Sans chercher à tout prix le mauvais jeux de mots, il est très "clair" ce compte-rendu paru le mardi 22 juin sur le fil AOL: on y rend compte de l'ouverture du procès de cinq "jeunes", accusés de tentative d'homicide volontaire -excusez du peu !...- contre les forces de police.
Nous n'ajouterons rien aux propos de Marie-Pierre Subtil, et vous les laissons découvrir tels quels....
Nos deux grains de sel préliminaires seront, d'abord, pour nous réjouir du fait que ce billet constitue une nouvelle entorse au politiquement correct et à l'interdiction qu'il souhaiterait instaurer de dire tout haut ce que tout le monde voit et sait pertinemment. La récente "affaire Zemmour", qui se termine bien pour lui et pour la liberté de pensée (de penser), est dans toutes les mémoires : il faut oser dire les choses.....
Et, ensuite, pour poser avec Xavier Lemoine, maire de Montfermeil -mais aussi avec tant d'autres...- la question de fond : quand va-t-on cesser d'accueillir et naturaliser 200.000 personnes, et plus, chaque année ? Une "politique" (?) aussi folle ne relève plus de l'extravagance ni de l'insensé ou de l'aberrant, mais du suicide pur et simple d'une Nation, par dilution et substitution démographique.
Il faut non seulement arrêter cette folie furieuse, mais inverser les flux, et entamer dès maintenant la politique inverse: le retour de ces populations qu'on a fait venir ici inconsidérément (pour rester polis) et qui, de fait s'impose, comme le pense et l'explique Nicolas Lacave.....
Voici, en texte intégral non modifié, l'article de Marie-Pierre Subtil et la photo qui l'accompagne :
Le procès de cinq jeunes, accusés d'avoir tiré sur des policiers à Villiers-le-Bel en novembre 2007 lors d'émeutes consécutives à la mort de deux adolescents, s'est ouvert lundi (22 juin, ndlr) dans une ambiance tendue.
C'est devant une assemblée en noir et blanc que s'est ouvert, lundi 21 juin, devant la cour d'assises de Pontoise (Val-d'Oise) le procès de quatre hommes, jugés pour avoir tiré sur des fonctionnaires de police lors des émeutes de Villiers-le-Bel. Accusé d'avoir mis un fusil à disposition, un cinquième comparaît pour complicité.
Le public était scindé en deux parties. A gauche en entrant, des hommes en uniforme ou en costume, tous Blancs à une exception près : les policiers, à la fois parties civiles et témoins, victimes des émeutes des 25 et 26 novembre 2007. Le premier jour, 656 fonctionnaires de police étaient intervenus après les échauffourées nées de l'accident entre une mini-moto et un véhicule de police, au cours duquel deux jeunes avaient trouvé la mort ; 52 policiers avaient été blessés, dont 26 touchés par des armes à feu. Le deuxième jour, 680 policiers étaient sur le terrain, 81 ont été blessés, dont 54 par armes à feu.
PROCÈS "NORMAL"
A droite dans la salle, hormis les journalistes, un public exclusivement noir, comme les cinq accusés. La salle est trop petite, même les témoins ne peuvent y accéder. Au rythme des suspensions de séance, les uns laissent la place aux autres : les familles d'abord, mamans en boubous, frères et sœurs, puis ami(e)s. Pour les avocats de la défense, les conditions nécessaires à un procès "normal" ne sont pas réunies. Qui faut-il faire sortir ? Les parties civiles, suggèrent les uns, une partie du public, disent les autres. Finalement, le public viendra à tour de rôle, après avoir été filtré par deux cordons de CRS.
Quatre personnes appelées à faire partie du jury ont demandé à être dispensées, pour des raisons liées à leur adresse où à leur fonction. L'une ne s'est pas présentée devant la cour. Au final, un seul des neuf jurés est un homme de couleur. Celui-ci avait formulé une demande de dispense, qu'il n'a pas maintenue.
Dans cette ambiance tendue, un incident est survenu en fin de journée. L'un des accusés, Abderhamane Kamara, 29 ans, a insulté la cour après que la présidente, Sabine Foulon, lui a demandé pourquoi il était "sur les nerfs" lors de son audition. Alors qu'il enchaînait les injures, il a été évacué par les forces de l'ordre.
Les témoins sous X..., éléments-clés de ce procès, ne devraient intervenir, par visioconférence, que lundi 28 juin (1) . Mais dès le premier jour, la validité de ces témoignages a été mise en cause par les avocats de la défense. L'un d'entre eux, Me Michel Konitz, a rappelé que des appels à témoignage avaient été distribués dans les boîtes à lettres du quartier, promettant anonymat et rémunération. Appelé à témoigner, un officier de police judiciaire a indiqué qu'aucun des témoins anonymes n'avait été rémunéré. "On leur a dit quand qu'ils ne seraient pas payés ?", demandait MeKonitz. "Pas avant qu'ils aient témoigné." "Vous n'êtes pas très honnêtes, dans la police !", lançait alors l'avocat.
Marie-Pierre Subtil
(1) : troisième grain de sel : mais, le lundi 28 juin, aucun ne s'est présenté ! En Sicile, on appelle cela l'omerta, ou la terreur que fait régner la Mafia par ses menaces, sur les témoins ou leurs familles. En est-on là, aujiourd'hui, dans ces cités de cette ex-douce France ? On peut, au moins, se poser la question ....
Commentaires
La récente inauguration d'une mosquée en dit aussi très long sur la prétendue laïcité dont on nous abreuve régulièrement. Il s'avère que la droite ou la gauche ont la même politique laxiste ou bien ont-ils peur ? et ce n'est pas que chez-nous mais l'Europe qui refuse ses racines se déchristianise.. en attente d'une réaction populaire ?