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  • Famille de France • Les 50 ans du duc de Vendôme célébrés à Dreux

     

    Nous avons peu de choses à ajouter à l'excellent reportage qui suit. Si ce n'est que la journée à laquelle invitait la princesse Philomena pour fêter les cinquante ans du prince Jean a été, en effet, pour l'ensemble des participants, une journée heureuse et même joyeuse comme il est dit dans ce reportage. L'extrême gentillesse, l'attention, l'amitié chaleureuse avec lesquelles les Princes ont reçu leurs invités, y ont été pour beaucoup. Il nous est seulement possible de les en remercier.  LFAR

     

    Le prince Jean de France, Duc de Vendôme a célébré son cinquantième anniversaire en présence de sa famille, sa mère la Duchesse de Montpensier, ses quatre frères et sœurs : la princesse Marie accompagnée de son époux le prince Gundakar de Liechtenstein et leurs filles aînées les princesses Leopoldine et Maria-Immaculata de Liechtenstein, le prince François, Comte de Clermont, la princesse Blanche et le prince Eudes, Duc d’Angoulême venu avec la princesse Marie-Liesse et leurs enfants, la princesse Thérèse et le prince Pierre. Le prince Jean avait placé  cette fête sous le signe de l’amitié et de la fidélité puisque les amis et les proches du Prince étaient également  conviés à participer à cette fête particulièrement joyeuse. 

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    Après la messe célébrée en l’église Saint Pierre de Dreux, les invités de la Duchesse de Vendôme sont conviés au Domaine Royal pour une réception dans le parc. A la sortie de la messe, les invités sont témoins d’un geste touchant de la part des « Monarchs de Dreux », l’équipe de football américain de la ville qui se s’est  déplacée pour faire une Haie d’Honneur au Duc et à la Duchesse de Vendôme à la porte de l’église sous les applaudissements des invités et des paroissiens ébahis. On reconnaît au centre, parmi les invités, l’archiduc Rudolf d’Autriche coiffé d’un chapeau de paille.

     

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    Lors du cocktail le Duc d’Angoulême converse avec le prince Guillaume et la princesse Sibilla de Luxembourg, amis proches du Duc et de la Duchesse de Vendôme.

     

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    Les enfants du Duc d’Angoulême, le prince Pierre et la princesse Thérèse d’Orléans conversent avec un cousin, Maurice de Rambuteau.

     

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    Le prince Gaston et la princesse Antoinette sont ravis de souffler sur les bougies du gâteau d’anniversaire, un délicieux vacherin aux armes du prince Jean.

     

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    Après avoir soufflé ses 50 bougies, le Duc de Vendôme, ici au côté de la princesse Philomena et des princesses Antoinette et Louise-Marguerite, découvre le cadeau de ses amis : un superbe fusil de chasse fabriqué sur mesure et gravé à ses armes. Le prince Jean, chasseur émérite, est ému et heureux par ce cadeau qui lui va droit au cœur.

     

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    Le Duc de Vendôme remercie chaleureusement sa famille et ses amis pour leur présence, leurs attentions et pour les cadeaux qui s’accumulent au coté du fusil de chasse.

     

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    Venus de Bordeaux pour l’occasion, le Duc et la Duchesse d’Angoulême posent dans le parc de Dreux avec la princesse Thérèse âgée de 14 ans et le prince Pierre, filleul du Duc de Vendôme, qui va célébrer ses 12 ans le 6 août prochain.

     

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    Dans le parc de Dreux, la princesse Leopoldine de Liechtenstein se repose au côté du prince François de France, de la princesse Blanche de France et du prince Pierre d’Orléans.

     

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    Le Duc et la Duchesse d’Angoulême et Stéphane Bern, qui revenait du Prix Eurovision spécialement pour féliciter le Duc de Vendôme, sourient lors du discours humoristique d’un prince Jean heureux et particulièrement en forme en cette journée anniversaire. Vers 18 h 30, les invités prennent congé des princes avec regret après avoir bu une dernière coupe de champagne en l’honneur du prince Jean. 

    Source : Noblesse et Royautés

     

  • Société • Les prix 2017 de la Carpette anglaise ont été attribués ...

     

    Les distinctions attribuées le sont en termes brefs, ironiques et savoureux d'une redoutable efficacité. Les lecteurs de Lafautearousseau apprécieront les choix 2017.  LFAR

    Réuni chez Lipp, le 13 décembre 2017, sous la présidence avisée de Philippe de Saint Robert (écrivain, engagé dans la défense de la langue française), le jury composé de représentants du monde littéraire, politique [1] et associatif [2], a décerné le prix de la Carpette anglaise 2017 à un membre des « élites françaises » qui s’est particulièrement distingué par son entêtement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française.

    A été distinguée, au second tour de scrutin par huit voix contre une à l’association française de normalisation (AFNOR [3]) : Mme Anne Hidalgo, maire de Paris, pour l’utilisation prioritaire de l’anglais comme langue de communication de la Ville de Paris à destination des touristes et des étudiants étrangers, pour avoir fait projeter en février 2017 sur la tour Eiffel le slogan « Made for Sharing » de la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024.

    Le prix à titre étranger [4] a été attribué, au premier tour de scrutin, à M. Donald Tusk, président du Conseil européen, pour s’exprimer en priorité en anglais excluant notamment le français de sa communication.

    Que déshonneur leur soit rendu !

    L’Académie a décidé dans le souci d’équilibrer le prix de la « Carpette » par la création d’un prix annuel de glorification de personnalités ou institutions qui se seront illustrées dans la promotion de la langue française. Dans ce but, un prix « Tapis rouge » sera créé en 2018 et remis au printemps prochain.

    Le cas Macron

    Emmanuel Macron, page Facebook

    Emmanuel Macron, page Facebook

    Les débats du 13 décembre 2018 ont été plus animés qu’à l’ordinaire. En effet, la liste des lauréats à choisir comprenait le nom de M. Emmanuel Macron. Il s’était en effet distingué en 2017 par des actes : divers anglicismes publics, dont sa « Task force », surtout des allocutions en anglais, en janvier à l’université Humboldt de Berlin, cet été à la télévision pour reprocher – légitimement – à M. Donald Trump sa sortie de la Cop21, puis en décembre par l’affichage public « One planet Summit » lors de la conférence – bienvenue – qu’il a organisée à Paris.

    Mais il était aussi, dans la logique du « en même temps », proposé pour un prix à créer du « Tapis rouge » saluant dûment ses annonces enthousiasmantes : d’adoption le 3 mai de la charte de francophonie proposée par l’Association francophone d’Amitié et de Liaison (AFAL) ; d’une politique de relance du français et de la Francophonie (29 août à Paris, puis 9 novembre à Abou Dhabi), assortie d’un plan concret pour le début de 2018 ; et, le 16 septembre à Port-Marly : « Nous restaurerons Villers-Cotterêts et en ferons le château de la Francophonie », dont le projet bien connu de l’Élysée est porté depuis 2001 par ALF et d’autres associations.

    Mais, dans sa grande sagesse, l’Académie a décidé, à une large majorité, de ne pas mettre en cause le chef de l’État, ni dans un sens, ni dans l’autre.  

    (Albert Salon un diplomate français engagé dans la défense de la francophonie.)

    [1] Anne Cublier, Marie Treps, Paul-Marie Coûteaux, Benoît Duteurtre, Dominique Noguez sont membres de l’académie de la Carpette anglaise.
    [2] Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (Asselaf), Avenir de la langue française (ALF), Cercle des écrivains cheminots (CLEC), le Collectif unitaire républicain pour la résistance, l’initiative et l’émancipation linguistique (COURRIEL), Défense de la langue française (DLF) et Le Droit de comprendre (DDC).
    [3] Des textes d’origine européenne jamais traduits en français pourront désormais figurer dans la collection des normes nationales. Ainsi un texte en anglais pourrait être mis à la disposition du public, en tant que norme nationale portant le sigle « NF ».
    [4] Le prix spécial à titre étranger est attribué à un membre de la nomenklatura européenne ou internationale, pour sa contribution servile à la propagation de la langue anglaise.
    Contact : Marc Favre d’Échallens, secrétaire de l’académie de la Carpette anglaise.
    Courriel : parlerfranc@aol.com Académie de la Carpette anglaise, Le Droit de comprendre, 222 avenue de Versailles, 75016 Paris.

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. Dans la série "Les libertés ne s'octroient pas, elles se prennent" (Charles Maurras), lafautearousseau salue et applaudit des deux mains la magnifique initiative populaire qui a embrasé Lyon, ce mardi 8 décembre. Un pied de nez grandiose à ce Pays légal si triste et si moche, une vidéo superbe et un final "MERCI MARIE" : si on n'applaudissait pas là, comme dirait Bainville, il n'y aurait plus qu'à tirer l'échelle !... Lisez ce court article de Lyon.mag et, surtout, regardez ces deux minutes de vidéo : que du bonheur ! :

    Feu d’artifice sauvage à Lyon : “Les Lyonnais et la Vierge Marie se souviendront longtemps de ce 8 décembre” selon les Bad Gones

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    2. Excellente question, trouvée sur tweeter : "Pourquoi lors des manifs pro Palestine ou pour les migrants ou celles pour défendre un islamisme radical comme celle à l'initiative du CCIF il n'y a JAMAIS de Black bloc ?" N'est-ce pas, tout simplement, parce que les "Cagoules noires", ou le "Bloc noir" (pour parler français), et les défenseurs des "causes" (!) citées plus haut, ce sont... les mêmes  ?

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    3. Policier tué dans un accident à Villeneuve-d’Ascq le 6 septembre 2020 : la conductrice sans permis, alcoolisée et positive au cannabis vient déjà d’être libérée, avec juste un contrôle judiciaire ! :

    https://policeetrealites.com/2020/12/10/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-policier-tue-dans-un-accident-a-villeneuve-dascq-le-6-septembre-2020-la-conductrice-sans-permis-alcoolisee-et-positive-au-cannabis-vient-deja-detre-libere/

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    4. Arménie : une tribune pour interpeller l'Europe : à l'initiative d'Amnésie internationale, intellectuels et artistes se mobilisent... Cette année 2020, l'action menée par la Jeunesse Arménienne de France s'ouvre d'abord par un acte politique : une Lettre ouverte à Charles Michel, Président du Conseil Européen et à Ursula Von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne. Puis, le 26 décembre, aura lieu un grand concert caritatif en ligne, afin de récolter des fonds pour les populations sinistrées...

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    5. Le grand n'importe quoi du délirant Vikash Dhorasoo. Ou : quand le soi-disant anti-racisme rend fou ! Pour ce monsieur, le statut des Noirs dans le football équivaut à celui des esclaves : "Ce ne sont que des corps. Avant ils couraient pour éviter les coups de leurs maîtres, maintenant c'est pour éviter les tacles." La vraie question est : la déclaration de Vikash Dorasso est-elle plus ridicule qu'indécente, ou l'inverse ? Quand on sait, par exemple, que Mbappé gagne plus de 20 millions d'euros par an ! : 

    https://www.capital.fr/economie-politique/le-salaire-exorbitant-de-kylian-mbappe-au-psg-a-encore-augmente-en-2019-1337222

    De nombreux français au Smic aimeraient sûrement cet "esclavage", et rouler en voiture de luxe et avoir le train de vie de ces "esclaves" (!) et tout et tout. Décidemment, faire partie de la gauche caviar, oui, cela rend fou !  
     
     

    6. Encore un "pan sur le bec" pour l'ignorante Marlène Schiappa. Perdant une bonne occasion de se taire, elle s'est crue obligée d'affirmer, sans sourciller, sur Europe 1 : "Personne n'a jamais tué quelqu'un au nom de la laïcité.", Michel De Jaeghere répond, avec justesse : Jean de Viguerie estime à 2000 le nombre de prêtres, religieuses... tués en haine de la foi par la Révolution française entre 1792 et 1798. Parmi eux, les carmélites de Compiègne, les noyés de la Loire ou les religieuses d'Orange... Rappelons que la ville d'Orange s'est honorée en étant la première commune de France à inaugurer (en 2019) un Mémorial de la Terreur (voir notre Ephéméride du 9 juillet)...

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  • « Ordure », « bon Arabe de l’extrême droite » : l’époux d’un ministre ne devrait pas dire ça…, par Gabrielle Cluzel.

    S’est-on moqué des petites dames de jadis, façon Tante Yvonne ou Germaine Coty, qui restaient dans l’ombre de leur mari, leur petit sac serré contre elles, le bibi sur la tête, tout justes bonnes à couper les rubans des inaugurations, à distribuer les cadeaux de Noël et à se pencher pour tapoter les joues des enfants. 

    gabrielle cluzel.jpegCertains se souviennent d’Anne-Aymone Giscard d’Estaing, associée, le 31 décembre 1975, aux vœux présidentiels, empruntée, mal à l’aise, ayant de l’impair. C’est qu’elles craignaient de nuire à leur prestigieux époux. On peut en sourire. Cela avait pourtant quelque chose de beau, de sacrificiel et de touchant. De respectueux pour la fonction et le pays aussi.

    Mathias Wargon n’a pas les mêmes délicatesses avec son épouse de ministre , déjà pourtant justement en délicate situation dans une sombre histoire de « faites-ce-que-je-dis-ne-faites-pas-ce-que-je fais » en matière de mixité sociale. Il pourrait se faire tout petit, éviter de lui rajouter des ennuis, du bad buzz, de la polémique sur le dos, et de mettre encore une fois le nom « Wargon » en tendance sur les réseaux sociaux. Pas du tout, en matière matrimoniale, Mathias Wargon fait du manspreading : sa femme, bien assise dans la vie, a une belle place au soleil, il s’assoit à côté d’elle en écartant les jambes pour capter lui aussi la lumière. Car s’il n’était pas le mari de la dame, tout , passé la porte du service des urgences de l’hôpital de Saint-Denis, se soucierait comme d’une guigne des saillies de salle de garde et des grossièretés du docteur Wargon. Comme l’écrivait Le Monde, en avril 2020, « il réagit à tout, à la fois en traitant ses contradicteurs de “débiles” et de “gros tarés”, mais aussi en publiant des liens vers des travaux de sommités (“c’est chiant, mais c’est précis”). Bien sûr, tout cela serait presque banal si cet adepte de l’émoticône “doigt d’honneur” n’était à la ville l’époux d’Emmanuelle Wargon. » Un certain nombre de ses pairs confient entre haut et bas ne pas lui avoir pardonné – un minimum de confraternité étant quand même de mise, dans le métier – d’avoir traité le professeur Perronne, l’hiver dernier, de « guignol », l’accusant de « ne dire que des conneries ».

    S’il a été mis, par l’ARS, à la tête de l’Observatoire régional des urgences et des soins non programmés (ORUSNP) pour l’Île-de-, il garde comme une blessure le fait de ne pas avoir été nommé professeur : « Je l’ai longtemps regretté. Ma grande gueule m’a coûté une ­partie de ma carrière. Je suis beaucoup dans l’­affrontement, pas très machiavélique. » Comme si l’élémentaire politesse était synonyme de calcul, d’intrigue et de machination.

    Mathias Wargon vient donc encore de frapper, cette fois à l’endroit de , assenant tout d’abord dans un tweet « qu’il y a les bons Arabes, et les mauvais Arabes », avant de le retirer et de préciser : « Ne vous faites pas plus c… que vous êtes », « Effectivement, vous êtes le bon Arabe de l’extrême . Riche, énarque et chrétien. Pas maghrébin », lui jetant à la figure, plus loin, le terme de « cher ami » que Jean Messiha avait utilisé pour s’adresser à lui : « Cher ami ? Non mais, ça va pas ! Mes amis ne sont pas des ordures qui chaque soir défèquent leurs idées pourries dans les médias. »

    Peu importe, à dire vrai, le fond du débat. Comme le commente sur , « traiter quelqu’un d’ordure parce qu’on n’aime pas ce qu’il pense et dit, sur Twitter ou ailleurs, est lamentable. Qu’on soit ou non compagnon d’une ministre. Ce délitement est-il fatal ? »

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    Ce « délitement » risque, en tout cas, d’être « fatal » à un certain personnel , qui s’abaisse lui-même, ou qui est abaissé par son entourage, lequel veut bien tous les avantages et les droits d’une fonction – ils sont nombreux… – mais en aucun cas les inconvénients et les devoirs, en particulier tenir son rang et donc sa langue. Le déclassement d’un pays se voit aussi, hélas, à ces choses-là.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    Immigration/invasion : le Danemark, à son tour, montre la voie...

    Non seulement le pays va appliquer strictement et sans aucune dérogation la politique de "demande d'asile dans le pays du demandeur" mais, surtout et mieux, il entame une politique elle aussi stricte, et immédiate, de re-migration : les Syriens sont les premiers à figurer sur la liste des immigrés renvoyés dans leur pays, Damas étant maintenant considérée comme une ville sûre par les autorités danoises.

    Seuls sont, pour l'instant, exemptés de cette mesure choc les jeunes syriens, car ils sont susceptibles d'être enrôlés dans l'armée.

    Mais, pour tous les autres (femmes et enfants, personnes âgées ou même adultes dans la force de l'âge, dirons-nous...), c'est : retour au pays !

    Le Danemark ne veut pas se laisser submerger par les envahisseurs, fussent-ils re-baptisés migrants par les idiots utiles dont parle Lénine : il a bien raison !

    Tous les pays d'Europe doivent faire de même, à commencer par la France...

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    On remarquera l'absence du "n'" devant le "êtes", mais, pour une fois, la phrase, sur le fond, est bonne...

    1. Chez Hanounah, Jordan Bardella persiste et signe. Il a raison : soutien total ! :

    "Je maintiens ce que j'ai dit et ni la Justice ni les islamistes ne me feront taire : Trappes est une République islamique en miniature, la capitale européenne du djihad. C'est le futur de toute la France si nous ne reprenons pas la main !"

    https://twitter.com/J_Bardella/status/1488967170801508362?s=20&t=3jcqJohdn4M0rTGelTVdyA

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    2. "Réformer Schengen", comme le propose Macron ? D'accord avec Philippe de Villiers... :

    Philippe de Villiers
    "Macron propose de réformer Schengen. C’est la même litanie depuis 1995. Tous - Chirac, Sarkozy, Hollande -, ils ont prétendu réformer Schengen. A chaque fois, ils ont rajouté de nouveaux trous à la passoire. Foutaise !"

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    3. Grand oral de la sécurité : "Le problème de la police c’est la justice laxiste", lance Eric Zemmour aux forces de l’ordre... :

    https://www.cnews.fr/france/2022-02-02/grand-oral-de-la-securite-le-probleme-de-la-police-cest-la-justice-laxiste-lance

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    4. L'humour de Jean-Yves Le Gallou à propos de Valérie Pécresse, parlant de son mari :

    "Pour Valérie #Pecresse sur #LCi son mari Jérôme, dirigeant d’une branche de Général Electric vendant des éoliennes, des hydroliennes et militant pour la privatisation des barrages, a une "action humanitaire en participant à sauver la planète" ..."

    En somme, le couple Pécresse c'est Jérôme, qui vend des éoliennes et des hydroliennes, et Valérie, qui brasse du vent ...

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    5. Les sondages ne valent que ce qu'ils valent, mais l'intérêt de cette image est que c'est BFM/TV (dit BF"M comme Macron") qui la publie...

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    6. À Toulouse, l'Ehpad des Tourelles, qui héberge des migrants mineurs isolés (ce qui est difficile à comprendre...) va fermer sa scandaleuse "structure d'accueil" (?) à cause des violences de ces intrus dont la majorité est non mineur/non isolé...

    https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-mineurs-isoles-ce-lieu-d-accueil-ferme-apres-des-violences-les-associations-s-inquietent_48364518.html

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    7. Malgré une fiabilité des détections à 97%, la formation des chiens détecteurs du COVID19 n’a bénéficié d’aucun financement public dans le cadre de la détection du virus. Pourtant un chien le repère environ 48 heures avant un test classique...

    https://handichiens.org/detection-de-la-covid-19-un-oubli-a-10-milliards/

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    À  DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Évidemment !

    L'inscription du droit à l’avortement dans la Constitution ? :

    "C’est une opération politicienne de la part d’E. Macron... Un projet de loi ni utile, ni nécessaire, cela s'appelle une diversion. La diversion sociétale, c’était la martingale des socialistes quand ils ont cessé de faire du social. C’est facile, les diversions sociétales, c'est gratuit et pendant 48 heures, on oublie tout le reste..."

    C'est l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 (auquel fait écho Gabrielle Cluzel : "Comme s’il n’y avait pas d’autres menaces actuellement. Comme si le sujet d’inquiétude des Français était celui-là. Tant de déconnexion devient effrayant.") :

    (extrait vidéo 3'44)

    https://x.com/vtremolet/status/1718896281886580904?s=20

    De toutes les façons, ce qu'une modification de la Constitution aura/aurait fait, une autre modification de la Constitution pourra le défaire...

     

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    1. D'accord avec Jean-Frédéric Poisson :

    "Euthanasie et suicide assisté légalisés, avortement constitutionnalisé… La mort hante Macron et nos gouvernants : ils se croient au-dessus d’elle en la maîtrisant. Mais c’est l’inverse : la Mort installe chez nous son royaume dont ils sont les serviles promoteurs."

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    2. Une bonne nouvelle, du côté de l'énergie : c'est Fabien Bouglé qui la communique (sur tweeter) :

    "TRÈS IMPORTANT Depuis cet été les investisseurs anticipent la déroute des #éoliennes et panneaux solaires et cèdent leurs investissements dans le secteur. Dans le même temps les investissements dans le #nucléaire progresse fortement. La bourse anticipe l'économie réelle."

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    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

    3. Dans "le Club Le Figaro Idées", Alain Finkielkraut rend hommage au professeur assassiné à Arras, pour qui la culture et sa transmission étaient essentiels. Une chose que les islamistes ne supportent pas, car ils ne font "allégeance qu'au Coran"... :

    (extrait vidéo 0'58)

    https://x.com/Le_Figaro/status/1718576157543854492?s=20

    Le Figaro on X: "Dans «le Club Le Figaro Idées», Alain Finkielkraut rend  hommage au professeur assassiné à Arras, pour qui la culture et sa  transmission étaient essentiels. Une chose que les

     

    4. Au Canada, dans la Ville de Saint-Constant (population à 90% francophone), pourquoi une telle "information" ?

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    Réponse de Mathieu Bock-Côté :

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    5. TOUS AVEC LES MILITANTS DE TOUCHE PAS À MA STATUE !

    "Bétonnage de la statue de la Vierge Marie  Ce samedi, des militants de Touche Pas à Ma Statue ont cadenassé & bétonné une statue de la Vierge Marie qui doit être déboulonnée à la Flotte en Ré (Charente Maritime)"

    (extrait vidéo 0'55)

    https://x.com/TPMStatue/status/1718661535646548367?s=20

    et l'article de Sud Ouest :

    https://www.sudouest.fr/charente-maritime/ile-de-re/la-flotte/ile-de-re-la-statue-de-la-vierge-enchainee-et-cadenassee-17263971.php

    Polémique à La-Flotte-en-Ré : la statue de la Vierge devra être déplacée -  Charente Libre.fr

     

    5 BIS. (Toujours dans Sud Ouest) Un projet privé pour reloger la Vierge de La Flotte : une association est en gestation pour déplacer la statue condamnée par la justice à disparaître de l’espace public... (pendant que les manifestations où l'on lance l'horrible cri de mort "A..... A....." sont autorisées !)

    https://www.sudouest.fr/charente-maritime/ile-de-re/ile-de-re-un-projet-prive-pour-reloger-la-vierge-de-la-flotte-13788675.php

    Île de Ré : un projet privé pour reloger la Vierge de La Flotte

     

     

    7. À Paris, le saccage/massacre continue ! De SOS PARIS :

    https://x.com/SOSParis/status/1712366211923591304?s=20

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    À DEMAIN !

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  • Le grain de sel de Scipion : France-Désinfo ?

    grain de sel 1.jpgEn général, lorsqu’un candidat arrive largement en tête au premier tour d’une élection, les radios l’invitent dans leurs émissions du matin.

    Curieusement, le lendemain du 1er tour de l’élection cantonale partielle de Brignolles, qui a vu le candidat du Front national arriver largement en tête avec plus de 40% des voix, c’est le patron d’un des partis perdants, Harlem Désir, que France-Info a invité à commenter cette élection !

    Etonnant, non ?

  • MARSEILLE : LES CAFES POLITIQUES REPRENNENT SAMEDI 20 OCTOBRE ET LANCENT LEUR ”ENQUÊTE SUR LA REPUBLIQUE”, AVEC GERARD L

    Samedi 20 octobre 2012, à 18 h 30

    (Accueil à partir de 18 h)

     

    ENQUÊTE SUR LA REPUBLIQUE

    L’IDEOLOGIE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE

    EST-ELLE ENCORE VIVANTE ? 

    par Gérard LECLERC 

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    Journaliste, philosophe,

    éditorialiste à Radio Notre-Dame et France Catholique

     

    Café Simon

    28, cours Honoré d’Estienne d’Orves, 13001 Marseille

    Entrée libre. Participation sous forme d'une consommation.

    Renseignements : 06 08 31 54 97

    Possibilité de dîner sur place, après le Café Politique 

     
  • ça l'fait pas !

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    Entendu ces jours derniers  à la radio, un journaliste spécialisé dans le septième art qui y allait de son commentaire élogieux sur la sortie d'un film certainement douteux et concluait son propos par un vibrant "Je suis sûr que ça va l'faire" !

    Voilà donc comment s'expriment désormais nos journalistes "culturels", dans une langue décadente, à l'image de tous les éléments constitutifs de notre société qui calque ses "standards" sur le degré zéro de la nullité.

     

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  • Valls à deux temps

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    Le rite socialiste semble immuable. Dans un premier temps, on se fait plaisir avec des réformes sociétales (suppression de la peine de mort, libéralisation des radios, mariage des pédérastes, etc.). Puis on vire un Mauroy pour le remplacer par un Fabius, ou un Eyraud pour un Valls, on devient pragmatique et on prend les mesures macron-économiques et sociales que la droite n’a pas osé prendre par peur de la gauche. Car en-dessous de l’écume politicienne, l’économie impose ses lois à nos moutons gouvernementaux hélas tous atteints de bruxellose.

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  • C’est lu dans La Libre Belgique, et c’est à lire, et à faire lire :

            Le point de départ est la politique d’immigration et d’asile. Dès l’entame de son discours, le Procureur général d’Anvers, M. Liégeois, a donné le ton :

             "La fin de la démocratie est peut-être bien proche. Les problèmes deviennent ingérables. L’échec total de la politique de migration en est une expression." ; il dresse un constat très sombre de certains quartiers des villes belges où il dit constater, sur la base d’un tour de table avec les auditeurs du travail des provinces d’Anvers et du Limbourg (soit le ressort de la cour d’appel d’Anvers) une augmentation "des pratiques socio-économiques déstabilisantes" ; il dit remarquer que la plupart des étrangers peuvent disposer d’indemnités de chômage s’ils ont travaillé suffisamment dans leur pays d’origine. Or, ajoute-t-il, des organisations criminelles créent des sociétés qui fournissent de fausses attestations de travail que le travailleur peut acheter. "Nous sommes submergés par ces filières criminelles, ces faux indépendants et sociétés bidons. Surtout à Anvers" ; il s’en prendre également à la politique de l’asile. "Le statut en matière d’asile est détourné : cela vaut aussi pour le regroupement familial qui est beaucoup trop facile." Ce qui pèse sur la sécurité sociale.

            Le plus intéressant est peit-être que le Ministre de la Justice, qui a critiqué la forme, mais pas le fond, de ces propos a laissé entendre "tout ne se déroule pas parfaitement" dans le domaine de la politique d’immigration…..

     http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/682798/un-magistrat-sans-nuances.html

    (lire aussi, c'est très court : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2011-09-02/le-procureur-general-d-anvers-s-en-prend-a-la-politique-d-asile-860209.php )

     

    Un magistrat sans nuances

            Le parquet général d’Anvers critique la politique de migration. Le ministre de la Justice condamne le ton, mais pas le constat des magistrats.

            Ce sont des mots très durs, excessifs diront certains, qu’ont prononcés jeudi le procureur général d’Anvers, Yves Liégeois et l’avocat général près la cour du travail, Piet Van Den Bon lors de la rentrée judiciaire à la cour d’appel et à la cour du travail d’Anvers.

            Il faut sans doute remonter à la rentrée judiciaire 1997, lorsque le procureur général près la Cour de Cassation, Eliane Liekendael, avait critiqué la Commission Dutroux, pour retrouver un discours de rentrée qui critique de manière si virulente le politique. Mme Liekendael avait alors insisté sur la séparation des pouvoirs.

            Les magistrats anversois se sont prononcés sur un tout autre sujet : la politique d’immigration et d’asile. Dès l’entame de son discours, M. Liégeois, a donné le ton : "La fin de la démocratie est peut-être bien proche. Les problèmes deviennent ingérables. L’échec total de la politique de migration en est une expression." C’est là un jugement que l’on n’attend pas d’un procureur général.

            Même quand l’on sait que M. Liégeois n’est pas un adepte de la langue de bois. Il n’hésite ainsi jamais à faire valoir une opinion tranchée. Invité à s’exprimer devant la commission de la Justice de la Chambre il y a quelques années, il avait, sans prendre de gants, dit tout le mal qu’il pensait de la réforme programmée du Code de la procédure pénale. Sans nuance. A la grande tristesse de son initiateur, le professeur Michel Franchimont, présent dans le public.

            Les deux magistrats anversois affirment que les autorités ont complètement perdu le contrôle de l’immigration. Et M. Van Den Bon de dresser un constat très sombre de certains quartiers des villes belges où il dit constater, sur la base d’un tour de table avec les auditeurs du travail des provinces d’Anvers et du Limbourg (soit le ressort de la cour d’appel d’Anvers) une augmentation "des pratiques socio-économiques déstabilisantes". Et le magistrat de tirer la sonnette d’alarme : "Ces pratiques peuvent mettre en danger l’existence de notre Etat de droit." Il dit remarquer que la plupart des étrangers peuvent disposer d’indemnités de chômage s’ils ont travaillé suffisamment dans leur pays d’origine. Or, ajoute-t-il, des organisations criminelles créent des sociétés qui fournissent de fausses attestations de travail que le travailleur peut acheter. "Nous sommes submergés par ces filières criminelles, ces faux indépendants et sociétés bidons. Surtout à Anvers", dit M. Van Den Bon.

            Et le magistrat de s’en prendre également à la politique de l’asile. "Le statut en matière d’asile est détourné : cela vaut aussi pour le regroupement familial qui est beaucoup trop facile." Ce qui pèse sur la sécurité sociale.

            Autant de jugements qui n’ont pas laissé de marbre le ministre de la Justice qui préside le collège des procureurs généraux. "Les magistrats qui prononcent une mercuriale ont une sorte de liberté académique. Une analyse critique peut (être prononcée), mais des déclarations politiques sur la fin de la démocratie ne conviennent pas dans la bouche d’un procureur général", a réagi Stefaan De Clerck (CD&V). "Ils ne doivent faire aucune déclaration politique", a-t-il ajouté, indiquant que c’était ce qui s’était passé. "Ils vont l’entendre de ma part", a-t-il assuré à la VRT Radio.

            Il a toutefois laissé entendre que "tout ne se déroule pas parfaitement" dans le domaine de la politique d’immigration. Il a dit partager en grande partie l’analyse des magistrats et a reconnu qu’il y avait des problèmes et que tout ne se passait pas parfaitement. Mais il adressera néanmoins "une solide lettre" au procureur général pour ses propos.

  • A propos de l' ”affaire” de Massat: réflexions sur l'état du catholicisme en France.....(1/2).

                Massat, c'est cette petite ville du Sud-Ouest où le maire, communiste, qui boit du petit lait, met l'église du village -qui compte aussi deux chapelles- en vente.... Certains ne voient pas l'enjeu, d'autres en sourient, parlant même (on l'a entendu à la télé !...) de Peppone et Don Camillo.

                Patrice de Plunkett livre une analyse intéressante et assez juste de cette "affaire", à laquelle il nous semble que l'on pourrait malgré tout rajouter deux ou trois choses.

                L'analyse de Plunkett, d'abord:

    massat.jpg
    Massat, dans l'Ariège, pays de montagnes....

              "...Les rieurs se trompent : à Massat, ce n'est pas Don Camillo. Dans l'Italie de Guareschi (1948), la petite ville de Brescello a une église, qui est pleine chaque dimanche. Dans la France de 2009, le village de Massat a une église et deux chapelles. Elles ne sont pas vraiment pleines chaque dimanche. Cette situation ne justifie pas l'agressivité de M. Galy-Gasparrou, mais elle lui donne beau jeu. D'autre part, Brescello est coupée en deux : la moitié des habitants sont paroissiens, l'autre moitié communistes, même si une partie des communistes (dont Peppone lui-même) paroissianisent en cachette ; le fils de Peppone est baptisé par don Camillo, sous le triple prénom de "Libero-Camillo-Lénine". C'est le charme mélancolique des temps qu'évoque Guareschi : une époque de convictions opposées mais jumelles, enracinées dans les profondeurs de la culture populaire.

                Rien à voir donc avec Massat en 2009, qui ressemble au reste du désert mental français si l'on en croit le maire. Pas de bloc populaire "noir", pas de bloc populaire "rouge"... Mais le vide spirituel et culturel : un vide attesté en d'autres lieux par ces procès (intentés par des bobos néo-villageois) pour faire taire les cloches, les coqs et les tracteurs. Là où on le constate, d'où vient ce vide ? Sur le versant religieux, de la disparition des catholiques. On peut réagir aux esclandres du citoyen Galy-Gasparrou de deux manières. Ou bien dans le registre "cabinet des antiques", en hurlant à la cathophobie, au complot, etc. Ou bien dans le registre réaliste, en tenant compte de l'image qu'offre la chrétienté française en 2009. Relisez l'enquête IFOP toute récente (cf. ici le commentaire de D. Ridder sous la note du 12/08) : une population vieillissante, sociologiquement enlisée, politiquement déséquilibrée... et religieusement si mal formée qu'elle ignore souvent les positions de l'Eglise à laquelle elle est censée appartenir ; et qu'elle cède à des réflexes qui lui aliènent la jeunesse. Pas assez de foi, pas assez d'audace, l'une et l'autre étant liées ! Le jour où les populations catholiques françaises feront un autre effet, les lieux de culte seront plus fréquentés – et les Galy-Gasparrou retrouveront le chemin de la modération...."

     
    massat chgapelle de l'ave maria.jpg

                Chapelle de l'Ave maria, Massat

                 Oui, bien sûr, ce que dit Plunkett est juste. Il pose d'ailleurs la bonne question : D'où vient ce vide ?.....

                 Mais, justement,  il nous a semblé qu'il fallait parler aussi de l'une des origines du pourquoi du comment de cet affaiblissement du catholicisme (cette note), et bien voir (note de demain) que la tourmente dans laquelle se trouve la catholicisme est, de toutes façons, une tourmente générale, dépassant de beaucoup le seul catholicisme, et que celui-ci n'est pas le seul à souffrir dans un monde où tout se porterait bien (culture, éducation, moeurs, mouvements politiques etc...).

                 Ce "vide" dont parle Plunkett -qui est le "rien" dont parle Mattéi- ne se sont pas faits tout seuls, ils ne se sont  pas produits tout seuls, par génération spontanée. Ils sont aussi -et peut-être même surtout- le fruit d'une longue et incessante guerre politique de tous les instants menée depuis plus de deux siècles par les Lumières, puis par la Révolution, puis par la République idéologique française, héritière de cette Révolution qui est avant tout et essentiellement antichrétienne. Et cette guerre est dirigée contre le seul catholicisme (observez qu'il ne se passe quasiment pas un jour à la télé ou a la radio sans que l'on aie un sujet sur l'Islam, et le plus souvent laudatif; le christianisme, lui, on en parle le moins possible, et lorsque on en parle, c'est presque toujours en dérision...).

                 La République idéologique n'a que le mot de laïcité à la bouche. Mais c'est un grossier mensonge et une grossière supercherie; sa soi-disant laïcité n'est qu'un laïcisme militant dirigé en permanence contre le seul catholicisme. Et pour faire disparaître ce catholicisme abhorré -ce qui est sa raison d'être essentielle et substantielle- elle est prête à ouvrir toutes grandes les portes à n'importe quelle autre culture ou n'importe quelle autre religion.

                 Et d'ailleurs, elle est elle-même une religion, ce qui dit bien que sa laïcité n'est que de façade: la seule chose qui lui importe, répétons-le, c'est la disparition du catholicisme. Là est sa raison d'être, et qu'on le remplace par ce qu'on voudra, par sa religion à elle ou par l'Islam, cela lui est égal: seul compte l'extirpation du catholicisme. C'est le rôle historique que la Révolution s'est fixée....

                 Qu'il n'y ait donc "pas assez de foi, pas assez d'audace" chez les catholiques, comme le dit Plunkett dans sa dernière phrase, certes. Mais cet affaiblissement a aussi des raisons bien précises.....   (à suivre...).

  • Terrorisme : on ne déclare pas la paix !

     

    Face au fondamentalisme islamiste, l’hésitation est fatale

    Une réflexion de Mathieu Bock-Côté - comme toujours pertinente et profonde . Rappelant des principe de sagesse politique perdue. Et venue de Montréal.  

     

    Mathieu Bock-Coté.jpgLes attentats qui ont frappé la Belgique provoquent chez certains d’étranges sentiments : ils se disent las, ils voudraient que cela cesse par enchantement et ils en appellent surtout à la venue sur terre de la Paix, à la manière d’un principe rédempteur venant civiliser les hommes et les empêchant de s’entretuer. Ils voudraient qu’on déclare la Paix à l’humanité, et que chacun, inspiré par ce grand élan du cœur, range ses fusils et ses bombes. Quand une bombe saute dans un métro, ils publient sur les réseaux sociaux des symboles de paix et chantent Imagine ou Give Peace a Chance. Il y a peut-être quelque chose de beau dans cette conviction sincère que l’amour nous sauvera. Il y a aussi peut-être une forme de naïveté aussi exaspérante que paralysante.

    La paix n’aura pas lieu

    Car en attendant la parousie, en attendant cette sublime délivrance, ce ne sont pas les déclarations de paix qui sauveront les peuples et les protégeront mais la résolution à faire la guerre à un ennemi intérieur et extérieur, l’islam radical, qui s’est décidé quant à lui à humilier et soumettre la civilisation européenne. Devant le fondamentalisme islamiste, ses militants résolus et ses convertis qui sont manifestement attirés par sa fureur guerrière et sa cruauté revendiquée, il faut d’abord compter sur de bons services de renseignement, sur des policiers aguerris, sur des soldats d’expérience, sur des frontières efficaces et sur une ferme volonté de le combattre. En un mot, il faut avoir les moyens de se défendre, de le combattre et de le vaincre.

    La guerre. Pour bien des Occidentaux, c’est un gros mot. Et répondre par la guerre à la guerre, ce serait apparemment une réponse simpliste. Nos bons esprits progressistes qui n’en finissent plus d’admirer leur propre grandeur d’âme voudraient qu’on se penche plutôt vers les racines profondes de l’hostilité entre les hommes et refusent de comprendre, parce que cela offusquerait leurs principes, que la violence est constitutive de l’histoire humaine. On peut la réguler, la contenir, la civiliser même : on ne pourra jamais l’éradiquer et en venir à bout une fois pour toutes.

    Nos bons esprits, en un mot, s’imaginent toujours que la réponse militaire à une agression terroriste est une dérive populiste faite pour alimenter les simples d’esprit. Ils souhaiteraient qu’on parle d’exploitation sociale, de lutte à la pauvreté, de dialogue entre les civilisations. Ils s’imaginent que si chacun s’ouvrait à l’Autre, l’humanité se délivrerait des conflits (sans s’imaginer qu’en connaissant mieux l’autre, il se peut qu’on s’en méfie davantage). Ils veulent se réfugier dans la stratosphère des discours généreux et pacifistes pour éviter d’avoir à sortir leurs canons, leurs fusils et leurs blindés. Ils veulent s’extraire du conflit au nom de la conscience universelle  et surplomber les camps en présence. En d’autres mots, ils veulent fuir le réel qui égratigne leurs principes splendides.

    La violence, en quelque sorte, est un fait anthropologique irréductible, et il est sot de croire qu’un jour, les hommes vivront à ce point d’amour qu’il n’y aura plus entre les groupes humains des conflits à ce point profonds qu’ils puissent dégénérer en conflits armés. La guerre est l’expression politique de la violence. Évidemment, d’une époque à l’autre, la guerre change de visage. Aujourd’hui, elle ne se fait plus vraiment en uniforme. Elle prend la forme d’une guérilla s’appuyant sur une cinquième colonne installée dans des forteresses islamistes comme Molenbeek. On a tort de parler du terrorisme en soi. Le terrorisme n’est que le moyen avec lequel les islamistes nous font la guerre.

     

    La guerre de religion est la plus sauvage d’entre toutes

    On ajoutera qu’il ne s’agit pas d’une guerre classique mais d’une guerre d’éradication qui nous a été déclarée par des fondamentalistes musulmans qui sont prêts à l’ultime sacrifice pour nous rayer de la carte ou nous soumettre à leur Dieu. La guerre de religion est la plus sauvage d’entre toutes parce qu’elle déshumanise radicalement l’ennemi – il est transformé en représentant du diable qui ne mérite pas sa place sur terre. Au vingtième siècle, elle s’est maquillée en guerre idéologique mais il s’agissait encore une fois de rayer de la surface de la planète ceux qui ne communiaient pas à la bonne foi ou de les y convertir de force.

    Entre le fanatisme des enragés d’Allah et le laxisme mollasson des sociétés occidentales, il y a un contraste fascinant et on ne peut que souhaiter que ces agressions à répétition contre des villes et des pays au cœur de la civilisation européenne réveillent leur instinct civique pour l’instant endormi. L’histoire est une source infinie de méditation et de méditations. Ce n’est pas un drapeau blanc qui a stoppé Hitler mais la ferme résolution des alliés à lui faire la guerre pour le vaincre et éradiquer le nazisme. Ce ne sont pas de belles âmes dissertant sur la paix universelle qui ont empêché l’armée rouge d’occuper l’Europe occidentale mais l’armée américaine qui y avait installé ses bases.

    De même, devant l’islamisme, qui bénéficie à la fois de l’appui d’États étrangers et de réseaux bien implantés dans les grandes villes européennes, et qui peut manifestement frapper n’importe quelle cible, qu’elle soit aussi banale qu’une terrasse de café ou stratégique qu’un aéroport, il faudra apprendre à faire la guerre de notre temps. Devant l’ennemi, il faudra moins pleurer et larmoyer qu’être révolté et en colère. Et d’abord et avant tout, il faudra nommer l’ennemi. Non pas « la religion ». Non pas « le fanatisme ». Mais l’islamisme, qui s’est aujourd’hui juré de casser le monde occidental. 

    Le Journal de Montréal

    Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie et chargé de cours aux HEC à Montréal. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) et de La dénationalisation tranquille: mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire (Boréal, 2007). Mathieu Bock-Côté est aussi chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada.

  • Afrique du Sud: ” Les étrangers dehors !”, ”trop, c'est trop !”, la fièvre xénophobe sème le chaos à Johannesburg

    (photo : un policier, seul pour protéger un magasin d' "étrangers" des émeutiers...)

    France info a parlé - le mercredi matin 4 septembre, au matin - de ce sujet, traité deux jours avant par RFI.

    On attend avec intérêt (avec gourmandise ?) la réaction de SOS Racisme, de la Ligue des Droits de l'Homme, de Marlène Schiappa, de Bernard-Henry Lévy...

    Car, à Johannesburg, on n'y va pas de main morte : c'est, carrément, "TROP, C'EST TROP ", "LES ETRANGERS DEHORS !" et les "migrants sont attaqués, pourchassés, volés, tués pour certains (deux cents morts depuis un an)...

    De qui occasionner un étouffement collectif à BFM/TV et dans toutes les radios du même style : pourtant, bizarrement, étrangement : rien ! Vous en aviez entendu parler, vous ? Franchement ?

    En Afrique du Sud, des noirs attaquent, pillent et tuent des étrangers, des migrants, et personne ne dit rien ? Mais où sont donc passé les pseudo humanitaires ? Où est l'intelligentsia bobote du politiquement correct immigrationniste ? Où est BHL ?...

    Et surtout : où est Lilian Thuram ? Pardon, saint Thuram, vous savez, celui qui parle de "les blancs"/"les noirs" et qui explique que "les blancs" sont racistes : là, on a "des noirs" qui tuent "des noirs" (trois à peine pour le moment immédiat, mais deux cents tout de même l'an passé...). Comme le dirait Fernand Reynaud, dans un sketch resté célèbre "Allo, Tonton (Thuram) ? Pourquoi tu tousses ?..."

    Avis de recherche : comme on disait autrefois, si vous apprenez quelque chose, appelez le journal, qui transmettra...

    Voici le scripte de l'émission de RFI.

    Edifiant (si l'on peut dire !)...

    En Afrique du Sud, ces dernières heures ont été marquées par la violence contre les ressortissants étrangers (africains). Depuis dimanche 1er septembre, des centaines de magasins ont été vandalisés et on compte trois morts, selon les autorités, à Johannesburg. Ce lundi, la journée de mobilisation de certains Sud-Africains, qui veulent se débarrasser des étrangers, continue. Ce mouvement de contestation a été lancé par les chauffeurs routiers, qui arrêtent depuis plusieurs semaines les conducteurs étrangers et brûlent leurs cargaisons. Le mouvement s'était amplifié la semaine dernière dans le centre de la capitale Pretoria, avec le pillage de nombreux magasins tenus par des migrants.

    C’est un mouvement national lancé par plusieurs corporations. Deux en particulier : les chauffeurs de poids lourds ainsi que les associations de taxis. Comme la semaine dernière à Pretoria, ce sont les chauffeurs de taxis de la ville de Johannesburg qui sont allés brûler des dizaines de magasins appartenant à des étrangers.

    Ces violences ne sont pas récentes. Depuis un an, les conducteurs étrangers, Zimbabwéens, Congolais ou Zambiens sont persécutés sur les routes car accusés de voler le travail des locaux. Deux cents sont morts dans ces violences depuis un an.

    Aujourd’hui, c’est donc l’heure d’en découdre, selon les conducteurs sud-africains, qui ont installé des barrages informels sur de nombreuses routes du pays. Mais en réalité, le gros des violences se concentre jusque-là dans au moins sept quartiers de Johannesburg depuis dimanche soir, où de simples citoyens viennent détruire, piller et brûler.

    Aucun magasin sud-africain n’a été vandalisé

    Dans le sud de Johannesburg, dans le quartier de Turffontein, plus de 500 habitants s’en sont pris à une dizaine de magasins, pillant tout sur leur passage. Il est très clair que les établissements visés appartiennent à des étrangers, des Pakistanais, Somaliens ou Nigérians. Aucun magasin sud-africain n’a été vandalisé. C’est le cas du magasin de Sebastian qui, lui, est Sud-Africain. « Ils ont décidé de cibler les magasins des migrants, des Congolais et des Pakistanais. Ils n’ont pas touché aux Sud-Africains. C’est injuste, car ces gens travaillent dur. Regardez, si vous jetez un œil, c’est vide maintenant », constate-t-il.

    Sivuyile Nama est porte-parole de la communauté, responsable des pillages. Il explique l’action des criminels et le ras-le-bol de ses concitoyens. « L’Afrique du Sud accueille un nombre impressionnant de migrants. Peut-être même le plus de réfugiés dans le monde ! Donc, qui est supposé s’occuper d’eux ? », interroge-t-il avant de pointer du doigt le gouvernement. « Les gens veulent du travail et le gouvernement ne nous donne aucune solution. Et on a besoin d’une sortie de crise très rapidement dans ce pays », ajoute-t-il.

    Est-ce alors une nouvelle vague d’attaques xénophobes ? Du côté des autorités, on calme le jeu. Le ministre de la Police, Bheki Cele, préfère parler de criminalité. « Pour moi, c’est de la simple criminalité. Les gens volent mais pour le moment, il n’y a rien qui me fasse dire qu’il y a un conflit entre Sud-Africains et les étrangers. On parle de criminalité, pas de xénophobie », dit-il.

    Pourtant, le motif des manifestants était clair. Leur communiqué disait : « Trop c’est trop. Les étrangers dehors ! ».

    Les étrangers, des boucs émissaires

    La situation est extrêmement tendue dans le reste de la métropole. Les boutiques du centre-ville sont fermées pour la plupart. Les policiers sont accusés d’inaction par la société civile. En fait, ils sont complètement dépassés par ces rassemblements spontanés. Ils n’ont pas pu empêcher la mort de trois personnes la nuit dernière. Trois personnes brûlées dans leur magasin, juste après avoir vu des dizaines de Sud-Africains casser la vitrine et voler leurs produits. 

    Cette léthargie n’étonne pas Johan Burger, un spécialiste des questions policières, à l’Institut d’études de sécurité de Pretoria : « On affirme parfois que la police est sur place mais qu’elle reste les bras croisés. Dans le passé, la police a déjà répondu à cette accusation, expliquant qu’elle ne peut pas se permettre de prendre en chasse chacun des pilleurs, parce que les policiers risqueraient d’être entraînés dans des quartiers difficiles où ils pourraient être agressés et même tués par des bandes criminelles. Je rappelle que peu de pays au monde sont plus dangereux pour un policier que l'Afrique du Sud. La police est sous pression, mais force est de constater qu'elle n’est pas à la hauteur. Les policiers ne sont pas assez nombreux et n’ont pas assez de moyens pour apporter une riposte, disons professionnelle, à ces incidents. Mais il faut garder à l’esprit que la violence xénophobe n’est qu’un des multiples visages de la violence en Afrique du Sud ».

    Joint par RFI, Sheikh Amir, président d’une association de Somaliens d’Afrique du Sud, considère que les étrangers servent actuellement de boucs émissaires. « J’ai vu des magasins incendiés et pillés. L’intimidation, les insultes et le harcèlement, nous, les migrants, nous avons l’habitude. Mais en ce moment, il s’agit de crimes. Des bandes circulent en minibus. Elles pillent des magasins et les incendient. On ne parle pas d’intimidation. Des policiers sont sur place, mais ils ne font pas grand-chose. Nous sommes même portés à croire que la police et les autorités sont les instigateurs de cette violence. Dès que l’économie commence à ralentir, les migrants servent toujours de boucs émissaires. Le sentiment anti-migrants qui est très fort, est propagé, depuis un mois, de la base au sommet de la classe politique », souligne-t-il.

    Pour un premier bilan, ce lundi 2 septembre, on compte une cinquantaine de magasins vandalisés, plus de soixante arrestations et donc trois morts pour le moment. Un policier confiait à RFI que le bilan devrait rapidement monter compte tenu du chaos qui règne dans les rues de Johannesburg. 

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    D'ordinaire, nous disons "d'accord avec André Bercoff". Aujourd'hui, nous constatons, avec plaisir, qu'il est d'accord avec nous, sur le constat que nous dressions ici-même, hier : oui, le Système est à l'agonie... :
     
    André Bercoff
    "Lundi bilan #electionslegislatives2022 sur @SudRadio
    12/14h : pourquoi plus de la moitié de la #France fuit les urnes ? Pourquoi droite en miettes ? Pourquoi #NupesUrgenceSociale en liesse ? Pourquoi #Renaissance en transes ? Parce que le pseudo système représentatif est à l’agonie."

     

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    1. D'accord avec Jean-Michel Cadenas, sauf que nous allons beaucoup plus loin que lui et que, en plus de "la gauche et l'argent" c'est le Système tout entier, dans sa globalité, que nous remettons en cause, afin de remettre la France en ordre...

    "Jack Lang (PS), 81ans, reconduit pour 3 ans à la tête de l’Institut du monde arabe. Ses revenus sont de 15.800 € de retraite + 10.000 € de salaire net le tout sur 12 mois ce qui fait 309.600 € + voiture + chauffeur + avantages + voyages + restaurants ! La gauche et l’argent...!"
     
    notre commentaire, donc :
     
    SYSTÈME POURRI,
    DES COPAINS ET DES COQUINS !

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    1 BIS. Et, dans la série des "copains et des coquins... on apprend que "Anticor78" vient de saisir la Procureur de la République au sujet de l’attribution d’une subvention du conseil départemental de 1,13 million d’€ au profit du projet de maison médicale à Mantes La Jolie, porté par la société d’un proche de Macron...

    https://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-pierre-bedier-vise-par-un-signalement-anticor-apres-le-versement-dune-subvention-10-06-2022-OXIQS7PBANCFHGFZOCOJQ366TI.php

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    1 TER. Une plainte pénale au PNF vise le parc éolien en mer du Calvados : le comité des pêches du Calvados a porté plainte auprès du Parquet national financier (PNF) pour des soupçons de "favoritisme" et de "détournement de fonds publics" dans l'attribution d'un parc éolien en mer au large du département, a-t-on appris vendredi... :

    https://batinfo.com/actualite/une-plainte-penale-au-pnf-vise-le-parc-eolien-en-mer-du-calvados_21324

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    4. La chronique ordinaire et (hélas) quotidienne de la France orange mécanique à cause du Système et de son importation de délinquants nous emmène aujourd'hui à Trappes :

    https://www.valeursactuelles.com/regions/ile-de-france/yvelines/no_agglomeration/faits-divers/a-trappes-des-policiers-attaques-a-la-batte-de-baseball-et-au-fusil-de-chasse

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    5. Notre-Dame de Chrétienté communique :

     Notre-Dame de Chrétienté
     "Tous présents à la messe d'action de grâce pour ce 40e pèlerinage de #Chartres ! Rendez-vous le jeudi 16 juin à 19h30 à Sainte Odile ! #NDC2022 - fb.me/e/4RTQEMyny"

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    6.                                              SACCAGE PARIS

    Paris bobo, Par'Hidalgo, Paris pas beau !

     Après avoir bétonné la ceinture verte, la Ville entreprend d’aménager des places aux portes de Paris. Sauf que, pour financer ces aménagements, elle construit des bureaux inutiles et abat les arbres. Une logique mortifère. Dans Le Figaro, la tribune de Dominique Dupré-Henry et Tangui Le Dantec...

    1/3 Après avoir bétonné la ceinture verte, la Ville entreprend d’aménager des places aux portes de Paris... 

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    2/3 ABATTAGE D’ARBRES Porte de Montreuil, 76 arbres viennent d’être abattus sur 195 menacés pour un projet immobilier de 60.000 m2, essentiellement des bureaux. La perte de ces arbres ne peut évidemment pas être compensée par une végétalisation rase sur dalle. Extrait :

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    3/3  RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE Des conséquences catastrophiques en terme de création d’îlots de chaleur, de bilan carbone, de concentration de la pollution et de massacre de la biodiversité. Extrait :

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    (l'article est réservé aux abonnés, mais en voici l'entame, qui donne l'alerte...)

    "Les travaux en cours ou programmés à plusieurs portes de Paris conduisent à une hécatombe d’arbres en bonne santé. Ils ont pour vrai motif, sous un vernis d’écologie qui ne résiste pas à l’examen, un projet de rentabilisation foncière, s’alarment les architectes Dominique Dupré-Henry et Tangui Le Dantec.

    Il existait tout autour de Paris, une ceinture verte, héritée de l’ancienne enceinte militaire de Thiers (1840), qui a peu à peu accueilli, au fur et à mesure de son urbanisation, beaucoup de logements sociaux entre les années 1920 et 1960, des équipements publics et la construction du boulevard périphérique dans les années 1960.

    C’est sur cette ceinture verte, entre les boulevards des Maréchaux et le boulevard périphérique, qu’ont été implantés beaucoup d’équipements sportifs et la quasi-totalité des stades parisiens. Conçue comme un anneau central de la trame verte (encore très visible en 2013 sur les cartes de l’Atelier parisien d’urbanisme au cœur de l’agglomération parisienne), elle accueille aussi beaucoup de parcs, comme celui de la Cité internationale universitaire (1925) dans le 14ème, le parc Suzanne-Lenglen (1977) dans le 15ème ou le parc de la Butte-du-Chapeau-Rouge (1939) et de la Villette (1987) dans le 19ème…"

     

    7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par une bonne nouvelle : un nouveau tableau de Fragonard a pris place au centre de l'une des plus belles cimaises du Musée du Louvre ! Resté en possession de la duchesse douairière d'Harcourt jusqu'à la fin de l'année dernière, le portrait du duc de Beuvron avait été offert sous réserve d'usufruit en 1970...

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