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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Je ne me reconnais pas dans le monde qui vient, par Mathieu Bock-Côté.

    J’ai 40 ans et je me sens déjà étranger en mon époque. Ce qui l’enthousiasme m’indiffère, ce qui l’excite m’ennuie, ce qui la scandalise me laisse souvent perplexe.

    1.jpgInversement, les causes qui me font vibrer sont jugées ringardes au mieux, odieuses, au pire. 

    Cela ne date pas d’hier : Milan Kundera se demande dans un de ses livres comment vivre dans une époque avec laquelle on est en désaccord. Cette phrase lue il y a 20 ans me hante encore.

    Ce n’est pas un secret, je suis nationaliste, et je ne parviens pas à comprendre qu’on préfère s’éparpiller en querelles artificielles plutôt que se battre pour l’honneur et la liberté de son pays. 

    Déclin

    Oh, je le comprends intellectuellement, mais comme un symptôme de désagrégation sociale, et je me désole de ceux qui croient s’épanouir en s’enfermant dans des identités toujours plus étroites. 

    Je regarde l’histoire occidentale et, si j’en connais les pages sombres, je refuse fondamentalement à maudire notre civilisation. 

    Je ne parviens pas à comprendre qu’on veuille remplacer les si beaux mots de père et de mère par parent 1 et parent 2, et qu’on en vienne à soutenir, chez des gens apparemment cultivés, que l’homme et la femme sont de pures constructions artificielles.

    Écoutez Les idées mènent le monde, une série balado qui cherche a éclairer, à travers le travail des intellectuels, les grands enjeux de sociétés.

    Je comprends intellectuellement comment on peut se rendre là, mais j’y vois le signe d’une pensée coupée des sources les plus profondes de la vie. 

    Je ne parviens pas à comprendre qu’on se détourne des œuvres géniales pour lire des tweets par milliers, sinon que j’y vois une expression parmi d’autres de la paresse humaine.

    Oui, les temps qui viennent ne seront plus vraiment libres, ni joyeux. 

    Habité par le sentiment d’un changement d’époque, et convaincu d’appartenir au monde qui meurt davantage qu’à celui qui naît, je ne résiste pas à la tentation de citer les dernières lignes des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand : « On dirait que l’ancien monde finit, et que le nouveau commence. Je vois les reflets d’une aurore dont je ne verrai pas se lever le soleil. Il ne me reste qu’à m’asseoir au bord de ma fosse ; après quoi je descendrai hardiment, le crucifix à la main, dans l’éternité. » 

    Mélancolie

    Mais je n’ai pas la sérénité de ce génial écrivain et je préfère me battre. 

    J’aime l’amitié, les grandes passions, les exploits héroïques et les célébrations qui les couronnent, les livres silencieusement médités et les bibliothèques remplies de trésors, les chants tragiques et les chants folkloriques, la beauté des vieilles églises et le patriotisme mélancolique, et je pleure de joie en pensant au jour où nous proclamerons notre indépendance.

    L’homme trouve sa grandeur en se battant pour des choses qui le dépassent, et une existence vouée au service d’une cause noble, même si elle semble vaincue au premier regard, vaudra toujours mieux que mille compromissions avec une époque qui avilit l’âme en plus de nous transformer en larves et en robots.

    Source : https://www.journaldemontreal.com/

  • COMMENT SAUVER LA FRANCE : le nouveau livre de notre ami Marc Rousset.

    Comment sauver la France

                                Pour une Europe des nations avec la Russie

     

    L'ouvrage - imprimé et  distribué par Hachette - peut être acheté dans toutes les librairies et sur tous les sites (Amazon, FNAC, Cultura, Decître...

    440 pages - 26,90 euros 

    ACHETEZ

    communique de presse editeur comment sauver la france

    Résumé de l'ouvrage :                                                           

    Comment concilier Nation et Identité avec Europe et Puissance ? Il y a urgence, plutôt que de prétendre sauver notre planète, à sauver la France, en réformant l’UE, en stoppant net l’immigration extra-européenne, en désignant l’islamisme comme l’ennemi, en procédant à une révolution conservatrice et à un « Mai 68 à l’envers », en défendant la famille et la natalité européenne, en rétablissant la primauté du politique sur l’économique, en procédant à des réformes économiques structurelles, en augmentant le budget de la défense à 3% minimum, en mettant fin à la gabegie des dépenses publiques.

    Une seule façon de réaliser l’Europe Puissance des nations de l’Atlantique à la Sibérie : une Confédération carolingienne des nations à l’Ouest qui se rapprocherait de la Russie. L’avenir de l’Europe est eurasiatique, pas euro-atlantique. La grande Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok.

    La Russie est le chien de garde de l’Europe à l’Est face à la Chine, à la Turquie, au Caucase, au Moyen-Orient et au monde musulman de l’Asie centrale. L’’Europe doit se considérer comme l ‘ « Hinterland » de la Russie, cette dernière étant son « Far-East »

    Les nations de l’Europe de l’Ouest doivent quitter l’OTAN, constituer un puissant pôle de défense indépendant et mettre fin au libre-échange mondialiste. L’UE deviendrait une simple zone de libre- échange. A l’abri d’une protection douanière face à la Chine et aux pays émergents, d’une immense « forteresse Europe » de l’Atlantique au Pacifique, une Confédération carolingienne constituerait un pôle civilisationnel autocentré de puissance. Il ne peut y avoir adhésion des peuples à l’Europe que par la réalisation de nombreux projets concrets ambitieux impliquant la coopération de plusieurs États.

    Le multilinguisme européen doit être préservé, chaque nation gardant son identité et sa langue. La langue commune des nations européennes ne peut être que le français ou l’espéranto, mais jamais la langue de l’Amérique et de Wall Street car ce contre-sens civilisationnel conduirait, de plus, à la disparition de toutes les langues européennes.     

    Sans réveil salvateur en sursaut, sans retour à la « Real Politik », au désir de Puissance et d’autonomie stratégique, à des Hommes d’Etat forts, énergiques et courageux, les États nations et la civilisation européenne, au lieu de continuer à rayonner, sortiront de l’histoire, disparaîtront de la carte du monde.    

  • Michel Barnier : Que signifie son revirement spectaculaire sur l’immigration et l’Union européenne ?, par Frédéric Sirga

    Son étoile s’est levée dès décembre dernier quand, fort de son accord sur le Brexit, il s’est mis en situation de faire le don de sa personne et de sa longue expérience à la France et à la droite LR. Neuf mois après, Michel Barnier est bel et bien lancé dans la candidature à la candidature LR et se prépare à participer à la primaire.

    6.jpegBien que derrière Bertrand et Pécresse, les sondages le donnent tout de même entre 8 et 13 %. Un score honorable et qui permet tous les espoirs. Michel Barnier, c’est le 3e homme du 3e homme. Au passage, ça se bouscule beaucoup, dans ce créneau 8-13 : Mélenchon, Jadot, Hidalgo, Zemmour et, donc, les 3 LR. En attente de décantation.

    Jeudi et vendredi, les candidats ont été auditionnés par les députés LR lors de leurs journées parlementaires à Nîmes. L’occasion, pour Michel Barnier, de continuer son entreprise de séduction auprès des cadres du parti. D’après une enquête menée auprès des parlementaires citée par Le Monde, il est celui qui rassemble le plus de soutiens (41 députés), derrière Xavier Bertrand.
    L’intéressé joue de sa stature consensuelle, de son expérience intérieure et européenne, de son gaullisme centriste, mais aussi de sa « différence » de style avec Macron. Pour Daniel Fasquelle, « il a l’allure d’un Président dont les Français seront fiers sur le perron de l’Élysée ». Jusqu’ici, tout va (à peu près) bien.

    Mais il ne fait pas l’unanimité. Le Monde a recueilli des jugements peu amènes d’autres députés LR : l’intervention de Michel Barnier aurait été « poussive », « monotone » et « beaucoup ont regretté des références permanentes au passé et pas assez à l’avenir »“. Tout le charme d’une primaire. Ou d’une machine à perdre.

    Mais l’événement Barnier, lors de ces journées, ce fut sa volte-face inattendue sur l’Union européenne qui a scandalisé le Landernau bruxellois. Imaginez l’ex-commissaire européen, au sujet de l’immigration, déclarer : « Il faut retrouver notre souveraineté juridique » et ne pas être « menacés en permanence d’un arrêt ou d’une condamnation de la Cour de justice européenne ou de la Convention des droits de l’homme, ou d’une interprétation de notre propre institution judiciaire ». Michel Barnier pris en pleine « zemmourisation ». Visiblement, l’éditorialiste impose ses thèmes dans la campagne LR. Pour Zemmour, c’est une crédibilisation supplémentaire. Pour Barnier…

    Le Monde rapporte les réactions effarouchées du monde bruxellois. Notre ministre des Affaires européennes, le macroniste Clément Beaune : « Comment une telle phrase peut-elle avoir été prononcée par un Européen aussi engagé ? » « On est tous atterrés […] c’est un naufrage, un pacte faustien »“, déplore un haut fonctionnaire.

    Mais c’est certainement le père du Brexit, le Britannique Nigel Farage, qui a eu le mot le plus juste : « Michel Barnier est le plus grand hypocrite de tous les temps. »

    Une fois de plus, la droite LR, dans la plus pure tradition d’un Chirac ou d’un Sarkozy, est contrainte, sur les sujets de l’immigration et de l’Union européenne, aux retournements les plus improbables. Le temps d’une campagne ou d’une sous-campagne.

     

    Frédéric Sirgant

    Professeur d'Histoire

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • La transition énergétique aura des conséquences lourdes sur notre économie et nos modes de vie, par Richard Hanlet.

    Plus que l’immigration, le ou la délinquance, plusieurs sondages attestent que le dérèglement climatique est le sujet qui inquiète le plus les Français. Près des deux tiers pensent que les pouvoirs publics n’agissent pas assez en faveur de l’environnement, et c’est encore plus vrai quand on interroge les 16-25 ans.

    10.pngVisiblement, le matraquage écologique à l’école relayé aux âges moins tendres par celui des grands confirme que la répétition est bien la figure la plus efficace de la rhétorique, surtout quand jamais un contradicteur n’est invité à s’exprimer. Ce doit être une grande satisfaction de constater, chaque soir, que « la télé pense comme moi ».

    Quoique sur des bases contestées par des centaines de scientifiques de haut niveau, le gaz carbonique (CO2) a donc été désigné comme ennemi mondial n° 1. Dont acte. En conséquence a été lancée une course planétaire à la dont on constate, au passage, que les principaux pollueurs la font plutôt avec des chaussures de scaphandrier…

    Heureusement, il y a le bon élève, la Commission européenne et son « paquet climat » pour accélérer la cadence : réduction des émissions de CO2 de 55 % d’ici 2030, fin des véhicules à moteur thermique en 2035, sans oublier les freins à l’aviation et aux routiers et maritimes, avec flambée des taxes sur les combustibles fossiles.

    Dans une récente note de l’Institut Thomas-More, Philippe Herlin expose les conséquences économiques et sociales de ces ambitions, à commencer par un besoin de financement européen de 11.200 milliards d’euros, estimation de la Cour des comptes de l’Union européenne. Pour la France, cette véritable cancel economy supposerait une décroissance forcée de 3 % par an pendant dix ans (dont il est facile d’imaginer l’effet sur l’emploi). Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.

    Et en plus d’une baisse programmée du pouvoir d’achat des ménages, le « paquet climat » s’immiscerait dans les modes de vie les plus intimes de la population, non seulement au niveau de ses modes de déplacement (« la bagnole, c’est périmé »), mais aussi de son alimentation (« la viande, ça pollue ») ou de son habillement (véganisme) et même de l’habitat : l’interdiction de louer les « passoires thermiques » bouleversera le marché immobilier en raréfiant les locations. Plus rares, elles seront donc encore plus chères… Mme Wargon, ministre du Logement, ne vient-elle pas de confirmer que la maison individuelle n’aurait plus sa place dans de demain ?

    Les millenials qui applaudissent en cadence les diatribes de sainte Greta ont-ils bien mesuré ce qui les attend ?

     

    Richard Hanlet

    Médecin
  • Sur le blog ami du Courrier Royal : l’autre visage de Philippe de France, frère de Louis XIV, dit «Monsieur».

    Quand on se questionne sur les grandes familles de France, on ne peut échapper à celle qui est devenu aujourd’hui l’une des plus intéressantes de l’histoire de France, celle d’Orléans. Famille ducale, puis royale par le jeu du hasard politique, elle exprime un sentiment d’attachement car elle incarne la vie moderne des familles de notre époque.

    L’actuelle Maison Royale de France, dynastie capétienne dont la filiation remonte à 852, souveraine depuis 987, est actuellement la branche de Bourbon-Orléans, issus du second fils de Louis XIII1, Philippe 1er (1640-1701), Monsieur, frère puîné de Louis XIV qui donna Philippe II d’Orléans (1674-1723), Régent de France de 1715 à 1723 pour la minorité de Louis XV. Le choix des prénoms des princes était important, surtout quand il s’agissait, comme ici, d’une branche dynastique encore récente. Louis XIII, ayant à baptiser deux garçons avait donné au premier son propre prénom (Louis) et choisi pour le second un autre prénom traditionnel de la famille, Philippe, qui n’avait pas été porté par un roi de France depuis trois siècles. Le sort voudra que plus aucun souverain français ne soit ainsi nommé et que ce prénom devienne un apanage de la branche cadette des Orléans.

    A ce prénom était jointe l’appellation de duc d’Anjou. Je dis bien « appellation » car les titres, dans la famille royale, n’étaient ni héréditaires ni gagés sur une terre et ne servaient que de dénomination commode à des princes dont la naissance seule marquait le rang. La doctrine qui présidait à ces attributions de titres par le Roi n’était pas rigoureuse, et les cadets de la Maison de France, au cours des siècles, avaient porté bien des appellations, le jeu des naissances, des décès et des descendances venant à tout moment modifier l’ordre des préséances. Pourtant, à plusieurs reprises, ce créa une tradition, les rois avaient conféré à leur second fils le titre de duc d’Orléans, ville qui avait été longtemps la seconde de l’exigu domaine royale des premiers Capétiens. Cela explique pourquoi l’actuelle famille d’Orléans est la quatrième famille à porter ce nom, les trois autres, également capétiennes, étant toutes éteintes.

    Monsieur, fils puiné de Louis XIII et frère du Grand Soleil Louis XIV, était un homme complexe, à la personnalité délicate. Sa naissance privilégiée, dénaturée pourtant par la malchance en fit un personnage historique en perpétuelle conflit avec son époque. Conscient de sa lignée, il pérennisa sa filiation en fondant ce qui deviendra l’actuelle Maison de France. Homosexuel notoire non refoulé et assumé, il était cependant doué pour la guerre, ce que son frère Louis XIV lui refusera de reconnaître, surement par jalousie, assurément pour éviter de lui faire de l’ombre. Sa vie sentimentale, riche en rebondissements nous amène à mieux déchiffrer Philippe 1er d’Orléans, surtout grâce au témoignage de sa seconde épouse, la Palatine.

    Voici un modeste portrait de ce grand prince à lire dans ce dossier, écrit par notre ami Christophe Frayssines de Montvalen :

    Philippe 1er d’Orléans, dit « Monsieur »

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie, pour l’écologie enracinée !

    Pour mener à bien une véritable politique écologique, encore faut-il l'inscrire dans la durée et ne pas dévier de sa route (fut-elle ardue et semée d’embûches) malgré les pressions des lobbies industriels ou consommateurs qui peuvent avoir tendance à ne penser qu’à leur intérêt immédiat et particulier, au détriment du long terme et des générations qui viennent et viendront…

    Pas sûr que la République prise éternellement entre 2 élections, véritables foires d’empoigne politiciennes où la communication remplace les idées et les débats, soit capable de relever le défi : une monarchie, alors ?
    Après tout, un roi a l'obligation, en France, de transmettre à son successeur un patrimoine préservé... Et la monarchie à transmission héréditaire est fort exigeante en ce domaine, par ce même principe, cette « obligation de résultat » à laquelle elle ne peut se soustraire, au risque de perdre une grande part de sa crédibilité et, pire, de sa légitimité même, largement fondée sur le service rendu.
    Nous pourrions donc résumer nos propos précédents en citant l’Italien A. De Gasperi, souvent considéré comme l’un des pères fondateurs de « l’Europe » : « l'homme d’État pense aux prochaines générations, le politicien pense aux prochaines élections ». En France, l’homme d’État, qui ne peut être l’actuel locataire de l’Elysée même s’il eut quelques prédécesseurs dont certains eurent le sens de l’Etat, de la « res publica » et de ses devoirs, existe d’autant moins en République contemporaine que le politique a laissé la place à la communication et à la courtisanerie, et que l’État a, d’une certaine façon, déchu…
    S’il y a, à la prochaine présidentielle, un candidat écologiste, fut-il assez crédible pour accrocher une partie non négligeable de l’électorat, cela ne suffirait pas non plus à ancrer le « souci environnemental » au cœur des institutions et des citoyens : la manière dont l’écologie a été promptement enterrée, malgré les déclarations de principe et les quelques avancées (plus théoriques que réelles) issues du « Grenelle de l’environnement » et du ministère Hulot au début de ce quinquennat, en est l’éclatante et terrible démonstration ! Ce ne sont pas les quelques déclarations d’intention et les quelques timides avancées pour la protection de la mer Méditerranée annoncées par M. Macron ces jours derniers qui suffiront à inverser la tendance dans un sens plus écologique !
    Dans notre pays, il n’y a d’État durable que par la Monarchie : c’est, a contrario de la « République paradoxale » instituée par De Gaulle, la leçon de l’histoire des institutions. Mais cette leçon risque de n’être qu’une théorie déconnectée du réel (et donc inutile puisque destinée à ne pas être pratiquée) si les monarchistes et les princes oubliaient de s’affirmer sur le champ des possibles et du politique…
    En somme, pour notre compte, pas le temps de s’ennuyer pour les prochaines décennies : pour ne pas mourir royaliste mais avoir une chance de vivre en monarchie, enfin ! Une monarchie qui incarnera une écologie enracinée, à la fois audacieuse et sérieuse…
     

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/

  • Les mercenaires islamistes syriens en première ligne contre les Arméniens qui reculent, par Antoine de Lacoste.

    Malgré le cessez-le-feu que les Russes avaient laborieusement fait conclure, il y a quelques jours, entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, les combats se poursuivent dans le . Cette enclave arménienne située en territoire azéri a été conquise par l’Arménie en 1994 et l’Azerbaïdjan rêvait, depuis, de la reconquérir.

    antoine de lacoste.jpgPrudente en raison de la défaite très sévère subie alors, elle s’est sentie pousser des ailes sous l’influence du bon sultan Erdoğan qui lui a fourni des drones d’attaque très performants (ils avaient déjà fait leurs preuves en Libye) et des mercenaires syriens qui combattent en première ligne.

    Plusieurs vidéos visibles sur le site de France 24 montrent des images d’un camp d’entraînement situé en Syrie, près de la frontière turque, ainsi que l’arrivée de ces mercenaires en Azerbaïdjan. Des scènes sporadiques de combats sont également en ligne mais apportent peu d’enseignements.

    Ces islamistes regroupés principalement dans la division Hamza sont, pour la plupart, des Turkmènes passés sous contrôle turc lors des différentes invasions de l’armée turque en Syrie. Déjà utilisés comme chair à canon contre les Kurdes et contre l’armée syrienne, plusieurs milliers ont été envoyés en Libye contre les hommes du maréchal Haftar avec succès. Succès relatif, tout de même, car ce sont surtout les drones turcs qui ont fait la différence.

    L’affaire est plus délicate dans le Haut-Karabakh : les Arméniens sont de rudes combattants et leur histoire tragique leur a appris à défendre leur terre avec acharnement. Mais la supériorité technique de l’armée azérie est incontestable et plusieurs positions importantes ont été perdues par les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh.

    Les Arméniens ont plusieurs centaines de morts à déplorer et l’on ne sait rien des pertes azéries soigneusement cachées, mais les autorités militaires reconnaissent un bilan élevé.

    Quant aux mercenaires syriens, ils ont payé un lourd tribut et découvert que la promenade promise était plus rude que prévu. Sur les 2.000 mercenaires envoyés, le très islamiste OSDH (Observatoire syrien des droits de l’homme) annonce 134 morts, dont plusieurs ont été discrètement enterrés en Syrie, selon Le Monde. D’après la même source, des imams turcs leur font croire qu’ils vont aider des frères sunnites azéris, alors que ces derniers sont presque exclusivement chiites.

    Sans l’aide turque, il est certain que l’offensive azérie aurait échoué. Mais cette fois, la situation est beaucoup plus inquiétante pour nos amis arméniens et l’on ne peut malheureusement plus exclure une reconquête du Haut-Karabakh par l’Azerbaïdjan. Ce serait une tragédie pour cette région peuplée à peu près exclusivement d’Arméniens qui seraient alors obligés d’abandonner leur terre ancestrale et de fuir vers l’Arménie.

    Dans ce contexte périlleux, la passivité russe laisse perplexe. L’Arménie est un allié proche et laisser Erdoğan gagner impunément cette guerre serait un désastre. Il est temps que les Russes reprennent la main ou alors une grande victoire islamiste serait à déplorer.

    Antoine de Lacoste

  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Adieu les cons.

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    A l’affiche : Adieu les cons, un film français d’Albert Dupontel avec Albert Dupontel (JB), Virginie Efira  (Suze Trappet), Nicolas Marié (M. Blin), Jackie Berroyer (Dr Lint) ; Bastien Ughetto (Adrien) et Marilou Aussilloux (Clara).

    guilhem de tarlé.jpgAdieu les cons… Très franchement ce titre ne m’inspirait pas avant d’avoir entendu Laurent Dandrieu sur TV Libertés (émission Perles de culture d’Anne Brassié), et je ne m’étais pas dit que c’était un message adressé à ces gens qui nous gouvernent, « trop intelligents » comme l’a dit l’un d’eux, Gilles Legendre, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale.

    Adieu les cons… Ça commence avec un effet Domino, comme une grosse farce, et cette comédie dramatique illustre merveilleusement la très belle formule de Romain Gary selon laquelle « l’humour est une déclaration de dignité, une affirmation de la supériorité de L’Homme sur ce qui lui arrive ».

    Comédie, avec des scènes grandguignolesques, sans aucune vraisemblance…
    Dramatique avec M. Blin, devenu aveugle et que l’on emploie aux Archives, enfermé dans une salle sans éclairage ;
    dramatique avec cet informaticien brillant à qui l’on demande de « coacher » le « jeune directeur » que l’on installe à la place qu’on lui avait promise ;
    dramatique surtout, avec cette jeune femme, gravement malade, qui se heurte à la bureaucratie quand elle veut retrouver l’enfant que ses parents l’ont forcé à abandonner quand elle en a accouché à 15 ans.

    Curieuse histoire qui met en exergue l’amour maternel à notre époque où certains prônent l’avortement « en même temps » qu’ils instituent la GPA !
    Ce sont eux, sans doute, « les cons » auxquels Dupontel voudrait dire « Adieu »… et nous avec lui…

    En vous souhaitant une bonne soirée parmi ces victimes de cet univers burlesque, j’ai plaisir à vous dire « Au revoir, les amis ».

     PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate.

    Pour mémoire :  un tableau récapitulatif donnant, dans le désordre, un « top ten » des films vus au cinéma depuis le 1er janvier

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Les Apparences

    Marc Fitoussi

    Un bon film

    Thriller

    Franco-belge

    Septembre 2020

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    La fille au bracelet

    Stéphane Demoustier

    Je recommande

    Drame, justice

    Français

    Février 2020

    Voir le jour

    Marion Laine

    Un bon film

    Comédie-dramatique

    Français

    Août 2020

    Les choses qu’on dit,
    les choses qu’on fait

    Emmanuel Mouret

    Un très bon film

    <

  • Le calice de la dernière Messe du Roi Louis XVI est en Auvergne, à Saint-Urcize...

    Une petite cérémonie a célébré, jeudi, l’exposition désormais permanente, dans une chapelle latérale de l’édifice, du calice qui a servi à la communion du roi juste avant son exécution.

    Le calice a été sorti de son écrin fortifié, le temps de la cérémonie, par le maire de Saint-Urcize, Bernard Remise, et Gérard Bouniol, à l’origine de son exposition permanente

    Paris, 21 janvier 1793, 5 heures du matin. Au troisième étage de la tour du Temple, où il est détenu depuis plusieurs mois, Louis XVI reçoit une dernière fois la communion, des mains de son confesseur, l'abbé Henri Essex Edgeworth de Firmont, avant d'être emmené dans une berline attelée à deux chevaux vers son lieu d'exécution, place de la Révolution.

    Saint-Urcize, 26 juillet 2012, 15 heures. Élus, habitants, membres de l'association Louis XVI France et Belgique garnissent les rangs de la petite église romane du village de l'Aubrac.

    Entre ces deux événements, séparés par plus de deux siècles, un trait d'union, conservé dans une chapelle latérale de l'édifice religieux. C'est là qu'est exposé le fameux calice utilisé lors de la dernière messe de Louis XVI.

    La petite cérémonie de jeudi dernier célébrait l'exposition de cette coupe en argent et vermeil qui trône désormais de façon permanente dans un coffre, au sein de l'église des XIe et XIIe siècles.

    Transmis de prêtre en prêtre

    Comment ce calice s'est-il retrouvé à Saint-Urcize ? Transmis de prêtre en prêtre, il a été retrouvé au début du XIXe siècle dans l'Est de la France, chez l'abbé Saint-Pée d'Amon, qui l'offrit à un parent, Pierre-Jean Ipcher, futur curé de Saint-Urcize, pour la célébration de sa première messe. Dès lors, l'objet, classé monument historique en 1980, n'a plus quitté le village.

    "Il est l'ornement de notre église", s'est réjoui Gérard Bouniol, président de l'association pour la préservation des sites de Saint-Urcize, dont la ténacité a rendu possible l'exposition permanente de ce petit trésor.

    Parler de trésor n'est pas trop fort pour Jocelyne Pierrard, membre de l'association Louis XVI France et Belgique, qui a retracé avec émotion les dernières heures du roi en ce 21 janvier 1793. Un instant de l'Histoire de France dont l'église de Saint-Urcize abrite l'un des objets !

    Olivier Rezel, dans La Montagne du 29/07/2012

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    En Auvergne, dans l'Aubrac, le petit village de Saint Urcize (ci dessus) et son église Saint Pierre et Saint Michel (ci dessous) :

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    Le calice de la dernière Messe...

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  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la Monarchie face à la mondialisation. Partie 1 : Quand la mondialisation détruit l

    Dans ce débat permanent que nous entretenons avec nombre de lecteurs, d'amis ou de curieux de la chose publique, sur la Monarchie et ses possibilités, ses caractères et ses limites, de nombreuses questions tournent autour du rapport à la mondialisation, comme celle d'un de nos jeunes interlocuteurs, Rony D., qui nous interroge : « Comment la monarchie, et particulièrement aujourd'hui où la mondialisation tend à confondre les cultures, peut-elle être crédible ? ». 

    La question n'est pas inutile, loin de là, car la mondialisation apparaît désormais comme notre cadre de vie, influençant nos comportements économiques et de consommation, et, au-delà, nos manières de sentir, de penser et, donc, d'agir. Il semble difficile de lui échapper ou, du moins, de ne pas être affectée par elle, d'une manière ou d'une autre, surtout en ces temps de communication rapide et de connections électroniques multiples, encore plus importantes depuis le début de la crise sanitaire...
    La mondialisation n'est pas neutre et ne l'a jamais été, et sans doute est-ce encore plus vrai dans le domaine dit culturel (métapolitique, diraient certains) que dans tous les autres : le fait de disposer d'un savoir, non pas universel mais mondialisé, en quelques clics sur un ordinateur ou un téléphone, semble « aplatir » la planète et nous relier à tous ses points, sinon à tous ses coins... La publicité, d'ailleurs, reproduit ce « monde » imposé en niant les frontières culturelles ou en les folklorisant, ce qui est, en fait, une forme de muséification et non de valorisation de celles-ci : la culture mondialisée est le dépassement de toutes les cultures collectives enracinées, au nom d'un multiculturalisme qui, en définitive, est le désarmement des cultures réelles. Culture mondialisée contre cultures enracinées d'un lieu et d'un peuple ou d'une communauté, pourrait-on résumer : les tristes prédictions de Claude Lévi-Strauss, qui annonçait ce processus et cette finalité de ce que l'on pouvait encore qualifier « d'occidentalisation » dans la seconde moitié du vingtième siècle, se réalisent par et dans la mondialisation contemporaine. Est-ce si étonnant quand on se rappelle que l'histoire du monde n'est souvent rien d'autre que le rapport de forces permanent, qui laisse peu de place aux faibles ou aux perdants, et engage leur processus d'évanouissement ou de dissolution (voire d'extermination) dans le « monde gagnant », qu'il soit empire ou « gouvernance » : « Vae victis ! », proclamait Brennos au jour de sa conquête (temporaire) de Rome, et sa formule vengeresse résonnera longtemps aux oreilles des habitants de la cité de Romulus, et, quand lui s'en contentera, les Romains engageront un véritable combat culturel pour accompagner leurs propres conquêtes, et ce sera la romanisation, ancêtre de la mondialisation... Et les Celtes y perdront leurs habitudes, leurs traditions, mais aussi leur indépendance première et leur civilisation s'effacera, sauf en quelques marges et recoins de l'empire.
     
  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Kaamelott – Premier volet.

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    A l’affiche : Kaamelott – Premier volet, un film français d’Alexandre Astier avec Alexandre Astier (le Roi Arthur).

    Le cinéma Eden Palace d’Argenton sur Creuse (Indre) pratique la jauge de 50 spectateurs, ce qui permet de nous y rendre sans laisser-passer dit « sanitaire ».

    La légende arthurienne m’est étrangère. J’ai bénéficié d’une enfance sans télévision, à une époque où internet et les smartphones n’existaient pas (« je vous parle d’un temps… ») et où, à l’heure des repas, la salle à manger se vivait comme un véritable forum domestique. Je ne crois pourtant pas y avoir jamais entendu parler de l’Enchanteur Merlin, de Lancelot, de la reine Guenièvre, d’Excalibur, de la « quête du Graal » et même de la forêt de Brocéliande dans une famille culturellement sous l’emprise de ma mère : hors de la Provence, point de salut !
    Quant à la Table Ronde, c’était pour moi une maison d’éditions dans laquelle on se nourrissait de livres antigaullistes.
    Bref, je ne sais rien du Roi Arthur et de sa capitale Camaalot, d’autant plus (ou d’autant moins) que malgré de bons échos, je n’ai jamais vu la série télévisée Kaamelott.
    Je ne me serais donc certainement pas déplacé pour ce film, dont la bande-annonce ne me disait rien, sans l’insistance d’un destinataire de ces humbles commentaires…

    Certes, c’est suffisamment déjanté pour qu’on ne s’y ennuie pas (il m’est même arrivé de rire quelques rares fois), mais c’est quand même très long (2H) et il m’était impossible de comprendre et de goûter la parodie d’une histoire que je ne connaissais pas.

    Peut-être me faudrait-il  commencer par lire Chrétien de Troyes ?

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 500 autres sur mon blog Je ciné mate.  

    Pour mémoire :  palmarès des films vus au cinéma en 2020 et 2021

    Titre

    Réalisateur

    appréciation

    genre

    nationalité

    Date de sortie

    Dark Waters

    Todd Haynes

    Je recommande

    Biopic, drame

    américain

    Février 2020

    Le cas Richard Jewell

    Clint Eastwood

    Je recommande

    drame

    américain

    Février 2020

    Sous le ciel d’Alice

    Chloé Mazlo

    Je recommande

    Drame

    Français

    2020

    5ème set

    Quentin Reynaud

    Un très bon film

    drame

    Français

    2021

    Cruella

    Craig Gillespie

    Une bonne soirée

    Comédie dramatique,

    américain

    2021

    Présidents

    Anne Fontaine

    Une bonne soirée

    comédie

    français

    2021

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

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    MACRON, TON PASSE ON N'EN  VEUT PAS !

    UN CONSEIL CONSTITUTIONNEL AUX ORDRES L'A VALIDÉ ?

    TOUS DANS LA RUE, DEMAIN SAMEDI,

    PARTOUT EN FRANCE !

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    1. Quand Macron insulte une fois de plus les Français et les méprise, sans se rendre compte que ses propos parlent, en réalité, de lui...Il voit dans les dizaines de milliers de manifestants "une menace pour la démocratie", des gens en "perte de sens" et "facteurs de désordre" : mais comment ne s'est-il pas rendu compte qu'en s'exprimant ainsi, en plus d'injurier le Peuple, c'est lui qu'il décrit, et parfaitement ?  

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    2. Bonne réponse d'Ivan Rioufol à Pierre Brisson, très "politiquement correct" et, donc, au jugement et à la pensée très incorrectes !

    1. Le raisonnement-bidon de PierreBrisson :
     
    "En réponse à @ivanrioufol et @ParisMatch
    Vous avez tort Monsieur Rioufol. Votre combat est un mauvais combat. L'avantage de la vaccination pour tous est évident et les risques individuels de se faire vacciner sont extrêmement réduits. Il n'est pas question de liberté mais de bon sens."
     
    2. La juste réponse d'Ivan Rioufol :
     
    Ivan Rioufol 
    "Vous ne comprenez pas, ou vous faites exprès ? je ne combats pas le vaccin, mais le #PasseSanitaire et sa logique hygiéniste de l'exclusion, de la punition, de la délation, de la surveillance, du traçage numérique. Je refuse ce monde immonde. Je n'y participerai pas. C'est clair ?"

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    3. Gabrielle Cluzel a raison de le signaler :

    Gabrielle Cluzel
    "Pauvreté du rayon littérature jeunesse dans les hypermarchés , plus de "classiques" (On cherche en vain un Agatha Christie). En revanche, dans les "romans pour ados" de @Leclerc, littérature d’ultra-gauche pro-migrants à gogo. L’endoctrinement ne prend pas de vacances…"

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    C'est par la tête que pourrit le poisson : le Système a "pourri" (mentalement) la tête des Français par les mensonges de son École, il continue à la "pourrir" par la promotion de l'immigration/invasion (passant au "physique", cette fois, après le "mental"...)

     

    4. Mediapart et le CNRS prennent leur distance avec le sociologue Laurent Mucchielli après qu’il ait affirmé que la vaccination contre le Covid-19 était responsable "d’une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne"... Conformisme, pensée unique, tyrannie intellectuelle, "monde immonde" dont parle Rioufol, "immonde moderne" dont parlait notre ami Jean-François Mattéi... : quand tu nous tiens !...

    https://www.valeursactuelles.com/societe/mediapart-et-le-cnrs-lachent-le-sociologue-laurent-mucchielli-apres-la-publication-dun-article-douteux-sur-les-effets-de-la-vaccination/

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    5. Vivent les Bretons !

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-une-cinquantaine-de-bistrots-bretons-refusent-le-controle-des-passes-sanitaires-20210804

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    6. À propos du vaccin français Valneva...

    https://www.leprogres.fr/sante/2021/08/04/pourquoi-le-vaccin-francais-de-valneva-sera-d-abord-disponible-au-royaume-uni

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    7. Et pour finir cette série d'aujourd'hui avec le sourire : Un QRCOde ? Oui, mais signé Louis !

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    (trouvé sur tweeter)

     

     

    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. La police va abandonner la "clé d’étranglement" au profit de 3 nouvelles techniques. Bon. Au même moment où l'on apprend l'officialisation de la nouvelle - qu'on connaissait depuis plusieurs semaines - une cinquantaine d’individus tend une embuscade à la police à Brest. La morale de l'histoire : plus "on" affaiblira la police et les FDO, plus les voyous s'enhardiront et attaqueront. Ne jamais oublier le dicton d'antan :

    "Poignez vilain : il vous oindra ! Oignez vilain : il vous poindra !"

    https://policeetrealites.com/2021/07/30/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-police-la-cle-detranglement-est-remplacee-par-trois-techniques-dinterpellation/

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    Et, pendant ce temps-là :

    350.000 agressions physiques en 2020 soit 958 par jour !

    La France a un gouvernement ?

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    2. Bravo à TV Libertés, qui communique : 
     "Nous venons de franchir le cap des 100.000 abonnés sur Twitter. Un grand merci pour cette marque de confiance et d’estime. Malgré les embûches, la presse alternative progresse. Vive une info libre, juste, exemplaire et équilibrée."

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    3. D'accord avec Jean-Frédéric Poisson : "La lutte contre le covid ne doit pas se payer au prix d’une société de QR Codes…" :

    https://www.valeursactuelles.com/politique/jean-frederic-poisson-toute-reduction-des-libertes-devrait-se-faire-les-mains-tremblantes/

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    4. D'accord aussi avec Laurent Jacobelli : "Au moment où on n’a plus d’argent pour l’hôpital, comment peut-on comprendre que l’on dépense 1 milliard d’euros par an pour soigner gratuitement des gens qui sont arrivés illégalement ?"

    https://twitter.com/ljacobelli/status/1421048427052421120?s=20

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    5. La bonne question de Jean-Christophe Buisson... :

     
    J-Christophe Buisson
    "Tous les soirs, je lis le compte-rendu du point presse du Quai d'Orsay. On y parle du Liban, de la Syrie, de l'Ethiopie, de la Tunisie, de la Moldavie, du Congo... et rien sur l'#Armenie, pourtant attaquée tous les jours à sa frontière par l'Azerbaïdjan depuis des semaines. Pourquoi ?"
     

     

    5 BIS. ... et l'information de Yako Elish :

     
     
    "Sous prétexte de combattre le PKK, l’aviation turque a de nouveau bombardé Sharanesh, Stavlanee, Baheree, villages chrétiens au Nord de Zakho causant beaucoup de dégâts et empêchant la population de retourner chez elle. #chretiensdOrient"

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    7.                                           SACCAGE PARIS 

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau

    Une soirée spéciale #saccageparis début septembre, dans le Nord-Est Parisien, est en préparation. Présentation des équipes et des projets !  (infos à venir).

     

    À DEMAIN !

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Les migrantistes/sanspapiéristes/sansfrontiéristes et autres bobos/gauchos/trotskos nous saoûlent à dénoncer un prétendu "privilège blanc". La réalité, c'est plutôt "ça", et bien d'autres choses encore : le privilège blanc, ce sont - par exemple - ces milliers d’agriculteurs qui bossent 70h/semaine pour gagner moins d’argent qu’un demandeur d’asile entré clandestinement en France...

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    1 BIS : à l'inverse, le "privilège migrant", ça, oui, ça existe ! : 641€ crédités tous les mois, nourris, logés et l’Ame pour la santé ! Dans le Système républicain idéologique , il vaut mieux être migrant que travailleur français !...

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    3. D'accord avec Jean-Michel CADENAS :

    Macron a fermé Fessenheim, relancé quatre centrales à charbon (chacune 100.000 tonnes de CO2/jour) et commandé à l’Allemagne la construction d’une 5eme centrale à Landivisiau (40.000 tonnes de CO2/jour). Pourtant il dit vouloir décarboner l’électricité ! Menteur !

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    Menteur et fou à la fois : il ferme Fessenheim, coup de couteau dans le dos à notre énergie nucléaire et il commande à l'allemand Siemens. Le sinistre révolutionnaire/régicide Fouché aurait dit - là aussi avec raison - "c'est pire qu'un crime, c'est une faute" !... 

     

    4. Et il y en a qui croient encore au Père Noël (pardon, au "vivre ensemble") alors que notre quotidien est rempli de faits pareils ! :

     

    5. Qui arrêtera "le petit Hitler du Bosphore" ? Erdogan continue de se servir de ses pions pour avancer. Après l'azerbaïdjanais Aliev en Artsakh/HautKarabakh, c'est Tatar à Chypre. Il vient d'annoncer la réouverture de la station balnéaire de Varosha, occupée illégalement par l'armée turque depuis 1974.

    https://www.hurriyetdailynews.com/varosha-town-open-area-president-of-turkish-cypriots-161151

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    5 BIS. Merci à Jean-Christohe Buisson pour "la carte qui explique tout" ! : cette carte de l'empire ottoman à son apogée, publiée dans Le Figaro Magazine permet de comprendre ce qui motive aussi Erdogan en Libye, dans le Caucase sud (Arménie), en Méditerranée orientale et dans les Balkans...

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    7. Nous achèverons cette série, aujourd'hui, sur une note culturelle et d'amitié royaliste : nos amis de La Lorraine Royaliste et la Librairie des Deux Cités nous informent... :

     
    Nous aurons l'immense plaisir de recevoir Jean-Marie Cuny en dédicace le mardi 5 janvier de 14h à 18h.
    Au programme son dernier livre "Femmes étonnantes", mais aussi ses anciens ouvrages sur l'histoire de la Lorraine, la gastronomie régionale, Jeanne d'arc ou encore saint-Nicolas.
    Venez nombreux !
     

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  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    D'accord avec Gabrielle Cluzel, qui a tweeté : "Admirative des jeunes catholiques qui se sont levés pour la messe. Que des coups à prendre. Sarcasmes des médias. Condamnation des laïcards. Mépris des boomers cathos de gauche. Et même, parfois, dureté du clergé. Bravo, vous êtes l’honneur de la fille aînée de l’Église."

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    Le phénomène Jérusalema : l’histoire de cette chanson débute il y a un an. Fin novembre 2019, les artistes sud-africains Master KG (le chanteur) et Nomcebo Zikode (la chanteuse) sortent ce titre dans leur pays. C’est un peu un gospel, une prière qui demande pardon et protection à Dieu : "Jérusalem est ma maison, ne me laisse pas tomber"

     

    • Julien Odoul a bien fait de signaler sur Tweeter que le candidat LR aux régionales, Gilles Platret, a participé à la pose de la 1ère pierre des salles de prière de Champforgeuil financées par la Turquie, alors que - adepte du double jeu - il ose dire par ailleurs : "Nous devons lutter contre le séparatisme et le communautarisme". Tartuffe : c'est la juste réponse de Julien Odoul à cet imposteur et à son "islamo/droitisme"...

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    • En somme, on est passé d'un coup du "Nous sommes tous des Juifs allemands" de 68 à "Vous êtes tous des terroristes", aujourd'hui ? Mieux vaut en rire, il vaut mieux entendre "ça" que d'être sourd" !

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    Le gouvernement doit nous dire la vérité : voici ce qui se lit sur la toile (et tweeter et autres...) : EDF doit racheter l’électricité produite par les éoliennes 91€ le kWh alors que le coût marginal de l’électricité nucléaire est 33€. Info ou infox ? Nous devons savoir, c'est notre argent... Répondez, Castex, Macron et Compagnie !...

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    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/les-eoliennes-sont-un-scandale-environnemental-stupefiant-20201116

     

    • C'est déjà ancien, on l'a déjà passé, mais on ne s'en lasse pas ! Surtout qu'on le retrouve en ce moment sur tweeter... Alors ! 

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    Bon, d'accord, ce n'est pas lui qui a "créé" l'Europe. Mais il faut avouer que c'est bien "envoyé" ! Viktor ORBAN, 1er ministre de Hongrie, opposant sous le régime communiste, combat aujourd'hui une UE dévoyée par des prétendus progressistes qui veulent imposer à tous les pays un seul et même Credo obligatoire (par exemple, le pacte de migrations massives ou l'institutionnalisation des théories du genre), et cela, "à la soviétique". On comprend le refus d'Orban, des Polonais et d'autres : ils ont connu ça, ils ne veulent plus vivre sous la botte d'une autre URSS !...

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    Grâce à la Cour de Cassation, la GPA est officiellement reconnue en France. 170 ans après l’abolition de l’esclavage, grand bond en avant pour la marchandisation du corps humain et le marché de la procréation, aussi juteux que sale ! Grande victoire du Fric, et grande régression pour dignité de la femme...

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