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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • En Français s'il vous plaît !

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    (chronique publiée les lundis, mercredis et vendredis; suggestions et commentaires de lecteurs bienvenus !...)

    Aujourd'hui, dans les excellentes rubriques du site de l'Académie française  :

    Équivalences du mot "smiley"...

    Tous les anglicismes ne semblent pas logés à la même enseigne. Certains nous agressent beaucoup, d’autres à peine. Et quelques-uns, pas du tout : ce sont ceux qui contribuent à la vie de la langue quand le français n’a pas d’équivalent tout prêt ni les moyens d’en fabriquer un qui soit commode, quand ils répondent à un besoin et quand leur sens est tout à fait clair.

    C’est ainsi que Nodier, cité par Littré, remarquait que « Confortable est un anglicisme très-intelligible et très-nécessaire à notre langue, où il n’a pas d’équivalent. »

    Mais il en est d’autres encore qui ne répondent à aucun de ces critères et que nous paraissons pourtant accepter sans problème.

    C’est le cas de smiley, probablement en raison de la signification de ce nom, dérivé de to smile, « sourire ». On ne se fâche pas contre un sourire, même si smiley s’est étendu à toutes les émoticônes et cherche à traduire toutes les émotions, tous les états d’âme.

    Certes non, mais il est loisible de rappeler qu’à cet anglicisme on peut préférer, comme l’ont fait nos amis québécois, binette, ou, mieux encore, frimousse.

  • En Français s'il vous plaît !

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    (chronique publiée les lundis, mercredis et vendredis; suggestions et commentaires de lecteurs bienvenus !...)

    Aujourd'hui, dans les excellentes rubriques du site de l'Académie française  :

    Équivalences pour le mot "ranking"

    Le nom anglais ranking, « classement », est dérivé, par l’intermédiaire du verbe to rank, « classer, ranger », du nom rank, « rang, ordre, classement ». 

    Ce dernier est emprunté de l’ancien français ranc, « ligne de soldats », puis « place, position dans un ordre, un classement ». 

    L’une et l’autre langue, on le voit, ont à leur disposition les termes qu’il faut pour rendre compte de cette idée de classement, de rang.

    On se demande donc bien quelle mouche a piqué nombre de journalistes sportifs francophones qui emploient constamment le mot ranking dans leurs commentaires ou leurs articles.

    Les termes place, position, classement, rang existent ; il serait dommage de ne pas les employer.

    on dit

    on ne dit pas

    Elle est troisième au classement actuel

    C’est sa meilleure place

    Elle est troisième au ranking actuel

    C’est son meilleur ranking

     

    Et, puisque le français vient du latin, achevons cette courte chronique par un moment de distraction enrichissante et instructive, en consultant les nouvelles du jour... en latin !

    C'est sur Alcuinus.net

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  • En Français s'il vous plaît !

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    (chronique publiée les lundis, mercredis et vendredis; suggestions et commentaires de lecteurs bienvenus !...)

    Aujourd'hui, dans les excellentes rubriques du site de l'Académie française  :

    Équivalences pour le mot "helper"

    Le mot bénévole existe en français depuis le XIIIème siècle comme adjectif, avec le sens de "bienveillant", et depuis 1866 comme nom pour désigner un volontaire qui fait quelque chose sans y être tenu et parce qu’il le veut bien.

    Dans certains cas d’ailleurs, volontaire est un synonyme de ce mot, comme dans pompier volontaire. 

    Ces deux mots peuvent rendre compte des situations où une personne accepte sans contrepartie financière d’apporter son aide à un groupe, une association, etc.

    Aussi n’est-il sans doute pas nécessaire de remplacer l’un ou l’autre de ces termes par l’anglais helper.

    On dit

    On ne dit pas

    De nombreux bénévoles ont participé à cette campagne

    Les stands de ravitaillement sont tenus par des bénévoles

    De nombreux helpers ont participé à cette campagne

    Les stands de ravitaillement sont tenus par des helpers

     

    Et, puisque le français vient du latin, achevons cette courte chronique par un moment de distraction enrichissante et instructive, en consultant les nouvelles du jour... en latin !

    C'est sur Alcuinus.net

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  • En Français s'il vous plaît ! Oui, c'est le moment

    Cliquez sur le lien ci-dessous pour écouter Zemmour expliquer, 
     

     

    https://twitter.com/i/status/1361742140330622986

     

    Le Royaume-Uni sorti de l’Union européenne, l’anglais reste seulement la langue officielle de deux États membres, l’Irlande et Malte. Pourquoi, donc, conserver l’anglais comme l’une des langues officielles de l'Europe ? Et pourquoi l'Union Européenne n'adopterait-elle pas, désormais, le Français, comme langue de travail et langue officielle ? 

     

    Un mois après la mise en application du Brexit, l'anglais est encore et toujours langue officielle au sein des instances européennes, bien que n'étant seulement la langue officielle que de deux États membres, l’Irlande et Malte, et qu’il ne correspond plus qu’à la langue maternelle d’une infime minorité (1,2 % de la population en Europe, contre 13 % avant le départ des Britanniques). Un chiffre bien en deçà du français (environ 15 %) qui demeure l’une des deux autres langues de travail au sein des institutions.

    C’est un fait, aujourd’hui l’Europe est moins anglophone que francophone. Au sein des pays membres de l’Union, le français est parlé par 118,8 millions de personnes, selon les données de l’Observatoire de la langue française. Sans compter que le français est la deuxième langue la plus apprise dans le 1er cycle du secondaire en Europe (source : Figaro Vox)

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : Une vente aux enchères des souvenirs de la Royauté à Versailles.

    Le 18 avril 2021, aura lieu à Versailles une vente aux enchères exceptionnelle, intitulée “La Royauté à Versailles”. Organisée à deux pas du Château royal, Maître Osenat proposera à la vente des très nombreuses pièces en lien avec la royauté française et avec la vie de la cour au sein du palais royal.

    Parmi les lots proposés à la vente se trouvent plusieurs pièces ayant appartenu directement à la famille royale de France ou bien ayant un rapport direct avec celle-ci. Il sera notamment proposé : un gilet en coton porté par Louis XVII lors de sa détention à la prison du Temple, un fragment d’une des robes de la Reine Marie-Antoinette, des livres issus de la bibliothèque de la Reine, ainsi que des napperons de dentelle réalisés par la souveraine, des objets ayant appartenu au Roi Louis XVIII et à son frère le Roi Charles X…

    Parmi les ouvres se trouvent également de très nombreux tableaux d’époque représentants les souverains et de nombreux objets ayant appartenu à des membres de la cour…

    Espérons que les plus belles pièces historiques seront rachetées, soit par le château de Versailles, par le musée Carnavalet ou le musée Lambinet de Versailles, afin que ces trésors historiques ne soient pas dispersés dans des collections privées à l’autre bout de monde.

    Vous pouvez voir le catalogue de cette collection  ici, et pour plus d’information, vous pouvez vous rendre sur le site : Orsenat

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    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Rafale en Indonésie : et de six ?, par Henri Gizardin.

    Selon quelques rares spécialisés, le contrat d’achat des 36 par l’Indonésie aurait été signé à Djakarta le 7 juin dernier, lors d’une visite de effectuée dans le plus grand secret…

    3.jpegPourquoi cette précaution ? Ne pas éveiller les concurrents, en particulier les Américains ? Ou la , ennemi potentiel ?

    La signature faite précédemment à Paris par le ministre de la Défense indonésien et rendue publique n’avait donc aucune valeur d’engagement ferme si l’on en juge par la suite de la procédure. En effet, le contrat devait être soumis à la décision finale du Président. Or, selon les fuites, c’est bien ce qui s’est réalisé mais qui ne conclut pas encore définitivement l’accord commercial. Car de nombreux articles restent à régler pour une conclusion définitive, en décembre est-il mentionné.

    En effet, l’Indonésie possède une industrie aéronautique avec Nurtanio, en particulier, qui a déjà coopéré avec des entreprises françaises. Les contreparties industrielles et l’intégration de composants locaux, essentiels pour l’acheteur, sont donc la clé incontournable à la conclusion définitive de cette longue négociation. Pour le vendeur il s’agit également et encore du défi inverse, pour ne pas laisser fuir des secrets de fabrication et propriétés industrielles.

    Le Rafale en Indonésie, cadeau de pour Dassault ?

     

    Henri Gizardin

    Ancien pilote de chasse
  • Non au retour des djihadistes sur le sol français! Que les adorateurs et admiratrices de Mohammed Merah restent en Syrie

    Trois islamistes de nationalité française dans le camp de al-Hol, nord est de la Syrie, janvier 2020 © DELIL SOULEIMAN / AFP

    Une tribune libre de Jean-Paul Garraud, député européen (RN)

    Les djihadistes qui se sont joints à l’Etat islamique ne doivent pas revenir en France. Ils se sont exclus d’eux-mêmes de la communauté nationale, manifestant expressément leur rejet de la nationalité française et des valeurs les plus essentielles de notre nation. Nous nous devons d’être inflexibles par respect pour les morts du terrorisme islamiste, sur le territoire national et au Moyen-Orient.

    3.jpgAu mois de mars 2012, la France découvrait avec effroi l’islamisme de combat moderne. Petit voyou des Izards devenu le patient zéro du néo-djihadisme français, Mohammed Merah tua à sept reprises avant d’être arrêté, achevant son parcours meurtrier en tuant de sang-froid des enfants de l’école confessionnelle juive Ozar Hatorah. Il a fini abattu au terme d’un siège de 32 heures devant son petit appartement situé près du centre-ville de Toulouse. Ils ont été alors nombreux à ne pas prendre la mesure de ce qui venait de se produire, jugeant que Mohammed Merah ferait figure d’exception, qu’il n’était qu’un « loup solitaire », voire une « marionnette du système » pour les plus conspirationnistes.

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    Tout était pourtant très clair. Pour s’en convaincre, il suffisait d’aller aux Izards, ce haut-lieu du trafic de drogue, où les « hommages au martyr » rendus par les jeunes du coin ont été nombreux. Le lieu où Merah a été abattu a ainsi été longtemps fleuri par des jeunes femmes, leurs homologues masculins préférant pétarader au cours de rodéos nocturnes dans les rues de ces quartiers pudiquement nommés « populaires » alors que le peuple de France a décidé de les fuir depuis longtemps, chassé par les islamistes et les dealers.

     

    Quant aux enfants, ils ne peuvent revenir que si leurs mères acceptent de s’en séparer (…) Nous sommes assis sur une poudrière qui commande de prendre des décisions d’une grande fermeté

     

    La France faisait alors connaissance avec une génération, un phénomène morbide qui depuis lors rythme tristement notre quotidien. Pourtant, quinze ans avant l’horreur Merah, notre patrie avait déjà été frappée par le terrorisme islamiste et connu son premier plan Vigipirate. Les attentats du métro parisien furent les premiers attentats islamistes sur le sol français commis par un Français de nationalité, de son nom Khaled Kelkal. Pionnier du djihadisme français, cet enfant studieux des Minguettes annonçait la suite à venir.

    Si Khaled Kelkal était un homme cultivé et formé, ses successeurs seraient des délinquants multirécidivistes, rendus insensibles par la sous-culture des ghettos et une vision religieuse archaïque, des damnés de la terre comme en rêvait Franz Fanon, entretenus dans leur victimisation par une France « trop bonne mère ». En effet, la géographie du djihadisme français recouvre précisément la carte de la localisation des anciens du Groupe Islamique armé en France, peut-être plus encore que celle des quartiers de l’immigration. C’est en tout cas la thèse avancée par le géographe et chercheur au CNRS Hugo Micheron, dans son enquête Le Jihadisme français – Quartiers, Syrie, Prisons (Gallimard).

    C’est pour cette raison qu’il serait absolument suicidaire d’agréer au retour des djihadistes français localisés en Syrie, de même que de leurs compagnes et proches. Quant aux enfants, ils ne peuvent retourner en France que si leurs mères acceptent de s’en séparer, et que leur accueil est non seulement possible mais aussi strictement encadré. De la même manière que les anciens du GIA ont su capitaliser sur la masse démographique des jeunes de nationalité française de culture musulmane, les anciens de l’Etat islamique feront la même chose partout en France; que ce soit dans les quartiers d’immigration ou dans de petites villes. Songeons notamment à Lunel ou même au tout petit village ariégeois d’Artigat, connu pour avoir longtemps été un centre de formation des pires islamistes du pays, à commencer par les frères Clain de triste mémoire à Toulouse.

    L’exemple récent donné par la Bosnie, qui a rapatrié le djihadiste Ibro Cuforovic, devrait nous inciter à méditer. Connu au Levant sous le nom de guerre d’Abou Kasim Al-Bosni, il n’a été condamné qu’à six ans de prison. Une peine très faible pour un jeune qui sortira de prison à 32 ans, moment où il pourra reprendre le combat ou profiter de son aura pour recruter. Nous sommes assis sur une poudrière qui commande de prendre des décisions d’une grande fermeté. Nous ne pouvons pas nous contenter de déclarations d’intention pour faire face à ces individus impitoyables. Ils n’ont pas renoncé à la guerre. Ils la mèneront jusqu’au bout et savent pouvoir compter sur une masse de personnes tentées d’épouser leurs idées. Les djihadistes sont d’ailleurs la face émergée d’un problème islamiste très large qui touche une grande partie de la jeunesse. La jeune Mila ou Samuel Paty n’ont pas été conspués que par des terroristes. Ils l’ont été par des individus estimant leur pratique religieuse normale.

    Ce sont ces individus qui installent un climat islamiste dans des pans entiers du territoire, avec la bénédiction de militants anciennement sympathisants du GIA ou d’autres groupes radicaux. Ils ont conduit des femmes françaises à rejoindre la Syrie en 2015, à l’exemple de cette femme convertie à l’islam et mariée à un djihadiste, aujourd’hui atteinte d’un cancer du côlon et que sa mère veut rapatrier. La détresse maternelle est compréhensible, mais la France ne peut pas se permettre ces rapatriements. Tous ceux qui se sont rendus coupables d’intelligence avec l’ennemi et de haute-trahison doivent être jugés et retenus dans les pays où ils ont commis leurs méfaits. Nous avons déjà assez à faire ici.

     

    Magistrat, Député européen RN, Président de l'Association professionnelle des Magistrats, Ancien Député UMP.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : M. Le Maire, encore un effort pour devenir royaliste social !!

    La République a choisi depuis longtemps de servir la mondialisation et son idéologie au lieu de servir le bien commun du pays et de ses habitants, et cela n'a fait qu'aggraver des inégalités qui, quand elles deviennent démesurées et injustifiées, sont des injustices dévastatrices pour l'harmonie sociale nécessaire à toute société.

    Non qu'il soit inutile ou néfaste en soi d'avoir des échanges économiques variés et nombreux dans le monde, mais cela ne doit pas être l'occasion d'asservir les salariés au profit de quelques uns, féodaux financiers ou industriels, voire actionnaires spéculateurs (ce que ne sont pas tous les actionnaires, loin de là !), et cela ne doit pas désavantager notre nation qui mérite autre chose que d'être un simple marché de consommateurs...
    Le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, vient de se rendre compte des dégâts de la mondialisation sans limites qui affaiblit notre pays et crée de l'injustice sociale : « Pourquoi est-ce qu'on a eu les « gilets jaunes » ? Parce qu'il y a eu de la désindustrialisation, donc la disparition des services publics, etc. Pour réindustrialiser, il faut se doter d'une stratégie industrielle. » (« Le Monde », jeudi 20 mai 2021). C'est le bon sens même, certes ! Et c'est ce que disent depuis si longtemps les Royalistes sociaux !!
    Mais, pour réindustrialiser notre pays et le faire sans détruire l'environnement, il faut une stratégie de long terme qui ne soit pas remise en cause tous les 5 ans par une élection présidentielle. En somme, il faut une stratégie garantie par un État qui dispose de temps devant soi et de continuité : cet État existe, c'est la Monarchie royale et sociale française !!
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Monarchie sociale et corporative !

    « La relocalisation industrielle Française ne se fera pas sans une formation pointue dans tous les domaines. La France a perdu énormément de savoir-faire, tant au niveau recherche et développement que techniquement. Il faut reformer des jeunes à tous ces métiers industriels, ils seront le fer de lance de notre relance industrielle :

    si nous ne prenons pas en compte cette donnée, la France ne retrouvera jamais sa compétitivité. Ces jeunes, une fois formés, seront les piliers de notre renouveau industriel. Des jeunes avec des connaissances et des savoirs-faires multiples comme un généraliste en médecine.
    Le problème que nous avons aujourd'hui avec nos entreprises, c’est qu’elles sont trop souvent dirigées comme la France actuellement, par un conseil d'administration qui se trouve de l'autre côté de la planète, qui prend des décisions en ne prenant en compte que la rentabilité financière (ce qui n’est pas forcément illogique, mais qui est trop limité) mais sans tenir compte des autres aspects, car bien souvent les conseils d’administration ne connaissent l'entreprise que par des audits, ou sous formes de tableau excel, ou de plan d'amortissement… En fait, il faut à nouveau avoir de vrais capitaines d'industrie à la barre de nos usines et entreprises. »
    M. Christophe P.
    Une réflexion de bon aloi que nous faisons nôtre !!

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Mercredi 5 Mai 2021, Bicentenaire de la mort de Napoléon.

    Photos Frédéric de Natalet et David Nivière

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    Ce mercredi 5 mai, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris et son épouse Madame la Comtesse de Paris, étaient présents à l’Hôtel des Invalides pour assister aux cérémonies du bicentenaire de la mort de Napoléon. Les Princes ont assisté à une messe à Saint-Louis des Invalides, dirigée par Mgr Luc Ravel, évêque aux Armées françaises, en mémoire de Napoléon et des soldats victimes de la Grande armée.

    Monseigneur le Comte de Paris était présent à cette cérémonie du bicentenaire de la mort de Napoléon, en tant que représentant de son ancêtre, Louis-Philippe Ier, le dernier roi des Français, qui avait organisé le retour des restes de Napoléon Ier en France en 1840.

    Si cette cérémonie manquait singulièrement d’éloges républicains, difficile d’ignorer la présence remarquée du maire de Nice et ancien ministre Christian Estrosi, comme celle de Valérie Pécresse. Très à l’aise avec Monseigneur le Comte de Paris, la présidente de la Région Île de France était tout sourire en face du chef de la Maison royale de France.  À l’issue de la messe aux Invalides, le Comte et la Comtesse de Paris ont donc pu s’entretenir avec les nombreuses personnalités présentes, notamment les princes Jean-Christophe Napoléon, Joachim Murat et leurs épouses.

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    Sources : https://www.facebook.com/frederic.denatal

    https://www.facebook.com/Fdenataljournaliste

    International Monarchist Conference - Conférence Monarchiste Internationale

    https://www.monarchiesetdynastiesdumonde.com/

     

    Relayé  par : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : un coffret réalisé par le roi Louis XVI mis en vente à Versailles.

    Dimanche 11 juillet 2021, la maison Osenat organise une vente aux enchères très royale, à Versailles . On y trouvera une pièce très rare puisqu’il s’agit d’un coffret en cuivre doré dont la clef et la serrure ont été réalisées par le roi Louis XVI lui-même. Cette pièce unique, fut forgée par le roi dans son atelier privé du château de Versailles. Ce trésor royal est actuellement  estimée entre 20 000 et 30 000 euros.

    Louis XVI était un homme très érudit. Il lisait en plusieurs langues et était passionné par les sciences appliquées, la technique et la mécanique. La serrurerie était justement l’une des passions du Roi, une activité qui procurait à ce roi timide par nature, un moment de calme et de récréation. Il aimait se retirer dans son établi en compagnie de Gamain, ancien soldat des Gardes françaises devenu maître serrurier, qui lui prodiguait de nombreux conseils. Pendant des heures, Louis XVI s’attelait donc au travail et fabriquait des clefs, des serrures et des cadenas. Tout l’outillage du roi, lui venait de son grand-père Louis XV.  Gamain, le maître serrurier, abandonne le roi en 1792. Après que les révolutionnaires  aient pris les Tuileries, Gamain trahit Louis XVI et leur montre une armoire de fer qu’il a aidé à réaliser et dans laquelle le souverain conservait des documents confidentiels…

    Espérons que cette pièce historique sera rachetée, soit par le château de Versailles, par le musée Carnavalet ou le musée Lambinet de Versailles, afin que ce trésor historique ne s’envole pas à l’autre bout de monde. La vente se déroulera le dimanche 11 juillet, à 14h. Plus d’informations sur www.osenat.com

    (Cliquez sur les images pour les visualiser)

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    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  •  Éric Zemmour : « Après le théorème d'Archimède, voici le théorème d'Hidalgo »

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgBILLET - La saleté à Paris et la multiplication des rats devient un problème politique pour la maire de Paris. « Et si Anne Hidalgo faisait l'inverse de ce qu'on demande à un édile ? », s'interroge Éric Zemmour. [RTL 1.02]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour dresse d'Anne Hidalgo un portrait exact : « Elle a conservé de son engagement socialiste, un sectarisme idéologique à toute épreuve, d'antiques réflexes de classe ...» A noter que Zemmour dit le maire de Paris - et non la - comme il convient lorsqu'on entend défendre la langue française.  LFAR


    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    On apprenait jadis à l'école le théorème d'Archimède. On devra désormais y ajouter le théorème d'Hidalgo : « Toute politique conduite par le maire de Paris donne des résultats exactement inverses à l'objectif proclamé.»

    Anne Hidalgo défend la pureté de l'air, et les Parisiens ont la pollution. Anne Hidalgo promet la propreté, et les Parisiens ont la saleté et les rats. Anne Hidalgo promet la rigueur de la gestion, et les Parisiens ont l'explosion du nombre des fonctionnaires.  

    Éric Zemmour

  • Macron ferait bien de regarder dans la boule de cristal italienne, selon Éric Zemmour

    Buste de Mirabeau (Musée de la Révolution française)

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgBILLET -  Les élections législatives italiennes du week-end dernier ont consacré deux vainqueurs - la Ligue (extrême droite) et le Mouvement 5 étoiles (M5S, populiste) - et un grand vaincu - l'ancien premier ministre, Matteo Renzi.  [RTL 3.06].  Y a-t-il une commune nature entre Emmanuel Macron et Matteo Renzi ? Zemmour le pense et le montre.  Il leur voit même un commun destin...  LFAR

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Il était jeune et beau. il était fringant et élégant. Il était l'idole des médias et de la Commission européenne. Il était l'incarnation de l'efficacité technocratique, un manager au pays des politiciens madrés et pusillanimes.

    Il était issu de la gauche, et même du centre-gauche, mais il n'hésitait pas à reprendre les recettes libérales qui venaient de la droite. Il était le meilleur rempart contre le populisme. Toute l'Europe le regardait avec des yeux de Chimène. Emmanuel Macron ? Non. Matteo Renzi. Emmanuel Macron avant Emmanuel Macron. Cinq ans avant précisément. 

    Il y a cinq ans au pinacle, aujourd'hui à la rue. L'échec économique des réformes libérales a remis au cœur des discussions les questions de l'euro et du libre-échange, qui sont tabous à Bruxelles, et que Renzi, comme Macron, croyait avoir mises sous le boisseau. 

    Même chose pour l'immigration. Renzi comme Macron, tenait lui aussi un discours équilibré, alliant fermeté et intégration. Mais son discours a été balayé par la réalité.

    Macron devait scruter le destin politique de Renzi, comme il regarderait dans une boule de cristal. Renzi est son double, son clone. Il est son passé, il risque aussi d'être son avenir.  

    Éric Zemmour

  • Sur le blog ami du Courrier Royal : la princesse Marie de France à l’hommage aux régiments des chasseurs.

    Ce samedi 18 septembre, dans la cour d’Honneur du château de Vincennes, la Princesse Marie de France, Princesse Gundakar de Liechtenstein, a assisté au côté des officiers de l’armée française et des autorités civiles à la commémoration de la bataille de Sidi-Brahim et au 180e anniversaire de la remise du premier drapeau des chasseurs à pied par le Roi Louis-Philippe.

    La cérémonie, la prise d’armes et la revue des troupes étaient présidées par le chef d’état-major de l’armée de terre le Général d’armée Pierre Schill.

    En plus du souvenir de la bataille de Sidi-Brahim, la cérémonie de Vincennes commémorait le 180e anniversaire de la remise du premier drapeau des chasseurs à pied par le Roi Louis-Philippe, ancêtre de la Princesse Marie, sur la place du Carrousel au Louvre à Paris le 4 mai 1841.

    Lors de cet événement, les dix premiers bataillons de chasseurs étaient réunis rangés sur dix lignes sous le commandement supérieur du Duc d’Orléans qui avait sous ses ordres les généraux Rostolan et Marbot ainsi que les chefs d’escadrons Ney d’Elchingen et de Montguyon ses aides de camp et officiers d’ordonnance.

     

    (Merci à Charles – Photos armée de terre et DR)

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal

  • Oui, Monsieur Blanquer, il faut dissoudre l’UNEF! Le gouvernement ne doit pas laisser cette association fracturer la soc

    La présidente de l'UNEF Mélanie Luce © JACQUES DEMARTHON / AFP

    Lettre ouverte à Jean-Michel Blanquer, à propos de l’UNEF

    Monsieur le ministre,

    Après les aveux télévisés de la dirigeante de l’UNEF, qui organise bien des stages « racisés » — un mot innommable, du point de vue de la langue française, que nous pourrions aussi bien remplacer par « racistes » —, je m’interroge.

    7.pngUn homme de culture comme vous, un juriste sensible au respect de la Constitution, peut-il tolérer que ce « syndicat » qui ne représente plus que lui-même siège encore dans des instances représentatives, le CNESER ou le CNOUS ? Comment admettre qu’il touche des subventions ? Vous l’avez souligné vous-même jeudi 18 mars, en notant que de tels comportements étaient « inacceptables », et que « nous sommes les enfants de la République, nous voyons d’abord des personnes humaines, des citoyens avant de voir les gens en fonction de leur couleur de peau, de leur religion ou de quoi que ce soit d’autre. » Alors, si nous passions aux actes ?

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    Il fut un temps où l’UNEF témoignait d’une sensibilité de gauche largement répandue à l’université. Mais ce n’est plus le cas : elle ne représente plus qu’une addition de communautarismes. Vous êtes trop fin politique pour ignorer que c’est une nébuleuse, et que l’UNEF n’est qu’un relais du Parti des Indigènes de la République (dont personne en France ne comprend qu’il n’ait pas été interdit), faux nez de cette organisation identitaire dont la surenchère et la violence verbale sont les seuls modes d’expression.

    Je vous demande donc instamment de proposer au gouvernement des mesures, qui seraient fort populaires, afin d’empêcher définitivement l’UNEF de nuire en lui donnant une plate-forme d’expression légale.

     

    On regarde avec horreur l’entrisme d’organisations fanatisées dans ce qui fut le fer de lance de la contestation étudiante

     

    Ce n’est pas toucher au droit syndical : l’UNEF est une association, non un syndicat. Elle a fini par ne plus représenter qu’elle-même. La jeune femme voilée qu’elle a envoyée récemment, en cheval de Troie, à l’Assemblée nationale, n’a aucune audience réelle auprès des millions d’étudiants aujourd’hui concernés prioritairement par leurs études, que le distanciel rend souvent aléatoires, et leur pain quotidien, qui se fait terriblement hebdomadaire. Et les universités sont désertées par ces mêmes étudiants qui souvent n’ont pas cru nécessaire de prolonger le paiement de loyers inutiles : aucun risque sérieux de manifestation, quelque manipulateurs que soient les agitateurs professionnels qui ont pris le contrôle de l’organisation que dirigeait Jacques Sauvageot en 1968: croyez-moi, les ex-gauchistes regardent avec horreur l’entrisme d’organisations fanatisées dans ce qui fut le fer de lance de la contestation étudiante.

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    Le 17 septembre 2020, la représentante de l’UNEF Maryam Pougetoux a été autorisée à parler à l’Assemblée nationale dans un accoutrement islamiste. Image: Assemblée nationale.

    Vous savez par ailleurs que les élections dans les universités sont une mascarade, et que l’UNEF ne représente au mieux que 4 ou 5% des étudiants — dont on ne sait trop s’ils sont réellement en poursuite d’études, ou s’ils cherchent une couverture sociale et un parapluie pour abriter leur militantisme.

    Vous vous honoreriez en suggérant à votre collègue Gérald Darmanin la dissolution de cette organisation — et de toutes celles qui prétendent faire des différences fondées sur la couleur de la peau, les origines ethniques, ou l’orientation sexuelle. Ce qui est explicitement interdit par notre République, à laquelle je sais que vous êtes attaché.

    Des députés LR, Eric Ciotti ou Bruno Retailleau, demandent déjà cette dissolution. Autant leur couper l’herbe sous le pied, en les empêchant de polémiquer sur une prétendue complaisance du gouvernement dont vous êtes membre envers des organisations qui visent à fracturer la société française. Le ministre de l’Intérieur a commencé à faire le ménage dans les organisations islamistes. Par effet de balancier, il en a profité pour dissoudre également Génération identitaire — comme le gouvernement de Georges Pompidou, en octobre 1968, avait dissous Occident après avoir interdit, en juin, la JCR d’Alain Krivine ou le PCMLF. Il serait tout à l’honneur du gouvernement de montrer de la fermeté face à tous les ferments de fracturation de la société française.

    L’UNEF doit être dissoute, parce que son comportement est un comportement raciste, et parce que ce sera un signal fort envoyé à toutes les associations qui se font un paravent de la loi de 1901 en affichant des buts « culturels », alors qu’elles sont pleinement religieuses. Il ne s’agit pas de censure, comme les plus exaltés des islamo-gauchistes le suggèreront, mais de sauvegarde des libertés françaises — en particulier celle de s’associer sans considération du sexe ou de la couleur de peau.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur le ministre, l’expression de mon respect attentif…

    Jean-Paul Brighelli

     

    Normalien et agrégé de lettres, Jean-Paul Brighelli a parcouru l'essentiel du paysage éducatif français, du collège à l'université. Il anime le blog "Bonnet d'âne" hébergé par Causeur.