Vu sur le compte Twitter du prince Jean, comte de Paris
Tweet en date du 28 Janvier
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Tweet en date du 28 Janvier
Mercredi 29 janvier, ont eu lieu les funérailles royales, de la princesse Pilar de Borbón y Borbón, Infante d’Espagne au monastère de San Lorenzo de l’Escorial, en présence des plus grands noms du gotha européen et de nombreuse têtes couronnées.
Lorsque l’Union soviétique a disparu, la “fin de l’Histoire” devint une thèse à la mode, qui permit de broder avec optimisme sur les bienfaits de la mondialisation. Trente ans plus tard, il nous faut constater que l’histoire a continué de suivre son chemin. Comme toujours, l’Histoire résulte des relations entre les empires et les nations – des dialogues et des conflits qui se nouent et se dénouent au fil des alliances, des épreuves de force et des guerres.
Voici les messages de ces 2 fidèles lecteurs de notre blog quotidien Royaliste LAFAUTEAROUSSEAU :
Interview très politique de SAR le prince Jean d'Orléans, bientôt à découvrir dans le magazine L'Incorrect de Février.
A l'intérieur de la chapelle de Dreux, une stèle commémorative en hommage à Louis XVI a été inaugurée
(à suivre, quatre photos)
"Je pense en prince chrétien, j'agis en prince français ". Le prince Jean d'Orléans, prétendant au trône de France, rendant hommage à Louis XVI.
Seigneur,
Moi, Jean, Comte de Paris,
Comme tout fidèle au début de cette messe, je me reconnais pécheur devant Toi.
La Maison Royale de France, dont par Ta grâce je suis devenu le chef, nous Te demandons pardon, ainsi qu’aux victimes des fautes de nos ancêtres et en particulier de celle de Louis-Philippe-Joseph d’Orléans à l’égard de son cousin Louis XVI, roi de France, père de son peuple et qui a reçu l’onction par le sacre, mais aussi à l’égard de sa famille et de la France.
Nous implorons Ta miséricorde sur nous, notre famille et notre pays. Tu le sais, comme Josué, nous et notre maison, nous avons choisi de Te servir.
Texte lu à l'occasion de la messe en l'honneur de Sa Majesté Louis XVI, ce 21 janvier 2020, en la chapelle royale de Dreux.
Photo@ David Nivière Courtoisie de Prince Jean, Comte de Paris@facebook
Dès les premières heures après le décès de son père, le prince Jean de France, qui allait reprendre le titre de Comte de Paris, voyait dans la date de cette mort, un symbole.
Photo : Le prince Jean, Comte de Paris, ici devant une des cheminées du château d’Amboise, la princesse Philomena, comtesse de Paris, les princes Gaston, dauphin de France (10 ans) et Joseph (4 ans), les princesses Antoinette (7 ans), Louise-Marguerite (5 ans ) et Jacinthe (1 an).
Chers amis,
En ce début d’année 2020, permettez-moi de vous présenter tous mes vœux pour la Nouvelle Année.
L’année passée a été une année de bouleversements.
En premier lieu, à l’heure où je vous écris, la France subit une grève générale d’une ampleur et d’une durée rares. Cette année à aussi été marquée par le décès de mon père, qui m’a amené le 21 janvier dernier, à devenir le nouveau comte de Paris, chef de la Maison de France. J’assume cette responsabilité avec volonté et sérieux. Il y a également eu l’incendie de Notre Dame : notre pays, touché au cœur, a vu se développer un élan de soutien tout à fait extraordinaire. Enfin, plus récemment, j’ai été très affecté par la mort des 13 militaires français tués au Mali, dont plusieurs étaient du 4è Régiment de chasseurs que je connais bien. Pour faire face à toutes ces vicissitudes, nous aurions bien besoin d’un petit coup de pouce du ciel, mais comme dit le dicton « aide toi et le ciel t’aidera »!
Mais il faut aussi jeter un regard positif sur 2019, qui n’a pas été exempte de belles dynamiques pour la Maison de France. Je noterais, entre autres choses : une présence renforcée dans les médias et aux cérémonies officielles ; les 500 ans de Léonard de Vinci et la visite d’Etat du Président Italien à Amboise invité par le Président Emmanuel Macron ; les 500 ans de Cotignac ; l’anniversaire de 10 ans de mon fils Gaston qui grandit avec sagesse et force.
En 2020, je souhaiterais renforcer encore plus ma présence médiatique, mais aussi sur le terrain, national comme local, ainsi que je l’avais fait il y a quelques années, et ce pendant près de 12 ans. Comme le disait mon grand-père « plus on voulait me faire apprendre les choses par coeur plus j’avais envie d’aller sur le terrain voir les choses par moi-même ».
A Dreux, cette action se manifestera en poursuivant ce que nous menons déjà, avec notre association « Gens de France ». Quelques 200 personnes ont pu visiter le domaine royal dans le cadre du programme de la ville « la Nation en partage ». Nous souhaiterions désormais renforcer cette action par l’aide aux plus démunis, en particulier les familles en difficulté.
D’autre part, deux événements auxquels je voudrais attacher une attention particulière vont fortement marquer l’année qui vient : les 50 ans de la francophonie et les 100 ans de la canonisation de Jeanne d’Arc.
Enfin, je souhaiterais, dans la logique de mon rôle de chef de la Maison Royale de France, développer des axes d’intervention plus politiques, via les réseaux sociaux ou par des tribunes régulières dans la presse écrite.
Voici chers amis ce que je souhaitais vous dire en ces fêtes de fin d’année.
Avec ma famille, permettez moi de renouveler à chacune et à chacun d’entre vous ainsi qu’aux vôtres un Joyeux Noël et une belle Nouvelle Année 2020.
Domaine Royal, le 1er janvier 2020
Jean, Comte de Paris
Le prince Jean, Comte de Paris, présente ses voeux accompagné de toute sa famille, ici devant une des cheminées du château d'Amboise, ornée de fleurs de Lys : son épouse, Philomena de Tornos y Steinhart, les princes Gaston (10 ans) et Joseph (4 ans), les princesses Antoinette ( 7 ans) , Louise- Marguerite ( 5 ans ) et Jacinthe ( 1 an).
(Vu sur la page facebook de notre ami Frédéric de Natal)
Le prince Jean, Comte de Paris, présente ses voeux accompagné de toute sa famille, ici devant une des cheminées du château d'Amboise, ornée de fleurs de Lys : son épouse, Philomena de Tornos y Steinhart, les princes Gaston (10 ans) et Joseph (4 ans), les princesses Antoinette ( 7 ans) , Louise- Marguerite ( 5 ans ) et Jacinthe ( 1 an).
Avec ce triptyque de Saint Jean l'évangéliste à Patmos, de Hans Burgkmair (à l'Alte Pinakothek de Munich), lafautearousseau souhaite une bonne fête au Prince Jean, Comte de Paris