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  • jeudi 16 février : Colloque de l’Institut de géopolitique des population

    A l’ASIEM,
    6 rue Albert de Lapparent,
    Paris VIIe, de 9h à 18h,

    l’équipe d’Yves-Marie Laulan répondra à la question suivante :

    « Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? »

    La journée commencera par la présentation d’un tableau de bord : combien rentre-t-il d’immigrés supplémentaires chaque année ? Et quel est le solde des entrées ? Moins de 100.000, disent les médias de l’oligarchie ; plus du double, selon un décryptage sérieux des chiffres officiels.

    Quid des avantages économiques ? Ils sont indiscutables à court terme pour les employeurs privés et les grandes entreprises qui utilisent l’immigration pour faire baisser les salaires ; mais avec des conséquences macroéconomiques négatives : l’innovation est découragée, la balance des comptes dégradée et le chômage augmenté, un point particulièrement sensible déjà noté en 2009 par une étude du Conseil d’analyse économique (CAE) sur « Immigrations, qualifications et marché du travail ».

    http://www.cae.gouv.fr/IMG/pdf/CAE84_Resume_FR.pdf
    http://www.cae.gouv.fr/IMG/pdf/084.pdf

    Et si l’immigration n’était pas une bonne affaire pour la France ?

    Peut-on chiffrer le coût de l’immigration clandestine ? Peut-on chiffrer le coût de l’entrée des nouveaux étrangers en France ? Coûts en droits sociaux (tout résident nouveau accédant immédiatement aux mêmes droits que les Français) ; coûts en termes de chômage ; et, surtout, coûts en besoins d’infrastructures supplémentaires : logements, transports, écoles, hôpitaux, prisons ? Comment passer sous silence le magistral point de vue du prix Nobel Maurice Allais estimant à près de 100.000 € le coût des infrastructures nécessaires pour accueillir un étranger supplémentaire ?

    Enfin, peut-on passer sous silence les coûts psychologiques et sociétaux de l’immigration ?

    Pour redresser les comptes publics, il faut poser la question du coût de l’immigration

    Bref, il est douteux que la poursuite de l’immigration soit une bonne affaire pour la France, a fortiori dans un contexte budgétaire tendu. Aujourd’hui, il n’est pas raisonnable d’envisager le redressement des comptes publics sans poser la question du coût de l’immigration.

    C’est ce que feront jeudi 16 février 2012 les invités d’Yves-Marie Laulan : Charles Zorgbibe, Jacques Bichot, André Pertuzio, Jean-Paul Gourevitch, Jean-Yves Le Gallou, Philippe Conrad, Joëlle-Anne Robert.

    L'immigration du point de vue de la science économique : coût social versus avantage privé
    Non, l'immigration n'est pas une chance pour la France
    2010/2011 : la hausse de l'immigration se poursuit
    Peut-on raisonnablement calculer le coût de l'immigration ? - Colloque de l'Institut de Géopolitique des Populations
    L'économie de l'immigration

    Inscriptions :

    Pour réserver avec paiement par carte bancaire (Paypal) se reporter sur le site de l'Institut de Géopolitique des Populations, à l'adresse suivante :

    http://www.institut-geopolitique-populations.fr/conferences.php

    ou écrire à : l'Institut de Géopolitique des Populations : 20, rue d'Aguesseau Paris 75008
    Institut de Géopolitique des Populations http://www.institut-geopolitique-populations.fr/

    Participation aux frais : 10 euros - 5 euros pour les étudiants

  • A Vienne : un beau baptême, une belle journée, une belle Famille... pour la France !

           Point de Vue vient de publier un beau reportage photographique sur le baptême de la princesse Antoinette de France, à Vienne, le 11 février dernier.

            S’y ajoute, un entretien avec les Princes, le duc et la duchesse de Vendôme, qu’on lira avec plaisir si l’on achète Point de Vue.... Ce récit et ces images témoignent du bonheur de la famille de France, du prince Jean, de la princesse Philomena, et de leurs proches, dans cette circonstance heureuse. Nous nous y associons de tout cœur, avec nos bons vœux.

            Pour les Français d’aujourd’hui, qui ne savent plus très bien en quoi consiste leur identité, d’où ils viennent et où ils vont, cette naissance et ce baptême chrétien ont une importance particulière. Celle-là même que De Gaulle avait formulée, dans une autre circonstance, en s’adressant au comte de Paris : « Monseigneur, la vie de Votre famille s’identifie avec notre Histoire (..), ce qui vient de Vous dans le présent est exemplaire pour le pays (…) Votre avenir, (…) celui des Vôtres, sont intégrés aux espérances de la France ».

            Nous ignorons de quoi notre avenir commun sera fait. Mais la vie et la permanence de la famille de France sont, aujourd’hui encore, une espérance pour la France.  

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    Le duc et la duchesse de Vendôme, leur fils Gaston dans les bras de son père, et leur fille Antoinette qui reçoit le sacrement du baptême des mains de Monseigneur Schönborn. La duchesse de Vendôme portait des boucles d'oreille de saphirs et de diamants provenant, selon la tradition, de Marie-Antoinette.....

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    Copie de Sans titre-2.jpg

    Les deux premières photos se passent de légende (et de commentaires !...)...

    Ci-dessous : les parrains et marraines autour d'Antoinette et de ses parents : Francesca Lopez de la Osa, Ladislaja de Layre, David de Tornos, Monseigneur Schönborn, archevêque de Vienne, la duchesse de Vendôme et sa fille, Antoinette, le duc de Vendôme, le comte-héritier de Schönborn-Buccheim, cousin de l'archevêque, la princesse Léopoldine de Liechtenstein portant dans ses bras le prince Gaston, frère aîné d'Antoinette...

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    Ci-dessous : Le prince Gundakar de Liechtenstein, la duchesse de Vendôme, la duchesse de Montpensier et sa petite-fille, Antoinette, le duc de Vendôme et sa soeur aînée, la princesse Marie, épouse du prince Gundakar...

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    Ci-dessous : la duchesse de Vendôme, son frère David et sa soeur Magdalena...

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    Ci-dessous : la duchesse de Montpensier et sa soeur aînée, la princesse Georg de Liechtenstein...

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    Ci-dessous : la princesse Léopoldine de Liechtenstein et le prince Gaston de France....

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  • La Dizaine de MAGISTRO :

            Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, il faut aller à l'essentiel ...
    du (bon) sens et des fondamentaux ... un choix de civilisation !

     
            MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique.

    Contre la loi du désir  Chantal DELSOL  Membre de l'Institut, Professeur de philosophie politique
    Les reliques barbares vont-elles terrasser les arts conceptuels ?  Aude de KERROS
      Graveur, essayiste, critique d'art
    Du temps et de la gouvernance  Denis TILLINAC
      Ecrivain, chroniqueur
    La vache sacrée des 35 heures  Eric ZEMMOUR
      Journaliste, écrivain
    France, ta liberté f…. le camp  Yves-Marie LAULAN
      Géopoliticien
    Du déverrouillage des esprits ?  Denis TILLINAC
      Ecrivain, chroniqueur
    Quel est l’enjeu majeur du ministère de la Culture pour 2011 et après ?  Christine SOURGINS
      Historienne de l'art, é crivain
    L’aveuglement européen  Roland HUREAUX
      Essayiste
    Pour une Epiphanie des Chrétiens d’Orient  Frigide BARJOT  Parodiste
    De l'Afrique à l'Europe, un même réveil identitaire  Ivan RIOUFOL
      Journaliste
    Compter avec la haine de l’Occident  Chantal DELSOL
      Membre de l'Institut, Professeur de philosophie politique
    Tragique ignorance  Hyacinte-Marie HOUARD  Abbé, fondateur de l'IRCOM d'Angers 

            Extrait du Laulan, France, ta liberté f... le camp ! (premières lignes) :

             "La presse (le Figaro du 2 décembre 2010) nous apprend la signature d’une "convention" entre le ministère de l’Intérieur et une association de la loi de 1901, la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme, dite  la LICRA. En vertu de cet accord, chaque commissariat de police, chaque gendarmerie recevra pour diffusion la documentation de la LICRA. Une formation à l’antiracisme est prévue dans les écoles de police et de gendarmerie. Une coopération avec la LICRA est prévue en matière de "veille sur internet" pour prévenir les "dérives" sur la Toile complétée par des "échanges de statistiques".

            Et voilà que le ministère de l’Intérieur devient ainsi formellement, non seulement le financier de la Licra au travers des subventions versées à cette association, mais au surplus, son informateur et son auxiliaire. Du jamais vu. Sauf dans les régimes totalitaires. Et la liberté d’expression dans tout cela ?..."

     

  • Le numéro 23 de la Nouvelle Revue universelle vient de paraître...

            Nous le disons sans cesse : les royalistes ont de la chance de disposer, entre autres, du mensuel Politique Magazine et de la Nouvelle Revue universelle (trimestrielle). Chaque dimanche, au moyen de trois publicités tournantes et perpétuelles, nous redisons à nos lecteurs, à nos amis et à tous ceux qui nous rejoignent l'intérêt et l'importance qu'il y a à les lire, d'abord et avant tout, bien sûr, mais aussi à les diffuser au maximum, à s'y abonner soi-même et à leur trouver de nouveaux abonnés, afin d'accroître au maximum leur influence, au service de... la France, tout simplement !

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            En ce qui nous concerne, dès la publication de Politique Magazine, nous publions sa Une et, au minimum, quelques jours après, l'analyse d'Hilaire de Crémiers et l'article économique de François Reloujac, que nos lecteurs connaissent bien maintenant, et apprécient à sa juste valeur.

            Et, tous les trois mois, dès la sortie du nouveau numéro de la NRU, comme nous le faisons ici maintenant, nous annonçons sa parution, en détaillant son sommaire.

            Voici donc ce que vous trouvereez dans ce dernier numéro, qui vient de sortir :

           Le numéros s'ouvre, naturellement, sur les voeux de la revue et, non moins naturellement, sur un hommage à Jacqueline de Romilly, par Xavier Walter.

           Ensuite, François-Georges Dreyfus propose une Histoire de la dette publique en France; François Reloujac pose la question : Un G 20, pour quoi faire ? et Yves-Marie Laulan traite De la justice; Yvan Blot propose Aux Etats-Unis, la démocratie a 120 ans et Claude Fouquet Comment on écrit l'Histoire; avec Tibhirine, des martyrs, Henri Buttin revient sur le message délivré par les moines de l'Atlas; Jean Pichot-Duclos reprend la fable politique dont le premier volet a été publié au printemps dernier, avec De Riom à Reims, et Claude Wallaert propose un Conte de Noël (Le Prince et les trois chameaux) ainsi que le poème L'Oiseau d'or.... 

            On trouve aussi dans ce numéro 23 France, ta liberté f... le camp ! et L'euro peut-il survivre ?, d'Yves-Marie Laulan; Lettres de Pékin, de Xavier Walter; Un Boson peut en cacher un autre, d'Yves-Henri Allard; et Dans les livres (recensions de Xavier Walter et Claude Fouquet); ainsi que deux communiqués pour sauver la Basilique de Saint-Denis : celui de l'Association Montjoie Saint-Denis, et celui de l'Union nationale d'association pour la sauvegarde, le respect de la basilique cathédrale de Saint-Denis et de sa nécropole royale (contact : Sylvie Nayt - courriel : sauvegarde-Saint-Denis@gmx.fr  )

  • La Dizaine de MAGISTRO...

            Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, l'essentiel touche aux fondamentaux... un choix de civilisation !
            MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008

    Consultable sur le site : http://www.magistro.fr/ :

    Valeurs : la bourse ou la vie ?  Hyacinte-Marie HOUARD  Abbé, fondateur de l'IRCOM d'Angers
    A Bruxelles, un accord à double ou triple fond  Gabriel ROBIN  Ambassadeur de France
    L’Europe sur le fil du rasoir  Yves-Marie LAULAN  Economiste
    L'art de la titrisation culturelle  Christine SOURGINS  Historienne de l'art
    Réforme territoriale : Quels scénarios pour les Régions ?  G.-F. DUMONT  Recteur d'académie
    Exorcismes  Denis TILLINAC  Ecrivain, chroniqueur
    Le déni du réel  Chantal DELSOL  Membre de l'Institut
    L'art contemporain et la titrisation du néant  Aude de KERROS  Critique d'art
    La cigale et la fourmi  Vu sur le "NET"
    Education, amour  Antoine LECERF  Officier, général de corps d'armée (2S) 

    Extrait (débu) du Delsol sur le livre de Lagrange :

            "L’émotion souvent haineuse qu’a suscitée le livre d’Hugues Lagrange, Le Déni des cultures (Éditions du Seuil), est en elle-même significative. Un tabou a été touché. 
            Il y a des pans entiers de la réalité que l’on ne doit même pas nommer - faute de les faire exister ? Et bien des soi-disant penseurs disent clairement que la langue de bois représente une nécessité démocratique…
            En l’occurrence, la langue de bois veut que l’on ne nomme pas les cultures, qu’on ne les distingue pas, qu’on n’en fasse pas un facteur d’explication. Or voilà un auteur - un chercheur sérieux et pondéré, non un histrion - qui explique en partie les problèmes d’échec scolaire et de délinquance par des causes culturelles. On le voue aux gémonies. Il se fait insulter dans les médias. Pourtant, il produit des enquêtes chiffrées et argumentées après un long travail sur le terrain, il reste prudent toujours, il n’enrobe pas cela d’une opinion personnelle : bref, c’est un scientifique. Et naturellement il peut se tromper en tant que scientifique, mais dans ce cas, il faudrait lui opposer d’autres enquêtes et d’autres arguments : on l’injurie....."

  • Le sourire du dimanche...

                L'archevêché doit  engager un nouveau jardinier. Le bedeau aimerait bien donner la place à son copain Ahmed, qui est au chômage, mais il sait que l'archevêque est très strict sur un point : tout le personnel doit être catholique. Alors le bedeau a une idée. 

    - Ahmed, on va dire que tu t'es converti il y a plusieurs années à la religion catholique. 
    - Ti gentil, mais ci  pas possible ! Moi, ji connais rien à ta religion catholique... 
    - Ne t'inquiète pas, Ahmed. Pour vérifier qu'un employé est un bon chrétien, Monseigneur pose toujours les mêmes questions. Il va te demander qui était la mère de Jésus, tu répondras : Marie. Qui était le père de Jésus, tu répondras : Joseph. Comment est mort Jésus, tu répondras : sur la croix. 
    - Arrête, ji m'rapellerai jamais tout ça ! 
    - Je te le répète, ne t'inquiète pas, j'ai pensé à tout. Je marquerai les réponses sur ta tondeuse à gazon, tu n'auras qu'à les lire....
                 Finalement, Ahmed est engagé. Et le premier jour, alors qu'il tond la pelouse, l'archevêque s'approche de lui : - Ah ! Vous êtes le nouveau jardinier. Comment vous appelez-vous ? 
    - Ahmed, m'sieur Monseigneur. - Mais...vous n'êtes pas catholique ?- Si, m'sieur Monseigneur. J'i m'suis converti.- Comme c'est beau ! Voyons si vous êtes un bon chrétien. Savez-vous comment s'appelait la mère de Jésus ? Ahmed se penche sur sa tondeuse.   - Marie. - Et le père de Jésus ? Ahmed se repenche sur sa tondeuse.  - Joseph.  - Très bien. Et comment Jésus est-il mort ? Nouveau coup d'oeil sur l'engin. - Sur la croix. - Parfait ! L'archevêque s'éloigne, satisfait.
                 Et puis, pour être vraiment certain que ce musulman est devenu un bon chrétien, il revient sur ses pas. - Pourriez-vous également me dire les noms des deux larrons qui étaient de chaque côté de Jésus sur la croix ? Ahmed se penche sur sa tondeuse et relève la tête avec un grand sourire : - Black et  Decker ! 
  • Mardi 5 et Jeudi 7 : deux programmes à ne pas rater…

    ZCA9F1EJ3CA1KQHIOCAMV4CM6CAR933DSCA7KIFPUCA3ENH5PCAS63IKSCAOTH9SQCA79PJMGCAGRCA9QCAJAZVDPCA3VFVUSCAPACL3ICA2S9XLPCAJ5XFXGCARK1WQTCAISXY4WCA9DZZXD.jpg          Un an après sa mort, KTO propose, le mardi 5 août, une « soirée spéciale Monseigneur Lustiger » (de 20h à 23h30), articulée en trois parties.

              D’abord un documentaire de 50 minutes, réalisé en 2005 : « Regard sur la télévision », reprenant l’entretien accordé par le Cardinal à Serge Moati sur le rôle de la télé, dans lequel il observe le rétrécissement du champ de la liberté à partir des années 8O (« …plus d’espace pour les débats, mais trop grand intérêt porté au jeu des « petites phrases », plus de temps pour construire une pensée, mais des émissions de téléréalité qui tendent le miroir au téléspectateur et qui l’enferment dans un narcissisme complice…

    petit trianon.JPG          « C’est un conformisme social, une forme de totalitarisme » estime le prélat, qui en appelle à la liberté intérieure… Du grand Lustiger ! » d’après Maryvonne Gasse).

              Ensuite un hommage au Cardinal (1h35).

              Enfin, pendant 1h05, « Le Cardinal Jean-Marie Lustiger, chemins d’une pensée ». Au soir de sa vie, le Cardinal revient sur sa trajectoire hors du commun, répondant aux questions de Gérard Leclerc. (« Toute mon histoire est improbable de bout en bout… » disait-il.).

               « En retraçant les grandes étapes de sa vie, c’est non seulement un puissant témoignage personnel qu’il donne, mais aussi une magistrale leçon d’Histoire de France depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, avec le portrait de grands penseurs qui ont façonné la théologie contemporaine : le cardinal Daniélou, le cardinal Balthazar, le cardinal de Lubac dont il cite le titre d’un livre – « Le Drame de l’Humanisme athée » - pour rendre compte de sa vision de l’homme sans Dieu. Impressionnant .»(toujours Maryvonne Gasse).
     

               Changement de chaîne et de registre: Stéphane Bern, lui, présentera sur France 2, le jeudi 7 août, à 20h50, le deuxième volet de la série de quatre émissions « Secrets d’Histoire ».

               Après avoir évoqué Catherine de Médicis et les Châteaux de la Loire, il parlera de Marie-Antoinette (pendant 1h55) en nous faisant visiter des lieux de Versailles et du Petit Trianon habituellement fermés au public : bibliothèque, méridienne, salle de bains, salon de musique…

  • Lobby socialo-algérien et beaux-arts, par Péroncel-Hugoz

    Le musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille (MUCEM).

     

    Depuis Marseille, Péroncel-Hugoz donne un coup de dent au lobby anti-marocain de Paris dont les basses intrigues contrastent avec le haut niveau des échanges culturels franco-chérifiens…

    peroncel-hugoz 2.jpgC'est un fait : depuis février 2014, à force de manœuvres souterraines mais efficaces, le lobby socialo-algérien, assez puissant actuellement en France, a multiplié chausse-trappes et coups d'épingle pour entraver la bonne marche des relations Rabat-Paris. En contraste, brille en même temps avec une intensité particulière, la coopération artistique entre Royaume alaouite et République française. 

    Depuis plus d'un an et demi, les manifestations culturelles de Marseille, Paris, Rabat et, en cet été 2015, derechef la cité phocéenne, ne cessent de voir s'épanouir les beaux-arts d'hier ou d'aujourd'hui, entre Sud et Nord de la méditerranée, entre États et peuples de France et du Maroc. Afin sans doute de mettre de l'huile dans les rouages politiques, Rabat n'a pas lésiné sur le niveau de ses représentants aux principales expos: la princesse Lalla-Meryem à Paris puis l'émir Moulay-Rachid à Rabat et, le 3 juin 2015, au fameux MUCEM, à Marseille, le conseiller royal André Azoulay, s'exprimant à propos des « Lieux saints partagés », thème d'une nouvelle manifestation déjà très courue. 

    Pèlerin international depuis des décennies en faveur de la mise en lumière des points communs, plutôt que des divergences, entre les trois monothéismes dits « du Livre » (ou plutôt « des Livres » : Thora, Évangile, Coran), le conseiller palatin a dû revoir ou découvrir avec satisfaction une superbe suspension de synagogue marocaine (vers 1900), une tablette scolaire coranique en bois (Marrakech, vers 1900) mais aussi un vitrail de Salagon (Haute-Provence), une rare icône serbe, une Jument Bourâq tunisienne très enlevée, une Vierge Marie perse, un Mahomet voilé et même – ô surprise dans cette expo vouée en principe aux croyances abrahamiques ! – un très serein Bouddha laotien, comme un pied-de-nez au reste de cet univers divin… 

    Plus loin, un dessin animé moderne montre les « fleuves de vin » (et de miel) du Paradis très concret promis aux bons mahométans, mais aussi, sans précaution oratoire, « éphèbes et vierges » annoncés aux mêmes croyants dans l'au-delà… Tout cela est en effet écrit noir sur blanc dans les textes sacrés islamiques. 

    Ce qui, en revanche, a pu surprendre, agréablement ou non, certains visiteurs c'est, au milieu de ces salles toutes nimbées de foi traduite en beaux-arts, la vitrine absolument vide consacrée à l'agnosticisme par le plasticien italien Michelangelo Pistoletto… Au final, des œuvres belles et diverses inspirées par Moïse, Jésus, Marie, Mahomet ou Ali mais aussi un fond audiovisuel un peu trop « tout-le-monde-il-est-beau-tout-le-monde-il-est-gentil »… Eh ! Oui Marseille l'Orientale est quand même ancrée également au pays des «Charlie» et des « Bisounours »…  

     

    Péroncel-Hugoz  - Le 360

  • Quand l'Eglise appelle nos sociétés à se réveiller et défend les familles, comme un bien inestimable et irremplaçable

    On le sait, nous l'avons souvent précisé, rappelé, Lafautearousseau limite sa réflexion au domaine politique. En particulier, nous ne nous aventurons pas sur le terrain religieux. Sauf lorsqu'il touche au politique ou, comme on dit aujourd'hui, aux questions sociétales. Ainsi avons-nous dit notre désaccord avec certaines orientations ou prises de position de l'Eglise Catholique, fût-ce en la personne du Pape. Par exemple en matière de politique de l'immigration, De simples gestes, repris et amplifiés par les médias, pouvant devenir des armes redoutables contre la France et l'Europe, aujourd'hui menacés dans leur identité par l'immigration massive et dans leur sécurité par le terrorisme, nous avons marqué notre désaccord. En d'autres circonstances, au contraire, l'Eglise persiste à défendre courageusement les fondements même de nos sociétés. En particulier, s'agissant de la famille. Ainsi, dimanche dernier (28 septembre), lors de la messe du soir, à Notre-Dame de Paris (retransmise par KTO),  comme introduction à la prochaine ouverture du synode sur la famille (du 5 au 19 octobre 2014, à Rome), le cardinal Vingt-Trois a donné lecture de la prière du pape François que nous trouvons utile de reproduire ici. Outre tout ce qu'elle contient sur le plan spirituel - que croyants ou non-croyants apprécieront - ce qui y est dit, in fine, s'adresse aux sociétés contemporaines. Et va dans le sens, non seulement de leur ordre, mais aussi de leur vitalité et, au sens le plus large, de leur santé. u  Lafautearousseau  


    Prière pour les Familles

     « A Vous, Sainte Famille de Nazareth

    Jésus, Marie et Joseph à vous, Sainte Famille de Nazareth, aujourd'hui, nous tournons vers vous notre regard avec admiration et confiance. En vous, nous contemplons la beauté de la communion dans un amour vrai; à vous, nous recommandons toutes nos familles, afin que se renouvelle en elles les merveilles de la Grâce.

    Sainte Famille de Nazareth, école séduisante du Saint Évangile, enseigne-nous à imiter tes vertus avec une sage discipline spirituelle, donne-nous le regard limpide qui sait reconnaître l’œuvre de la Providence dans les réalités quotidiennes de la vie.

    Sainte Famille de Nazareth, gardienne fidèle du Mystère du Salut : fais renaître en nous l'estime du silence, fais nos familles des cénacles de prière et transformes-les en petites églises domestiques. Renouvelle-y le désir de sainteté, soutiens la noble fatigue du travail, de l'éducation, de l'écoute, de la réciproque compréhension et du pardon.

    Sainte Famille de Nazareth, réveille dans notre société la conscience bienveillante du caractère sacré et inviolable de la famille, bien inestimable et irremplaçable. Que chaque famille soit la demeure accueillante de bonté et de paix pour les enfants et les personnes âgées, pour qui est malade et seul, pour qui est pauvre et dans le besoin.

    Jésus, Marie et Joseph, nous vous prions avec confiance. A vous avec joie, nous nous confions. »

    Pape François - Journée mondiale des familles en l'Année de la Foi - dimanche 27 octobre 2013

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  • HISTOIRE • 7 novembre 1659 : anniversaire du traité des Pyrénées, par Georges Garnier-Rousseau, dans Boulevard Voltaire

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    La paix des Pyrénées inaugurait avec éclat les prémices du Roi-Soleil, et le triomphe final des Bourbons sur les Habsbourg.   

    « La peste soit du Français ! » marmonne Don Luis Méndez de Haro y Sotomayor. Voilà des mois que traînent les négociations, et ce fourbe mitré est parvenu à arracher sa signature. Le fourbe mitré, c’est le cardinal Giulio Mazarini. Ses manières mielleuses, son accent italien roucoulant, sa façon de traîner autour du pot masquent un esprit habile, retors et passionnément dévoué aux Bourbons. Et ont peu à peu usé les nerfs de l’ambassadeur adverse.

    Mazarin, lui, est tout sourire : il voit enfin la signature de l’ombrageux ambassadeur espagnol sur le traité qu’il a mis des mois à négocier, pour la plus grande gloire du roi Louis XIV, son filleul. Il a même obtenu pour le jeune souverain la main de l’infante Marie-Thérèse, ainsi qu’une coquette dot de 500.000 livres. L’Espagne ne pourra jamais payer, mais il compte bien s’en servir comme d’un atout diplomatique dans le futur.

    Ce traité, la paix des Pyrénées, clôture définitivement la guerre de Trente Ans. Cette guerre, terminée en 1648 avec le glorieux traité de Westphalie, laisse l’Espagne en dehors de la paix. Celle-ci étend toujours sa domination au Sud (Cerdagne et Roussillon, entre autres) et à l’Ouest (Flandre et Franche-Comté). Elle a encore de réelles capacités de nuisance. La mort du grand Richelieu puis du roi Louis XIII, en France, encourage la noblesse bafouée par ce roi centralisateur à relever la tête, quitte à pactiser avec l’Espagne.

    Mais c’est sans compter sur les qualités diplomatiques de Mazarin, au service de la reine mère et du jeune Louis XIV. Il rallie d’abord Turenne, le plus grand capitaine de son temps, qui s’est lassé de la révolte nobiliaire. Ainsi que l’Angleterre de Cromwell, qui apprécie la « tolérance » de la France (elle a toujours soutenu les protestants contre les Espagnols et les Autrichiens). Après un début difficile, Turenne écrase les troupes du prince de Condé (un brillant capitaine français passé du côté espagnol). Sa conquête des Flandres espagnoles est si rapide qu’on est obligé de modérer son enthousiasme, les alliés des Bourbons voyant d’un mauvais œil une France trop victorieuse.

    On entame donc les négociations avec une Espagne à bout de souffle, et l’habile Mazarin arrache ainsi, le 7 novembre 1759, outre un mariage royal à son avantage, l’Artois, le Roussillon, une part de la Lorraine, du comté de Cerdagne et de nombreuses places fortes flamandes. La France en sort agrandie sur tous les fronts.

    Enfin, toute chose heureuse finit par un mariage. Celui de Louis XIV et de Marie-Thérèse. Ce symbole d’une paix glorieuse devait paradoxalement conduire à une nouvelle guerre moins heureuse pour la France : Louis XIV, grand-père, devait voir son petit-fils, en vertu du sang espagnol de sa grand-mère, hériter du trône d’Espagne. Un tel legs ne pouvait se refuser. Mais les ennemis de la France ne pourraient l’accepter.

    En attendant, la paix des Pyrénées inaugurait avec éclat les prémices du Roi-Soleil, et le triomphe final des Bourbons sur les Habsbourg. ♦ 

    Par 

    Étudiant
     
  • La Dizaine de MAGISTRO...

            Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, il faut aller à l'essentiel ...
    du (bon) sens et des fondamentaux ... un choix de civilisation !

           
    MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique.  

            ( Liens : -  http://www.henrihude.fr/ )

    Sortir du nucléaire ?  Christophe GEFFROY Journaliste
    Humanisme, dites-vous ?  Hyacinthe-Marie HOUARD Abbé, fondateur de l'IRCOM d'Angers
    L'ISF au service des Politiques  Bertrand GALIMARD FLAVIGNY Journaliste
    6 et peut-être même 7 millions ?  Hubert de GEVIGNEY Officier, contre amiral
    L’hypocrisie de la laïcité  Chantal DELSOL  Membre de l'Institut
    Laïcité : tout çà pour çà  Eric ZEMMOUR Journaliste
    Retour au Second Empire  François JOURDIER Officier, contre amiral
    Le procès de l'Europe 
    Jean-François MATTEI  Philosophe
    Réflexions sur le désastre japonais 
    Yves-Marie LAULAN  Géopoliticien
    Libye : finir vite le travail ! 
    Roland HUREAUX Essayiste
    Au Parvis des Gentils : "Culte de l’avant-garde et culture de mort"  Christine SOURGINS Historienne d'art

    Extrait du Gevigney, 6 et peut-être 7 millions ?... :

            "En 1976 donc, une loi difficile est promulguée : l’interruption volontaire de grossesse est dépénalisée, ce n’est plus un délit… On peut concevoir, en effet, qu’il était injuste d’ajouter une sanction pénale à un traumatisme qu’assumait souvent une femme seule, en situation d’échec, quand ce n’était pas consécutif à une violence. Sous un effet pour le moins vulgarisateur, comme l’on sait, très rapidement cette dépénalisation s’est transformée en "droit à l’avortement". En 1976, selon les chiffres de l’INED, 246 000 interruptions volontaires de grossesse ont été pratiquées. Ce chiffre est resté soutenu jusqu’aux années 90 où l’on a relevé un fléchissement aux environs de 200 000 par an. Depuis quelques années ce nombre dépasse à nouveau les 220 000. Si l’on fait le compte, en 35 ans, c’est au bas mot 6 millions de Français en devenir qui n’ont pas vu le jour, chiffre que l’on peut rapprocher de certain autre qui ne manque pas de susciter quelque interrogation de ci de là…"

  • Sur la page FB du Prince Jean, Comte de Paris et sur le blog ami de La Couronne : l'anniversaire de la Comtesse de Paris

    Source : https://www.la-couronne.org/

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    Photo : Madame la Comtesse de Paris présentant le modèle « Princesse » de la modiste Marie d’Argent

    Vendredi 19 juin, la princesse Philomena d’Orléans, comtesse de Paris,  a fêté son 43ème anniversaire.

     

    La princesse Philomena, est l’épouse du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le comte de Paris, Jean IV de France. La princesse est née le 19 juin 1977 à Vienne, patrie de sa mère Maria-Antonia Edle von Steinhart. Avant son mariage, la future comtesse de Paris a vécu dans plusieurs pays et parle couramment cinq langues.

    En épousant le prince Jean de France le 2 mai 2009 à Senlis, Philomena de Tornos y Steinhart est devenue officiellement la nouvelle duchesse de Vendôme. Un titre qui fut porté la dernière fois par la princesse Henriette de Belgique, fille des comte de Flandre et sœur du Roi Albert Ier depuis son mariage en 1896 avec le prince Emmanuel d’Orléans, duc de Vendôme jusqu’à sa mort en mars 1948.

     

    Depuis 2011, le comte et la comtesse de Paris  habitent au domaine royal de Dreux avec leurs quatre enfants :

      • S.A.R. le prince Gaston, né le 19 novembre 2009 dans le 14e arrondissement de Paris.
      • S.A.R. la princesse Antoinette, née le 28 janvier 2012 à Vienne (Autriche).
      • S.A.R. la princesse Louise-Marguerite, née le 30 juillet 2014 à Poissy (Yvelines).
      • S.A.R. le prince Joseph, née le 02 juin 2016 à Dreux.
      • S.A.R. la princesse Jacinthe, née le 9 octobre 2018 à Dreux

     

    La princesse Philomena s’occupe personnellement au quotidien de ses enfants et le comte de Paris semble ravi de seconder son épouse. Depuis ses fiançailles, la princesse est très proche de sa belle-mère, Madame la duchesse de Montpensier, la consulte très souvent et tient compte de son avis et de ses conseils. La princesse est également très proche de sa belle-sœur la princesse Marie de France. Elle aime la vie de famille et cultive donc l’esprit de famille. Madame la comtesse de Paris est une maman comblée qui souhaite que ses enfants connaissent et cultivent des liens avec leurs nombreux cousins et cousines disséminés à travers l’Europe.

     

    Toute l’équipe du blog de la couronne souhaite à Madame la comtesse de Paris un très bon et joyeux anniversaire.

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    Comte de Paris, Site Officiel

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  • Année Saint-Joseph Au cœur du mystère de Noël, par Gérard Leclerc.

    Nativité, Notre-Dame-des-Champs, Paris.

    © Philippe Lissac / Godong

    Le pape François est donc venu confirmer le grand attachement des papes de l’ère contemporaine à la figure de l’époux de la Vierge Marie et du père de Jésus. C’est à l’occasion des 150 ans de la décision de son prédécesseur, le bienheureux Pie IX, d’invoquer saint Joseph comme patron de l’Église universelle, que le Souverain pontife adresse sa lettre apostolique aux fidèles.

    gerard leclerc.jpgDans le but «  de faire grandir l’amour envers ce grand saint, pour être poussés à implorer son intercession et pour imiter ses vertus et son élan  ».

    Nul doute qu’il recevra un accueil fervent à son initiative, tant le patronage du juste par excellence est cher aux chrétiens, qui l’invoquent dans leur vie quotidienne et dans certains moments difficiles. Faut-il sous-entendre que les fidèles du rang soient sur ce point plus attentifs que les théologiens patentés ? Lorsque saint Jean XXIII décida d’introduire le nom de Joseph dans le canon de la messe, il fut critiqué par certains liturgistes pointilleux. Mais le jésuite Jorge Bergoglio trouve dans la tradition de sa compagnie de solides appuis à sa propre dévotion. Un grand mystique du XVIIe siècle, le Père Lallemant, n’hésitera pas à invoquer saint Joseph au cœur même de sa méditation du mystère chrétien. Ce qui peut expliquer la persistance d’un attachement de la part des fils de saint Ignace.

    Le gardien et le guide

    Le pape François n’explique-t-il pas que, tous les jours depuis quarante ans, après les laudes, il récite une prière à saint Joseph tirée d’un livre français de dévotion des années 1800 ? On comprend qu’il ait le vif sentiment de rejoindre dans l’épreuve actuelle tous ceux qui ne font pas la Une des journaux, mais n’en sont pas moins «  en train d’écrire les événements décisifs de notre histoire : médecins, infirmiers et infirmières, employés de supermarché, agents d’entretien, fournisseurs de soin à domicile, transporteurs, forces de l’ordre, volontaires, prêtres, religieuses et tant d’autres qui ont compris que personne ne se sauve tout seul  ».

    Joseph est l’homme inaperçu, dont la présence est indispensable à l’avènement du Salut. Il faut absolument méditer le texte magnifique de François, qui intervient aussi providentiellement à l’approche de Noël. Dans toutes les crèches du monde, Joseph est bien à sa place comme point de repère mais aussi comme premier acteur dans les circonstances de l’avènement du Sauveur. Il est le gardien et le guide, l’homme de toutes les déterminations. Et il sait, de révélation divine directe, qui est cet enfant : «  Elle (Marie) enfantera un Fils, et tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera le peuple de ses péchés  » (Mt 1, 20-21). C’est Joseph qui donne son nom «  Dieu sauve  » à l’héritier des promesses, ce qui lui vaut à jamais notre attachement et notre tendresse.

    Source : https://www.france-catholique.fr/

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1. La meilleure des nouvelles possible : une nouvelle Abbaye bénédictine en France ! : Le "Prieuré Sainte-Marie de La Garde" (Lot-et-Garonne), ayant été érigé en maison autonome avec le titre d’abbaye, l’élection du premier abbé a été présidée par dom Courau (père abbé de Triors), le 18 février dernier, en présence de dom Louis-Marie de Geyer d’Orth (père abbé du Barroux)...

    https://fr.aleteia.org/2021/02/22/une-nouvelle-abbaye-benedictine-en-france/

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    2. Le "mal" de la France ? C'est la République idéologique, le Système. Nous sommes passés de la Royauté, "flèche du progrès" (comme le disait Pierre Debray) à un État obèse, impuissant et paralysant. Et surtout, taxeur ! Taxeur au point d'en être confiscatoire. Si, au moins, ces sommes prélevées sur les Français étaient dépensées dans des activités créatrices d'emplois et préparant l'avenir : mais non !  : elles sont gaspillées, stérilisées pour des administrations pléthoriques, un Parlement surdimensionné, des doublons administratifs, une aide sociale (?) insensée au monde entier...

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    3. Le comble de l'indécence ! Elles avaient rejoint Daesh, l'organisation terroriste islamiste, afin de l'aider dans son sale boulot de décapitation et de violences de tout type et tous azimuts : voilà que des "Françaises"  détenues en Syrie sont en grève de la faim pour réclamer leur rapatriement... En somme, celles qui ont fait preuve de la plus grande inhumanité, et qui ont volontairement collaboré à cette inhumanité sans limite, implorent - pour elles - une pitié qu'elles n'ont jamais manifestée - pour les autres. Nous préférons avoir une pensée pour tant d'innocents tués, pour ces chrétiens décapités, pour les homosexuels assassinés, pour toutes les victimes de la barbarie islamiste...

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    4. Jean Messiha a raison : l'islamo-gauchisme, c'est loin d'être nouveau. Rappelons-nous ce qui s'est passé sous Giscard avec l'ayatollah Khomeiny : "...Médias et intellectuels français s’étaient épris de l’ayatollah Khomeini quand il était en France, le considérant comme un grand révolutionnaire ! La gauche a toujours été l’idiote utile des pires totalitarismes !"

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    5. Une idée de dissolution pour Gérald Darmanin, puisqu'il est possédé par un "esprit dissolveur" et qu'il "s'ach'hargne" sur Génération identitaire, se trompant, manifestement, de cible ! :

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    6. Sport et embrouille au Qatar, sur fond de tenue vestimentaire... : En réponse, les Qataris ont assuré qu'ils n'avaient jamais fait une telle demande et que les joueuses ont simplement été invitées à porter des T-shirts et de longs pantalons par " respect de la culture et des traditions du pays hôte". Cocasse - fait remarquer avec raison le Collectif Némesis -  quand on sait par exemple que lors des Jeux asiatiques, le Qatar a refusé que ses joueuses jouent sans voile. Le respect de la culture et des traditions, c'est seulement quand il s'agit d'eux, donc, et de leurs coutumes à eux... Mais eux sont dispensés de respecter celles des autres...
     
     
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    7. Et on finira cette série d'aujourd'hui avec "le coup de gueule du jour" :

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    À DEMAIN !

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  • Sur la page FB du Courrier Royal : mise en vente du château de D’Artagnan, le célèbre mousquetaire du roi.

    Le domaine familial de d’Artagnan, situé dans le Gers près d’Auch, a été mis en vente depuis mi-avril pour 2,5 millions d’euros. Le château de Castelmore est le témoin de 10 siècles d’histoire. Son origine se situe entre le XIème et le XIIème siècle, mais c’est la naissance vers 1615, dans ce château, de Charles de Batz, plus connu sous le nom de « d’Artagnan » qui lui confère sa notoriété.

    Le château appartenait au député gersois Yves-Marie Rispat, décédé en 2015. Un tour de façade ronde, deux pavillons carrés, un superbe escalier de bois à trois virages, carrelages d’époque, cheminées monumentales ; bien qu’il ait été plusieurs fois remanié, le château, dont les parties les plus anciennes datent du XIIe siècle, a conservé la silhouette que lui a connu Charles de Batz.

    Charles de Batz, « le comte d’Artagnan »

    Devant ce château, il est facile de s’imaginer le bouillonnant jeune homme cavalcadant dans l’immense domaine. Charles de Batz a quitté Castelmore vers 20 ans, pour s’engager auprès du roi Louis XIV. Lorsque le jeune Charles de Batz quitte Castelmore pour Paris, il décide ; comme deux de ses frères qui s’engagent dans le métier des armes ; d’utiliser le nom de la terre d’Artagnan, qui était une seigneurie, possédée par la famille de sa mère, Françoise de Montesquiou d’Artagnan

    D’Artagnan est revenu en son château natal, au moins une fois, lorsqu’il accompagna Louis XIV se marier avec Marie-Thérèse d’Autriche à Saint-Jean-de-Luz. Le cortège royal fit étape tout près de Castelmore, à Vic-Fezensac, le 25 avril 1660. Capitaine lieutenant des mousquetaires de Louis XIV ; une des charges les plus importantes du royaume ; il meurt durant le siège de Maastricht en 1673.

    Pour « un véritable projet »

    Le château a pu revivre l’été dernier ses heures de gloire, puisqu’un docu-fiction (disponible sur Arte jusqu’au 8 juin) y a été tourné, retraçant les vies parallèles du vrai capitaine d’Artagnan et du héros imaginé par Alexandre Dumas. Un très gros succès pour la chaîne puisque ce documentaire a rencontré un franc succès, dépassant le million de téléspectateurs.

    Au sein du village de Lupiac, la maire Véronique Thieux-Louit sait l’importance de D’Artagnan et du musée qui lui est consacré pour la vie locale. Pour cette raison, elle aimerait que le château ; dont plusieurs parties, le hall d’entrée et son escalier monumental, sont classées aux Monuments historiques ; “ne reste pas dans le domaine privé”. Elle aimerait qu’il y naisse “un véritable projet”, avec une “ouverture au public un jour.”

    Voici quelques photos du château et de ses intérieurs. Cliquez sur les images pour les visualiser

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    Sources : https://le-courrier-royal.com/

    https://www.facebook.com/lecourrierroyal