Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

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Vu sur tweeter (posté par Vendéens et Chouans)
Une double page pour le film du @PuyduFou sur #Charette et les Guerres de #Vendée dans le dernier numéro (décembre 2022) du magazine de la Région des @paysdelaloire :
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir et utilisez le zoom...)
Face à la Révolution et à son Totalitarisme oppressif, terroriste, sanguinaire, les premiers Résistants, défenseurs héroïques de la liberté de l'homme intérieur...
Aux origines du grand combat, de la "Guerre de Géants" (Napoléon) qui dure encore, aujourd'hui...
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Arts & Ciné : Les Bonnes étoiles, un film sud-coréen de Hirokazu Kore-eda, avec Ji-eun Lee (la maman) et Song Kang-Ho (Sang-hyun, propriétaire d’un pressing), prix d’interprétation masculine au festival de Cannes.
Les Bonnes étoiles… C'est le 7ème long métrage de Hirokazu Kore-eda à mon actif. Je n'ai aucun souvenir de I Wish, en 2012 ; j'ai bien aimé Tel père tel fils à la télévision en 2017 alors que je m'étais ennuyé l'avant-veille en visionnant Après la tempête au cinéma ; quant aux 3 autres, j'aurais pu ne pas les voir, et il en est de même de ce dernier. Les films de ce réalisateur japonais me semblent avoir, tous, les mêmes caractéristiques, à savoir trop longs, trop lents, trop compliqués. Mon épouse et une autre spectatrice se disaient ne pas avoir compris la fin... moi non plus, et j'espère qu'il n'y a que la fin...
Je n’aurais d’ailleurs certainement pas vu ces Bonnes étoiles si j’avais lu auparavant l’interview de Kore-eda au quotidien régional, mais c’est sans doute le journaliste lui-même qui ne les a pas vues tellement les propos progressistes qu’il prête au réalisateur ne cadrent pas avec la philosophie du film.
Je me suis en effet quand même réjoui de ces trafiquants d'enfants, "sacrément amateurs", gauches et maladroits, finalement sympathiques et touchants, à la Laurel et Hardy, incapables de vendre l'enfant auquel ils s'attachent.
Je me suis réjoui surtout du moyen du délit - aujourd'hui, en 2022, en Corée du Sud – à savoir une « boîte à bébés » qui permet aux mères d'abandonner leur enfant après la naissance.
Au lieutenant de police qui condamne cet abandon alors qu'il suffisait de ne pas mener sa grossesse à son terme, So-young, la mère du petit Woo-sung, répond avec bon sens que son geste est bien préférable à un avortement qui aurait tué l’enfant dans son ventre. Le réalisateur confirme par ailleurs : « Je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place."
Merci pour cette belle vérité qui me console de ces deux heures dix à subir la langue coréenne en VOSTF. C'est décidé, je retournerai voir du Kore-eda.
Le premier phénomène, c'est Théo Hernandez, qui "remplace" dignement son frère Lucas, lequel, blessé en début de compétition lui a laissé sa place : à la cinquième minute, il marque un but aussi in-marquable que remarquable et "lance" la dynamique de l'équipe !... Encore un qui montre qu'impossible n'est pas français !
Les deux frères : si l'un n'est pas là, l'autre y est pour lui !...
Le second homme de la rencontre, c'est l'immense Grizou, Antoine Griezmann, le véritable "pilier porteur" de l'équipe : cette fois, il n'a ni marqué ni fait de passe décisive (lui qui en a le record, avec ses 28 !...), mais il a fait toute le reste, tout le temps : attaquer, défendre, relancer, sauver la situation, être partout où il fallait, à chaque fois qu'il le fallait. Quel talent ! Quel joueur ! Quel exemple de bon esprit et de la meilleur mentalité qui soit !
Bien sûr, ne pas oublier les deux autres "phénomènes permanents" que sont LLoris et Varane, qui nous assurent une défense au-delà de l'excellence : LLoris - contrairement à la sottise qu'ont pu écrire quelques commentateurs peu inspirés de l'Outre-Manche - est bien le point fort, et le point fort en permanence, de notre équipe; et Varannes est comme son "double"...
Un seul regret pour hier : Adrien Rabiot a manqué; vraiment...
Bravo à Fabien Bouglé, par sa juste dénonciation de la folie suicidaire des soi-doisant "énergies renpuvelables", contre-exemple allemand à l'appui :
Dédié au Parlement européen, au condamné Sarkozy et à bien d'autres encore !!!!!
Reçu en "commentaire", ce jour :
"Bonjour,
Effectivement, ce chapitre est totalement inconnu en métropole, sauf de quelques érudits !
Je souhaiterais me procurer ce livre - Pouvez m'indiquer son éditeur ?
Avec mes remerciements - Excellente journée"
Éditeur : Via Romana, 92 pages, 15 euros
Préfaciers : Philippe Pichot-Bravard et Reynald Secher
(ndlr : et, de plus, Odile de Lacoste est la soeur de notre excellent ami et chroniqueur régulier Antoine de Lacoste...)
Histoire inconnue du grand public et ignorée des manuels scolaires, la victoire de la Vendée créole contre la République en 1794 fut celle des blancs, mulâtres et noirs unis dans une même résistance à la barbarie révolutionnaire. Mais quelles furent les motivations, les figures et les campagnes de cette armée fidèle à son Dieu, fidèle à son roi ? Qui connaît encore l'incroyable destinée de son chef Bernard de Percin, le Charette de la Martinique, celle de Dubuc de Marcoussy le fier artilleur, de Sainte-Catherine et Montlouis Jaham à la tête de leurs compagnies d'hommes de couleur ?
Odile de Lacoste Lareymondie est une enfant de la Martinique. Elle s’est penchée sur les archives de ce moment clef de la contre-Révolution sur cette île paradisiaque, et c’est en pleine lumière que revit sous nos yeux l’épopée de son ancêtre Percin-Canon, aux côtés des principaux témoins et acteurs de ce triomphe des humbles sur les chimères des coupeurs de tête jacobins en Caraïbes.
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C'est dans un style enlevé et avec le souci du détail qu'Odile de Lacoste nous plonge au cœur d'une chouannerie trop méconnue. Ses ancêtres béqués, planteurs à la Martinique, eurent une part active dans le soulèvement contre-révolutionnaire de l'île. Alors que la vie y était harmonieuse, les petits bourgeois de Saint-Pierre furent acquis aux idées subversives des Lumières. Bernard de Percin, surnommé "Percin-Canon", prit donc la tête d'une petite armée composée de nobles, de mulâtres et de noirs unis dans le même combat pour défendre Dieu et leur Roi. Au-delà du récit de cette épopée chouanne victorieuse, c'est l'histoire de la Martinique restée longtemps fidèle aux coutumes de l'Ancien Régime, que nous brosse l'auteur avec talent. (15 ans, ce livre intéressera également les parents) MC
Vendée créole? Le qualificatif étonnera. C'est pourtant bien une réaction contre-révolutionnaire à la Martinique que raconte l'auteur, originaire de l'île. Situation étonnante! Aidés des Anglais, fort d'une bonne connaissance du terrain, ces Vendéens d'outre-mer, noirs, mulâtres et békés, tous unis, portent un coup d'arrêt, lors de la bataille de l'Acajou, aux troupes venues de Guadeloupe, évitant à la Martinique les affres de la Terreur. Une page méconnue, doublée d'un beau récit d'aventures.
Philippe Maxence
On a chouanné ailleurs qu'en métropole mais pour la même cause: Dieu, le roi et les libertés. Contre la République qui voulut s'imposer aussi sur les îles d'outre-mer, la Martinique se souleva, unissant dans un même effort, blancs, mulâtres et noirs. A leur tête Bernard de Percin, véritable Charrette de la Martinique et ancêtre de l'auteur. L'épopée de ces hommes, généralement inconnue, est racontée avec simplicité par Odile de Lacoste Lareymondie dans ce petit livre au titre évocateur qui résume à lui seul le sens de cette résistance antirévolutionnaire: la Vendée Créole. "Le Choc sera d'une grande violence", souligne Reynald Secher, dans sa préface. Mais il permettra d'éviter à la Martinique les horreurs de la Terreur et de garder longtemps un parfum d'Ancien Régime.
Philippe Maxence
L'ampleur de la révolte vendéenne a masqué les nombreuses autres petites "Vendée" qui ont éclos sur le sol français en réaction à la passion destructrice de la tyrannie révolutionnaire: "Rares furent les anciennes provinces françaises qui n'eurent pas leur Vendée", note Philippe Pichot-Bravard dans sa préface. La Martinique eut la sienne, qu'Odile de Lacoste Lareymondie réssuscite dans un récit rapide et enlevé. Bernard de Percin, qui aimait à dire : "Si dans cent ans on exhume mes ossements et qu'on les heurte les uns contre les autres, le son qui en sortira sera celui de "Vive le Roi!"", fut son Charrette. Mais un Charrette victorieux grâce à la protection des Anglais, qui préserva l'île de la Terreur et lui permit de conserver tout au long du XIXème siècle, selon l'auteur, son charme d'Ancien Régime.
L.D.
Posté (sur tweeter) par Antoine Bengale
https://twitter.com/Antoine_Bengale/status/1602218534792306688?s=20&t=23txtP2ZzwLZAO2ZK74Bkg
SOLIDARITÉ KOSOVO !
SOLIDARITÉ SERBIE !
AVEC NOS FRÈRES CHRÉTIENS - LÀ COMME EN ARMÉNIE... - AGRÉSSÉS PAR L'ISLAM CONQUÉRANT ET EXPANSIONNISTE...
Une étude sérieuse du Coran permet d’y découvrir la présence d’un nombre substantiel de passages semblant relever de doctrines jugées hérétiques par le Magistère de l’Église. Or, une prise en considération de ces hérésies chrétiennes dans le livre sacré des musulmans est nécessaire pour connaître réellement l’islam et entreprendre un dialogue en vérité avec les musulmans.
La complexité de cette question mérite donc une clarification. Telle est la tâche entreprise par Annie Laurent dans cette Petite Feuille Verte n° 94. Elle se présente comme une introduction générale au sujet (définitions, contexte historique, etc.); les suivantes exposeront les différentes hérésies les unes après les autres (millénarisme, arianisme, nestorianisme, pélagianisme, iconoclasme, etc.), avec leur contenu et leur application dans le Coran...
Art & Essai : Les Pires, un film français, le 1er long métrage de Lise Akoka et Romane Gueret, avec Johan Heldenbergh (le réalisateur, Gabriel), Mallory Wanecque et Timéo Mahaut (Lily et son frère Ryan), Loïc Pech (Jessy, le flirt de Lily).
Les Pires … Ce film n’en est pas, même si on peut ne pas le voir… Avec un scénario relativement compliqué, un docufiction sur le quartier Picasso à Boulogne-Sur-Mer et la grande misère de ceux qui y habitent. Mon premier étonnement vient de l’absence de diversité… y a-t-il encore des quartiers populaires de souche ?
Nous étions 3 dans la salle, sans enthousiasme, à constater notamment qu’une grande partie des répliques nous avait échappé, dites dans un sabir ch’ti avec l’intonation des beurs de tous les quartiers… Pour une fois, j’ai regretté l’absence de sous-titrage...
« On la trouvait plutôt jolie, Lily », militait autrefois Pierre Perret… Même si elle n’arrive pas des Somalies, la Lily du film, elle aussi, est jolie, et je confesse avoir envié l’horrible Jessy.
C’est Michel Delpech qui chantait
« Pour un flirt avec toi
Je ferais n’importe quoi… »
et même pire… de retourner au cinéma.
La chute de la Maison Mélenchon...
Il y a le feu au lac à LFI en particulier, mais aussi dans la Nupes en général (ce qui est assez logique, la NUPES étant une "invention/création" à marche forcée - et forcée tout court, à but strictement électoraliste - du dit Mélenchon...
• D'abord, LFI est dans le collimateur de"mitou" depuis plusieurs semaines (Coquerel est devenu "Coi-Querel" après les accusations d'attitudes et actes "déplacés"; Quattenens a giflé Céline et, depuis, ne vient plus à l'Assemblée (mais en restant payé !!!!) et les allié(e)s de LFI, dont évidemment Sandrine Rousseau, n'hésitent pas à l'attaquer là-dessus...)
• Mais aussi, et il ne veut pas l'admettre (c'est pathétique !) Mélenchon a fait son temps, il est fini... Sa première élection remonte à...1983 et, comme sénateur, en 1986 : autant dire à l'époque des grottes de Lascaux ! Il parle de "dégagisme" et demande à tout va que l'on libère les places : que ne prêche-t-il par l'exemple !
Il se serait évité bien des soucis !...
Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de Communication Culturelle vous convie ce mardi 13 décembre 2022 à 19h à la conférence de Jérôme Besnard :
La décentralisation en question
La décentralisation fête ses quarante ans. Pourtant le modèle actuel ne fait pas l'unanimité, ne répondant pas aux attentes des administrés. Entre la tentation du pouvoir central de recentraliser et les expériences locales, quel bilan tirer, peut-on envisager d'achever ce processus à la lumière du principe de subsidiarité ?
Élu local et ancien collaborateur de cabinet de diverses collectivités territoriales, Jérôme Besnard est également rédacteur au "Journal des communes". Il enseigne le Droit constitutionnel à l'Université Paris Cité.
La conférence sera précédée de Assemblée générale ordinaire du centre Lesdiguières.
Au siège de l'Automobile Club Dauphinois, 107 rue des Alliés 38100 Grenoble
Possibilité de se garer dans la cour intérieure (Inscription requise et participation aux frais)
courriel: centrelesdiguieres@gmail.com
Merci de nous informer de votre participation par retour de courriel
Hichem et Mohamed ont massacré sans raison Jean, 87 ans. Il vient de mourir. La réaction de Matthieu Valet est juste et bonne, et nous la partageons, mais elle ne nous suffit pas :
Anne Hidalgo l'enlaidisseuse, la "ratisseuse" a reçu ce qu'elle méritait : un courageux Parisien lui a crié face aux caméras :
"Anne Hidalgo, vous êtes la honte de la France, vous êtes la honte de Paris ! On a mis deux siècles à faire de Paris la plus belle ville du monde, en deux mandats vous en avez fait la poubelle du monde !..."
BRAVO À LUI !
Le symbole de Paris'dalgo !