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  • Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».

    Source : https://fr.sputniknews.com/

    Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»

    Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.

    Ignorance des maires

    D’abord, il s’interroge sur le fait que le maire socialiste de Dijon, François Rebsamen, n’ait rien vu venir, avant de proposer sa propre explication:

    «Tout simplement parce qu’il n’a pas voulu voir venir. Il n’est pas le seul, tous les maires des grandes villes, tous les ministres, tous les politiques depuis 30 ans refusent de voir ce qui se passe en France dans d’innombrables banlieues, qu’on appelle maintenant "les quartiers populaires" depuis que les Français les ont quittés».

    «Enclaves étrangères» sur le territoire français

    Les quartiers populaires, selon lui, «sont des enclaves étrangères qui sont régies par les caïds de la drogue, où le trafic de drogue innerve toute l’économie locale et permet à des tas de gens de vivre».

    Et les maires «sous-traitent l’ordre aux caïds de la drogue et sous-traitent l’organisation, le vivre ensemble, aux imams».

    «Au 19e siècle, on disait: "La France monarchie, c’est l’alliance du sabre et du goupillon". Dans les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran!», a-t-il conclu.

    Tensions à Dijon

    Les violences à Dijon trouvent leur origine dans l’agression d’un jeune Tchétchène de 19 ans, jeudi 11 juin, à proximité d’un bar à chicha. Ses agresseurs lui auraient notamment mis un canon d’arme à feu dans la bouche, proférant des menaces contre sa communauté.

  • Vendredi Saint ou Black Friday !, par Guy Adain.

    Monsieur le Maire de Bordeaux, tendance « verre à thé », ne veut pas du sapin de Noël dans sa ville ; sans doute fermera t-il aussi « les crèches », pour cause de Covid !

    Il faudrait aussi interdire les rassemblements de bergers, de pasteurs, de moutons et autres angelots voletant autour ; sans compter l’âne, et le bovidé soufflant comme un boeuf…sans masque.

    Egalement, les concentrations de chrétiens fêtards doivent être annulées ; la République est une nation laïque, et il est indécent et stigmatisant pour autrui, (tout ce qui n’est pas nous) de célébrer avec ostentation des rites désuets de l’obscurantisme chrétien.

    Au lieu de ces manifestations d’un autre temps, qui ne servent qu’à perpétuer des croyances erronées et économiquement préjudiciables, remisons ces festivités inutiles autant que nuisibles, au rayon des accessoires et des lampes à huile.

    Repentons-nous d’avoir entretenu cette mémoire chrétienne, et fermons les portes de ses églises…

    Le Père Noël est un laïc, et il convient de le garder dans ses fonctions de grand faciliteur économique.

    Laissons tomber les temps préhistoriques et les « Vendredi Saint », misons tout sur les « Black Friday », et que nos cathédrales brûlent de devenir des grandes surfaces !

    Achetons, consommons, remplaçons, jetons !

    Plutôt que le divin boeuf de la Sainte Famille, révérons, le Veau d’Or, plus jeune et plus actuel.

    Noël doit être une activité économique destinée à relancer notre croissance. Nos politiques nous le disent assez : la seule chose qui compte : c’est la relance de la croissance…Croissez et multipliez…

    Pratiquer Noël, est un devoir civique, il faut acheter sans compter, tout est à vendre dans notre société vénale, il faut habituer les enfants à surconsommer et ne pas hésiter à casser pour renouveler !

    Et si, contaminés par cette frénésie de changement nous aussi, nous voulions tout changer…

    Mieux qu’un arbre de Noël, nous érigions une immense croix, avec le bois du grand sapin, à ses pieds, une superbe et Sainte Crèche, et des processions, des retraites aux flambeaux, des messes de minuit, et des Minuits Chrétiens…

    Noël, Noël !

    On peut rêver, les maires bûcherons le font sans vergogne, à nous de relever le défi.

    En route pour un Noël Royal !

    Les Rois (Mages) ont quitté le domaine royal de Dreux et le nôtre avec, sous la pression d’un nouvel Hérode…

    L’étoile le guidera sur la voie royale qui est aussi la voie divine, et notre Sainte Famille Royale arrivera à bon port.

    L’âme de Saint Louis y veillera !

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  • Sainte Sophie redevient mosquée : avec Erdogan, c'est ”marche arrière, toute !”

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    Certes, la plupart du temps, la radicalisation est en réalité un signe de faiblesse : Erdogan a vieilli, il n'est plus le fringant meneur d'autrefois, par la loi de la simple nature; il a aussi perdu les élections dans les deux principales villes du pays (Constantinople et Ankara); la crise économique lui a fait perdre la confiance d'une bonne part de la population - qui lui était acquise - alors qu'elle a renforcé l'opposition de celle qui lui reste hostile, malgré la féroce dictature de fait et la répression à outrance qu'il mène depuis des années contre le peuple...

    Aussi, tel l'Hitler de l'avant-guerre - toutes proportions gardées... - multiplie-t-il les provocations, à l'international comme à l'intérieur de la Turquie :

    à l'international ? Il établit, au mépris du droit le plus élémentaire, une sorte de continuité maritime entre Turquie et Libye, où il intervient militairement, et n'hésite pas à narguer dangereusement la Grèce mais aussi la France, toutes deux membres de l'Otan, comme la Turquie; il occupe - illégalement, cela va sans dire, une partie de la Syrie - état souverain - et une partie de Chypre - autre Etat souverain, membre de l'Union Européenne : personne ne dit rien, tout le monde laisse faire, comme Hitler avant guerre - encore une fois, toutes proportions gardées...

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    à l'intérieur ? Après une répression d'une envergure telle que seule la Chine communiste, aujourd'hui, peut en organiser une, le voilà qui joue son va-tout et tente un coup de poker dangereux, en ré-islamisant la basilique de Sainte Sophie : car c'est bien de cela qu'il s'agit. Erdogan se sait vieilli et usé, contesté, rejeté, haï de plus en plus. Il n'a d'autre salut que dans une fuite en avant, un islamisme de plus en plus agressif, conquérant, persécuteur, et... advienne que pourra ! Il n'a rien d'autre à proposer pour préparer l'avenir que... le retour aux règles du siècle de Mahomet !

    Tel est le sens du déplacement de balancier qu'il représente par rapport à l'Ataturk d'il y a cent ans. Avant peut-être que ses excès ne finissent par produire, justement, un nouveau retour de balancier...

    lafautearousseau

  • Gard : une croix vandalisée à Pujaut par Daniel Hamiche.

     Source : https://www.christianophobie.fr/

    Une croix et son socle, faisant au cimetière communal de Pujaut (Gard), érigés en souvenir du jubilé de 1904, ont été vandalisés.

    C’est un monument installé là depuis de nombreuses années et qui a traversé les générations. L’incompréhension est grande pour la maire de Pujaut, Sandrine Soulier : « Je suis désabusée face à ce genre d’incivilités et plus que ça. C’est du ressort du criminel. Il y a une telle impunité derrière. » L’élue poursuit : « J’aimerais que les auteurs viennent m’expliquer eux-mêmes le sens de cette dégradation. Parce que ça ne leur apporte rien, ni au village… » Est-ce la symbolique religieuse de la croix qui dérangeait ? Ou simplement une manière de tromper l’ennui ? La maire s’interroge. Une plainte a été déposée à la gendarmerie ce mardi. Les services municipaux ont ramassé les débris. L’élue compte bien le faire rebâtir dès que possible : « Il est hors de question de voir ce genre de patrimoine disparaître. Demain, on le refera à l’identique, ça coûtera ce que ça coûtera au contribuable. C’est vraiment bête parce qu’en plus ça retombe sur la société. » De sa mémoire d’élue, jamais un acte comme celui-ci n’avait été constaté dans la commune. « C’est une première et c’est là où ça devient inquiétant. Ce qui se passe dans les grandes villes, petit à petit, ça arrive dans les villages où d’habitude on dit : “Chez nous, il ne se passe rien”. Ça devient banal », déplore-t-elle.

    Source : Objectif Gard, 4 août 2020 (merci J. C. R. pour ce signalement)

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    Daniel Hamiche

    Daniel Hamiche est journaliste et président de l’association Amitié catholique France/États-Unis. Il a lancé, en 2007, le blogue Americatho (aujourd’hui membre du portail de réinformation Riposte Catholique). Il est administrateur et rédacteur du blogue L’Observatoire de la Christianophobie.

  • Déconfinement: «Respirer, enfin!», par Vincent Trémolet de Villers.

    Dès que la porte s’entrouvre, un ministre se charge de la refermer. Ultime prudence. Notre courte expérience nous oblige à en user, mais le pic est passé, nous dit-on, les esprits l’ont compris. Rien n’est encore gagné, mais la France se hâte avec lenteur vers un nouveau déconfinement. Respirer, enfin!

    Ce maudit virus n’a pas seulement semé la souffrance et la mort, il a éteint nos villes, désespéré nos campagnes, ruiné nos commerces, nos restaurants, nos pêcheurs, masqué nos enfants, privé nos diplômés de travail, nos étudiants d’amphi, isolé un peu plus nos anciens, découragé un peu plus les chômeurs, dégradé nos libertés, dévasté la sociabilité. « Urgence sanitaire », « quoi qu’il en coûte », l’État n’a pas ménagé sa peine, mais des blessures restent béantes. La division bureaucratique de l’existence entre les biens essentiels et ceux qui ne le sont pas a été une profonde humiliation. Non essentiels, les commerçants, les bistrots, la gastronomie… Non essentiels, les librairies, les théâtres, les chefs-d’œuvre des musées, les cinémas, les ballets, les concerts, les enceintes sportives… Non essentiels, les offices religieux, les promenades en forêt, les chemins de montagne… La civilisation ? Superflue. Aux ruines économiques s’ajoutent malheureusement des effondrements intérieurs. Notre société devient neurasthénique ; lui rendre l’amitié du monde est une urgence absolue. Il faut ouvrir, donc, progressivement, prudemment, mais il faut ouvrir.

    Pour ce faire, essayons d’éviter les arrêtés préfectoraux sur le nombre de santons dans la crèche, les recommandations sur le masque autour de la dinde. Ce qu’attendent les Français, c’est une parole claire. La responsabilité personnelle ne se décrète pas. Nos concitoyens sont des adultes, ils ont des parents, des enfants, ils savent l’agressivité du virus. Si le triptyque « tester, tracer, isoler » (inopérant depuis six mois) les aide dans leurs efforts, ils seront dans leur grande majorité exemplaires. Espérons surtout que l’arrivée providentielle du vaccin n’ajoutera pas un nouvel épisode à la guignolade politico-administrative des masques, des tests, des lits de réanimation. Échapperons-nous, cette fois, au mal français ?

    Source : https://www.lefigaro.fr/vox

  • La fierté d’être Français, par Gérard Leclerc.

    © Pascal Deloche / Godong 

    Le gouvernement est à la peine pour trouver un équilibre entre mesures répressives et mesures positives afin de lutter contre les tendances séparatistes. Il ne suffit pas d’envisager un volet social dans la logique de la politique de la ville. Car la question est aussi civilisationnelle.

    gerard leclerc.jpgLa mise au point de la loi contre le séparatisme s’est avérée délicate. Il s’agit de prendre les mesures les plus efficaces contre l’extrémisme islamiste et sa logique de fait séparatiste, mais aussi de ne pas, comme on dit, « hystériser le débat ». Hystériser le débat se serait réduire toute une stratégie politique à des mesures autoritaires et répressives, alors qu’il y a a tout un volet social qui s’impose pour ne pas repousser toute une population hors de la cité. C’est ainsi qu’au XIXe siècle on définissait la condition prolétarienne. Aujourd’hui, le prolétariat a été remplacé par les migrants. Le problème s’est donc compliqué, aggravé, de façon que la puissance publique peine à le résoudre et même à l’analyser.

    Le volet social nécessaire, je l’évoquais lundi dernier, en parlant de la nécessité d’en finir avec les ghettos urbains où se structure le séparatisme. Cela réclame déjà des moyens considérables en termes financiers. Mais il n’est pas sûr qu’à disperser l’habitat, comme me le fait remarquer un correspondant, l’extrémisme se dissoudrait. Ne se répandrait-il pas sous d’autres modes ? Il y a bel et bien un problème de fond qu’Emmanuel Macron a tenté de définir dans un entretien au média Brut, à destination de la jeunesse. Il faut que la jeunesse immigrée se sente reconnue avec sa part d’identité légitime.

    Mais cette identité n’est pas évidente à reconnaître. Est-elle de nature religieuse ? Ne risque-t-elle pas de se ramener à des marqueurs qui concernent la couleur de peau. Sans compter qu’une idéologie dite indigéniste ou post-coloniale se répand pour entraîner à la révolte contre une nation dénoncée toujours comme oppressive. Est-il impossible d’inviter toute une jeunesse à participer à la fierté d’être française ? Oui, la tâche est redoutable avec un séparatisme qui est d’abord de nature culturelle et idéologique.

    Source : https://www.france-catholique.fr/

  • Tristes D’Âmes, Tristes Sires, par Guy Adain.

    Les Âmes de la Chapelle Royale de Dreux errent comme les « âmes en peine » qu’elles sont !

    Abandonnées, esseulées, privées de leur protectrice : « la Famille Royale de France. »

    Torturer moralement des « âmes en peine », a t’on vu pire ?

    Mais qui s’en soucie ?

    Pour les plus proches de nous, et pourtant des « Vieilles âmes », les comtes de Paris, « Grand-Père et Père » hurlent en silence de l’infamie qu’on leur impose !

    Et si encore la mauvaise foi était l’oeuvre de nos ennemis héréditaires ?

    Mais, comme toujours, le coup bas vient des nôtres et ce n’est que pour « trente deniers » que l’on a vendu âmes et conscience !

    D’autant, qu’à quoi rime de chasser la Famille Royale de France de son Domaine de Dreux, quand « le Roi est partout chez lui en France ! » Ici à Dreux, ou partout « Ailleurs en France ! »

    En sacralisant par son départ le 21 janvier 2019, Feu Henri d’Orléans, comte de Paris, tire de son bienheureux sommeil l’âme du Roi martyr, Louis le Seizième et toute la cohorte des Rois de France, tristes de voir les Gens de France, de la Fondation Saint-Louis, encore plein de rancoeur…

    Les prières et les cris des « Âmes en peine » sont entendues et comprises, elles reviennent en « Écho…Républicain ».

    Mille mercis à Madame Valérie Beaudoin de les relayer !

    Quant à nous, Royalistes de coeur, nous apportons tout notre soutien sans faille à notre Prince Jean de France et à notre Famille Royale.

    Il faut que les âmes en peine de la Chapelle Royale de Dreux retrouvent leur quiétude et leur sérénité, il faut garder à Dreux, la présence du Prince Jean et de sa famille, c’est un pan d’Histoire de France vivant, et un atout majeur pour notre bonne ville de Dreux.

     

    Guy Adain

    10/02/2021

  • Action française : les royalistes gigotent aussi à Perpignan.

    En 2021, on en est encore à "Vive le roi". 

    Haine, populisme et extrême-droite parfument le caniveau de la politique ces dernières années. Les royalistes du mouvement Action Française, le nez au vent, semblent suivre ce fumet dont ils sont friands.

    A Toulouse, le 25 mars dernier, le groupuscule s’est introduit de force dans l’Hôtel de Région avec une banderole dénonçant « l’islamo-gauchisme », ce nouveau terme à la mode pour cracher sur toute forme d’antiracisme. La présidente de Région Carole Delga annonce qu’elle portera plainte. Mais des clowns s’agitent aussi à Perpignan. On a pu voir ces derniers jours une bataille d’affichages dans notre cité catalane avec des « Vive le roi » qui ont été ensuite recouverts de blanc pour y inscrire « DéROItisez votre ville », ce que les amoureux du monarque n’ont guère apprécié. Qui sont ces militants d’Action Française, ces créatures fragiles semble-t-il dévorées par un besoin d’appartenance et ne supportant pas de n’être qu’eux-mêmes ? La poignée de Perpignan tient une page Facebook, où elle invite le prétendant à participer à ses « cercles », et relaie sans surprise des messages pro catholiques, islamophobes ou anti immigration entre deux appels à la restauration d’une monarchie. Le mouvement, historiquement pétainiste, antisémite et antidémocratique (s’étant aussi illustré sur des positions anti-avortement), propose également de rejoindre un « camp de formation royaliste ». Ils auraient participé ce début d’année à une messe royaliste à Perpignan en l’honneur de Louis XVI (Louis croix vé bâton, pour ceux d’entre eux qui nous lisent), organisée par l’association « Tradition Roussillonnaise », où auraient également navigué des sympathisants RN et autres représentants de la Manif pour tous. Que d’amour.

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    L’Action française avait une chouette revue.

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    La section Action française de Perpignan utilise ce blason pour sa page Facebook. Les grands esprits se rencontrent !

    Source : https://www.lasemaineduroussillon.com/

  • Milli Görüs: toujours plus grand, toujours plus fort, par Benoît Rayski.

    Le maire d’Albertville (Savoie) Frédéric Burnier-Framboret a été condamné le 7 avril 2021 par le tribunal administratif de Grenoble à accorder un permis de construire d’une école privée de l’association Confédération islamique Milli Görüs (CIMG) / Image d'archive 2020 © Auteurs : ALLILI MOURAD/SIPA Numéro de reportage : 00995512_000003

    La France apparaît désarmée face à l'ingérence politico-religieuse turque

    Après la gigantesque mosquée de Strasbourg, la plus gigantesque encore école coranique d’Albertville…

    5.jpgMais cette fois-ci, sans les subventions de la mairie. Pour sa mosquée strasbourgeoise, l’association turco-islamiste Milli Görüs avait reçu une subvention de 2,5 millions d’euros de la mairie écologiste de la ville. Le préfet, un peu choqué, a saisi la justice administrative pour s’opposer à cette singulière générosité. On attend de voir.

    Cette mosquée « fierté des musulmans » selon Milli Görüs est tout simplement un instrument de conquête. Et la conquête se poursuit avec d’autres moyens. Plus efficaces sans doute, car il s’agit d’une école !

    À Albertville, Milli Görüs a vu grand. Un établissement scolaire de 4000 m², seize classes, quatre cents élèves. L’école sera hors contrat et coranique. Elle ne sera donc pas tenue de respecter les programmes de l’Éducation nationale. Des centaines de petits musulmans apprendront donc le Coran et les pensées d’Erdogan. Autant d’enfants qui seront un peu plus étrangers au pays qui les héberge.

    Le maire d’Albertville(1) a tenté de s’opposer à cette honte. Mal lui en a pris. La justice administrative locale a retoqué son recours. En effet, il n’a voix qu’au chapitre de l’urbanisme. Et le projet de l’école coranique respecte scrupuleusement les règles urbanistiques…

    On n’est pas tenu de penser du bien des juges. Mais certains objectent qu’ils ne font qu’appliquer les lois. Quand les lois sont mauvaises, on les change, non ?

     
    est journaliste et essayiste
     
  • Mali : des soldats français et des civils blessés dans une attaque à la voiture piégée.

    Des soldats de l'opération Barkhane au Sahel, en 2019. ADAPHNE BENOIT / AFP

    L'explosion aurait blessé trois soldats, selon un responsable militaire malien et un élu local. Un chiffre démenti par l'état-major français, qui confirme l'attaque.

    Une explosion a atteint lundi 21 juin un véhicule de l'opération Barkhane dans le quartier de Kaigourou à Gossi, dans le centre du Mali, causant trois blessés parmi les soldats de la force antidjihadiste française au Sahel, ont indiqué des responsables locaux. Le porte-parole de l'état-major français confirme au Figaro qu'une attaque a eu lieu, mais dément ce chiffre de trois blessés annoncé à la mi-journée.

    «En début de matinée, un véhicule suicide a attaqué un véhicule de la force Barkhane alors en mission de reconnaissance pour sécuriser les alentours de la base opérationnelle avancée de Gossi», détaillait un communiqué de l'état-major. «Des militaires français et des civils maliens ont été blessés par l'explosion du véhicule suicide. Ils sont en cours d'évacuation vers l'hôpital militaire de Gao». Un responsable militaire malien et un élu local s'exprimant sous le couvert de l'anonymat ont fait état de trois soldats français blessés, évacués par hélicoptère vers la base de Barkhane à Gao. D'après l'état-major français, «des unités d'alerte dont des hélicoptères Tigre et des Mirage 2000 interviennent pour appuyer les troupes au sol».

     

     

    Samedi, déjà, l'armée tchèque intégrée au sein de la force Takuba avait heurté un engin explosif improvisé aux alentours de Ménaka. L'attaque de ce lundi intervient après le premier discours du nouveau chef d'al-Qaida au Maghreb Islamique (AQMI), Abou Obeida Youssef al-Annabi, appelant à frapper les armées françaises en visant notamment les villes.

    Pour rappel, Emmanuel Macron a annoncé la fin de l'opération Barkhane au profit d'un dispositif recentré sur la lutte antiterroriste et l'accompagnement des forces armées de la région. Des bases du nord du Mali pourraient être évacuées dès la fin de l'année.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

  • Jardins d’Éole: face à un millier de toxicomanes, les habitants du nord de Paris abandonnés, Pierre Liscia.

    Évacuation du jardin d’Eole, 30 juin 2021 © LIONEL URMAN/SIPA Numéro de reportage : 01026143_000021

    Une tribune de Pierre Liscia

    En évacuant les toxicomanes des Jardins d’Eole (18e arrondissement de Paris) au début de l’été, Anne Hidalgo a voulu invisibiliser un fiasco trop visible de sa politique. Mais les riverains demeurent en proie à une toxicomanie de rue inédite et éparse. Pierre Liscia fait le point.

    6.jpgÉole. Quel joli nom que celui d’Éole ! Un mot doux à l’oreille, qui fleure bon le grand air et qui évoque la légèreté de la feuille qui se laisse porter par le vent, papillonnante et tourbillonnante. Éole, c’est une promesse de sérénité, de quiétude et de liberté. Les jardins d’Éole, c’était ça : la promesse d’un grand parc pour les habitants du nord-est parisien qui aurait redonné une bouffée d’oxygène à un quartier enclavé, surdensifié et bétonnisé. Pourtant, ces derniers mois, Éole est devenu le symbole d’un cauchemar urbain au quotidien. Ce qu’Éole avait de doux s’est mue en une réalité dure et brutale. La bouffée d’oxygène est devenue suffocante. Quant à la promesse de liberté, elle s’est éteinte, asphyxiée sous une chape de crack.

    Ceux qui se navrent aujourd’hui de voir les migrants plonger dans la toxicomanie sont les mêmes qui défendaient l’ouverture d’un centre d’accueil pour migrants au pied de la colline du crack…

    Nul besoin de rappeler l’odieuse réalité de notre quotidien tant l’actualité des derniers mois a rapporté chaque jour son lot de témoignages épouvantables, d’agressions insupportables, de viols et un meurtre ignoble qui a suscité un vif émoi dans tout le quartier. Gare du Nord, porte de la Chapelle, porte d’Aubervilliers, Rosa Parks, Stalingrad, Éole… À chaque fois, les mêmes dénominateurs communs : la toxicomanie, le crack, l’insécurité. Derrière ces mots, des vies brisées par la drogue, des riverains abandonnés, des enfants terrorisés. Et des élus locaux aux abonnés absents, quand ils ne sont pas tout simplement méprisants.

    L’indifférence d’Anne Hidalgo

    Comment en est-on arrivé là ? Comment a-t-on pu laisser sombrer tant de quartiers de la Ville lumière dans les profondeurs de l’indignité, à la limite de l’inhumanité ? Comment la Maire de Paris – candidate putative à l’élection présidentielle – peut-elle être si indifférente à la détresse de ses propres administrés ? Comment la capitale de la cinquième puissance mondiale y a-t-elle perdu sa splendeur, son panache – et disons-le clairement – son âme, alors que cette triple catastrophe humanitaire, sanitaire et sécuritaire était largement prévisible, et donc évitable ?

    Non seulement les pouvoirs publics ne se sont jamais donnés les moyens d’enrayer cette spirale mortifère du crack et de la toxicomanie de rue, mais pire, ils l’ont alimenté par leur inaction, leur attentisme, leurs improvisations permanentes et leur cynisme, avec au premier chef, la Ville de Paris.

    Gesticulations politiques

    Depuis trois ans, la crise du crack est la toile de fond d’une bataille politique et idéologique entre la Maire de Paris et le gouvernement, dont les figurants – ou plutôt devrais-je dire les premières victimes – sont les habitants oubliés du nord-est parisien. Pour eux, l’enjeu n’a jamais été d’apporter des solutions rapides et efficaces contre le crack ni de répondre aux attentes légitimes des riverains mais bien de s’engager dans des querelles aussi stériles qu’affligeantes : on s’emploie donc à se rejeter la responsabilité de ses propres échecs ; on se surpasse dans l’art de la joute, à la recherche de la formule qui fera mouche ; on en profite pour tenter de rassembler la gauche et l’extrême-gauche défenseuse des salles de shoot ou au contraire pour bomber le torse et rassurer son aile droite à grands renforts de gesticulations médiatiques et de discours martiaux qui ne seront jamais suivis d’effets.

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    Pierre Liscia est conseiller régional d’Ile-de-France, porte-parole de “Libres !” et riverain du Jardin d’Eole

    Et nous dans tout ça ? Rien. Ou plutôt si : pire ! Depuis les démantèlements successifs de la « colline du crack » à la porte de la Chapelle, les toxicomanes n’ont jamais cessés d’être déplacés de quartiers en quartiers, sans jamais qu’il ne leur soit proposé une solution durable et pérenne pour les sortir de la rue et les insérer dans un parcours de sevrage et de réinsertion sociale – une solution que nous proposons avec force depuis 2018 avec Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France – pourtant la seule issue pour enfin sortir de l’ornière. Au lieu de ça, l’État évacue, encore et toujours, sachant pertinemment que sans structure de désintoxication avec prises en charge sanitaire et psychiatrique, les consommateurs n’ont aucune autre perspective que de se réinstaller quelques centaines de mètres plus loin, à la merci des dealers, des réseaux de prostitution et de traite d’êtres humains.

    Le cocktail imbuvable de la Mairie

    Cette crise du crack, c’est aussi une succession d’erreurs sciemment commises par la Maire de Paris, par excès d’orgueil et égo démesuré. La première est d’avoir précipité l’ouverture d’un centre d’accueil pour migrants à la porte de la Chapelle sans aucune concertation avec le gouvernement, et cela dans un quartier déjà très largement sinistré et surtout à quelques mètres à peine de la colline du crack qui préexistait déjà. Comment ne pas voir que la surconcentration de populations migrantes en situation d’extrême précarité sociale et de grande fragilité physique et psychique en proximité immédiate des toxicomanes et de leurs dealers était un cocktail dangereux qui allait dramatiquement aggraver la situation ? Alors qu’ils n’étaient que quelques dizaines de toxicomanes à la porte de la Chapelle en 2017, ils sont aujourd’hui plus d’un millier en errance dans le nord-est de Paris. Ceux qui se navrent aujourd’hui de voir les migrants plonger dans la toxicomanie sont les mêmes qui défendaient l’ouverture d’un centre d’accueil pour migrants au pied de la colline du crack.

    La seconde erreur est de s’être entêtée à vouloir appréhender la question de la toxicomanie sous le prisme de la victimisation des consommateurs qui nécessiteraient d’être accompagnés dans leur addition plutôt que de les considérer pour ce qu’ils sont, à savoir des malades qui sont un danger pour eux-mêmes et pour autrui et qui nécessitent par conséquent d’être soignés. Aussi Anne Hidalgo s’est-elle longtemps gargarisé de son « plan crack » de 10 millions d’euros qui n’a servi qu’à créer des points de fixation de la consommation et du deal dans le nord-est et à accompagner dans leur dépendance les « usagers de drogues » comme il est désormais convenu de désigner les toxicomanes selon le jargon adopté par l’Hôtel de Ville, comme si la consommation de crack avait rang de service public. « Le plan crack est un fiasco ? Qu’à cela ne tienne ! Ouvrons donc des salles de shoot ! » s’exclame en chœur l’intelligentsia socialiste parisienne, faisant fi de l’expérience de la salle déjà ouverte depuis 2016 près de la Gare du Nord : explosion de la toxicomanie de rue dans le quartier au grand désespoir des riverains qui vivent au milieu du deal, des injections, des dégradations, des rixes, des cris et des agressions. L’ouverture de cette salle n’a pas non plus empêché́ la recrudescence du crack dans le nord-est de Paris, et pour cause, elle est réservée à la consommation de drogues par voie intraveineuse. Réclamer des salles d’injection pour lutter contre le crack qui s’administre par inhalation est une ineptie révélatrice de l’inquiétante méconnaissance de la Ville des enjeux du crack.

    Le coup de balai électoraliste d’Hidalgo

    Enfin, l’ultime erreur – et non des moindres ! – est d’avoir pris la décision unilatérale d’expulser les toxicomanes des jardins d’Éole en juin dernier, sans s’en être concertée avec les services de l’État et malgré l’inquiétante mise en garde du Préfet quant à une dissémination des consommateurs dans le quartier qui rendrait la situation pour les forces de sécurité comme pour les riverains encore plus compliquée qu’elle ne l’était précédemment. Qu’importe, il fallait à tout prix éviter que la crise à Éole ne vienne perturber le lancement du mouvement « Idées en Commun » début juillet, premier étage de la fusée destinée à propulser Anne Hidalgo dans la course à l’Élysée.

    Aujourd’hui, les toxicomanes poursuivent leur errance le long des grilles des jardins d’Éole sous les yeux des habitants découragés, écœurés et méprisés. Les enfants reprennent le chemin de l’école, la boule au ventre. Le quartier s’enlise, doucement mais inéluctablement. Qui s’en soucie ? Il y a fort à parier qu’Éole reste encore un bout de temps le doux mot d’une dure réalité.

     

    Conseiller régional d'Ile-de-France, porte-parole de "Libres !"
     
  • En Irak, François a réalisé le rêve de Jean Paul II, par Denis Lensel.

    Que ce soit par ses paroles, les lieux visités ou ses actes, le pape François a semé l’espérance en Irak lors de son déplacement début mars.

    Par son voyage en Irak, ces jours-ci, le pape François a semé un message d’espérance et de paix au cœur d’une terre dévastée par la guerre.

    3.jpgIl a réalisé le rêve de Jean Paul II en venant dans ce pays affronté à des défis fondamentaux : une tentative d’éradication des plus anciennes communautés de l’histoire du christianisme, et le déchainement d’un terrorisme embrigadé se réclamant de l’Islam.

    Des graines de respect, d’unité et d’espérance

    S’exprimant à l’intérieur d’une église détruite dans une ville en ruines, puis devant une foule de fidèles pleins d’une joyeuse et douce reconnaissance, le Saint-Père a pu dire en toute clarté qu’ »hostilité, extrémisme et violence sont des trahisons de la religion ». Comme on a pu le constater, il a semé des graines de respect, d’unité et d’espérance, en faveur d’un peuple bafoué depuis des décennies par les puissants et par les violents de ce monde.

    François a pu effectuer cette visite au pays d’Abraham sous le signe de la paix fraternelle sans qu’aucune violence ne s’y déchaîne. Il a défini ce pèlerinage sur les pas de l’ancêtre commun des croyants comme « un devoir envers une terre martyrisée depuis tant d’années ». Quelques années auparavant, il était allé en Égypte, autre pays en proie à des persécutions violentes : comme en Irak, il y avait commencé un dialogue avec des autorités religieuses locales issues de la tradition musulmane, en signe de paix, pour s’opposer à la haine et à la guerre.

    Avant lui, Jean Paul II et Benoît XVI étaient venus apporter un message de paix comparable au Liban, cet autre pays souche de l’aventure chrétienne sans cesse menacée. Cet autre pays martyr, dans notre monde en flammes, en quête d’un avenir humain.

    Revivez en images le voyage du pape François en Irak :

    https://fr.aleteia.org/slideshow/en-images-le-voyage-du-pape-francois-en-irak/?from_post=652192

    Source : https://fr.aleteia.org/

  • Le Maître de l’histoire, par Jeanne Estérelle.

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    Les chré­tiens subissent, en France, une double per­sé­cu­tion des habi­tants de la terre1. Comme il était pré­vi­sible2, l’obstination des infi­dèles athées à reven­di­quer le droit au blas­phème, au pre­mier rang des­quels le Pré­sident de la Répu­blique, a déchaî­né l’ire des infi­dèles musulmans.

    Un che­val, de feu3, dont le cava­lier a reçu un grand glaive riva­lise, aujourd’hui, avec un che­val ver­dâtre4qui répand l’épidémie, sui­vi de l’enfer mon­dia­liste. La relance du confi­ne­ment, qui sus­pend les offices reli­gieux, a ain­si coïn­ci­dé, à Nice, avec le mar­tyr de trois catholiques.

    La ville pla­cée, dès sa fon­da­tion par les grecs, sous le signe de la vic­toire, Niké, était des­ti­née à l’irruption d’un che­val blanc5.

    et celui qui est assis sur lui a un arc,
    et lui fut don­née une cou­ronne
    et il sor­tit en vain­queur et pour vaincre.

    Rele­vons la tête devant ce Cava­lier ! La Parole de Dieu triomphe dans l’histoire !

    1 Apo­ca­lypse, 6,10
    2 Mort déca­pi­té, Jeanne Esté­relle
    3 Apo­ca­lypse, 6, 4
    4 Apo­ca­lypse, 6, 8
    5 Apo­ca­lypse, 6, 2

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • L’assassin de Nice, un pur produit du laxisme migratoire: les immigrationnistes s’en lavent les mains, par Anne van Geld

    Brahim Issaoui

    Les immigrationnistes s’en lavent les mains. Le gouvernement italien affirme n’avoir commis aucune faute en permettant à l’immigré clandestin tunisien accusé d’avoir tué trois personnes à Nice d’entrer en Europe, a déclaré vendredi la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese.

    Brahim Issaoui, ce Tunisien de 21 ans qui a tué trois personnes à l’église Notre-Dame de Nice, est arrivé en Europe par la biais de la filière de Lampedusa, une porte d’entrée en Europe pour des milliers de clandestins en provenance des côtes libyennes ou tunisiennes.

    Il a débarqué sur l’île italienne le 20 septembre dernier à bord d’une embarcation, repêché par un bateau de secours italien. Après une quarantaine sanitaire de deux semaines, il a ensuite été transféré sur le continent le 8 octobre, dans la ville italienne de Bari.

    Il a reçu une décision l’obligeant à quitter le territoire italien, mais il a été laissé libre de ses déplacements, comme tous les immigrés clandestins et illégaux dans ce pays. Il a pu arriver en France la veille de l’attentat, avec dans son sac un exemplaire du Coran, le livre où il a puisé sa haine, deux portables et plusieurs couteaux.

    La Ligue, le parti patriote italien de Matteo Salvini (qui, en tant que ministre de l’Intérieur avait réussi à diviser l’immigration illégale par 10), accuse Luciana Lamorgese de ne pas s’opposer à l’entrée dans l’UE des migrants africains, lui faisant porter la responsabilité indirecte des meurtres de Nice.

    Luciana Lamorgese a confirmé que ni les autorités tunisiennes ni le service de renseignement italien n’avaient signalé Brahim Issaoui comme une menace potentielle. “Nous n’avons aucune responsabilité dans cette affaire“, a-t-elle déclaré.

    Jusqu’à présent, quelque 27 190 clandestins ont rejoint l’Italie par la mer cette année, contre 9533 à la même période en 2019, selon les données officielles. Parmi eux, 11 195 sont venus de Tunisie. De nombreux migrants en provenance de ce pays quittent rapidement l’Italie, souvent à destination de la France qui compte une importante communauté tunisienne.

    Parmi eux, nombreux sont ceux qui présentent un profil similaire au terroriste de Nice: un délinquant de droit commun, connu de la justice tunisienne, “tourné depuis deux ans vers la religion”.

     

    Source: Reuters

    https://fl24.net/

  • Sur le blog ami du Courrier Royal, un sénateur socialiste irrité par la présence du Comte de Paris à Orléans, par Frédér

    Il a menacé d’appeler la police si on tentait de le déloger de son siège au sein de la Cathédrale d’Orléans. En marge de la messe annuelle organisée en hommage à Sainte Jeanne d’Arc, le sénateur du Loiret, Jean-Pierre Sueur, a tenté de provoquer un esclandre, manifestement irrité par l’empressement des autorités locales à courtiser le prince Jean d’Orléans présent sur place.

    frédéric de natal.jpgInvité avec son épouse à participer aux festivités johanniques ce 8 mai (voir notre article), le chef de la Maison royale de France a été reçu par la maire de la ville, Serge Grouard. Mais lorsque celui-ci a désigné les sièges du premier rang afin que le comte et la comtesse de Paris s’installent comme il est de coutume, l’élu socialiste s’est indigné qu’un tel honneur puisse être accordé au descendant du dernier roi des Français. Une discussion tendue a élu lieu entre les élus qui ont tenté de raisonner le socialiste. « Les parlementaires devaient être installés au troisième rang et le comte de Paris, un ancêtre de la monarchie au premier. Je n’étais pas d’accord. Le principe républicain devait prévaloir. Je me suis donc mis au premier rang et j’ai dit que si quelqu’un n’était pas content, ce serait à la police de me déloger. » a déclaré Jean-Pierre Sueur au journaliste du quotidien de « La République du Centre » qui rapporte cette anecdote dans son édition.

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    Un incident qui s’est finalement bien terminé puisque Jean et Philoména d’Orléans ont pu s’assoir aux sièges qu’ils leur avaient été réservés aux côtés des différents élus (venus sans écharpes officielles) dont… le sénateur du Loiret, heureux d’avoir eu gain de cause.

    Le prétendant au trône a été présenté à « Jeanne d’Arc » et ses jeunes compagnons par Bénédicte Baranger, présidente du Comité éponyme, avant de se plier au jeu habituel des photos à la sortie de la messe et de regagner Paris pour des raisons personnelles. Les manifestations en hommage à cette héroïne ayant été interdites, le comte de Paris n’a pu déposer de gerbe aux pieds de la statue de la Sainte.

    Frederic de Natal

    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal