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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     La faiblesse du macronisme en particulier, du Système en général, est bien relevée, ici, par Vincent Trémolet de Villers (dans son édito politique sur Europe 1) :

    "Les dérogations repoussent le problème. La politique consiste aujourd’hui, sur tous les sujets, à repousser le problème de quelques mois. Le slogan du pouvoir pourrait être « Après les JO, le déluge ! » Mais le problème est bien plus profond : il est systémique et démocratique...
    L'Europe est intraitable sur l'écologie, elle est introuvable sur l'immigration..."
     
    (extrait vidéo 3'56)
     

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (14)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

    Voici la "Une" du Mercredi 2 Février 1910 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756800r

    • Cette fois-ci, en "Une", c'est Jacques Bainville, avec son article "Fatalités ?" qui assure la critique directe du Régime, après Daudet et Maurras dans des numéros précédents... L'article de Bainville occupe la première colonne et le tiers supérieur de la deuxième :

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    • Ensuite, Maurice Pujo continue de raconter l'action efficace autant que généreuse des Camelots du Roi (comme d'habitude, en partie supérieure des colonnes cinq et six) :

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Discours raté de Gabriel Attal :

    Philippe de Villiers appuie là où cela fait mal, en pointant la dichotomie entre le semble-Président et son semble Premier ministre :

    "Comment peut-on avoir un Président de la République ne jurant que par la "#souveraineté européenne" et un Premier ministre prônant la "souveraineté française ?..."

    (extrait vidéo 6'55)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1752395129346769271?s=20

    L'émission entière (59'46)

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (13)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

    Voici la "Une" du Mardi 1er Février 1910 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756799z/f1.item.zoom

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    • Maurice Pujo y tient toujours la chronique de l'aide des Camelots aux sinistrés : si l'accueil de la plus grande partie de la population et d'une partie des autorités est bon, et plein de reconnaissance, des énergumènes et une partie - pourrie - du Pays légal, menacent les Camelots : un beau moment de fraternisation devant l'épreuve est donc terni par ce que l'on ne peut que qualifier de "pauvres types", mais les Camelots du Roi ne renoncent pas, bien au contraire : ils redoublent d'ardeur et de générosité...

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  • Au cinéma : Bonnard, Pierre et Marthe, par Guilhem de Tarlé

    Critique du film Bonnard, Pierre et Marthe - AlloCiné

    Cannes 2023 : Bonnard, Pierre et Marthe,  un film français de Martin Provost, avec Vincent Macaigne et Cécile de France (dans les rôles titre), Stacy Martin (le modèle et la maîtresse Renée Monchaty), Anouk Grinberg (la pianiste Misia), Peter Van den Begin (Alfred Edwards, journaliste, le 2ème époux de Misia), Grégoire Leprince-Ringuet (le peintre Edouard Vuillard), André Marcon et Hélène Alexandridis (Claude Monet et son épouse Alice).


    Bonnard, Pierre et Marthe… N’ayant aucune culture artistique j’ignorais tout de Pierre Bonnard, de Vuillard et de ce mouvement nabi imprégné de l’art des estampes japonaises…Celles-ci n’étaient d’ailleurs, pour moi, que l’art d’inviter une jolie femme chez soi…
    Ignorant son époux, je ne pouvais pas connaître « l’indolente », la berrichonne Maria Boursin, née dans le Cher à St Amand-Montrond, dite Marthe de Méligny, qui fut peintre, elle aussi, sous le nom de Marthe Solange (sans doute par référence à Ste Solange, patronne du Berry).

    Je n’avais, non plus, jamais entendu parler de la pianiste franco-polonaise Marie Godebska.
    Le seul qui trouve grâce à mes yeux est Claude Monet que j’avais découvert, avec l’impressionnisme, à Giverny, à l’occasion d’une « sortie professionnelle ».


    j’aime en cela ces biopics, ou ces docufictions, qui peinturlurent mon ignorance et vernissent ma retraite. Malgré, malheureusement, certaines scènes pour public averti, on est ébloui durant deux heures, de 1893 à1947, par des tableaux et des photos magnifiques, notamment en bord de Seine à Vernonnet ou sous la lumière du Cannet.

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