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  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (16)

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    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Le pandémonium révolutionnaire : Marat et Danton...

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    Le pandémonium révolutionnaire : Marat.

    "D'après ces préséances de hideur, passait successivement, mêlée aux fantômes des Seize, une série de têtes de gorgones. L'ancien médecin des gardes du corps du comte d'Artois, l'embryon suisse Marat, les pieds nus dans des sabots ou des souliers ferrés, pérorait le premier en vertu de ses incontestables droits. Nanti de l'office de fou à la cour du peuple, il s'écriait, avec une physionomie plate et ce demi-sourire d'une banalité de politesse que l'ancienne éducation mettait sur toutes les faces : "Peuple, il te faut couper deux cent soixante-dix mille têtes !"...

    Quand Marat était descendu de sa planche, ce Triboulet populaire devenait le jouet de ses maîtres : ils lui donnaient des nasardes, lui marchaient sur les pieds, le bousculaient avec des huées, ce qui ne l'empêcha pas de devenir le chef de la multitude, de monter à l'horloge de l'Hôtel-de-ville, d'y sonner le tocsin d'un massacre général, et de triompher au tribunal révolutionnaire...

    On visitait dans un cénotaphe de gazon élevé sur la place du Carrousel, le buste, la baignoire, la lampe et l'écritoire de la divinité. Puis le vent tourna : l'immondice, versée de l'urne d'agathe dans un autre vase, fut vidée à l'égout."

    Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, Tome I, pages 297/298.

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    Le pandémonium révolutionnaire: Danton.

    "Les scènes des Cordeliers, dont je fus trois ou quatre fois le témoin, étaient dominées et présidées par Danton, Hun à taille de Goth, à nez camus, à narines au vent, à méplats couturés, à face de gendarme mélangé de procureur lubrique et cruel. Dans la coque de son église, comme dans la carcasse des siècles, Danton, avec ses trois furies mâles, Camille Desmoulins, Marat, Fabre d'Églantine, organisa les assassinats de septembre...

    Danton, plus franc que les Anglais disait, : "Nous ne jugerons pas le Roi, nous le tuerons." Il disait aussi : "Ces prêtres, ces nobles, ne sont point coupables, mais il faut qu'ils meurent parce qu'ils sont hors de place, entravent le mouvement des choses et gênent l'avenir."

    Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, Tome I, pages 298/299.

  • Feuilleton : Chateaubriand, ”l'enchanteur” royaliste... (40)

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    Anne-Louis Girodet, Portrait de Chateaubriand,
    Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin.

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Sur la Maison de France...

    Sur la Maison de France...

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    "La monarchie française lie le monde ancien au monde moderne. Augustule quitte le diadème en 476; cinq ans après, en 481, la première race de nos rois, Clovis, règne sur les Gaules.

    Charlemagne, en associant au trône Louis le Débonnaire lui dit : "Fils cher à Dieu, mon âge se hâte, ma vieillesse même m'échappe; le temps de ma mort s'approche. Le pays des Francs m'a vu naître, Christ m'a accordé cet honneur. Le premier d'entre les Francs j'ai obtenu le nom de César et transporté à l'empire des Francs l'empire de la race de Romulus.

    Sous Hugues, avec la troisième race, la monarchie élective devient héréditaire. L'hérédité enfante la légitimité, ou la permanence, ou la durée.

    C'est entre les fonts baptismaux de Clovis et l'échafaud de Louis XVI qu'il faut placer l'empire chrétien des Français. La même religion était debout aux deux barrières: "Doux Sicambre, incline le col, adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré", dit le prêtre qui administrait à Clovis le baptême d'eau. "Fils de Saint Louis, montez au ciel", dit le prêtre qui assistait Louis XVI au baptême de sang.

    Quand il n'y aurait dans la France que cette ancienne maison de France, bâtie par le temps et dont la majesté étonne, nous pourrions, en fait de choses illustres, en remontrer à toutes les nations. Les Capet régnaient lorsque les autres souverains de l'Europe étaient encore sujets. Les vassaux de nos rois sont devenus rois. Ces souverains nous ont transmis leurs noms avec des titres que la postérité a reconnus authentiques; les uns sont appelés auguste, saint, pieux, grand, courtois, hardi, sage, victorieux, bien-aimé; les autres père du peuple, père des lettres. "Comme il est écrit par blâme", dit un vieil historien, "que tous les bons roys seraient aisément pourtraits en un anneau, les mauvais roys de France y pourraient mieux, tant le nombre en est petit."

    Sous la famille royale les ténèbres de la barbarie se dissipent, la langue se forme, les lettres et les arts produisent leurs chefs-d'oeuvre, nos villes s'embellissent, nos monuments s'élèvent, nos chemins s'ouvrent, nos ports se creusent, nos armées étonnent l'Europe et l'Asie, et nos flottes couvrent les deux mers. (Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, Tome II, pages 909/ 910.)

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (70), la France, de 987 à 1180...

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    ...ou, du début du règne d'Hugues Capet au début du règne de Philippe Auguste.

    De Jacques Bainville, Histoire de France, Chapitre V, Pendant 340 ans, l'honorable maison capétienne règne de père en fils :

    "Les premiers règnes furent sans éclat. Pendant une centaine d'années, cette royauté fit petite figure.
    Quel domaine étroit ! Avec Paris pour centre, Ses principales villes étaient Orléans, Étampes, Melun, Dreux, Poissy, Compiègne et Montreuil-sur-Mer.

    C'était à peu près tout ce que le roi possédait en propre, et maints châteaux forts au milieu de ses terres abritaient encore des seigneurs qui le bravaient.

    Comme chef féodal et duc de France, le roi avait pour vassaux directs les comtes de Blois, d'Anjou et du Maine et les comtes bretons du Mans et de Rennes pour arrière-vassaux.
    Huit grands fiefs, relevant nominalement de la couronne, indépendants en fait, se partageaient le reste du territoire, si étroitement borné à l'Est par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie.

    Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre juridique qu'il restait à réaliser et qui ne le serait jamais partout. En fait, les grands vassaux étaient maîtres chez eux.

    La dignité royale et l'onction du sacre qui entraînait l'alliance de l'Église, une vague tradition de l'unité personnifiée par le roi : c'était toute la supériorité des Capétiens.
    Ils y joignaient l'avantage, qui ne serait senti qu'à la longue, de résider au centre du pays. En somme, le roi comptait peu, même pour ses vassaux directs. Tels étaient les comtes d'Anjou : de leur maison devait sortir la funeste dynastie des Plantagenets qui, un jour, mettrait la France en danger.

    L'autorité des premiers Capétiens était d'abord une autorité morale. Elle fut portée très haut chez le successeur de Hugues. Robert le Pieux sentit surtout le caractère religieux de la royauté. Sa tâche politique fut simplifiée par les rivalités qui mettaient aux prises les souverains provinciaux, et Robert, prêtre-roi, ne finit pas comme le pieux empereur, le fils débonnaire de Charlemagne.

    Après lui, Henri et Philippe premiers du nom réussirent à durer et même à accroître leur domaine; une expansion modeste commençait. Et déjà, ils avaient aussi le sens européen : Henri 1er épousa la fille du grand-duc de Kiev, qui prétendait descendre de rois de Macédoine. Ainsi le nom de Philippe entra dans la maison de France. Mais Philippe 1er était si peu puissant que le seigneur de Montlhéry l'empêchait de dormir.

    Il devait survenir, durant ces trois premiers règnes, règnes obscurs, deux événements d'une immense portée, la conquête de l'Angleterre par le duc de Normandie et les Croisades..."

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant : L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Lire Jacques Bainville (XLI) : la ”guerre aux riches”, c'est l'appauvrissement pour tous...

    (Comme tous les textes publiés dans cette catégorie, celui-ci, aussitôt paru, est incorporé à notre album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. - 164 photos) 

     

    MATRAQUAGE FISCAL 1.jpgL'expatriation fiscale des "riches" est une plaie notoire, dans la France d'aujourd'hui, après des décennies de matraquage fiscal; ainsi que la proportion de jeunes Français qui quittent le territoire national pour aller s'épanouir ailleurs (plus de 30.000 à Londres, mais combien au Canada, en Australie, aux États-Unis et ailleurs ?) : la proportion devient réellement alarmante...

    Les Français doivent aimer la France, à laquelle ils ne rendront jamais tout ce qu'elle leur a donné, et doivent supporter, pour elle, en y restant et en y travaillant, les mauvaises politiques menées par le Système. Il n'en demeure pas moins que celui-ci est - chronologiquement, si l'on peut dire - le premier fautif de cette expatriation massive, véritable perte de substance, et aussi d'identité.

    C'est, déjà, ce que dénonçait Bainville, il y aura bientôt cent ans, dans un texte qui, non seulement n'a rien perdu de sa pertinence, mais qui est même encore plus actuel qu'à l'époque, puisque nous voyons bien se réaliser et s'accroître dans des proportions maintenant alarmantes les conséquences funestes de la politique suicidaire qu'il dénonçait alors...

    Du Journal, Tome III (1927/1935), page 12, note du 27 avril 1927 :

     

    La démagogie municipale est une très vieille plaie. Elle a déjà ruiné les cités antiques. Car, pour commencer, c'est tentant et d'une application facile. Mais les excès de dépenses qui se font au profit d'une classe et au détriment d'une autre ne sont pas un enrichissement. 

    Le jour vient où tout le sang des riches a été sucé. Peu à peu, les bourgeois s'éteignent. Ils s'appauvrissent et rentrent dans les rangs des prolétaires, c'es-à-dire de ceux qui ont droit à l'assistance et au partage. Ou bien ils s'exilent et vont vivre ailleurs, moins mal s'il est possible. 

    Cependant les municipalités socialistes continuent leurs largesses, et, comme elles ne possèdent pas de secret pour fabriquer de l'argent - sauf du papier-monnaie, fabrication qui ne dure guère - la ruine générale arrive tôt ou tard. 

    Relisez La Cité antique de Fustel de Coulanges. Ainsi ont péri tant de villes magnifiques d'autrefois. Nous retrouvons quelques colonnes, les gradins du cirque, les vestiges des temples et nous nous étonnons de ces disparitions émouvantes. L'explication est là. Il n'est nullement interdit de penser que, par les mêmes causes, - la guerre à la richesse - le même sort attend nos villes modernes.

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  • Immigration • Migrants, clandestins, immigrés ... : ce sont « des êtres humains » . En voilà un qui a découvert l'eau ti

    Le grave incident de la crique du Scalu Vechju, à Sisco, est une première dans ce petit village | Google Map

     

    Mur-bleu gds.jpgMigrants, clandestins, étrangers, immigrés : ce sont tous « des êtres humains » ... En voilà un qui a découvert l'eau tiède !

    Eh ! oui : c'est sur BFM-TV, après un édifiant (!) reportage sur la « jungle » de Calais, qu'un obscur représentant de France terre d'asile est venu, doctement, nous asséner cette vérité élémentaire, croyant, sans doute, que cette évidence valait sommation d'accueillir, à Calais et dans toute la France, les 2,8 milliards de personnes - soit près de la moitié de la population mondiale - qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. En tout cas, c'est ce qu'il demandait : « accueillir l'autre » puisque « ce sont des êtres humains » !...

    Mais ce docte inconnu semble oublier que, nous aussi, habitants du pays d'accueil, nous les indigènes, les autochtones, c'est-à-dire tout simplement nous, les Français, nous sommes aussi des êtres humains. Et nous avons aussi des droits : ceux que nous donnent la possession du pays que, depuis des siècles, des millénaires, façonnent nos prédécesseurs. Dans cette « communauté de destin » - mais aussi d'héritage - qu'est la Nation, nous poursuivons l'oeuvre de nos ancêtres à notre tour, maillons dans la chaînes des âges...

    Le donneur de leçons à deux centimes d'euro de France Terre d'asile devrait commencer par le commencement, et reconnaître d'abord les droits des Français dans leur propre pays :

    par exemple, les Calaisiens ont le droit de vivre dans une ville sûre, propre, agréable ; où les « migrants » ne percent pas, chaque nuit, le grillage de votre jardin, comme le montre un peu après le même reportage ; et cela pour vous voler tout ce qu'ils peuvent, et qu'ils iront ensuite déposer sur l'autoroute voisine, afin d'y faire un barrage pour arrêter les camions, mais risquant ainsi de créer des accidents mortels...

    par exemple, les jeunes de Sisco ont le droit, en plein été, d'aller dans les criques de leur village pour s'y baigner, sans qu'une horde de maghrébins ne surgissent, avec un harpon, pour leur faire violence...

    par exemple, les Marseillais ont le droit de sortir en plein jour dans leurs rues, sans risquer de se prendre une balle perdue venue d'une kalachnikov déchargée à cinquante mètres à peine de l'Hôtel de police, c'est-à-dire en plein centre-ville !...

    On se contentera de ces trois exemples récents, mais, l'énumération pourrait durer bien longtemps, de tous ces gens qui sont des êtres humains et qui aimeraient bien être traités comme tels, dans leur pays, qu'ils ont reçu de leurs ancêtres, dont ils prolongent l'aventure... 

  • L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (92), la Grande Peste de 1348...

    La grande peste noire du XIVème siècle s’est déclarée au Turkestan, en 1340, quand des nomades ont été bloqués dans des oasis par les Mongols.
    L’épidémie gagna Caffat, en Crimée, en 1346 : des Génois y étaient assiégés; ils s’en échappèrent, mais contaminèrent Constantinople, la Sicile puis Marseille et Venise en 1348, et enfin l’Europe toute entière, jusqu'en Angleterre et en Russie...
    En un an, tout le pourtour méditerranéen fut atteint, et, en janvier 1348, l'épidémie atteignit Avigon, siège de la papauté : à la veille de la visite de la reine Jeanne dans la cité pontificale, en mars 1348, la maladie avait tué 11.000 habitants.

    La peste arrivait dans des pays ravagés par la Guerre de Cent ans, et où l'hygiène était quasi nulle : on estime qu'elle tua 25 millions de personnes (entre le tiers et la moitié de la population en Europe) en seulement trois à quatre ans....
    Le franciscain Michel Platensis en a décrit les symptômes : "Bubons, fièvre et crachements de sang. La maladie durait trois jours, le quatrième la victime mourait."
    Les villes prirent une allure cataclysmique :
    "Le père laissait là son fils malade, les notaires de la cité refusaient de venir recueillir les dernières volontés des mourants, les prêtres d'entendre les confessions. Les cadavres étaient abandonnés sur place et personne ne leur donnait de sépulture chrétienne. Les maisons des morts restaient ouvertes, avec bijoux, argent et autres biens précieux, sans personne pour les garder. L'épidémie était survenue si vite qu'on n'avait pas eu le temps de prendre de mesures préventives... Les gens quittèrent la ville en foule et allèrent dresser leurs camps dans les forêts…"
    Parmi les conséquences inattendues de ce fléau : le manque de main d’œuvre conduisit à l’abolition du servage, à une diminution de la toute-puissance du féodalisme et à l’émergence des structures urbaines. Mais aussi à une réelle amélioration des conditions d'existence des petites gens et des travailleurs : le prix des loyers chuta considérablement, avec "la demande", ce qui permit aux pauvres de se loger plus facilement; et, la main d'oeuvre étant devenue plus rare, ces mêmes pauvres se virent octroyer des salaires plus importants car, là aussi, le nombre de travailleurs étant devenus moins importants, il fallait les payer mieux pour les attirer...

    En somme, d'une grande catastrophe sortit un réel progrès économique et une amélioration notable des conditions de vie pour l'ensemble de la population !

     

    Pour retrouver l'intégralité du feuilleton, cliquez sur le lien suivant :

     L'aventure France racontée par les Cartes...

     

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Totalement d'actualité : ce panneau qui dépasse les bornes !!!!!

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    1. D'accord avec Jean-Frédéric Poisson après les propos d'Emmanuel Macron, sur l'écriture inclusive ("Le masculin fait le neutre, on n'a pas besoin d'ajouter des points au milieu des mots") :

    "Parler, c'est bien. Agir quand on en a le pouvoir comme vous, c'est mieux. Alors chiche Monsieur le Président... Soutenez la proposition de loi déposée par le Sénat d'interdire l'écriture inclusive, et dites aux députés de votre camp de voter aussi ce texte en ce sens. Et là, vous serez crédible. Point barre !"

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    2. Et d'accord aussi avec Monseigneur Marc Aillet, sur un tout autre sujet mais sur l'action funeste du même personnage :

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    3. Bien triste, mais tellement vrai ! D'Anaïs#StopArtsakhGenocide (sur tweeter) :

     

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    4. Mélenchon, tu t'aimes ? Nous non plus !!!!! Selon un sondage pour Public Sénat, Jean-Luc Mélenchon devient la personnalité politique la plus rejetée avec 62 % d’opinions défavorables !...

    Commentaire de Noir Lys (on les aime bien, ces commentaires, à lfar !) :

    "Si on en croit ce sondage, n'importe qui peut répondre à l'injonction #FaitesMieux de @JLMelenchon Prends ta retraite, camarade…"

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    5. Le gouvernement méprise nos compatriotes ultramarins. Immigration incontrôlée, insécurité, coût de la vie, manque d’infrastructures… la situation outre-mer nécessite un véritable choc des moyens. De Yoann Gillet :

    "La situation en Guyane est catastrophique. En mission parlementaire sur place, j’ai rencontré des dizaines d’acteurs locaux. De retour à Paris, je n’ai pas pu supporter les mensonges du Ministre sur la Guyane. Je le lui ai dit. Il faut un plan d’urgence pour nos outre-mer."

    (extrait vidéo 5'31)

    https://x.com/YoannGillet30/status/1719275221968896499?s=20

    Coronavirus en Guyane : pourquoi ça flambe - La Voix du Nord

     

    6. Bretagne : d'accord avec Gilles Penelle...

     

    7. (Dans Le Figaro EconomieKebab, tacos, burger : ces villes qui se sont laissées envahir par les «fast-food» (ndlr : mieux vaut dire : "néfastes food" !)

    https://www.lefigaro.fr/conso/kebab-tacos-burger-ces-villes-qui-se-sont-laissees-envahir-par-les-fast-food-20231031

     

     

    À DEMAIN !

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  • Documents pour servir à une Histoire de l'URP (60) : (1/2) Marseille, Dimanche 12 Juin 1938, le tri-centenaire de Louis

     

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    Hôtel de ville  de Marseille, façade sur le Vieux Port : Louis XIV domine la ville...

    L'annonce ci-dessus paraît trois fois, toujours en "Une", dans les numéros du 9, 10 et 11 Juin (actualisée ce jour-là par un "Aujourd'hui"...); il n'y a rien dans le numéro du 12 car, Maurras ayant été élu à l'Académie - au fauteuil de Jean de La Fontaine - le 9 Juin, la "Une" publie, ce jour-là cette photo de lui, et la suite des "Félicitations"... :

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    Il est émouvant de lire la légende de cette photo, prise "dans les jardins de Mme Jacques Bainville", l'ami fidèle, le plus jeune des "trois mousquetaires", et, pourtant, parti le premier, trois ans plus tôt, ce terrible 9 Février 1936...

    C'est, ensuite, dans la "Une du Lundi 13 que le journal revient sur les deux réunions :

    1. D'abord, celle de Pujo, du samedi (même si le journal commence par dire un mot, très court, des "onze cent couverts du merveilleux banquet de la Saint-Jean et du tricentenaire de Louis XIV, dont nous donnerons demain un compte-rendu complet..."

    Dans la partie inférieure des deux colonnes centrales (trois et quatre)...

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    • ...puis dans la moitié supérieure de la colonne cinq (relation signée "P.G.) :

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    On me permettra, ici, de rapporter un souvenir personnel : au sujet de "La Rocque", et aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, c'est la deuxième phrase que mon père prononçait le plus, quand j'étais enfant (après son inoubliable "chez moi, la République s'arrête à la porte !").

    Natif de Martigues, où mon grand-père Émile, "voisin de trois cent mètres" de Maurras fut l'un des neuf fondateurs de la section d'Action française martégale (ma famille habitait alors au 2, Quai Kléber, une maison que nous n'avons, hélas, pas pu conserver...), mon père vint très vite se fixer à Marseille.

    Voyageur de commerce, il était souvent à Paris, et fut affecté à l'équipe des vendeurs volontaires de La Trinité.

    Il participa, évidemment, à la manif du 6 Février à Marseille et, parlant de celle de Paris, il ne manquait jamais de "cracher" un très méchant "ce salaud de La Rocque...!" et moi, trop jeune pour comprendre, j'allais voir ma mère pour lui demander qui était ce monsieur, pour que papa l'insultât ainsi. Elle me faisait la même réponse que pour la dame que je croyais être "la république" : "...c'est un peu difficile à t'expliquer, tu es encore un peu petit, mais tu comprendras bientôt, quand tu auras un peu grandi..."

    Je grandis, en effet, comme tout un chacun; je compris, et je fis miennes ces deux phrases, que je trouve toujours admirables aujourd'hui, et que je suis fier d'avoir "maintenues", au sens félibréen du terme, jusqu'à aujourd'hui; et que je maintiens encore, bien évidemment...

    "Ce salaud de La Rocque..." (même si sa mort, plus noble que sa vie, la rachète un peu...)

    François Davin

  • Images du 21 janvier 2014, à Paris, Lyon (avec les Princes de la Maison de France) et à Marseille

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    Le 21 janvier, à Paris et à Lyon,  a été commémoré en présence des Princes de la Maison de France

     

    = A Paris, à Saint Germain l'Auxerrois, autour de Mgr le Comte de Paris

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     Au cours de la Messe, célébrée à la demande de l'Oeillet Blanc et présidée par Dom Philippe Piron, père Abbé de Kergonan, le Chef de la Maison royale de France, Monseigneur le comte de Paris a rédigé et lu avec beaucoup d'émotion les intentions de prières pour le Roi Louis XVI, pour la Reine Marie-Antoinette et bien sûr pour Louis XVII, mort seul et abandonné dans un cachot du Temple*.

    Compte-rendu plus détaillé sur La Couronne 

     

    = Le prince Jean de France, duc de Vendôme, commémore le roi Louis XVI à Lyon 

    Le Prince et Stéphane Blanchonnet

    Le prince Jean de France, duc de Vendôme a assisté à la messe célébrée en mémoire du roi Louis XVI en l’église Saint-Denis de la Croix-Rousse à Lyon. La messe plus suivie que d’habitude en raison de la présence du prince Jean était célébrée par l’abbé Jérôme Billioud.

    A l’issue de la cérémonie religieuse, le Prince a salué la figure de Louis XVI dans la sacristie et a participé avec joie à la traditionnelle galette des rois. 

    Le duc de Vendôme a ensuite conversé avec les convives en évoquant ses engagements et a répondu en toute simplicité à ceux d'entre eux qui lui lui demandaient des nouvelles de la princesse Philoména et des jeunes princes.

    Compte-rendu plus détaillé sur La Couronne

     

    = A Marseille, la Messe pour Louis XVI a été célébrée dans la basilique du Sacré-Coeur, en présence d'une assistance nombreuse

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    Monseigneur Jean-Pierre Ellul préside la cérémonie

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     La Fédération Royaliste Provençale et le Souvenir Bourbonien 

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     A la sortie de la Messe, de jeunes militants d'Action française proposent exemplaires de "L'Action Française 2000" et tracts sur le colloque qu'ils organisent le 8 février.

     

    * La prière du 21 janvier de Mgr. le Comte de Paris

    "Pour Louis XVI, par la grâce de Dieu Roi de France et de Navarre, qui accomplit jusqu'à la mort son devoir d'oint du Seigneur, qui, victime innocente, offrit le sacrifice de sa vie au Roi du Ciel afin que le peuple français retrouve la paix. 

    Pour la reine Marie Antoinette, fidèle à sa foi, qui accompagna jusqu'au martyre le Roi Très Chrétien son époux.
     
    Pour l'Enfant Roi Martyr, emmuré après avoir été avili par ses bourreaux et qui mourut abandonné de tous dans la prison du Temple.
     
    Pour la Maison Royale de France élue par Dieu en la personne de Clovis, de ses successeurs et des Saints du sang de France pour conduire les destinées de la France, fille aînée de l'Eglise, afin qu'assistée de la force du Saint Esprit Paraclet, elle demeure fidèle à la foi de sainte Clotilde, féconde en oeuvres de justice et établie dans la paix du coeur de Jésus.
      
    Pour Louis Philippe Joseph, duc d'Orléans, qui fut l'un des instruments par lesquels le martyre s'accomplit, nous vous demandons grâce, Seigneur, et moi, Henri, je vous supplie, Dieu de Miséricorde, de me donner d'être l'instrument de votre volonté.
      
    Et pour la France, notre pays, qui, plus que jamais, a besoin de toutes ses forces vives pour retrouver et conserver sa grandeur dans la justice et l'unité. Par l'intercession de Notre-Dame, Reine de France, de Saint Michel Archange et de saint Louis, Roi de France.
       
    Amen       
    Henri Comte de Paris, Duc de France
     
     
    Sources : La Couronne - AF Provence - Lyon poeple.
     
  • Dans votre quotidien, cette semaine...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg= A l'intérieur, c'est l'explosion exponentielle de la violence (affaire du bijoutier de Nice...) et celle du matraquage fiscal qui, sans être les seules, loin de là, sont les principales sources d'inquiétude des Français (et non les ridicules contorsions sémantiques de l'UMP en quête d'une position claire face au Front national...); à l'extérieur, c'est essentiellement un président ridiculisé par ses rodomontades, évidemment non suivies d'effet - ce qui est son problème - mais, surtout, et, là, cela nous concerne tous, une France encore un peu plus affaiblie sur la scène internationale...

    Les sujets d'actualité ne manqueront pas à Louis-Joseph Delanglade pour "ouvrir" notre semaine de réflexion et d'analyse

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    et la france se reveilla.jpg= Et la France se réveilla vient tout juste de paraître : l'ouvrage est écrit par Vincent Tremolet de Villers (rédacteur en chef du Figaro Hors- Série et du Figaro Histoire) et Raphaël Stainville (journaliste politique au Figaro Magazine). On regrettera la couverture, avec son bonnet phrygien, rappelant - avec Jean Sévillia - pourquoi cet "emblème" est inapproprié; on redira pourquoi, dès le début, nous avons soutenu - en y participant... - La Manif pour tous; et on donnera la première critique déjà parue de cet ouvrage qui, à l'exception du faux pas malheureux de sa couverture mérite largement qu'on lui donne le plus grand écho possible...

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    FLEUR DE LYS SAINT LOUIS KANSAS.jpg= L'urgent besoin de la parole royale est le thème choisi par François Marcilhac pour son dernier Editorial de L’AF 2870 : "La gravité de la situation — la dette explosera en 2014 pour atteindre 2 000 milliards d’euros — devrait mobiliser les forces vives du pays et, parmi elles, si du moins ils étaient ce qu’ils prétendent, les acteurs d’un pays légal dont l’existence n’est justifiée que par les services qu’ils sont censés rendre à la Nation...

    Un Editorial qu'il termine par quelques paroles de Jean III datant du 30 janvier 1933 : bienvenues, dans notre actualité morose, "elles n’ont pas pris une ride", conclut-il fort justement...

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    pantheon fronton.jpg= Bientôt une royaliste au Panthéon ? L'inculture étant générale, et l'ignorance crasse étant partout, ils sont nombreux à "s'y être mis" : faire entrer Olympe de Gouges (de son vrai nom, Marie Gouzes) dans ce lieux sinistre que sont les caves du Panthéon ! De La Provence à Anne Hidalgo (mieux nommée, en l'occurrence, "bonnet d'âne" Hidalgo...) et au JT de TF1 (liste non limitative...), ils veulent à toute force l'y faire entrer. Fort bien. Ils ignorent juste que cette belle figure de jeune femme française voulut absolument défendre Louis XVI lors de son pseudo-procès (Robespierre en personne l'interdisit formellement) et dédicaça à la Reine déchue Marie-Antoinette sa Déclaration des Droits de la Femme : elle paya de l'échafaud son courage et sa fidélité à la famille royale. Drôle de révolutionnaire, non, mesdames et messieurs les ignares ?

    Allez, encore un petit effort - de leur part - et un peu de patience - de la nôtre : vous verrez qu'un jour ces inculturés (ou déculturés, au choix) finiront par nous mettre... Maurras au Panthéon ! Mais si !...  

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                                                  hollande yo yhollande.jpg                 = L'action de François Hollande en particulier, et du gouvernement, en général, est analysé par Hilaire de Crémiers : 2014, ou le rêve socialiste : Hilaire de Crémiers pense que "la réalité pourrait bien contredire les fausses assurances de ces politiciens dont la médiocrité d'esprit se couvre de la raison d'Etat. Le rêve socialiste ne dure jamais plus d'un an. Après, il faut payer..."; et que "n

  • Dans votre quotidien, cette semaine...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgOn ne présente plus les Editoriaux de Louis-Joseph Delanglade, qui "ouvrent" notre semaine de réflexion et d'analyse et suscitent de nombreux commentaires, eux-mêmes sources de débats animés et toujours enrichissants entre les lecteurs...

    Ces notes concises, claires, nettes et précises, expriment, chaque semaine, notre position sur les sujets importants du moment. Quel sera le sujet de demain ? Comme d'habitude, dans l'actualité nationale ou internationale, le choix est large : encore un peu de patience... et, préparez vos plumes !...

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    capture d'ecran blog.jpg= Comme la semaine dernière, nous allons présenter quelques uns des liens "partagés" sur notre très dynamique Page Facebook Lafauterousseau Royaliste : ce mardi, on aura donc, d'abord, en "hors catégorie", la page Messes pour la Famille de France, puisque l'assassinat de Marie-Antoinette, après celui de Louis XVI et tandis qu'a débuté la lente et monstrueuse agonie du petit roi Louis XVII, c'est la destruction d'une famille, la Famille de France, et, aujourd'hui, la destruction de la Famille continue, avec la loi Taubira : la Révolution est toujours en cours, et dater l'origine de nos maux actuels n'est pas faire de l'histoire ancienne, mais parler de notre actualité la plus immédiate...
    Puis on aura Jean-Charles (sur un propos de Richard Millet); Hélène Richard Favre (sur l'origine de la russophobie); Stéphane Terrée (sur l'hommage de Fabius au Général Giap); Dona Rodrigue (un lien sur Cahuzac et un autre sur l'ex-préfète de la Creuse mise en garde à vue); Philippe Delorme (sur la sinistre dalle de la Place de la République...); Ahynn Kryzaal (sur le mythe de l'égalité, par François Marcilhac); Augustin Debacker (sur Stéphane Giocanti, interrogé sur son "Maurras") : encore ne s'agit-il là que d'un très faible échantillon !...

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    sos education.jpg= On parlera Education, mercredi, avec cette nouvelle très mauvaise décison de ce très mauvais ministre qu'est Vincent Peillon : il vient de décider la fin de la possibilité de l'apprentissage dès 14 ans, pour les jeunes qui le désirent.

    Nous laisserons la parole à SOS Education, qui a produit deux documents critiquant d'une façon très pertinente cette très mauvaise décision, en remarquant au passage que, seule, Ségolène Royal a fait preuve de réalisme et de pragmatisme en osant critiquer cette erreur monumentale : son courage, en l'occurrence, mérite d'être souligné... 

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    sevillia histoire passionnnee.JPG= Juste après Olivier Dard, qui vient de sortir son Maurras, dont nous avons parlé mercredi dernier, Jean Sévillia publie son Histoire passionnée de la France

    La richesse et la beauté de cet ouvrage méritent d'être soulignées : pas moins de 325 illustrations en couleur pour ce grand récit, personnel, vivant et exhaustif, accessible à tous. Comme le dit la présentation de l'éditeur : "Le plaisir d’apprendre en élevant l'esprit insuffle la conviction de la permanence d’un destin français, et partant, les raisons d’espérer..."

    On restera dans l'Histoire, ce même jeudi, à partir de la "découverte" d'un chercheur qui a restitué la véritable tête de Robespierre : mais on laissera le côté anecdotique de la chose pour se centrer sur la postérité de ce père de famille nombreuse (Staline, Mao, Pol Pot, Ho Chi Minh, Hitler...) et initiateur des Totalitarismes modernes avec son sophisme "Il faut que Louis meure..., sinon ceux qui ont fait la Révolution sont coupables...". Paroles de circonstance en cette période où l'on rappelle l'assassinat de Marie-Antoinette, acte II de la destruction méthodique de la Famille de France, comme on vient de le dire plus haut... 

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    senat cumul.jpg=

  • Quelques uns des ”liens partagés” ces derniers jours sur notre Page Facebook...

      ...Lafautearousseau Royaliste

     

    1. Par Christian Vanneste (2) :
     
     
    1. Un seul sujet a envahi l'actualité, ce jour : des policiers sont allés chercher la fille d'un immigré clandestin dans un autocar qui transportait des élèves de l'école au sein de laquelle elle étai... : La France est-elle une grande Nation ou une vieille sentimentale gouvernée par des irresponsables ?
     
     
     
    Les Français sont trop taxés ! ils n'ont plus assez de pouvoir d'achat ! Les Français interrogés par Opinion Way pour le baromètre Sofinscope déclarent qu’il leur manque en moyenne 540 euros par mois pour vivre... :

    3. Par Prospectives Royalistes de l'Ouest : 

     
     

    4. Par Hélène Richard-Favre :

    Pendant que l'attention est mobilisée par les échanges entre l'Elysée et la demeure d'une famille kosovare de Mitrovitsa, voici ce que les... :
     

    5. Par Philippe Delorme (3) :

     
    1. Le mémorial Aron Jean-Marie Lustiger est une initiative juive. Il est installé au sein d’un monastère bénédictin, lui-même situé dans un village arabe musulman en plein cœur d’Israël. Une belle rencontre des trois religions monothéistes autour de celui qui fut archevêque de Paris. Aron Jean-Marie Lu... :
    Un Mémorial Lustiger en Israël
     
    2.  Sur "l'affaire Leonarda" : là ce n'est ni un "fake" ni un "hoax", ni une "écossaise" (elle n'a d'ailleurs pas le type) : Leonarda : Un jour ou l'autre je rentre en France et c'est moi qui vais faire la loi..." 
     
    3. Et ce problème d'arithmétique : Elève Dibrani.pdf
     
     
     
     
    6. Par Dona Rodrigue : (on pourra relier à ce propos notre billet de samedi dernier)
     
     
    Le leader du Front de Gauche a réagi vivement à une question d'une journaliste de BFMTV, qui lui demandait si le terme de rafle était approprié pour qualifier l'expulsion de la jeune Leonarda : (video) Expulsions : Mélenchon s'en prend à une journaliste en direct
     
    7. Par Jean-Philippe Chauvin :
     
     
     
    Intéressant... et révélateur ! Un rapport confidentiel des préfets montre les racines d'une exaspération qui peine à s'exprimer sur le terrain social, mais qui menace de tout emporter dans les urnes. Pourquoi les Français sont "en colère" : le rapport secret des préfets 
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    capture d'ecran blog.jpg= Notre Page Facebook Lafauterousseau Royaliste se porte bien : d'abord parce qu'elle ne cesse de gagner des "amis" lecteurs, mais aussi et surtout parce que, pour une Page Facebook, le plus important ce n'est pas le nombre d' "amis" mais les échanges, les discussions, les points de vue qui s'y expriment, les "partages de liens" qui s'y font : or, en grandissant, notre Page génère de plus en plus de ces "partages", et ceux-ci sont très souvent extrêmement intéressants. Il ne s'agit, dans cette Rubrique, que d'en faire ressortir un simple échantillon, une toute petite partie, mais révélatrice du bouillonnement d'idées que permet notre Page : et c'est tant mieux !...

  • La Dizaine de magistro

    * MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf

    * Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)   

                - http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)    

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    * Eric ZEMMOUR, Journaliste : Mariage pour tous ou pour personne ?
    * Marie-Laure des BROSSES, Présidente du Mouvement Mondial des Mères France (MMM) :  Mariage 1 – Mariage 2 : l’impossible égalité !
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Les sept chantages inacceptables des partisans du "mariage" unisexe
    * Henri HUDE, Maître de conférences : La loi naturelle
    * Ivan RIOUFOL, Journaliste : Le monde politique n'est pas à la hauteur
    * Philippe BILGER, Conseiller spécial au cabinet d'Alverny, Demont et Associés, Ancien avocat général près la cour d'appel de Paris : On est bien en France ?

    * Yves-Marie LAULAN, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations : Pour une politique de redressement démographique
    * Jacques BICHO, Professeur émérite de l'université Jean Moulin : La France malade de ses diplômes
    * Sophie de MENTHON, Chef d'entreprise, Présidente du Mouvement ETHIC : Hollande à la télé

    * François JOURDIER, Officier, contre amiral : Manœuvres en Syrie
    * François BROCHE, Journaliste, historien : Roland Barthes, ou la sagesse du sémiologue

    Le Manoeuvres en Syrie (intégral) de François Jourdier :

    63.25 - f. jourdier

    Actuellement se tient à Doha, capitale du Qatar, la réunion d’un grand nombre de factions de l’opposition syrienne dans l’espoir de rassembler un front uni pour constituer un gouvernement provisoire.

    Cette tentative est à l’initiative de la ligue arabe et des puissances occidentales qui apparemment commencent à s’inquiéter de la montée en puissance des djihadistes et des salafistes. L’avenir de ce plan conçu par Riad Seif, un dissident de 65 ans, un entrepreneur ayant payé son opposition au régime baasiste de huit années de prison, dépend de l’accord du Conseil national syrien qui se veut représentatif. A vrai dire le CNS qui regroupe surtout des opposants de l’extérieur n’a jamais réussi à s’imposer comme une alternative crédible au régime de al-Assad. Les occidentaux lui reprochent en particulier de comprendre beaucoup d’islamistes. Il a en particulier été désavoué par Hillary Clinton le 31 octobre et sommé de rejoindre le mouvement de Riad Seif. Le CNS hésite à abdiquer sa prééminence. Il vient de se doter d’un nouveau président un chrétien de gauche Georges Sabra qui a remplacé le kurde Abdel Basset Sayda. Les nombreux organismes de terrain présents à Doha, représentant les zones "libérées" font aussi pression dans l’espoir de recevoir une aide plus importante et surtout des armes.
    Le plan Seif, baptisé Initiative nationale syrienne, voudrait constituer un gouvernement installé en Syrie, dans le nord le long de la frontière turque, qui pourrait être reconnu internationalement et recevoir des armes et de l’argent. Mais les occidentaux rechignent à fournir des armes dont on ne sait pas dans quelles mains elles iraient.
    Rien n’est donc fait mais on peut penser que les adversaires d’al-Assad ont abandonné l’idée d’une solution négociée, celui-ci déclarant, et c’est probablement vrai, vouloir rester et mourir en Syrie.
    Le nombre d’attentats commis à Damas ces derniers jours incline à penser que l’on voudrait bien l’éliminer physiquement.
    Quoiqu’il en soit on voit se mettre en place une solution qui a fait ses preuves en Irak, en Afghanistan et en Libye. Passer la suite à un pouvoir divisé et sans légitimité réelle qui tirera les marrons du feu au profit des frères musulmans et des salafistes.

  • La Dizaine de MAGISTRO...

     MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf


    * Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)

                 - http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)  

    Roland HUREAUX, Essayiste : Une idée qui redevient neuve : la dévaluation
    * Marie-Noëlle TRANCHANT, Journaliste : En souvenir de Georges Suffert
    * François-Xavier BELLAMY, Professeur de philosophie : Retrouver le prochain 
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Les 'think tanks' : vraie expertise ou officines idéologiques ?
    * Olivier ABEL, Professeur de philosophie : Une crise fiduciaire
    * Basile de KOCH, Journaliste : Hessel et les gens bons
    * Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Schizophrénie française
    * François JOURDIER, Officier, Contre amiral (2S) : Retour à Mururoa
    * Yves MEAUDRE, Directeur général d'Enfants du Mékong : Leçon de Confucius
    * Vincent DESPORTES, Officier, Général de division (2S), Ancien commandant de l’École de Guerre : Pistes stratégiques
    * Yves-Marie LAULAN, Géopoliticien : Sur la mort de 4 de nos soldats en Afghanistan
    * Roland HUREAUX, Essayiste : TVA Sociale : un protectionnisme déguisé ?
    * Denis TILLINAC, Ecrivain : Halte au feu  !
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Moyen-Orient : quand la déraison du plus fort fait loi

    Le Basile de Koch (intégral) : Hessel et les gens bons...

            Soirée spéciale 'indignation', vendredi dernier sur France 5 : Franz-Olivier Giesbert consacrait à cet intéressant phénomène le troisième numéro de sa mensuelle, 2012 : les grandes questions. Le concept de l’émission, selon les propres termes de son patron : "mettre les grandes idées à l’épreuve des faits". Sûr qu’avec l’ 'indignation', ça allait être coton.
            Invité vedette de la soirée, naturellement, Stéphane Hessel, "le pape de l’indignation, notre trésor national", comme le présente Giesbert avec une emphase nettement teintée d’ironie. Pour parler de son grand œuvre, l’intéressé, lui, a le triomphe presque trop modeste : Ce "petit livre" au "succès exagéré"… minaude-t-il.
            Autour du grand homme et de son "petit livre", donc, FOG a réuni un plateau prestigieux : pas moins de trois philosophes, plus une économiste et même un neurobiologiste (pour parler du "siège de l’indignation dans le cerveau" !).
            Mais que pèsent tous ces experts et leurs arguties face à la statue du Commandeur Hessel, avec ses chiffres qui parlent pour elle : 30 pages dont 15 de texte, 4 millions d’exemplaires vendus sur les 5 continents et 94 ans – "bientôt 95", précise le coquet.
            Car cette statue-là aussi parle, sauf qu’elle ne sait que répéter en boucle le même mantra : "Indignez-vous avec moi du Mal au nom du Bien". Qui dit mieux ?
            Pour lancer ce cri primal, à vrai dire, même quinze pages ça fait beaucoup. Mais la naïveté du message hesselien n’empêche pas la rouerie du messager, qui sait par cœur comment plaire : ne jamais se fâcher, si possible sourire – et toujours faire mine de donner raison à son contradicteur, quitte à suggérer, dans la foulée, qu’on a juste pensé un peu plus profond.
            Ainsi notre pape ira-t-il jusqu’à renier trois fois son dogme fondateur : oui, concède-t-il volontiers, l’indignation en soi est vaine si elle ne débouche pas sur l’engagement. (Mais alors, que n’a-t-il intitulé sa brochure "Engagez-vous !" ?)
            Seul parmi ses interlocuteurs, Finkielkraut pense exactement le contraire : entre cette émotion que sont l’indignation et l’engagement, il est recommandé de passer par la pensée… À défaut, on risque de se tromper d’ennemi, de problème et donc de solution ; bref, de faire n’importe quoi.
            Pour Finky, l’urgence est d’en finir avec le "triple paradoxe de notre intelligentsia" qui consiste à remplacer "l’intelligence par l’indignation ; la morale de responsabilité par la morale de conviction ; la complexité du monde par la simplification extatique des problèmes", suivez son regard…
            Il a raison, Alain le stylite : le succès du manichéisme compassionnel qui tient lieu de doctrine à Sa Sainteté Stéphane Ier témoigne d’une inquiétante régression de l’esprit public et du débat démocratique, qui n’avaient pas besoin de ça.

  • La Dizaine de MAGISTRO...

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    * Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)  

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    * Yves-Marie LAULAN, Economiste, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations :  L’économie mondiale en perte de vitesse
    * Marie-Noëlle TRANCHANT, Journaliste culturelle au Figaro : "Faust"                        *François JOURDIER, Officier, contre amiral (2S) : Les morts au combat ne sont pas des victimes
    * Jacques BICHOT, Economiste, professeur émérite à l’université Lyon 3 : La droite et le marché politique
    * Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : Coup de bambou
    * Chantal DELSOL, de l'Institut : L’avenir injurié
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Trois paradoxes de l’élection de Francois Hollande
    * Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : La révolte des sans-grade

    Premières lignes du Delsol, L'avenir injurié :

            "On s’extasie sur l’idée de "développement durable". L’expression traduit simplement une évidence immémoriale : si pour vivre on mange son capital, on n’établit pas la vie dans la durée. Nos ancêtres savaient bien qu’on ne pêche pas les poissons trop petits, et tous les ancêtres de la terre le savaient bien, si l’on regarde les comportements des tribus traditionnelles. Il suffit d’avoir un minimum de jugeote pour comprendre que nous avons à prendre en compte non pas seulement le moment présent, mais la suite de l’histoire, pour nous et pour nos enfants et la suite. S’il est vrai que nous sommes en train de ruiner la terre au point de priver nos descendants du nécessaire, alors il faut évidemment tenter de changer nos habitudes.

            Aussi peut-on s’étonner de voir à quel point le dit "développement durable" ne concerne qu’un seul domaine, celui de la nature. On se demande par quelle incohérence les socialistes au pouvoir neuf ont entrepris tout aussitôt d’aliéner le futur au présent. Que signifie une loi sur les retraites qui ramène la retraite à 60 ans pour une partie importante de la population, alors que les autres pays d’Europe effectuent le mouvement contraire, hissant plutôt l’âge de la retraite à 67 ans ? Que signifie la promesse d’embaucher encore une multitude d’enseignants, ou encore les annonces d’allocations supplémentaires, ici ou là ? Il s’agit de consommer le capital, autrement dit de faire exactement le contraire de ce qu’on appelle le "développement durable", tout en jurant alliance et fidélité aux partis écologistes. Lesquels d’ailleurs semblent juger tout à fait normal qu’on pense à l’avenir quand il s’agit de la terre mais pas quand il s’agit du budget du pays. Voilà un gouvernement qui à peine élu, s’empresse de mettre en place un développement éphémère, que dis-je, un développement extrêmement transitoire.