Dans notre Page facebook : Aujourd’hui, la Rédaction vous propose une immersion au Château d’Eu…
(Merci à Jean-Baptiste Collomb pour ces belles photos et ce beau travail de présentation)
https://www.facebook.com/reel/1060410185329040
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Eh, oui ! Même à lafautearousseau, même dans "la Rédaction" il y en a qui n'avaient jamais vu la maison de Maurras, et n'étaient même jamais allés à Martigues ! J'ai donc organisé un petit déplacement, ce jeudi après-midi, et notre nouvelle mascotte, Bianca, fut évidemment de la partie !
Nous n'avons pu, bien entendu, entrer ni dans la maison ni dans le jardin, que nous nous contentâmes d'admirer depuis le Chemin de Paradis, mais notre balade tourna autour de Maurras, malgré tout, et permit de se familiariser avec les lieux qui lui furent chers, et familiers...
François Davin,
Blogmestre
Galant homme, dans ces temps troublés et souvent sinistres, Le roi Charles IX offre un brin de muguet à toutes les dames de la Cour, et souhaite qu'il en soit ainsi, dorénavant, à chaque premier mai.....
Charles IX, qui n'est pas le roi le plus connu du grand public - ni celui qui a eu le règne le plus facile !...- se trouve être, ainsi, à l'origine de trois des habitudes sociales les plus répandues aujourd'hui dans la société, cinq siècles après son règne :
• le début de l'année au Premier janvier (décision notifiée par l'Édit de Roussillon)...
• ... et donc les plaisanteries du premier avril (période vers laquelle commençait l'année, avant l'uniformisation de l'Édit de Roussillon : voir notre Éphéméride du 9 août);
• et le muguet du premier mai...
La cathédrale Notre Dame de Paris est en plein chantier, 4 ans après l’incendie du 15 avril 2019. Restauration, aménagement liturgique, prière…
RDV en direct ce vendredi à 20h35 sur KTO pour une émission spéciale.
Vos questions :
Découvrez les coulisses de la restauration du bureau de Louis XIV. Il rejoint les collections du château de Versailles après presque 2 siècles. Aujourd’hui restauré dans son état de 1685, il est exposé dans le Salon de l’Abondance.
(Vidéo complète - 4'26) : youtu.be/OXWPV4GH-oY
(extrait vidéo 2'20)
https://twitter.com/maurrassiferien/status/1595345643534536705?s=20&t=qq3QIPv3v5Tazq3T-PWitg
http://www.lescarnetsdeversailles.fr/2016/04/un-tresor-decailles-et-de-cuivre/
Témoignage d'estime et d'affection réciproques d'un martégal royaliste, "blanc du midi" à un autre martégal royaliste et "blanc du midi"...
Copie d'un portrait de Maurras, réalisé à la plume et à l'encre de Chine, sur un papier velin, présenté à Maurras - qui le lui a dédicacé - par le jeune Camelot du Roi Pierre Davin, fils du Camelot Émile Davin, l'un des neuf fondateurs de la section d'Action française de Martigues (la section de Charles Maurras...), dans les années 1910...
Né le 23 janvier 1906, Pierre Davin a alors 21 ans. Apprenant que Maurras va venir passer quelques jours chez lui, à Martigues, dans sa Bastide du Chemin de Paradis, il part aussitôt chez lui, pour lui présenter ce portrait. Maurras le reçoit fort aimablement, connaissant bien son père, "voisin de trois cent mètres", d'une famille établie depuis plusieurs générations sur "l'Île", le quartier central de Martigues, le quartier natal de Maurras; de la fenêtre de la maison familiale, au premier étage, où est né mon père, on a une vue imprenable sur la bastide du Chemin de Paradis, à Ferrières, le quartier de Maurras.
Leur discussion porta (entre autres...) sur les origines grecques des villes de Marseille et Martigues (ce qui explique la dédicace) et elle a duré "une bonne partie de l'après-midi", me disait mon père, à chaque fois que nous en parlions...
D'abord "carrossier" (mais, d'avant les véhicules automobiles !) mon grand-père Émile devint pêcheur, et fut membre de la Prudhommie des Pêcheurs de Martigues, et l'était toujours dans les années terribles de l'épuration, sinistre re-Terreur, en 45; lorsque le président de cette Prudhommie, Dimille, écrivit la juste, belle et surtout très courageuse lettre en défense de Maurras, lue lors de son inique procès :
Communauté des Patrons-Pêcheurs de Martigues.
Martigues, le 16 Octobre 1944.
Nous, Conseil des Prud'hommes pêcheurs des quartiers maritimes de Martigues, représentant 700 pêcheurs, attestons que notre concitoyen Charles Maurras a, depuis toujours et jusqu'à son incarcération, faisant abstraction de toute opinion politique, fait entendre sa grande voix pour la défense des intérêts de notre corporation.
Par la presse, il a attaqué les trusts et les autres grands profiteurs, ainsi que certaines administrations qui voulaient nous brimer.
Pour le Conseil des Prud'hommes, le Président Dimille.
Face au théâtre, la Prudhommie des Pêcheurs de Martigues
François Davin
Bonjour à tous !
Des amis me signalent que la vidéo de la visite du jardin de Maurras, dans laquelle j'explique ce qu'a souhaité faire le Maître chez lui, a "sauté".
Bizarre, mais pas grave : je la rétablis ici, en deux parties.
Bien entendu, j'autorise tout le monde à partager et diffuser cette vidéo : je ne cherche, évidemment, aucun profit personnel et n'ai comme but que de servir, modestement, à faire connaître et, si possible, aimer, notre Maître à tous...
François Davin
La "Cité interdite" de Pékin, c'était la résidence des Empereurs de Chine. "La" maison interdite de Martigues, c'était la résidence du Prince des penseurs, du phénix des grands esprits, de celui qui a critiqué et démoli les bases même du Système qui nous ruine et nous déclasse inexorablement : Charles Maurras.
Et, dans sa critique imparable du Système - qui repose sur l'Argent, devenu Argent-Roi à la place du Roi légitime - Charles Maurras n'est pas "dangereux pour le Système", il est "LE SEUL DANGEREUX", celui que le Système a transformé en M. le Maudit; celui que le Système entoure depuis 45 d'une conspiration du silence qu'il veut totale mais qui a de plus en plus de mal à se maintenir; et cela afin de l'effacer, de le gommer des mémoires, et de l'Histoire...
Et, à Martigues même, dans "sa" ville, à laquelle il a généreusement légué sa très belle Bastide du Chemin de Paradis (l'un des plus beaux monuments civils de Martigues) Maurras est ostracisé et comme enfermé dans une sorte d'invisible Mur de Berlin, traduction, sur place, de cette conspiration du silence d'État. Ce Mur de Berlin est tombé après 33 ans (de 61 à 94) : quand tombera le Mur de Martigues ?
Le Pays légal, désireux de se faire pardonner ses erreurs monumentales qui nous ont amené la Seconde guerre mondiale et le nazisme a voulu faire disparaître Maurras en 45, car il était un reproche permanent pour lui, et comme la mauvaise conscience d'un Système failli et anti-national. Il a pour ce faire inventé deux reproches, faux et archi-faux pour l'ostraciser :
• le premier était celui de "collaborationnisme" et "intelligence avec l'ennemi", dont même un François Mauriac, pourtant loin d'être un "ami" politique de Maurras et de l'Action française disait que c'était la seule forme d'intelligence qu'il n'avait jamais eue... Mauriac, comme tout un chacun, connaissait la célèbe phrase d'Otto Abbetz, Ambassadeur d'Allemagne à Paris jusqu'en 44 : "...L’Action Française est l’élément moteur, derrière les coulisses d’une politique anti-collaborationniste, qui a pour objet, de rendre la France mûre le plus rapidement possible, pour une résistance militaire contre l’Allemagne..."
• si ce premier reproche, ahurissant, ne trompa personne, c'est pourtant lui qui fut retenu pour l'inique condamnation de Maurras, en 45. Mais plus personne n'ose s'y référer aujourd'hui, tant il est grotesque. Les menteurs qui ont construit une Histoire nationale faussée et tronquée préfèrent justifier l'ostracisme et l'interdit jeté sur Maurras par l'accusation... d'antisémitisme. Et, sur place, à Martigues, la Mairie moralisatrice/moralinisatrice se drape derrière ce mensonge pour, on l'a dit, ostraciser, interdire, effacer Maurras.
Sauf que, empêtrée dans une très grave affaire de corruption sur fond de trafic de drogue, touchant directement l'équipe municipale, on renverra cette dernière au conseil fameux de regarder la poutre qui est dans son oeil avant de regarder l'oeil des voisins; et sauf que le Maire, officiellement PCF, est donc, volens nolens, associé dans la NUPES a une espèce de coalition hétéroclite, menée, de fait par LFI et Mélenchon, qui a capté 70% du vote musulman (dont on ne connaît que trop l'antisémitisme de fait dans nos rues et notre actualité...) et dont les amies députées reçoivent, par exemple, et en grande pompe, Jérémy Corbyn, l'ex travailliste anglais exclu, justement, de son parti pour... antisémitisme virulent ! Comment, dans ces conditions, une Mairie peut-elle oser prétendre interdire Maurras sous prétexte d'antisémitisme, alors qu'elle est embarqueé dans la galère antisémite de fait, de paroles et d'actes d'un grand nombre de membres de la NUPES ?
Soyons sérieux ! Il faut en finir avec ce mauvais carnaval des Tartufes et réhabiliter Maurras, ré-ouvrir sa maison et son jardin, et leur faire intégrer le réseau des Maisons des Illustres.
En attendant ces jours heureux de libération, mentale et pratique, qui viendront, n'en doutons pas, bravez l'interdit, choisissez la liberté de pensée, venez juger sur pièce, pour vous faire, ensuite, votre propre opinion, non celle qu'on veut vous imposer, et embarquez-vous en vous laissant guider : je vous emmène - au nez et à la barbe d'une Mairie stupidement sectaire - à la visite du Jardin de la Maison de Maurras...
François Davin
La "Cité interdite" de Pékin, c'était la résidence des Empereurs de Chine. "La" maison interdite de Martigues, c'était la résidence du Prince des penseurs, du phénix des grands esprits, de celui qui a critiqué et démoli les bases même du Système qui nous ruine et nous déclasse inexorablement : Charles Maurras.
Et, dans sa critique imparable du Système - qui repose sur l'Argent, devenu Argent-Roi à la place du Roi légitime - Charles Maurras n'est pas "dangereux pour le Système", il est "LE SEUL DANGEREUX", celui que le Système a transformé en M. le Maudit; celui que le Système entoure depuis 45 d'une conspiration du silence qu'il veut totale mais qui a de plus en plus de mal à se maintenir; et cela afin de l'effacer, de le gommer des mémoires, et de l'Histoire...
Et, à Martigues même, dans "sa" ville, à laquelle il a généreusement légué sa très belle Bastide du Chemin de Paradis (l'un des plus beaux monuments civils de Martigues) Maurras est ostracisé et comme enfermé dans une sorte d'invisible Mur de Berlin, traduction, sur place, de cette conspiration du silence d'État. Ce Mur de Berlin est tombé après 33 ans (de 61 à 94) : quand tombera le Mur de Martigues ?
Le Pays légal, désireux de se faire pardonner ses erreurs monumentales qui nous ont amené la Seconde guerre mondiale et le nazisme a voulu faire disparaître Maurras en 45, car il était un reproche permanent pour lui, et comme la mauvaise conscience d'un Système failli et anti-national. Il a pour ce faire inventé deux reproches, faux et archi-faux pour l'ostraciser :
• le premier était celui de "collaborationnisme" et "intelligence avec l'ennemi", dont même un François Mauriac, pourtant loin d'être un "ami" politique de Maurras et de l'Action française disait que c'était la seule forme d'intelligence qu'il n'avait jamais eue... Mauriac, comme tout un chacun, connaissait la célèbe phrase d'Otto Abbetz, Ambassadeur d'Allemagne à Paris jusqu'en 44 : "...L’Action Française est l’élément moteur, derrière les coulisses d’une politique anti-collaborationniste, qui a pour objet, de rendre la France mûre le plus rapidement possible, pour une résistance militaire contre l’Allemagne..."
• si ce premier reproche, ahurissant, ne trompa personne, c'est pourtant lui qui fut retenu pour l'inique condamnation de Maurras, en 45. Mais plus personne n'ose s'y référer aujourd'hui, tant il est grotesque. Les menteurs qui ont construit une Histoire nationale faussée et tronquée préfèrent justifier l'ostracisme et l'interdit jeté sur Maurras par l'accusation... d'antisémitisme. Et, sur place, à Martigues, la Mairie moralisatrice/moralinisatrice se drape derrière ce mensonge pour, on l'a dit, ostraciser, interdire, effacer Maurras.
Sauf que, empêtrée dans une très grave affaire de corruption sur fond de trafic de drogue, touchant directement l'équipe municipale, on renverra cette dernière au conseil fameux de regarder la poutre qui est dans son oeil avant de regarder l'oeil des voisins; et sauf que le Maire, officiellement PCF, est donc, volens nolens, associé dans la NUPES a une espèce de coalition hétéroclite, menée, de fait par LFI et Mélenchon, qui a capté 70% du vote musulman (dont on ne connaît que trop l'antisémitisme de fait dans nos rues et notre actualité...) et dont les amies députées reçoivent, par exemple, et en grande pompe, Jérémy Corbyn, l'ex travailliste anglais exclu, justement, de son parti pour... antisémitisme virulent ! Comment, dans ces conditions, une Mairie peut-elle oser prétendre interdire Maurras sous prétexte d'antisémitisme, alors qu'elle est embarqueé dans la galère antisémite de fait, de paroles et d'actes d'un grand nombre de membres de la NUPES ?
Soyons sérieux ! Il faut en finir avec ce mauvais carnaval des Tartufes et réhabiliter Maurras, ré-ouvrir sa maison et son jardin, et leur faire intégrer le réseau des Maisons des Illustres.
En attendant ces jours heureux de libération, mentale et pratique, qui viendront, n'en doutons pas, bravez l'interdit, choisissez la liberté de pensée, venez juger sur pièce, pour vous faire, ensuite, votre propre opinion, non celle qu'on veut vous imposer, et embarquez-vous en vous laissant guider : je vous emmène - au nez et à la barbe d'une Mairie stupidement sectaire - à la visite du Jardin de la Maison de Maurras (vidéo en deux parties)...
François Davin
Statue en bronze du duc de Richelieu, appelée aussi "statue du duc", représenté en pied, en toge romaine.
Ultra royaliste, le duc de Richelieu quitta provisoirement la France aux mains des terroristes révolutionnaires, pour s'installer en Russie. Il devint maire en 1803 du tout nouvel établissement d'Odessa, fondé très peu de temps auparavant (en 1794) dans ce qui était alors la province de Nouvelle-Russie, mais n'était en rien une ville véritable; il en devint deux ans plus tard Gouverneur-général (de 1805 à 1814). Les Odessites - francophiles et francophones - l'appelaient "notre duc" et le considèrent à juste titre comme l'un des fondateurs de la ville, puisqu'il en a fait dessiner certains plans et, surtout, construire le port, qu'il imagina et voulut tout de suite "libre", affranchi de toute douane, ce qui permit immédiatement un véritable essor du commerce, le port d’Odessa s’enrichissant particulièrement dans l’exportation des céréales et du blé...
Au retour des Bourbons, le duc de Richelieu retourna en France, où il devint Pair, puis président du Conseil des ministres et ministre des Affaires étrangères. Il mourut en 1822 à Paris à l'âge de 56 ans.
Sur cette statue, le duc de Richelieu, en toge romaine, est représenté sur un piédestal de granite rose poli avec trois bas-reliefs de laiton figurant l'agriculture, le commerce et la justice. La plaque que l'on distingue ici porte l'inscription suivante :
"Au duc Emmanuel de Richelieu Gouverneur de 1803 à 1814 de la Nouvelle-Russie qui fut à la base du bien-être d'Odessa, ses habitants reconnaissants de toute condition, en souvenir de ses œuvres, issus de cette ville, ainsi que des gouvernements d'Ekaterinoslav, de Chersonèse et de Tauride ont érigé ce monument en 1826, sous le gouverneur-général de Nouvelle-Russie, le comte Vorontsov"
C'est le dimanche 28 septembre 2014 que nous vous proposions sur lafautearousseau, une visite guidée du jardin de Maurras, à Martigues...
En ce jour anniversaire de la naissance du Maître, c'est l'occasion, pour ceux qui ne l'ont pas visionnée, de regarder la vidéo de cette visite.
Nous vous emmenons aujourd'hui, dans le jardin de la maison de Charles Maurras, à Martigues, Chemin de Paradis. Les cigales nous ont accompagnés, par une superbe matinée d'été, durant toute cette visite. A partir des indications Maurras lui-même, vous allez découvrir ce qu'il a paru bon au maître de ces lieux de faire « entre les murs de son jardin ».
Comme Louis XIV qui a rédigé lui-même une Manière de montrer les jardins de Versailles, Maurras - toutes proportions gardées, évidemment ! - a expliqué ce qu'il avait voulu faire dans son jardin, et a donné toutes les indications necéssaires à une visite intelligente. Ainsi est-elle réalisée comme il lui a plu qu'elle se déroulât : cela se trouve au Tome IV des Oeuvres Capitales (Le Berceau et les Muses / Suite Provençale, VII Mon jardin qui s'est souvenu, pages 249 à 268).
Et maintenant que vous savez tout, suivez le guide !
Visite guidée du jardin, par François DAVIN (sur fond sonore de cigales, vidéo en deux parties) :
Vous pouvez consulter également notre album Une visite chez Charles Maurras... (103 photos).
lafautearousseau approuve la suggestion de Guilhem de Tarlé : oui, le nom des magnifiques sauveurs de Notre-Dame, qui ont été le bras choisi par la Providence et qui ont lucidement et pleinement accepté ce choix, avec les périls qu'il impliquait, devrait être gravé sur les murs de la cathédrale restaurée.
De toutes façons, ils sont déjà gravés dans le coeur des Français...