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A la découverte de l'homme Maurras (10) : dans le quartier de l'Île, la maison natale de Maurras...

lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

Aujourd'hui  (10) : dans le quartier de l'Île, la maison natale de Maurras...

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Une plaque devait être apposée par la Mairie sur la façade de cette "maison natale"; elle existe, mais on ne sait plus trop où elle se trouve...

 

Le Quai sur lequel s'élève cette maison s'appelait autrefois Quai Brescon sur toute sa longueur.
De nos jours, sa moitié ouest s'appelle Quai Marceau, seule la partie est (du côté de l'Etang de Berre) s'appelle encore Quai Brescon..
C'est la raison pour laquelle, dans les Oeuvres capitales, on voit une vieille photo de l'autre extrêmité du Quai (aussi appelé par les martégaux "le Miroir aux oiseaux") avec, écrite de la main de Maurras, cette légende" : "Mon quai natal"...

On voit ci-dessus la façade avant de la maison "sur le rivage" (comme il est dit dans le poème Destinée), avec un peu plus de recul ci-dessous :

 

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Très étroite, sur trois plans (deux étages sur rez-de chaussée) la maison ne comporte qu'une fenêtre par plan !
Elle occupe par contre le pâté de maison sur toute sa longueur, et possède donc la même apparence sur sa façade arrière (ci dessous)...

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La mère de Maurras était une Garnier (Marie-Pélagie, qui épousa Jean Maurras, fonctionnaire de Roquevaire fraîchement muté à Martigues).

Et la famille Garnier possédait trois "biens", à Martigues :


* une "maison", dans le quartier de l'Île (celle-ci, où est né Maurras);
* une "campagne", c'est-à-dire, en fait un terrain planté de vignes et d'oliviers;
* et un "jardin", l'actuelle "maison de Maurras" et son jardin....

Or, il y avait trois filles dans la famille : Marie-Pélagie - la mère de Maurras - et ses deux soeurs : Valérie et Mathilde.
Maurras est donc né dans l'une des maisons de la famille Garnier, celle que l'on voit ici, donnant sur la Quai Brescon (aujourd'hui, Quai Marceau)...

Rappelez-vous du poème Destinée : c'est là, dans cette minuscule maison, que naquit Maurras "le jour de la lune", quand "le soleil n'en finissait ps de se lever sur ta lagune"; et voilà pourquoi il y parle de son "île"...

lafautearousseau

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