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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • A la découverte de l'homme Maurras : la reine de France chez Charles Maurras...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : la reine de France chez Charles Maurras...

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    13 juillet 1934...

    ...la Duchesse de Guise est reçue par Charles Maurras en son Jardin de Ferrières.


    Elle est l'épouse de celui qui aurait été Jean III, s'il avait régné, le Duc de Guise, père du Comte de Paris, Henri VI (le grand-père du Prince Jean, actuel Coimte de Paris).


    La loi d'exil en vigueur à l'époque (elle ne sera abrogée qu'en 1950) empêchait de recevoir le Prince en personne, et son héritier, mais, ne s'appliquait qu'à eux, et non aux autres membres de la Famille : c'est ce qui explique que Maurras a pu inviter, et recevoir, la Duchesse, mais seule, et sans son mari...

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  • Sacré Zemmour, sacré Maurras ! : ”Quand Charles Maurras inspire Emmanuel Macron”, par Eric Zemmour

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    Dans Le Figaro magazine d'hier, Zemmour consacre sa chronique à Emmanuel Macron, mais surtout à... Charles Maurras, d'où son titre : Quand Charles Maurras inspire Emmanuel Macron.

    Lisez-là, elle ne vaut la peine, comme toujours chez Zemmour, et même encore un peu plus cette fois-ci.

    Vous aurez droit, en prime, à la fin de la chronique, au lien vous donnant accès au chapitre 24 de Kiel et Tanger, de Maurras, auquel fait référence Zemmour et qui constitue le deuxième de nos Grands Textes...

    Il est né le divin enfant ! Les médias proclament la bonne nouvelle. Emmanuel Macron est sacré grand diplomate. Un mélange de Mazarin et de Talleyrand. En mieux. On souligne la manière habile avec laquelle il a circonvenu Trump - toujours présenté comme un éléphant un peu benêt dans un magasin de porcelaine. On exalte l'effet de surprise provoqué par la venue de l'Iranien à Biarritz. Sans oublier l'invitation à Poutine qui avait précédé le G7. C'est le triomphe de la France médiatrice, conciliatrice, faiseuse de paix. Une France indépendante, imaginative, transgressive. Bref, le retour de la France gaullienne. Peu importe le résultat concret de cette opération diplomatique. L'important est dans la manière.

    Justement, arrêtons-nous sur la manière. Celle d'un président français qui fait des coups dans son coin. Où est le couple franco-allemand ? A quoi sert l'Europe ? Que faisait Donald Tusk, sinon tapisserie ? C'est la France, et elle seule, appuyée sur sa tradition diplomatique, qui a joué un jeu classique. Avec des relations d'homme à homme, d'Etat à Etat, de nation à nation. Le G7 n'est pas l'ONU, l'UNESCO ou les grandes conférences internationales. Ce n'est pas le droit qui y règne mais la diplomatie traditionnelle bilatérale. Pas les grands principes, mais les rapports de force. On est plus près du chancelier Bismarck que d'Aristide Briand.

     

     

    Et maintenant, voici, comme promis, le lien vers notre deuxième Grands Textes ("un acquis pour la suite des temps..." disait Pierre Boutang) : L'inoxydable 24ème chapitre de "Kiel et Tanger", de Charles Maurras

     

    Bonne lecture !

  • A la découverte de l'homme Maurras (1) : D'où viennent les Maurras ?

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : les origines de la famille Maurras...

    Beaucoup l'ignorent : la famille Maurras n'est pas de Martigues, mais de Roquevaire, où se trouve le caveau familial. Et vient de plus loin et de plus haut encore : de la Haute Provence (photo demain).
    C'est d'ailleurs à Roquevaire que Charles Maurras est enterré, ainsi que son frère, Joseph, son père et sa mère.

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    Seul son coeur se trouve à Martigues, dans le jardin de "sa" maison, qui est la sienne parcequ'elle était celle de sa mère, qui était une Garnier.
    Le père de cette madame Garnier - laquelle épousa donc le père de Charles Maurras, - était marin, et navigua avec le Prince de Joinville, qui vint un jour visiter son ami dans sa maison, à Martigues.
    De même, à Martigues, Maurras n'est pas né dans "sa" maison du Chemin de Paradis, mais dans une autre, très étroite, située sur l'actuel Quai Marceau.
    A l'époque ce Quai s'appelait le Quai Brescon sur toute sa longueur.
    Aujourd'hui, seule l'extrémité du Miroir aux oiseaux s'appelle encore Quai Brescon : l'autre partie, à l'opposé, où se trouve donc la maison natale de Maurras, s'appelle maintenant Quai Marceau.
    Voilà pourquoi on peut voir une ancienne photo montrant l'actuelle pointe du Quai Brescon/Miroir aux oiseaux sur laquelle Maurras a écrit de sa main : "Mon quai natal"...

  • Demain, un ”Défendez Maurras/Sauvez sa Maison” particulier, avec l'article de Pinkoski : The Revenge of Maurras

    "Il faut lire Maurras." : telle est la conclusion et la dernière ligne de cet article de Nathan Pinkoski, chercheur postdoctoral au St. Michael's College de l'Université de Toronto.

    L'article est en anglais, mais un menu déroulant propose sa traduction en français (assez - voire franchement - mauvaise par moment).

    S'il faut lire Maurras - et nous sommes bien d'accord avec Pinkoski là-dessus - il faut lire également cet article, et le faire lire : on pourra, certes, émettre quelques réserves, voire quelques critiques; apporter telle ou telle précision, atténuer ou souligner telle ou telle affirmation.

    Mais, tel qu'il se présente, cet article est le symbole même de ce que nous aimerions voir et entendre dans une Maison de Maurras, à Martigues, intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et qui serait devenue un centre national et international d'études et de recherches sur la pensée et l'oeuvre du Maître de Martigues...

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    lafautearousseau

  • A la découverte de l'homme Maurras (10) : dans le quartier de l'Île, la maison natale de Maurras...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui  (10) : dans le quartier de l'Île, la maison natale de Maurras...

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    Une plaque devait être apposée par la Mairie sur la façade de cette "maison natale"; elle existe, mais on ne sait plus trop où elle se trouve...

     

    Le Quai sur lequel s'élève cette maison s'appelait autrefois Quai Brescon sur toute sa longueur.
    De nos jours, sa moitié ouest s'appelle Quai Marceau, seule la partie est (du côté de l'Etang de Berre) s'appelle encore Quai Brescon..
    C'est la raison pour laquelle, dans les Oeuvres capitales, on voit une vieille photo de l'autre extrêmité du Quai (aussi appelé par les martégaux "le Miroir aux oiseaux") avec, écrite de la main de Maurras, cette légende" : "Mon quai natal"...

    On voit ci-dessus la façade avant de la maison "sur le rivage" (comme il est dit dans le poème Destinée), avec un peu plus de recul ci-dessous :

     

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    Très étroite, sur trois plans (deux étages sur rez-de chaussée) la maison ne comporte qu'une fenêtre par plan !
    Elle occupe par contre le pâté de maison sur toute sa longueur, et possède donc la même apparence sur sa façade arrière (ci dessous)...

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    La mère de Maurras était une Garnier (Marie-Pélagie, qui épousa Jean Maurras, fonctionnaire de Roquevaire fraîchement muté à Martigues).

    Et la famille Garnier possédait trois "biens", à Martigues :


    * une "maison", dans le quartier de l'Île (celle-ci, où est né Maurras);
    * une "campagne", c'est-à-dire, en fait un terrain planté de vignes et d'oliviers;
    * et un "jardin", l'actuelle "maison de Maurras" et son jardin....

    Or, il y avait trois filles dans la famille : Marie-Pélagie - la mère de Maurras - et ses deux soeurs : Valérie et Mathilde.
    Maurras est donc né dans l'une des maisons de la famille Garnier, celle que l'on voit ici, donnant sur la Quai Brescon (aujourd'hui, Quai Marceau)...

    Rappelez-vous du poème Destinée : c'est là, dans cette minuscule maison, que naquit Maurras "le jour de la lune", quand "le soleil n'en finissait ps de se lever sur ta lagune"; et voilà pourquoi il y parle de son "île"...

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  • Patrimoine • Au hameau « Les Maurras », rapprochement inattendu entre sport, santé, détente et Charles Maurras !

     

    Ne dit-on pas « Mens sana un corpore sano » ? : les beaux jours arrivent, et, avec eux, le désir de retrouver la nature.

    Pour les amateurs de marche à pied-randonnée, ou de VTT, savez-vous qu'il existe, dans cet endroit de Haute Provence dont sont partis, il y a bien longtemps, les ancêtres des Maurras, un circuit sport-santé ?

    Il se trouve dans la petite - mais charmante... - commune de Saint Julien le Montagnier, dans le Haut Var, commune située sur l'aire du Parc naturel régional du Verdon, à deux pas du très beau lac d'Esparron-sur-Verdon.

    En voici une très rapide présentation :  

    Circuit « Les Maurras » :

    Itinéraire en boucle. (9,485 Km) - Dénivelé : 102 mètres - Durée : environ 5 heures.

    Départ depuis l’Office de Tourisme (Parking).

    Intérêts du sentier :

    Les Paysages

    Caractéristiques de l’arrière-pays provençal, ils sont contrastés en toute saison. Vous parcourrez les plaines agricoles avec cultures céréalières, de la vigne et de la truffe pour découvrir un magnifique panorama sur le village perché de St Julien et ses moulins à vent.

    La Flore

    La végétation est encore typique des Préalpes calcaires : forêts de pins sylvestres, pins d’Alep, chênes blancs et chênes vert. garrigue provençale, flore sauvage méditerranéenne, xérophile et aromatique nous rappellent la richesse des parfums de la Provence.

    Le Patrimoine

    Les attraits paysagers et floristiques de ce circuit s’ajoutent au patrimoine rural : le lavoir des Fontettes (XIXe siècle), la fontaine et la chapelle situées à Saint-Pierre ; l’oratoire Saint-Eloi (1948), l’oratoire Saint-Denis (XIXe également), le lavoir des Phélines (1880), l’oratoire Saint-Marc. De plus, l’itinéraire du circuit permet de découvrir la Bastide Neuve, sans oublier le pont de pierre autrefois très emprunté.

    Alors, à vos vélos, à vos chaussures de marche, et... bonne randonnée ! 

    Commune de Saint Julien le Montagnier

  • Éric Zemmour répond à Emmanuel Macron sur l'identité française.


    Je réponds à Emmanuel Macron qui montre, en m’attaquant, qu’il rejette décidément le modèle français.

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    QUESTION — Dites-moi dans les commentaires : Quels thèmes souhaitez-vous que j'aborde et où souhaitez-vous que je me rende ?

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    Mon But:

    J'avais mis au jour dans le Suicide français la mécanique de l'idéologie progressiste qui a conduit notre pays à l'abîme. Mises en danger, ses élites ont compris que la survie de leur projet passerait par la radicalisation du processus de destruction.

    Rarement nous n'avons été aussi affaiblis, désunis, subvertis, envahis qu'aujourd'hui. Pas un jour sans sa provocation, sans sa déconstruction, sans sa dérision, sans son humiliation.

    J'ai décidé de poursuivre le récit des choses vues, des choses tues, trop longtemps tues. Pour que la France ne se contente pas d'avoir un futur mais trace aussi les voies d'un avenir. Pour continuer l'Histoire de France.

    L'Histoire n'est pas finie.

  • Sur la page FB de l'Action Royaliste Rennaise : enfin la réouverture des terrasses des restaurants et cafés.

    Enfin la réouverture des terrasses des restaurants et cafés, de la rue Saint-Michel à la place du Calvaire, des Lices à Villejean, etc. ! En attendant la réouverture complète...
    Et à Rennes, ce sera déjà un petit air de fête !!

    Les militants et sympathisants de l'Action Royaliste Rennaise/ Groupe d'Action Royaliste se feront un devoir de soutenir les indépendants de la restauration et ce monde des bistrots qui est aussi un mode de vie et de partage propre à la France et à son histoire : en son temps, l'écrivain Honoré de Balzac écrivait aussi que "le comptoir d'un café est le parlement du peuple".
    (photo d'une inscription prise à Versailles, sur la place du Marché Notre-Dame)
     
  • Sur la page FB de l'Action Royaliste Rennaise : contre la haine et le sectarisme.

    Samedi 30 janvier, une manifestation (autorisée par la préfecture) contre les dérives marchandes des lois de bioéthique voulues par le gouvernement a été violemment agressée par des manifestants « antifas » (sic !) qui veulent empêcher tout débat sur les questions sociétales pour mieux imposer leur propre conception individualiste de la société.

    Ces agresseurs, héritiers des républicains intolérants de 1793 dont Rennes a eu tant à souffrir à cette époque de la Révolution (en particulier avec le sinistre Carrier) ont montré leur haine de toute liberté de pensée et d’expression qui n’irait pas dans leur sens. 
    Ce n’est pas la première fois que de tels actes de violente intolérance ont lieu dans notre ville, des réunions de l’Action Française (nationaliste et royaliste) ou de L’étudiant Libre (organisation d’étudiants de Droite) étant régulièrement attaquées par les mêmes groupes nihilistes et antihumanistes, sans oublier ces militants monarchistes pris à partie à Sciences Po-Rennes l’an dernier…
    L’Action Royaliste Rennaise condamne ces actes d’intimidation et de haine sectaire, et rappelle son attachement à la liberté de réunion et de manifestation, à celle de contestation et de discussion, et cela pour tous, sans exclusive. Dans la ville de Rennes qui a baptisée une place du nom du royaliste Georges Bernanos, nous rappelons notre fidélité à l’esprit de liberté que l’écrivain, de son vivant et dans son œuvre toujours actuelle, a toujours affirmé et défendu, et cela contre tous les totalitarismes et toutes les haines.
     
  • Quelques mots à la suite de la publication : « Réflexion sur l’action politique actuelle », du Prince Jean, Comte de Par

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    C’est au choix, ce qui était hier n’a plus cours, plus de valeur : «  Aujourd’hui mieux qu’hier et bien moins que demain » dit l’adage !
    Mais qu’est-ce que l’aujourd’hui, sans racines, ni avenir ? 
    Notre Prince s’en émeut ! Il ne s’agit pas de regretter ou d’idéaliser le…Temps Jadis ; mais simplement d’en tenir compte et de se souvenir combien l’ancrage est important, voire indispensable !
    Quant à « Demain », il est aussi capital d’y songer et d’y consacrer toute son énergie et de le préparer par une vision à long terme. 
    Voilà deux caractéristiques héréditaires et royales  qui donnent une structure solide au système monarchique.
    Par ailleurs, il n’y a pas de royauté sans âme religieuse.
    L’Âme est religieuse par principe, comme la République laïque est déicide, également par principe ; or sans âme il n’y a plus d’Humanité mais de l’animalité !
    Notre Prince nous invite à redécouvrir l’Histoire et plus particulièrement l’histoire de la Royauté en France.
    Demain peut s’envisager radieux et prometteur…
    Aujourd’hui, est bien triste et morose, même en étant très optimiste…
    Quelles étaient belles les ballades des Dames du Temps Jadis…
     

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    Roses Princesse Philoména

  • À la découverte de huit français(e)s ”illustres et méconnus”...

    28 février 2007/28 février 2021 : lafautearousseau fête ses quatorze ans !

    Pour célébrer cet évènement d'une façon un peu originale, nous avons choisi d'extraire huit passage de nos Éphémérides, qui vous emmèneront, pendant une semaine, à la découverte de huit personnes éminentes de notre Histoire mais qui, pourtant, sont peu ou pas du tout connues, du moins du grand public...

    Aujourd'hui (1/7) : Marie Marvingt...

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    14 ans ! Un anniversaire célébré en rappelant nos Racines, notre Culture, notre Histoire et ceux qui l'ont faite : Frédéric Mistral ne disait-il pas "Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut" ?...

    (Extrait de notre Éphéméride du 20 février)

     

     

    1875 : Naissance de Marie Marvingt

     

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    Celle que l'on appelait "la fiancée du danger" est sans aucun doute, pour reprendre l'expression de François Bluche, la plus illustre des françaises... méconnues !

    Pionnière de l’aviation, l'une des meilleures alpinistes de son temps, infirmière, licenciée ès lettres et parlant sept langues, Marie Marvingt est la femme la plus décorée de l'histoire de France, comptabilisant trente-quatre décorations, dont la Légion d'honneur et la Croix de guerre avec palmes : déguisée en homme, elle est dans les tranchées pendant presque six semaines, dans le 42ème Bataillon de Chasseurs à pied. Découverte, et chassée, le maréchal Foch l'autorise à rejoindre le 3ème Régiment de Chasseurs alpins en Italie, dans les Dolomites !...

    Sa devise étant "Je décide de faire mieux encore et toujours", elle est également détentrice de dix-sept records mondiaux.

    En 1899, elle devient l'une des premières femmes titulaires du permis de conduire, puis passe quatre brevets de pilote : pilote de ballon en 1909, pilote d'avion et d'hydravion en 1910, pilote d'hélicoptère en 1961, ainsi que pilote de dirigeable : elle effectue son premier vol accompagné dès 1901, et son premier vol en solo le 19 juillet 1907. Le 26 octobre 1909, elle devint la première femme à piloter un aérostat (L'Etoile filante) entre la France et l'Angleterre.

    En 1908, elle pose sa candidature pour participer au Tour de France cycliste : devant le refus des organisateurs, elle fait le même parcours que les hommes, en prenant le départ plus tard qu'eux.

    Elle invente l'aviation sanitaire en 1910.

    Est-ce à cause de son patriotisme fervent qu'elle est si injustement oubliée aujourd'hui ? Ou parce qu'elle était l'amie de ce grand royaliste que fut Lyautey ? Ou encore parce qu'elle était aussi une admiratrice du grand pape Pie X, qui lui offrit une médaille qu'elle portera toute sa vie autour du cou, jusqu'à sa mort, le 14 décembre 1963 ?

    Cette Ephéméride se propose, modestement, de contribuer à faire connaître cette figure, littéralement extra-ordinaire...

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    https://histoireparlesfemmes.com/2016/02/22/marie-marvingt-la-fiancee-du-danger/

  • Un mauvais coup contre les travailleurs et contre l'économie française.....

              .....Mais quel jeu joue donc la CGT ? Manifestement, un jeu dangereux et pervers.

              En donnant la main à l'action des clandestins/hors la loi, elle ne peut que créer, ou renforcer, un état de fait qui, concrètement, aboutira au mieux à la stagnation, au pire à la baisse des salaires. En effet, la CGT fait le choix non seulement  de ne pas demander l'expulsion de  cette population prête à travailler pour un salaire plus bas que la moyenne, mais encore elle l'invite en quelque sorte à institutionnaliser, à pérenniser sa présence ici.

              On va donc forcément voir s'accentuer la "pression à la baisse" sur les rémunérations qu'exercera de plus en plus cette population d'immigrés pauvres. Ces immigrés acceptent déjà, et accepteront toujours demain, des salaires et des conditions d'emploi et de travail inférieures, ce qui ramènera fatalement en arrière l'économie française et les travailleurs.....

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             La CGT, dont on croyait qu'elle était là pour défendre les travailleurs, laisse donc s'installer en France une sorte de concurrence déloyale contre ces mêmes travailleurs. Pire: elle parraine cette installation, elle y aide, elle y contribue !

             Étrange attitude, donc, que celle de ce syndicat CGT. A limage de l'écrevisse qui, lorsqu'elle sent un danger, se précipite à reculons, la CGT montre bien par là qu'elle ne lutte pas pour aller vers un progrès social, passant par l'amélioration des salaires et des conditions de travail. Elle lutte, de facto, pour la régression sociale, en prenant le parti surprenant d'installer ce qu'on aurait appelé jadis une "classe ouvrière bis". La vérité simple est que la CGT a toujours préféré des masses « prolétariennes » misérables, manoeuvrables à merci, au bien-être vrai des travailleurs. 

             Il faut dire la vérité aux gens. On ne peut pas vivre dans le mensonge permanent et l'illogisme perpétuel. On ne peut pas à la fois pousser les gens, par idéologie soi disant anti raciste (ou par générosité dévoyée...) à manifester pour la présence sur notre sol de travailleurs pauvres prêts à accepter un salaire qu'ici personne n'accepterait; et puis après se plaindre que la qualité de vie diminue, que les salaires n'augmentent pas, que les conditions de travail s'aggravent.... et donc pousser les mêmes gens à manifester, entre autres, pour la défense et l'augmentation du pouvoir d'achat !       

  • La Rochelle : les quatre martyrs oubliés de la Révolution française, par Thomas Brosset.

    La salle du corps de garde de La Rochelle (au premier plan, porte rouge), tour de la Chaîne, où eut lieu le massacre. © Crédit photo : Xavier Léoty

    HISTOIRE - Le 21 mars 1793, quatre hommes d’Église réfractaires à la Révolution étaient arrêtés et conduits à La Rochelle. Ils devaient être débarqués pour l’île de Ré quand les émeutiers, avec à leur tête Darbelet, les ont massacrés. Cet article a été publié le 10 octobre 2012 dans nos colonnes.

    On connaissait les prêtres réfractaires de l’île Madame, ceux du couvent des Carmes à Paris, tous « bienheureux martyrs » des sans-culottes. Mais on ignorait que La Rochelle avait également payé son écot au bain de sang révolutionnaire. Reprenant les données d’un ouvrage de l’avocat Claudy Valin paru en 1992 (1), Rodolphe Huguet, guide dans les tours de La Rochelle et passionné d’histoire, s’est replongé dans cet épisode pour le moins barbare du passé rochelais pour le raconter, en 2012, dans le bulletin de l’« Association des bienheureux martyrs de 1792 », créée par les familles des victimes afin de perpétuer leur mémoire.

    Procédure judiciaire

    Et il n’épargne aucun détail dans sa relation des faits commis à la tour de la Chaîne il y a 228 ans : « Sans protection, les prêtres sont alors massacrés et coupés en morceaux par les émeutiers qui se partagent des lambeaux de chair humaine. Les têtes des prisonniers sont promenées au bout de fourches. Les corps mutilés sont traînés dans les rues de la ville, derrière une charrette. Un dénommé Albert récupère deux des têtes pour les mettre à fumer dans sa cheminée… »

    Les quatre hommes d’Église ainsi transformés en vulgaire viande le 21 mars 1793 (six mois après les exécutions du couvent des Carmes) s’appellent Charles Cornuault, Jean-Michel Ogeard, Christophe Violleau et Louis Hulé. Réfractaires à la Révolution, ils ont été arrêtés, conduits à La Rochelle, et devaient être embarqués pour l’île de Ré quand les émeutiers, menés par un ultra du nom de Darbelet, ont forcé leur escorte. C’est dans le corps de garde de la tour de la Chaîne qu’ils ont finalement été tués avec la délicatesse décrite plus haut.

    Le lendemain, le même Darbelet est à la tête d’un nouvel attroupement à l’arrivée d’un bateau avec trois autres prêtres. Deux subissent le même sort que ceux de la veille, les pères Dauche et Vergé. Leurs corps sont découpés en morceaux et exposés sur le quai.

     

    « Dans les tours de La Rochelle, on ne parle jamais de cet épisode. »

     

    Deux ans plus tard, une procédure judiciaire est engagée contre les émeutiers. Mais une loi d’amnistie les absout, à l’exception de Darbelet, qui est condamné à dix ans de prison. Il effectuera onze mois. Quant aux six prêtres lapidés, s’ils ne furent pas canonisés, leur mémoire a été honorée avec ferveur dimanche dernier et pour la première fois au monastère Saint-Joseph-des-Carmes de Paris, au même titre que tous les autres « bienheureux martyrs ».

    « Dans les tours de La Rochelle, on ne parle jamais de cet épisode. C’est pourquoi j’ai voulu le ressortir du placard aux oublis. À la suite de l’article que j’ai publié dans leur bulletin, les responsables de l’Association des bienheureux martyrs de 1792 ont décidé de venir faire un pèlerinage à La Rochelle. Sans doute au printemps 2013 », expliquait Rodolphe Huguet en 2012. Pour faire poser une plaque dans la tour de la Chaîne ? L’idée est dans l’air.

    L’histoire de La Rochelle n’en finit pas d’être redécouverte.

    (1) « Autopsie d’un massacre. Les journées des 21 et 22 mars 1793 à La Rochelle », 1992, éditions Bordessoules.

    Source : https://www.sudouest.fr/

  • 3e Prix des lecteurs de la presse française libre.

    Le premier Prix du Livre des Lecteurs et Amis avait été attribué, en 2019, à Jean-Marie Le Pen pour le premier tome de ses mémoires. En 2020, le prix avait récompensé François Bousquet et son essai sur le courage en politique. Quel livre sera récompensé en janvier 2021 ?

    La compétition sera très ouverte, bien plus ouverte que les deux années précédentes, car 2020 a été une année gravement perturbée par la crise sanitaire, le confinement : les éditeurs ont souvent reporté ou annulé les parutions de livres qui auraient dû constituer des « locomotives ». Il n’empêche que cette année aussi, plusieurs livres reviennent dans les conversations.

    Alain Sanders a par exemple attiré notre attention sur le dernier livre de Bernard Lugan, Le Banquet des soudards, sorte de conte mythologique et politique (La Nouvelle Librairie). « Ce livre, hautement jubilatoire en ces temps de femmelitudes dégradantes, ce livre qui deviendra un classique, est l’occasion de s’offrir l’antidote à la terreur molle que fait peser sur nous la société compassionnelle » (Présent du 28 août). On parle aussi beaucoup du livre de Thomas Clavel, Un Traître mot (même éditeur). « On évoque parfois Orwell à propos de mon livre, notait Thomas Clavel dans un entretien récent, ce qui m’honore bien sûr, mais m’écrase un peu. » (voir Xavier Eman dans Présent du 5 septembre). Mais il faut citer aussi L’Homme rétréci par les Lumières, de Xavier Martin (Présent du 26 septembre), ou Les Cosaques et le Saint-Esprit, par Bruno Lafourcade (Présent du 5 septembre). En fait, de nombreux essais de qualité ont été publiés avant et après le confinement. Actuellement, dans la perspective des fêtes de fin d’année, romans, bandes dessinées, guides et ouvrages culturels et artistiques apparaissent dans les rayons de nos librairies préférées. Alors à vos plumes pour désigner l’ouvrage, paru en 2020, qui vous paraît le plus important.

    Ce prix est placé sous la présidence de Maître Thierry Bouclier. Avocat bordelais, spécialiste des questions fiscales, Thierry Bouclier est également un écrivain réputé. Il a publié plusieurs biographies : ADG, Alphonse de Châteaubriant, Tixier-Vignancour, Pierre Poujade, Drieu La Rochelle. Cette dernière biographie mériterait le prix, si Thierry Bouclier n’était pas précisément le président du prix : mais nous ne saurions prêter le flanc à une accusation de conflit d’intérêt ! Le président du prix a également publié des essais importants et deux romans policiers, parus sous le signe du « lys noir », qui font partie des meilleurs de cette jeune collection, comme Présent a eu l’occasion de l’écrire.

    Mais le président du prix des Lecteurs et Amis n’a pas pour objectif de faire un choix à votre place. Il s’agira essentiellement pour lui de vérifier que la désignation du vainqueur aura été réalisée de façon éthique, et de remettre le prix au lauréat, dans le courant du mois de janvier.

    Rappelons les règles : ce prix récompense un livre paru en 2020, et illustrant les causes qui nous sont chères. Les livres visés ne se rattachent pas obligatoirement à un genre littéraire précis. Il peut s’agir d’essais, de romans, de bandes dessinées, de souvenirs, d’ouvrages artistiques, de guides etc.

    L’an dernier, nous avions intéressé les lecteurs des revues Livr’Arbitres et Eléments à cette aventure. Cette année, nous voudrions élargir toujours plus le public des votants, en associant des revues proches par l’esprit (Le Bien commun, Politique magazine etc.), et – pourquoi pas ? – les auditeurs de Radio Courtoisie et les téléspectateurs de TVLibertés.

    L’élargissement du public invité à plébisciter ainsi l’ouvrage de l’année écoulée nous conduit à changer le nom du prix, qui s’appellera désormais : « Prix des lecteurs de la presse française libre ».

    Mais n’oublions pas que ce prix est d’abord et avant tout un outil de promotion des livres, et Présent va donc vous parler, pendant deux mois, des grands livres parus en 2020, et ainsi nous donner des idées de cadeaux de Noël.

    Le prix 2021 des lecteurs de la presse française libre
    1. Il récompense un livre publié pour la première fois en 2020. Les rééditions ne sont donc pas concernées.
    2. Aucun genre littéraire n’est écarté.
    3. Ne peuvent pas être sélectionnés des livres écrits par des journalistes salariés ou mandataires (actuels ou passés) de Présent, et des éventuels médias associés, ni par le président du Prix, ou les lauréats des années précédentes bien entendu.
    4. Tous les lecteurs, abonnés ou non, peuvent voter, par courrier, comme par courriel ; ils sont invités en outre (sans que ce soit une obligation) à expliquer pourquoi ils soutiennent ce livre précisément. Nous publierons, en novembre et décembre, certains de ces textes.
    5. Le vote sera clos le 31 décembre.
    6. Le livre ayant obtenu le plus de suffrages à l’issue de cette période sera désigné comme bénéficiaire du prix.
    7. La récompense pour ce prix prendra la forme de dix encarts publicitaires gratuits pour le livre, dans les pages de Présent, et de rédactionnels traitant (ou traitant à nouveau) de ce livre et/ou de son auteur.
    Comment exprimer votre choix ?

    Par la poste (1 rue de Courcelles 75008 Paris), ou par courriel (prixlecteurs.politiquemagazine@gmail.com) ou en écrivant aux titres associés.

    Vous pouvez télécharger le bulletin de vote : bulletindevote2021

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • À la découverte de huit français(e)s ”illustres et méconnus”...

    28 février 2007/28 février 2021 : lafautearousseau fête ses quatorze ans !

    Pour célébrer cet évènement d'une façon un peu originale, nous avons choisi d'extraire huit passage de nos Éphémérides, qui vous emmèneront, pendant une semaine, à la découverte de huit personnes éminentes de notre Histoire mais qui, pourtant, sont peu ou pas du tout connues, du moins du grand public...

    Aujourd'hui (7/7) : Charles-Axel Guillaumot...

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    14 ans ! Un anniversaire célébré en rappelant nos Racines, notre Culture, notre Histoire et ceux qui l'ont faite : Frédéric Mistral ne disait-il pas "Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut" ?...

    (Extrait de notre Ephéméride du 27 avril)

     

     

    1777 : Charles-Axel Guillaumot est nommé Directeur de l'Inspection des carrières de Paris.

     

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    Beaucoup l'ignorent, mais de nombreux monuments emblématiques de Paris - et notamment Notre-Dame... - ont été construit, au cours des siècles, grâce à l'exploitation d'une pierre d'une rare qualité, se trouvant non loin de la ville primitive, et donc facile et rapide à transporter jusqu'aux chantiers citadins. Ces carrières de pierre se trouvaient majoritairement au sud/sud-ouest, dans les faubourgs de la capitale, qui n'étaient pas encore urbanisés.

    Lorsque la ville grandit, et grandit encore, on oublia ces anciennes carrières, et l'on construisit les nouveaux quartiers sur... un sol creusé de galeries souterraines, certaines insuffisamment étayées, et dont on ne connaissait même plus le réseau ! 

    Il arriva enfin un jour où l'on prit conscience du danger : en décembre 1774, rue d'Enfer, se produisit  un impressionnant effondrement de carrière, qui engloutit sur plusieurs centaines de mètres les habitations en surface; ce fut le premier effondrement d'importance, le dernier en date (du moins, on l'espère), se produisit au Petit-Clamart, en... 1961 !).

     

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    Un homme se présenta : Charles-Axel Guillaumot, qui allait sauver Paris... de l'effondrement pur et simple !

    Et un grand roi, bienfaiteur, nomma cet homme directeur de l'Inspection des carrières de Paris, qu'il venait de fonder : ce roi, c'était Louis XVI...

    Et voilà comment, aujourd'hui, la Ville-Lumière doit sa permanence à celui qui n'hésita pas, pour la sauver, à plonger dans l'obscurité de ses entrailles souterraines...

     

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    L'extraction - pendant des siècles - du calcaire et du gypse dont regorgeait le sous-sol parisien, finit par créer de nombreux vides fragilisant les fondations des nouveaux bâtiments bâtiments, lorsque les anciennes exploitations de pierre des faubourgs furent absorbées par l'urbanisation. Après l'effondrement de 1774, le Conseil du Roi commanda une étude sur l'état du sous-sol : les résultats furent si inquiétants qu'un Décret royal décida, sur-le-champ la création d'une Inspection des carrières (le 24 avril 1777) : Charle-Axel Guillaumot en fut nommé Directeur...

    Il entreprit immédiatement un immense travail de confortement du sous-sol, et... Paris fut sauvé ! :

    http://www.annales.org/archives/x/guillaumot.html