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Réaction n° 1 : « Ils » s’étranglent parce que La Marseillaise a été sifflée… : mais l’étonnant n’est-il pas que l’on s’étonne ?......

            On laissera ici ceux qui s’en tiennent à l’écume des choses disserter longuement, mais inutilement , sans poser le fond du problème.

            En effet, ce qui s’est passé au Stade de France le mardi 14 au soir – à savoir une Marseillaise sifflée pour la troisième fois lors d’un match disputé contre un pays du Maghreb (1) – n’est pas un fait divers, un évènement banal.

            C’est au contraire la manifestation d’un problème grave, d'un mal profond ; au sens fort du terme, totalement et essentiellement politique...

         Et auquel il faudra bien, un jour, apporter une réponse politique. Bernard Laporte est bien gentil de vouloir « délocaliser » en province les matches avec les équipes du Maghreb : s’imagine-t-il qu’en cachant ( honteusement ? ) les problèmes, qu’en les déplaçant, on les aura réglés ? Quelle niaiserie ! Quel aveuglement, quelle folie, inquiétante de la part de gens qui sont au gouvernement !

          Il faut au contraire avoir le courage et la lucidité de regarder la réalité en face. De quoi s’agit-il ?

    De l’échec de la politique d’immigration insensée menée depuis 1975 par le Pays Légal. D’une greffe qui ne prend pas. Et que se passe-t-il, lors d’une opération ou juste après, si la greffe ne prend pas ? Il y a un phénomène de rejet. Nous en sommes là.

    La république, qui l'a créé, ne réglera évidemment pas ce problème. Le jour où les français voudront donc le régler, ils auront besoin d'un recours : le Prince libérateur...

          

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