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O.B. : le retour....

Il faut croire qu' "ils" ont trouvé Poutou terriblement nul, au NPA : O.B. (Olivier Besancenot, pour les intimes) a cru devoir se fendre d'une déclaration mi larmoyante, mi scandalisée sur le refus par Manuel Valls de régulariser plus de 30.000 clandestins par an.

Déjà, en régulariser un seul est une erreur, mais 30.000 !

Pour des raisons diamétralement opposées aux nôtres, Olivier a réagi comme nous : il est critique, il est "contre". Mais lui c'est à cause de la "fracture morale" que cette dureté de Valls introduit entre les idéaux de gauche et l'action du gouvernement (sic !...)

On comprend sa réaction : O.B. s'est fait, par idéologie anti "nationale" et objectivement, le laquais des faiseurs de fric, en agissant, de fait - par son soutien inconditionnel et systématique aux immigrés - comme un pourvoyeur de chair à profit pour employeurs peu scrupuleux : si le méchant Manu lui "casse le travail"....

Commentaires

  • Ce type est trotskyste.
    Comment peut-on être trotskyste en 2012 ?
    La seule différence notable entre stalinisme et trotskysme, c'est que le second n'ayant pas été au pouvoir n'a pas pu étaler sa malfaisance ni son caractère tout aussi sanguinaire, si ce n'est plus.

  • Pauvre "Baise-en Sono!"

  • Vous vous trompez, Monsieur Olrik, Trotzky a amplement démontré ses bas instincts sanguinaires. Je vous conseille de lire les grands poètes russes de son époque : Mandelstam, Blok, Tsvétaeva, Goumilev, Akmatova, des romanciers comme Vassili Grossman ainsi que les historiens spécialistes de l'histoire soviétique. Ils vous en apprendront beaucoup sur ce sinistre personnage. Quant aux trotskystes français, ce sont des bouffons à la solde du grand "Kapital".

  • Je me trompe pas, Monsieur de Wargny. Mais vous ne faites pas attention à ce que vous lisez.
    Je ne dis pas, bien au contraire, que Trotsky n'a pas démontré ses bas instincts sanguinaires. Je dis qu'il n'a pas eu la possibilité matérielle de les mettre en oeuvre sur une grande échelle et dans la durée comme Staline.
    Pour le reste, il a même précédé Staline dans le totalitarisme et notamment dans la mise en place du Goulag.
    C'est aussi, je suppose, ce que disent les poètes, romanciers et historiens que vous évoquez avec l'enflure du donneur de leçons et que vous n'avez vraisemblablement jamais lus.

  • Ce qui est important ce ne sont pas les sottises de Poutou ou de Besancenot, ce sont les signes avant-coureurs des premiers craquements qui vont sonner la fin du pseudo, très singulier, et très ambigu "état de grâce" dont François Hollande n'aura bénéficié que par les artifices et l'hollandolâtrie du petit monde des journalistes. Etat de grâce qui aura été, d'ailleurs, assez irréel, François Hollande n'étant l'élu que du tiers des Français, comme vous l'avez souligné, mais, qui plus est, élu non par adhésion, encore moins par enthousiasme, simplement par rejet, dégoût, lassitude de Sarkozy ...
    Or, sur la plupart des grands sujets, sa "sarkozysation" va apparaître évidente assez rapidement. Impôts, charges, fiscalité, en plus. Et, bien-sûr, pas seulement, ni même principalement, pour les "riches".
    Les craquements se feront, se font, déjà sentir à gauche (opposition du Front de Gauche, fronde des écolos etc.) y compris à l'intérieur du P.S. où Hollande n'a été accepté qu'à regret et où, déjà, les clans se reforment et s'activent; sans parler des Français eux-mêmes, déjà sceptiques, déjà désenchantés, où, même ceux qui, en votant Hollande, croyaient en finir avec le système Sarkozy, s'apercevront qu'ils n'en sont jamais sortis ... Qu’ils en ont un assez exact décalque … Qu'ils ont été dupes.
    Alors s'amorce ce que les "politologues" appellent, en souriant, "le phénomène du toboggan".
    Celui qui est censé être le "Chef de l'Etat" est, pour l'instant, assis en son sommet. Il peut, ainsi, s'y tenir un certain temps... S’y complaire. En savourer les rapides délices ... Puis vient un autre type de rapidité et celle-là est vertigineuse.
    Drôle de système que le nôtre. Il se définit comme un toboggan en éternel retour. Voilà ce que, non dans les textes constitutionnels, mais dans la pratique, les institutions de la Vème république sont devenues.

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