècle… A l’époque où ce bon mot, qui est aussi une bonne idée, se trouve proféré, le cinéma lui-même est vieux d’une vingtaine d’année, c’est donc un art naissant.
Si l’on en juge par ce qu’en fit Abel Gance dans Napoléon (1927) ou, rions un peu, avec… J’accuse (1919), le cinéma offrait de magnifiques potentialités esthétiques. C’était un art nouveau, au sens littéral du terme, comme le théâtre ou l’opéra le furent en leurs temps reculés, l’antiquité grecque pour le premier, le baroque italien pour le second, il s’agissait dans ce cas de l’Europe industrielle. On était en passe d’en attendre des chefs d’œuvre, il y en eut –la plupart en noir et blanc…
Triste nouvelle pour la nébuleuse maurrassienne. Effectivement la Société D’Exploitation Du Journal Monde et Vie a été déclarée en liquidation judiciaire par le Tribunal De Commerce De Paris. De fait, aucun numéro n’est paru depuis le début février. La rédaction en chef était assurée par l’abbé Guillaume de Tanouarn et ses dossiers de grande qualité, souvent novateurs, vont nous manquer. Nous regrettons déjà les éditoriaux acérés de notre ami Eric Letty, que nous lisions dans les colonnes d’Aspects de la France que Pierre Pujo lui avait ouvertes à la fin des années 1980. L’équipe dirigeante, composée de maurrassiens a-t-elle dit son dernier mot ? Espérons que non, mais dans l’immédiat c’est une pièce de perdue dans le dispositif actuel du « Nouvel âge du maurrassisme ». Cette disparition regrettable est l’occasion de tenter une description sommaire de la presse royaliste actuelle.
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
Depuis trois mois, le Coronavirus s’étend sur la planète. D’abord concentré sur la Chine, puis le continent asiatique, le Covid-19 s’installe désormais en Europe. L’Italie est le principal pays touché, mais la France n’est pas en reste. Entre psychose et relativisme, les explications et conclusions sur ce nouveau virus germent partout dans les médias et sur les réseaux sociaux. Elise Blaise reçoit l’économiste spécialiste des questions environnementales, Philippe Murer, pour démêler le vrai du faux.
Ensemble, ils évoquent la crise de confiance des populations provoquée par les dirigeants politiques. Un problème majeur pour mener une politique sanitaire efficace. Ils reviennent également sur les conséquences économiques du Coronavirus et les mesures de confinement qu’il implique. Des conséquences qui mettent directement en échec l’organisation planétaire basée sur la mondialisation, à l’origine d’une interdépendance dangereuse pour la souveraineté et la résilience des Etats.
Il est arrivé une bien triste mésaventure à notre amie de longue date, Hélène Richard-Favre, avec qui Hilaire de Crémiers m'avait mis en rapport il y a plusieurs années. Son Blog a été purement et simplement fermé, supprimé, sans autre forme de procès : heureusement, elle avait eu l'intuition, juste avant, de sauvegarder ses notes.
Connaître et apprécier Hélène Richard-Favre, c'est tout un : elle est une spécialiste reconnue de la Russie, et la lire est toujours, à la fois, plaisir et source d'enrichissement...
Il m'a donc semblé tout naturel, et surtout nécessaire, en cette période difficile et douloureuse qu'elle traverse de porter ces faits à la connaissance de nos lecteurs, et de donner le nouveau lien sur lequel vous pourrez retrouver ses chroniques...
Longue vie et plein succès à notre amie pour ce nouveau départ !
François Davin, Blogmestre de lafautearousseau
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
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