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Revue de Presse et d'Actualité... - Page 97

  • La mairie de Paris condamnée, et avec elle Anne Hidalgo : il va falloir rembourser les aides à l'Islam !

     

    Mur-bleu gds.jpgNotre « grain de sel » de ce jour sera très court. Il consistera surtout à lire l'article - qui se passe de commentaires - auquel le lien ci-dessous donne accès, article paru dans le journal suisse politiquement très incorrect Les Observateurs.

    Cet article date d'un an (janvier 2016) : il n'a curieusement pas intéressé Le Canard enchaîné ni les journaleux bobos-gauchos, qui se sont bien gardés de nous en informer. Informer, honnêtement et impartialement, ne serait-ce pas là, pourtant, leur mission première, et centrale ?

    Bizarre, bizarre. Vous avez dit bizarre ?...  

    logo_observateurs.png

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  • Inquiet, un peu effrayé, Franck Mathevon découvre Jean Raspail et Le camp des saints, sur France info

     

    Mur-bleu gds.jpgLisez la courte page d'accueil de France info, du jeudi 9 février [Lien ci-dessous] ; et écoutez, en bas de page, les 2'05" d'entretien du journaliste avec Raspail, sur son ouvrage étonnamment prémonitoire* : évidemment, dans la maison France info, on va immédiatement frémir et se faire peur, en agitant les mots d' « extrême-droite », « racisme » et autres niaiseries.

    yO8VCyJQ.jpgMais, enfin, malgré cette puérilité affligeante - et révélatrice de l'état d'esprit de la très grande majorité de ceux qui sont aux manettes de l'audio-visuel - donnons acte à Franck Mathevon d'avoir, au moins, le temps d'une chronique, braqué les projecteurs sur un vrai visionnaire, un grand Français, un « lanceur d'alerte », en somme, comme on dit volontiers, aujourd'hui. 

    Et, puisque France info décerne des notes chaque jour - avec Fabienne Sintès, dans sa matinale du 7/9 - nous vous laisserons, cher lecteur, décerner la note que vous semblera mériter cette chronique.

    Au moins, elle nous change un peu; et puis, comme on dit, avec ce genre de chronique - trop rare, il est vrai - on peut dire, vraiment, que le diable porte pierre. 

    Jean Raspail Le camp des saints

     

    * Nous l'avions interrogé, du reste, pour Je suis Français, avec tant d'autres.

  • Adepte de la « discrimination positive » : Macron, raciste assumé

     

    Mur-bleu gds.jpgCertes, ce n'est pas lui qui a inventé le concept, ni le mot. Déjà, Anne Lauvergeon, nullissime chef d'entreprise qui a mis notre fleuron Areva et toute notre filière atomique en sérieuse difficulté, proclamait en son temps que, « à compétence égale, elle embaucherait un immigré plutôt qu'un Français, c'était clair ».

    Macron n'a donc pas inventé cette nouvelle forme de racisme (car, le racisme inversé, c'est toujours du racisme) ; il n'empêche, en visite électorale en Seine-Saint-Denis, celui qui prétend faire du neuf avec des vieux a bien pris soin de proclamer qu'il faisait sienne la « discrimination positive » : aux Mureaux, il a même proposé de verser une prime à l'entreprise qui recrute en CDI un habitant des « quartiers prioritaires » !...

    Mais, considérer des gens comme « prioritaires » par rapport à d'autres, parce que ils sont d'une certaine origine, parce que ils appartiennent à une certaine ethnie, parce que ils sont pratiquants d'une certaine religion etc.… : n'est-ce pas cela le racisme ? N'était-ce pas cela qui était à la base de l'apartheid en Afrique du Sud ? Mépriser et déclasser quelqu'un parce que il est noir, maghrébin ou musulman, oui, c'est du racisme. Le favoriser et le promouvoir pour la même raison, c'est évidemment, aussi, du racisme. Inversé, mais du racisme quand même. 

    Que dirait Emmanuel Macron si un chef d'entreprise passait une annonce, du genre « Recherche homme blanc, salaire plus élevé si français de souche » ? Il faut croire que lui, le Canard enchaîné et toute la gauche moralisatrice des sépulcres blanchis hurleraient à la mort. Et pourtant, c'est cela, la « discrimination positive » : on vous engagera si vous êtes noir ou maghrébin. Et si vous êtes musulman de surcroît, alors, là, ce sera le gros lot ! 

    Macron est raciste. Il n'est pas le seul, surtout à gauche.

    Gageons que Le canard de mercredi prochain va nous faire des « révélations » là-dessus !... 

  • Ces immigrés qui haïssent la France : l'insurrection ethnico-islamique de Saint-Denis

     

    Mur-bleu gds.jpgLes faits (Source : France info)

    Cinquante-cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, ce mardi 7 mars pour « attroupement armé et jets de projectiles » dans et devant le lycée Suger de Saint-Denis (et aussi dans et devant les lycées Bartholdi et Paul Eluard), mais aussi... dans la rue !

    Les faits se sont produits vers 10 heures ce matin-là, au moment de la récréation. Professeurs et élèves ont entendu une grosse explosion dans le hall du lycée. L'air est devenu irrespirable, à cause de la fumée. Les élèves ont donc été conduits dans la cour de l'établissement. Au même moment, un groupe de jeunes s'est introduit dans le lycée et a tenté d'allumer un incendie dans trois endroits distincts de l'établissement. Ils sont ensuite entrés dans l'un des bâtiments et y ont répandu de l'essence. Les départs de feu ont été rapidement maîtrisés...

    Après l'évacuation des élèves, des fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs individus armés de pierres, de mortier, d'explosifs et de cocktails Molotov...  

    Notre commentaire

    Le roi du Maroc, Hassan II, père de l'actuel roi Mohammed VI, avait raison, et savait de quoi il parlait, lui qui est descendant du Prophète et « Amir al-Mu’minin » (c'est-à-dire « Commandeur des Croyants ») lorsqu'il parlait à une Anne Sinclair, visiblement déstabilisée, de l'immigration en France.

    Avec lucidité, il disait : Vous faites une grande violence à tous ces musulmans marocains [il ne voulait pas parler des Algériens, Tunisiens ou autre Africains, s'en tenant, à juste titre, à son rôle de roi du Maroc], en leur demandant de s'intégrer ou de s'assimiler à votre culture. Ils sont marocains et musulmans et ils le resteront ; ils ne seront jamais français à cent pour cent ; vous arriverez peut-être à maîtriser la première et la deuxième génération, mais la troisième ou la quatrième vous exploseront au visage...

    Nous y sommes.

    Il ne faut pas se leurrer : à l'heure où un apprenti sorcier nommé Macron envisage sérieusement d'ouvrir encore plus les portes à une immigration africaine encore plus importante, l'immigration déjà installée en France règne en maîtresse dans plus de 1.500 quartiers ou cités (et peut-être 2.000, et peut être plus). Dans ces zones de non-droit, dont tout le monde sait l'existence mais que personne ne veut nommer dans le Pays légal, qui brade la France, cette immigration est déjà, de fait, maîtresse du terrain. Dès qu'elle se sentira prête, assez sûre d'elle, elle déclarera « zone islamique » telle ou telle cité, tel ou tel quartier.

    Que fera-t-on, alors ?

    Parmi la cinquantaine de « jeunes » interpellés, quasiment tous sont mineurs. Légalement, quasiment tous sont français. Mais « Français de plastique » seulement, et « sans avoir l'esprit ni le cœur français », comme le disait Charles de Foucaud.

    Fortement islamisés, ou "ré-islamisés", ces « jeunes » croient au dogme fondamental du Medhi, expliqué par le père de Foucaud : « tout musulman, (je ne parle pas des libres penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui, musulman, ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l'engage à subir avec calme son épreuve ; «l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération», disent-ils ; ...mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France. »

    Ce jour-là, n'en doutons pas, est proche. Une grande insurrection se profile, dont nous ne savons ni le jour, ni l'heure, ni le lieu (ou les lieux). Mais elle arrive, c'est évident, elle est même déjà là, de fait, attendant son heure et rongeant son frein, d'une façon de moins en moins cachée.

    Et si, d'aventure, cette insurrection triomphait - et là où elle triompherait... - nous n'aurions le choix qu'entre deux solutions : nous convertir sous la contrainte ; ou partir loin de chez nous.

    Alors, sans hésiter, nous en choisirions une troisième : nous battre pour la Libération nationale. 

     

  • 8 mars 1921 : Création du Premier Régiment étranger de Cavalerie

     

    Mur-bleu gds.jpgAujourd'hui, l'Armée française célèbre cet évènement d'importance : la création du 1er REC, qui est le seul régiment de cavalerie au sein de la Légion étrangère et le seul régiment de la Légion au sein de la cavalerie, ce qui justifie sa devise « A nul autre pareil » qui était aussi celle du Roi Soleil. 

    Mais cette création porte également en elle une autre charge émotionnelle forte, qui mérite d'être rappelée : ce régiment a été créé avec des contingents de cavaliers tsaristes, les « Russes Blancs », ceux de l'armée de Wrangel, qui luttèrent héroïquement contre la révolution bolchévique. 

    On connaît le mot célèbre des révolutionnaires bolchéviques, « Février, c'est 1789, Octobre c'est 1793 ». Les marxistes léninistes avaient pleinement conscience de revivre, mais en accéléré, la Grande Révolution fondatrice de 1789, qu'ils voulaient pousser jusqu'à ses extrêmes limites, et dont ils voulaient que « leur » révolution fût la quintessence, l'expression la plus achevée...

    Alexandre Soljenitsyne a parfaitement dressé le parallèle entre Vendéens et Russes blancs. Au moment où la Révolution française, puis la bolchévique, ont lancé au monde leur message idéologique, porteur du totalitarisme, de la Terreur, du génocide et du goulag, Vendéens et Russes blancs ont envoyé au monde le message exactement contraire : celui de la liberté intérieure de l'homme, face au totalitarisme ; celui de l'enracinement dans une terre, une histoire, des traditions, face à l'idéologie, abstraite et désincarnée. « Leur patrie, ils l'ont dans le cerveau - disait Charette - nous l'avons sous les pieds... »  

    Voici comment Soljénitsyne évoque l'héroïque petite Vendée de Tanbow, dans son discours prononcé le samedi 25 septembre 1993, aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée :  « La révolution russe, elle, n'a pas connu de Thermidor qui ait su l'arrêter. Elle a entraîné notre peuple jusqu'au bout, jusqu'au gouffre, jusqu'à l'abîme de la perdition. Je regrette qu'il n'y ait pas ici d'orateurs qui puissent ajouter ce que l'expérience leur a appris, au fin fond de la Chine, du Cambodge, du Vietnam, nous dire quel prix ils ont payé, eux, pour la révolution. L'expérience de la Révolution française aurait dû suffire pour que nos organisateurs rationalistes du bonheur du peuple en tirent les leçons. Mais non ! En Russie, tout s'est déroulé d'une façon pire encore et à une échelle incomparable. De nombreux procédés cruels de la Révolution française ont été docilement appliqués sur le corps de la Russie par les communistes léniniens et par les socialistes internationalistes. Seul leur degré d'organisation et leur caractère systématique ont largement dépassé ceux des jacobins. Nous n'avons pas eu de Thermidor, mais - et nous pouvons en être fiers, en notre âme et conscience - nous avons eu notre Vendée. Et même plus d'une. Ce sont les grands soulèvements paysans, en 1920-21. J'évoquerai seulement un épisode bien connu : ces foules de paysans, armés de bâtons et de fourches, qui ont marché sur Tanbow, au son des cloches des églises avoisinantes, pour être fauchés par des mitrailleuses. Le soulèvement de Tanbow s'est maintenu pendant onze mois, bien que les communistes, en le réprimant, aient employé des chars d'assaut, des trains blindés, des avions, aient pris en otages les familles des révoltés et aient été à deux doigts d'utiliser des gaz toxiques. Nous avons connu aussi une résistance farouche au bolchévisme chez les Cosaques de l'Oural, du Don, étouffés dans les torrents de sang. Un véritable génocide... »

    Ecoutez, en l'honneur de ces Russes blancs qui, comme nos Vendéens, ont tout tenté pour détruire la Révolution, le magnifique chant des Partisans Blancs, qui exalte leur sacrifice et leur grandeur. 

  • Républicains et démocrates, mais « contre le peuple »

     

    Mur-bleu gds.jpgL'ahurissant dialogue Jean-Pierre Elkabbach-Fabienne Keller...

    Le débat se traîne, ce vendredi 3 mars, à 10h45, sur C News (anciennement, « i-Télé »). Comme souvent, on n'a pas affaire à un journaliste qui interroge un homme politique (ici, une femme) mais à deux compères du politiquement correct. Même si, officiellement, Fabienne Keller est réputée « droite/centre droit », elle fait partie de ce petit monde bobo/gaucho où tout le monde est d'accord sur l'essentiel, et surtout avec les journaleux de la classe médiatique qui « dit » le vrai, qui décrète où est le bien, où est le mal, qui sait ce que le public doit penser, et le lui dit sans cesse, dans un bourrage de crâne et une manipulation incessante, du soir au matin et du matin au soir... 

    Donc, ça ronronne ferme, ce vendredi, et c'est mortellement ennuyeux. Jusqu'à 10 heures 50, où Jean-Pierre Elkabbach, qui n'en peut plus de critiquer Fillon face à une Fabienne Keller qui n'en peut plus de l'approuver, lâche cette petite phrase : « Et Fillon qui organise cette manifestation du Trocadéro dimanche, mais c'est un appel au peuple ! ». Fabienne Keller, qui vient de se réveiller, saisit la balle au bond, et, bien sûr approuve chaudement : « Oui, c'est du populisme, ce n'est pas acceptable, ce n'est pas possible, on ne peut pas approuver cela... ».

    En somme, « l’appel au peuple », c'est mal.

    On aurait aimé être sur la plateau pour rappeler à ces deux belles âmes que, jusqu'à présent, il était bien entendu que la souveraineté réside dans le peuple, et que la légitimité ne peut procéder que de lui. On a même fait des tas d'élections pour ça. Et, pour ce qui est de la Justice, il faut bien se rappeler que tous les jugements sont rendus « Au nom du Peuple français ». Le duo Elkabbach/Keller - mais, avec eux, tous ceux qui pensent comme eux, et ils sont légion... - a-t-il aboli la démocratie ? La République ? Au prétexte que l'appel au peuple c'est... du « populisme » ? 

    Pauvre Abraham Lincoln, lui qui déclarait, dans son discours du 19 novembre 1863, à Gettysburg : « ...A nous de décider que le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, ne disparaîtra jamais de la surface de la terre. » C'était bien, semble-t-il, ce que pas mal de gens, pendant pas mal de temps, appelaient « république », ou « démocratie ». Il faut croire que c'est terminé... 

    Lincoln ne se doutait pas qu'un jour, finalement assez proche (qu'est-ce qu'un siècle et demi, à l'échelle de l'Histoire ?) une caste, dont il ne pouvait imaginer l'irruption, puis la toute-puissance médiatique, abolirait son cher « gouvernement du peuple etc.… », que la nouvelle caste dirigeante affuble maintenant de l'odieux nom - odieux, pour elle - de « populisme ».

    Le Brexit, librement voté par les britanniques ? Trump, librement élu par les étatsuniens ? Demain les Pays-Bas ou l'Autriche administrés par ce qu'ils appellent avec mépris et dégoût « l’extrême-droite » ? Cela ne vaut rien, c'est du populisme ! Du populisme, vous dit-on, uniquement du populisme, et rien que du populisme, comme la Toinette de Molière, symbolisant tous les Diafoirus de la création, répétait « le poumon ! le poumon ! » à ce pauvre Argan, dans Le Malade imaginaire

    Maintenant, posez la question au sieur Elkabbach et à Dame Keller : êtes-vous toujours démocrates ? Et républicains ? Ils vous jureront évidemment, la main sur le cœur, et en chœur, que, bien sûr, ils le sont !

    Ah, les beaux républicains, les beaux démocrates que voilà ! 

     

  • Dérapage, bavure... Les « contractions » de Vincent Peillon...

     

    Mur-bleu gds.jpgCertes, nous dira-t-on, maintenant, Peillon, c'est du passé, c'est dépassé. C'est vrai, et c'est du reste très bien ainsi. Il n'en demeure pas moins qu'il ne faut pas tout laisser passer, et qu'il y a des choses qui doivent être dites : donc, un dernier mot sur l'ancien ministre de l'Education nationale...

    C'est bien connu, depuis La Fontaine, « selon que vous serez puissant ou misérable... »

    On a vu, récemment, que Vincent Peillon, grand prêtre de la Nouvelle Religion Républicaine, pouvait tout se permettre, dire tout et n'importe quoi, et surtout des choses qui, dites par quelqu'un d'autre, auraient déclenché une fureur hystérique et une énorme opération médiatique, où la moraline et les injonctions de la bien-pensance et du politiquement correct se seraient déchaînées.

    Ce fut le cas le mardi 3 janvier, dans une émission politique sur France 2. Vincent Peillon a osé comparer le sort fait actuellement aux musulmans (quel sort ?) à celui des Juifs sous le régime de Vichy. Déclarant que l'on « utilisait » la laïcité, aujourd'hui, contre des musulmans comme « ça a été fait » sous Vichy, contre les Juifs !...

    Tout simplement. C'est énorme, non ?

    Eh ! bien, cherchez les réactions indignées à de tels propos, littéralement aberrants : vous n'en trouverez guère ! BFM/TV, pour une fois, a bien un peu cherché à réagir, en invitant, dès le lendemain, mercredi, William Goldnadel pour débattre de la chose avec David Assouline, porte-parole et « défenseur » de Vincent Peillon. Avec quelques rapides commentaires sur les JT du même soir, où l'on se pressa d'envoyer les sujets suivants, ce fut à peu près tout.

    La Sainte alliance de la cléricature médiatique et du politiquement correct avait manifestement décidé d'étouffer dans l'œuf cette affaire, alors que le même « politiquement correct » aurait très certainement demandé la mort politique de toute autre personne, procédant sur le champ à sa lapidation médiatique avec, de toute évidence, mais c'est plus surprenant, l'aval d'un CRIF que l'on a connu, naguère, nettement plus intransigeant, et qui, d'ordinaire, ne laisse quasiment rien passer. Passons... 

    Il faut donc se contenter de ce qui a été dit dans ce court débat sur BFM/TV... 

    David Assouline, étant donné l'énormité du « dérapage » - comme disent les journaleux... - fut très arrogant et très combattif : il savait que le scandale était tel qu'il fallait l'étouffer immédiatement en criant plus fort encore que ceux qui commençaient à s’indigner ; dans une envolée fourre-tout (il reprocha à William Goldnadel d'écrire dans Valeurs actuelles et dans Le Figaro !) il alla jusqu'à excuser Vincent Peillon, disant que, lors de réunions publiques, il fallait parler et répondre rapidement à beaucoup de gens (ce qui est vrai), que cela était difficile (ce qui est encore vrai) et que, parfois, cela obligeait à des... « contractions » !

    Admirable, non, le coup des « contractions ?

    Face à tant de mauvaise foi et d'arrogance agressive, William Goldnadel étonna - positivement - par son calme et sa retenue, qualifiant la misérable prestation de Vincent Peillon comme elle devait l'être : de la « bêtise ». Et de resituer le tout dans le double contexte de « plenelisation » - dû au fougueux trotskyste, qui a commis le livre « Pour les musulmans » (rien que le titre, tout un programme !...) - et de l'irrésistible processus de crétinisation qui emporte la gauche ! 

    Et « l’échange », qui de fait n'eut pas lieu, s'arrêta là, à la justesse de cette remarque, qui méritait, certes, d'être faite publiquement : les propos de Vincent Peillon ne relèvent que d'une incommensurable bêtise.

    Il n'empêche : le vrai visage de Vincent Peillon, on le connaît très bien, à Lafautearousseau*, mais il a cru bon de rendre encore plus publique son islamophilie délirante, dont la seule raison d'être est que, selon lui, l'Islam est un moyen supplémentaire de détruire tout ce qui est « chrétien » en France, afin de laisser place nette à sa Nouvelle Religion Républicaine. Ce faisant, il n'a fait que montrer sa méconnaissance totale de l'Islam, et du totalitarisme qu'il induit partout où il règne en maître. La haine viscérale du christianisme l'empêche de voir que, si d'aventure l'Islam s'implantait en France, il détruirait ou soumettrait - comme il le fait partout ailleurs dans le monde, là où il domine - tout ce qui n'est pas « lui » ; et la Nouvelle Religion Républicaine du grand prêtre Peillon ne pèserait alors pas lourd, son sort serait alors vite réglé... 

    Goldnadel a raison, il l'a bien dit : « bêtise » ; processus de « crétinisation », qui explique, tout simplement, le déclin intellectuel que subit « la gauche » .  

     
  • Raciste, stigmatisant, discriminant, francophobe... : mais, c'est Bernard-Henry Lévy !

     

    Mur-bleu gds.jpgImaginez un seul instant que lafautearousseau - ou qui que ce soit, du reste... - ait écrit l'équivalent du misérable petit texte précédent, imité de lui mais contre l'Islam.

    Quelque chose comme :
     
    « Bien sûr, nous sommes résolument anti-cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est bled, djellaba, darbouka, fantasia, bref, "mouslim" ou vert-prophète nous est étranger, voire odieux » : que diraient le CRAN, SOS Racisme, ou toute autre organisation (qu'il faut d'ailleurs dissoudre) ? Il est assuré qu'elles porteraient plainte.
     
    Nous, nous ne risquons rien, car nous nous livrons à un exercice assumé de parodie et de détournement.
     
    Mais est-il normal qu'un riche bobo de gauche, prétendument philosophe (philosophe du pauvre, un vrai philosophe, c'est Platon, c'est Aristote.) vienne se moquer de tout un peuple, de ses moeurs et coutumes ? Certes, nous dira-t-on, le texte date un peu (1985) : mais, justement, il ne l'a pas renié, il n'a jamais fait son mea culpa, ni présenté ses excuses. Ce qui aggrave son cas.
     
    Mais BHL n'en a  cure : cet intello mégalo des salons dorés de la bourgeoisie parisienne friquée sait qu'il ne risque rien : il vit dans un pays où il « fait » son sale fric, mais il crache sur ce même pays ; il hurle avec les loups, il fait partie du Système, de la bien-pensance et du politiquement correct ; il caresse l'opinion au pouvoir dans le sens du poil. Ou plutôt, il la fait. Il peut dire ce qu'il veut, dont le millionième inverse serait interdit à n'importe qui d'autre. Nous, par exemple. C'est cela qui est odieux.
     
    On ne peut que lui rappeler que, après ce qu'il a fait en Libye, et la catastrophe qui en a découlé, la seule chose qu'il y aurait à faire, pour lui, serait de se cacher le plus loin possible, de se  faire oublier, s'il se peut, et de disparaître des écrans radars. Mais, non ! La coqueluche des mangeurs de caviar à la louche continue, sans se lasser. Dernière opération médiatique : dénoncer « une rafle obscène » à propos du décret Trump interdisant, pour 90 jours,  l'entrée aux USA des ressortissants de sept pays jugés « à risque » par la présidence étatsunienne.
     
    Ce qui est « obscène », c'est la caste de ces nantis/privilégiés parfaitement incarnée par BHL, qui se permet de pérorer sur tout et n'importe quoi, pour dire et faire tout et, surtout, n'importe quoi, sans que jamais personne n'ose lui rabattre son caquet. 
  • « Je soutiens Marin » !

      

    Mur-bleu gds.jpgUne sorte de petit miracle : c'est ce à quoi l'auditeur de la matinale de France info a eu droit, ce matin du mardi 22 février, peu avant 7 heures. Tout d'un coup, sans crier gare, l'équipe de la matinale - très à gauche, et très en pointe à gauche - envoie un reportage, court mais éloquent, sur cette « affaire »* dont, jusque-là, les médias n'avaient pas parlé... 

    A Lyon, le 11 novembre 2016, dans un jardin public, un couple s'embrasse. Des « jeunes » (vous avez compris de qui il s'agit...) semblent trouver cela obscène, puisqu'ils se mettent « courageusement » (tout un groupe contre deux !) à les prendre physiquement à partie. Le jeune Marin, 20 ans, qui par hasard passe là à ce moment, n'hésite pas une seconde, et défend le couple : il reçoit une volée de coups de béquilles très violents sur la tête, sombre dans le coma ; pronostic vital engagé et lourdes séquelles à craindre. Quinze jours après, il est sorti du coma, et réapprend tous les gestes du quotidien, avec courage et détermination (c'est un sportif). Mais tout reste très difficile...

    Le pitoyable semble-président, qu'il nous faut supporter encore pendant quelques semaines, n'est pas venu au chevet de Marin. Pourtant, il ne pouvait ignorer « l’affaire », et il a reçu une pétition, dont le nombre de signataires ne cesse d'augmenter, pour que Marin reçoive la Légion d'honneur. Mais un jeune Français qui ne fait que son devoir, n'écoute que son courage, vole au secours des agressés, cela ne doit pas lui plaire. Pensez, il faudrait dire qui l'a tabassé à mort : des « jeunes », impensable ! 

    Donc, maintenant, Marin s'en sort, il commence à récupérer, mais avec le seul appui de sa famille et de ses amis. Pas de pétition en vue chez les Balasko, Benguigui ou Olivier Py, de la race des signeurs dont nous parlions récemment. Pas d'émoi journalistique, pas de belles consciences, pas de prénom chez les bobos, occupés ailleurs, et par leurs très chers « autres » ...

    Mais, au fond c'est mieux ainsi. En effet, n'allez surtout pas croire que nous allons, ou que nous voulons, « faire de la politique » en parlant de Marin. Bien au contraire. Si nous, qui n'avons jamais « été Charlie », et qui l'avons dit et redit, nous nous sentons si proches de Marin, si nous pouvons dire « Je suis Marin », c'est parce que le courage spontané de ce jeune étudiant (3ème année) nous permet, bien mieux que de polémiquer, de nous souvenir de ce que Gustave Thibon nous a si souvent dit et redit, lors de ses discours des Rassemblements royalistes des Baux : une société saine, c'est une société avec un minimum de lois, mais un maximum de mœurs.

    L'acte courageux de Marin nous le rappelle, aujourd'hui, en l'illustrant à la perfection. C'est en ce sens qu'il est bien plus « politique » que de la basse politique politicienne, et qu'il interdit toute récupération ou manipulation de mauvais aloi. Que chacun, mentalement, fasse preuve du même état d'esprit que Marin ; que chacun se comporte, le cas échéant, comme lui : voilà le message éminemment sain et réconfortant qu'envoie cette pénible affaire. Et voilà en quoi le jeune Marin est à donner en exemple à tous.

    Nos lecteurs sont bien habitués, maintenant (Lafautearousseau a eu dix ans le 28 février dernier) au chiasme de Sénèque, que nous avons choisi comme devise dès nos débuts : « Non quia timemus non audemus, sed quia non audemus timemus » : « Ce n'est pas parce que nous avons peur que nous n’osions pas, c'est parce que nous n'osons pas que nous avons peur » .

    Mais, pour louer encore l'acte courageux du jeune Marin et pour le donner en modèle à tous, tant cet idéal est nécessaire aujourd'hui, on peut encore citer Virgile, et sa parataxe fameuse, que Marin a parfaitement illustrée, aussi : « Amore, More, Ore, Re ». C'est à tout cela que se reconnaît le véritable ami, « par l'amour, les mœurs, les paroles, les actes ». 

    A lire ici ... 

    La mère de Marin lance un appel

    je soutiens Marin facebook

     

  • Après la Nasa, le Pays légal découvre son exoplanète : sa composition ? Du « faux jeune » Macron et du « vrai vieux » Bayrou

      

    Mur-bleu gds.jpgLe « dégagisme », pour reprendre l'excellente expression de Mélenchon, avait touché tout le monde, jusqu'à hier, montrant l'exaspération des Français face à ces hommes ou femmes politiques - pas forcément âgés, d'ailleurs... - qui incarnent depuis trop longtemps tout ce qu'ils ne veulent plus voir : Cécile Dufflot fut la première virée, puis Sarko et Juppé (et NKM) ; puis Valls et Montebourg (et Peillon) ; Hollande, jugeant plus prudent de ne pas se représenter, s'auto-dégagea lui-même. A un près, on se croirait dans la comptine des Dix petits nègres, magistralement employée par Agatha Christie dans son chef d'œuvre : disparaissant l'un après l'autre, à la fin, « N’en resta plus qu'un. / Un petit nègre se retrouva tout esseulé / Se pendre il s'en est allé... »

    Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Bayrou était, non pas le dernier des Mohicans, mais le dernier des vieux caïmans, le dernier dinosaure, sur l'avenir duquel les très engoncés politologues - en l'occurrence, paléontologues - dissertaient longuement. Ne s'étant présenté à rien, il n'avait pas été formellement « dégagé », jusqu'ici, mais il a fait le même calcul que Hollande. Habilement (ou hypocritement : chacun son choix) il s'est lui aussi auto-dégagé, mais habillant ce sabordage du joli nom d'alliance, ou de pacte, pour sauver les apparences.

    Tout content, le sémillant Macron - toujours sans programme complet et, donc, sans « chiffrage », et qui a commencé sa dégringolade dans l'opinion, après ses multiples déclarations ineptes et insanes - a accepté ce « baiser de la mort », voyant le seul côté arithmétique des choses, pensant qu'il suffisait d'ajouter des chiffres sondagiers à d'autres, et croyant qu'il tenait, là, « un tournant dans la campagne ». 

    Laissons-les tous les deux à leurs illusions, et tâchons de raisonner froidement. Cette alliance contre nature va-t-elle peser d'un grand poids pour Macron, ou va-t-elle au contraire être pour lui un grand poids, certes, mais un grand poids mort, un insupportable boulet, qui va l'entraîner dans sa dégringolade ?

    On ne peut que pencher pour la seconde interprétation, lorsque l'on jette un œil sur les trois tweets suivants de Bayrou, précédant le quatrième, qui les contredit à angle droit. Cette cuisine électorale (élu, sans vergogne, par les voix "de droite" (?) maire de Pau, Bayrou refuse sa voix à "la droite", pour la présidentielle ) étant justement ce qui écœure les Français, ce dont ils ne veulent plus, et ce qui a conduit au « dégagisme de tous ». La simple lecture de ces trois tweets, suivie de celle de leur tweet contraire se passe de tout commentaire, et formera notre conclusion, qui s'impose d'évidence :

    Trois tweets anti Macron (« mais, ça », comme dit Alain Delon dans la pub, « c’était avant » !) :
     
    Derrière Emmanuel Macron il y a des gds intérêts financiers incompatibles avec l'impartialité exigée par la fonction publique #Bourdin Direct

    Emmanuel Macron est le principal responsable de la politique économique de François#Hollande depuis quatre ans. Et pour quels résultats?#QDI

    Je ne me reconnais pas dans ce qu'E#Macron incarne. Son projet de société est proche de celui défendu par N#Sarkozy en 2007»Questions.Pol

    Et, tout d'un coup, ô miracle, Bayrou a vu Saint Macron ! :
     
    •  J'ai décidé de proposer à Emmanuel#Macron une alliance pour offrir à la France une vraie alternance#Présidentielle 2017#ConfBayrou 
  • La Vierge de Publier déplacée ? Insuffisant ! Exigeons le déplacement de Notre-Dame de Paris !

     

    Mur-bleu gds.jpgEncore une de ces bonnes histoires bien rigolotes (quoique fort tristes, au fond) comme la Libre pensée et les laïcards savent les inventer : farouchement anti chrétiens mais pas du tout anti musulmans (ils souhaitent à ceux-ci un « Bon Ramadan ! » ou partagent volontiers avec eux le repas de rupture du jeûne, sans problème) les laïcards de tout poil saisissent toute occasion de nuire au seul christianisme, religion traditionnelle de la France et l'un des éléments constitutifs de sa personnalité et de son identité.

    Régulièrement, donc, un libre penseur X, Y ou Z, croit finaud de se faire remarquer, lui qui est par ailleurs bien content de rester à la maison le jour de Noël, ou le jeudi de l'Ascension, ou les lundis de Pâques et de Pentecôte, ou le 15 août, bref un jour chômé manifestement d'origine chrétienne. C'est peut-être sa façon à lui d'exister, ou de croire qu'il existe, ou de s'en donner l'illusion. Alors, il va au Tribunal administratif du coin, pour faire retirer une crèche ou enlever une statue. La Justice, erratique, interdit ici une crèche qu'elle autorise là ; ordonne d'enlever ici une statue qu'elle laisse en place ailleurs. Plus personne n'y comprend rien, mais le laïcard libre-penseur à l'origine du charivari est content : il a eu l'impression d'être quelqu'un pendant quelques jours ; d’exister ; comme s'il n'y avait rien de mieux à faire, aujourd'hui, avec nos chômeurs par millions, nos pauvres et mal-logés par millions, aussi !

    Cette fois, c'est à Publier, charmante petite bourgade de Savoie, au-dessus du Léman, qu'a eu lieu l'attaque foudroyante de l'armée picrocholine. Par un blitzkrieg audacieux, qui a surpris tout le monde et terrassé l'adversaire, la Libre pensée du lieu a obtenu que la statue de la Vierge, joliment installée dans un parc public avec vue imprenable sur le lac, soit déplacée sur un terrain privé ! Victoire grandiose ! Chômage, maladies, insécurité et violences, inculture galopante... tous les fléaux que nous subissons passent après. La Libre pensée a « libéré » Publier, la France est sauvée. La France ? Non, l'Europe, la Terre entière, et tout l'univers, tant qu'on y est. Puisqu'on ne peut décemment plus parler du « grand soir », on sait au moins que l'avenir radieux est pour demain. Ouf ! Ne perdez pas espoir, braves gens, courage, tenez bon dans les épreuves que vous subissez : Publier est déjà libérée, le reste de la France le sera bientôt ! 

    Le reste de la France ? Justement, parlons-en. Pourquoi tant de pusillanimité ? C'est au cœur qu'il faut frapper, messieurs de la Libre pensée. « Hardiment !», comme vous le dirait Sainte Jeanne d'Arc (pardon pour la référence, cela va vous choquer, mais, que voulez-vous, c'est l'habitude...) : exigez donc que l'on retire de Paris la cauchemardesque vision de Notre-Dame ! Qu'on la vende aux Chinois, ou à Trump, tiens, voilà une idée qu'elle est bonne : tel qu'on le connaît, il pourrait bien nous l'acheter, lui ! Et puis toutes ces cathédrales dans toutes les villes de France : mais qu'est-ce que c'est ! On se croirait dans un pays chrétien, un pays qui a une histoire, des traditions, des racines, un passé, bref une âme ! Quelle horreur, une âme ! Allez, toutes les cathédrales sur Le bon coin (Sarko ne connaît pas Le bon coin, mais il y en a quand même pas mal qui savent que ce n'est pas un Monoprix ou un Super-U...). Et puis ça renflouera les caisses de l'Etat : il faut bien que les escrocs du Pays légal, qui s'en mettent plein les poches, trouvent du fric à piquer quelque part ! Non, mais... 

    Et puis, ces noms de rue et de places et de quartier. Boulevard Saint Germain, à Paris ? Boulevard de la Guillotine, ce serait mieux ! Faubourg Saint Antoine ? Faubourg du Sang qui gicle, ça, ça aurait de la gueule ! A Marseille, rue Saint Ferréol ? Rue de l'Echafaud lumineux, ce ne serait pas mal, non ? Et les villes et villages : Pont Saint Esprit ? Pourquoi pas Pont du Génocide vendéen ? Saint Etienne ? Ville des têtes sanguinolentes au bout des piques ! L'Ecole militaire de Saint-Cyr ? Pourquoi pas l'Ecole militaire du million et demi de morts de la grandiose Révolution ? Bon, d'accord, dans les deux cas, c'est un peu long, mais c'est « parlant », non ? C'est drôlement (!) expressif...

    Allez, les gars, y'a du boulot ! Faut pas mollir. Aidons cette pauvre Libre pensée à trouver ces dizaines de milliers de noms à changer de toute urgence : tous à vos claviers, remuez vos méninges pour remplacer ces milliers de noms, à elle insupportables.

    Et, comme on dit dans le langage des journalistes, « écrire au journal (en l'occurrence Lafautearousseau) qui transmettra » ... 

  • Affaire Théodore Louaka : la seule question qui vaille de l'être n'est toujours pas posée

    les banlieues en sécession 

     

    Mur-bleu gds.jpgNous auront-ils « bassinés » avec lui (et ils continuent), les journaleux ? On peut l'appeler comme on veut : Saint Théo des banlieues, Saint Théo des bobos, Saint Théo des journaleux... mais il reste un fait central.

    Ce petit saint (solide gaillard costaud d'1,90 mètre) :

    • 1 : pourquoi a-t-il été en contact avec la police ?
     
    • 2 : pourquoi s'est-il tant débattu ?

    Les Balasko, Benguigui et autres Olivier Py (pitoyable directeur du pitoyable Festival d'Avignon) ont beau pétitionner pour leur cher Théo (on dirait un membre de leur famille !) ; le président lui-même, qui, comme chacun sait, ne s'est pas rendu au chevet des policiers que la racaille a essayé de brûler vifs dans leur voiture, ou le renégat Ribéry auront eu beau aller le visiter ; les journaleux ont beau « en avoir fait des tonnes » (c'est curieux, d'ailleurs, c'en est presque même louche, cette énorme importance qu'on a donnée à l'affaire : voudrait-on occulter quelque chose, par toute cette fumée ?) ; ils n'empêcheront pas les citoyens ordinaires de se demander pourquoi le jeune Théodore Louaka a réagi d'une façon aussi violente à un banal contrôle, qui plus est concernant une autre personne que lui. Pour laisser du temps à quelqu'un ? Mais, à qui ? Et pour faire quoi, ce précieux temps ? 

    Eh ! oui, chers pétitionnaires de la « race des seigneurs », elle est là la question que vous ne voulez pas voir. En faisant ce qu'il a fait (s'opposer par la force à un contrôle concernant une autre personne), le « jeune » en question n'a-t-il pas voulu permettre à un - ou à plusieurs... - complices de se débarrasser de quelque chose de compromettant ? De drogue, d'arme, de téléphone portable avec informations sur des terroristes, ou de tout autre trafic, par nature illicite.

    Le Point a livré les détails suivants, que Balasko, Benguigui, Py et consorts feraient bien de lire : c'est un peu long, mais c'est à connaître. De toute évidence, sauf pour les pétitionnaires bobos/gauchos, l'affaire n'est pas close, et - sans jeu de mots - le « jeune » est tout sauf « blanc comme neige » ! Et « l’affaire » ne fait que commencer.

    Extrait du Point (16 février) :

    « Un des individus contrôlés avançait sa tête vers la mienne en signe de défiance, alors, de la paume de la main, j'ai repoussé fermement sa tête au niveau de sa joue. C'est à cet instant que l'individu [« Théo »] qui se trouvait sur sa gauche et qui n'avait pas encore fait l'objet d'une palpation s'en mêlait et que ce dernier m'attrapait au niveau du col et me disait quelque chose du genre : « Eh, tu fais quoi là ?». Je repoussais immédiatement son bras avec ma main, mais il ne me lâchait toujours pas. Un collègue intervient alors. Il lui saisissait son bras afin qu'il me lâche. Mais l'individu [toujours « Théo »] se retournait vers lui, puis un échange de coups s'ensuivait. [...] Alors que je venais de lui saisir le bras, je recevais de sa part un coup de poing au niveau de la pommette gauche. Durant quelques instants, j'ai été sonné. J'ai compris à ce moment-là que l'individu serait prêt à tout pour se soustraire. Il se débattait, portait des coups de poing à tout va, gesticulait en tous sens, même des jambes. »

    Ainsi, selon la version du policier, qui concorde surtout avec les images de vidéosurveillance scrupuleusement analysées seconde par seconde par l'IGPN, le jeune homme serait entré en violent contact physique avec les policiers pour les empêcher de procéder à la palpation d'un autre jeune homme du quartier. Ce dernier ayant pris la fuite, les trois agents auraient alors eu beaucoup de mal à maîtriser le jeune Théo qui leur résistait avec force et ont en effet dû user à plusieurs reprises de leur matraque télescopique. Le rapport poursuit : 

    « J’usais de ma matraque télescopique et lui portais des coups en visant l'arrière de ses cuisses. Il continuait de se débattre, il se retournait, gesticulait en usant de son gabarit musclé et il parvenait à se relever. Il continuait de porter des coups dans tous les sens. Là, je le voyais piétiner mon collègue qui était encore au sol dos contre terre et, subitement, un jet de gaz lacrymogène s'échappait de la bombe de mon collègue. Malgré le gaz, l'individu parvenait à se relever. [...] Il continuait de piétiner le collègue. Je décidais de lui porter des coups de matraque télescopique en visant ses membres inférieurs dans l'espoir de lui faire perdre l'équilibre et de l'amener au sol. Mon effort portait ses fruits et l'individu basculait à terre. Au sol, il continuait de donner des coups de pied, j'ai donné un coup de matraque au niveau des jambes. Enfin, nous arrivions à lui passer une menotte, puis la seconde. »

    Il apparaît en effet que l'interpellation s'est passée de manière très violente. Mais visiblement pas seulement du côté des policiers, qui seraient loin d'avoir gratuitement violenté le jeune homme. La police des polices, qui, au vu des images de vidéosurveillance, avait conclu à l'absence d'intentionnalité de la part du policier, ne contredit pas la version de ce dernier. Cette version justement, comme le souligne Le Point, a été livrée moins de deux heures après les faits, ce qui aurait laissé peu de temps au policier pour mettre en place un scénario concerté avec ses collègues... » 

     

  • L'affligeante, inconsciente et dangereuse « indignée », maire dont Barcelone est affligée...

     

    Mur-bleu gds.jpgAda Colau, « indignée » et maire de Barcelone, a tenu des propos enflammés sur l'immigration en général, et, en particulier, sur ceux qu'elle et la gauche caviar/bobo appelle des « migrants », alors qu'ils ne sont que des envahisseurs déguisés. « Vous êtes chez vous, chez nous ! » a-t-elle lancé, à un moment où chez elle, manifestement, le lyrisme (?) l'emportait sur la raison et, pour parler net, l'hystérie sur la réflexion et le simple bon sens.

    Cette « indignée » et maire de gauche, soutenue par l'extrême gauche, a proposé, lors de la même envolée qu'elle a voulue lyrique - alors qu'elle n'est que du « grand n'importe quoi » - la création d'un réseau de « villes-refuges » européennes pour les « venus d’Afrique » : « C'est un souhait, c'est une intention, c'est un appel à d'autres villes », a -t-elle déclaré, le samedi 18 février. 

    3959960461.jpgCette pasionaria aux propos déments s'inscrit donc dans les pas du démago Mitterrand, qui, dans sa campagne électorale de 81, avait lui aussi, cédé à l'incantation : « Venez à nous, nous travaillons pour vous ! » avait-il déclaré à l'adresse des immigrés, à qui il disait, lui aussi, « vous êtes chez vous, chez nous ». On voit le résultat. Si les banlieues votent bien à gauche à 92/93%, on voit aussi des quartiers entiers sans femmes dans les rues, parce que les femmes ne sortent pas ; où, lorsqu'elles sortent, beaucoup le font voilées de la tête au pied, en contradiction flagrante avec la loi ; où, sur les parkings des cités et banlieues, les belles voitures abondent, alors qu'on y est au chômage à plus de 60%, et qu'on y touche en masse le RSA, quand le trafic de drogue génère un revenu quotidien de 90.000 euros, et les morts qui vont avec : dernier épisode, le rocambolesque rodéo/western de l'A55, à Marseille, où deux voitures ont pris en chasse, à 150 km/h, un troisième véhicule, tuant son occupant en lui tirant dessus, à travers - si l'on peut dire - les passants qui rentraient tranquillement chez eux !

    Ada Colau semble atteinte du syndrome de Munich, où de naïfs Bavarois étaient venus à la gare avec des panneaux « Willkommen » pour accueillir des réfugiés syriens, auxquels s'étaient mêlés, bien sûr, des gens de Daech. On ne devait s'en rendre compte qu'après, à Cologne, pour le réveillon du Nouvel An, ou à Berlin, sur le marché de Noël, et dans deux ou trois autres endroits. Depuis - comme c'est curieux !... - on ne voit plus d'Allemands se balader avec les même panneaux « Willkommen » ; et l'adhésion à la coalition CDU/CSU de l'inconsciente Angela Merkel est passée sous la barre des 30% ! Vous avez dit bizarre ?

    Tournons nos yeux vers le Royaume-Uni : on a vu, lors des JT du soir (TF1 et France 2) ces quartiers entiers où des tribunaux islamiques rendent la loi... islamique ! La Charia, si vous préférez...

    Tournons-les maintenant vers l'Irak : les Assyriens, ou Chaldéens, premiers habitants et propriétaires du pays, héritiers des antiques Ninive et Babylone, vivaient sur leur terre depuis plus de 3.000 ans. Devenus chrétiens, ils avaient été envahis par l'Islam, mais restaient malgré tout largement plus d'un million, voire un million et demi, sous Saddam Hussein. Sont-ils encore 300.000 aujourd'hui ? Ou, même, seulement 200.000 ? Les autochtones, les indigènes, ont dû fuir l'Islam, totalitaire, persécuteur et intolérant, et partir pour le Canada, la France, les Etats-Unis...

    Ada Colau sait-elle tout cela ? A moins qu'elle n'ait pas la télé ou la radio, chez elle ? A moins qu'elle ne sache pas lire ?

    Est-ce tout cela que veut, pour sa ville, cette pauvre inconsciente d'Ada Colau ?

    Qui sait : si son rêve se réalise, « à la Merkel », et que Barcelone et la Catalogne se remplissent de gentils petits bisounours immigrés qui, tôt ou tard, tomberont le masque - eux qui sont très majoritairement musulmans - alors, peut-être que, dans quelques siècles, les descendants des Catalans et Barcelonais d'aujourd'hui se retrouveront à Vancouver, Vladivostok ou Johannesburg, leur ville et pays d'origine étant devenu une république islamique. 

  • Après l'insanité ridicule, l'insanité odieuse : Macron crache sur la France en Algérie !

     

    Mur-bleu gds.jpgEmmanuel Macron vient de se disqualifier. En visite en Algérie, il a osé déclarer que la présence française sur cette terre, ce fut de la « barbarie », un « crime contre l’humanité » !

    Ces propos scandaleux ne déshonorent que lui. Est-ce la campagne électorale qui le pousse à de tels excès de langage ? 

    Que cherche-t-il, Macron, en disant cela, lui, le candidat de la Haute finance et qui reçoit peut-être des dons de Goldman Sachs : les voix des racailles des banlieues ? Il est vrai que celles-ci votent à gauche à 93% (pour Ségolène en 2007 et pour Hollande en 2012), mais rien ne pourra pourtant nous empêcher de trouver dérisoire et grotesque cette alliance-collusion entre Macron, le candidat des banques, qui refuse de publier la liste de ses donateurs (et pourquoi donc : y en aurait-il de gênants ?) et les racailles des cités ; entre Macron, l'homme aux costards à plusieurs milliers d'euros et les « jeunes » casseurs qui haïssent la France : Haute finance et racaille des cités, même combat ? Voilà Macron devenu délinquophile... Casseurs de toutes les cités, banquiers de toute la terre, unissez-vous ! 

    Cracher sur la France comme Macron vient de le faire, lui qui prétend accéder à la magistrature suprême, cela vous classe, définitivement, quelqu'un. En voilà un qui n'aime résolument pas notre Histoire... tout simplement peut-être parce qu'il ne la connaît pas.

    Il est plus habitué à jongler avec les milliards et les zéros, à servir « la fortune anonyme et vagabonde », qu'à fréquenter les bons auteurs et à connaître sérieusement ses sacines, notre Histoire.

    Nous dénoncions justement, avant-hier*, son autre scandaleux propos sur la culture française (« Il n'y a pas une culture française ; il y a une culture en France : elle est diverse, elle est multiple «).

    Il n'est pas étonnant que quelqu'un qui commence par proférer une telle énormité, continue par une autre, plus grande encore. 

    Quoi qu'il en soit, Macron, l'homme jusqu'ici sans programme et qui ne publie pas les noms de ses donateurs, commence malgré tout par lâcher, de ci, de là, des propos qui le font apparaître pour ce qu'il est : quelqu'un qui n'aime pas la France, ni sa culture, ni son histoire, ni ses traditions, ni ses racines, ni son être profond. Quelqu'un, même, on peut le dire, qui hait ce que nous sommes, ce que l'Histoire nous a faits. En fait, un vrai bon petit soldat de la révolution. Bien habillé, propre sur lui, très « classe », mais, à l'intérieur, tout est pourri.

    Et, comme on le sait, « c’est par la tête que pourrit le poisson » ... 

    * La macro énormité d’Emmanuel Macron : « Il n'y a pas une culture française »

    Lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Jean Sévillia : « La colonisation et le non-sens historique d'Emmanuel Macron »

  • Sa Majesté Kim III, roi communiste de Corée du Nord, lance la foudre

     

    Mur-bleu gds.jpgKim Jong Un, le troisième représentant de la dynastie marxiste-léniniste de cette pauvre Corée du Nord, s'appelle - cela ne s'invente pas ! - « Nuage vertueux ». Il a succédé à son père Kim II (dit Kim Jong Il, ou « Cher dirigeant », ou « Dirigeant Bien Aimé), lequel succédait à son père, Kim 1er, fondateur de la dynastie : de son vrai nom Kim Il Sung, appelé rien moins que « Grand Leader », « Président éternel » ou encore - allons-y gaiment ! - « Professeur de l'humanité toute entière ». Rien que ça ! Modestes s'abstenir...

    Il y a aussi Castro, qui a « passé » le pouvoir à son frère ; Loukachenko, en Biélorussie, qui prépare son fils à lui succéder (Gorbatchev l'annonçait déjà en 2011 : en public, il « tient Kolia (son fils) par la main, il se prépare un successeur sans le cacher, comme si c'était le Royaume de Biélorussie » ...

    Ces trois régimes marxistes-léninistes instaurant, curieusement, une monarchie, cela nous avait déjà interpellé quelque part, comme disent les précieux ridicules pédagogistes-bobos, et dès 2010*

    Voir, en effet, des héritiers de Karl Marx - ou prétendus tels - rejoindre Franco, qui a, lui aussi, réinstauré la royauté en Espagne, avouez que cela a de quoi laisser pantois ! On aimerait demander son avis à Olivier Besancenot, lui qui disait que « ce qu'il nous fallait c'était une bonne vieille révolution » : une révolution, mais qui, si ça se trouve, nous remettrait un roi ? Pourvu qu'il  ne ne soit pas du même type qu'en Corée, qu'à Cuba ou qu'en Biélorussie, on aurait envie de lui répondre : chiche !

    Allons, revenons aux choses sérieuses, et observons ce qui se passe du côté de la monarchie marxiste etc.… de Corée du Nord.

    D'abord, « Nuage vertueux » a fait tirer un missile balistique samedi dernier (le 11 février, à 23h55, heure française, pour qui aime la précision). Tiré de la base aérienne de Banghyon (ouest de la Corée du Nord) l'engin a parcouru environ 500 kilomètres avant de tomber en mer du Japon...

    Ensuite, le même « nuage », toujours « vertueux », a fait exécuter, tout simplement, son demi-frère, à l'aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie : Kim Jong-Nam, 45 ans, fils aîné du dirigeant défunt Kim Jong-Il, vivait depuis des années en exil. Il a vraisemblablement été empoisonné par deux femmes qui auraient pris la fuite en taxi ; certains médias ont évoqué des aiguilles empoisonnées, d'autres parlent d'un liquide lancé au visage de la victime. 

    Rien de nouveau sous le soleil - le « soleil rouge drapé de deuil » comme l'a si justement écrit Jacques Julliard : Trotsky, poursuivi par les sbires de Staline jusqu'au Mexique où il s'était réfugié, et où il pensait lui avoir échappé, fut, lui, massacré en 1940, d'un coup de piolet à l'arrière du crâne. Finalement, sur l'échelle de l'horreur, on dira ce qu'on voudra, mais « Nuage vertueux » est un tout petit peu moins sauvage que Staline, non ? Il y aurait comme une légère évolution, oh, très légère, dans les moeurs !

    Bon, d'accord, le résultat ne change pas, mais tout de même...  

    Lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    Ces monarchies que l'on instaure : Kim Jong-il prépare l'arrivée du petit prince rouge.

    Ces monarchies que l'on instaure : le Tsar Loukachenko, et le tsarévitch de cinq ans, son petit-fils.