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«Les monarchies continuent à fasciner parce que c’est un système qui fonctionne. C’est une incarnation du pouvoir qui compte vraiment. Il reste une dizaine de monarchies en Europe qui sont en pleine santé»
Confiné au Domaine royal de Dreux avec sa famille, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris a répondu aux questions du journal local « M Ta Ville ».
Dans cet entretien, le prince qui suit la crise sanitaire actuelle d’un œil averti, expose son analyse concernant la gestion de celle-ci, tant au niveau national, qu’au niveau local : « La crise montre que les concepts et les idées, sont loin de la réalité des gens qui sont confinés chez eux ».
Le prince y salut une nouvelle fois la générosité des Français dans la difficulté : « Nous avons la chance d’avoir des Français généreux et efficaces dans le monde associatif pour venir en aide aux soignants qui manquent de moyens et de traitements. J’espère que le gouvernement sera capable de redresser la barre. » et regrette également l’efficacité hasardeuse du gouvernement au début de la crise du Covid 19 : « Nous avons été plutôt cigale que fourmi » et déplore l’invisibilité de l’Europe dans cette crise.
Vous pouvez lire cet entretien du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris :
Monseigneur le comte de Paris est l'héritier légitime des quarante rois qui ont fait la France. Descendant direct du Roi Saint Louis, la famille de Monseigneur le comte de Paris a régné sur la France pendant neuf siècles, d’Hugues Capet jusqu’à Louis-Philippe. Si les Français décidaient de renouer le fil de leur histoire, il régnerait aujourd'hui sous le nom de Jean IV de France.
En famille, nous abordons la troisième semaine de confinement, et comme tous les Français, nous nous sommes adaptés et organisés en conséquence. Sur nos cinq enfants, trois étaient déjà scolarisés à la maison. Nous avons récupéré en plus le prince Gaston, l’aîné. Nous restreignons nos déplacements aux premières nécessités, dans les limites de ce que la loi autorise. Autour de nous, de nombreuses personnes ne peuvent se déplacer, et sont souvent seules et sans ressources ; à l’exemple de Ferdinand d’Orléans lors de l’épidémie de choléra de 1832, nous essayons de leur apporter assistance et soutien moral.
En cette période de confinement, le blog de La Couronne vous propose de vous évader, à travers un voyage sur les traces du Royaume de France dans notre espace urbain…
Notre album « le Royaume de France en images » continue de s’enrichir, aujourd’hui, nous vous proposons 8 nouvelles photos trouvées sur le net, des traces du Royaume des lys dans notre espace urbain.
Mercredi 18 mars 2020, Son Altesse Royale, le prince Eudes de France, duc d’Angoulême, a célèbré son 52ème anniversaire. Troisième dans l’ordre de succession au trône de France, le prince Eudes, est le frère du chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris.
Le prince Eudes est né le 18 mars 1968 à Paris, il est le troisième fils et le cinquième enfant de feu le Comte de Paris, « Henri VII de France », et de sa première épouse la princesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, « duchesse de Montpensier ». Le prince a été prénommé Eudes à sa naissance, en l’honneur de Eudes, comte de Paris, fils de Robert Le Fort, qui vivait au IX ème siècle.
Leurs Altesses Royales, le Comte et la Comtesse de Paris, célèbrent aujourd’hui leurs 11 ans de mariage (noces de Corail).
Le jeudi 19 mars 2009, le prince Jean de France, alors Dauphin de France a épousé doña Philomena de Tornos y Steinhart en la Mairie du VIIème arrondissement de Paris. Madame Rachida Dati, Garde des Sceaux mais également Maire du VIIème arrondissement a accueilli avec courtoisie et chaleur les mariés. La Garde des Sceaux n’a pas hésité à rappeler que l’histoire de la famille d’Orléans était intimement liée à mille ans de l’histoire de France.
Nos gouvernants réduisent la politique à une joute électorale. Mais ce n’est pas cela, la politique ! La politique, c’est le service du pays. C’est, au moment de décider, avoir pour guide l’intérêt de tous et, par-dessus tout, de la France. C’est donner aux gens de bien la possibilité de faire le bien. Ce devrait être la seule préoccupation de nos gouvernants. C’est la mienne. Au lieu de cela, nous avons des « bêtes » de campagne taillées pour gagner des élections, qui déploient des trésors d’énergie et de séduction pour l’emporter mais s’empressent, quand elles sont au pouvoir, de satisfaire les groupes de pression dans l’espoir de le garder. Jeu de dupes dont les règles ont été fixées pour que chacun conserve son rôle et ses « privilèges »… Le système est clos, les acteurs tournent en rond, la France avec eux. Tout est à remettre à plat.
Le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, appelle l'Union Européenne à tirer les leçons de la crise financière provoquée par le coronavirus.
Le comte et la comtesse de Paris étaient présents au vernissage de l'exposition "Princes et Princesses d'Orléans, une famille d'artistes" le jeudi 5 mars dernier à l'espace « Not a Gallery » à Paris.
Cette exposition, en place jusqu'au 19 mars prochain, met en avant les oeuvres des nombreux artistes que compte la famille d'Orléans.