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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Aux Mercredis de la NAR : #49 - Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ?”.

    Mercredi 22 mai, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ? ”. A l’issue du « Grand débat », Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’École nationale d’administration. Depuis les années soixante du siècle dernier, l’ENA fait l’objet de critiques virulentes : considérée comme le foyer de la technocratie, elle est dénoncée comme une fabrique de fonctionnaires coupés du réel dont les réseaux dominent l’État. Dès lors, “faut-il supprimer l’ENA ?”

    Pour répondre à cette question qui va être débattue dans les prochains mois, nous avons demandé à Jean-François KESLER de nous donner un avis qui est très bien informé : ancien élève de l’ENA puis administrateur civil au ministère de la Santé, il est ensuite entré au CNRS pour mener des recherches sur l’administration. Nommé directeur-adjoint de l’ENA en 1983, il a notamment publié « L’ENA, la société, l’État » (Berger-Levrault, 1985), « Les Hauts Fonctionnaires, la politique et l’argent, Grandeur et décadence de l’État républicain » (Albin Michel, 2006), et « Le Pire des systèmes à l’exception de tous les autres, De l’énarchie, de la noblesse d’État et de la reproduction sociale » (Albin Michel, 2007).

  • Ca, c'est la meilleure ! Avec Erdogan, qui nous fait la leçon, plus c'est gros, plus ça passe (croit-il) !

    A Constantinople, en cette triste année 1453 qui vit la ville (et, après elle, une bonne partie de l'Europe du sud-est) tomber aux mains des Turcs, il y avait 100% de chrétiens comme habitants de la ville.

    Aujourd'hui, le chiffre "tend vers zéro" comme disent les professeurs de mathématique.

    De ce point de vue-là, si on compare les Turcs avec les nazis (la Turquie a été alliée de l'Allemagne durant les deux guerres mondiales...) on peut se dire qu'au fond les Turcs sont des nazis qui ont réussi : là où Hitler a échoué, lui qui voulait une Allemagne sans juifs, les Turcs ont réussi, eux qui voulaient une Constantinople sans chrétiens : c'est fait.

    Moyennant quoi l'actuel maître des lieux se permet de nous donner des leçons : alors que chez lui, en Turquie, en 18 mois d’état d’urgence, 160 000 personnes ont été arrêtées, 152 000 fonctionnaires licenciés, des enseignants, juges et avocats ont été renvoyés ou poursuivis, des journalistes arrêtés, des médias fermés et des sites web bloqués etc... etc... Erdogan a critiqué les pays européens au motif qu'ils étaient présents en Egypte, en février dernier, cautionnant ainsi le régime du maréchal Sissi, qu'Erdogan juge dictatorial !

    Il a tenu ces propos en juillet dernier - hier... - lors du Sommet du Processus de coopération de l'Europe du Sud-est, à Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine.

    Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, certes, mais elle est quand même bien grosse, cette grossière "hénaurmité". Mais Erdogan s'en fiche : pour lui, comme pour Goebbels, "plus c'est gros, plus ça passe" (croit-il) !...

  • ”Comme j'aime” vous offre une semaine gratuite ? lafautearousseau fait beaucoup plus : nous, c'est 52 semaines gratuites

    Une sorte de ras-le-bol s'empare de facebook, en ce moment, à propos de la publicité pour "Comme j'aime" : lorsqu'un message tourne quasiment en boucle, et sur plusieurs chaînes de radios/télés, ce n'est d'ailleurs plus de la pub, mais du bourrage de crâne, du matraquage pur et simple. Et ce matraquage insensé finit, du reste, par se retourner contre ses promoteurs, si l'on en juge par les propos qui commencent à se faire jour sur l'immense défouloir collectif qu'est facebook, le public montrant son exaspération par des commentaires de plus en plus acerbes, ou de moins en moins amènes, comme on voudra...

    Contentons-nous d'en sourire, puisqu'il ne s'agit tout de même pas d'un sujet qui relève directement de nos centres d'intérêts. Et profitons-en pour rire ou sourire un peu, comme nous le faisons tout au long de l'année, avec vous, chers lecteurs.

    Car, après tout, c'est bien vrai, çà : si Bernard Canetti vous offre une semaine gratuite, nous autres, à lafautearousseau, et depuis 2007, ce n'est pas une mais 52 semaines gratuites que nous vous offrons !

    En vous offrant de perdre, non pas votre argent, mais les mensonges, préjugés, erreurs et autres dont le Système vous a abreuvé et vous abreuve au quotidien, lui aussi par un matraquage aussi mensonger qu'incessant...

    Alors, n'hésitez plus ! Abonnez-vous à lafautearousseau, c'est... gratuit !

    lafautearousseau.jpg

  • Retraites : oui à la suppression des ”régimes spéciaux”, mais soutien total aux régimes ”autonomes”

    Ne passons pas d'un système qui fonctionne à un Système qui ponctionne. Avocats, kinés, infirmiers, professions libérales dans leur ensemble se voient menacer d'un doublement de leurs cotisations, pour des retraites finalement inférieures. Les avocats, par exemple, ont un système excédentaire, et qui reverse chaque année cent millions au Régime général...

    Quand on fait des réformes, c'est pour améliorer ce qui ne marche pas, ou mal, pour que cela marche mieux.

    Prétendre aligner la totalité des métiers sur un seul système, c'est du jacobinisme centralisateur aberrant et indéfendable : oui, il faut supprimer les injustices créées par les "régimes spéciaux" (un conducteur de bus à Bordeaux est moins bien traité qu'à Paris : pourquoi ?) mais il ne faut pas toucher aux régimes autonomes, qui marchent bien, qui sont excédentaires, alors que l'Etat est un piètre gestionnaire.

    Et, là, il ne s'agirait en fait, sous couvert de justice, d'égalité et autres fadaises, que de "prendre" à ceux qui ont bien géré pour jeter, dans le tonneau des Danaïdes - par définition "sans fin" - de ceux qui ont mal géré !...

    Finalement, la réponse à la problématique des retraites, c'est - sous une forme ou sous une autre, qui reste à ré-inventer - le "retour" à quelque chose qui reprendrait tout ce qu'il y avait de bon dans les Corporations, qui faisaient aussi office de Caisses de retraites...

  • Prince Jean : « En cette veille de Noël ne pas oublier les plus pauvres, comme chrétien cela fait partie de notre vocati

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpg« Il est urgent de refonder le contrat social »

    Je viens de terminer de lire le rapport statistique 2017 du Secours Catholique à propos de la pauvreté en France.

    Le titre parle de lui même : « Pauvreté, la fragilité se renforce ». Quatre grandes tendances y sont soulignées : les femmes sont de plus en plus fragiles (en 2016 elles étaient plus nombreuses que les hommes à être accueillies au Secours Catholique), de plus en plus de personnes sont sans ressources (de 16,6% en 2006 à 19% en 2016), de moins en moins de ménages sont couverts par les prestations sociales (de 71,6% en 2010 à 64,4% en 2016), de plus en plus de ménages sont des couples avec enfants (en 2016 ils atteignaient 24,2% après les familles monoparentales 29,6%).

    Tel est le rude constat que dresse le Secours Catholique. Comme le dit sa présidente, Véronique Payet, « il est urgent de refonder le contrat social ». Malheureusement les élections successives à la tête de l’État depuis plusieurs décennies apparaissent comme celles d’une France libérale moins soucieuse des plus démunis, en tout cas dans les actes. Même les défenseurs du social d’il y a trente ans sont depuis longtemps passés du coté de l’argent et du pouvoir, que ce soit dans la presse, la finance ou la politique.

    Nous avions accueilli le Secours Catholique de Dreux en début d’année pour une visite de la Chapelle Royale et nous avions ensuite reçu des bénéficiaires chez nous. Il est important en cette veille de Noël de ne pas oublier les plus pauvres, que ce soit en parole comme en acte. Comme chrétien cela fait partie de notre vocation et comme prince de notre devoir.    

     

    Jean de France, duc de Vendôme
    Domaine Royal de Dreux le 19 décembre 2017

    Le site officiel du Prince Jean de France

  • Le bon sens près de chez vous (1ère partie) (19), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le dix-neuvième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

    Le bon sens près de chez vous, çà pourrait n’être qu’une formule de publicité, pour une banque par exemple. Mais le bon sens est essentiel pour chacun.

    https://www.poussieresdetoiles.fm/uploads/newscast/0/0/111/cf704fba-4092-46b0-97bc-d2ec4f6dd3c3.mp3

    Pour tout homme il y a tout d’abord la conscience, puis le bon sens et l’ordre naturel.

    La conscience est innée,

    elle est donnée à la nature humaine par Dieu ou par la Nature, selon que l’on est ou pas croyant. Le point de départ c’est la conscience. La conscience s’éveille progressivement, depuis le plus jeune âge. Pour se forger au fil des ans et toujours mieux distinguer le bien du mal, sauf à être étouffée par les influences extérieures ou les blessures de la vie.

    De la conscience on peut aussi découvrir

    le bon sens

    : c’est ce qui va de soi, qui est partagé par tout homme, avec la notion du bien et du mal, avec aussi la découverte de ce qui est autour de soi et qui va de soi, qui va dans le sens du normal, du naturel.

    C’est qui nous amène aussi à

    l’ordre naturel

    .L’ordre naturel qui se découvre par la raison. La raison de développe aussi dès les premières années du petit d’homme : on atteint, dit-on, l’âge de raison à sept ou huit ans. Et cette raison nous permet d’accéder plus directement à cet ordre naturel. Ordre naturel inscrit dans la nature ou voulu par Dieu. Tout comme l’ensemble des lois qui régissent depuis toujours l’univers : mathématiques (la base du langage et de la logique pour exprimer les autres lois), physiques, chimiques, biologiques,…Mais aussi les règles qui régissent les sciences humaines.

    Ce sont là des attributs de

    l’âme humaine

    .A la différence des animaux, dont leur nature les a dotés d’un instinct qui leur permet d’avoir une certaine forme de conscience, mais pas une conscience d’eux-mêmes ou du temps ou de notions abstraites. Ils ne sont pas doués de raison mais peuvent bénéficier de l’acquis de l’expérience (qui peut aussi se transmettre, dans certains cas, par les gènes et leur expression), en plus de l’inné de leur instinct.

    Pour l’Homme, ce qui caractérise son âme humaine : c’est d’une part la conscience qui l’ouvre à lui-même (« connais-toi toi-même ») et aux autres, ainsi qu’au bien et au mal. Il a le bon sens, plus spontané que la raison, moins de l’ordre de la réflexion, c’est quelque chose qui est communément partagé.

    La nature humaine

    avec son âme, son intelligence et sa conscience existe depuis des dizaines de milliers d’années (voire plus) puisqu’on retrouve cette même intelligence et ce même savoir-faire dans les grottes en France, Lascaux (17000 ans) ou Chauvet (37000). Cette intelligence humaine n’a pas beaucoup varié. Chacun apporte sa pierre ; d’abord les hommes de l’âge de pierre, les hommes préhistoriques, ont construit un petit muret. Puis chaque génération apporte sa pierre. Ainsi génération après génération, depuis plus de 40 000 ans, on construit un mur de plus en plus haut. C’est l’addition de cette intelligence, de cette raison qui se transmet sous forme d’expérience acquise, siècle après siècle, millénaire après millénaire, qui nous permet aujourd’hui de construire les plus hautes tours, pierre après pierre, brique après brique, élément en fer après élément en fer, jusqu’à atteindre 1 km de haut…

    On peut aujourd’hui faire ce chemin en une seule vie, alors que l’on a mis des centaines de milliers d’années pour aller de ce petit muret à plusieurs centaines de mètres. C’est là une image. Mais on peut aussi en donner un exemple concret. On prend un autochtone né en Papouasie, qui est issu d’une tribu qui vit encore à l’âge de pierre et du feu, comme les hommes préhistoriques, ensuite on l’envoie à l’école et au lycée, puis à l’université. Il va devenir ingénieur et pourra participer à construire les ponts qui enjambent les fleuves et les tours qui grattent le ciel. Ceci en une seule vie. Alors que** l’humanité a mis des dizaines de milliers d’années pour arriver à additionner ainsi les briques de son savoir**, de sa connaissance et de son intelligence accumulées.

    La conscience

    est une pierre de fondation de la nature humaine, don de la nature ou de Dieu. La conscience du bien et de mal, la conscience d’être, de sa différence, de se regarder de l’extérieur tout en se contemplant de l’intérieur.

    Le bon sens

    est aussi un fruit qui est donné par la conscience et qui nous permet d’appréhender la nature et le monde qui nous entoure, sans avoir à passer par de multiples réflexions en additionnant sciences et savoirs. C’est un savoir presque inné issu de la conscience humaine. Le bon sens c’est ce qui est communément partagé, qui correspond au naturel et à la norme, qui est le propre de l’homme mais qui se rapporte aussi à la nature et à ses lois en général. Dans la Bible elle-même les références au « bon sens » sont nombreuses et on demande de « ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens » (Thes 2.1-2).

    (A suivre...)

  • Pour une politique migratoire européenne, par Natacha Polony.

    "Quelques principes pourraient guider une politique migratoire capable de rassembler les pays de l'Europe de l'Ouest en une forme de coopération renforcée, puisque, sur ce sujet comme sur tant d'autres, jamais les 27 ne seront d'accord", explique Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".

     

    L'incendie du camp de Mória, sur l'île de Lesbos, le mercredi 9 septembre, est venu nous rappeler qu'aux frontières de l'Europe, depuis des mois ou des années, des êtres humains vivent parqués dans des conditions sanitaires atroces : 12 700 personnes, pour un camp destiné à en accueillir quatre fois moins ; 12 700 personnes, et tous les autres, ailleurs, dans d'autres camps, et autour, les habitants de ces îles grecques, accusés de racisme, et qui ont l'impression qu'un continent entier se décharge sur eux de la misère du monde. Une situation intenable.

    L'Union européenne a annoncé qu'elle allait finalement accueillir 400 mineurs non accompagnés présents à Lesbos. De 100 à 150 pour la France. Puis Angela Merkel, fidèle à son personnage de phare de la conscience européenne, est montée jusqu'à 1 500. Les mineurs isolés. Les plus vulnérables, ceux qui suscitent le plus volontiers la pitié. Une réponse de court terme face à l'urgence. Mais pour le reste ? Est-il acceptable que l'Union européenne soit incapable de se doter, sur le long terme, et après un débat démocratique, d'une véritable politique migratoire ? Est-il supportable que les dirigeants français, allemands et bruxellois ne prennent des décisions que quand Recep Tayyip Erdogan menace l'Europe de laisser passer les millions de migrants présents sur son sol si l'on contrarie ses visées expansionnistes, ou quand des ONG décident de convoyer des malheureux depuis le large de la Libye vers un port européen pour leur éviter la noyade, mais aussi pour affirmer leur refus de toute frontière ?

    "Wirschaffen das"

    Angela Merkel souhaiterait faire davantage, et ce sont les autres, notamment les pays de l'Europe centrale, qui freinent ? En ce cas, pourquoi a-t-elle refusé, pendant des années, de revoir le règlement de Dublin, qui condamne l'Italie et la Grèce à maintenir sur leur sol les nouveaux arrivants ? Pourquoi, en 2015, a-t-elle refermé unilatéralement ses frontières trois semaines après avoir lancé, tout aussi unilatéralement, son « Wirschaffen das » [« Nous y arriverons »], puis est-elle allée négocier, toujours unilatéralement, avec Recep Tayyip Erdogan pour qu'il joue les portiers ? Quant à la France, elle mène, derrière les grands discours, une politique absurde, dictée uniquement par les scores du Rassemblement national, et faite de « fermeté » apparente et d'impuissance à faire respecter la loi. Moralité, 10 % des déboutés du droit d'asile sont effectivement raccompagnés aux frontières, et les autres végètent pendant des années dans un no man's land d'illégalité en épuisant les recours jusqu'à la régularisation de fait. Une garantie de non-intégration.

    Quelques principes pourraient pourtant guider une politique migratoire capable de rassembler les pays de l'Europe de l'Ouest en une forme de coopération renforcée, puisque, sur ce sujet comme sur tant d'autres, jamais les 27 ne seront d'accord. Les pays de l'Europe du Sud, c'est-à-dire l'Espagne, l'Italie et la Grèce, devraient être traités en égaux par la France et l'Allemagne. Le premier élément de cette politique serait la proclamation du droit de vivre et de travailler au pays, pour n'importe quel être humain, tant il est vrai qu'aucun ne devrait être contraint de quitter sa famille et sa terre. Ce qui implique la fin des opérations militaires à la remorque des États-Unis, comme la fin de la complaisance envers les multinationales qui s'approprient les matières premières de pays fragiles en maintenant la corruption de leurs élites.

    10 % des déboutés du droit d'asile sont effectivement raccompagnés aux frontières, et les autres végètent pendant des années dans un no man's land d'illégalité en épuisant les recours jusqu'à la régularisation de fait. Une garantie de non-intégration.

    Une fois ce principe posé, il s'agirait de garantir le traitement rapide des demandes d'asile et d'accueillir tous ceux qui l'obtiennent, puisqu'il s'agit d'un droit imprescriptible. Les autres, en revanche, seraient reconduits là d'où ils viennent, quitte à faire pression sur les pays d'origine. Ceux qui obtiennent le droit de rester sur le sol européen devraient se voir dirigés là où on leur trouvera du travail et un logement, sans lesquels il n'est pas d'intégration possible (et le droit de travailler doit être immédiat). Il est des régions de France, des communes rurales, où l'accueil et la formation des migrants donnent des résultats, comme ce fut le cas lors de la répartition dans certains villages des Cévennes d'hommes chassés par la fermeture du camp de Sangatte. L'intégration, sans laquelle l'immigration ne sera jamais une « chance » pour un pays, passe par une répartition (obligatoire) sur le territoire et par une formation efficace.

    liberté

    Ajoutons un point. L'immigration ne peut être acceptée sereinement par les citoyens d'un pays que s'ils ont la conviction que les nouveaux venus et leurs enfants s'approprieront les valeurs et les mœurs de ce pays. Ce qui doit relever d'un accord tacite entre hôtes. Car il y a bien un pays d'accueil et des gens qui sont accueillis. Et ce processus ne peut marcher que si le premier s'interdit de laisser des gens dans des conditions sordides en déléguant à des associations, et si les seconds ne se font pas convaincre par ces associations pleines de bonnes intentions qu'on n'en fait jamais assez à leur endroit et que ce sont eux les créanciers. Venir en Europe, c'est choisir une civilisation fondée sur la liberté humaine, le refus du théologico-politique, l'émancipation de chacun. Accueillons avec ce beau et ferme projet.

    Source : https://www.marianne.net/

  • Une soirée Philippe de Villiers à revivre avec cette vidéo de nos amis, Les Eveilleurs...

    A nouveau un grand merci à nos amis Les Eveilleurs pour ce nouvel envoi d'un document de grande qualité, que nos lecteurs apprécieront, comme les précédents...

    Le Blogmestre

     

    Les Éveilleurs

    Il fait la une des journaux depuis quelques jours, se présentant comme le porte-parole des Gaulois réfractaires qui demandent des comptes au gouvernement devant les conséquences dramatiques de la crise sanitaire. Philippe de Villiers, qui vient de publier un livre décapant, est aussi notre conférencier le plus fidèle puisqu'il a donné en 5 ans 5 conférences pour les Eveilleurs. En décembre 2016, nous le recevions dans un Palais des congrès de Versailles plein à craquer pour un livre qui à l'époque avait déjà battu le pavé médiatique: "Les Cloches sonneront-elles encore demain" était un livre d'alerte sur l'islamisation galopante de la France.

    A travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelait comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais sûrement « islamisé ». Rien n'a été fait pour répondre aux vagues migratoires qui importent avec elle un mode de vie, une culture et une religion étrangers à l'identité chrétienne de la France.

    Pour retrouver notre pays, Philippe de Villiers propose de redécouvrir le roman d'amour du légendaire français, de ses grands auteurs, de ses attachements vitaux et de sa grandeur.

    Des invités de marque avaient assisté à cette conférence: la regrettée Madame Jérôme Lejeune décédée récemment (le 6 mai dernier), Monsieur François-Xavier Bellamy et Madame Marion Maréchal chaleureusement applaudis par l'assistance.

    Découvrez ou redécouvrez cette mémorable soirée.

    Philippe de Villiers 13 décembre 2016

  • Sur TV Libertés, qui veut la peau des Gaulois Réfractaires ? Le Samedi Politique avec Philippe de Villiers.


    Depuis 2016 et la visite au Puy du Fou, Philippe de Villiers échange régulièrement avec Emmanuel Macron. Des échanges souvent vifs et contradictoires.

    Avec son nouveau livre, Les Gaulois Réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers dresse les échecs des mondialistes qui ont conduit à la gestion calamiteuse de la crise sanitaire du Covid-19. Un fiasco que les Français ont été les premiers à payer. L’ancien ministre alerte sur l’abandon progressif de notre souveraineté qui a conduit la France à être incapable de se fournir en masques, en tests, et même en Doliprane alors qu’elle était frappée par le nouveau coronavirus.

    Il ajoute que ce sont ces mêmes carences, à l’instar de la casse du service hospitalier, qui ont poussé à assigner à résidence toute la population, en imposant deux mois de confinement sans discernement. Philippe de Villiers insiste sur ces dirigeants nomades qui ont fait primer depuis de longues années l’économie sur le politique pour parvenir à ruiner les deux. Il revient sur ces Français, enracinés, en prise avec le monde réel qui n’ont pas manqué à leurs devoirs pendant le confinement, pendant que les politiques eux, étaient à la dérive, entre les mensonges, les conflits d’intérêts et une incapacité chronique à gouverner, puisqu’à prévoir.

    Philippe de Villiers reviendra également sans langue de bois sur ces séparatistes qui veulent fracturer la France en versant dans un racialisme dangereux, dans la lignée de Black Lives Matter, financé par l’Open Society de George Soros aux Etats-Unis et son homologue français, le collectif justice pour Adama (Traoré). Il alerte également sur la guerre civile, comme le dénonçait Ivan Rioufol, en décryptant les affrontements violents à Dijon entre des gangs de Tchétchènes et de Maghrébins.

  • Sur Sacr TV, ils veulent nous détruire...


    La France était autrefois autosuffisante. Depuis l'industrialisation du monde agricole, fin des années 50, elle est devenue importatrice de nourriture, qu'elle produisait avant ! Comme l'Europe d'ailleurs. "Il n’y a plus de sécurité alimentaire, le devoir d’un Etat c’est de nourrir sa population ?

    S'insurge l'ingénieur agronome Claude Bourguignon, spécialiste de la microbiologie des sols, puis il poursuit : "On a fait disparaitre 92% de nos agriculteurs depuis 1950, grave constat de faillite. Un phénomène de désertification des campagnes a suivi, la diversité des légumes a fait place aux grandes terres ensemencées pour une seule culture. Ces surfaces énormes furent industrialisés à coup de fertilisants et pesticides sortant des usines qui en temps de guerre fabriquent les gaz de combat. Pour éliminer les petits producteurs fabriquant des fromages fermiers, on fait imposer à l’Europe par du lobbying des normes d’hygiène extrêmes... afin d’être dans les normes, comme le petit fermier ne peut suivre, il disparait et des zones se désertifient…En un siècle nous avons détruit autant de terres qu'en 6000 ans d'agriculture qui nous ont précédées". Il dénonce la mort des terres étouffées par les engrais chimiques, comme par un profond labourage devenu destructeur. Ces affirmations inquiétantes, nous laissent présager un avenir dramatique quant à la survie de l'humanité.

  • Sans permis, Yassine roulait à 130 à l'heure et n'a pas hésité à assassiner Mélanie Lemée...

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    Assassinat de Mélanie Lemée : Yassine (encore "une chance pour la France" !...)  roulait à plus de 130 km/h, sans permis de conduire; déjà condamné à 3 reprises par la justice, il était sous l'emprise de stupéfiants et transportait vraisemblablement de la cocaïne...

    Nous sommes tous en danger : toute la population du Pays est comme prise en otage en permanence, risquant à tout instant le pire, de la part d'individus qui se fichent bien pas mal de nos lois, de nos codes, de nos moeurs et... de nous, tout simplement. Ils sont chez eux chez nous, comme le leur a dit Mitterrand dans les années 80 : le message n'est pas tombé dans les oreilles de sourds...

    Gare à nous !

    PS : pour Bayonne, on ne nous dit rien sur "les cinq jeunes" placé en garde à vue. Ne pas donner de nom(s), c'est déjà un signe...

    Pour l'instant, France Bleu nous dit juste, à propos de Philippe, le chauffeur de bus agressé :

    "...La victime est un homme de 58 ans, père de trois enfants. Transporté au centre hospitalier de Bayonne, il se trouvait en état de mort cérébrale ce lundi à la mi-journée.

    Cinq personnes sont placées en garde à vue. La première a été interpellé dès hier soir, trois autres dans la matinée et une cinquième à la mi-journée... Le conducteur a été "roué de coups par plusieurs individus". De source syndicale, le conducteur est sorti du bus pour tenter d'empêcher des jeunes de monter dans le véhicule avec un chien. Les jeunes s'apprêtaient à partir lorsque l'un d'entre eux est revenu vers le conducteur et l'a violemment frappé à la tête, par derrière...

    Un acte de barbarie..."

    Pour Le Point, ces jeunes n'avaient pas de titre de transport et n'étaient pas porteurs de masques...

    Douce France ! 

  • Aïd-el-kebir : Brigitte Bardot vent debout contre l'abattage rituel des moutons...

    https://www.valeursactuelles.com/societe/aid-el-kebir-brigitte-bardot-vent-debout-contre-labattage-rituel-des-moutons-122021

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    Chaque année, à l’occasion de l’Aïd el Kébir, 200.000 moutons, béliers, chèvres et bovins sont égorgés en une seule journée en direction de la Mecque, sans aucun étourdissement préalable.

    Ce sacrifice génère un stress considérable et engendre évidemment d’importantes souffrances pour l’animal, qui agonise pendant plus d’une minute, étouffé par son propre sang. Cette pratique barbare n’a pas sa place en France !

    L’abattage rituel se généralise dans les abattoirs français pour satisfaire des revendications communautaristes, alors même qu’il porte une grave atteinte au bien-être animal.

    100% de l’abattage est halal en Île-de-France et 60% des abattoirs français pratiquent l’abattage rituel selon le Ministère de l’Agriculture !

    Nous demandons :

    - L'interdiction totale et définitive de l’abattage rituel en France en rendant obligatoire l’étourdissement préalable, et plus aucune dérogation communautariste;

    - L'intensification des contrôles dans les abattoirs français et le recrutement d’inspecteurs vétérinaires plus nombreux afin d’assurer un suivi pertinent de l’ensemble du processus d’abattage;

    - Pour les viandes importées, un étiquetage obligatoire, fiable et clair précisant la méthode d’abattage afin d’informer le consommateur.

  • Vive le Tour, quand même ! Et vive Julian, vainqueur de la deuxième étape !

    D'ordinaire, c'est bien connu, le Tour de France met la France sur le pas de sa porte. Là, il n'y avait personne à Nice, ni au départ ni à l'arrivée, et seulement un peu de monde par ci, par là, au sommet de quelques cols, pour la première et la deuxième étape.

    Et on ne sait même pas si le Tour ira jusqu'au bout...

    Il n'empêche : il vaut mieux que le Tour de France, Tour de "La" France, ait commencé, dans la sinistrose ambiante, alors que le pays gémit sous la houlette des incapables et des faillis qui nous gouvernent (?), eux qui sont responsables et coupables de la désastreuse gestion d'une épidémie dont ils avouent avoir été au courant dès le 20 décembre.

    En revoyant les paysages, les villes et monuments, les sites remarquables du cher et vieux pays, on oublie pour quelques instants ces charlots, guignols et compagnie qu'un Système en folie a fait arriver, pour notre malheur, au sommet du semble-Etat qu'il nous faut bien subir...

    Alors, même si on ne, sait pas s'il ira jusqu'au bout, même si, en plus, son parcours était de toutes façons un peu surprenant cette année, même si... même si... Vive le Tour quand même, le tour de notre France, qui nous la redonne à voir et à aimer, et nous rappelle que, malgré toutes les laideurs dont est peuplé notre quotidien, l'Héritage reste encore, ma foi, conséquent, et fort beau, malgré tout...

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    Tristesse pour Thibaut Pinot, qui est tombé samedi, à trois kilomètres de l'arrivée, mais grande joie pour la belle victoire de Julian Alaphilippe lors de la deuxième étape ! Très ému, Julian voulait dédier une victoire à son papa, décédé fin juin... voilà qui est fait ! Bravo, champion !

  • Sur TV Libertés, savoir garder le cap dans la tempête boursière - Politique & Eco n° 281.


    Un contexte fortement perturbé. Le Dow Jones est passé pour la première fois au-dessus des 30 000 points. Le CAC a rebondi de plus de 50% depuis le mois de mars. Le 16 mars, il valait 3 632 points. Il est en ce moment autour des 5 500 points. Comment traverser cette tempête boursière ?

    Jusqu’où les indices boursiers peuvent-ils encore monter ? Pourquoi la bourse est-elle à des niveaux records alors que la crise sanitaire a provoqué une crise économique sans précédent ?

    Faut-il y voir les effets des facilités monétaires de la FED et de la BCE ? Ne sommes-nous pas dans ce qu’on appelle la bulle de liquidités ? Corrélativement n’y a-t-il pas déconnexion entre la sphère financière et la sphère économique de production donc la valorisation réelle des entreprises ?

    Beaucoup de PME souffrent de la crise et vont souffrir encore. En faisant l’hypothèse d’un redémarrage de l’économie, n’y a-t-il pas paradoxalement un risque de krach dû à la hausse des taux et un arrêt des facilités monétaires ? Nous étions avant la crise de la covid à 57% du PIB pour la dépense publique, nous sommes à 65%. Y a-t-il encore un espace pour l’épargne et l’investissement libres dans une économie étatisée et surfiscalisée ? En plus de l’artifice des facilités monétaires, la reprise de la bourse n’est-elle pas liée quasi exclusivement à l’effet vaccin quelque peu artificiel ? Pour les valeurs à dividende, 2020 est une année noire. La plupart des sociétés ont coupé (totalement ou partiellement) leurs dividendes du fait de la crise. Pour en parler, Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Éric Doutrebente, président de la financière Tiepolo.

  • Sur C News, Zemmour démolit le mythe du ”logement social”...

    "Vous pourrez urbaniser toute la France, vous ne logerez jamais toute l'Afrique". C'est un Français récemment naturalisé, donc issu de l'immigration, qui a émis cette vérité, splendidement ignoré par un Pays Légal inconscient...

    (A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle)...

    Qu'es ce que c'est que le "logement social" ? Le Système nous a imposé une "greffe démographique" de quinze millions d'étrangers en quelques décennies, mais cette greffe ne prend pas, au moins pour une bonne majorité d'entre eux. Au lieu d'arrêter sa folie, le même Système qui veut dissoudre la France, ses Racines, son Identité, son Être profond etc... continue de faire entrer chaque année entre quatre et cinq cents mille nouveaux étrangers. Et pour les loger, il bétonne à tour de bras et bâtit de hideuses banlieues où se concentrent ces populations, ce qui fait fuir les autochtones.

    Les bobos/gauchos, qui sont "pour" les immigrés mais ne veulent pas vivre avec eux, cherchent donc à les disséminer un peu partout en France, en imposant à toutes les communes des quotas de ce qu'ils appellent "les logements sociaux". Or le problème n'est pas un problème d'urbanisme mais de populations. Et les maires comme Anne Hidalgo, qui démolit les finances de Paris pour implanter du logement social dans "les beaux quartiers", ne sont rien d'autre que des idéologues insensés et dangereux...