Tristes D’Âmes, Tristes Sires, par Guy Adain.
Les Âmes de la Chapelle Royale de Dreux errent comme les « âmes en peine » qu’elles sont !
Abandonnées, esseulées, privées de leur protectrice : « la Famille Royale de France. »
Torturer moralement des « âmes en peine », a t’on vu pire ?
Mais qui s’en soucie ?
Pour les plus proches de nous, et pourtant des « Vieilles âmes », les comtes de Paris, « Grand-Père et Père » hurlent en silence de l’infamie qu’on leur impose !
Et si encore la mauvaise foi était l’oeuvre de nos ennemis héréditaires ?
Mais, comme toujours, le coup bas vient des nôtres et ce n’est que pour « trente deniers » que l’on a vendu âmes et conscience !
D’autant, qu’à quoi rime de chasser la Famille Royale de France de son Domaine de Dreux, quand « le Roi est partout chez lui en France ! » Ici à Dreux, ou partout « Ailleurs en France ! »
En sacralisant par son départ le 21 janvier 2019, Feu Henri d’Orléans, comte de Paris, tire de son bienheureux sommeil l’âme du Roi martyr, Louis le Seizième et toute la cohorte des Rois de France, tristes de voir les Gens de France, de la Fondation Saint-Louis, encore plein de rancoeur…
Les prières et les cris des « Âmes en peine » sont entendues et comprises, elles reviennent en « Écho…Républicain ».
Mille mercis à Madame Valérie Beaudoin de les relayer !
Quant à nous, Royalistes de coeur, nous apportons tout notre soutien sans faille à notre Prince Jean de France et à notre Famille Royale.
Il faut que les âmes en peine de la Chapelle Royale de Dreux retrouvent leur quiétude et leur sérénité, il faut garder à Dreux, la présence du Prince Jean et de sa famille, c’est un pan d’Histoire de France vivant, et un atout majeur pour notre bonne ville de Dreux.
Guy Adain
10/02/2021
Commentaires
Avec le lyrisme qui caractérise l'expression de sa fidélité à la cause royale et au Prince Jean Comte de Paris et sa famille, Guy Adain nous appelle implicitement à soutenir le combat, car c'est bien de cela qu'il s'agit, de Jean d'Orléans, contre une institution, la Fondation Saint Louis, voulue et créée (je simplifie sans doute, par ignorance de la complexité juridique de sa conception) par son grand-père feu Henri Comte de Paris. C'est un combat paradoxal car pour le commun des soutiens de la cause royale, il est consternant de découvrir que la Fondation Saint Louis s'oppose dans ses actions à l'héritier évident du trône de France, alors que l'on attendrait plutôt qu'elle mette notamment son patrimoine légué par son fondateur, au service de la cause royale qu'incarne au premier chef sans le moindre doute l'actuel comte de Paris. Un parmi les Gens de France, je m'associe en pensée au procès difficile et douloureux que notre Comte de Paris s'est trouvé d'entreprendre pour faire triompher ses droits naturels et sans aucun doute légitimes et lui apporte, à défaut de mieux, mon modeste soutien moral.
Cher Monsieur Claret,
Mille mercis pour vos gentils mots, vous traduisez très exactement ma pensée, soyons nombreux à soutenir le Prince dans son combat !
Espérons que beaucoup vous rejoignent et expriment leur solidarité
Merci encore